24/02/2015
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Activités étrangères en Tanska

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Activités étrangères en Tanska

Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants en Tanska. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur de la Tanska, sinon quoi ils pourraient être invalidés.
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20 mai 2011 - Le transfert de chasseurs-bombardiers en République Fédérale de Tanska, une démarche commerciale à aux enjeux sécuritaires et technologies maîtrisés.


Un parcours de formation scrupuleux, développé sous une approche systémique, qui inclue pilotes, équipes supports et même industriels sous-traitants pouvant intervenir dans la production locale de pièces d'entretien.
De la Fédération d’Alguarena paltoterrane à la République Fédérale de Tanska, les F-2000UG de type “cometa” ont la côte, se faisant l'objet d'un transfert scrupuleux entre les deux états.


Depuis la livraison de F-200UG "Cometa" alguarenos auprès du partenaire Tanskien, les institutions fédérales d’Alguarena se sont données les moyens d’en favoriser l’assimilation par les forces armées amies, par des exercices aériens conjoints et des démonstrations techniques du matériel confié. Un internationalisation du F-2000UG qui se soigne, considérant les enjeux commerciaux de long terme accompagnant une telle vente.

“Former des pilotes étrangers à la maîtrise de vos appareils, se rentabilise par l’acquisition d'un certain nombre de ces derniers… On ne forme pas des pilotes sur un temps donné pour faire l’acquisition de nombreux modèles d’aéronefs militaires” rappelle alors avec une certaine évidence, l’économiste Piero Albarràz. Pour le spécialiste, il faut donc croire à une corrélation directe entre la capacité de la Fédération d’Alguarena à former un large nombre de pilotes à la maîtrise de ses appareils et la capacité des industriels de l’armement alguarenos à fournir la scène internationale. “Former des pilotes de chasse prend du temps, vous ne pouvez pas les former chacun sur deux, trois ou plus encore de modèles. Le souhait de la République fédérale de Tanska de former ses pilotes au F-2000UG est un bon signe de santé économique pour nos industriels, car il traduit des débouchés supplémentaires dans la fourniture du parc aérien tanskien.”

Et au-delà même de la vente d’aéronefs militaires, ces acquisitions portent avec elles des perspectives commerciales autour de l’entretien et la fourniture de pièces d’usure des appareils. “La capacité des industriels de l’armement à positionner des produits en République Fédérale de Tanska amène de réelles opportunités pour elles d’y développer des business locaux…”
Effectivement, s’agissant d’un produit alguareno, de nombreux composants, électroniques ou non, trouvent leur origine dans les complexes industriels des secteurs métallurgiques, aéronautiques, et électroniques du pays. Un savoir-faire qui nécessitera peut-être d’être exporté en République Fédérale de Tanska, pour inciter les autorités locales à durablement miser sur le choix du F-2000UG. Une diffusion de l’expertise alguarena en matière aéronautique, qui n’effraie pas les marchés car il n’est pas gage d’une perte de marchés ou encore d’une délocalisation, mais de l’implantation de nouvelles usines de production Benca et Marbone à l’étranger, pour satisfaire des demandes croissantes et l’entretien permanent qui en découle. “En matière de défense, les institutions de tout pays ne prendront pas le risque de dépendre des importations étrangères pour tenir à flots un parc militaire, c’est pourquoi la question d’autoriser l’expatriation de certaines affaires propres au secteur de l’armement, est une option valable…” nous déclarait le conseiller fédéral de la justice, de la défense et de la protection de la population, Mauricio Sáenz, associé au parti encolanaltèque “Emancipación Indiviso”.

“Fournir des équipements est une étape, former à ces derniers une seconde” insiste quant à lui le général d’armée Caïtano Lossada, chef de l'état-major fédéral d’Alguarena, rappelant que l’initiation des hommes et des femmes à la maîtrise d’aéronefs étrangers, fussent-ils déjà pilotes, restait “un processus laborieux inscrit dans la durée”. Mais un processus qui sera poussé à son terme, affirment les personnalités des plus hautes sphères de l’institution militaire fédérale.

“La République fédérale de Tanska est un partenaire à part entière de la stabilité régionale aleucienne, la Fédération d’Alguarena se donnera les moyens de lui permettre l’acquisition et l’emploi opérationnel, de ses propres moyens dédiés à la défense de sa souveraineté et à la dissuasion…”

Les avions livrés à la République fédérale de Tanska, la formation des pilotes tanskiens est une nouvelle marche à franchir et qui a débuté hier par le déroulement d’une série de manoeuvres aériennes, ayant autant valeur de démonstration politique, quant à la coopération nourrie entre les deux états, que valeur d'entraînement pour les pilotes de l’armée républicaine et fédérale tanskienne pressentis pour prendre possession de ces aéronefs.

Une date pour la première livraison, une date pour la première formation et quelle date pour la première mission?

Le processus de professionnalisation ou de montée en puissance de l’armée de l’air tanskienne par l’armée fédérale d’Alguarena connu, les experts s’interrogent légitimement sur le calendrier de la période de formation des pilotes tanskiens et sous quels délais ces derniers seront en mesure d’exercer de façon pleine et entière avec ces nouveaux appareils dernier cri.
A ce propos, les rares figures des institutions militaires interrogées sur la question ont rappelé un élément notable du projet : l’intégration et la maîtrise technique d’aéronefs n’est pas une mince affaire. En moyenne, le temps de formation des pilotes de chasse confirmés oscille entre quatre et cinq ans. Dans le cas présent, qui nous intéresse, les personnels identifiés pour la perception des F-2000UG “cometa” sont déjà pilotes. Aussi même si les cahiers techniques diffèrent grandement entre les productions aéronautiques des différents pays, il est permis de penser que certains protocoles propres à la mise en marche de l'appareil et au checks des indicateurs de bord est connu et rapidement transposable à la technologie alguarena. La difficulté sera donc pour les pilotes tanskiens, de mesurer les capacités techniques de l’appareil en vol, des exercices graduels que des instructeurs alguarenos ont déjà commencé à accompagner.
“La mise en marche et l'exécution des commandes associées, pour peu que vous ayez une formation de pilote et le manuel d’instruction, cela reste accessible après quelques mois seulement. Mais l’accomplissement de manoeuvres de combat aérien, si vous appréciez mal les caractéristiques techniques en vol de votre appareil, peut vous être fatal. C’est pourquoi nous avons bon espoir de former avec efficacité, l’ensemble du personnel de l’armée de l’air tanskienne éligible, sur une période de cent-quatre-vingt jours au moins…” explique le Général d’armée Caïtano Lossada. “Une période à l’échéance fluctuante puisqu’elle doit considérer d’autres paramètres en considération, comme la formation conjointe d’équipes de mécaniciens aux principaux protocoles de réparations ou d’entretien des appareils. Vendre des avions de combat, ce n’est pas que former des pilotes. Aussi une période de six mois, dédiés à la dispense d’enseignements théoriques, jumelées à une phase de restitution et de correction le cas échéant, me semble tout à fait nécessaire…”

Contrairement à d’autres pays, qui pourraient fournir des avions de combat en nombre sans considérer les aspects logistiques et formatifs à leur intégration sur le parc militaire existant, la Fédération d’Alguarena souhaite entretenir sa réputation et sa fiabilité, quant à la fourniture d’armements à l'international, qui soit parfaitement maîtrisés, dissuasifs et cas échéant employables, par ses partenaires et alliés.
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El Grafico

5 juillet 2011 - Le commerce d’armements entre la République Fédérale de Tanska et la Fédération d’Alguarena développe d’autres secteurs insoupçonnés.

