25/01/2018
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[PRESSE] Activités médiatiques au Pontarbello - Page 3

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12 juillet 2017 - Le Pontarbello fête ses dix ans post-indépendance aux côtés d'une dizaine de nations.

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Des soldats icamiens défilant en tenue de libération (avec des ossements réputés humains, floutés à la retranscription), un officiel icamien testant un cigare de fabrication pontarbelloise ainsi qu'un patrouille de ... diffusant une fumée aux couleurs nationales.

Dix ans après la proclamation de l'indépendance, le pays affiche sa prospérité, sa force et la normalisation de ses relations internationales avec un parterre d'invités représentants rien de moins que dix-sept nations intercontinentales. Oui, notre jeune mais grande République aborde ce mois de juillet avec un sentiment bien singulier à l'esprit. Un sentiment de fierté et de reconnaissance, illustré d'une ferveur citoyenne généralisée au sein de la foule, venue en masse aux abords des avenues principales de la capitale pontarbelloise, sur lesquelles s'apprêtent à défiler près d'un millier de soldats du pays dont les flancs seront symboliquement occupés par des pays amis, d'ici ou d'ailleurs. Un sentiment de légitimité à l'international, qui plonge les citoyens présents dans des actes de liesse au passage des nombreuses caméras venues couvrir l'évènement décennal, mettant un nouveau point à la Guerre d'Indépendance. Un point final? Non ! Un guillemet, un tiret voire un saut de page, pour réinscrire ce que sera la République d'Union Nationale du Pontarbello de demain. Une journée qui vient donc rendre hommages aux actions héroïques de ces hommes et de ces femmes engagés pour notre indépendance en 2007 et dont la réussite militaire collective a permis à l'Armée Nationale du Pontarbello Libre de se faire un nom plus légitime que jamais.

Le Général Leopoldo Sapateiro, érigé en forgeron d'un Pontarbello indépendant, réussissant à briser les chaînes coloniales entretenues par la Listonie et les milices oppressives rouges kah-tanaises, insiste pour tenir cette renaissance victorieuse gravée à jamais au sein des sommaires de chaque livre d'Histoire du pays, faisant par la même de ce 12 juillet un jour de fête nationale chômé pour chacun, afin que tous puisse rendre l'hommage légitime voulu à nos forces armées et l'esprit citoyen et républicain du Pontarbello. Une journée de partage, de souvenir et d'union, entre un peuple et son armée ayant fait la démonstration commune d'un courage intarissable et d'une volonté inaltérable vers la victoire dont tous jouissent aujourd'hui. C'est donc avec cet objectif le plus noble que des foules citoyennes ont envahi les avenues pavées de la capitale pontarbelloise Santialche, aux tenues colorées de bleu nuit et brun noisette. Un défilé militaire grandiose, à l'image du chemin parcouru par le peuple pontarbellois au lendemain de la Guerre d'Indépendance et de l'invasion kah-tanaise.

Sous le regard du Général Leopoldo Sapateiro, des officiels de notre pays et de pays amis, les troupes de l'Armée Nationale du Pontarbello Libre se sont mises à parader dans un ordre serré. Des hommes et des femmes au regard fier, à la mine résolue, au devant de blindés anthologiques de cet anniversaire maintenant fait décennal. Une prestation cérémonielle déroulée sous les acclamations soutenues de la population, vivement impressionnée par le passage d'une escadrille de chasseurs CIN-1, coconstruit à l'international, reflet authentique de l'ouverture nationale du Pontarbello. Les "cinõs" comme la population aime désormais les appeler avec affection, ont libéré plusieurs trainées de fumées bleues et marrons dans le ciel, rappelant à chacun la portée de ce jour historique, ainsi que peut-être la capacité du Pontarbello à défendre son territoire "de la terre jusqu'aux cieux"... Des mots lourds de sens, quand l'on se remémore l'intervention kah-tanaise visant à priver l'Armée Nationale du Pontarbello Libre de soutien aérien lors de ses opérations terrestres. Une initiative kah-tanaise infâme, au dénouement bienheureux pour le Pontarbello, puisqu'il conduisit à l'engagement de l'aviation alguarena et la destruction pure et simple de l'appareil militaire kah-tanais dans les airs. Une vision inspirante et symbiotique, qui traduit la réussite pontarbelloise sous une série de domaine où on lui promettait l'échec.

Le Général Leopoldo Sapateiro en personne, vêtu de sa tenue militaire cérémonielle qu'on lui connait bien, balayait du regard l'avenue où s'amoncelaient les troupes de plusieurs pays. Une cadence infernale, coordonnée par une rythmique imposée par la présence de fanfares militaires dont le pays se veut friand. Une mélodie qui fut particulièrement scrutée, fut incontestablement celle de notre hymne national, joué par l'orchestre militaire. "Esta é a Nossa Pátria Bem Amada", des mots bien choisis pour véhiculer un message d'amour fraternel entre chaque pontarbellois et fairel 'office d'avertissement aux puissances étrangères qui jadis, rêvaient d'en effacer l'appellation. Une interprétation largement applaudie, crevant l'applaudimètre, après s'être vue reprise par une chorale d'enfants scouts et de vétérans, si bien que le Général Leopoldo Sapateiro lui-même, s'est levé de bon coeur pour partager un sourire de satisfaction avec chacun. A ses côtés, les conseillers n'en firent pas moins, le Colonel Jonatán Yepes, commandant de la Force Ascara partageant même une boite de cigares pontarbellois aux dignitaires étrangers présents. Le cigare est une institution (de luxe) au Pontarbello et nul doute qu'il traduira aux amateurs de tabac, une marque de respect et de convivialité profitable à tous.

Des représentants et délégataires qui sortent du cadre de la figuration puisque c'est bel et bien l'ouverture du Pontarbello qui lui a remis un pied à l'étrier, face à un contexte macroéconomique exigent dans lequel son industrie peinait à se faire la place escomptée. Economie fragile, divisions sociétales, industrie précaire et artisanale, les freins au développement économique du Pontarbello étaient nombreux en sortie de la Guerre d'Indépendance. Mais c'est bien la capacité de la République d'Union Nationale du Pontarbello à renouer des attaches commerciales internationales qui a fini d'irriguer le territoire fertile dont nous nous pouvons nous targuer aujourd'hui. Bien entendu, cet essor commercial n'a été rendu possible que par l'affirmation de chacun, dans un rôle de partie prenante autour d'une volonté collective, chacun de nous ayant tenu son rôle dans l'expression de la grandeur du pays.

