À destination de Jōjima KORI, Ministre de l'Economie, du Commerce et de l'Industrie et SUZUKI Yoshi, ministre des Affaires Étrangères du FujiwaTrès chers amis du Fujiwa,
Je me permets de vous écrire aujourd’hui pour parler de plusieurs sujets d'envergure pour améliorer nos relations de voisinage.
Tout d’abord, concernant notre partenariat sur le nucléaire, je suis vraiment très heureuse de voir que nous sommes sur la même longueur d’ondes et j’espère que nos équipes pourront travailler ensemble au plus vite, je crois d’ailleurs qu’une première réunion de travail est prévue dans les prochains jours. Ensuite, toujours sur le sujet de l'énergie, je vous propose de rejoindre notre initiative locale sur le renforcement des interconnexions nazumis en matière d'électricité.
Ensuite, comme nous l’avions déjà abordé lors d’une précédente rencontre trilatérale, les relations “virtuelles” entre les pays du Nazum : électricité, télécommunications… sont primordiales de nos jours. Il parait nécessaire qu’aujourd’hui les pays du Nazum montrent au monde entier l'étendue de leurs relations amicales en dépassant les simples poignées de mains amicales et les messages doux. De ce fait, je vous propose, si vous le voulez bien, que nous engagions un vaste processus de coopérations mutuellement bénéfique, aboutissant à la création de plusieurs liaisons sous-marines dans le domaine des télécommunications et de l’énergie. Ces nouvelles liaisons pourront participer à la consolidation et la sécurisation de l'approvisionnement en électricité de nos deux pays, l'objectif étant qu'en cas de défaillance d'une centrale ou de plusieurs centrales d’un même pays, les centrales d’un pays voisin lui viennent en aide. Elles permettront également de mieux répartir l'électricité non pilotable produite par les énergies renouvelables non pilotables. Pour les câbles en fibre optique, ils permettent à nos concitoyens et à nos entreprises de conserver, échanger des informations, commercer… à la vitesse de la lumière. A terme, il serait idéal que l’ensemble du Nazum soit concerné par ce système d’échanges sous-marins.
Par ailleurs, je lis régulièrement votre presse et j’ai récemment vu que vous êtes en train d’étudier la création d’une armée professionnelle et que vous souhaitez instaurer un service militaire. J’ai également lu votre intention de vous doter en armes étrangères, peut être burujoises, afin de compléter au plus vite votre armée. Sachez que le Burujoa vous soutient totalement dans votre volonté de renforcer votre Sécurité Nationale. Nous sommes donc prêt à vous aider pour acquérir des armes, le Burujoa pourra vous aider pour acquérir des navires de très hautes technologies : de la petite vedette au porte action, du dragueur de mines au destroyer et de la corvette au navire cargo. Nous pourrons également vous aider dans un certain nombre de véhicules terrestres. Cependant, notre industrie militaire reste assez limitée et nous pourrons également vous parrainer auprès des industries NIUCanta, je sais qu’avec notre parrainage, vous aurez le droit à 50% de réduction immédiate sur l’ensemble des armes produites dans la Fédération nordique.
Chaleureusement
Karaimu, le 3 mai 2010, Keiko Burujoa, princesse burujoise et directrice du département des affaires étrangères