26/02/2015
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[TERMINÉ] Rencontre diplomatique Pharois/Loduarie, Port-Lodin - Page 2

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Un regard suffit aux Pharois pour se concerter. Puis Sakari hocha gentiment la tête.

Sakari : « C’est un prix d’amis, mais il nous convient. »

Killikki : « Pour Peprolov, sauf votre respect camarade, respecter la souveraineté démocratique de la République est une priorité, garantie par le Syndikaali. Même si nos deux pays sont proches, je ne peux que vous déconseiller d’y faire de l’ingérence, chaque peuple est souverain et responsable de ses choix politiques. »

Puis il haussa les épaules.

Killikki : « Pour la plage il faudrait demander aux officiers de l’armée rouge présents sur place, mais je sais que certains ont été exécutés par les putschistes de Staïglad. J’imagine que c’est à eux qu’il faut demander des comptes. »
La conversation dévia ensuite vers la proposition de Doline qui semblait très intéresser Mainio. Sans doute un peu trop aux regards que lui adressait son homologue Killikki

Mainio : « Tout dépend de ce que vous appelez lois fondamentales, mais si elles ne s’opposent pas à la bonne tenue du commerce – c’est aussi affaire de message renvoyé – tout devrait bien aller. J’insiste néanmoins, c’est notre contrepartie, sur le contrôle accordé au Syndikaali sur les affaires commerciales dans cette zone. La Merenlävät doit y être souveraine pour faire respecter les lois du marché et mener ses enquêtes sans quoi… à nouveau c'est une question de crédibilité économique. Aucune nation libérale n’investira dans un territoire communiste. S’il existe le moindre risque que du jour au lendemain le gouvernement Loduarien puisse se mettre en tête de tout nationaliser, ce sera un pari trop risqué pour les investisseurs. Le Pharois doit avoir une marge de manœuvre, et des garanties, si ce n’est en termes de durée, au moins accorder un temps minimum incompressible en cas de rupture de l’accord. »
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Mmmmmm. Vous avez sûrement raison, camarade Killikki. Mais j'espère que les communistes de Peprolov arriveront à s'unir, sinon la menace des extrêmes de droite viendra toquer à leurs portes...
Ésperons également que le peuple fasse le meilleur choix pour lui.

Raaaah, et ces connards de putschistes, j'espère qu'ils pourront nous éclairer sur le sujet de nos humanitaires, parce que cette fois çi ils risquent de le sentir passer !


Lorenzo consulta son dossier sur le sujet de Dolinne.

Bien entendu, camarade Mainio. L'objectif n'est pas de faire plonger une économie nouvelle localisé, bien au contraire. Quand je parle de lois fondamentales, je parle des législations Loduariennes, notamment les droits et le devoirs de chaque personne qui foule le territoire Loduarien. Par exemple, l'illégalité du meurtre, et autres lois similaires. Tant que la police Loduarienne peut continuer à intervenir à Dolinne dans les secteurs capitalisés et libre sur le marché, tout en conservant ce droit, tout est bon pour nous. Est-ce bon pour vous ?
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Killikki : « Au Prodnov, le peuple est divisé, tout le problème est là. »

Mainio : « Et nous avons bon espoir qu’un sain processus démocratique permettra de dépasser les fractures et les plaies, n’est-ce pas citoyen ? »

Killikki : « Assurément. »

Le Capitaine Mainio hocha ensuite la tête en direction de Lorenzo Geraert-Wojtkowiak

Mainio : « Il va de soi que les droits fondamentaux seront respectés, il ne s’agit en aucun cas de faire de cette zone une région de non-droits, sinon ma foi, qui voudrait y investir ? Au contraire, un enjeu crucial sera de faire respecter les règles du jeu, à commencer par celle du droit de propriété et à la discrétion des investisseurs. Si nous sommes d’accord là-dessus, je pense en effet que tout est bon cher ami. »
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Hé bien, je pense que tout est bon alors ! Il ne nous restera plus qu'à signer.
Mais il me reste une dernière chose à aborder. Lors de votre dernière lettre, vous aviez abordé le sujet de la C.A.R.P.E., notamment sur leurs nombreux rapports. Quels sujets souhaitiez vous aborder donc ?
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Le Capitaine Mainio hocha la tête d’un air tranquille.