La République d'Union Nationale du Pontarbello est aujourd'hui forte d'une armée expérimentée et modernisée, qui comprend certes des unités de combat terrestres, celles-là même qui ont libéré la péninsule sud-aleucienne, mais aussi d'autres équipements recourant des technologies sophistiquées, en lien avec les transmission radio et radars, mais aussi l'aéronautique dont notre armée de l'air entend aujourd'hui faire la démonstration d'une maitrise totale dans les cieux du pays, accomplissant des manoeuvres et acrobaties aériennes complexes, inatteignables il y a encore dix ans lorsque la professionnalisation de l'Armée Nationale du Pontarbello Libre n'était qu'un vaste chantier inanimé. Le niveau opérationnel de nos forces armées n'a jamais été aussi haut, de par une production industrielle nationale, des contrats d'armements et même des donations, notamment celles en provenance du frère alguareno. Nos blindés et éléments d'artillerie, désormais liés autour d'un réseau de radars et de télécommunication dense, n'en seront que plus efficaces. Nous étions hier une citaelle assiégée, par le jusqu'au boutisme listonien, la perfidie kah-tanaise, les malversations porto-mundoise et pharoises, nous sommes aujourd'hui un bastion de liberté, un étendard donné aux peuples aspirant à l'autodétermination, un acteur de dissuasion pour tous les charognards de ce monde. Le peuple, aujourd'hui tenu debout sur les trottoirs de notre belle et prospère capitale, lance des "Viva Pontarbello","viva a República e seu benfeitor" ou encore "Viva o General Sapateiro", avecl a même détermination que ces résistants et combattants de l'ANPL qui, dix ans plus tôt, jeté des grenades sur les blindés kah-tanais. Des marques d'enthousiasme qui nourrissent une vision patriote de l'avenir promis à notre pays et son peuple méritant.

Des alliances et des délégations prestigieuses sont d'ailleurs venues donner un peu de reliefs à ces perspectives futures, des ambassadeurs fortunéens tout d'abord dans des tenues détonantes qui n'ont trouvé que pour réelles concurrences que le plumage des officiels icamiens, à moins que ce ne soit les tenues ossuaires de leurs forces armées, représentations des tenues de la libération. A eux se sont mêlés des hauts fonctionnaires velsniens de la Grande République de Velsna, des patriciens comme on aimerait ls appeler dans les cultures latines d'Eurysie du Sud. Des représentants de la République Fédérale de Tanska ont également fait le déplacement, partageant ds discours de félicitations chaleureuses avec l'autorité militaire à Santialche. Les officiels hafenois, de la région autonome de Port-Hafen, étaient eux-aussi particulièrement scrutés, considérant le passif vécu entre eux et l'Empire Listonien, qui y a commis une série d'exactions contre des populations civiles, aux premiers actes séditieux. Un massacre en bonne et due forme, qui entache encore aujourd'hui la réhabilité durable des autorités listoniennes à l'international. Un passif avec l'Empire listonien que partage aussi à sa manière l'Union et Empire des Cités d'Akaltie, présente aussi pour saluer la détermination du peuple pontarbellosi. Une présence qui fait l'effet d'un crédit politique renforcé et d'une normalisation des relations internationales, elles qui partaient de zéro dans un monde où certains pays pouvaient se refuser de reconnaître le Pontarbello lui-même comme un état libre et indépendant.

L'anniversaire des dix ans de la République d'Union Nationale du Pontarbello, c'est donc in fine une journée de commémoration et de réaffirmation de l'amitié entre les peuples. Des peuples solidaires face à la souffrance infligée par le colonialisme ancestral qu'une myriade de drapeaux multicolores entend cacher aux côtés d'un autre drapeau bleu nuit et noisette au lion blanc... Des drapeaux fortunéen, velsnien, tanskien, hafenois, akaltien ou encore icamien s'il fallait à tout prix s'arrêter là, se saluaient, le tissu claquant à peine sous les brises légères d'un été de juillet. La délégation alguarena, a même profité de l'instant pour indiquer poursuivre les accords de coopération migratoires pris en 2009 et ayant activement contribué à la dynamisation des secteurs de l'industrie et de la recherche pontarbellois, par le transfert régulier de travailleurs sous des contraintes administratives moins rigides que celles usuelles, et ayant déjà permis le détachement voire l'expatriation de plusieurs centaines de milliers de gens des années auparavant. Une présence prestigieuse qui vient attester de l'ouverture diplomatique pontarbelloise et du crédit dont la petite République dispose dans la région ALeuco-paltoterrane. Les deux représentant se sont en outre solennellement engagés, à développer plus loin encore la coopération stratégique, considérant les enjeux sécuritaires régionaux.

Sur le plan économique, la République d'Union Nationale du Pontarbello présente une copie plus que satisfaisante, réussissant sur la décennie écoulée un développement économique que beaucoup aurait qualifié d'exploits sous l'Empire listonien, la propulsant à plus de six cent dix milliards d'unités monétaires internationales de PIB, soit rien de moins qu'un PIB par an et par habitant de plus de deux cent milles unités monétaires internationales. Une perspective que l'Empire listonien n'a jamais su égaler lui-même. L'exploitation des ressources naturelles, renouvelables ou non, a été décisive pour développer des produits de luxe tels que les cigares pontarbellois, permetttant ainsi de contrebalancer une balance commerciale déficitaire, par le placement de biens faiblement produits mais à la valeur ajoutée réputée haute. Des chiffres exceptionnels, qui placent le pays à la hauteur de chacune de ses ambitions, relativisant le concept de micro-nation auquel le Pontarbello a longtemps été assujetti.

En définitive, la péninsule sud-aleucienne présente des gages de sécurité et de solvabilité renforcées, s'inscrivant pleinement dans sa vocation stratégique qui est celle de consolider une armature défensive contre les politiques d'isolement dont le peuple pontarbellois pourrait faire les frais. Là où il avait précédemment des forces combattantes, le Pontarbello peut aujourd'hui se targuer d'avoir une armée entièrement institutionnalisée et professionnalisée, régulièrement équipée des meilleures accessoires et matériels disponibles sur le marché de l'armement mondial lorsqu'ils ne sont pas directement fabriqués dans nos usines nationales.
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18 juillet 2017 - La réussite pontarbelloise, épicentre de l'indigénisme révolutionnaire et autoporté.

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En luttant contre la corruption et en irriguant le pays de capitaux étrangers, la présidence du Général Sapateiro a reconstruit l'ensemble des plans matériels et immatériels de notre identité profonde.

Ils n'étaient pas nombreux en 2007 à gager d'une indépendance pontarbelloise réussie, faussés par les discours des observateurs étrangers. Pour autant sur la ligne d'arrivée que nous franchissons DIX ANS plus tard, la jeune, fière et forte République d'Union Nationale du Pontarbello se montre sous les traits d'une économie florissante, se constitue un exemple sans égal sur la scène internationale. Deux ans à peine qui se sont écoulés, après une indépendance arrachée par les armes, d'abord aux forces impériales listoniennes, puis kah-tanaises. Depuis le pays affiche des indicateurs au vert et des croissances records qui finissent de convaincre : les soldats de valeurs tels que le Général Leopoldo Sapateiro sont les figures fortes attendues des temps de crise. Un engagement politique et militaire inébranlable, porté au plus haut niveau et ce, dans les heures lesp lus sombres traversées par notre pays. Un engagement tourné vers la libération, la reconstruction et la normalisation de la diplomatie pontarbelloise, réécrite sous de nouvelles couleurs flamboyantes. Nos forces armées, impliquées dans les actions de reconstruction et d'institutionnalisation du pays, ont fait la double démonstration de leur implication et de leur nécessité.

