21/02/2015
17:39:30
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Activités étrangères dans l'Empire du Nord

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Activités étrangères dans l'Empire du Nord

Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants dans l'Empire du Nord. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur de l'Empire du Nord, sinon quoi ils pourraient être invalidés.
Protection des personnages :
- Empereur Maximilien II
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28 août 2009 – Café Tragique – Ghaliya, capitale des colonies nazuméennes de l’Empire du Nord
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« Le régime colonial est un régime instauré par la violence ! C’est toujours par la force que le régime colonial s’est implanté. C’est contre la volonté des peuples que d’autres peuples plus avancés dans les techniques de destruction ou numériquement plus puissants se sont imposés. Violence dans le comportement quotidien, violence à l’égard du passé qui est vidé de toute substance, violence vis-vis de l’avenir. »

Sunstra Kaewmanee déclamait son discours dans le Tragique, un de ces cafés politiques de Ghaliya, la capitale des provinces nazuméennes colonisées par l’Empire du Nord, il y a de cela plusieurs générations. Debout sur l’estrade, elle profitait d’une réunion des étudiants en sciences politiques de l’université pour secouer un peu ses camarades abrutis par la doxa impériale. Fille de descendants jashuriens ayant fui le Ruban Ecarlate, mais n’ayant jamais pu repartir vers le Jashuria, Sunstra avait grandi dégoûtée de la politique assimilationniste de l’Empire du Nord. Profitant allègrement de ses droits acquis par la violence sur les corps et les territoires des Nazuméens, l’Empire pillait les ressources et les âmes de ses camarades depuis des générations, détruisant petit à petit des cultures riches et authentiques, sous le rouleau compresseur de l’idéologie impérialiste.

« Car la colonisation est une négation systématisée de l’autre, une décision forcenée de refuser à l’autre tout attribut d’humanité. A ce titre, la colonisation du Nazum n’est pas différente de celle de l’Afarée. L’Empire du Nord, par sa politique expansionniste et avide, ne fait que répéter ad nauseam ce qu’il a déjà fait ailleurs, et ce que tant d’autres colonisateurs ont commis sur nos terres. Pendant que l’Empire nous abruti avec sa propagande et ses nouveaux édits, il fait main-basse sur nos terres, nos corps et nos âmes, pour le simple profit de son empereur gras et suffisant, et de sa classe d’aristocrates aleuciens ! »

La jeune femme n’avait beau être qu’en première année de Master, elle était déjà particulièrement versée dans le discours décolonial et ses théoriciens. Depuis qu’elle avait découvert le Traité de la Condition Afaréenne dans la bibliothèque de son grand-père, son univers jusqu’alors englué dans la gangue adipeuse de l’idéologie impérial s’était ouvert à de nouveaux horizons. Fini les vieux philosophes impériaux bons à gaver les masses ignorantes de la doxa impériale ! Désormais, la jeune femme aux origines jashuriennes discourait avec les penseurs décoloniaux, les sages de la pensée antiraciste, et les militants de l’émancipation nazuméenne sur l’odieux processus d’acculturation qu’opérait l’Empire du Nord sur les territoires sous son contrôle.

Le Tragique était à la fois le point de chute des étudiants en sciences politiques de l’Empire, mais aussi un endroit où se rencontraient les artistes et les militants venus de tous les horizons, notamment ceux de la culture. Non seulement il s’agissait d’une plateforme d’idées, mais en plus, elle permettait de trouver des accointances avec des personnalités issues de milieux divers, mais partageant les mêmes idées. Les autorités locales ne s’aventuraient que peu dans ces endroits, car ils servaient à canaliser la colère et l’arrogance de la jeunesse impériale. Agissant comme une soupape de sécurité, les cafés politiques accueillaient la grogne des étudiants et des poètes, qui finissaient par la noyer dans un bon litre d’alcool bon marché.

Les compagnons de Sunstra continuaient de vider leur bière tiède, affichant des sourires polis, mais détachés. A vrai dire, ils n’étaient pas nombreux à l’institut des sciences politiques impériales à s’intéresser aux penseurs décoloniaux et à remettre ouvertement en question la doxa de l’empereur. Il était plus intéressant de faire le dos rond, de sacrifier ses idéaux pour le confort tranquille d’un poste dans un institut de sondage ou un cabinet de conseil, plutôt que de réfléchir aux conditions d’existences des colonies impériales dans la région.