Mainio : « En effet cher ami, en effet, mais à dire vrai certaines des questions que nous désirions soulever l’ont déjà été lors de la question du croiseur, je crois pour ma part que tout est réglé de notre côté, sauf bien sûr si mes amis ont quelque chose à ajouter ? »
La ministre Marketta sourit.

Marketta : « Je pense que nous avons tous suffisamment travaillé pour aujourd’hui capitaine. »
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Lorenzo se posa plus tranquillement sur ça chaise.

Alors, parfait dans ce cas ! Nous pouvons signer !

Il ouvrit un tiroir du bureau, et sortit une bouteille de vin rouge, ainsi que 5 verres à vin.

Mais n'oublions pas fêter ça ! Voici une bouteille de vin des vignobles Galaisiens. Très vieille ! Mon père en avait acheté 5 lors de ma naissance, en 1980. Il les avait laissé dans une de ses caves, puis les années sombres sont arrivés. Mais par un agréable hasard, elles n'ont pas été détruites par la guerre civile et j'ai pu les retrouver. Je les réserve pour les grandes occasions. Vous m'en direz des nouvelles ! Et si vous n'en voulez pas, je ne vous en tiendrai pas rigueur. Chacun ses goûts !

Il remplit les 5 verres, puis nota rapidement quelque chose.
Puis il le présenta au ministres.

Voici notre contrat, camarades. À vous de jouer, maintenant.

Lorenzo a écrit :
ACCORDS DE PORT-LODIN / RENCONTRE DIPLOMATIQUE ENTRE LE PHAROIS SYNDIKAALI ET LA DÉMOCRATIE COMMUNISTE DE LODUARIE


Ces accords ne sont nullement secrets. Il peuvent être révélés au public après leur signature. Ces accords ont une portée militaire et économique.

Accord numéro 1
La Loduarie donne la charge au ingénieurs Pharois et travailleurs Pharois d'innover et de construire un croiseur de 3ème génération. Celui-ci devra comporter les exigences demandées par les équipes scientifiques Loduariennes. La Loduarie s'engage à payer la somme de 120 000 équivalent écailles Pharoises au Pharois Syndikaali, pour payer la fabrication du croiseur. De facto, le croiseur est directement Loduarien malgré sont développement et sa conception au Pharois Syndikaali. Le Pharois Syndikaali s'engage à reverser la moitié de la sommes payée au territoire de Peprolov, afin d'aider la nouvelle nation Peprovite à se développer.
Enfin, le Pharois Syndikaali s'engage à protéger et à aider le croiseur Loduarien dans ses opérations avec une partie de sa flotte, dont les effectifs seront décidés en collaboration avec l'état major Pharois et en fonction des possibilités Pharoises.

Accord numéro 2
Dans la ville de Dolinne en Loduarie, sera créé une zone où l'économie capitaliste pourra fleurir. Le Pharois Syndikaali s'engage à aider la Loduarie à la mise en place de cette zone d'économie capitaliste en Loduarie et à investir économiquement en elle. Cette zone sera libéré de toute législation à but communiste, mais les lois fondamentales Loduariennes du respect d'autri devront être respectés.

Signatures :







Ces accords peuvent être révoqués à tout moment après concertation entre les parties prenantes.

Et bien voilà, c'est fait. Si il y a des choses à rajouter, dites le moi, afin que nous ne signons pas un mauvais accord.
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Une fois n’était pas coutume, ce fut le Citoyen Sakari qui, manifestement satisfait que la rencontre se soit bien terminée, osa une plaisanterie.

Sakari : « Faites vous toutes vos affaires diplomatiques ivres, camarade Lorenzo ? Je n’ose pas imaginer votre conseil des ministres. »
Son ventripotent homologue pouffa.

Mainio : « Allons ! N’avons-nous jamais été ivre nous-mêmes aux notres ? »

Killikki : « Non jamais, c’est assez peu professionnel. »

Le capitaine leva les yeux au ciel.

Mainio : « Un jour, mon cher Killikki, je vous enseignerai deux trois arcanes de diplomatie. Trinquons à cet accord, toutefois ! Mais avant, je dois lire. »
Il s’avança vers le document et, ses trois compères par-dessus son épaule, en déchiffrèrent les tenants et aboutissants. Mainio hochait la tête d’un air confiant, Killikki fronçait les sourcils, Marketta arborait un petit sourire amusé et Sakari se mâchait l’intérieure des joues, visiblement concentré.