En Aleucie et possiblement plus loin encore, il est désormais acquis que le régime se présente sous une épaisseur politique et économique incontestable, réécrivant l'histoire de la péninsule sous sa forme originelle, épurée. Notre Produit Intérieur Brut (PIB) a bondi de façon exponentielle ces dix dernières années, plaçant le Pontarbello comme une "micronation" impactante à bien des niveaux, capable de produire l'excellence, eu égard à nos industries du tabac et capable de se défendre contre des nations étrangères de premier plan, à l'instar de l'invasion kah-tanais destinée à nous priver de nos ambitions souveraines. Des évènements et autant de faits établis, qui présentent notre jeune république comme le bâillon des observateurs les plus sceptiques. Une dynamique, que les bouches emplie de fiel peinent à qualifier d'ascension. Notre réussite pontarbelloise est en premier lieu le résultat probant d'une stratégie pour le moins volontariste. Une stratégie nationale, inscrite dans l'affirmation d'une politique ferme et stable, avec une ouverture mesurée aux capitaux étrangers pour ne pas biaiser la valeur de nos productions nationales face à de possibles délocalisation de production autour de nos biens de luxe exportés, le tabac en tête. "Notre pays a besoin d'ordre et de travail" clamait il y a dix ans le Général Leopoldo, à la marge de son discours pour l'indépendance.

Une promesse, marquée d'une affirmation et conclue d'une réalité, achevant le processus de décolonisation en nouvelle unité. Car à la décolonisation, les plus sceptiques ont facilement évoqué le principe d'éclatement. Mais il n'y a pas d'éclatement quand rien ne semble passer devant une identité culturelle propre à la péninsule. La péninsule est une et indivisible, toute association à un centre culturel extraterritorial constitue une manoeuvre fallacieuse. Il n'y aura jamais d'éclatement ou de division dans la réaffirmation d'une souveraineté territoriale, politique et culturelle pontarbelloise. L'unité est là, la pureté de l'action aussi. Et les chiffres sont au rendez-vous de cet anniversaire décennal, dorant la parole du héros de l'indépendance. Car après les impériaux listoniens et les chiens de guerre kah-tanais, le Général Leopoldo Sapateiro s'est héroïquement attaqué à la corruption, héritée d'une administration coloniale défaillante car trop éloignée géographiquement des institutions eurysiennes et entretenu par le vil opportunisme desl âches qui ont identifié la Guerre d'indépendance comme une période de chaos profitable pour asseoir des business infamantes.

En structurant l'administration pontarbelloise et en éradiquant les milices étrangères, du Grand Kah ou du Porto-Mundo, la gouvernance de notre pays restauré affiche un climat propice aux affaires ainsi qu'aux investissements attendus. Et ce retour sur investissement, investissements parfois portés à l'international, ne s'est pas fait attendre. Débarrassé du joug listonien qui nous a longtemps rompu de nos partenaires naturels, notre nation a su renouer avec les autres acteurs économiques et politiques de notre région. A commencer par la Fédération d'Alguarena, qui a permis d'importer un certain nombre de marchandises profitables à la relance industrielle de notre pays, en circuit-court, non sans voir son marché offrir en retour des débouchés inédits, considérant l'importance du vivier de consommateurs s'y trouvant. En parallèle, d'autres négociations plus patientes ont été amorcées, notamment vers les Provinces-Unies du Lofoten pour développer des filières de haute technologie et à forte valeur ajoutée, le domaine médical en tête, largement représenté dans la péninsule par les éléments de la Thylacine Corporation. Des accords prometteurs mais qui ont surtout servi de bases pour rassurer d'autres potentiels investisseurs économiques, soucieux de savoir si les investissements sur place demeuraient sécurisés, tant sur les questions matérielles que juridiques. Si bien qu'aujourd'hui, le tissu industriel renoue assez largement avec la production, considérant quelques actions de modernisation sur les sites de notre pays, financés par notre présidence et étayées par nos consultants. Modernisation des anciens sites industriels et implantations de nouveaux, portés par des brevets technologies qui permettent de rehausser l'offre de marché sur le plan économique intérieur.

De toute l'Aleucie, la République d'Union Nationale du Pontarbello est le pays présentant la meilleure dynamique permise. La croissance prolongée de la péninsule lusophone, fait aujourd'hui de celle-ci un sanctuaire de réussite sociale et économique, à commencer par le plein emploi, si bien que des accords migratoires avaient été signés avec l'Alguarena pour développer les qualifications techniques et intellectuelles présentes au sein de notre force vive nationale. Malgré tout concédons-le, d'autres défis demeurent. Cependant la trajectoire est fixée et les résultats tirés de la décennie écoulée donnent raison à celle-ci, faisant du gouvernement Sapateiro une successtory bien gardée des puissances étrangères qui nous l'envient !

Un succès économique mondiale, un pacte social balbutiant pour définitivement entretenir la paix et la prospérité péninsulaires, le Général Leopoldo Sapateiro a finalement donné sans compter pour que nous non plus nous n'ayons plus jamais à compter les Pontarbello : la République d'Union Nationale du Pontarbello est immortelle, indivisible et prospère.
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6 août 2017 - L'éduc'nation, la démarche réformiste du gouvernement sapateiriste qui fait le succès de notre présent et la promesse d'un futur glorieux.

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L'indépendance du Pontarbello a obligé une réforme de fond autour de l'éducation nationale, pour véhiculer les nouvelles valeurs inspirantes voulues à notre belle nation.

Si le vacarme des armes s'est tu depuis maintenant une décennie, un autre chantier et une autre lutte restent engagés par le gouvernement Sapateiro : celui de l'éducation nationale. Sous l'impulsion allégorique de nos héros nationaux, dont le Général s'en veut l'illustration première, l'avenir du Pontarbello péninsulaire s'est redessiné au travers de réformes du système scolaire, pour aller faire fructifier les atouts d'un pays qui attend une jeunesse instruite et patriote. Notre journal entend aujourd'hui, dix ans plus tard, se féliciter du travail accompli et de l'excellence produite au sein de notre péninsule chère à notre coeur. Une éducation nationale jadis délaissée par le régime colonial listonien, qui entend maintenant se réinventer et exhiber la richesse "grise" de nos cerveaux les plus juvéniles, eux aussi désormais engagés dans la renaissance du pays. Derrière les murs de nos écoles que nos valeureux combattants de l'Armée Nationale du Pontarbello Libre ont contribué à construire ou réhabiliter, ce sont maintenant des milliers d'enfants qui font leur rentrée, dans des établissements entièrement rénovés voire construits à leur attention, parfois dans les zones rurales les plus reculées, comme dans le Nord-Pontarbello soumis à des reliefs difficiles. Là où nos enfants manquaient cruellement du juste nécessaire, le gouvernement Sapateiro a investit et mobilisé les forces du génie militaire pour ériger des salles de classe, internats et bibliothèques attenantes, dans lesquels nos enfants ont désormais des moyens équitables pour se lancer dans une perpétuelle quête de savoir.

