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Activités étrangères en Catholagne - Page 4

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Bannière de correspondance - Brigade Jaguar Paltoterran.

16 décembre 2010 - CONFIDENTIEL - Des consultants militaires du Jaguar Paltoterran fournissent une proposition d'ORBAT pour la future (et première) institution militaire papale de Catholagne.

Logo de la Brigade de défense territoriale Catholane "Vigiles Papatus"
La Brigade "Vigiles Papatus", littéralement les "sentinelles de la Papauté" est une unité militaire imaginée par le cardinal et Capitaine général de l'Église, Monseigneur César Gálvez, pour constituer le premier maillon de la défense territoriale de la Papauté de Catholagne.


Bien que le phénomène de militarisation de la Papauté paraisse relativement novateur tant la dynamique est grande autour du projet de réforme des armées papales, le procédé n'est pas nouveau pour autant. Jadis confiée à l'Ordre de l'Aegidis, la structuration des armées de Catholagne est un défi qui reprend de la vie et des formes sous la houlette du cardinal Monseigneur César Gálvez, aujourd'hui positionné sur les fonctions honorifiques de capitaine général de l'Église. Un changement de direction qui appelle de facto à faire table raz, de ces décisionnaires d'un autre temps. Pour marquer le pas autour du changement des doctrines militaires catholanes, Monseigneur César Gálvez a sollicité le recours à des conseillers de la société militaire privée du Jaguar Paltoterran. Des paramilitaires, rompus aux opérations de combat, comme au Pontarbello ou dans les mers paltoterranes face aux éléments de piraterie, et qui ont également d'autres cordes à leur arc telles que le support stratégique aux états-majors.

Artisan de la structuration des institutions militaires pontarbelloises, le groupe paramilitaire du Jaguar Paltoterran semble offrir là toutes les garanties attendues autour de sa capacité à structurer et ordonner les composantes militaires d'une nation de l'envergure du Pontarbello et pourquoi pas, de la Catholagne?

Monseigneur César Gálvez semble manifestement y croire par le recours à cet acteur de portée internationale. Mais avec quelle base de travail? La Catholagne, identiquement au Pontarbello, est une micro-nation aux moyens apparaissant comme clairement limités. Aussi, Monseigneur César Gálvez est conscient de l'incapacité de son pays "de foi et de cœur" à entretenir des marines de guerre et équipements aériens spécifiques au sein d'institutions distinctes des composantes terrestres. C'est pourquoi sur ce constat réaliste et pragmatique, il a requis auprès des conseillers paramilitaires du Jaguar Paltoterran, qu'ils puissent lui fournir plusieurs propositions d'Ordre de Bataille (ORBAT) réalistes et calibrés sur les besoins ainsi que les moyens, de cette petite nation insulaire. Le projet d'accompagnement tournera donc sur une seule Brigade, orientée vers la défense territoriale et avec au sin d'une même Brigade, des composantes navales, aériennes et terrestres.


ORBAT de la Brigade des Vigiles Papatus
.
Le conseil militaire apporté par les paramilitaires du Jaguar Paltoterran donnent aujourd'hui de la matière structurante pour le devenir de l'armée papale catholane (clic gauche pour agrandir).


BRIGADE DE DÉFENSE TERRITORIALE DES VIGILES PAPATUS


1er bataillon d'infanterie

1ère compagnie d'infanterie
  • 250 soldats professionnels avec 250 armes légères d’infanterie,
  • 14 mitrailleuses lourdes,
  • 15 lance-roquettes,
  • 30 véhicules blindés légers,
  • 10 véhicules de combat d’infanterie,
  • 10 camions de transport,
  • 25 véhicules légers tout-terrain,
  • 10 transports de troupes blindés,
  • 4 véhicules de transmissions radio,
  • 2 véhicules radar.

