🎬 Festival international de cinéma - Villablanca 2012

Festival international de cinéma 2012




Modalités du festival


À chaque nouvelle édition du festival international de cinéma sont récompensées les plus belles œuvres du septième art et mise à l’honneur les productions télévisées des deux années précédentes. Cette année, le festival s’installe à Villablanca, Malévie. À l'issue du festival, une cérémonie de clôture décerne quatre grands prix :

🏆 Prix du meilleur film de fiction
🏆 Prix du meilleur documentaire
🏆 Prix de la meilleure série télévisée
🏆 Prix de la meilleure fiction d’animation (film ou série)

L’attribution des prix sera déterminée par un vote de tous les joueurs validés de Geokratos, qui pourront voter pour trois productions maximum (en attribuant respectivement 5, 3 et 1 point) pour chacune des quatre catégories ci-dessus. Nous rappelons que, conformément aux règles, il est demandé de voter en tant que joueur, et non en tant que pays, que les considérations diplomatiques inRP ne doivent pas intervenir dans votre choix et que les amitiés ou inimitiés éventuelles ne doivent pas influencer votre vote.

Les productions victorieuses seront affichées pour l’éternité dans un sujet approprié et un Hall of Fame distinguera notamment les acteurs et réalisateurs les plus en vogue.


Comment participer ?


Tous les joueurs validés de Geokratos peuvent inscrire leurs productions à la suite de ce message, via un formulaire ci-dessous. En outre quelques règles sont à respecter :

• Chaque joueur peut faire concourir, toutes catégories confondues, jusqu’à 10 productions. Pour plus de lisibilité, ne postez qu'un seul formulaire par message.


• Votre production doit être le fruit de votre imagination. Si vous pouvez vous inspirer de l’existant, vous devez absolument y apporter votre propre plume. Les copies trop flagrantes de films, documentaires ou séries qui existent IRL seront disqualifiées.


• Vous pouvez contribuer jusqu’au 24 février 2024, 23 heures. Les formulaires envoyés après cette date ne seront pas comptabilisés. Vous n'êtes donc pas obligé de poster vos productions les unes après les autres, vous pouvez le faire tout au long du laps de temps qui vous est donné.


• Votre film, documentaire ou série peut être co-produite par plusieurs pays dont le vôtre si cela est cohérent. Mais alors, le formulaire comptera pour 1 production sur les 10 autorisées pour chacun des pays producteurs mentionnés.


• N'hésitez pas à faire intervenir des acteurs qui ont déjà joué dans de précédents films, si vous avez participé aux éditions de 2004, 2006 et/ou 2008 !


• Le vote interviendra à partir du 24 février 2024, après 23h, selon les disponibilités de la modération.

Formulaire à remplir


[b]Pays producteur(s) :[/b]
[b]Catégorie :[/b] À choisir entre : Film de fiction / Documentaire / Série télévisée (non animée) / Film ou série télévisée d’animation

[b]Nom de la production :[/b]
[b]Affiche ou visuel :[/b] Facultatif – À défaut d’une affiche, vous pouvez illustrer le formulaire avec un visuel/une capture d’écran de votre production prise à un moment donné. Attention à ne pas poster des images trop grandes.
[b]Genre ou thème abordé :[/b] Comédie ? Drame ? Autre ? Ou sinon, quel thème est au centre de votre production ?
[b]Synopsis ou résumé :[/b] Laissez cours à votre imagination et décrivez votre production. Aucune longueur maximale, dans la limite du raisonnable (on ne demande pas un résumé complet), mais une longueur minimale de quelques lignes requise.
[b]Commentaire :[/b] Facultatif - Si vous voulez joindre des anecdotes, des critiques parues dans la presse, ou tout élément susceptible d'intéresser le lecteur.

[b]Société de production ou Producteur :[/b]
[b]Réalisateur :[/b] Peut être également le producteur.
[b]Acteurs principaux ou notables :[/b] Nom des acteurs et le personnage qu’ils jouent entre parenthèses. Pour les documentaires, ce critère s’applique seulement s’il y a un intervenant notable. Pour les séries télévisées d’animation, ce critère n’est pas applicable, sauf si vous jugez important de mentionner les acteurs qui prêtent leur voix dans la version originale.
[b]Date de sortie :[/b] Nécessairement entre le 1er septembre 2008 et le 31 août 2012. Les séries télévisées doivent être au moins partiellement diffusées entre ces deux dates.
Vous pouvez aménager ce formulaire à votre convenance et lui donner une esthétique particulière, tant que tous les critères obligatoires y figurent.


Vous avez jusqu’au 24 février 2024. Bonne chance !

Pays producteur(s) : Union Confédérale d'Astérie
Catégorie : Film de fiction sur faits réels

Nom de la production : Celui qui ne voulait pas
Affiche ou visuel :

Tournage sur le toit d'un immeuble de Forbonne

Genre ou thème abordé : Drame / Récits de guerre
Synopsis ou résumé :

Année 2001.

La Funtalie, aujourd'hui l'une des 13 régions autonomes d'Astérie, est en pleine anarchie. Et pour cause : la guerre d'indépendance contre l'Empire Listonien bat son plein, plus personne ne gouverne, plus aucune loi n'est de vigueur. Les soldats impériaux sont partout, commettent les pires exactions imaginables, tandis que les rebelles font exploser partout les symboles du pouvoir. Les morts, sur l'île ainsi que sur la partie continentale, se comptent par dizaine, voire centaine de milliers, tant les combats urbains sont rudes.

La Listonie avait envoyé un corps expéditionnaire conséquent pour mater la rébellion. Beaucoup d'entre eux en profitèrent pour multiplier massacres, viols, vols. Mais l'un d'entre eux, João Possão, fils d'un général listonien qui ne jurait que par le sang, avait été envoyé ici contre son gré, son père ayant l'espoir qu'il s'endurcisse. Au cours d'un raid censé détruire un QG rebelle important, il fit la connaissance d'une jeune femme funtalienne, Maria.

Celle-ci, accompagnée de son nourrisson d'à peine trois mois, s'était réfugiée dans une cave, espérant se protéger des bombardements et des immeubles qui s'effondraient sans cesse. De plus, elle essayait à tout prix de protéger son enfant des soldats ; ceux-ci avaient déjà froidement assassinés son autre fils, de huit ans, quelques heures plus tôt. Elle n'allait pas tarder à faire la connaissance de João, qui se réfugia également dans cette même cave, horrifié.

Le film retrace tour à tour la peur de Maria envers le soldat listonien, puis les débuts d'une histoire d'amour. Entre un soldat désireux d'échapper à une guerre injuste, une femme dont toutes les actions étaient faites pour protéger son dernier enfant, et le combat de toute une communauté contre un oppresseur, l'Empire.

Le film se termine un an après la victoire des rebelles et à l'adhésion de la Funtalie à l'Union, ainsi que sur des scènes de liesse d'un mariage entre un ancien soldat nouvellement astérien et une femme tentant d'oublier les horreurs de son passé...

Commentaire : Le réalisateur, Bernardo Capri, est un ancien rebelle funtalien, ayant perdu la moitié de sa famille lors de la guerre d'indépendance. Cette histoire est à la fois une histoire personnelle (même si l'histoire d'amour est complètement fictive), et une histoire commune, celle du peuple funtalien. A travers cette oeuvre, Capri désire critiquer indirectement les actions de la Listonie. Le film, qui est sorti juste après les horreurs commises à Port-Hafen, a trouvé un écho formidable, dépeignant sans le vouloir l'actualité.

Société de production ou Producteur : C'est la Vie (nom de la société de production)
Réalisateur : Bernardo Capri
Acteurs principaux ou notables : Mateo Fuesoa (soldat listonien), Angelina Pinada (Maria), Roberto de Naro (père de João).
Date de sortie : 24 mars 2011

Pays producteur: Fujiwa.
Catégorie : Film d'Animation.

Nom de la production : Suna

Visuels:

Genre ou thème abordé : Art cinématographique / Film d'auteur / Philosophique / Existentialiste -> (Suna ne rentre pas dans les genres traditionnels).

Synopsis ou résumé : Dans un univers oscillant entre réalité et imagination, le monde se révèle être une vaste succession de steppes, déserts, collines et montagnes, tous dépourvus d'humanité, de bâtiments et de vie. À l'exception de quelques communautés humaines ou de solitaires, le passé demeure inconnu, car seul le présent suscite de l'intérêt. Suna, un film d'animation contemplatif fujiwan, sans grandes prétentions, suit le parcours d'une petite poignée de personnages portant un poids émotionnel et psychologique notable. Il s'agit de survivre, de mener sa vie du mieux possible, de combattre à bord d'un vaisseau de fortune, de se prendre pour un mercenaire. Dans ce monde, les notions de morale et de normes ont disparu, et chacun vit sa vie comme il le peut.