Les citoyens nazuméens de l’Empire du Nord avaient toujours été la cinquième roue du carrosse de l’empereur. Depuis la colonisation, les colonisés avaient été assimilés à l’empire, sans possibilité pour eux de se rebeller ou de décider de leur sort. L’empire avait tout simplement roulé sur l’opposition et massacré ce qui bougeait encore. Si les choses s’étaient largement apaisées depuis, il n’en restait pas moins que les Nazuméens de l’empire n’étaient bon qu’à alimenter la machine impériale, en fournissant des ressources et en exploitant leurs terres ancestrales de manière outrancière. Des forêts entières étaient défrichées, tandis que les temples, les villages et autres témoins de l’histoire de la région étaient remplacés par des exploitations forestières, parcs à touristes ou tout simplement nouveaux quartiers d’habitations malsains.

Sunstra Kaewmanee, du haut de ses vingt-et-un ans, avait vu les ravages créés par les affidés de l’empire sur les terres nazuméennes. Les sites d’extraction crachaient de la suie à longueur de journée et crevaient la terre tandis que les hévéas étaient saignés jusqu’à la dernière goutte. Les ouvriers travaillaient dans des conditions déplorables et ne pouvaient espérer d’avenir meilleur, si ce n’était pour leurs enfants. Et tandis qu’ils saignaient la terre de leurs ancêtres, ils mourraient à petit feu, leur culture insidieusement remplacée par la monolithique culture impériale. Elle avait vu, non loin des exploitations forestières, les débris épars d’un temple bouddhiste saccagé par les autorités impériales pour faire place nette à de futurs bureaux. Elle avait gardé de ce temple un petit Bouddha de terre cuite à moitié brisé, souvenir d’une époque que l’empire cherchait à faire sombrer dans l’oubli.

Bien décidée à ne pas se laisser faire et à faire vibrer la culture de ses ancêtres, Sunstra s’était rapprochée des cercles décoloniaux. Sociologues, ethnologues, experts en politique, mais aussi artistes, mécènes ou encore simples travailleurs harassés, … les mécontents ne manquaient pas ! Si tous ne portaient pas le même projet de société, ils étaient d’accord sur au moins une chose : l’Empire était parfaitement incompétent pour gérer les affaires du Nazum. Une société libre des chaines de l’empire était l’horizon d’attente, l’autonomie un moyen d’y parvenir. Devisant avec ce cercle restreint des damnés de l’empire, Sunstra s’était convaincue que pour parvenir à édifier une société plus juste, le sens de l’Histoire devait les mener à l’émancipation et à l’indépendance. Les provinces nazuméennes n’avaient aucun avenir sous la tutelle impériale. Il fallait absolument que des forces politiques émergent et fassent entendre leur voix, afin de créer les conditions de l’avènement de cette société nouvelle.

« Chers camarades, n’oubliez pas que nous ne sommes pas prisonniers de l’Histoire. Nous ne devons pas y chercher le sens de notre destinée, mais nous nous devons de la forger nous-mêmes. Nous nous devons de briser les chaînes qui nous lient pour trouver notre propre voie ! Je vous remercie pour votre écoute. »

Elle descendit de l’estrade, sous quelques applaudissements polis. Rejoignant ses amis, elle se consola du peu d’écho de sa diatribe avec un bon verre de bière, sans se douter que dans le fond de la salle, un petit listo-jashurien à lunettes, aux airs de comptable sans histoire, n’avait rien loupé de ce qu’il s’était dit ce soir-là.
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31 août 2009 – Littoral des colonies nazuméennes de l’Empire du Nord
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L’évolution de la situation au Nazum avait rendu nécessaire l’établissement d’un réseau actif de renseignements dans les nouvelles républiques et empires. La Sérénité, à l’œuvre depuis des décennies sur le continent, n’avait jamais ménagé ses efforts pour s’assurer que la collecte de renseignements de terrain puisse se faire de manière souple et efficace. L’organisation de contrespionnage, bien décidée à laisser trainer ses oreilles un peu partout, avait décidé de réactiver son réseau d’espions dans le Nazum central, et plus particulièrement dans l’Empire du Nord, pays venant tout juste de sortir de sa période isolationniste. Elle espérait, au vu des récentes tribulations de ce pays en route vers la modernité, acquérir assez de renseignements pour positionner les entreprises jashuriennes et les intérêts du Jashuria dans la région. L’Empire du Nord avait été remarqué par le Jashuria pour une raison très simple : le pays venait de désavouer publiquement une alliance militaire naissante avec le Kronos.

Désireuse de s’informer efficacement sur les acteurs locaux de la capitale régionale des provinces nazuméennes, la Sérénité était décidée à s’implanter durablement dans la région. La diaspora jashurienne, bien que très peu nombreuse dans l’Empire, était une ressource potentielle pour les affaires de la Sérénité. Non seulement l’organisation espérait pouvoir acquérir des renseignements via ses propres agents, mais elle comptait aussi sur le recrutement actif de citoyens peu désireux de s’acoquiner avec les impériaux.