Maquettes et produits dérivés de la transaction commerciale relatif aux F-2000.UG de type "Cometa"
Témoins directs du rapprochement entre la Fédération d’Alguarena et la République Fédérale de Tanska, des produits dérivés, directement liés au commerce d’armements entre les deux états, pourraient faire leur apparition dans les grandes surfaces tanskiennes.

“La transaction commerciale entre les états-majors de la Fédération d’Alguarena et la République Fédérale de Tanska est impactante pour l’économie des deux pays, assurément” nous promettait l’économiste Piero Albarràz. Il faut dire que lors de ses précédentes interventions, ce spécialiste avait insisté sur le fait que l’intégration pérenne d'équipements militaires étrangers au sein d’une armée, impliquait nécessairement de repenser la logistique et les fournisseurs en pièces d’usure et de rechange. Dans le présent cas qui nous intéresse, il est effectivement à constater d’une part conséquente de l’aviation fédérale tanskienne reposera sur des modèles d'avions de combat alguarenos, “un choix évident” au regard des performances soutenues par les appareils mais qui, compte tenu de la technicité de l’outil, limite les possibilités de démultiplier les modèles d’avions de combat en dotation. La République Fédérale de Tanska et plus généralement toute nation après elle, ne saurait se permettre l’intégration sur leurs parcs militaires, d’une flopée d’aéronefs militaires différents.

En effet, la multiplication des modèles sur le parc aéronef serait préjudiciable aux capacités d’instruction et de formation des pilotes qui devraient, pour se maintenir opérationnels et être prêts à intervenir en toutes circonstances, maîtriser les cahiers techniques de plusieurs modèles d’aéronefs. L’emploi des aéronefs alguarenos en sus des productions aéronautiques nationales, est donc un fait rare qui ne devrait pas faire de réplique. “Une bonne chose” pour laquelle l’expert gage que le parc aérien militaire tanskien ne souffrira pas plus d’autres brassages.

La formation des pilotes de côté, l’intégration d’aéronefs étrangers pose également la question des fournisseurs usuels de l’armée. Avec du matériel étranger, il faut des fournisseurs étrangers. “Oui mais pas nécessairement sur le long-terme” rappelle l’économiste Piero Albarràz qui, au regard des enjeux stratégiques qui posent les projets d’acquisition d’avions de combat, souligne l’accord entre les industriels de l’armement alguarenos, Benca et Marbone, et les institutions tanskiennes, afin que des contrats de sous-traitance soient mis en place pour permettre la production de différentes pièces d’usure et de rechange pour le parc aérien.

Sur le plan commercial, Benca et Marbone ont la possibilité de développer de nouvelles marges, en sous-traitant localement la production de certaines pièces. Avoir des industries sur place, en capacité de produire selon des normes de sécurité et de qualité alguarenas, est un réel plus pour les industriels qui entendent par là, motiver auprès des pouvoirs publics tanskiens, la poursuite des acquisitions d’aéronefs militaires pour justifier la présence et pourquoi pas le développement, des sites industriels en charge de la sous-traitance. Si la présence d'avions de combat alguarenos justifie le développement d’une industrie de proximité, d’autres commerces n’ont pas attendu qu’on fasse appel à eux, c’est notamment le cas d’un fabricant de jouets et maquettes de modélisme alguareno, COBI, qui s’est empressé de concevoir et produire les reproductions des équipements militaires alguarenos estampillées des sigles de l’armée tanskienne.

La démonstration la plus flagrante qui a été faite, réside notamment dans la réalisation d'une maquette du Fighter 2000.UG "Cometa". La petite boite, forte malgré tout de ses 185 pièces, est la conséquence directe mais bienheureuse, de la partenarisation commerciales des deux états.

Un opportunisme commercial qui fait le jeu de chacun, et promet à la face du monde, que la République Fédérale du Tanska et la Fédération d’Alguarena, entretiennent une série d’opportunités qui dépassent le seuil même de ces acquisitions d’armements…
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De gros contrats pour l'industrie agricole tanskienne !

Avec son ouverture récente en Zélandia, l'entreprise de mode Paruline doit abondamment se pourvoir en matières premières, et les agriculteurs de Tanska ont attiré l'attention par la qualité, disponibilité et proximité de leurs produits.
Après une première étude qualité, la société Paruline a officiellement initié une commande initiale qui évoluera avec le temps en fonction du résultat de son entreprise, et éventuellement des offres que pourraient faire les agriculteurs tanskiens.

La commande est très diversifiée et inclue notamment :
-Une large gamme d'extraits végétaux et de coquillages pour la teinture.
-Des fibres végétales et plus particulièrement le lin.
-Des laines très diverses, de cabris ou moutons notamment.
-Des cuirs de vache ou de chèvre.

Paruline compte prendre en importance et progressivement étendre son marché sur plusieurs nations du nord de l'Eurysie, incluant pour commencer Zélandia, Tanska, Caratrad et Teyla. Il va de soi que cela signifie un marché juteux à venir pour les agriculteurs tanskiens, qui ont tout intérêt à se mobiliser pour fournir la meilleure qualité.
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Exercices navals conjoints entre les Marines Tanskiennes et Zélandiennes.


Afin d'améliorer l'interopérabilité entre leurs Marines respectives, les États-Majors Tanskiens et Zélandiens ont organisé des exercices navals conjoints dans la zone de ce qui est appelée par les Zélandiens : le détroit de Noordcroen.

Ces exercices auront pour but d'entraîner les deux Marines dans la lutte commune contre la piraterie, ainsi que la défense des eaux territoriales et des côtes, en particulier dans le cadre de leur rapprochement et de l'Espace de Libre Circulation Noordcroen. Les exercices auront lieu sur deux jours.

Pour ces exercices, les Tanskiens ont affrété :
  • La frégate TMS Rétt.
  • Le bâtiment ravitailleur de flotte TMS Vestur.
  • Le bâtiment de projection et de commandement TMS Kænugarður
.
De leur côté, les Zélandiens ont affrété trois patrouilleurs de Classe Seelân :
  • L'AGS Frijheid.
  • L'AGS Handel.
  • L'AGS Wrâld.

La matinée du premier jour, aura pour exercice d'effectuer des patrouilles mixtes entre les deux Marines dans la zone choisie. Cela permettra aux équipages de chaque navire de se coordonner, ainsi que d'apprendre à communiquer entre eux.

L'après-midi, une variante de ce même exercice aura lieu, dans laquelle les bâtiments, en plus de patrouiller la zone de l'exercice, devront trouver puis arraisonner un navire intrus. Ce dernier sera le patrouilleur AGS Handel.

Le deuxième jour, lui, verra un exercice de ravitaillement ainsi que de protection du bâtiment ravitailleur : le TMS Vestur, et des navires se ravitaillant. Pour cela, les bâtiments quitteront leur base navale respective sans faire de plein, s'en éloigner le plus possible, et commencer l'exercice.
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Ceci suit le post du joueur de Tanksa.

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Ici AeR-200-1, à contrôle aérien militaire N-5, nous demandons une procédure de communication.

Ici contrôle aérien militaire N-5, procédure de communication validée et enclenchée. Nous vous recevons 5 sur 5, AeR-200-1.

Nous avons détecté une présence aérienne au niveau de la République Fédérale de Tanska. Une dizaine de chasseurs non identifiés s'approchent de notre position. Au vu de notre position, il est fort probable que nous ayons là des chasseurs Tanskiens. Attendons ordres.

Très bien, nous rentrons en contact avec le contrôle aérien Tanskien. Gardez votre position en attendant, et transférez ces ordres à l'intégralité de la flotte aérienne Loduarienne. Envoyez 3 chasseurs partir à la rencontre des chasseurs détectés pour identification. Terminé.

Reçu cinq sur cinq, nous transmettons et appliquons les ordres immédiatement. Terminé.