Le film débute par un panorama tranquille, où chaque plan de scène est une œuvre d'art contemplative. Les dialogues sont rares, laissant la bande sonore douce et les visuels saisissants parler d'eux-mêmes. Dans cette quiétude, quelques communautés éparpillées offrent un contraste frappant avec l'immensité déserte qui les entoure. Ces poches d'humanité servent de refuges dans un monde autrement vide, soulignant l'absurdité et l'impermanence de l'existence. Au cœur de Suna se trouvent des personnages dont les parcours individuels incarnent la philosophie du film. Chacun d'eux, portant un poids émotionnel et psychologique, navigue dans ce monde à sa manière. Certains cherchent à survivre, d'autres à donner un sens à leur vie dans un monde dépourvu de normes morales. Leurs histoires se croisent et se séparent, illustrant la nature éphémère et transitoire de la vie.

Suna se déroule comme une série de moments capturés, chacun reflétant l'idée de vivre pleinement l'instant présent. Les scènes, bien que simples, sont chargées d'un sens profond, poussant les spectateurs à l'absurdité du monde et sur la beauté de l'impermanence. Suna est une expérience cinématographique qui n'essaie pas de répondre aux grandes questions de la vie, mais plutôt d'inciter à les vivre telles qu'elles se présentent, sans suranalyse. Dans ce voyage visuel et sonore, Suna offre une méditation sur l'existence, invitant à une introspection silencieuse. C'est un film qui parle à l'âme, encourageant chacun à trouver son propre chemin dans un monde qui semble parfois dépourvu de sens.


Société de production ou Producteur : Studio 22s
Réalisateur : Kazuo Migakimasu.

Date de sortie : Le film Suna est sortie dans les salles fujiwanes le 10 mars 2012. Puis le 20 mars 2012 dans les salles nazumies. Et la date du 03 avril 2012 pour une sortie à l'international.

Pays producteur(s) : Tsarat Constitutionnel du Rus've
Catégorie : Film de fiction basé sur des faits réels.

Nom de la production : Niedergard
Affiche ou visuel :

Genre ou thème abordé : Le thème au centre de cette production est la guerre, celle de 1921-1933 contre l'Okaristan.
Synopsis ou résumé : Yurij est un jeune et frais Rus've qui vient fièrement d'obtenir sa majorité. Au fond de son cœur ce qu'il voulait par dessus tout, c'était de s'engager volontairement pour son pays, pour le défendre de l'Okaristan. La guerre faisait déjà rage depuis quelques années, mais la mort de son frère n'a pas été un évènement qui l'a dégoûté, cela n'a fait qu'augmenter sa hargne et sa volonté de s'engager. Contre l'avis de ses parents il s'engage sans leur autorisation dans l'armée du pays avec quelques uns de ses amis, mais à peine arrivé au front : la désillusion est énorme, le front Nord est bien plus dur que ce qu'ils pensaient. Ils vivent l'enfer sur terre pendant une longue guerre, avec des pertes et des désillusions... Le film montre toutes les horreurs de la guerre, sans aucune limite, le film est d'ailleurs limité par des restrictions d'âge strict de part sa violence si réaliste qu'on la croirait réelle.

Le film ne va pas réellement crescendo quant à son intensité, dès le début on se retrouve plongé dans l'univers des atrocités de la guerre. Le film est très apprécié pour son réalisme, qui donne une réelle impression d'immersion, comme si le spectateur participait à cette guerre, sans pour autant trop les impliquer. Un film qui raconte une histoire terrible et déprimante qu'est celle de la guerre.

Après avoir perdu tous ses amis au front, Yurij finit par lui aussi perdre la vie, laissé pour mort alors qu'il n'était que blessé, à quelques minutes de la mise en application de l'armistice... Scène qui en a fait pleurer plus d'un...

Commentaire : Décrié pour ses inexactitudes historiques par les historiens Rus've, le réalisateur a fait un communiqué lors d'une conférence de presse pour leur rappeler qu'il s'agit là d'une fiction avec des faits exagérés, et que l'histoire est basée sur des faits réels.

Société de production ou Producteur : Dream Studio, avec le soutien et la participation financière de Lunar TV Productions
Réalisateur : Mikheyev Yevgeniy
Acteurs principaux ou notables :
- Kosmin Troester, dans le rôle de Yurij, qui est perçu comme un grand espoir du cinéma de part son jeu d'une qualité exceptionnelle.
- Dragomir Nistor, dans le rôle du meilleur ami de Yurij qui l'accompagne tout le film jusqu'à lui aussi perdre la vie. Très bon acteur sans pour autant avoir une renommée exceptionnelle.
Date de sortie : 12 Décembre 2011.

Pays producteur(s) : Grande République de Velsna
Catégorie : Huit-Clos, drame historique (Catégorie film de fiction)

Nom de la production : Le Dîner d'un fratricide
Affiche ou visuel :




Genre ou thème abordé : Le bien public, la vertu et la morale en politique...

Synopsis ou résumé : Au début du XVIIème siècle, Velsna est sous la coupe du tyran Giacommo Squillaci, Maître de l’Arsenal de la cité. Celui-ci, depuis l’assassinat du Patrice par ses soins, gouverne sans partage la cité, terrorisant les autres patriciens de la ville, usant de la terreur comme arme politique.
Son frère, Lorenzo Squillaci, dit Lorenzino est l’un de ses outils, sa chose pourvoyant aux besoins de toutes ses demandes les plus scandaleuses et contre-nature. Planifiant les assassinats des riches marchands de la cité et les enlèvements des jeunes femmes qui ont eu le malheur de croiser Giacommo dans la rue et d'attirer son interêt. Lorenzino est l’individu le plus détesté de la Velsna, n’ayant aucune sorte de qualité humaine que l’on espèrerait trouver chez un homme. Mais un jour, Lorenzino reçoit l’invitation d’un vieux sénateur, Girolamo Bari, seul à seul. Méfiant au premier abord, Lorenzino, dans un élan de défi et de curiosité doublés du mépris de la perspective de sa propre mort, accepte finalement. Le Dîner commence…et il durera une nuit entière.

Sur place, Lorenzino est accueilli avec les plus grands égards. Mais très rapidement, le repas prend une tournure inattendue. Girolamo lui avoue la raison de son invitation : il lui demande de tuer son propre frère. Dans un premier temps, ce dernier s’emporte et refuse vivement. Moqueur envers ce vieil aristocrate qu’il menace bien volontiers de le faire écarteler dés qu’il sortira de cette pièce, il est néanmoins retenu par Girolamo. Ce dernier lui avoue que Lorenzino est indirectement responsable, à travers l’un de ses ordres, de la disparition et la mort de sa fille. Amusé par la perspective de diner en face d’un homme qui a été victime de ses méfaits, il reste.

Commence alors un long échange entre les deux hommes. Girolamo tente tous les moyens rhétoriques pour convaincre son interlocuteur de commettre le crime de fratricide. La discussion devient tour un débat sur le bien public, sur le salut de l’âme, sur la condition misérable dans laquelle Lorenzino est en réalité auprès de son frère, qui se sert de lui davantage comme un animal que comme un individu à part entière : « Aucun Homme n’est autre chose qu’un animal hors du cadre de la cité, Lorenzo, et ton frère t’a privé du droit de figurer parmi nous, tes concitoyens. », « N’as-tu donc pas une pensée pour ce qui t’arrivera après ta mort ? »… Lorenzino commence à fléchir sous le poids des arguments de Girolamo au fur et à mesure que le film se déroule.

De plus en plus acculé, Lorenzino argumente sur le besoin (égoïste de son propre aveu) de préserver sa propre vie, qui est l’élément de son existence qui a toujours motivé toutes ses décisions (en contradiction totale avec la posture désinvolte adoptée au début du film vis à vis de la mort). Car si Giacommo mourrait, les citoyens de Velsna auraient pour premier réflexe de tuer le « bras du crime » de son frère : lui. Lorenzino se condamnerait dans le pire des cas à la mort, et dans le meilleur des cas la vie de paria exilé de la cité. Giacommo ne le contredit pas, et promet juste de lui éviter « le pire des cas ». Au moment du dessert, il lui donne ainsi le choix entre sauver sa cité et « vivre en animal docile ». Le diner se termine, Lorenzo Squilacci en sort profondément perturbé.
Le film se termine par un fondu au noir alors que la porte du logis de Girolamo se ferme, après que Lorenzo a quitté son interlocuteur, et une citation historique en voix off de Girolamo Bari clos le film : " Ainsi, je vis s’éloigner le bras du crime et du vice de mon logis, en espérant, en priant pour que mes suppliques deviennent une réalité. Je prie dieu toute la nuit. Et au lever du jour, la cité fut sauvée par celui qui avait autrefois été l’un de ses fossoyeurs. J’ai eu justice pour ma fille, et Lorenzino redevint Lorenzo, et obtenu la paix de son âme."


