Le textile en Youslévie L'histoireL'activité du textile explose en Youslévie à partir du milieu du Moyen-Age et prend son essor grâce aux élevages de brebis déjà présents en masse sur le territoire,notamment des élevages basques, leurs laines étant utilisées pour confectionner des vêtements.
Avec l'ouverture au commerce de la Youslévie les éleveurs et commerçants se mettent à produire encore plus de laines et les fabriques de textiles explosent surtout à Baltos, haut lieu portuaire de l'époque, Breuillet ou encore Lokeren.
Avec la révolution industrielle du XIXeme siècle, la production s'intensifie encore plus et des villes comme Breuillet ou Kronaï deviennent le coeur économique du pays en grand partie grâce à cette production industrielle. Au début du XIXeme siècle on compte presque un youslève sur trois travaillant dans le secteur du textile.
A coté de cette production massive, une autre production éclos aux alentours des années 1600, c'est celle de la soie.
En effet l'élevage des vers à soie existe depuis la nuit des temps en Youslévie et connaitra une forte progression durant toute la Renaissance, les nobles de toute l'Eurysie raffolent en effet de cette matière qui en plus ne coûte pas si cher que ça si on l’achète aux youslèves.
Des villes comme Bell-Vill ou Baltos prennent leurs essors tout d'abord grâce à leurs ports où les matériaux embarquaient et débarquaient de manière ininterrompue à n'importe quelle heure du jour et de la nuit mais aussi grâce à un climat printanier plus que propice aux éclosion des vers à soie.
En effet la côte leucytalienne de la Youslévie permet de remplir toutes les conditions à commencer par une chaleur douce s'élevant régulièrement de 1 à 2 degrés par jour sans jamais redescendre ou dépasser les 25°C, dû au climat youslève à partir de mars et jusqu'à fin mai, une légère humidité pour éviter le dessèchement de la graine et enfin de l'air pur et régulièrement renouvelé, indispensable à la respiration très active des œufs à ce moment (les deux dernières conditions sont remplies grâce à la présence de la mer sur les côtes).
La production de la soie est limitée car sa valeur est décuplée si elle est commercialisée au goutte par goutte et cela renforce encore plus son image de produit de luxe.
Les grandes marquesAvec toute cette histoire et cette industrie propice au développement de grandes entreprises de modes, de nombreuses firmes de classe mondiales ont explosés.
IkaelL'entreprise de prêt à porter youslève la plus connue n'est autre que l'enseigne de luxe Ikael.
En 1925, à Baltos, les frères Ikaël et Eros Luccini héritent de la fabrique de tissus et de la boutique du père décédé. Ils décident donc de créer la Maison Luccini et de fabriquer eux mêmes leurs vêtements afin de les vendre dans leur boutique. Cependant alors que l'entreprise fraternelle commence à se faire connaître au delà de la ville portuaire, l'aîné Ikaël décède dans un accident de tramway où se trouvait aussi son frère Eros, qui lui s'en tire même si il devra rester en fauteuil roulant pour le reste de sa vie. Dévasté Eros se réfugie dans la Maison Luccini qu'il rebaptisera sobrement Ikael en l'hommage de son frère (le " ¨ " présent sur le prénom d'Ikaël ayant été retiré pour des raisons pratiques de coutures).
Eros, possédant un réel talent en terme de dessins et de mode tout en possédant une imagination sans limites fit grimper l'entreprise jusqu'à ce qu'Ikael devienne l'une des plus grandes entreprises de prêt à porter de luxe du monde entier avant de s'éteindre en 1995, 65 ans jours pour jours après la mort de son frère.
C'est aujourd'hui la petite fille, Athéna Luccini qui est au commande de la firme.
Logo de la marque mêlant les lettres I et L, les initiales d'Ikaël Luccini
Athéna Luccini
Eros Luccini en 1992
TakitaTachita (a prononcer takita) signifie en youslève quelqu'un de rapide, d'habile et de vigoureux aussi bien physiquement que mentalement (ce nom est d'ailleurs donné au meneur de jeu dans de nombreux sports en Youslévie).
Le créateur Virginius Erapoldo a donc naturellement souhaité donner ce nom a la marque de sport qu'il créa en 1967 à Breuillet. Sur les conseils de ses amis, Virginius changea malgré tout un peu le terme originel, tout d'abord car la nomination existait déjà (elle était utilisé par une entreprise vendant un supposé remède miracle contre l'impuissance sexuelle des hommes) mais aussi car à l'étranger le "ch" pourrait être mal prononcé. La marque s'appellera donc Takita et aura pour logo un éclair représentant parfaitement le tachita mais aussi l'ascension fulgurante de la marque, car à partir des années 60, les plus grands clubs du pays aussi bien au niveau du football, du rugby ou du volley portent des maillots floqués de l'éclair. Aujourd'hui encore des clubs comme le Breuillet Football Club ou encore les équipes nationales de rugby et de football portent des maillots Takita. , fabriqués dans les usines de Breuillet.
Logo de Takita
Virginius Erapoldo
Maillot domicile de la sélection youslève pour la coupe du monde 2008 sponsorisé par Takita
Maillot extérieur de la sélection youslève pour la coupe du monde 2008 sponsorisé par Takita
ArdilUn ardil signifie écureuil en patois Kronien. La marque étant créer par un basque kronaïen du nom de Txomin Erremandu, ce dernier voulait allait à contre sens des croyances populaires des années 40 (la marque étant crée en 1948) car les basques étaient réputés (le plus souvent à tort) pour être des consommateurs d'écureuils.
La marque tout d'abord spécialisée dans la confection de tenues de travail s'est au fur et à mesure élargie pour maintenant fabriquer des costumes, des sapes plus streetwear, sportswear tout en continuant a réaliser des tenues d'usines.
En 2004, la marque a délocalisée près de 20% de ses usines en Youslévie dans des pays où les conditions de fabrications en termes d'écologies et de respect des droits du travailleur sont plus clémentes, c'est l'un des gros point noirs du mandat des Écologistes et d'Heran Romeretegui.
Logo d'Ardil
Txomin Erremandu en 1948