Après cette rapide communication entre la flotte aérienne Loduarienne et ses bases terrestres de contrôle aérien, 3 chasseurs de 3ème génération se séparèrent du convoi formé autour de l'AWACS pour partir à la rencontre des chasseurs détectés, et vérifier si il sont Tanskiens ou non.

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Ici Furtivision-Se6-2, à AeR-200-1. Nous approchons les chasseurs détectés pour identification. Nous débutons une manœuvre d'interception préventive. Terminé.

Les 3 chasseurs Loduariens se placèrent en retrait derrière les chasseurs détectés, tandis que le chasseur Furtivision-Se6-2 leur passait au dessus pour identification.

https://theaviationgeekclub.com/wp-content/uploads/2019/08/Su-27-F-16-1280x720.jpg

Ici Furtivision-Se6-2, à AeR-200-1. Nous validons l'appartenance des chasseurs détectés à la République Fédérale de Tanska. Ceux-ci ne nous semblent pas "très" hostiles, mais nous prenons garde. Ils semblent vouloir nous intercepter, au vu de leurs actuelles manœuvres. Terminé, nous retournons au convoi aérien.

Ici AeR-200-1, reçu cinq sur cinq. Nous communiquons vos informations au contrôle aérien terrestre. Sachez également que d'autres chasseurs viennent d'être détectés par le radar, et se dirigent vers votre position. Dépêchez vous de regagner le convoi aérien, terminé.


Après 3 petites minutes, les 3 chasseurs réintégrèrent le convoi aérien, pour se rendre compte que celui se faisait suivre de près par la chasse aérienne Tanskienne.
L'AWACS fini par recevoir une communication de la part du contrôle aérien terrestre.

Ici contrôle aérien militaire N-5, à AeR-200-1. Nous avons discuté avec le contrôle aérien Tanskien et ceux-ci vous demandent de bien vouloir vous poser sur un aérodrome Tanskien. La chasse Tanskienne vous accompagne.
Pour prévenir tout dérapage, la chasse de secours vient de décoller avec le Tola-11-1. Ne provoquez sous aucun prétexte l'aviation Tanskienne. Une fois à terre, restez polis et courtois. L'état major prend en charge le reste, considérez que vous avez le droit à une pause dans un pays étranger. Veuillez néanmoins à ne pas laisser ne serait-ce qu'une seule personne s'approcher de notre aviation sans autorisation préalable. La nation Tanskienne se doit respecter certaines conditions, comme votre libre circulation et communication, sinon quoi nous vous ordonnons de faire demi tour et de forcer le passage dès que la chasse de secours est arrivée. Nous transmettons les conditions à l'état major Tanskien. Si ils acceptent puis tentent de vous abbatre, vous avez quartier libre et la République Fédérale de Tanska s'exposera à une frappe de missile balistiques préventive. Transmettez ordres à l'intégralité de la flotte Loduarienne. Terminée.


Reçu cinq sur cinq. Nous transmettons ordres et appliquons. Terminé.

Ainsi, l'aviation Loduarienne ralentit son allure, afin de pouvoir, si les Tanskien acceptaient les conditions Loduariennes, se laisser escorter en Tanska.
Maintenant, la seule question qui se posait était celle-ci : les Tanskiens accepteront ils ?

Archives militaires secrètes a écrit :La chasse de secours décolle de l'aéroport militaire de Dolinne, et est constitué de :
  • 20 avions de chasse de 4ème génération
  • 5 chasseurs bombardiers de première génération
  • 1 avion de guerre électronique de première génération
  • 2 avions ravitailleurs de première génération (en retrait)
  • 5 missiles de croisière air-sol de première génération, placés sur les chasseurs bombardiers.
Ce convoi aérien emprunte le même chemin que l'aviation Loduarienne a emprunté pour le bombardement de l'Okaristan, jusqu'à Tanska.
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https://www.vol-avion-chasse.com/wp-content/uploads/2022/06/MiG-31-1.jpg

Comme promis, l'aviation Loduarienne se laissa escorter jusqu'à un aérodrome Tanskien, ou elle pu se poser, en attente de son départ.
Étrangement, les pilotes et soldats Loduariens ne se comportèrent pas comme des ordures finies, comme il était de coutume dans ce genre de cas là. En effet, l'action Tanskienne aurait pu être interprétée comme un détournement et une capture dans l'esprit des Loduariens, mais étrangement, cela ne le fut pas. Et pourtant, les Loduariens pouvaient se montrer extrêmement sensibles dans ce genre de cas là.

Plus à l'est, l'aviation Loduarienne de secours dépêché en cas d'urgence fait demi tour en direction de la Loduarie, notamment après la mise en "état de guerre préventive" par l'état-major, et surtout la mise en alerte maximale des forces de missiles balistiques Loduarienne.

Ainsi, l'état-major, après avoir été contacté par l'état-major Tanskien, justifia l'action Loduarienne par ces phrases :
"Nous avons du mener un assaut aérien d'urgence dans l'ouest de la Lutharovie, nation allié à la Loduarie. Un groupe terroriste à menacé de s'en prendre à une base militaire Lutharovienne, et pour économiser les pertes inutiles aux Lutharoviens, nous avons décidé de bombarder le basement terroriste en Lutharovie à la demande de la Lutharovie pour leur permettre de mettre hors d'état de nuire les terroristes qui menaçaient la sécurité de leur nation. Veuillez nous excuser pour la communication préalable absente sur cette opération, mais elle était nécessaire, dans le cadre de la guerre qui se déroule dans la nation voisine à la Lutharovie qu'est le Prodnov."

Ainsi, un important incident fut évité de justesse. Quand à la vérification de la véracité des faits évoqués par la Loduarie, c'est une autre.

Quoi qu'il en soit, la Loduarie se conformera aux exigences de Tanska pour repartir, tans que Tanska ne tente rien et n'oublie pas de prévenir Teyla que la situation de crise et finie.
Parce que les missiles Loduariens sont toujours en état d'alerte maximale.
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Après d'intenses réflexions internes, l'Etat-Major tanskien décida de mettre un terme à la crise et de laisser repartir les appareils un à un, tous escorté. La leçon avait été transmise aux Loduariens mais aussi le message pour le monde : on ne violerait pas l'espace aérien Tanskien et celui de l'OND comme on aurait pu le faire auparavant. On ne dérangerait pas non plus le calme et la stabilité de cette région de l'Eurysie. Quelque part, au ministère des Affaires étrangères, on espérait même pouvoir permettre à la Loduarie de trouver une porte de sortie en Okaristan, et de calmer ses ardeurs en Eurysie septentrionale.
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Dinner with an owl

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Le navire diplomatique était apparu un matin, silencieux comme un iceberg qui aurait dérivé depuis le nord lointain. Autour de l’indolent mastondonte tournaient à faible allure deux patrouilleurs et six navettes de la flotte noire. Les navires toutefois ne s’étaient pas trop rapproché des côtes tanskiennes. Cinq kilomètres tout au plus, juste assez pour que peu qu’un badaud se soit hissé sur la pointe des pieds il en aurait aperçu le pont supérieur, tout décoré de fleurs et de dorures rougeoyantes au soleil de l’aube.