Le récent rapprochement de l’Empire du Nord avec la dictature totalitaire kronienne avait laissé un goût amer dans la bouche des agents de la Sérénité. Les élus du Jashuria cherchaient évidemment à éviter que le communiste ne s’implante plus dans la région, notamment au Nazum central. La possibilité que le rapprochement des deux pays, même si l’accord avait été désavoué, donne lieu à l’installation de bases militaires permanentes était un risque que la Sérénité évaluait avec le plus grand des sérieux. Fort heureusement, jusqu’à présent, les Impériaux n’avaient pas donné d’indice permettant de penser que l’accord avec le Kronos irait plus loin qu’une simple déclaration de confiance.

Les cadres de la Sérénité avaient envoyé sur place l’agent répondant au nom de code « Bright Cello ». Jeune scientifique spécialisée dans la géographie nazuméenne, « Bright Cello » répondait au nom de Isaree Kulawanit. Elle avait été recrutée, comme de nombreux autres Jashuriens, par la Sérénité pour faire un simple travail d’observation. Etudiant et cartographiant les côtes pour le compte du département de géographie d’Agartha, elle passait le plus clair de son temps entre la capitale provinciale, sa petite vedette d’où elle menait ses relevés océanographiques et ses longues randonnées dans les campagnes impériales.

La vedette, l’Impétueuse, avait été louée au port le plus proche, pour une durée de plusieurs mois. L’Université d’Agartha, son laboratoire d’attache, avait veillé à ce qu’elle ne manque de rien pour ses études. En sous-main, la Sérénité s’était assurée que les financements tombent à point nommée, afin qu’elle puisse mener ses études en toute aisance. Sous son mandat de chercheur de l’Université d’Agartha, « Bright Cello » récoltait des données géographiques et sociales sur les provinces impériales de la région et les transmettaient à l’Université d’Agartha, qui elle-même, transmettait tout aux renseignements jashuriens. Une simple mission de collecte d’informations donc … Rien de bien méchant.

La Sérénité utilisait souvent ce type d’informateurs pour ses missions à l’étranger. Les chercheurs, touristes et autres voyageurs se révélaient être des informateurs relativement fiables, ce qui lui permettait de drainer une manne importante d’informations, que les experts de l’organisation traitaient dans leurs propres bureaux. Toutes les données récoltées n’étaient pas par la suite exploitées, mais il valait mieux trop d’informations, que pas assez. Avec les relevés réalisés par « Bright Cello » dans la région, la Sérénité espérait trouver des informations intéressantes sur le développement du Nazum central. S’il était certain qu’au vu des contours de sa mission, « Bright Cello » était loin d’être une agente assermentée pour des missions sensibles, il était certain que la Sérénité investissait dans l’acquisition du renseignement avec dans l’idée d’en récolter les fruits dans plusieurs mois.

Le programme de recherche confié par l’Université d’Agartha à Isaree Kulawanit était assez simple. Elle devait compiler un maximum de données de terrain sur les provinces impériales afin de permettre aux différents départements scientifiques de statuer sur la possibilité ou non de créer un nouveau département lié aux études scientifiques sur l’Empire du Nord. La question était de savoir s’il était nécessaire de créer un département spécialisé, ou alors de répartir les sujets d’étude dans les différentes sections. Très portés sur l’optimisation des financements et l’efficacité, mais aussi soucieux de politiques internes, les représentants des départements scientifiques avaient envoyé leur chercheuse émérite en mission de recherche, avec cinq autres scientifiques – non affiliés à la Sérénité – afin de déterminer si les provinces impériales étaient dignes d’intérêt pour la recherche scientifique jashurienne.

Les envoyés du Jashuria, à côté de leurs activités de collecte, devaient aussi prendre contact avec les universités locales afin d’évaluer la possibilité de tisser des partenariats pédagogiques et scientifiques autour de thématiques communes. Ce champ restait encore à défricher, étant donné le peu d’informations disponibles sur la région, mais les scientifiques ne désespéraient pas de parvenir à obtenir une audience dans les départements universitaires impériaux de la région. En attendant, Isaree Kulawanit passait le plus clair de son temps sur sa petite vedette, profitant du beau temps et de son poste radio, branché sur les nouvelles de l’Empire et la musique locale. Elle cartographiait les environs avec précision, réalisant des reportages photos sur les activités maritimes de l’Empire et sur l’urbanisation des littoraux. Des activités de chercheur en somme …

SpoilerHRP : Le Jashuria a décidé d’envoyer son informatrice sur place pour récolter des renseignements généraux sur la géographie et la société impériale. A bord de sa petite vedette, elle mène des relevés cartographiques et océaniques tout en explorant la région comme une géographe standard. D’autres chercheurs de l’Université d’Agartha sont sur place pour découvrir la région, mais ne font pas partie de la Sérénité.
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Estham - Palais de la Diplomatie - Ambassade des Provinces-Unies

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La délégation diplomatique lofotène prit possession de ses quartiers d'ambassade dans le Palais de la Diplomatie,le bâtiment gouvernemental dédié à accueillir et héberger les représentations consulaires, à Estham, capitale impériale de l'Empire du Nord.