Le taux de scolarisation au primaire entend désormais flirter avec les 100% là où les régions lesp lus agricoles restaient de mauvaises élèves, investissant très tôt les enfants à la ferme familiale. Un exploit qui trouve encore racine dans l'investissement durable des autorités, pour mettre à disposition une école primaire à moins de soixante minutes à pied des agglomérations du pays, où qu'elles soient. Entaché d'un grave retard éducatif il y a dix ans, le Pontarbello rompt sous de multiples aspects avec l'Empire listonien, sous les dimensions culturelles, politiques et démonstration en est maintenant faite : éducatives.

Car in fine, au delà même de l'accès aux bancs de l'école, c'est également tout le contenu de l'enseignement lui même dont la copie a été révisée, nécessitant en effet l'intégration des éléments de notre (jeune) histoire nationale, lorsqu'elle ne se réfère pas directement aux cultures natives qui formé les premières richesses de notre pays. Au sein des nouveaux programmes, l'Histoire nationale a une place centrale, un point particulièrement vrai dans le traitement donné à la Guerre d'Indépendance et les éléments existentiels autour de l'identité pontarbelloise. Des points d'Histoire inspirants, qui nourrissent aujourd'hui discipline et patriotisme chez nos plus jeunes, sensibilisés au récit des sacrifices nationaux consentis par leurs aînés, pour libérer la patrie des mains de forces perfides successives, dont la Listonie et le Grand Kah se sont particulièrement illustrés.

"Nous avons à coeur de former la génération la plus patriote de notre Histoire mais pour cela, il faut lui transmettre celle-ci..." convient de se réjouir assez simplement Miguel Ferreira, directeur du groupement scolaire de Carosinhos, dans le Telhado do Oriente. Les manuels scolaires, neufs puisque les premières éditions ont "seulement" dix ans, sont abondamment illustrés de scènes liées à la lutte pour l'indépendance, réinculquant les valeurs de fierté et de gratitude envers les libérateurs du Pontarbello, bâtisseurs d'un cadre apaisé, que disons-nous? Un cadre prospère ! Parallèlement à l'histoire nationale, choix est également fait de mettre l'accent sur les matières scientifiques et techniques, ceci clairement afin d'entamer la dotation en compétences dont il a particulièrement besoin, sur les filières de l'ingénierie. Et c'est donc sous la supervision bienveillante, pédagogue mais ferme d'enseignants, chacun des programmes de formation et éducatifs du corps enseignant, que les jeunes pontarbellois se sont mis à exceller, autant en mathématiques qu'en ingénierie et informatique. De véritables compétences, bientôt à profit de la nation et d'une économie modernisée ainsi que pragmatique, pour se faire l'éternelle garante de la souveraineté économique nationale.

Et les résultats ne se sont pas fait attendre, avec un taux d'alphabétisation qui nous fait honneur, culminant à 95,7% au sein des panels de jeunes adultes, là où ce même score atteignait péniblement 74% sous occupation coloniale. Des examens nationaux, standardisés, dits de fin d'études, viennent également crédibiliser le passage de classe et le changement de degré scolaire. Des indicateurs valorisés et valorisants qui se voient salués par le Général Leopoldo Sapateiro en personne, tandis qu'il était filmé en train de faire la lecture à de jeunes enfants du primaire, avant de se rendre à une cérémonie de récompense des meilleurs bacheliers de la capitale. "La force d'une nation libre s'exprime sur les champs de bataille mais elle se construit dans les salles de classe de nos écoles. Louons le travail de nos enseignants et l'effort de nos apprenants, pour élever la connaissance à son plus haut niveau." avait-il déclaré, face à un parterre d'élèves en uniforme et de parents taisant avec peine leurs émotions les plus vives, devant la réussite nationale s'exprimant au travers de leurs enfants. Et parmi ces parents, se trouve José Almeida, ouvrier agricole de profession, qui malgré des réticences initiales à voir son fils aîné partir sur les chemins de l'école, s'émeut à nous confier le rêve silencieux de voir son enfant embrassait la voie de l'ingénierie. "Vous savez bien, je n'ai jamais été à l'école, enfin j'en suis parti très tôt pour aider mon père à la ferme. Mais quand je vois aujourd'hui mon fils, ce qu'il apprend, surtout en mathématique, je me dis qu'il fera un très bon ingénieur et que, s'il souhaite reprendre l'exploitation, il fera de pair un très bon agriculteur car l'intelligence est une richesse qui ne périme jamais... La profession a besoin de gens instruits... Et... Et mon petit... sera de ceux-là ! Il sera instruit, agriculteur et diplômé ingénieur... C'est sûr. Rien d'impossible au Pontarbello" finira-t-il par conclure, les yeux emplis de larmes, le poing frappé contre son coeur, reconnaissant, autant qu'ému.

Grâce aux nouvelles écoles produites dans le Nord-Pontarbello, les zones résidentielles les plus montagnardes qui soient s'offrent les moyens et finalement, les prérequis nécessaires à l'intégration d'un cursus universitaire et professionnalisant, permettant au fils de José et à d'autres, d'aller plus loin que n'aurait su le rêver un parent. Avec José, c'est finalement une foule de parents modestes, qui voient dans la réussite scolaire des enfants, l'expression d'un avenir meilleur, résultant probant d'un bilan national ardemment défendu par le régime sapateiriste. Un projet de reconstruction national, conduit à tambours battants, pour soutenir le cap économique de notre péninsule et entretenir ses ambitions internationales pour sauvegarder sa souveraineté, longtemps agressée par les puissances et sphères d'influence étrangères.
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21 août 2017 - Objectif zéro cas de paludisme en 2018.

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Le travail gouvernemental autour des invstissements publics pour la santé et la sécurité sanitaire paie, le Général Sapateiro se faisant le vainqueur du paludisme dont des cas subsistaient.

Que ce soit dans la capitale à Santialche ou les villages des provinces du pays, le soulagement est de mise, se lisant de la même manière sur chacun des visages rencontrés. Le paludisme, ce fléau ancestral de nos régions, est en passe d'être éradiqué de notre chère péninsule. Le gouvernement, rythmé par l'impulsion du Général Sapateiro, vient effectivement de nous partager des résultats qu'il serait "raisonnable" de qualifier de rien de moins qu'incroyables en la matière. Un recul des cas de paludisme dans la péninsule, provoqué par une campagne communicationnelle et sanitaire volontariste que l'Armée Nationale du Pontarbello Libre et le corps médical du pays se sont attachés à soutenir, amorçant une collaboration étroite et prolifique. Dix ans après l'indépendance de notre merveilleuse patrie, les efforts individuels et l'engagement collectif donne les résultats de son dur labeur, avec une chute de près de 90% des signalements de cas de paludisme dans la péninsule. Un chiffre sans équivoque, dont la teneur traduit à elle seule la portée hautement productive de la réussite affichée par les autorités. Ainsi les autorités entendent présenter un bilan clair, autant qu'inédit, dans lequel les déclarations de contraction du paludisme se réduisent comme peau de chagrin. Un succès inédit, tiré d'une mobilisation générale et à bien des égards, nationale que l'état-major de l'ANPL a su coordonner avec brio.