C’était quinze jours plus tôt que le capitaine Kotka avait posé le pieds au Tanska. Surnommé « la chouette » il avait été des proches du Capitaine Mainio en son temps et fait carrière dans la diplomatie et les services secrets ce qui, au Pharois, allait souvent ensemble. La chute du Syndikaali l’avait forcé à la reconversion aussi d’ambassadeur s’était-il fait maître de cérémonie, d’aucun l'aurait qualifié d'entremetteur. Il organisait des soirées affriolantes où, en vertu des droits de la mer, on pourvoyait les désirs et les fantasmes les plus originaux, petite exportation des délices des ports-libres au large, les navires diplomatiques faisant office de morceaux de territoire pharois flottants qui embarquaient avec eux leurs lois et leurs mœurs.
A ces fêtes, on s’amusait, et on rencontrait des gens. C’était d’ailleurs leur unique véritable vocation. Aussi sûrement que le contrebandier pharois glisse sous les frontières des marchandises, Kotka y implantait des carrefours. Là, le criminel et le politicien se rencontrent, l’homme de la nuit et l’homme du jour, il y a des chefs d’entreprises, des mercenaires, des gens en quête d’argent et des gens qui en ont. On trouve de tout, sur un navire diplomatique pharois, chaque pont a son ambiance et chaque pièce ses secrets.

Allez savoir si le capitaine Kotka s’était rendu au large du Tanska sur ordre de quelque commanditaire ou s’il l’avait fait de sa propre initiative, mais le timing de son apparition, quelques jours seulement après les révélations de scandale de corruption impliquant des industriels tanskiens au Royaume de Teyla laissait peu de place au doute. Restait à savoir si le Pharois rendait la monnaie en symbole, ou s’il y avait là d’avantage matière à s’inquiéter. A inquiéter les autorités, tout du moins, car dans l’ombre des dîners et aidé par quelques amis intéressés et une fortune personnelle proprement faramineuse, le capitaine Kotka avait passé les derniers jours à distribuer des invitations sélectives.
Il allait se passer quelque chose sur le navire diplomatique, une fête à faire jaser toute la haute société ! Ceux qui étaient invités hésiteraient, bien sûr, mais comme ceux qui ne l’étaient pas seraient jaloux d’eux, ils iraient. Du moins l’espérait-on. Le Pharois était de ces nations archaïques qui aimaient à crâner. Trop d’argent dans les caisses et le goût immodéré des pirates pour le luxe et l’exotisme avait fait de la pointe d’Albi un coffre-fort géant où se thésaurisait à peu près tout ce qui s’importait de l’étranger, du pire comme du meilleur. Les capitaines arboraient les tenues à la dernière mode du Banairah, exhibaient des animaux exotiques, se plaisaient à caresser avec tendresse quelque ogive dérobé à une dictature lointaine ou fumer des herbes de Pădure. Pour deux pirates taiseux et austère, un flamboyait, et c’était assez suffisant pour projeter des ombres sur tous les alentours.

La promesse était alléchante, on allait s’amuser. Comme un écho sordide aux manœuvres de corruptions qui avaient touchées Teyla au détriment du complexe militaro-industriel, en tentant de repousser les Pharois, les Pharois, naturellement, s’invitaient. Et tout le monde se demandait un peu quand ils commenceraient à mettre les pieds sur la table. Douce excitation de l’interdit, délicieuse tension au goût de subversion.

Kotka avait délivré ses invitations, fait courir la rumeur, le bruit, et maintenant le navire était là, comme une promesse qui se réalise. Soudain, les choses prenaient un tournant plus tangibles et ce qui avait été jusqu’alors rien de plus qu’un vague fantasme, une hypothèse suspendu, prenait vie et forcément, on s’activait. On ne pouvait ignorer que des navires de guerres venaient de s’arrêter au large du pays, déclarant d’un ton laconique qu’ils n’étaient là qu’en guise d’escorte, que la Manche Blanche appartenait à tout le monde, après tout, et qu’il n’y avait pas de raisons de s’inquiéter, non, vraiment pas, nos deux pays sont amis n’est-ce pas ?
Si les officiers de bords répondirent aux militaires, ce fut Kotka « la chouette » qui répondit aux journalistes. De sa voix lente et satinée, il déclara que se tiendrait bientôt un dîner, une fête, comme celles du nouvel an, où les navires pharois tiraient en l’air des feux d’artifices et invitaient en longeant les plages de la Manche Blanche les habitants à se joindre à eux. Mais ce serait là quelque chose de plus intimiste. Pas une horde de pochtrons venus crier et chanter sur la mer noire, non quelque chose de raffiné avec du vin du sud et des fruits de Listonie. Quelque chose qu’on n’avait pas l’habitude de voir et pas envie de manquer non plus.

Comme on s’effleure lors d’un premier rendez-vous, Kotka avait parlé à l’oreille de la haute société tanskienne et son invitation à se revoir chez lui avait un parfum de premier baiser.
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Bonjour à tous nos éditeurs et auditrices, il est 9h et vous écoutez POV radio, la radio 100% Prodnov.

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Ce matin, nous vous amenons avec nous pour rendez-vous un peu particulier... Ensemble, nous partons à la découverte du siège de Staïglad. Après avoir été fouillés par les soldats, nous sommes accueillis par l’officier Kopeykin. Il a accepté de nous emmener en voiture visiter les positions de l’armée rouge qui encerclent Staïglad.

« Nous n’irons pas plus avant que la banlieue extérieure pour des raisons de sécurité. Toutefois j’ai l’autorisation de vous montrer un peu de notre logistique et de la vie quotidienne des soldats. Le GMDO a jugé utile que nos compatriotes soient tenus informés du déroulé des combats, avec le plus de transparence possible compte tenu des impératifs de confidentialités stratégiques qui nous sont imposés. »
Nous grimpons dans une voiture et remontons une allée de maison individuelles, aujourd’hui pour partie transformées en lieux de stockage. En chemin, d’autres véhicules militaires nous croisent, les hommes à bord se fendant d’un salut. L'officier plaisante sur ce va-et-vient.

« Le quartier n’a jamais été aussi animé. C’est un endroit tranquille, mais un peu moins depuis qu’on s’y est installé. La principale difficulté logistique que nous rencontrons c’est la densité urbaine, Staïglad est une grande ville, très étalée, ce qui élargi d’autant la ceinture du siège. Ca va que nous avons beaucoup d’hommes sans parler des volontaires Pharois, mais on ne peut pas garder toute la banlieue comme une forteresse. L’état-major a décidé de constituer des camps retranchés et de combler les espaces entre chaque avec des patrouilles. »
Nous demandons s’il n’existe pas par hasard d’autres camps non officiel pour prendre l’ONC par surprise, l’officier Kopeykin ne répond pas mais sourit. L’armée rouge tire avantage des infrastructures industrielles et commerciales qui ont été désertées très tôt et ont l’avantage de disposer de garages et de bâtiments opérationnels pour les militaires, ainsi que de sous-sols.

« Nous ignorons le détail du matériel de l’ONC, ces lieux ne sont pas adaptés pour essayer des tirs de roquettes ou pire, de missiles. De manière générale, notre meilleure sécurité reste l’anonymat de ces grandes surfaces. L’ennemi n’a pas assez de munitions pour se permettre de les gaspiller au hasard donc nous restons mobiles au maximum malgré notre position d’assiégeants. »
De ce que nous voyons, les activités du camp sont pour beaucoup occupées par de la logistique et du repos.

« Le gros de notre travail est un travail de patrouille. Les unités spécialisées dans la reconquête du terrain sont des commandos peu nombreux entraînés à frapper l’ennemi à l’improvise dans une logique de guérilla. Il y a tout un no man’s land entre l’ONC et nous où ont lieu la plupart des escarmouches, chaque camp sait qu’il serait suicidaire de tenter de prendre d’assaut les retranchements de l’autre.
Cette situation ne risque-t-elle pas de poser un risque d’enlisement ?