Mainio : « Bien bien, peut-être, quelques précisions toutefois. Un bon contrat dit les termes n’est-ce pas, le droit ne s’embarrasse pas de fioritures j’aime à penser que comme les mathématiques, c’est un modèle froid qui a parfois son charme. »

Sakari : « Comme les femmes : froides au bureau, et chaudes au lit. »

Tout le monde le regarda avec de grands yeux. Le jeune homme s’empourpra et rendit un regard éberlué au Capitaine Mainio.

Sakari : « C’est vous qui avez dit ça une fois ! »

Marketta : « Cher capitaine, vous avez une mauvaise influence sur lui. »

Mainio : « Allons… c'est l'alcool qui parle. Voyons plutôt ce contrat. »

Il se mit à parachever quelques éléments.

Mainio : « Tout d’abord, et ce jusqu’à ce que le croiseur soit terminé, j’apprécierai que cet accord demeure secret. Cela nous évitera des pressions politiques extérieures, préservera l’effet de surprise et nous épargnera un stupide course à l’armement avec vos voisins. Il ne s’agit pas de paniquer toute l’Eurysie, n’est-ce pas ?

Ensuite, plutôt que « le Pharois Syndikaali s'engage à protéger et à aider le croiseur Loduarien dans ses opérations avec une partie de sa flotte » écrivons « le croiseur Loduarien fera l’objet d’exercice d’entraînement à l’escorte navale avec la marine pharoise ». La première forme laisse penser que nous avons une quelconque forme d’obligation or il est de notre droit souverain de refuser d’engager notre flotte si nous jugeons précisément un projet peu… abouti, disons.

Maintenant concernant l’accord numéro, il est important de préciser spécifiquement deux aspects. Le premier est le statut de Dolinne ne pourra être révoqué par la Loduarie sans que celui-ci n’ait prévenu un an à l’avance – minimum. C’est nécessaire pour donner confiance aux investisseurs et leur laisser le temps de récupérer leurs capitaux en cas de problème. Le non-respect de cette close amènerait à une obligation de réparation d’un montant au moins deux fois égal aux capitaux sur place. Ensuite, et c’est un point important, les services de police locaux devront être délégués aux milices de la Merenlävät. Cela protégera les investisseurs des abus, épargnera des frais d’entretien à la Loduarie et… et bien, ce n’est pas que je n’ai pas confiance dans les institutions communistes, mais un étatisme maladif entraîne souvent des formes larvées de corruption et d’immobilisme. Mieux vaut laisser la gestion de la zone à des professionnels du commerce.

Enfin, le dernier point, précisons qu’outre le délais attendu d’un an pour annuler les lois de Dolinne, le Pharois se réserve le droit de réclamer une compensation financière de 20 000 écailles en cas d’annulation de la construction du croiseur à partir du moment où celle-ci aura commencé. Ce projet va mobiliser notre industrie pendant un long moment, je préfère éviter une annulation de dernière minute, vous le comprenez aisément ? »

Le Capitaine Mainio releva la tête et sourit.

Mainio : « Ces modifications vous semblent-elles acceptables, cher ami ? »
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Lorenzo rigola de bon cœur à la plaisanterie du camarade Sakari.

Haha! Non, ne vous inquiétez pas pour ça, ils le sont très souvent bien avant ! Même si il y a des fois où je me dis qu'il faudrait que j'arrête un peu, c'est pas franchement super pour ma santé...

Puis il attendit la réponse des ministres, et fut autant surpris par la phrase du jeune ministre, avant de rigoler une nouvelle fois.

Hé bien hé bien, en quelques minutes passées avec vous, je n'aurais jamais cru pouvoir entendre ça sortir de votre bouche ! Faudra que je le dise à cette chère Anastasia, je suis sûr que ça la fera beaucoup rire.

Il écouta le capitaine, nota à nouveau quelques choses, puis répondit.

Bien. Concernant le délai d'attente avant la révélation du contrat, ça me va parfaitement. Nous pourrons attendre, et cela nous permettra d'avoir un coup d'avance sur nos ennemis potentiels. Le reste me va également, je modifie ça tout de suite.

