Un regard suffit aux Pharois pour se concerter. Puis Sakari hocha gentiment la tête.
Puis il haussa les épaules.
La conversation dévia ensuite vers la proposition de Doline qui semblait très intéresser Mainio. Sans doute un peu trop aux regards que lui adressait son homologue Killikki
Sakari : « C’est un prix d’amis, mais il nous convient. »
Killikki : « Pour Peprolov, sauf votre respect camarade, respecter la souveraineté démocratique de la République est une priorité, garantie par le Syndikaali. Même si nos deux pays sont proches, je ne peux que vous déconseiller d’y faire de l’ingérence, chaque peuple est souverain et responsable de ses choix politiques. »
Killikki : « Pour Peprolov, sauf votre respect camarade, respecter la souveraineté démocratique de la République est une priorité, garantie par le Syndikaali. Même si nos deux pays sont proches, je ne peux que vous déconseiller d’y faire de l’ingérence, chaque peuple est souverain et responsable de ses choix politiques. »
Puis il haussa les épaules.
Killikki : « Pour la plage il faudrait demander aux officiers de l’armée rouge présents sur place, mais je sais que certains ont été exécutés par les putschistes de Staïglad. J’imagine que c’est à eux qu’il faut demander des comptes. »
La conversation dévia ensuite vers la proposition de Doline qui semblait très intéresser Mainio. Sans doute un peu trop aux regards que lui adressait son homologue Killikki
Mainio : « Tout dépend de ce que vous appelez lois fondamentales, mais si elles ne s’opposent pas à la bonne tenue du commerce – c’est aussi affaire de message renvoyé – tout devrait bien aller. J’insiste néanmoins, c’est notre contrepartie, sur le contrôle accordé au Syndikaali sur les affaires commerciales dans cette zone. La Merenlävät doit y être souveraine pour faire respecter les lois du marché et mener ses enquêtes sans quoi… à nouveau c'est une question de crédibilité économique. Aucune nation libérale n’investira dans un territoire communiste. S’il existe le moindre risque que du jour au lendemain le gouvernement Loduarien puisse se mettre en tête de tout nationaliser, ce sera un pari trop risqué pour les investisseurs. Le Pharois doit avoir une marge de manœuvre, et des garanties, si ce n’est en termes de durée, au moins accorder un temps minimum incompressible en cas de rupture de l’accord. »