25/06/2013
18:40:42
Index du forum Continents Eurysie Canta

Activités étrangères en Canta - Page 2

Voir fiche pays Voir sur la carte
3027
communication officielle des autorités de Mandrarika

27 juin 2010 - Les institutions politiques et religieuses mandrarikanes, heureuses de s'être vues invitées pour le gala du 24 août prochain, dans la Fédération Monarchique des Peuples Unis de Canta.


Portrait de Roméo Rabenja
Roméo Rabenja, le gardien de la vertu du culte caaganiste, prêt à représenter les institutions religieuses et la nation mandrarikanes en Eurysie du Nord.


Roméo Rabenja, le gardien de la vertu du culte caaganiste, l’institution religieuse à la tête du havre de paix mandrarikan, s’est confié autour de la fierté qu’est la sienne, à représenter son pays et sa religion, lors du gala d’août 2010 annoncé au Canta, au plus près de la famille royale. C’est en effet, après la rencontre officielle au Majanda du Premier Mandrar https://geokratos.com/?action=viewTopic&t=2443&p=0#m17361 la seconde visite officielle d’un représentant mandrarikan à l’international, une sortie anthologique donc pour les membres officiels de cette congrégation bien trop souvent incomprise et mésestimée dans sa juste valeur, alors qu’elle souhaite inscrire son action au service du plus grand nombre.
Le culte caaganiste et derrière lui, la Mandrarika, ont en effet connu une notoriété croissante sur la scène internationale depuis 2004. Une notoriété en partie entachée par les violences et les exactions perpétrées par les seigneuries de guerre, https://geokratos.com/?action=viewTopic&t=1568&p=0#m8882 des clans de pillards s’inventant une respectabilité derrière ce titre féodal qui ne dupent personne.

Mais si le culte caaganiste est une institution religieuse qui prône l'universalité des hommes et des femmes, il lui importe d’entretenir de la ferveur partout où le monde est monde. Jusqu’ici limité à la Mandrarika et bien que des étrangers viennent adhérer à nos préceptes sur notre terre sanctifiée, le culte caaganiste manque encore d’oreilles attentives à l’international, une marche à gravir mais qui est conditionnée à sa reconnaissance au niveau mondial. Sans reconnaissance sur la scène étrangère, pas de visibilité pour notre offre de foi salvatrice.

Aussi, bénéficiant aujourd’hui d’une popularité suffisante pour toucher des disciples à l’international, notre vénérable institution a aussi à cœur de pouvoir se faire reconnaître parmi chaque personnalité publique de la scène mondiale. Une opportunité largement concédée, par l‘intérêt que nous a gracieusement porté la famille royale de la Fédération Monarchique des Peuples Unis de Canta.

C’est donc à l’occasion de cet événement “spécial” que les autorités mandrarikanes, présidées par le Premier Mandrar Rakoto Manorohanta, entendent normaliser la présence mandrarikane dans la haute sphère des classes politiques internationales. Il faut dire qu’à leur avantage, la Mandrarika ne souffre pas d’un passif belliqueux avec une quelconque nation sur la scène internationale. Une singularité dont ne peuvent profiter tous les participants à cette soirée fastueuse. La fête organisée au sein du domaine royal cantais, verrait donc à son chevet un large échantillon des dirigeants de ce monde, et autant de liens nouables pour notre communauté, destinée à porter l’universalité à chaque personne soucieuse d’abattre les codes sociétaux amenés à nous diviser : pas de frontières et un destin lié, par la capacité des hommes et des femmes à se transcender, pour rendre fier nos créateurs supraterrestres...
12159
La Démocratie n'est pas qu'électorale

https://esthinktank.com/wp-content/uploads/2017/02/European-Studen-Think-Tank-An-Insight-on-Switzerlands-Direct-Democracy.jpg

Nous avons eu écho d’un bruit qui courrait dans les environnements militants de gauche à l’occasion de cette période électorale. Un bruit fataliste, déplaisant, s’insinuant jusque dans les réunions syndicales, les groupements étudiants, et dans l’ensemble, tous les environnements les plus habituellement étanches aux discours défaitistes. Ce bruit, c’est l’habituelle loghorée, émanant tout à la fois des constats des encartés que d’une droite politique bien représentée dans les médias, et qui voudrait nous faire croire que, en termes simples, « tout ça, ce n’est pas assez ». Par tout ça il faut évidemment comprendre « La stratégie du front populaire », que l’on ressort périodiquement de l’arsenal idéologique de notre famille politique quand les structures partisanes le permettent, et pour des résultats que l’on tend bien souvent à trouver insuffisant. Une insuffisance que nous récusons entièrement, et avec force, car la possibilité même d’un front populaire doit être comprise comme une authentique victoire.