Concernant Dolinne. Je tiens quand même à rajouter quelques choses. En temps de guerre, nous nous réservons un droit de contrôle total sur Dolinne. Ce point là est non négociable, il s'agit là d'une mesure de protection de notre nation et de nos citoyens, l'économie passe après. Bien entendu, seulement en cas de guerre défensive. En cas d'attentat, je pense que nos forces anti-terroristes pourront agir. Il s'agit de forces plus grandes et plus surveillés que quelques fonctionnaires, donc je pense que ce point pourra être approuvé facilement. Sinon, le reste me va parfaitement.

Je rajoute également la clause concernant l'annulation de la fabrication du croiseur, même si il est très peu probable qu'elle soit utilisée. Mais si vous souhaitez révoquer l'accord numéro 1, dans ce cas nous exigerons un remboursement total de la somme que nous avons déboursé à votre intention.

Nous avons donc ceci !


Il tendit une nouvelle feuille, où il avait tout rédigé rapidement.

Lorenzo a écrit :
ACCORDS DE PORT-LODIN / RENCONTRE DIPLOMATIQUE ENTRE LE PHAROIS SYNDIKAALI ET LA DÉMOCRATIE COMMUNISTE DE LODUARIE


Ces accords sont secrets. Il ne peuvent être révélés au public après leur signature, uniquement après la fin de construction du croiseur. Ces accords ont une portée militaire et économique.

Accord numéro 1
La Loduarie donne la charge au ingénieurs Pharois et travailleurs Pharois d'innover et de construire un croiseur de 3ème génération. Celui-ci devra comporter les exigences demandées par les équipes scientifiques Loduariennes. La Loduarie s'engage à payer la somme de 120 000 équivalent écailles Pharoises au Pharois Syndikaali, pour payer la fabrication du croiseur. De facto, le croiseur est directement Loduarien malgré sont développement et sa conception au Pharois Syndikaali. Le Pharois Syndikaali s'engage à reverser la moitié de la sommes payée au territoire de Peprolov, afin d'aider la nouvelle nation Peprovite à se développer.
Enfin, le croiseur Loduarien fera l’objet d’exercice d’entraînement à l’escorte navale avec la marine Pharoise avec une partie de sa flotte, dont les effectifs seront décidés en collaboration avec l'état major Pharois et en fonction des possibilités Pharoises.

Accord numéro 2
Dans la ville de Dolinne en Loduarie, sera créé une zone où l'économie capitaliste pourra fleurir. Le Pharois Syndikaali s'engage à aider la Loduarie à la mise en place de cette zone d'économie capitaliste en Loduarie et à investir économiquement en elle. Cette zone sera libéré de toute législation à but communiste, mais les lois fondamentales Loduariennes du respect d'autri devront être respectés.
Les milices locales de la Merenlävät se chargeront de faire appliquer les lois Loduariennes sur les territoires concernés par l'accord.
Si un attentat se déclare dans les territoires concernés par l'accord, les forces de prévention et d'action anti-terroristes pourront agir dans le cadre de leurs fonctions.
En cas de guerre défensive portant atteinte à l'intégrité territoriale Loduarienne ou de son allié Lambrois, la Loduarie Communiste se réserve le droit de contrôle total et direct de toute la ville de Dolinne, y compris les territoires concernés par l'accord.

Signatures :







L'accord numéro 1 ne peut être révoqué par la Loduarie Communiste que si une somme de dédommagement à la hauteur de 20 000 écailles Pharoises est remboursé au Pharois Syndikaali.
L'accord numéro 1 ne peut être révoqué par le Pharois Syndikaali que si la sommes de 120 000 écailles Pharoises est remboursé à la Loduarie.
La révocation de l'accord numéro 2 ne peut se faire que 1 ans en avance, sauf dans le cas d'une guerre défensive portant atteinte à l'intégrité territoriale de la Loduarie Communiste et de son allié Lambrois.

Est ce tout bon, cette fois çi ?
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Docilement, le capitaine Mainio hocha la tête aux explications de Lorenzo Geraert-Wojtkowiak, comme s'il inscrivait chacune dans son esprit en même temps que celui-ci parlait.