Commentaire : Ce film reprend l’un des mythes politiques les plus populaires de Velsna, celui de Lorenzo Squillaci. Il s’agit là de la 12ème interprétation de ce rôle dans le cinéma velsnien. Néanmoins, les évènements relatés dans le film sont de l’ordre de la fiction et le personnage de Girolamo Bari n’a jamais existé.

La sortie du film a vu un certain nombre de polémiques éclater. En effet, le rôle principal présente des ressemblances physiques troublantes avec le frère de l’actuel Maître des Balances Matteo DiGrassi. Si le réalisateur n’a pas daigné faire de commentaire, le film a en effet une portée politique, d’autant qu’il sort dans un contexte de crise institutionnelle à Velsna et que beaucoup de propos sont transposables dans le contexte actuel. Les accusations d'apologie de l'assassinat politique ont également marqué la promotion du film. Cela n’a pas empêché la production d’être le plus gros succès au box-office velsnien pour l’année 2012 jusqu’à maintenant.


Société de production ou Producteur : Laurenti Alfonso Inc.
Réalisateur : Alessandro Savonarole
Acteurs principaux ou notables :
- Mattia Paulo, dans le rôle de Laurenzino, pressenti pour obtenir l'ours d'or de Velsna pour sa performance.
- Gabriele Tomassino, dans le rôle de Girolamo.
Date de sortie : 2 février 2012.

Pays producteur(s) :Royaume Stargray Islamique d'Esmea
Catégorie : Documentaire

Nom de la production :Pourquoi Nous
Affiche ou visuel :
Genre ou thème abordé : Drame
Synopsis ou résumé :
Dans ce documentaire puissant et inoubliable, trois journalistes intrépides, Ahlam Belghiti, Husain al-Bacho et Amellal Ag Elwafil, nous transportent au cœur des déchirures du Gondo, une nation ébranlée par des décennies de guerre civile.
L'histoire se déroule à travers les yeux d'une famille courageuse, les Valensi, composée de huit membres tentant de survivre dans un pays en proie au chaos. Les parents, porteurs des souvenirs d'une époque révolue, guident leurs cinq enfants à travers des paysages dévastés, tandis que le grand-père, témoin silencieux de l'histoire tourmentée du Gondo, incarne la résilience face à l'adversité. Les journalistes capturent la vie quotidienne de cette famille sous un angle unique, mêlant des moments d'intimité poignants avec des scènes de conflit d'une intensité viscérale. Des images captivantes dépeignent les contrastes frappants entre la beauté naturelle du Gondo et les cicatrices infligées par la guerre. Vous allez découvrir des paysage magnifiques enrôler eux aussi dans la guerre sous les yeux d'enfants qui oublierons que leurs pays était autrefois beau.
Le récit s'approfondit en explorant les racines complexes du conflit, remontant aux jours de la colonisation eurysienne et aux luttes intestines qui ont éclaté dès les premiers moments de l'indépendance. Des événements inédits, révélés par des témoignages poignants, illustrent comment des visions politiques divergentes et des rivalités ethniques ont transformé cette terre en un champ de bataille constant sans perdre de vue la famille qui essaye d'élever leurs enfants et qui ont ouvert la seule chose qui leurs reste au 3 journalistes, LEUR FAMILLE.
Le documentaire évoque également des éléments surprenants, tels que des rencontres fortuites avec des personnages marquants de la résistance locale, des moments de solidarité inattendue au milieu du désespoir avec des liens très forts former entre les deux groupes de personnes malgré leurs différences ethniques et religieuses. Alors que la famille Valensi navigue à travers ces tumultes, le spectateur est confronté à des dilemmes moraux complexes et à des réflexions profondes sur la nature humaine.
"Pourquoi Nous" va au-delà de la simple documentation du conflit, élevant le genre du documentaire à une œuvre d'art émotionnelle. C'est une plongée profonde dans la psyché d'une nation en souffrance, soulignant l'urgence de comprendre et de réagir face à cela.
Commentaire : Dans le silence poétique de la narration, elle transcende les frontières et les différences pour offrir une méditation profonde sur la nature humaine et la tragédie des conflits. Ce documentaire captivant, réalisé par trois journalistes intrépides, nous emmène dans un voyage déchirant à travers une guerre civile dont les échos résonnent au-delà des terres du Gondo.

Société de production ou Producteur :réaliser indépendamment mais montage et assemblage par le financement de l'états et la boite de production "Al-Andalus Productions"
Réalisateur : Les trois journalistes
Acteurs principaux ou notables :

Ahlam Belghiti d'origine de Khalia, Iondalbon, Royaume Stargray Islamique d'Esmea.

Husain al-Bacho de Syenas, Esmea, Royaume Stargray Islamique d'Esmea.

Amellal Ag Elwafil de Oldelham, Carva, Royaume Stargray Islamique d'Esmea.

Date de sortie : 21 Mars 2012 sur la chaine Al-Nahar.

Pays producteur(s) : Manche Silice
Catégorie : Documentaire

Nom de la production : Silicinema


Genre ou thème abordé : Documentaire humaniste et social centré sur le quotidien d'une personnalité

Synopsis ou résumé : Lorsque à l'automne 2008, la Manche Silice et en particulier la région du Pays Minier accueille 315 000 réfugiés en provenance de la zone kaultho-valheimienne, personne ne songe alors à une immigration définitive. Les barrières linguistiques et culturelles avec les siliquéens semblaient alors infranchissables. Si ces communautés ont fait souche dans les principales métropoles en constituant leurs îlots avec des écoles, des commerces (cf la Petite Aphalstèmes à Meulière, la Petite Sudein à Calepleine ou le quartier Arovaquien de La Source), d'autres ont délibérément quitté ces aires à fort peuplement pour s'installer dans les campagnes du nord Ostremont.

C'est le cas de Renato Gotze, qui a lancé une entreprise de messageries précaire dans une région délimitée par le triangle Villefranche-Valladou-Gornaskie. Avant de quitter son Saftar natif, ce quinquagénaire à la carrure imposante gagnait sa vie grâce à de petits trafics. À son arrivée en Manche Silice, il se fait la promesse de ne pas tomber à nouveau dans la délinquance. Avec ses maigres économies et son clan, il commence une activité de colporteur et se rend avec un vieux camion dans les villages pour troquer des marchandises. Le commerçant se débrouille tant bien que mal avec ses notions de Salvonipe (la langue principalement parlée dans cette région). Malgré ses difficultés à s'exprimer, il s'est attiré les sympathies des locaux, peu habitués à voir des étrangers.

Commentaire : Ce documentaire de 65 minute a été diffusé à la télévision sur ManCanal TV à une heure de grande écoute au printemps 2012. Il a contribué à changer le regard de l'opinion publique sur les minorités kaultho-valheimiennes principalement perçues comme réfractaires à l'intégration.

Société de production ou Producteur : Silicinema
Réalisateur : Romano Partanas - 53 ans
C'est la première fois que Partanas s'attaque au genre documentaire après une carrière essentiellement passée dans le domaine de l'animation.
Acteurs principaux ou notables : Renato Gotze (personnage principal), puis personnages secondaires par ordre d'apparition Antoine Berzerk, Georg Heine, Maximilian Schtuber, Daniel Jacobek, Demetrius Abarton et Appolonia Nemec
Date de sortie : 12 juin 2012

Pays producteur(s) : Malévie
Catégorie : Film de fiction

Nom de la production : Les remords de l'ambition
Affiche :
Genre ou thème abordé : Drame romantique, Essai historique

Synopsis:
Le cinquième film de Miro Cadiz, Les remords de l’ambition, raconte l’histoire de deux étudiants à Valenzano, qui se rencontrent quelques mois après la fin de la guerre civile et qui se confrontent avec leur passé. Révolutionnaire Scariste, Alina (Anna Cavalieri) a connu la persécution pendant la lutte d’indépendance et le passage à l’acte violent pendant la guerre civile. C’est une réalité qu’elle ne confronte qu’avec son inconscient, derrière le bouclier idéologique, jusqu’à ce qu’elle rencontre Malos (Matias Herrera), avec lequel elle entame une relation intime. Au fil de l’automne, elle apprend que la famille entière de Malos a été massacrée par la guerre. Pire, lorsqu'elle retrace ses actions pendant l’événement, elle se rend compte qu’elle aurait pu éviter le sort cruel de la famille de Malos. Sa confession est d’autant plus déroutante car Malos ne l'anticipe pas. Cependant, au lieu de la fuir, il tente de la comprendre et fera même intervenir le psychanalyste reconnu Gustavo Iriel (Emile Inverno)...