Qu'il soit question de traitement préventif à travers la multiplication des traitements de points d'eau en vue d'éviter la prolifération des moustiques ou de curatifs en développant la production des médicaments antipaludéens de sorte à les rendre plus accessibles au grand nombre et dans les régions les plus reculés du pays. Aucune demi mesure n'est faite pour lutter contre ce fléau rampant, propager par l'inextinguible parasite qu'est le moustique. La stabilité de notre pays, dix ans après l'indépendance, passe aussi par notre capacité à assurer la protection sanitaire des habitants de la péninsule. Dans le dispositif, il y a bien entendu des équipes médicales qui parcourent la campagne pontarbelloise pour sensibiliser les populations aux premiers symptômes de la maladie, les précautions d'usage pour prévenir les piqûres de moustiques, premier facteur de transmission ! Mais avec les médecins, ce sont aussi les militaires qui tiennent leur rôle, à commencer par la polícia militar, investie dans la décontamination des sites se faisant l'habitat naturel des proliférations de moustiques et leur sanctuarisation face au risque de visiteurs, principalement des adolescents désireux de piquer tête dans la cascade du village.

L'armée a également oeuvré à la distribution de répulsifs antimoustiques ainsi qu'à la confection et la pose de moustiquaires dans les bâtiments des régions les plus exposées. Au total, ce sont pas moins de trois cent milles personnes qui ont pu bénéficier du concours des autorités pour sanctuariser leur région du risque paludéen. 10% de la population nationale, c'est énorme particulièrement lorsqu'on sait que les autorités ont jeté leur dévolu sur les secteurs marécageux du pays et les foyers réputés infectieux au départ des points d'eau. Là-bas, chaque localité s'est vue proposer l'assistance de l'état, même lorsque celles-ci se trouvent être parmi les plus isolées du pays. Raison de plus ! nous garantissent même nos interlocuteurs. L'aviation légère de l'ANPL, composée très avantageuse d'hélicoptères, facilite les actions d'épandage et la logistique permettant aux équipes de décontamination de joindre les différents sites à traiter. Dans les hôpitaux du pays, autrefois sous-équipés car leurs budgets venaient de la métropole impériale listonienne et qu'ils étaient bien volontiers dédiés à autre chose, on respire mieux. L'investissement dans des équipements modernes, acquis auprès de fournisseur alguarenos, ont fait leur office en un temps record. Un temps que l'on pensait nécessaire à l'acclimatation du corps médical à cs nouveaux équipements. Mais finalement 2017 aura été une année décisive pour engager une lutte totale contre le paludisme.

Le Général Leopoldo Sapateiro a, au travers d'une allocution officielle, tenu à célébrer ce qu'il qualifie volontiers de victoire au sens militaire du terme, contre un ennemi qu'il identifie désormais sous une forme microbienne. Pour son entourage, la capacité du Pontarbello à vaincre le paludisme apparait comme une énième preuve de la clairvoyance offerte par le héros de la Guerre d'Indépendance, source intarissable de bienveillance pour les siens et son peuple ! Un fait "d'armes" qui prend peu à peu sa place sur les télévisions nationales et ce bien légitimement. Dernièrement, les chaînes d'information ont récemment pu partager le fruit de leurs actions, en diffusant les images d'enfants quittant les bancs de l'école, un sourire large et des yeux brillants, gesticulant un papier sur lequel apparait un certificat de bonne santé. C'est une étape majeure vers un avenir sanitaire que le gouvernement a promis de mettre au service de la nation, pour tendre vers le jour où aucun pontarbellois ne viendrait mourir de maladies qu'un régime colonisateur n'a que trop longtemps négligé sur notre sol. Le vaccin contre le paludisme n'est plus tabou et s'est largement démocratisé, au point que les avancées faites à la lutte contre le paludisme profite largement aux campagnes de prévention des autres maladies. Se renseigner sur le vaccin du paludisme c'est se renseigner sur les vaccins des autres maladies tels que la rougeole et la fièvre jaune. On a instauré une culture du vaccin et de la prévention qui sera sans nul doute appréciée et prometteuse dans nos données statistiques et médicales en 2018.

Données importantes a écrit :Cas de paludisme en 2016 : 1 734
Cas de paludisme en 2017 : 171
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3 septembre 2017 - L'autoestrada 8 s'agrandit pour désenclaver la péninsule.

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L'A8 est un axe autoroutier destiné à désenclaver l'Alcance et dynamiser ses infrastructures côtières.

C'est un ruban bicolore de couleurs bien familières qui nous est apparu ce matin sur nos écrans, coupé des mains du Général Leopoldo Sapateiro lui-même. Et pour cause, la République d'Union Nationale du Pontarbello inaugure un nouveau tronçon d'autoroute affilié au tracé de l'A8. Derrière lui une fanfare traditionnelle donne le La, cymbales battantes. Il faut dire que c'est littéralement le premier tronçon d'autoroute dans la région d'Alcance. Un symbole qui dépasse le cadre de la reconstruction nationale, revêtant davantage le signe d'une réussite profonde, surclassant l'oeuvre impériale listonienne pour la région. L'autoroute, qui trouve son commencement sur la pointe sud de la péninsule, arrive désormais à joindre Nova Arapeíra dans l'Alcance, permettant ainsi de réduire les temps de trajets entre la capitale et le chef lieu de la région, ce qui sera sans doute apprécié des recruteurs et entreprises, parfois en peine pour pourvoir des postes aux fonctions exigeantes, nécessitant d'aller chercher le candidat sur l'ensemble du territoire, faute de pouvoir faire l'impasse sur des qualifications très techniques.

Une inauguration bien venue, pour achever les cent cinquante kilomètres qui séparent les côtes occidentales d'Alcance de la capitale à l'extrémité sud. Un investissement destiné à faciliter le recrutement dans la région mais aussi à limiter les accidents sur les routes provinciales qui sillonnent plaines et montagnes. Sur ces routes à l'accès parfois compliqué du fait de l'aménagement, du relief et des flux, on est désormais plus serein, constatant sans difficulté une circulation rendue plus fluide sur les axes d'entrée et de sortie d'Alcance. Cette autoroute était inespérée localement, nous espérons sincèrement que son apport et les opportunités qu'elle nourrit ans la région, seront compris du plus grand nombre ! Un projet titanesque, porté par rien de moins que la nation, concluant deux années de travaux entrepris par des entreprises telles que BTP BORRAGAS avec laquelle une unité du génie militaire de l'ANPL s'est proposée en soutien logistique. Une oeuvre bienfaisante, voire fondatrice de l'économie pour la côte occidentale, qui amène même les riverains à parler d'autoroute de la liberté, compte tenu de sa capacité à abattre les barrières nées de l'isolement d'Alcance. Un chantier prioritaire pour lequel le maire de Nova Arapeíra est formel "on a déplacé des montagnes ici avec cette autoroute, littéralement..." Il faut lui reconnaître qu'un important nombre de tonnes de gravats a effectivement été déplacé avant d'entamer l'aplanissement du terrain nécessaire à l'accueil de l'autoroute 8.