Les Provinces-Unies souhaitaient apporter un soin tout particulier à entretenir de bonnes relations, les plus cordiales possibles s'il en est avec toutes les nations aleuciennes, même si ces dernières ne partageant pas totalement l'ensemble des idéaux et des valeurs humanistes et démocratiques lofotènes.
Et rien ne semblait plus opposé à cela que la monarchie nordiste, dont les premières actions et interventions avaient ébranlé nombre de puissances, lorsque cette dernière s'était rapprochée voir possiblement allier avec le dictateur communiste eurysien Bladassare Calabraise, l'homme qui roulait littéralement sur les cadavres de ses citoyens qu'il enterrait à la pelle dans les champs kroniens en guise d'engrais chimique.

Fort heureusement, l'Empire du Nord avait su se ressaisir et faire preuve de clairvoyance, malgré des débuts mouvementés, les Provinces-Unies avait alors procédés à des premiers échanges diplomatiques, malheureusement peu apaisés, et empreints d'une forte inquiétude, à l'idée de voir débarquer des troupes ennemies kroniennes sur le continent Aleucien.

Les Provinces-Unies louèrent et félicitèrent donc les autorités impériales nordistes pour leur clairvoyance, et leur discernement.
Depuis les relations étaient restées au point mort. La chose fut corrigée par l'établissement d'une ambassade permanente au sein de l'Empire du Nord, non seulement pour se prémunir, autant que faire se peut, d'une nouvelle tentative d'insertion et d'intimidation des dictatures eurysiennes, profitant toujours de la moindre opportunité pour disséminer leurs troupes et leurs bases militaires à travers le monde, comme les métastases d'une tumeur se répandent.

Mais aussi pour entretenir et conserver une paix relative et une stabilité qui a toujours, jusque là, préserver l'Aleucie de conflits meurtriers sur son sol. Et il était d'une importance capitale que cette situation perdure le plus longtemps possible

Tandis que des fanions et des drapeaux aux couleurs nationales du Lofoten étaient hissées sur la façade de style classique du Palais de la Diplomatie, afin de signifier aux autres délégations et ambassadeurs la présence de représentants de la nation nordique, la nouvelle ambassadrice arrivait, afin de se familiariser avec les lieux.


ambassadricemcconaghan

Et cette mission avait été confiée à Mme Caroline McConaghan, ancienne secrétaire d'état attachée au Département d'Etat des Affaires Etrangères, une fine connaisseuse s'il en est de la géostratégie et de la diplomatie mondiale, une femme avisée et pondérée, qui ne manquerait pas de porter les mots et les paroles du gouvernement fédéral des Provinces-Unies avec succès et justesse.

L'une des premières tâches de Caroline McConaghan fut bien entendu de présenter ses hommages et respects à son hôte, l'Empire du Nord, et à assurer l'autorité impériale qu'elle fera de son mieux pour maintenir ouvert les canaux de communications entre l'Empereur et le Chancelier Fédéral, dans toutes les circonstances, même celles pouvant s'avérer problématiques.
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 Ambiance sombre et secrète. Acte clandestin

De nuit, dans la ville d'Estham, capitale de l'Empire du Nord

Un groupe d'individu est réuni dans un appartement. Ils ont l'air en pleine préparation. Un homme d'un age indéterminé semble mener ce groupe :

Il faut que nous étendions notre zone de surveillance et d'influence. Le président ne va rester que quelques jours dans le pays, et il faut qu'on soit sur de la véracité des propos tenu par l’empereur avant la signature des accords. On s'occupera de tout ce qui est mission clandestine après. Notre priorité est de pirater le service du ministère afin d'avoir d'accès à toutes leurs communications. On doit être sur doit être sûr que cet empire est bien ce qu'il prêtant être, et n'a plus sa politique expansionniste. Ils risqueraient de nous prendre par derrière lorsqu'on aura des problèmes, et croyez moi ils ne vont pas tarder à arriver

Une femme prend la parole :

Cependant si vous trouvez des failles qui nous permettrait de nous implanter de manière durable n'hésitez pas à les exploiter. Des agents vont bientôt arriver pour infiltrer tous les secteurs du pays. La Patrie de Rousmala n'a pas encore annoncé avoir un service de renseignement. On doit donc agir dans l'ombre, mais en profiter car personne ne se doute que nous existons.
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Du 4/01 au 10/01, trois bateaux de pêche de la compagnie Pescado Silica ont fait escale dans les territoires afaréens de l'Empire du Nord.