La question est évidemment de savoir quel est le but d’un mouvement politique de gauche, ou en d’autres termes, si notre famille politique est limitée dans son action par des contraintes faisant de la victoire électorale la seule voie possible d’action. Question ô combien rhétorique dont la réponse n’échappera sans doute à personne, et qui doit surtout servir à avancer l’argument suivant : l’insuffisance des stratégies de front populaire est loin d’être intrinsèque. C’est une insuffisance qui est construite par un discours dominant faisant de la victoire électorale la seule fin politique d’une structure partisane, et de la maîtrise totale de l’État l’aspect le plus central de tout projet de société. Si l’État est effectivement un outil utile et qu’il convient de le saisir, c’est un constat que faisaient déjà les premiers marxistes et que beaucoup d’anarchistes entendent au moins dans une logique d’accaparation-destruction, ce discours reste l’émanation d’une vision que nous trouvons fermement imbécile, et issue d’une idée politique qui ne correspond pas à celle de notre famille. C’est la vision de celles et ceux pour qui est victoire la conquête du pouvoir, et pour lesquelles les périodes inter-électorales ne servent en substance qu’à préparer ces échéances. C’est par exemple le cas des familles politiques libérales et centristes, qui ont une existence quasi-nulle dans la société civile, et dans une plus moindre mesure, celle d’une droite trop minoritaire sur les questions sociétales pour pouvoir y exister sans le pouvoir vertical d’un poste de gouvernement. C’est une vision, pour utiliser des mots que certains du front trouveront peut-être trop forts, mais que d’autres comprendront dans une logique analytique de gauche traditionnelle, bourgeoise. Or notre famille politique a pour objectif assumé de protéger la société et la planète des excès bourgeois, ce qui va de pair avec une conception de la chose politique échappant aux carcans de nos adversaires.

Commençons déjà par rappeler, à nouveau, que la simple existence d’un front populaire doit être considérée comme une victoire. La seule critique de cette stratégie que nous saurions entendre venant de la gauche est celle prononcée par les mouvements révolutionnaires, qui ont la lutte des classes sous un format pré-insurrectionnel en horizon politique et rejettent par conséquent l’idée d’une massification de l’appareil réformiste. Cependant ces mouvements sont minoritaires, et s’ils ont leur rôle à jouer dans le débat public, cette logique est aussi celle d’un certain eurycommunisme en perte de vitesse face aux alternatives nouvelles qui, sans se départir d’un socialisme authentique et refusant les tentations néolibérales, n’en demeure pas moins démocratique. Soit un socialisme de réforme, avec tout ce que cela peut soulever de débat, nous l’entendons évidemment.

Les autres critiques que l’on peut entendre concernant cette notion de front populaire ne nous semblent pas audibles, ou du moins pas à la hauteur des bienfaits de cette stratégie. Détaillons.

Le véritable objectif d’un front populaire ne doit pas être de s’accorder sur tous les points, et il est évident qu’un tel système impose, pour fonctionner durablement, que ses participants s’entendent ou sur leur liberté totale, ou sur le champ à partir duquel on considérera les modérés trop modérés pour les radicaux, et les radicaux trop radicaux pour les modérés. Le véritable objectif d’un tel montage est avant tout d’éviter de diviser les voix des électeurs de gauches entre mouvement partant d’une même base, affin de remplir au maximum les chambres bourgeoises pour pouvoir y agir comme agent bloquant de toute politique trop ouvertement anti-sociale ou écocide. La gauche de parlement est un outil de défense du peuple face au système, et cette action peut être comparable à un bloc manifestant, suivant une fonction assez similaire. La raison pour laquelle les mouvements politique coalisés doivent accepter de faire alliance et les militants de voter pour l’offre de gauche que cette alliance aura mis à leur disposition dans leur circonscription, c’est car il s’agit moins de proposer des projets et de les voter, jeu auquel la gauche a toujours su garder son indépendance et travailler en commun, y compris sans une stratégie de bloc, mais bien pour maximiser la quantité d’élus aptes à bloquer la droite.