Mainio : « Je comprends parfaitement, disons dans ce cas qu’en cas de guerre défensive, votre gouvernement aura évidement tout contrôle sur Dolinne, en précisant néanmoins que les réparations de guerre prises en charge par la partie perdante incluront un remboursement des destructions matérielles et du manque à gagner pour les entreprises sur place. Sinon ma foi il suffirait d’une guerre pour rafler toute la mise, ce serait risquer de faire fuir les investisseurs. »


ACCORDS DE PORT-LODIN / RENCONTRE DIPLOMATIQUE ENTRE LE PHAROIS SYNDIKAALI ET LA DÉMOCRATIE COMMUNISTE DE LODUARIE


Ces accords sont secrets. Il ne peuvent être révélés au public après leur signature, uniquement après la fin de construction du croiseur. Ces accords ont une portée militaire et économique.

Accord numéro 1
La Loduarie donne la charge au ingénieurs Pharois et travailleurs Pharois d'innover et de construire un croiseur de 3ème génération. Celui-ci devra comporter les exigences demandées par les équipes scientifiques Loduariennes. La Loduarie s'engage à payer la somme de 120 000 équivalent écailles Pharoises au Pharois Syndikaali, pour payer la fabrication du croiseur. De facto, le croiseur est directement Loduarien malgré sont développement et sa conception au Pharois Syndikaali. Le Pharois Syndikaali s'engage à reverser la moitié de la sommes payée au territoire de Peprolov, afin d'aider la nouvelle nation Peprovite à se développer.
Enfin, le croiseur Loduarien fera l’objet d’exercice d’entraînement à l’escorte navale avec la marine Pharoise avec une partie de sa flotte, dont les effectifs seront décidés en collaboration avec l'état major Pharois et en fonction des possibilités Pharoises.

Accord numéro 2
Dans la ville de Dolinne en Loduarie, sera créé une zone où l'économie capitaliste pourra fleurir. Le Pharois Syndikaali s'engage à aider la Loduarie à la mise en place de cette zone d'économie capitaliste en Loduarie et à investir économiquement en elle. Cette zone sera libéré de toute législation à but communiste, mais les lois fondamentales Loduariennes du respect d’autrui devront être respectés.
Les milices locales de la Merenlävät se chargeront de faire appliquer les lois Loduariennes sur les territoires concernés par l'accord.
Si un attentat se déclare dans les territoires concernés par l'accord, les forces de prévention et d'action anti-terroristes pourront agir dans le cadre de leurs fonctions.
En cas de guerre défensive portant atteinte à l'intégrité territoriale Loduarienne ou de son allié Lambrois, la Loduarie Communiste se réserve le droit de contrôle total et direct de toute la ville de Dolinne, y compris les territoires concernés par l'accord. Une fois le conflit terminé, les réparations de guerre prises en charge par la partie perdante incluront un remboursement majoré des destructions matérielle et du manque à gagner pour les entreprises et investisseurs présents sur place sur place.

Signatures :

Mainio Halko, ministre des Intérêts internationaux du Pharois Syndikaali



L'accord numéro 1 ne peut être révoqué par la Loduarie Communiste que si une somme de dédommagement à la hauteur de 20 000 écailles Pharoises est remboursé au Pharois Syndikaali.
L'accord numéro 1 ne peut être révoqué par le Pharois Syndikaali que si la sommes de 120 000 écailles Pharoises est remboursé à la Loduarie.
La révocation de l'accord numéro 2 ne peut se faire que 1 ans en avance, sauf dans le cas d'une guerre défensive portant atteinte à l'intégrité territoriale de la Loduarie Communiste et de son allié Lambrois.


D'un geste rapide, il avait signé en bas du document. Ses homologues ne firent pas signe pour l’imiter, semblant manifestement atteindre le verdict du Loduarien. Ce n'était pas tous les jours qu'on signait un accord à 120 000 écailles, après tout, il fallait faire cela dans les règles de l'art.
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Bien, dans ce cas, nous sommes d'accord. Mais si la Loduarie perd une guerre, je ne pense pas qu'il existera encore une partie perdante. Vu l'état d'esprit Loduarien, la sombrera dans une guerre civile sans précédent.
Mais bref, plus qu'à signer !


ACCORDS DE PORT-LODIN / RENCONTRE DIPLOMATIQUE ENTRE LE PHAROIS SYNDIKAALI ET LA DÉMOCRATIE COMMUNISTE DE LODUARIE


Ces accords sont secrets. Il ne peuvent être révélés au public après leur signature, uniquement après la fin de construction du croiseur. Ces accords ont une portée militaire et économique.