Après un petit imbroglio avec la capitainerie locale (la questure diplomatique n'avait obtenu l'autorisation des autorités de l'empire que pour un accès à partir du 20/01), l'équipage a finalement pu accoster. A terre, les hommes ont noué quelques liens. Les embarcations ont repris la mer en direction de l'Arsurma plus au sud avant le point de destination final qu'est le Shuharri. Remerciements.

OpérationShuharri
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Arrivée des Sœurs de l'OCC en Empire du Nord

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Le voyage s'est bien passé, tout le monde descend.

Les sœurs de l'OCC arrivent dans les deux parties de l'Empire du Nord : la partie d'Aleucie et celle d'Afarée.

L'implantation se veut modeste en ce qui concerne l'Aleucie du fait de la faible proportion de population du Quart Monde et de la petitesse de la communauté Vieille Catholagnaise (ou cathalagnaise de Volignon). Aussi les sœurs ne sont venues qu'en petit comité, elles sont une centaine afin de tenir trois écoles pour jeunes filles (un cursus initial intégral) et deux centres d'action sociale.

Comme c'est souvent le cas dans les autres pays, les sœurs ont acheté ou se sont fait offrir du vieux bâti : château, manoir, couvent, usine, entrepôt, immeuble, qu'elles restaurent elles même, parfois aidées de bienfaiteurs qui sont des gens de l'art, ce qui diminue encore les couts d'installation. Il faudra cependant attendre un peu de temps avant que toutes les structures puissent accueillir la population à laquelle elles sont destinées.

En ce qui concerne la partie Afaréénne de l'Empire du Nord, celle-ci intéresse beaucoup plus l'Ordre puisqu'elle est beaucoup plus pauvre, aussi est-ce sept cents sœur qui s'installent pour ouvrir un hôpital, cinq pensionnats et cinq écoles.

Par son installation dans l'Empire du Nord, l'OCC complète peu ou prou sa "conquête" de l'Aleucie puisqu'il semblerait que le reste des nations qui comptent sur la scène internationale, c'est à dire celles qui sont ouvertes au monde, aient toutes déjà accueillies des maisons de cette communauté religieuse. Ainsi, tout considéré, c'est à dire en constatant que l'OCC est d'abord présent en Aleucie et en Eurysie, il faut convenir que, pour l'heure et malgré sa volonté et ses projets initiaux, l'OCC est davantage une structure d'aide aux populations du Quart Monde, ainsi qu'une structure vouée à l'instruction des jeunes filles, qu'une véritable ONG orientée vers le Tiers Monde.

Mais rien n'est perdu en soit puisque les installations se poursuivent à travers bien des pays, bien que rien ne soit encore, hélas, planifié pour Nazum, où l'Ordre n'est présent que dans un seul pays, ni pour l'Afarée où aucun pays n'est encore desservi à l'exception, maintenant des duchées afaréens de l'Empire du Nord.
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Une guerre injuste se déroule au Prodnov et des civils et militaires y sont tués. Encore le produit d'une dictature sanglante ! Cette guerre de réunification insensée touche en premier la population, alors fait un dont aux CdD. Ces dons seront reversés à la RPL.

Envoyé vos dons pour que la paix soit un rêve devenu une réalité au Prodnov !


Les Chevaliers du Devoir

Let's build the world of tomorrow, with love as our only foundation!

https://media.discordapp.net/attachments/1070343857167929426/1094010012810092615/les_chevaliers_du_devoir.png?width=570&height=571


HRpIl y a une faute sur l'affiche, c'est dictature et non pas dicature ^^
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📖CCCIEN📖

Centre de Compréhension de la Culture Inglienne en Empire du Nord

Crée suite au Traité d'Estham 2, le Centre de Compréhension de la Culture Inglienne en Empire du Nord, administré directement par le Ministère de la culture et de l'esprit national inglien, a été ouvert dans la capitale de l'Empire du Nord. Son objectif est de publier des articles sur l'histoire, la culture, la littérature, la cuisine, bref, sur tout ce qui compose l'Inglie. Le centre bénéficie d'un financement de $250 000 000, cet argent provenant directement des finances nationales ingliennes servira à entretenir le bâtiment, à payer les employés du centre, à fournir des cours sur l'Inglie et à payer des voyages en Inglie pour les familles nordistes. Le centre propose aussi des activités pour les enfants nordistes entièrement prises en charge par le CCCIEN. Le CCCIEN publiera sur ce site des anecdotes ou des textes détaillés sur ce qui compose l'Inglie, la première publication (avant celle ci) portera sur les patois locaux.