Ce qui nous amène à notre second point : toute alliance formalisée entre les partis rompt les frontières entre leurs milieux militants, et permets, à défaut de canaliser l’égo des leaders, de rapprocher les militants qui pour leur part pourront dès-lors se coaliser et créer, par la base, l’essentiel d’une politique commune dans les différents secteurs où la voix de gauche a une vraie capacité d’action. En effet, nous devons comprendre que la gauche est le mouvement politique de la démocratie continuelle, et que la première mission des partis de gauche est de permettre le rassemblement des acteurs progressistes, y compris opposés par quelques idées, autours de projets communs. Ces projets, ils portent des noms. Conquêtes sociales, grèves, associations, revendications. Nous parlons ici de voir le front populaire non-pas comme une alliance de partis mais comme une porosité permettant à des écologistes de côtoyer des communalistes, et des socialistes radicaux des eurycommunistes, des anarchistes et des réformistes tendances phalanstère, et à ces gens, au-delà de leurs différences, de trouver les aspects sur lesquels ils peuvent avancer en commun. C’est ce que nous qualifions de massification du mouvement, et ce que nos opposants appellent la « rue », non sans le mépris de celles et ceux oubliant que le droit de grève et d’association est légal. Cette rue, cette massification du mouvement, devient de plus en plus nécessaire à une époque où des élus et candidats de la droite se montrent de plus en plus ouvertement prêts à exploiter les outils de l’État à des fins de censure politique et d’élimination administrative de l’opposition. La massification du mouvement revient à dire, en quelque sorte, qu’il existerait dans cette société dans la bourgeoisie représente les cadres supérieurs, un syndicat de toute la population pouvant se mettre en branle, quels que soient les différends entre ses cellules, pour défendre ses membres.

Cela revient aussi à mettre en commun la formation des militants et les universités d’été, à confronter les idées et les textes politiques en vue de faire émerger de nouvelles propositions. Si certains mouvements peuvent craindre de perdre en influence ou de muter trop profondément, il nous faut voir ces considérations comme celles de cadres oubliant leur fonction représentative. Les citoyens ont tout intérêt à ce qu’un front populaire amène à de nouvelles ententes, coopérations et mutation du spectre politique du Canta.

Ce qui nous amène à la question du quoi faire en cas d’échec électoral. Hypothèse que nous devons prévoir à l’échelle générale, mais ne signifiant pas par ailleurs une absence totale de succès. Le premier est point est évident : ce front doit apprendre à représenter la société civile. Ce qui signifie, organiser des actions très concrètes avec les associations et les riverains. Ces actions pourraient prendre une forme politique, militante, ou purement associative. Porte à porte, démarchage, universités et formations, sondages menés auprès de la population en vue d’obtenir des connaissances et d’organiser des concertations citoyennes sur des problématiques locales. Nous devons reconnaître que les partis politiques éveilleront toujours une certaine méfiance et que les mouvements de gauche sont bien souvent rejetés par des citoyens qui, au demeurant, partagent leurs ambitions sociales et économiques. C’est la faiblesse du système représentatif, et la mise en commun des capacités militantes des différents partis permettrait de contourner ce problème. C’est en tout cas la stratégie dite « communaliste » (ou Kah), que nous avons pu voir testé dans l’actualité récente en Mährenie ou au Mokhaï. Le but du Front populaire doit être d’obtenir la confiance de la population en devenant sa plus pure émanation. Son but doit être de permettre l’organisation de la population en cellules autonomes mais connectées.