Nivellement du terrain, pose d'un asphalte de qualité, standardisation et normalisation des autoroutes, l'extension de l'A8 est autant un bien d'utilité publique qu'une oeuvre d'art, finissant de consacrer le génie civil dans son rôle face aux enjeux de la reconstruction et de l'aménagement d'un territoire décolonisé. Finalement ce projet entretenait de multiples héros, portant l'autoroute au rang de trésor de la nation. Les retombées économiques et sociales attendues pour le pays sont d'ailleurs énormes, considérant les facilités d'acheminement des marchandises vers les côtes occidentales et l'interface commerciale permise vers l'Aleucie, qui se dynamise de plus en plus. Dans le village de Panguiria, les espoirs sont bel et bien là, la formation de nouveaux pôles d'activité ou industrielle est possible au départ de cette autoroute. Et même l'idée que des chauffeurs viennent sortir de l'autoroute pour s'offrir un plan B, dans les cafétérias et les boulangeries de la péninsule, suffit à donner des paillettes dans les yeux de l'élu. "L'arrivée de cette autoroute est un marqueur de progrès pour notre agglomération" soutient-il, "avant personne ne s'arrêtait dans notre bourgade, espérons que nos restaurants y trouvent leurs comptes et que leur vie puisse changer, se bonifier. Il faudra peut-être attendre le prochain semestre, pour constater les premières retombées économiques de la région, maintenant vascularisée par cette nouvelle autoroute.

A ce succès "infrastructurel", le gouvernement Sapateiro en promet d'autres, notamment par l'annonce du démarrage d'autres chantiers de voierie, destinés à connecter dans une logique d'efficience, cette autoroute au reste de l'infrastructure routière et ses axes secondaires. Mais quelques soit le chantier et la primeur qu'on lui donne, la conclusion est claire, palpable et sans équivoque : le Pontarbello avance, pour ne pas dire grandit...
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17 septembre 2017 - La décimation du trafic de drogues, l'expression de la poigne de fer du Général Sapateiro.

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Qu'il soit question de guetteurs, trafiquants et revendeurs, de drogues dures ou douces, le Général Sapateiro lutte ardemment et sans faiblir contre le trafic de drogues.

Le zénith n'est pas encore là que l'opération conduite par la polícia militar est menée. En l'espace de quelques minutes à peine, les unités d'intervention de la police militaire investissent la canopée. Une mission sur mesure pour la Companhia de Operações Especiais (COE) qui fait la démonstration d'un savoir-faire inégalé par d'autres polices du monde. Appuyés par un hélicoptère, plusieurs agents descendent le long d'une corde, avec parfois leur chien pisteur fixé au poitrail. En contrebas, des installations appartenant à l'un des cartels de la région et dont les occupants découvrent avec un certain effroi les invités prêts à sonner à leur porte. Une fois les suspects appréhendés et exfiltrés, le campement, celui-là comme d'autres avant lui, sera démantelé. Des dizaines de paquets de dope, entassés en extérieur et bientôt embrassés. Ici on consomme par les flammes et la destruction des drogues saisies est SYSTEMATIQUE. Il faut dire que craignant qu'un policier corrompu ne remette en circulation les biens infamants saisis, choix est fait de systématiquement détruire les marchandises, dans un intervalle court après qu'elles soient saisies. Dans les journaux le lendemain, la nouvelle du jour fera état de l'arrestation d'une vingtaine de narcotrafiquants présents sur le camp pendant l'opération ou bien débusqués en amont de celles-ci, ayant de ce fait permis la localisation du campement aujourd'hui démantelé. Les habitants de la région sont ravis, les prochains jours seront désormais plus sûrs qu'ils ne l'ont jamais été dans le voisinage.

Le Colonel Reynaldo Fontes, commandant de la polícia militar, nous partage également sa joie, décrivant "une réussite totale contre les parasites criminels qui alimente la souillure des terres et des corps du Pontarbello". Mis hors d'état de nuire, les criminels comparaitront très prochainement devant un tribunal qui jugera pour le meilleur des solutions permettant la protection de nos concitoyens. Cela fait maintenant des années que le Général Leopoldo Sapateiro a débuté la lutte contre les narcotrafics, souvent mêlés de pair avec la piraterie pour laquelle la lutte armée contre le Pavillon de l'Albastre s'est voulue totale par les autorités péninsulaires d'Aleucie du Sud. La lutte anti-drogue, une priorité nationale, sanitaire et sécuritaire, qui se place entre cet ennemi de l'intérieur et notre jeunesse qu'il se promet de corrompre. Aussi, au-delà même de la traque ainsi que la destruction de ces campements, se pose la nécessité d'une campagne de communication, que chacun qualifierait à raison d'intense, pour inciter la population à dénoncer les trafiquants mais surtout à se tenir à l'écart des stupéfiants, que ce soit en tant que produits ou manne financière à l'argent facile. Un appel à la coopération nationale, qui permet de serrer un peu plus l'étau sur les barons de la drogue qui font finalement le réel profit de ces mannes financières avilissantes. Une pression réelle, au point que partie d'entre eux se sont depuis réfugiés dans des abris et campements de fortune, à l'instar de celui démantelé ce jour. "Les trafiquants déplacent davantage leurs infrastructures des villes pour la jungle, c'est bon signe" énonce l'officier, satisfait de sa constatation. "Ils savent la pression trop forte dans nos agglomérations, la police tient la place et le citoyen est de notre côté. Le crime ne paie pas, pas quand il se nourrit de la vie des autres..." Nul ne saurait échapper indéfiniment au bras armé de la nation, voilà le maitre mot défendu par l'institution et nos forces de l'ordre, quotidiennement engagé dans la préservation de la santé et la sécurité de nos rues, au péril de leurs vies nous ne le rappellerons jamais assez.

Des interventions comme celles précédemment relatées, la police en déclenche de plus en plus, motivées par la collecte de renseignements. Un gage de la coopération grandissante entre citoyens et forces de l'ordre, aboutissant une fois encore à la saisie (pour destruction) de plusieurs tonnes de cocaïne et le démantèlement ds laboratoires clandestines qui les sortent de terre. Des interventions d'autant plus appréciées, qu'elles ont dans le cas qui nous intéresse, entrainer aucune blessure à l'encontre de nos soldats. Pourtant l'assaut était rude et les trafiquants lourdement armés, signe d'une tension croissante tournée vers la défense d'un odieux business en crise... L'absence de perte parmi les agents de la police ne signifie pas l'absence de risques pour autant, mais bien l'expression d'une expertise et d'une supériorité tactique définie par l'entrainement pour le moins intense des forces del 'ordre engagées sur ce type d'opérations. Des images de l'opération diffusées montrent d'ailleurs des troupes d'élites encagoulées, désireux de préserver leur anonymat compte tenu de la dimension stratégique que revêt leur implication dans les opérations de lutte. D'autres policiers, posent quant à eux fièrement autour de piles de sacs blancs et bruns, ainsi que quelques armes confisquées pour l'occasion.