CCCIEN,
Selon le Traité d'Estham.
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Dossier secret défense

Ordres officiels du Général Suprême de la Démocratie Communiste de Loduarie


En tant que chef de la nation Loduarienne, et en tant que Général Suprême de la Démocratie Communiste de Loduarie, suite à la crise Inglienne et à l'ultimatum adressé à l'Empire du Nord, j'ai décidé de mettre ce que certains pourraient appeler des menaces à exécution.
Voici les ordres officiels.
  • La force des radars de l'armé Loduarienne va se charger de pister tous les avions passant à une distance de 1500 kilomètres des frontières terrestres, aériennes et maritimes Loduariennes.
  • Les forces aériennes ont l'ordre d'abattre tous les importants convois aériens repérés de l'Empire du Nord. L'avion Tola-11 devra rester en vol le plus longtemps possible afin de mettre hors service les avions de l'Empire du Nord. Attention, seul l'espace aérien de l'Eldeirra peut être violé. Les espaces aérien des des autres nation ne peuvent et NE DOIVENT PAS ÊTRE violés. L'espace aérien Lambrois est un espace ami, mais tout franchissement de cet espace aérien devra quand même être signalé à l'état Lambrois.
  • La force terrestre antiaérienne a ordre d'éliminer tous important convoi aérien repéré de l'Empire du Nord.
  • La force navale Loduarienne a ordre de repérer tout sous-marin passant près de la Loduarie et a l'autorisation d'intercepter tous les cargos en provenance de l'Empire du Nord. Elle doit également si elle le peut éliminer tout important convoi aérien en provenance de l'Empire du Nord.
Ces ordres sont à appliquer dès maintenant. Bonne chance à tous. J'espère que l'Empire du Nord ne fera pas de faux pas et finira par accepter notre ultimatum. Ces ordres sont confidentiels. Seule la Lambroisie a étée prévenue.

Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, Général Suprême de la Démocratie Communiste de Loduarie
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Catégorie : RP avec importance

24/02/2011, 9 heures 43 minutes
Océan de l'espérance

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Le destroyeur Loduarien "Galkovine" venait de quitter le port de Dolinne où il s'était ravitaillé, emportant sur lui tout ce dont avait besoin les 249 membres de son équipage, ainsi que ce qu'il lui fallait pour fonctionner correctement pour les prochains jours. Car le Galkovine, nommé ainsi en hommage à la République Sociale de Prodnov, repartait en opération dans le vaste océan de l'espérance. Quelques jours auparavant, la marine Loduarienne avait reçu des ordres bien précis : surveiller les allés et venues des navires en provenance de l'Empire du Nord. Les destroyeurs Loduariens n'echappaient pas à cette mission là, bien que leur principale soit de sonder les fonds marins à la recherche de sous-marins, les destroyeurs Loduariens étant conçu au départ pour cela. Mais exceptionnellement, la moitié des missiles anti-sous-marins du Galkovine avaient été remplacés par des missiles anti-navires. Ainsi armé, le navire parti du large de la Loduarie, en restant en contact permanent avec les forces terrestres Loduariennes, et escorté par un hélicoptère léger polyvalent Loduarien, affecté au destroyeur. Très prochainement, un hélicoptère d'attaque devrait le remplacer, mais les industries Loduariennes avaient prit du retard avec le début de la fabrication du futur croiseur porte aéronefs Loduarien.


Camarade Commandante Laurine, nous avons un contact radar naval, distance estimée de 5 kilomètres à l'est.

La commandante Laurine était l'actuelle dirigeante du navire Galkovine. Diplômée de l'université des officiers maritimes de Lyonnars et ancienne lieutenante des forces spéciales de la marine Loduarienne, elle avait été nommé commandante du destroyeur Galkovine quelques jours avant sa sortie de cale. Elle faisait partie des meilleurs officiers de la Nation Communiste de Loduarie, et son professionnalisme l'avait aidé, tout comme son amitié avec la fille de l'Amiral Williams, ancien Capitaine de l'Amiral Galaisie, coulé en Leucytalée.
Après avoir reçu les informations du poste radar du navire, elle prit en main la situation avec son profond professionnalisme.

Camarade Dorian, quelles sont les caractéristiques du bâtiment repéré ?

Le marin s'empressa de répondre.

Camarade Commandante Laurine, il s'agit d'un navire de surface, type navire cargo, une hélice. Il va actuellement à 15 nœuds, et semble se diriger en direction de la Manche Blanche. Longueur estimé : 140 mètres. Terminé.

Très bien. Ordonnez à l'hélicoptère de décoller en direction du cargo repéré. Nous devons savoir sous quel pavillon il opère. En attendant les résultats de l'hélicoptère, suivez le de près.