Commentaire :
Le nom de Miro Cadiz, acclamé par le cinéma d'auteur malévien pour ses productions délicates, fera sans doute sa première impression sur la scène internationale avec ce film, son premier sélectionné au Festival International de Cinéma. Avec son cinquième long-métrage, il ajoute une nouvelle oeuvre à sa filmographie qui met en scène une partie de l'histoire malévienne que le public préfèrerait oublier. À travers de personnages intransigeants, le réalisateur arrive à produire une réflexion philosophique rigoureuse, sans pour autant ennuyer le spectateur. La performance d'Anna Cavalieri rèvele d'un grand talent polyvalent et mature; Matias Herrera est magistral en tant qu'amant desespéré; Emile Inverno livre une prestation inattendue mais solide.

Sociétés de production : Cinemalevia et Cinevar
Réalisateur : Miro Cadiz

Acteurs principaux ou notables :

- Anna Cavalieri (Alina)
- Matias Herrera (Malos)
- Emile Inverno (Gustavo Iriel)

Date de sortie : 15 août 2012

Pays producteur(s) :Royaume Stargray Islamique d'Esmea
Catégorie : série télévisée d’animation

Nom de la production :2666: Traque Mortelle
Affiche ou visuel : Genre ou thème abordé :la série d'animation est un sous-genre de la science-fiction qui se déroule dans un futur dystopique où la technologie et le fantastique a pris le dessus sur la société et l’a divisée en classes pour les riches et les pauvres. Le genre examine fréquemment la réalité virtuelle, le vise des élites, l’intelligence artificielle et comment la technologie et le surhumanisme affecte les gens.
Synopsis :
En 2666, la ville de Jadri est le centre névralgique du Ichmihaz, un pays riche et puissant, mais aussi corrompu et violent. Jadri est divisée en deux zones : la haute ville, où vivent les élites et les fusionnés, des humains qui ont noué avec un métal spécial qui leur donne un pouvoir élémentaire, et la basse ville, où s’entassent les pauvres et les marginaux, victimes de la répression et de l’exploitation. Khalil est un homme de presque 30 ans qui vit dans la basse ville. Il a noué avec un de ces métaux spéciaux, mais il n’a aucun pouvoir. Il est considéré comme un raté, un paria, un inutile. Il survit tant bien que mal en faisant des petits boulots et en évitant les ennuis. Un jour, alors qu’il est forcé de déménager de son appartement familial pour vivre dans la rue, il trouve un des rares objets appartenant à son père, un carnet contenant beaucoup d’informations sur des groupes illégaux de fusionnés et leurs affaires (trafic de drogue, d’êtres humains, d’organes, vol, braquage, terrorisme…) et plusieurs informations sur les autorités et les grandes têtes de la ville. Le lendemain, alors qu’il emballe ses affaires, il croise le chemin de Lila, une fusionnée refoulée qui essaye d’échapper à une des organisations illégales parmi tant d’autres mentionnées dans le carnet. Ensemble, ils se lancent dans une quête pour dévoiler la vérité et affronter les forces qui manipulent la ville.
Commentaire :Une bande son originale qui vient envelopper un histoire émouvante et captivante animée d'une manière unique mêlant photoréalisme dans un fond 2D et vis versa avec des personnages gris et complexe et des retournement de situation excitantes, c'est une série addictive qui donne à chaque épisode son temps de gloire et sa scène mythique avec un fin satisfaisante laissant des idée pour un possible saison 2. (le résumé des 12 épisodes)

Société de production ou Producteur : produite par Sparkle est diffusée initialement entre avril et juillet 2012 sur la chaîne national au royaume.
Réalisateur : Birama Denon
Acteurs principaux ou notables : l'actrice en vogue en se moment dans le royaume, Laila Al-Rashid, a prêter sa voix un l'une des personnages secondaires.
Date de sortie : debut de la diffusion en avril 2012 avec un épisode par semaine jusqu'en mi-mai à l'épisode 6 puis une pose de 2 semaine avant de continuer la diffusion des 6 autres épisode jusqu'à mi-juillet avec un épisode finale spéciale de 1 heure au lieu des 35 minutes habituelles.

Pays producteur : La République des Ouvriers
Catégorie : Documentaire

Nom de la production : L’étoile rouge
Affiche ou visuel :

Genre ou thème abordé : La révolution bolchevique en Littore et le combat de Karlos Marx

Synopsis ou résumé : Dans le pays de Littore au XVII eme siècle l’heure est à la révolution industrielle. De nouvelles machines de plus en plus extravagantes apparaissent dans le pays. De nouvelles choses inimaginables deviennent réalité grâce à ces machines. Ces rêves merveilleux ont pourtant un lourd tribus qui est invisibles pour les plus riches, mais il se fait fort ressentir pour l’ouvrier qui travaille jusqu’à la tombée de la nuit dans des usines avec des conditions intolérables. Ces ouvriers qui travaillent si durement sont très peu payés et risque tous les jours leur vie, car les machines à vapeurs sont très dangereuses et un accident peut si vite arriver. Voyant ces conditions infâmes le philosophe communiste Karlos Marx déclenche une révolution dans le pays, une révolution qui met en valeur l’ouvrier et le peuple si souvent oublié par les despotes et les riches. Un combat sanglant démarre alors entre la royauté et le peuple qui ne cessa qu’après un an de misère. C’est donc cette période très importante pour la République des Ouvriers qui est racontée et illustrée avec des images réelles et des reconstitutions. Ce documentaire parlera de comment Karlos Marx a réussit à réunir le peuple derrière lui mais aussi toutes les souffrances que le peuple a dû éprouver pendant cette période.

Commentaire : Ce documentaire a déjà gagné plusieurs concours dans la République des Ouvriers.
Société de production ou Producteur : Ivan Tchekov
Réalisateur : Ivan Tchekov
Mis en voix : Ivan Tchekov, Boris Fedorov, Mikaïl Gorbatch et Nicolaï Strogatski.
Date de sortie : 9 juillet 2009

Pays producteur(s) : Grande République de Velsna
Catégorie : Film de fiction

Nom de la production : Léandre en flammes

Affiche ou visuel : Affiche du film

Séquence du film mettant en scène Taddeo, le capitaine de la garde Léandre
Genre ou thème abordé : Péplum, drame historique, romanesque (catégorie film de fiction)

Synopsis ou résumé : Le film débute avec le défilement de ce carton : « Au XVIème siècle, se dressait au sud d’une péninsule l’une des plus puissantes Républiques maritimes d’Eurysie : l’orgueilleuse Léandre. Mais après des années de luttes, les armées de Fortuna s’apprêtaient à livrer la dernière bataille de ce qu’on appellera plus tard les « guerres de Léandre », contre la cité qui lui avait résisté des siècles durant. C’est au cours de ces évènements dramatiques que se situe notre récit. »

Les troupes fortunéennes débarquent dans la péninsule de Léandre, ne dévoilant pas encore pleinement leurs intentions de détruire la cité, demandant dans un premier temps des otages des bonnes familles landrines et aux habitants de livrer leurs armes et leurs derniers navires. Au même moment, ces demandes suscitent de vifs débats parmi les citoyens de la cité et ces deniers sont partagés. Certains veulent lutter jusqu’à la mort tandis que d’autres sont encore persuadés de pouvoir négocier avec les fortunéens, quitte à accepter de quitter leur cité en échange de leurs vies.
Le podestat de la cité, Idilmo, est déchiré entre ces tendances et paralysé par l’indécision. D’autres personnages, comme Taddeo, le chef de la garde de la Léandre, sont favorables à la proposition des fortunéens de reconstruire la cité plus loin dans les terres. Cependant, ce dernier est convaincu par son épouse, Imilce, d’abandonner cette idée. Parmi les membres de sa garde, le jeune Alfonso, qui vit une idylle avec la fille du podestat Idilmo, Fulvia, et ne démordant pas de sa certitude que la cité s’apprête à disparaître, est condamné à l’exil. Il doit alors abandonner Fulvia à son sort dans la cité, mais commence à élaborer un plan pour l’en sortir avant que cette dernière ne tombe. Ce dernier trouve alors le moyen de se faire enrôler dans les troupes fortunéennes pour avoir l’opportunité d’approcher de nouveau Léandre.