Nous devons habituer les citoyens à se parler, à partager leurs problèmes, à en débattre et à faire parvenir leurs conclusions à leurs élus, qu’ils soient ou non membre du front. Un citoyen actif c’est un citoyen utile à la société. Un citoyen qui prend le temps de réfléchir à ses problèmes, écrit à l’élu sensé le représenté, et est écouté par ce dernier, c’est un citoyen qui votera pour lui à nouveau. A contrario, un citoyen ignoré aura toutes les raisons du monde de revoir sa position politique. En bref il s’agit de pousser la population à arriver à ses propres conclusions politiques, puis à réaliser que les élus du centre, libéraux ou de droite ne les partagent pas. Nous devons séparer les membres du front de leurs partis, dans l’imaginaire populaire, et nous arranger pour qu’au prochain scrutin les hommes et femmes des différentes familles de gauche soient moins compris comme membres de tel ou tel parti politique, mais bien comme représentant de leur circonscription. C’est aussi un travail qu’il faut effectuer avec la jeunesse. Nous le savons, la jeunesse vote assez peu, tout en étant statistiquement plus à gauche d’une génération sur l’autre. Ces électeurs passent assez rarement à droite, contrairement à ce que voudraient nous faire croire quelques expressions d’usage, si on en croit les études consacrées à la question. Notre problématique est moins de préserver ces électeurs à venir que de nous assurer leur vote immédiat. Il nous faut donc les impliquer. Ce pourquoi nous devons organiser des initiatives leur étant destinées. Recrutement massif dans les organisations de jeunesse des différents partis, (via une forte représentation dans les syndicats, sur les lieux de travail et, évidemment, dans les universités), mais aussi organiser des consultations jeunes, des festivals rattachés au front, des évènements permettant de faire, même artificiellement, exister l’alliance de gauche dans l’esprit de ces électeurs putatifs. Nous devons aussi rattraper notre retard sur la présence internet (pour ce faire nous recommandons de faire appel à des consultants kah-tanais). Les réseaux sociaux, les médias en ligne, il existe un très large panel d’endroits aptes à recevoir et diffuser des messages de gauches, ou à servir de lieu d’organisation et d’échanges pour des militants, selon un modèle cyber-démocratique notamment.

La revitalisation de la gauche autour d’un projet partagé, qui n’est pas réellement un projet programmatique mais plutôt un projet militant et d’action, doit donc moins nous servir à obtenir une victoire électorale qu’à préparer la suivante, d’une part, et permettre la mobilisation de la société civile, armée pour générer ses propres revendications et déployer ses propres modes d’action. Il nous faut comprendre pour de bon que le rôle de la gauche politique est un rôle de rue, un rôle actif, rattaché à la société réelle. Par là nous voulons signifier qu’il est important de sortir de cette dynamique faisant des moyens d’expression populaire (manifestations, grèves, plaintes administratives etc), des outils de défense. Nous pouvons répondre à l’écocide, la violence d’État ou patronale et la casse sociale par des revendications.

Un terme qui ne doit pas nous effrayer. Pour beaucoup la revendication émanant de la rue n’a aucune valeur, et seul le travail parlementaire doit permettre l’avènement de progrès sociaux. Ceux-là seront sans doute surpris d’apprendre qu’une grève générale visant non pas à faire annuler un projet de loi, mais à soumettre une demande, peut obtenir gain de cause, et que la rue est un outil démocratique comme un autre. La massification du mouvement permise – et requise – par la stratégie d’Union de la gauche permet en fait la redistribution des outils démocratiques à la population via l’organisation de cette dernière au sein de structures communes. C’est-à-dire que même sans majorité parlementaire il sera possible au spectre politique de gauche d’exister par un militantisme volontariste et ouvertement décidé obtenir des concessions de la part du gouvernement, quel qu’il soit. Du reste et pour finir, nous sommes convaincus que ces luttes tendront mécaniquement à renforcer la solidarité de classe et à générer, à terme, un front citoyen stable et durable dans le temps, organisé de telle façon à pouvoir protéger la population et préparer le pays à une victoire politique d’une gauche éco-socialiste, et aux réformes qui pourraient suivre.
4356
Logo du journal Renegados

12 janvier 2011 - L’éveil du militaire : le Général Leopoldo Sapateiro aurait qualifié de foireux, le classement des personnalités masculines les plus puissantes au monde et dans lequel il ne figure pas.


Le Général Leopoldo Sapateiro, à la tête du Pontarbello et de ses forces armées, n'est-il pas valablement admissible parmi les quinze personnalités politiques les plus puissantes au monde?
Ayant enregistré des victoires militaires contre l’Empire listonien, le Pharois Syndikaali, les Brigades Solaires Kah-tanaises et plus récemment des paramilitaires porto-mundois, le Général Leopoldo Sapateiro trouve “sans saveur” le classement par le journal cantais “Das Kleine Nagetier” des personnalités politiques masculines les plus puissantes à travers le monde.