Obéissant aux ordres de sa cheffe absolue, les navire vira à tribord.

https://defencerussia.files.wordpress.com/2014/12/189.jpg


https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/5/56/A_Russian_Helix_KA-27_%28cropped%29.jpg

L'hélicoptère Klove-19 survolla le navire repéré par le destroyeur Galkovine. Après quelques survoles du cargo, il fit un rapport radio au destroyeur.

Ici Hélicoptère Klove-19-N20. Le navire repéré est un navire cargo de l'Empire du Nord.

La station radio du destroyeur, avertie, envoya alors un message radio au navire cargo de l'Empire du Nord, lui intimant de suivre les instructions donnés par le destroyeur, en attendant que celui-ci l'atteigne. Le cargo obéit, et ralentit un peu sa vitesse.

https://api.ethik-hotels.com/uploads/voyage_en_cargo_Porte_conteneurs_250ad7ef16.jpg

Après l'arrivée du destroyeur, deux petits bateaux pneumatiques furent mis à flot à partir du destroyeur, puis partirent en direction du navire cargo de l'Empire.

https://zodiacmilpro.com/fr/wp-content/uploads/2019/09/armorflate-inflatable-boats.jpg

Arrivés au navires, les hommes à bord des bateaux pneumatiques montèrent à bord du cargo, tous équipés lourdements.
Un homme s'adressa au membres de l'équipage du cargo.

Messieurs, ne vous inquiétez pas. Je suis le lieutenant Matis, chef des forces spéciales de la marine Loduarienne affectée au destroyeur Loduarien Galkovine. Nous ne sommes là que pour mener une inspection de routine.

Un marin du cargo réagit.

Et vous avez le droit de faire ça ?

Bien sûr. Sans législations actuelles sur les mers et océans du monde, nous avons en théorie le droit de faire ce que nous voulons si nous en avons les moyens. Mais pas d'inquiétude, nous réalisons des contrôles pour faire face à la piraterie qui sévi dans les mers proches. D'ailleurs, j'ai également l'occasion de vous mettre en garde sur les dangers de la Manche Blanche, actuellement la mer où la piraterie sévi le plus. Où vous dirigez vous ?

Nous allons en direction de l'Inglie, nous livrons plusieurs choses à destination des marchés Ingliens, la plupart étant du matériel ménager, comme des casseroles, balais, et autres choses.

Bien. Dans ce cas, cela veut dire que vous allez passer près de Kotios, alors restez sur vos garde et faites ce que vous pouvez pour rester sous bonne garde de la marine du Canta. En attendant, nous devons procéder à des vérifications de routine.

Il fit signe à 4 soldats Loduariens, qui partirent inspecter le navire.

Mais... Nous n'avons pas le temps pour le moment, nous avons des horaires à respecter...

Ne vous inquiétez pas. Notre inspection ne devrait pas durer plus de 10 minutes. Et de plus, vous n'avez pas le choix.

Le lieutenant rappella aux marins d'un rapide mouvement des yeux que c'était toujours lui qui portait une arme, et ils prirent leur mal en patience.

10 minutes plus tard, les soldats Loduariens revinrent, en faisant un mouvement négatif de la tête, avant d'enchaîner en russe à leur supérieur.

Товарищ лейтенант, мы ничего не нашли. Ни солдат, ни военной техники.

Очень хорошо, товарищ.
Puis il s'adressa aux marins.
Très bien, merci messieurs, nous avons terminé ici. Vous pouvez repartir, nous allons repartir sur notre destroyeur. Passez une excellente journée, et bonne chance pour la suite de la traversée.

Et ils repartirent à bord de leur bateaux pneumatiques, en direction du destroyeur Loduarien.


Une scène comme celle-ci, ça n'était plus anodin dans l'océan de l'espérance. La Loduarie surveillait, et elle était prête à mettre ses menaces à exécution face à l'Empire du Nord.
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Arrivée de l'ambassadeur de la R.F.T., Monsieur Artyom Hafalen, au Palais de la Diplomatie

C’était la première fois qu’Artyom Hafalen voyageait en Empire du Nord. Cette nation, bordant l’Océan d’Espérance ainsi que d’autres mers grâce à ses colonies, avait contacté il y a de cela 1 ans la défunte République de Tchérie afin de mettre en place des partenariats et de tenir de bonne relation. Cependant, à cause de la guerre civile en Chérchérie, la Tchérie n’avait pas pris contacte avec l’Empire du Nord depuis longtemps.
Son arrivé dans le pays était donc un évènement historique selon son point de vue, car cette nation aurait plus à offrir à la R.F.T. que l’on pense.
Devenu ambassadeur de la nouvelle République Fédérale des peuples de Tchérie suite à la fin de la guerre civile en Chérchérie, Artyom savait que le gouverneur Ivan Gradvosk-Moskva avait fait exprès de l’envoyer en temps qu’ambassadeur pour l’éloigner de sa terre natale, la Chérchérie, mais surtout du pouvoir.