Alors qu’enfin, le général fortunéen ordonne formellement aux habitants de la cité de se disperser pour que la destruction de Léandre puisse se faire, le podestat Idilmo refuse. Le siège est alors mis devant la ville, qui rapidement commence à ressentir la faim. La situation des landrins devient désespérée. C’est à l’occasion d’une ronde de nuit, à la veille de l’assaut final sur Léandre, qu’Alfonso en profite pour s’échapper de sa colonne pour se glisser dans la cité assiégée. Il y retrouve Fulvia, qu’il réussit à convaincre de quitter la ville par le port. Au matin, les fortunéens déclenchent leur assaut et réussissent à submerger les remparts. Landrins et fortunéens se battent rue après rue et maison après maison. Alors que les deux amants parviennent à s’emparer d’une galère et à forcer le blocus du port, Taddeo, sa famille et le reste de la garde se barricadent au sommet de la colline de Byrsa. Le courage de ce dernier finit par fléchir et demande un sauf-conduit pour lui et sa famille auprès des fortunéens. Apprenant sa trahison, son épouse égorge ses propres enfants devant ses yeux et se précipite dans les flammes, le maudissant :
« Je ne te souhaite, ô fortunéen, que tous les malheurs car tu ne fais qu'abuser des droits de la guerre. Mais je prie le dieu auquel je crois et toi-même de punir, comme il se doit, Taddeo, qui a trahi sa cité, sa femme et ses enfants. »

Le film se termine par une séquence de la galère d’Alfonso et de Fulvia, s’éloignant des rivages de Léandre, en flammes.


Commentaire : Cette production reprend dans les codes du peplum velsnien des années 50-60, les évènements historiques de la chute de Léandre par les fortunéens. Il s'agit d'une volonté de retour aux sources d'un genre cinématographique délaissé pendant des années par le cinéma velsnien. Certains plans et séquences sont directement inspirées d'anciennes productions que les connaisseurs du genre se presseront de compter.

Malgré un succès critique au pays, le film a été un échec commercial, en particulier du fait de son budget prohibitif à l’échelle de l'industrie du cinéma velsnien. Cependant, Léandre en flammes a obtenu un succès relatif en Manche Silice et à Fortuna.
Société de production ou Producteur : Laurenti Alfonso Inc.
Réalisateur : Carmine Gallone
Acteurs principaux ou notables :
- Lorenzo Raggi, dans le rôle de Taddeo
- Virginia Esperi, dans le rôle d'Imilce
- Francesco Edoardo, dans le rôle d'Idilmo
- Antonio Ascari, dans le rôle d'Alfonso
- Valeria Armando, dans le rôle de Fulvia
Date de sortie : 12 octobre 2010

Pays producteur(s) :Royaume Stargray Islamique d'Esmea
Catégorie : Série télévisé d'anthologie

Nom de la production :SCP
Affiche : Genre ou thème abordé : Horreur, Dramatique, Gore, Psychologique, Science-Fiction.
Chaque épisode offre une plongée profonde dans les thèmes de l'horreur psychologique, de la moralité en période de crise, et de l'inévitable confrontation avec l'indicible. Le genre horrifique est utilisé pour explorer les aspects les plus sombres et mystérieux du monde SCP, tout en mettant en lumière les dilemmes moraux et les questionnements philosophiques induits par ces anomalies anormales.

Synopsis :
"SCP" plonge les spectateurs dans les profondeurs obscures du monde des SCP (Sécurité, Containment, Protection), où des objets, entités et phénomènes anormaux sont étudiés et contenus par une organisation secrète. Chaque épisode explore le Lore complexe et terrifiant d'un SCP particulier, en suivant différents personnages et points de vue dans une anthologie unique.
Résumé :
Épisode 1 - Ce qui se cache dans l’ombre (SCP-087)Épisode 1 - Ce qui se cache dans l’ombre (SCP-087)

En 2010, Des étudiants qui explorent en cachète leurs Campus de ██████ dans la ville de ██████, remarquent une porte jamais vue ouvert de tous leurs parcours scolaire dans le campus et décident de le forcer et tombe sur un escalier dont ils ne voient pas le bout, ils commencent à descendre pour voir ou il peut mené et découvrant des horreurs indicibles au fur et à mesure qu'ils s'enfoncent dans les ténèbres. Des bruits de chuchotement d'enfants, des ondes radios, la lumière des téléphones aspirer et atténuer ainsi que des sourires et des regards fixant les adolescents. A la fin de l'épisode, initialement 6 à être descendu, seulement 1 seule réussi à s'enfuir grâce a des personnes ,qui semblent être du gouvernement, l'on aider à sortir, à leurs tête l'agent L.Mahmut qui, avec son équipe, scelle la porte à tous jamais à l'abri des regards.
Épisode 2 - Je ne reconnais pas les corps dans l’eau (SCP-2316)Épisode 2 - Je ne reconnais pas les corps dans l’eau (SCP-2316)

En 1962, l'Agent D. Mahmut et son équipe de la Fondation SCP sont dépêchés d'urgence pour enquêter sur une petite ville isolée, où un lac mystérieux semble exercer une attraction sinistre sur les résidents locaux. Les habitants, troublés, signalent avoir vu des corps flotter à la surface du lac, des corps qui étrangement ressemblent à ceux de leurs proches décédés. L'épisode explore les efforts de l'équipe pour résister à l'influence du lac tout en tentant de comprendre la nature du SCP. Des tensions internes surgissent au sein du groupe alors que certains membres commencent à succomber à l'illusion des retrouvailles avec leurs proches décédés. Les protagonistes se retrouvent confrontés à des choix déchirants entre la réalité et la tentation morbide du lac. Vers la fin, l'agent Mahmut essaye d'empêcher le soldat Sarah d'approcher mais il a la tue en lui tirant dessus par accident avant que les spécialistes viennent, isole le lac et le classe comme Ketter avant de renvoyer l'agent en chef Mahmut et lui efface la mémoire.
Épisode 3 - il y'a 12 ans (SCP-2935)Épisode 3 - il y'a 12 ans (SCP-2935)

En 2012, au cœur d'une petite ville paisible à Rasken, Eurysie, un groupe de scientifiques géophysiciens et géologues découvre l'entrée d'une grotte calcaire cachée sous un ancien cimetière de l'ancien régime, qui semble être intentionnellement dissimulée. Ignorant les avertissements implicites, ils décident d'explorer les profondeurs de ce qui semble être une simple cavité souterraine. À l'intérieur, grâce à leur matériel, ils découvrent une anomalie spatio-temporelle. La réalité qui s'étend devant eux est à la fois familière et terrifiante. Lorsqu'ils décident de continuer vers l'arrière de la grotte, ils se rendent compte qu'ils ne peuvent revenir en arrière que sur leurs pas et essaient de retourner chez eux. Alors qu'ils avancent petit à petit, ils remarquent grâce au journal du jour la réalité dans laquelle ils vivent : une réplique presque exacte de la Terre moderne en 2000. Cependant, l'étrangeté devient évidente alors que les rues autrefois animées sont maintenant silencieuses, les bâtiments vides, et le ciel éternellement figé dans une nuit sans fin. Les protagonistes, guidés par une trace de signal radio émanant de l'anomalie, explorent ce monde miroir à la recherche de réponses. Chaque coin de rue dévoile davantage le mystère de ce monde : le 31 décembre 2000, toute vie sur cette Terre alternative a pris fin sans explication apparente. Poursuivis par des ombres immobiles et des échos de rires autrefois joyeux, le groupe lutte pour échapper à cette réalité dérangeante et regagner l'entrée de la grotte. Cependant, ils découvrent que ce n'est pas une simple cavité dans la terre ; c'est une prison temporelle sans issue. Nous suivons à coup de sauts temporels leur vie sur cette nouvelle terre qu'ils essaient de repeupler, mais ils vieillissent dix fois plus vite et ne peuvent enfanter. Le dernier d'entre eux meurt quatre ans plus tard!
Épisode 4 - "Les Sept Mariées" (SCP-231)Épisode 4 - "Les Sept Mariées" (SCP-231)