« Si mais c’est un siège, le temps est une arme à part entière, tout ne va pas se régler par une grosse bataille décisive en rase campagne. En soit ce n’est pas forcément dérangeant d’un point de vue tactique, contrairement à l’ONC nous ne risquons pas de mourir de faim ou de soif mais c’est pour les civils à l’intérieur que tout le monde s’inquiète. Les putschistes se sont déjà probablement arrogé les réserves de nourriture et d’eau. Ce qui est particulièrement cruel car dans le même temps ils refusent de laisser les habitants fuir la ville, ils savent que sans eux pour leur servir d’otage, nous les anéantirions en quelques jours. »
L’ONC est en effet connue et redoutée pour son attitude particulièrement barbare à l’encontre des populations civiles qu’elle asservie sans scrupules. Esclaves au service du capitalisme étranger dans la RLP sous occupation, chaire à canon et boucliers humains en temps de guerre. Une doctrine qui révulse profondément l’officier Kopeykin.

« Contrairement à la plupart des armées du monde, l’armée rouge est une armée révolutionnaire, c’est-à-dire que toute notre doctrine place en priorité absolue la sécurité des populations civiles. A quoi bon reprendre Staïglad en l’anéantissant ? Nous sommes ici pour libérer les Prodnoviens de l’assujettissement inique de l’ONC, pas pour conquérir un charnier. »
Les ordres du camarade Malyshev sont clairs en effets, dans son discours aux armées, ce-dernier rappelait que la guerre au Prodnov était une guerre de reconquête de souveraineté populaire, or pas de souveraineté sans peuple. Dès lors, sauver un maximum de civils a été dès le départ la raison d’être de l’armée rouge, quitte à retarder les offensives contre les positions de l’ONC.

« Nos soldats sont formés à agir toujours avec prudence, y compris dans des situations extrêmement tendues. Lorsque nous pensons qu’il existe un risque réel de blesser des civils ou de causer des victimes collatérales, nous préférons souvent prendre du recul ou attendre des unités spécialisées dans la reconnaissance ou pour contourner les forces ennemies. Je ne lance jamais mes hommes dans la mêlée si des concitoyens à nous pourraient s’y trouver pris entre deux feux. »
Une politique qui fait ses preuves au regard de la colonne de réfugiés passant chaque jour de Staïglad au couloir humanitaire supervisés par les Pharois.

« Les gens sont en confiance, ils savent que nous sommes là pour les aider. La plupart ont perdu beaucoup c’est vrai, obligés de quitter leurs foyers, certains ont des membres de leur famille qui ont été assassinés par l’ONC mais tout le monde se comporte avec beaucoup de dignité et d’humanité. Il y a beaucoup d’entraide, des personnes qui prises dans l’individualisme et l’égoïsme capitaliste ne se seraient pas parlé hier, aujourd’hui elles s’entraident. Le siège est un drame, mais dans on y voit aussi malgré tout de belles choses. Plus que jamais cela me fait aimer ce pays et son peuple, et cela nous renforce tous dans notre devoir de les protéger coûte que coûte. Pour les arracher à la mort et à la barbarie. »
Comme en écho aux paroles de l’officier Kopeykin, un bambin s’approche de notre voiture pour nous offrir des biscuits. L’officier refusera, la nourriture est précieuse et les enfants plus que tout autre ont le droit de manger à leur faim. Nous reprenons notre route, les yeux peut-être un peu plus humides.

« S’il arrive qu’on doive pilonner un bâtiment à distance, nous prévenons toujours à l’avance de nos tirs. Cela permet aux gens qui s’y seraient potentiellement réfugiés de le quitter. C’est donner un avantage à l’ONC bien sûr, mais cela vaut mieux que de tuer les nôtres. Même si cela m’en coûte, je préfère épargner la vie de dix de ces chiens si c’est le prix à payer pour sauver un Prodnovien. Ils ne peuvent de toute façon pas s’échapper éternellement, nous gagnons du terrain à chaque heure. »
Cette doctrine qui revient souvent à se priver de l’initiative ne présente-t-elle toutefois pas des risques, notamment pour la sécurité des soldats ?

« Bien sûr, mais un soldat Prodnovien doit être prêt à mourir pour protéger un innocent. Tous ceux qui s’engagent dans l’armée rouge savent qu’ils ne reviendront peut-être pas, mais s’ils venaient à tomber, ce serait au nom de la liberté contre les tyrans et de la fraternité du genre humain. Regardez ces visages à la fois graves et souriant : chaque militaire qui se trouve à Staïglad sait qu’il officie au service des plus humbles. Sauver un seul innocent, c’est déjà sauver toute l’humanité. »
On sait que l’ONC n’a pourtant pas de tels scrupules, cela ne risque-t-il pas de provoquer une asymétrie entre les deux camps ?

« Les putschistes continuent leur entreprise macabre à Staïglad, après avoir assassiné de nombreux civils lors du coup d’Etat, ils se servent maintenant des survivants comme boucliers humains contre nous, retenant en otage de nombreux innocents dans le but de nous empêcher d’assiéger leurs retranchements. J’ai vu de mes propres yeux des femmes et des enfants ligotés sur une barricade, des soldats de l’ONC tirant par-dessus leurs épaules pour nous empêcher de riposter. C’est effroyable de barbarie mais somme toute peu surprenant en vérité. Certes c’est une tragédie humaine et cela complique indiscutablement nos opérations, néanmoins en adoptant de telles méthodes, l’ONC se décrédibilise durablement aux yeux du reste du monde et aux yeux des Prodnoviens. Le soutien de la population civile pour notre cause grandit de jour en jour tandis que pour leur part, seule la force et la terreur leur permet de garder la main mise sur certains quartiers. Nous devons redoubler de prudence pour ne blesser aucun innocent, quitte parfois à céder du terrain, mais nos soldats sont compétents et courageux, ils remportent malgré tout des batailles stratégiques contre ces couards. »
Avez-vous des exemples d’éxactions ? pour que le peuple se rende compte de ce que nous combattons.

« Oui. Des images terribles. Nous savons de source sûre qu’un bâtiment du centre-ville sert de prison où des dizaines de jeunes enfants ont été enfermés pour servir de moyens de pression sur leurs familles. Des mères et des pères transformés en bombe humaine par désespoir, parce qu’on leur a dit que leurs fils et leurs filles seraient assassinés s’ils ne commettaient pas d’attaques suicide contre nos soldats. C’est ce genre d’abomination auxquelles nous sommes confrontés chaque jour. Nous soupçons par ailleurs d’autres sévices commis par les soldats sur les enfants mais… je n’élaborerai pas. »
Nous comprenons.

« Tout ce que les Prodnoviens ont besoin de savoir, c’est que nous combattons ces monstres avec une ténacité proportionnelle à leur barbarue. Le mal sera bientôt expurgé du Prodnov et nous libérons chaque jour de nouveaux compatriotes. Nous devons penser aux victimes, mais aussi célébrer nos victoires, toujours plus nombreuses. L’aube se lève sur le Prodnov. »
Nous concluons notre tour sur ces paroles prophétiques, convaincus d'une chose : l'armée rouge n'a pas usurpé sa réputation d'être l'armée la plus droite du monde.

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10/11/2012 - POV POThttps://www.zupimages.net/up/23/23/9pmc.png

Bonjour à tous nos éditeurs et auditrices, il est 10h et aujourd’hui avec POV POT on apprend une super recette de cuisine traditionnelle pour se régaler ce midi ! super facile, super bon, pour déjeuner comme un vrai Prodnovien !

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Mais d’abord, qu’est-ce qu’on prépare ? On va tester un plat traditionnelle prodnovien – ne dites pas ça à un Lutharovien, ça pourrait le vexer haha ! – le Borscht ! un soupe aux légumes et à la viande, ça se mange chaud quand les températures commencent à baisser dehors ; mais sachez qu’une version froide existe également pour l’été. Plat très courant, très apprécié en Eurysie du nord-est, c’est un vrai petit plaisir pour les papilles et surtout c’est délicieux. On part sur un temps de préparation d’une heure environ, un peu plus si vous cuisinez en famille, et environ une grosse heure de cuisson. Eh oui c’est ça la bonne cuisine : ça prend du temps !