Bien que l’Aleucie ne soit pas un continent central dans l’organisation des dynamiques politiques, militaires et commerciales mondiales, il convient de noter que celui-ci a malgré tout occupé une large part de l’actualité internationale, considérant la lente mais inexorable ascension du Général Leopoldo Sapateiro, commandant-en-chef de l’Armée Nationale du Pontarbello Libre et gouvernant suprême et incontesté de la République d’Union Nationale du Pontarbello. Un tapage médiatique peu glorieux il faut en convenir, car chacune des bribes d’information qui étaient émises à l’international sur ce continent rapportait les inlassables conflictualités et escarmouches militaires.

Guerre d’indépendance contre l’Empire Listonien, guerre défensive contre les Brigades solaires kah-tanaises venues envahir le pays, guerre de reconquête face à l’occupation militaire illégale des autorités pharoises, l’Armée Nationale du Pontarbello Libre avec le Général Leopoldo Sapateiro à sa tête, s’est heurtée à de nombreux défis qui font aujourd’hui de ses composantes militaires, à commencer par sa gouvernance, des politiques de renom sur la scène internationale. Une quête de reconnaissance perpétuelle, débutée depuis l’indépendance du pays, et qui trouve encore au Canta, de nombreuses limites. Juchée en marge de la scène internationale, à l’ombre des banquises et sous le climat endolori par les températures basses, la Fédération Monarchique des Peuples Unis de Canta semble donc condamnée à limiter son analyse des rapports de force par le seul poids qu’entretiennent les objets de son étude, là où avec des moyens nettement moindres, la République d’Union Nationale du Pontarbello s’est hissée là où on ne l’attendait, exposant chacun de ses 15 211 km², à la vue des nations du monde.

Mais si la République Nationale du Pontarbello est célèbre, peut-on en dire autant de son gouvernant?La presse cantaise, par l’entretien de classements toujours aussi surprenants, semble avoir définitivement tranché que non, en occultant la contribution du Général Leopoldo Sapateiro, dans la construction ou pour le coup, la déconstruction, des relations politiques locales au sein de la péninsule sud-aleucienne mais aussi au-delà. Dans un monde tourmenté par les conflits et les rivalités armées, le Général Leopoldo Sapateiro semble avoir tissé pour le Pontarbello, une toile qui ne parvient pas à dessiner son visage auprès de la société civile cantaise. Un point notable et dommageable sur lequel la gouvernance pontarbelloise pourrait possiblement travailler, pour aller dans le sens d’une internationalisation, un long processus qui débute immanquablement par la reconnaissance de ses dirigeants sur la scène mondiale. Dès lors, aussi peu significatif puisse apparaître le classement cantais des hommes politiques puissants et influents du monde, compte tenu de l’impact limité de ses lectures journalistiques à l’international, toute la classe gouvernante installée à Santialche, la capitale pontarbelloise, semble convenue qu’une réelle piste d'amélioration est à entamer sur le sujet, bien qu’en l’espèce le classement des personnalités politiques développé par la presse de la Fédération Monarchique des Peuples Unis de Canta puisse leur apparaître “bâclé” selon les propres mots du Général Leopoldo Sapateiro.

Il faut bien lui concéder que dans un monde les armes tendent à s’exprimer de plus en plus et à supplanter la légitimité naturelle de l’ordre des choses, la République d’Union Nationale du Pontarbello, sous la houlette du Général Leopoldo Sapateiro, sait se servir des siennes lorsque c’est nécessaire, ne s’interdisant aucun ennemi pour asseoir sa volonté, qu’il prétend exprimer au nom de son peuple.

Auteur de diatribes violentes et d’opérations militaires spectaculaires contre ses ennemis, le Général Leopoldo Sapateiro s’est fait une nouvelle incarnation de la force, tant à l’intérieur de son pays qu’à l‘extérieur. Dès lors, interrogeons-nous, le Commandant-en-chef de l’Armée Nationale du Pontarbello Libre a-t-il une place sur le podium des 15 personnalités politiques masculines, les plus puissantes au monde?
Haut de page