Dans cet épisode, nous plongeons dans l'horreur du SCP-231, également connu sous le nom de "Seven Brides". L'histoire est racontée du point de vue d'une personne chargée d'orchestrer la procédure controversée, "Procedure 110-Montauk" qui se trouve se dérouler entre 1921 et 1925.
L'épisode s'ouvre sur un membre anonyme de la Fondation SCP, appelé à la hâte pour participer à la mise en œuvre de la procédure cruciale. Ces sept femmes enceintes, détenues dans des conditions mystérieuses, sont la clé de l'apaisement de forces incommensurables. Chaque naissance déclenche une catastrophe, et la procédure 110-Montauk est la seule ligne de défense pour contenir le danger imminent. Alors que l'histoire se déroule, des flashbacks révèlent les origines et la nécessité de la procédure 110-Montauk. Les hauts responsables de la Fondation font face à la pression constante pour maintenir la normalité et la sécurité globale, même si cela signifie endurer la souffrance des sept femmes retenues en captivité, dont la séries montre sans censure toute l'horreur de la procédure. L'épisode atteint son apogée lorsque le protagoniste, déchiré entre sa compassion pour les femmes et le fardeau de la responsabilité, découvre des indices indiquant que les origines de SCP-231 pourraient être plus complexes et tordues que ce que la Fondation a admis et l'épisode coupe d'un coup.
Épisode 5 - "L'Ange de la Miséricorde" (SCP-4999)Épisode 5 - "L'Ange de la Miséricorde" (SCP-4999)

Nous somme en 1945, nous plongeons dans le mystère de SCP-4999, connu comme "L'Ange de la Miséricorde". Cet être énigmatique apparaît de manière inexplicable pour consoler ceux qui sont aux portes de la mort. Notre protagoniste, David Schell, un psychologue de la SCP Foundation, se trouve aux prises avec le défi de comprendre le rôle et la nature de cet Ange dans l'univers anormal. L'épisode explore une tournure psychologique, plongeant dans les questions profondes sur la compassion au sein du paranormal. Alors que le psychologue tente de démêler les mystères de SCP-4999, il se retrouve confronté à des dilemmes existentiels et à la frontière floue entre la vie, la mort et la bienveillance inattendue.
Épisode 6 - "Vairocana"(SCP-FJ-1210)Épisode 6 - "Vairocana"[SCP-FJ-1210]

L'épisode débute en 1992, avec une équipe armée de sécurité spécialisée de la Fondation SCP, dirigée par l'agent Chen, qui tente de contenir cette menace Keter. L'équipe découvre le sanctuaire dissimulé dans les montagnes reculées du Fujiwa, où les prêtresses, liées par la tradition, pratiquent le rituel dans un équilibre précaire entre le folklore ancestral et la terreur surnaturelle. Alors que les agents supervisent la transition entre les pretresse pour la garde tel est leurs mission, lorsqu'une prêtresse est brusquement possédée par l'entité pendant la nuit, les autres réalisent que la Fondation SCP est sur leurs traces.
Alors que l'équipe progresse dans la nuit, les sons discordants d'un rituel antique se font entendre. Ils observent une cérémonie étrange, les prêtresses se déplaçant comme des ombres dansées, entourant un bois sacré renfermant se qui semble être SCP-FJ-1210. La tension monte au fur et à mesure que l'équipe tente de comprendre la complexité du rituel. Soudain, l'entité se libère, déchirant l'obscurité de la forêt. L'anti-mémétique propriété de SCP-FJ-1210 rend impossible la capture visuelle de l'entité, et l'équipe se bat à l'aveuglette. C'est alors que l'agent Chen de la Fondation SCP, équipé du masque sacré, émerge comme le seul capable de percevoir l'entité. Le masque confère une vision limitée mais cruciale à l'agent, qui guide l'équipe dans la lutte désespérée pour contenir l'entité. Cependant, chaque instant passé avec le masque entraîne la perte irréversible de la vue. À la fin de l'épisode, l'équipe réussit à rétablir le rituel avec le masque, ramenant l'entité dans la boîte sacrée. L'agent, désormais aveugle, raconte le vrai but de la mission connue que par lui qui était de détruire le SCP-FJ-1210, mettant en évidence les sacrifices nécessaires qu'est prête à faire la fondation pour protéger.
Épisode 7 - "La Peste" (SCP-049)Épisode 7 - "La Peste" (SCP-049)

En 2007, dans une petite ville isolée, Mary, une jeune femme en apparence ordinaire, commence à ressentir une présence oppressante qui la suit partout. Des ombres sinistres la poursuivent, mais elle ne peut jamais voir clairement ce qui la traque. Alors que le malaise grandit, Mary découvre un mystérieux paquet devant sa porte, contenant d'anciens documents et un masque de bec de peste. Intriguée et terrifiée, elle fouille dans les documents et découvre l'existence du SCP-049, une figure humanoïde qui se fait passer pour un médecin de la peste. Elle apprend que cet être prétend pouvoir guérir une "pestilence" mystérieuse en transformant les individus en zombies. Choquée, Mary conclue avec effroi que le SCP-049 semble la cibler spécifiquement. Alors que la menace invisible se rapproche, Mary décide de plonger dans les archives de la Fondation SCP, cherchant désespérément des moyens de se libérer de cette poursuite anormale. Elle découvre que le SCP-049 est dans la capaciter d'être détenu par la Fondation SCP, une organisation spécialisée dans la sécurisation et la protection des objets et êtres anormaux. Cherchant de l'aide, Mary entre en contact avec un ancien agent de la Fondation qui a connaissance du SCP-049, l'ancien chef Mahmut qui, grâce a son fils, a pu retrouver la mémoire. Il lui révèle que le masque de bec de peste qu'elle a reçu est une clé pour invoquer temporairement le SCP-049, donnant à Mary une chance de confronter directement la menace. (Son corps a été découvert une semaine plus tard sans aucun organe ni œil.)
Épisode 8 - "Alerte évasion" (SCP-106)Épisode 8 - "Alerte évasion" (SCP-106)

En 2011, une alerte d'évasion retentit au sein du site de confinement de la Fondation SCP, laissant échapper SCP-106, également connu sous le nom de "Le Vieux Homme" ou "Caporal Lawrence". Un sentiment de terreur s'empare du site, car les membres du personnel doivent rapidement mettre en œuvre le Protocole de Containment d'Urgence pour empêcher SCP-106 de causer des ravages à l'extérieur de ses quartiers habituels. L'épisode débute avec le son strident de l'alarme, signifiant l'évasion imminente de SCP-106. Alors que le chaos règne, plusieurs groupes de membres du personnel se forment, chacun ayant des rôles spécifiques dans l'application du Protocole de Containment d'Urgence. Certains sont chargés de localiser SCP-106, tandis que d'autres se préparent à déployer des moyens spéciaux pour le contenir. Au fur et à mesure que l'équipe de recherche s'approche de SCP-106, des signes de corrosion apparaissent dans les couloirs, témoignant de sa proximité. La tension est à son paroxise quand Le Vieux Homme émerge des ombres, dévoilant son apparence déformée et cauchemardesque dans un screamer. Sa présence est accompagnée d'une atmosphère pesante, alors que les agents tombent un par un. Alors que l'affrontement avec SCP-106 atteint son paroxysme, les membres du personnel font face à la difficulté de contenir une entité aussi redoutable. La corrosion se propage, laissant les protagonistes dans une course contre la montre pour éviter d'être capturés. Des sacrifices sont faits pour protéger les autres, et chaque rencontre avec SCP-106 est un jeu de survie macabre et gore. les agents se regroupe tous dans un lieux spécifique pour attirer le scp et l'enferment dans un conteneur scellé, constitué d'acier plombé. Le conteneur est scellé à l'intérieur de 40 couches de matière identique, chacune séparée par au moins 36 centimètres d'espace vide. Les stabilisateurs entre chaque couche ont été placés aléatoirement toute de suite après l'enfermement du SCP. L'épisode se termine avec le retour de SCP-106 à sa cellule, mais laissant derrière lui des traces de destruction et des pertes humaines. Les personnages, traumatisés par l'expérience.
Épisode 9 - "La Femme" Subject 108-1Épisode 9 - "La Femme" Subject 108-1

