Roméo Rabenja, le gardien de la vertu du culte caaganiste, l’institution religieuse à la tête du havre de paix mandrarikan, s’est confié autour de la fierté qu’est la sienne, à représenter son pays et sa religion, lors du gala d’août 2010 annoncé au Canta, au plus près de la famille royale. C’est en effet, après la rencontre officielle au Majanda du Premier Mandrar https://geokratos.com/?action=viewTopic&t=2443&p=0#m17361 la seconde visite officielle d’un représentant mandrarikan à l’international, une sortie anthologique donc pour les membres officiels de cette congrégation bien trop souvent incomprise et mésestimée dans sa juste valeur, alors qu’elle souhaite inscrire son action au service du plus grand nombre.
Le culte caaganiste et derrière lui, la Mandrarika, ont en effet connu une notoriété croissante sur la scène internationale depuis 2004. Une notoriété en partie entachée par les violences et les exactions perpétrées par les seigneuries de guerre, https://geokratos.com/?action=viewTopic&t=1568&p=0#m8882 des clans de pillards s’inventant une respectabilité derrière ce titre féodal qui ne dupent personne.
Mais si le culte caaganiste est une institution religieuse qui prône l'universalité des hommes et des femmes, il lui importe d’entretenir de la ferveur partout où le monde est monde. Jusqu’ici limité à la Mandrarika et bien que des étrangers viennent adhérer à nos préceptes sur notre terre sanctifiée, le culte caaganiste manque encore d’oreilles attentives à l’international, une marche à gravir mais qui est conditionnée à sa reconnaissance au niveau mondial. Sans reconnaissance sur la scène étrangère, pas de visibilité pour notre offre de foi salvatrice.
Aussi, bénéficiant aujourd’hui d’une popularité suffisante pour toucher des disciples à l’international, notre vénérable institution a aussi à cœur de pouvoir se faire reconnaître parmi chaque personnalité publique de la scène mondiale. Une opportunité largement concédée, par l‘intérêt que nous a gracieusement porté la famille royale de la Fédération Monarchique des Peuples Unis de Canta.
C’est donc à l’occasion de cet événement “spécial” que les autorités mandrarikanes, présidées par le Premier Mandrar Rakoto Manorohanta, entendent normaliser la présence mandrarikane dans la haute sphère des classes politiques internationales. Il faut dire qu’à leur avantage, la Mandrarika ne souffre pas d’un passif belliqueux avec une quelconque nation sur la scène internationale. Une singularité dont ne peuvent profiter tous les participants à cette soirée fastueuse. La fête organisée au sein du domaine royal cantais, verrait donc à son chevet un large échantillon des dirigeants de ce monde, et autant de liens nouables pour notre communauté, destinée à porter l’universalité à chaque personne soucieuse d’abattre les codes sociétaux amenés à nous diviser : pas de frontières et un destin lié, par la capacité des hommes et des femmes à se transcender, pour rendre fier nos créateurs supraterrestres...