Alors de quoi est-ce qu’on a besoin ? Prenez un papier et un crayon, c’est parti pour la liste de courses !

Pour quatre personnes, vous aurez besoin de trois poireaux, deux navets, un oignon. Trois poireaux deux navets un oignon. Une gousse d’ail, plus cinq carottes et une branche de célerie sans oublier clous de girofle, sel et poivre. On aura également besoin de deux betteraves, c’est comme ça que c’est bon, cinq tasses de haricots blancs, un chou blanc, du concentré de tomate et du jus de citron ! Pour le calcium des os : une tasse de crème fraiche et un yaourt nature pour épaissir. Pour les viandes on aura besoin de cent-clinquantes grammes de lard fumé, cent-clinquantes grammes de saucisses fumées, cinq-cents grammes de poitrine fumée et cinq-cents grammes de plat de côtes.

Eh bien ! sacré pot au feu hein ! Bien sûr toute la recette se trouve rédigée sur le site internet de POV, https://pov.pot.recettes.gouv.pv donc pas de panique si vous n’avez pas eu le temps de tout noter.

Pour commencer, versez deux litres d’eau froide dans une casserole avec le plat en côtes. Vous allez faire chauffer jusqu’à ébullition, à ce moment-là ajoutez le bœuf. Pendant ce temps, on coupe tous les poireaux, les oignons, les navets, l’ail, les carottes et le céleri et on va les ajouter au bouillon avec du sel, les clous de girofle et des aromates. Laissez mijoter trois heures environs.

Une demi-heure avant que tout ne soit cuit, commencez à râper le chou, les betteraves et les haricots. Coupez le lard fumé en petit morceaux et faites le revenir dans une poêle avec de l’huile d’olive. Ajoutez le dans le bouillon avec les légumes et le reste de la viande. Plus qu’à patienter encore une grosse demi-heure en laissant mijoter à feu moyen et, dans les cinq dernières minutes, ajoutez le jus de citron.

Et voilà, vos efforts ont payés ! Reste maintenant à servir comme un pot au feu en ajoutant par-dessus un soupçon de crème fraiche et de yaourt. Si vous aimez manger à la prodnovienne, vous pouvez également ajouter des pommes de terre cuites à la vapeur et quelques cornichons pour l’acidité ! Un vrai régal décidément.

On vous souhaite bien sûr un bon appétit parce que nous on va se régaler !

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17/11/2012 - Point Of Viewhttps://www.zupimages.net/up/23/23/9pmc.png

Grands froids : l'occasion pour les Prodnoviens de ressortir leurs luges !

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Misha et Anna
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L'hiver n'est pas encore arrivé au Prodnov mais les récentes et intenses chutes de neige qu'a connu le pays en ce début novembre ont vu fleurir dans les villages les raquettes, skis de fonds et surtout la très populaire luge pour dévaler les collines !

Au Prodnov, pays agraire connu pour ses vastes champs de blé, les premières neiges ne sont pas synonymes de vacances pour la paysannerie et les agriculteurs qui ont fort à faire pour se préparer à passer l'hiver. Mais pour leurs enfants, c'est une autre histoire ! Alors que les paysages prodnoviens blanchissent à vue d’œil, une petite promenade à la campagne suffira pour constater le charmant spectacle des bambins dévalant à toute allure les hauteurs vallonnées. Ici, il s'agit presque d'un sport national mais réservé aux enfants car les neiges d'automne ne permettent pas encore de supporter le poids d'un adulte.

Reconnaissable à son nez recourbé, la luge traditionnelle prodnovienne n'a jamais vraiment réussi à être produite à grande échelle et pour cause : solidement taillée en bois de pin, elle se fabrique, se répare et se lègue en famille. Héritage du siècle dernier, la fabrication de jouets en bois était l'une des manières, pour les prodnoviens vivant à la campagne, de s'occuper l'hiver faute d'accès à la télévision ou (encore moins) à internet. Le savoir faire s'est popularisé et transmis au fil des ans, si bien qu'on voit un peu partout ces luges aux formes caractéristiques de nos régions. Il faudra toutefois avoir l'oeil vif car elles ne sont pas pourvues de frein et malgré les recommandations des parents, il n'est pas rare de voir les mômes dévaler dessus à toute allure, quitte à parfois finir dans le fossé.

Des gadins sans gravité la plupart du temps, heureusement, grâce à la neige épaisse qui amorti les chocs. Les chutes ne semblent toutefois pas donner froid aux yeux à deux de nos aventurier du jour : Misha et Anna !

- Bonjour Misha, bonjour Anna.

« Bonjour Nikolaï Yakovitch ! »
- Eh, appelez-moi Kolya ! Alors vous êtes sortis faire de la luge aujourd’hui !

« Oui ! »
« On a le droit l’après midi après manger. »

- Oh ça c’est gentil de la part de vos parents de vous laisser sortir comme ça. Et vous habitez loin d’ici ?

La petite Anna nous désigne les fumées du village de Bogoroditsk, visibles depuis l’autre côté de la colline.

« Là-bas. »
- Et votre maman ça ne lui fait pas peur de vous voir aller à toute allure comme ça ?

Le garçon hausse les épaules.

- D’accord Misha et alors est-ce que vous allez vite là-dessus ?

« Super vite ! »
- Super vite comment ?

La petite hésite, c’est son frère qui s’empresse de nous répondre :

« Comme un renard ! »
- Comme un renard ?

« Comme une renard ! »
- Alors ça ! Et dites voir Misha et Anna, vous me la prêtez votre luge que je puisse allez aussi vite que vous moi aussi ?

Ils rient.

« Nooooon ! »
- Oh allez !

En riant :

« Mais c’est pas pour les adultes ! »
- Ah non ?

« C’est pour les enfants ! »
- Je suis un enfant moi aussi ?

En riant toujours :

« Noooon ! »
- Bon c’est vrai j’ai menti, vous me montrez comment vous allez vite ?

On verra effectivement Misha, debout à l’arrière de la luge, et sa petite sœur Anna cramponné devant descendre à toute vitesse. Une fois arrivés en bas, ils nous font signe avant de rejoindre d’autres enfants affairés plus loin, eux aussi à descendre la colline.

Depuis quelques années, la luge fait son grand retour en force au sein de la société prodnovienne mais pour des raisons quelques peu inattendue. Dans un territoire encore aujourd'hui très centralisé, l'ex régime communiste prodnovien avait mis en avant la figure du fonctionnaire et de l'ouvrier, toujours idéalisé dans un environnement moderne et urbain. Une politique qui mena à délaisser légèrement la paysannerie et les campagnes, considérées comme relativement arriérées et moins susceptibles de développer une forte conscience de classe. Cette dichotomie demeure encore aujourd'hui avec parfois un certain mépris des citadins pour leurs compatriotes habitants des villages, souvent plus pauvres et vivant dans un quotidien moins confortable, plus éloigné des infrastructures publiques, fer de lance de la modernité communiste. La luge, parce qu'elle n'est praticable que dans les champs enneigé, est devenue le symbole d'une forme de revanche du modèle de vie campagnard, par rapport au mode de vie urbain.

Une fracture qui pourrait toutefois fondre comme neiges au printemps avec le développement progressif du tourisme vert et d'un désir perceptible et grandissant des habitants des grandes villes de profiter de congés et week-ends à la campagne. Une transformation du paysage prodnovien retardée par la guerre, mais qui progresse néanmoins à mesure que certains oblasts autrefois délaissés font l'objet d'une politique d'investissements privés de la part d'une classe moyenne désireuse de dépenser son épargne.