L'épisode s'ouvre sur une petite ville endormie de Grande République Populaire d'Okaristanen 1940, où la vie de Vivian Miller semble normale, travaillant dans un petit magasin de bricolage. Cependant, son destin bascule lorsqu'elle découvre un talent particulier pendant l'entraînement pour un tour de magie spécial pour l'anniversaire de son neveu. Alors qu'elle tente d'enfoncer un clou dans son nez, quelque chose d'inhumain se produit. Un portail mystérieux vers SCP-108, un ancien bunker Okaristanais, s'ouvre dans sa cavité nasale. La Fondation SCP, alertée par des signes anormaux lors d'un balayage de notes d'examen spécial, capture Vivian Miller et la transfère au Site-17. La révélation de son rôle en tant qu'hôte du SCP-108 intrigue les chercheurs et agents de la Fondation. Pendant son confinement, des phénomènes étranges se manifestent autour de Vivian. Des visions de l'époque de la La guerre de 1921 à 1933 émergent à travers ses rêves, mettant en scène la production des avions de chasse Okaristanaise. La nature de la connexion entre Vivian et le bunker nazi devient de plus en plus dérangeante. La Fondation découvre que Vivian n'est pas simplement un hôte, mais un lien essentiel pour accéder au SCP-108. 007, surnommé "L'Homme normale", utilise Vivian comme sa secrétaire personnelle et une voie d'évasion vers le bunker en cas de nécessité. L'épisode explore les tensions croissantes entre la Fondation SCP et Vivian, alors que des questions sur le passé, les intentions de SCP-108, et le rôle de l'O5-5 émergent. Des manifestations paranormales et des horreurs liées à l'histoire de la guerre ajoutent une couche de terreur psychologique à cet épisode.
Épisode 10 - "L'Œil de Pierre" (SCP-173) Épisode 10 - "L'Œil de Pierre" (SCP-173)

La Fondation SCP est confrontée à une crise sans précédent lorsque SCP-173, l'entité de béton et de ferraille, devient le centre d'une série d'événements étranges et terrifiants lors d'un protocole de routine. Une chercheuse audacieuse, le Dr. Emily Carter, est assignée pour enquêter sur une anomalie imprévue qui entoure SCP-173. Lors d'une nuit de confinement régulière, le personnel de la Fondation remarque des anomalies dans le comportement de SCP-173. Des murmures indistincts résonnent dans les couloirs, et des ombres semblent danser autour de la statue lorsqu'elle est hors de vue. Le Dr. Carter, une experte en psychologie anormale, est appelée pour comprendre ces manifestations étranges. Alors qu'elle plonge plus profondément dans l'énigme entourant SCP-173, le Dr. Carter découvre que l'entité ne se contente pas de rester immobile lorsqu'on la regarde. Elle semble influencer les pensées et les émotions des personnes autour d'elle, créant des illusions dérangeantes qui jouent avec la réalité. Les membres du personnel commencent à ressentir une paranoïa croissante et des visions cauchemardesques. Certains prétendent voir des silhouettes menaçantes dans les coins de leurs yeux, tandis que d'autres entendent des murmures sinistres les invitant à rompre le contact visuel avec SCP-173. Le Dr. Carter devient elle-même une victime des manipulations psychologiques de SCP-173. Alors qu'elle tente de résoudre le mystère, la frontière entre la réalité et l'illusion s'estompe, créant un cauchemar psychologique où le personnel de la Fondation se bat pour maintenir sa santé mentale. Dr. Carter, épuisée et tourmentée par des visions terrifiantes, est confrontée à une manifestation personnelle de ses propres peurs les plus profondes. SCP-173 devient non seulement une menace physique, mais aussi une force qui manipule les pensées et les craintes les plus intimes de ceux qui l'entourent. Moins il y a de personnes et plus elle doit tenir longtemps le regard sans cligner des yeux. Ce qui devait arriver arriva, pendant un dixième de seconde, le Dr. Carter et son amie clignèrent des yeux en même temps, trop stressées et terrifiées pour parler et se synchroniser. Un dernier réflexe l'aide à tourner la tête rapidement pour continuer le contact visuel avec le SCP, étant sur le corps décapité de son amie qui fut choisie au lieu d'elle par chance. À la fin de l'épisode, le Dr. Carter devait tenir les yeux sans cligner le temps que les secours arrivent. Elle réussit miraculeusement, et les renforts parviennent à maîtriser le SCP. Un nouveau protocole mental est instauré.
Commentaire :"SCP" a réussi l'exploit de créer un complexe et vaste univers d'SCP en une série d'anthologie palpitante et dérangeante. Cette œuvre a su captiver les amateurs d'horreur en explorant un lore complet de SCP à travers des épisodes qui oscillent entre le terrifiant, le dramatique et le psychologique. La diversité des personnages et des points de vue, offre une variété d'expériences horrifiques. Chaque SCP est présenté avec une attention méticuleuse aux détails, incorporant des aspects du lore qui raviront les connaisseurs tout en restant accessible aux nouveaux venus. L'épisode consacré à SCP-173, "L'Œil de Pierre", a été particulièrement marquant. Le réalisateur a réussi à créer une atmosphère de tension psychologique intense, transformant la simple observation en une épreuve cauchemardesque pour les personnages. La scène finale avec le Dr. Emily Carter est un tour de force, un moment où la terreur psychologique atteint son apogée. En somme, "SCP" est une série qui a réussi à hisser l'horreur télévisuelle à un niveau supérieur. Pour les amateurs de mystère, d'horreur et de lore complexe, cette série offre une expérience inoubliable, repoussant les limites du genre. (Al-Sabah)

Société de production ou Producteur : Premium
Réalisateur : Omar Al-Hakim.
Acteurs principaux ou notables :

Dr. Carter : Riley Craig

L.Mahmut :Nadir Sahan

D. Mahmut: Demirtekin Caglar

agent Chen: Yashida Yoshitoki

Mary: Océane Lucy

Vivian Mille: Blatova Albina Ivanovna

Date de sortie : premier épisode diffuser sur la chaine premium en simultané avec sa plateforme de streaming le lundi 29 Aout 2011 et la diffusion du dernier épisode c'est faites le lundi 31 Octobre 2011.

Pays producteur(s) : Royaume de Finejouri
Nom de la production : Gaxstud
Catégorie :Documentaire

Affiche ou visuel :
Genre ou thème abordé : thème de la science et plus précisément de l'astrologie/Biographie.
[b]Synopsis ou résumé : Le documentaire à pour but d'expliquer comment un petit scientifique à découvert une choses que personne ne soupçonné. Le documentaire retrace la vie d'un chercheur en astronomie de la capital du Royaume de Finejouri. On découvrira très vite que se chercheur est mal vu par c'est collègue et sa hiérarchie du faite qu'il n'a jamais fait de découverte majeur dans sa carrière. On apprend par la suite qu'il à perdu sa mère lors dans accident de voiture et cela le dévastera. Mais un jour lors d'une surveillance astrologique ce chercheur vu sur son ordi qui renvoi les images d'un des télescopes du Royaume une chose très étranges. A partir de se moment se fût une révélation pour le chercheur, il décida donc de mener des théories avec l'aide de plusieurs futur amis chercheur et autre mais cela sera très compliquer du faite que au début personne ne croyait à son hypothèse des sabotages auront lieux envers ces preuves pour des histoires de censures pour éviter le chaos. Mais a force d'acharnement et d'espoir il réussira à montrer au monde sa découverte. Grâce à cella on le surnommera le chercheur d'Etoile Noire
Commentaire : le Film à ressue le prix du meilleur documentaire biographique de 2012, en effet le film documentaire retrace une histoire vraie.

Société de production ou Producteur : Kim jourdki
Réalisateur : Hernji Houcti
Acteurs principaux ou notables : Tynorf Huking (joué par Atung likolo), Lory ungue (joué par Hirtine Fije), Deslar Huj (joué par Yine Gurte),Abéli Unjiko (joué par Renuta Vinera),Hyuti opliru (jouer par Titruny Lomine)
Date de sortie : le 05 janvier 2012

Pays producteur(s) : Fédération des communes Zélandiennes.

Catégorie : Film d’animation.


Nom de la production :

• Version originale : De weach komt omheech.
• Version internationale : The wave rises.
• Version française : La vague se lève.

Affiche ou visuel :

Bande-son :
Marya, ik mis dy || Marya, I miss you

Genre ou thème abordé : Biopic.

Synopsis ou résumé : La vague se lève, film d'animation de son état, est un biopic. Il raconte l'Histoire de Henric Claesen. L'ingénieur de marine Zélandien ayant révolutionné la navigation et surtout la construction navale à la fin du XVIe siècle, avec l'apparition — en particulier durant les batailles navales — de la flûte Zélandienne. Navire à voiles révolutionnaires succédant aux galères Velsniennes, qui étaient alors la norme dans la construction navale.