Sans y être nécessairement présent, le Général Leopoldo Sapateiro a toutefois tenu à montrer une petite attention aux unités engagées dans cette opération achevée d'un certain succès, se félicitant officiellement du courage et de l'expertise des hommes ainsi que des femmes engagés dans une lutte existentielle contre les formes d'avilissement imposées par le mal. "On ne vous laissera nul part où vous cacher et le Pontarbello ne se fera jamais un terrain de jeu à vos activités immondes. Fichus immondices de notre humanité." Une déclaration martiale, ferme et décisive, qui laisse transpirer la volonté du gouvernement pontarbellois à persévérer dans la lutte contre les narcotrafics. Une image de chef de l'Etat, une image de chef de guerre, voulu implacable. A son voeu pieu s'ajoutera l'action des tribunaux militaires, saisies du dossier comme ils ont pu l'être en 2009 pour le procès des contrebandiers pharois, qui occupaient illégalement un pan de terre du Pontarbello sur sa pointe extrême sud. Un acte de clôture qui peut se traduire par l'expression d'une justice expéditive justifiant de son exemplarité. En effet, les prévenus risquent jusqu'à la peine de mort, s'il était établi qu'elles ont agit à des strates de coordination et e supervision des flux marchands. Il faut dire que le motif invoqué sera tout trouvé, avec la formulation d'un chef d'accusation de haute trahison, pour s'être investi dans un trafic de drogues répandant la mort au plus près de nos populations, au plus près de nos enfants. La peur vient maintenant et logiquement changer de camp, les honnêtes gens ne trembleront plus mais les criminels oui, quitte à ce que ce soit l'expression des spasmes du corps lorsqu'ils se balanceront au bout d'une corde.
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2 octobre 2017 - Les projets scientifiques et ingénieriques du Pontarbello à l'honneur.

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La recherche et le développement n'est plus un domaine étranger à la République d'Union Nationale du Pontarbello.

Jadis présentée sous les traits d'une dépendance coloniale à l'extrémité du monde, Santialche semble s'être depuis muée en une véritable capitale technologique dont une partie de ses inventions compte parmi les créations d'excellence, le must have de la technologie. Un fait rendu possible sous la seule impulsion du régime sapateiriste, vecteur d'engagement et d'excellence pour notre péninsule. Et pas plus tard que ce matin encore, le Général Leopoldo Sapateiro parcourait la capitale pour inaugurer l'installation d'un nouvel éditeur de logiciels informatiques dans le parc technologique de la capitale. Ce parc, véritable complexe ultramoderne, s'est fait en moins de cinq ans le carrefour incontournable des homologations de différentes inventions, qu'elles soient d'ordre médical ou engagées sur la sphère défense & sécurité. Sur place, il est possible de dénombrer le regroupement de plusieurs dizaines d'entreprises investies sur la question des sciences, de l'informatique et de la recherche médicale. Un meltingpot d'expertise, qui vient permettre l'installation de laboratoires de recherches et start-up animés par le challenge et l'excellence. Un projet ambitieux dont le terme porte aujourd'hui des résultats reconnaissables de chacun, faisant du Pontarbello une nation en haut de panier, qu'aucun serait désormais tenté de qualifier de micronation.

Alors si derrière les façades de verre fumé rien ne transparait, c'est peut-être pour mieux laisser apparaître le reflet d'une nation muée en quelque chose de plus grand. C'est peut-être finalement un esprit et une vision qui dépassent aujourd'hui nos frontières, pour se faire l'étendard du nativisme aleucien. Un modèle de réussite et de persévérance, face à l'adversité outrancière des forces porto-mondoises, kah-tanaises et impériales qui ont escompté nous priver de notre réussite, de notre voie. Aujourd'hui, en périphérie de notre capitale, des chercheurs armés de leur seules blouses blanches et des ingénieurs munis de leurs seuls diplômes, entendent faire notre ambition d'une réalité. La réalité faisant l'étalage d'un avenir glorieux pour notre péninsule. Bien entendu, une grande partie de leur travail est absorbée par les priorités définies par le gouvernement Sapateiro, considérant les menaces persistantes qui s'étirent autour de la nation : informatique, cybersécurité, télécommunications, mais au-delà de la dimension sécuritaire donnée à leur travail, il y a également des enjeux d'indépendance stratégique d'ordre économique, à commencer par la présence de recherches sur les cultures, pour les rendre plus prolifiques, moins gourmandes en eau, améliorer leur rendement en somme. Bien entendu, il nous est difficile de rattraper les décennies de retard imposées par la gouvernance précédente, toutefois notons que le Général Sapateiro pose ici la première pierre fondatrice d'un Pontarbello industrialisé et poussé au devant des technologies de demain.

Les partenariats internationaux ne sont pas étrangers à tout cela, si le jeu de mot avec les connotations étrangères est permis. Le premier de ces partenariats, reste peut-être celui entretenu avec la Fédération d'Alguarena et qui trouve sa force dans la définition d'un accord migratoire. Un véritable pont tourné vers le partage des connaissances et qui nous permet aujourd'hui de tirer le meilleur de nos têtes pensantes, par la proximité établie avec la jeunesse étudiante de l'Alguarena. Mais la présence d'étudiants et travailleurs alguarenos n'est pas le seul vecteur de réussite nationale par la partenarisation. Les Provinces-Unis du Lofoten, investies sur la question militaire avec notamment des coopérations de sécurité en mer ainsi que sur terre à travers la base de Chileneda. Au-delà de la coopération défense, l'ouverture même de relations diplomatiques et la normalisation des relations interétatiques entre les Provinces Unies du Lofoten et le Pontarbello ont été un signal positif pour provoquer les investissements de firmes étrangères et parmi elles : Thylacine Corp. Thylacine Corporation est un groupe industriel pharmaceutique des Provinces Unies du Lofoten ayant fait le choix d'investir au sein de plusieurs infrastructures sur le territoire national et qu'il dédie assez largement à la formulation de médicaments dont partie de son industrialisation prend place au Pontarbello.