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Le Norjien International - TANSKA

Tribune d'Angel Rojas, Premier ministre du Royaume de Teyla.
Pour un rapprochement !


Par Angel Rojas (Manticore), le 18 novembre 2012

Illustration
Image d'Illustration.


Citoyens Tanskiens,

Si je prends la liberté de m'adresser à vous, ce n'est pas seulement au nom de l'histoire qui nous rassemble au sein des organisations internationales, ou lors des très nombreuses missions humanitaires. Ce n'est pas non plus uniquement au nom de l'amitié qui lie nos nations, nos peuples, nos cultures. Si je m'adresse à vous, c'est parce qu'il y a une opportunité unique à saisir. Une opportunité pour un rapprochement mutuel, pour développer une relation au-delà de ce qu'elle est. Une opportunité pour permettre une meilleure qualité de vie à nos peuples et sur les continents sur lesquels est ancrée votre République. La République où le soleil et la liberté ne se couchent jamais.
Une coopération internationale plus poussée.

L'Eurysie est le premier symbole de cette opportunité. Le continent Eurysien fut pendant longtemps dominé par la guerre et par une vision de la diplomatie par le rapport de force, c'est en grande majorité encore le cas comme le démontre la vision du pouvoir des autorités Loduariennes ou encore la guerre civile qui secoue le Prodnov. L'Espace Noor(d)croen a permis, à des nations qui étaient en mauvais termes, il y a deux siècles ou au siècle passé, de s'entendre, de se réunir et construire un espace de paix. L'Espace Noor(d)croen à créer un rapprochement avec la libre-circulation des personnes et des biens culturels. L'ouverture de L'Espace Noor(d)croen a d'autres continents, dont certains peuvent s'en méfier à juste titre, à créer une opportunité et des risques. Parmi les opportunités, nous retrouverons un partenaire fiable de nos deux nations, le Duché de Sylva, ainsi l'ouverture culturelle permise favorisera un rapprochement. Les craintes, sont importantes, l'économie du Duché de Sylva, subit une inflation, qui est au regard des premiers rapports, est exponentielles. Le ralentissement économique qui suit annonce un choc pour les économies des états-membres de L'Espace Noor(d)croen. La libre-circulation, en fonction de l'évolution de la politique gouvernementale ( impots, etc ), du chômage, et des produits touchés par l'inflation, pourrait entraîner des milliers de Sylvois à la migration et ainsi fragiliser encore plus durement l'économie sylvoise qui était sur le point de manquer de main d'œuvre. Avec le vote à l'unanimité, les problèmes de blocage au sein de l'institution peuvent advenir sur des sujets cruciaux. Mais je vois surtout au sein de L'Espace Noor(d)croen un manque d'ambition et de proposition. Pourquoi un tel arrêt ? Dont nous, avouons que la République de Fédérale de Tanska, a été force de proposition. Une question doit être débattue. Est-ce que L'Espace Noor(d)croen doit se limiter à la libre-circulation des biens culturelles et des personnes ?

Et si nous discutons ? Le gouvernement de Sa Majesté, souhaite ne pas voir la paralysie atteindre toutes les composantes de L'Espace Noor(d)croen, ainsi, il veut que L'Espace Noor(d)croen ne se limite pas à la libre-circulation des biens culturelles et des personnes. Il souhait aider son partenaire, le Duché de Sylva sur les sujets économiques, pour que l'Espace Noor(d)croen soit une réussite. La proposition de la République Fédérale des Tanska, concernant l'avion est une proposition intéressante. Le Royaume de Teyla trouve que l'écologie doit être mieux prise en compte dans la proposition. Nous ne voulons pas restreintes l'accès des métropoles aux outre-mers. Il serait injuste de penser ainsi. Le Royaume souhaite ainsi baisser les prix des billets de toutes les destinations outre-mer métropoles et inversement pour tout citoyen des états-membres, sans aucune contrepartie. Les liaisons métropoles pourraient être concernées, si un fond de subvention de train est créé. Comme vous le voyez, la vision teylaise diverge de la vôtre chers Tanskiens. C'est pourquoi je vous propose de nous réunir, afin de discuter d'une proposition commune, mieux d'un texte commun sur ce sujet-là.

Et si nous discutons bis ? Précédemment, j'ai évoqué les problèmes et les forces de l'élargissement de L'Espace Noor(d)croen. Ainsi, je vous propose de nous réunir pour bâtir une réponse aux problèmes économiques qui pourraient être posés, afin de bâtir une proposition et/ou position commune. Cela devra s'étendre au-delà de L'Espace Noor(d)croen. Nous devons prendre en compte l'aspect stratégie avec l'Organisation des Nations démocratiques. Avons-nous les moyens de production, économiques, politiques et militaires pour faire face à une crise, qu'importe sa nature, qui paralyserait les capacités de production de l'un de nos membres ? La réflexion doit être engagée quand nous savons les capacités de production du complexe militaro-industriel des nations comme l'Alguarena ou encore le Grand-Kah. La Loduarie Communiste est tout autant une menace sécuritaire pour le Royaume de Teyla et pour la République Fédérale de Tanska. L'indépendance d'une région de l'Okaristan, assurément conquis par les forces militaires Loduariennes, en est la preuve. Le régime loduarien autoritaire, meurtrier, s'autorisera toutes les actions qui permettront de déstabiliser le continent Eurysien.

De la réflexion mutuelle à une réponse commune.

En effet, la Loduarie menace tout le continent Eurysien, si nous voulons que les objectifs de l'Espace Noor(d)croen soit atteint, nous nous devons de trouver une réponse commune envers la Loduarie Communiste à tous les niveaux. Tout d'abord, la réponse doit être politique, même si celle-ci ne sera pas compliquée à trouver au regard de la propagande du régime, qui semble digne de la compétence d'un diplomate Communaterros. La propagande du régime étant inexistante dans les pays étrangers, la question trouvera réponse. Malgré tout, nous devons en parler, dans le cas où la politique étrangère du régime change et se concentre de plus en plus vers la propagande. Nous devons trouver une réponse militaire efficace et stratégique en lien avec l'Organisation des Nations Démocratiques. Je propose ainsi, la tenue d'un rendez-vous des acteurs et industries de la défense des membres de l'Organisation des Nations Démocratiques afin que les entreprises puissent présenter les dernières innovations, derniers produits. Ainsi, le forum économique des acteurs de la défense se passerait à Manticore. Le complexe militaro-industriel doit être compétitif en dehors des états-membres, et doit conquérir de nouveaux marchés, afin que celle-ci puisse augmenter ses capacités d'investissement dans la recherche & le développement.

La réponse, pour améliorer nos capacités de défense contre la Loduarie et ses alliés ( parfois de circonstances ) doit advenir dans une stratégie globale de défense. Nous savons que la négociation avec le Régime Loduarien, n'amène à rien. En-dehors de voir en Lorenzo un homme qui ne jure que par la force brute et militaire, aux dépens des populations civiles. Nos deux nations, par leurs proximités entre elles, et par rapport à la Loduarie Communiste et la région indépendante en Okaristan où parade l'armée Loduarienne, doit permettre le rapprochement de nos pays, de nos armées. Nous devons discuter d'un programme commun de planification des marines nationales. Au nom de Teyla, mon gouvernement mène une révolution dans le domaine militaire. Ainsi le budget du ministère de la Défense et des Armées Teylais a augmenté jusqu'à battre des records. Une planification commune permettrait à nos nations d'instaurer les bases d'un dialogue nécessaires entre nos industriels. Le symbole politique serait fort, sans remettre en cause la souveraineté de quiconque. Ces politiques, si elles aboutissaient, amèneraient à un renforcement de nos nations, pour permettre la défense ce que nous défendons depuis toujours. La défense de la liberté, la justice, la démocratie et le dialogue. Nos modèles reposent sur la diversité des opinions, de la création, la liberté de l'homme ne l'oublions pas, pour mieux le défendre dans ses faibles.