Le film commence lors de l'enfance d'Henric, au moment où ce dernier n'a plus qu'une idée en tête : devenir ingénieur de marine. On le voit donc devenir apprenti auprès d'un charpentier de marine, la production mettant en avant son parcours, et notamment son élévation sociale. Le déroulé du film, lui, a pour trame de fond le contexte ; maintenant historique, que vit Zélandia en cette fin de XVIe siècle, période durant laquelle la monarchie est renversée au profit des grandes familles de la noblesse. Sont montrées aussi aux spectateurs les différentes étapes et inspirations qui mèneront Claesen à mettre au point son nouveau type de navire révolutionnaire : la flûte, afin de faire face aux galères de la rivale historique de Zélandia : la Grande République de Velsna ; la fin du film étant consacrée à la Bataille du Wetter : bataille navale ayant eu lieu le douze octobre 1592 le long des côtes Zélandiennes entre les deux marines rivales. La production se termine sur Henric Claesen de dos, tenant la main de son épouse : Marya van Hendrycks, qui donne par ailleurs son nom au thème principal de la bande originale ; Henric se plaignant à Marya du fait que ses contemporains, ainsi que les nations environnantes, utilisent son invention comme d'une arme, et non comme d'un outil d'exploration, qui est selon lui l'essence même d'un navire.
Commentaire : Loué par la critique Zélandienne pour la qualité de ses dessins et de leur animation, ainsi que des thèmes musicaux qui accompagnent le spectateur tout au long du film, The wave rises a eu un énorme succès au sein de la Fédération, ainsi qu'un succès relatif (mais moindre que les productions nationales) auprès du public Velsnien, plus attiré plus par l'Histoire des deux nations concernées durant cette période, que par l'Histoire du personnage principal.

Cependant, le réalisateur : Adriaan Overdijk, ainsi que le reste du Studio Winich, ont prévenu que le film n'était pas précisément conforme à la réalité historique, car étant une adaptation d'un roman [Zélandien] du même nom, qui raconte de manière romancée l'Histoire de ce Henric Claesen. Par exemple, tout comme dans le roman, le personnage de Marya n'a jamais existé. On sait d'ailleurs peu de chose de la vie privée du vrai Henric.

À noter que pour le personnage d'Umberto Salieri, Venanzio Catambrone : son doubleur, a été choisi en partie grâce à ses origines Velsnienne, qui lui ont permis de jouer ce rôle de manière encore plus réussie, qu'espérer initialement.

Société de production ou Producteur : Studio Winich.

Réalisateur : Adriaan Overdijk.

doubleurs principaux ou notables :

• Willem Beltman (Henric Claesen).
• Willemijn Koedam (Marya van Hendrycks).
• Venanzio Catambrone (Umberto Salieri — En tant que personnage du film d'animation. Pas le réel de l'Histoire Velsnienne.).
• Sebastiaan Winkels (Sander De Ruyter).

Date de sortie : Onze mai 2011.

Pays producteur(s) : Provinces-Unies du Lofoten.

Catégorie : Série de télévision


Nom de la production :

• Version originale : Us and the others.
• Version norroise: Okkur og öðrum.
• Version française : Nous et les autres.

Affiche ou visuel :



Bande-son :
Missing your hope

Genre ou thème abordé : Dystopie - Futur

Synopsis ou résumé : En 2020, soit un futur pas si lointain les Provinces-Unies du Lofoten sont projetés dans un avenir inquiétant où la télévision a pris le contrôle total de la vie quotidienne. Le gouvernement lofotène a cédé une grande partie du pouvoir politique à l'ensemble des médias écrits et digitaux ainsi que la plupart des réseaux sociaux sous un conglomérat appelée "La Triarche" qui contrôle la diffusion de tous les contenus télévisuels et manipule l'opinion publique à l'aide de programmes soigneusement conçus, notamment d'émissions réalistes de télé-réalité au point que la frontière entre divertissement et vie réelle s'estompe peu à peu.
L'intrigue suit la famille Lewingstøn, une famille des plus ordinaire dont la plus jeune fille Jena, découvre par un accident, un signal crypté émis par un groupe de résistants appelé "Les Eveillés". Ces résistants qui s'avèrent être un groupe très eclectique, tentent de contrer le contrôle oppressif de La Triarche en diffusant des vérités dissimulées par la propagande télévisuelle qui semble être sans limite.

Enquêtant sur cette découverte, Jena et son frère plus agé, Derek, entrent alors en contact avec Les Eveillés et découvrent l'ampleur de la manipulation orchestrée par "La Triarche". Entre temps, les autres membres de la famille Lewingstøn dont certains sont prêts à croire et à défendre le système coûte que coûte vivent les affres et aléas d'une vie dont la conduite est dictée par les injonctions télvisuelles. Le père Maksim subit des pertes financières énormes en suivant des investissements peu recommandables sur Internet, tandis que la grand-mère Paula se fait escroquée par des télévendeurs spécialisés dans la manipulation mentale. La mère, Vivienne, sombre peu à peu dans les théories complotistes et adhère sans mesure à toutes les conspirations savemment entretenues par les réseaux.

Un des oncles de Jena, Kjølborn, ancien militaire, lui apprend que les émissions de télévision ne sont pas simplement des divertissements, mais des moyens subtils de contrôler les pensées, les émotions et les actions de la population lofotène, et que les politiques se contenteraient de suivre les conseils et les directives d'intelligences artificielles spécialement mises au point par la Triarche pour donner un semblant de vie démocratique à la nation.
Alors que Jena et Derek rejoignent à l'insu de leur famille les Eveillés dans leur lutte d'émancipation, Maksim le père multiplie les paris risques et devient addict aux jeux et divertissements virtuels, tandis que la mère Vivienne devient "officier d'influence positive", emploi proposé par la Triarche pour propager sur les réseaux sociaux rumeurs et théories les plus fantasques et invraisemblables, devenant à son insu une star che les conspirationnistes de tout poil. Le groupe des Eveillés tente de hacker le système central de la Triarche pour diffuser des preuves de la manipulation à l'échelle mondiale. Les membres des Libérés risquent leur vie pour pénétrer les défenses sophistiquées de l'organisation, tandis que Jena se trouve confrontée à des dilemmes moraux et éthiques sur la manière de révéler la vérité sans mettre en danger ses proches. Son oncle Kjølborn en particulier, qui de plus en plus pessimiste quant à l'avenir, décide de rejoindre une secte qui pousse à se sevrer de la dépendance aux écrans par le suicide rituel.
Commentaire : Encore une fois Ulrich Mayer Fitzgerald, le roi incontesté de la dystopie négative et maître de l'humour noir nous entraine dans son univers sombre et angoissant vers un avenir incertain où la technologie et la société de divertissement de masse nous entraîne selon lui.
Loin de la cariature du bien contre le mal, des méchants contre les gentils, Ulrich Mayer Fitzgerald dose et distille une bonne dose de cynisme, alternant entre suspense et actions notamment lorsque la Triarche découvre l'existence des Eveillés et lance une chasse à l'homme à travers tous les rouages du système médiatique et télévisuel, dans le but d'éliminer toute dissidence sans violence en manipulant les masses pour y parvenir. Us & The Others amènent des questionnements philosophiques et psychologiques qui sont présents tout au long de la série de 8 épisodes pour cette première saison à travers les dilemmes moraux des personnages qui poussent le téléspectateur à s'interroger sur ses propres choix. Après tout n'est il pas plus simple de se laisser aller à la facilité, et de suivre le mouvement plutôt que de suivre des voies contraires ?

Us & The Others va très loin dans le raisonnement, puisque dans la série, certains personnages vont même jusqu'à remettre en cause l'idée de la mort, qui ne serait là aussi qu'une construction mentale, les cerveaux des défunts seraient en réalité téléchargés sur des serveurs secrets du gouvernement puis réimplantés dans des corps clonés, idées défendues et reprises par des politiciens eux aussi manipulés par le système.
La série se termine sur une note d'espoir dans un océan de ténèbres alors que certaines personnes commencent à se remettre en cause le contrôle médiatique de la Triarche. Cependant, la dernière scène de la série pose une question profonde, lorsque l'un des personnages dont le monde s'effondre préfère se donner la mort plutôt que d'accepter la réalité : la vérité peut-elle réellement libérer la société, ou sommes-nous déjà trop profondément enracinés dans cette réalité dystopique créée par la télévision pour vouloir réellement et consciemment nous en défaire ?


Société de production ou Producteur : Flixtube en partenariat avec Federal Network Entertainment

Réalisateur : Ulrich Mayer-Fitzgerald.


Date de sortie : Juillet 2011.