Accord numéro 1
La Loduarie donne la charge au ingénieurs Pharois et travailleurs Pharois d'innover et de construire un croiseur de 3ème génération. Celui-ci devra comporter les exigences demandées par les équipes scientifiques Loduariennes. La Loduarie s'engage à payer la somme de 120 000 équivalent écailles Pharoises au Pharois Syndikaali, pour payer la fabrication du croiseur. De facto, le croiseur est directement Loduarien malgré sont développement et sa conception au Pharois Syndikaali. Le Pharois Syndikaali s'engage à reverser la moitié de la sommes payée au territoire de Peprolov, afin d'aider la nouvelle nation Peprovite à se développer.
Enfin, le croiseur Loduarien fera l’objet d’exercice d’entraînement à l’escorte navale avec la marine Pharoise avec une partie de sa flotte, dont les effectifs seront décidés en collaboration avec l'état major Pharois et en fonction des possibilités Pharoises.

Accord numéro 2
Dans la ville de Dolinne en Loduarie, sera créé une zone où l'économie capitaliste pourra fleurir. Le Pharois Syndikaali s'engage à aider la Loduarie à la mise en place de cette zone d'économie capitaliste en Loduarie et à investir économiquement en elle. Cette zone sera libéré de toute législation à but communiste, mais les lois fondamentales Loduariennes du respect d’autrui devront être respectés.
Les milices locales de la Merenlävät se chargeront de faire appliquer les lois Loduariennes sur les territoires concernés par l'accord.
Si un attentat se déclare dans les territoires concernés par l'accord, les forces de prévention et d'action anti-terroristes pourront agir dans le cadre de leurs fonctions.
En cas de guerre défensive portant atteinte à l'intégrité territoriale Loduarienne ou de son allié Lambrois, la Loduarie Communiste se réserve le droit de contrôle total et direct de toute la ville de Dolinne, y compris les territoires concernés par l'accord. Une fois le conflit terminé, les réparations de guerre prises en charge par la partie perdante incluront un remboursement majoré des destructions matérielle et du manque à gagner pour les entreprises et investisseurs présents sur place sur place.

Signatures :

Mainio Halko, ministre des Intérêts internationaux du Pharois Syndikaali
Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, Secrétaire Général de la Démocratie Communiste de Loduarie

L'accord numéro 1 ne peut être révoqué par la Loduarie Communiste que si une somme de dédommagement à la hauteur de 20 000 écailles Pharoises est remboursé au Pharois Syndikaali.
L'accord numéro 1 ne peut être révoqué par le Pharois Syndikaali que si la sommes de 120 000 écailles Pharoises est remboursé à la Loduarie.
La révocation de l'accord numéro 2 ne peut se faire que 1 ans en avance, sauf dans le cas d'une guerre défensive portant atteinte à l'intégrité territoriale de la Loduarie Communiste et de son allié Lambrois.

Bien camarades, accord conclu !
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Bien camarades, cette rencontre est dès maintenant terminée ! Si vous voulez bien me suivre...

Lorenzo se leva, puis se dirigea vers l'arrière du Fendant, où un hélicoptère de transport les attendait. Il invita les ministres à monter, puis monta lui même. L'hélicoptère commença à décoller en direction du port où les attendait leur navire.

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Vous avez vu ? C'est drôle, cette rencontre ce sera déroulée sur terre, mer, et dans les airs !

L'hélicoptère atterrit. Lorenzo descendit, les ministres également, mais il ne les laissa pas partir.

Camarade Killikki ? Je crois que nous devons parler de quelque chose.

Il l'attirat un peu plus loin, de manière à lui parler en privé.

Message secretInformation secrète réservée aux personnes autorisées

Puis il revînt vers les Pharois, leur échangea une poignée de main ferme et leur dit :

Si jamais vous souhaitez revenir en Loduarie, que ce soit pour la diplomatie ou juste pour prendre un verre en ma compagnie, n'hésitez pas, venez, camarades. Mais attendant, au revoir et à bientôt, camarades ! Puisse l'esprit de la révolution vous accompagner pour toujours.

Ils montèrent dans leur navire, puis partirent.
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