L'internationalisation du Pontarbello est là mais le gouvernement Sapateiro persiste et signe, elle sera au service du Pontarbello et de ses habitants, premiers bénéficiaires des retombées technologiques en lien avec certains progrès issus de la recherche médicale. A même d'organiser un cadre normatif flexible, le gouvernement Sapateiro attire les créateurs et inventeurs qui souffrent jusqu'ici de contraintes réglementaires dans leur pays d'origine. S'installer au Pontarbello, c'est finalement profiter de dispositions favorables qui vous permettent d'aller au terme de vos recherches et d'y envisager la suivante ! Une effervescence autour de la haute technologie qui fait aujourd'hui la preuve d'un soutien gouvernemental indéfectible, compte tenu du chemin parcouru et de la ligne d'arrivée actuellement franchie. Une épopée nationale dont le peuple pontarbellois tire aujourd'hui les marrons du feu. Sous les toits de chaque pontarbellois, les gens entretiennent désormais un niveau de vie confortable, né du protectionnisme ambiant et de partenariats scientifiques ciblés, à même d'entretenir l'accès à des équipements hautement sophistiqués, tels que des téléphones portables et ordinateurs, mais aussi aussi des médicaments et l'accessoirisation croissante des véhicules, dont les facilités de production permettent aujourd'hui une démocratisation renforcée.

Le Général Leopoldo Sapateiro, malgré toute l'adversité qui lui a été opposé à nos frontières, est définitivement ce que l'on peut nommer un porte-étendard de la modernité, un avant-gardiste indigéniste engagé sur une modernisation de la société pontarbelloise dont il retrace la genèse au travers d'un rapide programme éducatif en ligne, faisant l'hommage de ces miracles technologiques qui entendent faire la grandeur de notre pays et briser son isolement économique et politique.
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20 décembre 2017 - Communauté Continentale Paltoleucienne : Le Pontarbello courtisé à la table du concert des nations continentales.

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Le continentalisme peut-il convaincre la République d'Union Nationale du Pontarbello?

Après avoir stabilisé la situation intérieure du pays, longtemps effritée par les manoeuvres subversives et tentatives d'invasion de puissances étrangères, la République d'Union Nationale du Pontarbello est désormais mûre pour s'investir à l'international, au point que celle-ci soit désormais maintenant et officiellement, candidate à la Communauté Continentale Paltoleucienne. La Communauté Continentale Paltoleucienne fait davantage office de groupe de travail, que d'une alliance aux voies tracées et aux valeurs marquées, aussi plusieurs conseillers proches du gouvernement Sapateiro nous ont confié avoir bon espoir de voir cette candidature aboutir. Vient alors l'impérieuse nécessité d'identifier un interlocuteur de qualité pour cette assemblée, Marziabo Becerra, l'actuel ministre aux affaires étrangères continue d'avoir la préférence du Général Sapateiro pour cela. Longtemps ignoré des chancelleries, qu'elles soient d'Aleucie ou d'ailleurs, le Pontarbello entame aujourd'hui un nouveau cap vers des nouveaux horizons longtemps soustraits à sa vision. Une chance, saisie à bras-le-corps par le gouvernement Sapateiro qui entend normaliser ses relations internationales pour provoquer les investissements dans la péninsule et repositionner le Pontarbello sur une carte géopolitique dont on a longtemps cherché à l'effacer. "Plus qu'une chance, c'est ici l'affaire d'une consécration" s'étend à dire João Pereira, consultant politique dédié à notre chronique, qui voit dans la démarche l'acquisition d'un véritable porte-voix dans l'un des continents les moins sinistrés au monde. Le Pontarbello rejoint la famille des nations qui comptent, réjouissons-nous.

Un tournant diplomatique, fruit d'un effort collectif, porté à chaque maillon de la nation, pour faire de l'industrie pontarbelloise un outil économique fondateur de l'intérêt général et des valeurs de la nation que sont le travail, la famille et la religion. Un investissement national, motivé par les institutions elles-mêmes et accomplis par les honnêtes travailleurs de notre peuple chéri, fondateur d'un ordre et d'une civilisation restaurée à la vue de tous. Pour arriver à ce résultat, le Général Sapateiro a longtemps multiplié les gestes d'ouverture, notamment en direction de l'Alguarena et du Lofoten, pour se donner un peu d'épaisseur économique et des garanties de sécurité sans pareil. Un gain de temps mis à profit, pour défendre certains axes vers le développement d'une autonomie stratégique, en matière énergétique et de nouveau séduire des cerveaux étrangers nécessaires à la relance de l'innovation. De son côté, la coopération militaire et économique amorcé avec la Fédération d'Alguarena permet l'orientation des investissements vers les secteurs stratégiques que sont ceux les domaines agraires et énergétiques.

Les accords migratoires développés auprès de la Fédération d'Alguarena nous posent les bases d'une entente mutuelle profitable, achevant de positionner le voisin alguareno comme un partenaire stratégique du Pontarbello pour la région. Un garant de la stabilité et du pacifisme pontarbellois qui fait taire peu à peu les voix désignées pour s'en faire les détracteurs. Tous vont maintenant identifier et reconnaître le Pontarbello comme un acteur stable et incontournable en Aleucie du Sud, avec un potentiel économique et une capacité d'affirmation de sa souveraineté, à même de le porter au-delà. Sur la question, le cabinet du gouvernement Sapateiro ne cache pas son plaisir, nos journaux ayant même eu le plaisir d'assister à l'évènement de la signature de l'acte de candidature à la CCP, des mains mêmes du Général Sapateiro. Sur la question, les délégations akaltiennes et éveriennes veillent, laissant finalement paraître l'iée au terme de leur démarchage, que le Pontarbello est attendu et souhaité dans un monde prêt à l'accueillir à bras ouverts. Une étape cruciale, vers la normalisation des relations de voisinage avec l'Aleucie, là où un travail de fond a déjà été entamé auprès du voisin archipélagique et méridional de la région : l'Alguarena.

"Notre voix comptera dans le concert des nations, pour une raison simple et élémentaire : le Pontarbello existe désormais en tant que nation. Grâce à vous, grâce au courage des hommes et des femmes qui ont donné, parfois plus qu'ils ne possédaient eux-mêmes, pour l'indépendance de ce pays. Notre nation est forte, notre nation est reconnue et demain, nourrie avec la confiance de chacun et de la Communauté Continentale Paltoleucienne" a déclaré notre héros national dont il partage son coeur avec chacun de nous, en même temps que l'heureuse nouvelle d'une reconnaissance nouvelle donnée à notre pays... Une réussite à afficher sous la forme de bilan favorable, concluant un cap fixé par le Général, un cap ancré dans le développement de secteurs stratégiques autonomes au sein du pays, lui permettant aujourd'hui de trouver la porte des plus grands avec qui il entend échanger d'égal à égal. Le gouvernement Sapateiro fait la démonstration d'un engagement plein et entier au service du Pontarbello, upgradant celui-ci de son statut de micro-nation, à celui d'une puissance régionale. A Santialche, la nouvelle portant développement de la coopération avec le continent aleucien levait les enthousiasmes de chacun. Ce n'est pas une capitulation face à la mondialisation mais la justification d'une légitimité et d'une visibilité pontarbelloises, qui permettent d'imposer ses conditions pour une mondialisation qui ne soit pas à la défaveur de notre péninsule.
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