Lorsqu’il arriva au Palais de la Diplomatie à Estham, Artyom fut étrangement admiratif à la vue de la grandeur du bâtiment mais aussi de la beauté de l’architecture de celui-ci. Pour lui, ça ne faisait aucun doute, un nouveau chemin commençait...


Artyom Hafalen
Artyom Hafalen
2026
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La journaliste Loduarienne Florine Glane a resurgit face aux caméras.

Le monde retient son souffle. La journaliste Loduarienne Florine Glane, journaliste du Libéré Loduarien, est devenue la rescapée la plus célèbre du massacre de Port-Hafen. Étant une journaliste du Libéré Loduarien, toute l'équipe de journal à souhaité lui apporter son plus profond soutien face à l'épreuve qu'elle a subit.

La Journaliste Loduarienne Florine Glane est une ancienne émigrante originaire d'Aleucie. Ayant des anciennes origines Loduariennes et croyant fermement à l'idéologie socialiste, Florine a décidé d'émigrer en Loduarie. Arrivée en Loduarie, elle a réussi à obtenir la nationalité Loduarienne très rapidement, chose rare. Embauchée au sein du Libéré Loduarien il y a peu, elle a décidé de travailler dans la section internationale du journal. Cette affectation lui a valu d'être envoyé pour son premier reportage à Port-Hafen, pour réaliser un direct à la télévision sur les élections à Port-Hafen. Malheureusement, elle s'est retrouvé au mauvais endroit au mauvais moment, et a été d'abord une témoin de l'attaque de l'Empire Listonien contre Port-Hafen, puis une victime de cette attaque. Une vidéo à beaucoup circulé sur internet, d'abord relié par les plates-formes Kah-Tanaises, réalisé par la caméra du caméra man de Florine, José Falandès, tué par les soldats Listoniens.

Elle est réapparu face aux caméras il y a quelques heures, dans l'Empire du Nord, où elle s'est réfugié, après s'être présenté seule à la frontière, visiblement épuisé. L'Empire du Nord l'a actuellement prise en charge, étant tombé dans le coma devant la Frontière de l'Empire du Nord.

Sa réapparition soudaine est une bonne nouvelle pour le monde, d'abord car une martyr d'un empire sanglant et brutal et en vie, et ensuite car il s'agit d'une importante opportunité de relater des faits qui se sont déroulés à Port-Hafen, voir également de juger de possibles coupables. L'armé Listonienne s'étant très visiblement prise à des citoyens Loduariens, comme l'atteste les vidéos de la caméra Loduarienne retrouvé à Port-Hafen, il est même possible que l'état Loduarien décide de prendre des mesures drastiques et radicales.

Quoi qu'il en soit, nous espérons qu'elle se sortira de toutes les épreuves auquelles Florine est confrontée.
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JEU CONCOURS


Un journal organise un concours pour gagner des places de concerts. J'organise un jeu pour gagner ces places sous forme de pts. À la clé, 2000 pts de développement à gagner. Il vous faut donner un chiffre sur le nombre de symphonies composées par un compositeur fortunéen du nom de Rosario Pellegrini. J'ai défini un nombre et celui qui le trouvera remportera le prix. Si personne n'a le chiffre exact, la personne la plus proche dans un rayon de trois symphonies le remportera.

Si personne ne le remporte, bah, je garde les pts de développement pour moi. Pour participer, écrivez un rp d'une famille voulant gagner ce jeu et envoyant un message au journal. Vous avez jusqu'au 18 novembre 2023 !
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Général, chef de la Milice Universelle Noire,

Tous types d'armes ou d'aide m'intéressent, comme vous vous en doutez. Mais d'autres étrangers m'ont déjà fait le coup de la cause pitsi avant de le mettre à l'envers. Je vous accorde crédit dans un premier temps, que l'Empire ait besoin d'appuie pour lutter contre le communisme, ça m'a l'air crédible. Mais je veux des garanties. Vous le savez sûrement, si on affronte l'Armée Démocratique frontalement dans l'état actuel de nos forces, on se prend une déculottée. Il nous faut des armes, de la formation et des renforts avant de rompre nos accords de cessez-le-feu avec l'AD. Serez-vous prêts à vous engager dans cette phase de préparation ? Nous verrons. Nous sommes prêts à combattre le communisme, soyez prêt à laisser au pays pitsi sa souveraineté.

En souhaitant que vous soyez sincèrement à nos côtés, salut.

Général Mwamba Etoto
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