l'honorable
M. Vanwe PIOTROFF,
Du Duché de Gallouèse,
Par le royaume de Bratolia,
Nous vous présentons nos plus sincères salutations, et sommes heureux de votre réponse à notre dernière lettre qui comble de satisfaction mon gouvernement et moi-même sur de nombreux points, si ce ne sont quelques points litigieux que je m'en vais vous exposer par la suite.
Tout d'abord nous prenons acte de votre accueil chaleureux, et qui nous réjouit au plus haut point, que vous nous faites parmi le concert des nations. Comme vous le dites il est temps que nous nous ouvrions au monde, même si nous ne voyons pas les choses a votre façon sur beaucoup de sujets, malheureusement.
Nous prenons note de nos échange d'ambassadeurs et nous réjouissons de votre accord. Nous considérons dès à présent les relations entre nos deux états comme sérieusement établie dans une dynamique de confiance. Son excellence M.Xari Zamrïev, ambassadeur destiné à votre pays n'attend plus que l'arrivée du votre afin d'acter son départ vers les quartiers que vous lui réservez.
Nous acceptons toutes les mesures prise a notre encontre quant aux tarifs douaniers et l'octroi de visas obligatoire nécessaire à l'accès de votre territoire. Nous procéderont de même a votre encontre, sur ce point nous sommes en accord total. Au niveau des transports je me dois de vous signaler que nous ne possédons aucun aéroport pour le moment, même si la construction d'un premier est déjà acté dans le cadre de l'Ouverture.
Nous tenons également à vous remerciez de cette connexion autoroutière que vous proposez avec le système routier Bratolien. De notre côté les murailles démantelées laisseront place à des postes douaniers visant le contrôle des biens et des personnes, dans un esprit de collaboration avec vos propres services pour le bien commun de nos états.
Par contre, c'est ici que je me dois de changer de ton, car pour le reste de votre lettre sachez que vos propos nous étonnent et nous déçoivent beaucoup. Ce respect aux libertés individuelle et collective que vous avez l'air de nous recommander et que vous semblez apprécier au plus haut point ressemble a s'y méprendre à une intrusion dans notre politique intérieure même si vous avez la décence de le nier. Notre souverain est suffisamment éclairé pour ne pas avoir besoin de vos conseils.
Alors deux solutions découle de cette situation :
1. Vous faîtes une exception a votre loi de mars que vous mentionnez dans votre lettre et nous pourrons trouver un accord qui nous conviennent mutuellement, après tout qu'est-ce qu'une loi à coté de l'opportunité du commerce ?
2. Nous abandonnons à grand regret l'idée d'un traité commercial ,tout en sachant que cela ne change rien à la confiance et le désir de collaboration que nous vous portons.
Je termine ici ma lettre, en l'attente d'avoir bientôt de vos nouvelles,
Je vous salue, et mon Roi passe ses salutations à votre Duc,