La souveraineté, un impératif.

Les propositions que je vous soumets, ne peuvent pas être contre la volonté populaire. Elles ne doivent pas se faire contre la démocratie, mais pour et avec la démocratie. C'est cela notre force, comparé aux régimes auxquels nous opposons. Nous devons impérativement incorporer les corps sociaux qui composent nos sociétés, dans les discussions en plus des institutions nationales, propres à chacune de nos nations.

La souveraineté passe par plein de composantes de nos sociétés. Le contrôle des frontières, le contrôle de la qualité des biens importés, l'économie, la sécurité et la défense, la démocratie. C'est en réunissant tout cela que nous avons permis à nos nations d'être souveraine. Nos économies ont un taux de croissance conséquent. Nous nous retrouvons avec la seizième et dix septièmes économies mondiales. Cela est une des très nombreuses preuves, que nos économies sont en bonne santé. Nous avons de soif de réussite et d'excellence qu'importent les domaines. C'est pour cela que ma détermination ne baissera jamais.

Des liens culturels.

L'histoire nous apprend que nous avons toujours eu des liens. Parfois des liens forts, pourtant, il n'existe pas de grandes associations culturelles entre nos associations. Ainsi, je propose la création d'un haut conseil à la culture Teylo-Tanskien. Il sera destiné à créer un lien entre tous les pans de nos sociétés civiles, encourager les initiatives teylo-tanskienne culturelles tout en conseillant les gouvernements et les assemblées de nos pays respectifs sur la politique culturelle entre nos nations.

Nous pouvons que rendre hommage à l'homme Francis Tormod, le célèbre écrivain teylo-tanskien mort il y a déjà dix ans. Un homme qui a passé sa vie à écrire, sur nos pays par des romans ou en décrivant chacune des cultures. Un homme qui fut un pont entre nos pays, un médiateur entre deux cultures. Pour le dixième anniversaire de sa mort, douloureuse pour tous, je propose la création d'un prix de littérature Teylo-Tanskien. Ainsi, le prix récompensera deux auteurs, un de chaque nationalité. La commémoration de sa vie, passe aussi par un homme national commun et unique. Digne de l'homme qu'il était, unique et commun à la fois.

L'humanitaire, une valeur commune.

Liberté, action, échange et défense. Nous devons bâtir sur ces piliers un rapprochement entre nos deux nations. Nous ne pouvons pas laisser les forces étrangères, ennemies attiser la mort sur le globe. Nous ne pouvons pas n'ont plus laissé l'Eurysie à la merci de la guerre. Notre soif de liberté est une exigence d'action et d'acte fondateur. Nous ne pouvons pas et nous ne devons pas laisser la pauvreté et la misère gagner l'Eurysie et le Prodnov. En pleine guerre civile, la population est livrée à la guerre, proposons et faisons une mission humanitaire commune. Le monde connaît nos nations pour les actions humanitaires que nous entreprenons. Il pourra qu'applaudir, cette audace, d'une mission humanitaire commune. Il verra des nations qui regardent la souffrance des populations et qui agissent, prennent des décisions honorables et humaines.

Pouvons-nous étendre cette proposition ? Ainsi, je vous propose la création d'un groupe inter-étatique et ministériel pour qu'en cas de mission humanitaire menée par l'un de nos états, soit établi un contact automatique afin d'informer le second état. Cela aura pour but de renforcer la force des missions humanitaires en renforcement les moyens accordés à celles-ci. La création du groupe, améliora la coopération, sur le terrain, de nos associations et ONG respectives.

Citoyens Tanskiens, je me tiendrais toujours aux côtés de la République Fédérale de Tanska, qu'importent les épreuves que nous devons franchir. Aucune force, si obscure, soit-elle, ne pourra détruire le lien qui lie nos nations.

ANGEL ROJAS
1582
Catégorie : RP avec importance

25/11/2012, 08 heures et 33 minutes
Dans les eaux ouest de l'Okaristan

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Les navires Loduariens détectèrent un signal radar inhabituel, situé plus à l'est qu'eux.

Des navires Tanskiens. Cela aurait pas dû m'étonner, hein ?

L'Amiral Rostin gromellait dans sa barbe. Il avait déjà bien assez de choses à faire et à gérer sans que des Tanskiens viennent l'emmerder.

On a un schéma de leur parcours ?

Ils semblent patrouiller, Camarade Amiral. De ce qu'on peut voir, et déduit des renseignements de l'état-major, on a une carte hypothétique de leur déploiement. Visiblement, ils restent à une assez bonne distance de nos navires et de notre blocus, juste assez prêt pour nous apercevoir, voir nous surveiller.

Bien. Quels sont les appareils engagés en face ?

Si on se fie à ce qu'on voit au radar, 4 navires de surface, dont 2 corvettes, 1 frégate et 1 patrouilleur. Sans oublier un nombre conséquent d'aéronefs, dont un avion de guerre électronique.

Soit. Faites envoyer immédiatement 2 de nos chasseurs Furtivision-Se7 en reconnaissance, ainsi que le destroyeur Galkovine. Il faut vérifier qu'il ne soit plus qu'ils ne le disent, et déterminer les moyens exacts. Oh, et demandez spécialement au destroyeur Galkovine de leur faire quelques petits coups de pression. Comme leur foncer dessus, par exemple.

Demandez également à l'état-major l'évaluation d'un renforcement de nos forces, immédiatement.


Très bien Camarade Amiral, je transmets vos ordres et demandes immédiatement.

Quelques minutes plus tard, 2 avions décollaient du porte-aéronefs Loduarien, tandis que le destroyeur Galkovine, conçu pour la lutte anti-sous-marine, allait faire pression sur les Tanskiens et vérifier qu'aucun sous-marin ne faisait partie du dispositif.
Un bras de fer commencait.
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Opération Bilimorsky (Manche Blanche en langue francasilica)

Operation Bilimorsky

Parallèlement à sa politique régionale en zone Leucytalée, la Trépublique de Manche Silice a jeté son dévolu sur la zone Manche Blanche voilà deux ans. Adhérente à l'Espace Noordcroen, elle comptait bénéficier de retombées économiques immédiates, mais le harcèlement militaire mené par la Loduarie contre Teyla et la guerre au Kolcovo (Okaristan) nuisent aux échanges commerciaux. L'activisme militaire de la Loduarie porte préjudice aux intérêts de la Manche Silice.

D'ordinaire, les superpuissances militaires laissent peu de marge à Lorenzo, mais cette fois-ci, le dictateur a les coudées franches. La Manche Silice et plusieurs États côtiers de la Manche Blanche ont décidé de mettre le holà. Suite à l'officialisation de l'opération Elapidia par le Tanska, l'Etat major siliquéen, sur proposition du Triumvirat, a décidé de l'envoi de bâtiments et de soldats en soutien. Ces troupes pourront, le cas échéant, se mettre directement sous le commandement de la Défense tanskienne en cas d'escalade.

Matériel et forces déployées :

Le Serdok et Le Medvek, deux corvettes (lvl 1) et leurs équipages respectifs de 100 marins.
Opatrovnik 23 et Opatrovnik 34, deux navires patrouilleurs (lvl 1) et leurs équipages respectifs de 25 marins.
Un porte-hélicoptère Triumlodz (lvl 2) transportant deux hélicoptères d'attaque Vážka (lvl 4) soit environ 300 hommes.
Le sous-marin d'attaque Notre-Dame du Rocher (lvl 1) avec à son bord 50 militaires.
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