2e compagnie d'infanterie
  • 250 soldats professionnels avec 250 armes légères d’infanterie,
  • 14 mitrailleuses lourdes,
  • 15 lance-roquettes,
  • 30 véhicules blindés légers,
  • 10 véhicules de combat d’infanterie,
  • 10 camions de transport,
  • 25 véhicules légers tout-terrain,
  • 10 transports de troupes blindés,
  • 4 véhicules de transmissions radio,
  • 2 véhicules radar.

1ère compagnie d'infanterie de reconnaissance
  • 180 soldats professionnels avec 180 armes légères d’infanterie,
  • 10 mitrailleuses lourdes,
  • 10 lance-roquettes,
  • 10 lance-missiles antichars,
  • 10 véhicules blindés légers,
  • 5 véhicules de combat d’infanterie,
  • 5 drones de reconnaissance,
  • 20 véhicules légers tout-terrain,
  • 200 mines antipersonnel,
  • 100 mines antichar,
  • 5 transports de troupes blindés,
  • 4 véhicules radar,
  • 6 véhicules de transmission radio.

1ère compagnie de support antichar,
  • 250 soldats professionnels avec 250 armes légères d’infanterie,
  • 5 mitrailleuses lourdes,
  • 20 lance-missiles antichars,
  • 20 lance-roquettes,
  • 20 véhicules blindés légers,
  • 20 véhicules de combat d’infanterie,
  • 10 camions de transport,
  • 30 véhicules légers tout-terrain.

1ère compagnie du génie
  • 200 soldats professionnels et 200 armes légères d’infanterie,
  • 5 ponts mobiles,
  • 4 véhicules de déminage,
  • 35 véhicules légers tout-terrain,
  • 10 bulldozers,
  • 25 camions de transport,
  • 5 camions-citerne,
  • 1 200 mines antipersonnels,
  • 800 mines antichars,
  • 10 véhicules de combat d'infanterie,
  • 15 véhicules blindés légers,
  • 6 véhicules de transmission radio,
  • 2 véhicules radar.

1ère compagnie du carburant et de la logistique
  • 200 soldats professionnels et 200 armes légères d’infanterie,
  • 40 véhicules légers tout-terrain,
  • 30 camions de transport de troupes,
  • 10 camions-citernes,
  • 10 véhicules de combat d'infanterie,
  • 20 véhicules blindés légers,
  • 4 véhicules de transmission radio,
  • 3 ponts mobiles.

1ère compagnie de la police militaire
  • 150 soldats professionnels et 150 armes légères d’infanterie,
  • 30 véhicules légers tout-terrain,
  • 20 camions de transport de troupes,
  • 5 camions-citernes,
  • 4 véhicules de combat d'infanterie,
  • 20 véhicules blindés légers,
  • 4 véhicules de transmission radio,
  • 5 mitrailleuses lourdes.

1ère section des forces spéciales
  • 50 soldats professionnels et 50 armes légères d’infanterie,
  • 16 véhicules légers tout-terrain,
  • 4 véhicules utilitaires,
  • 2 véhicules de combat d'infanterie,
  • 3 véhicules blindés légers,
  • 1 véhicule de transmission radio,
  • 1 véhicule radar,
  • 2 hélicoptères légers polyvalents,
  • 1 hélicoptère de transport lourd.

1er bataillon de cavalerie blindé

1ère compagnie de cavalerie blindée
  • 250 soldats professionnels avec 250 armes légères d’infanterie,
  • 10 lance-roquettes,
  • 20 véhicules blindés légers,
  • 10 véhicules de combat d’infanterie,
  • 20 chars d'assaut,
  • 10 chars légers,
  • 6 camions-citernes,
  • 2 ponts mobiles,
  • 5 véhicules de transmission radio.

2e compagnie de cavalerie blindée
  • 250 soldats professionnels avec 250 armes légères d’infanterie,
  • 10 lance-roquettes,
  • 20 véhicules blindés légers,
  • 10 véhicules de combat d’infanterie,
  • 20 chars d'assaut,
  • 10 chars légers,
  • 6 camions-citernes,
  • 2 ponts mobiles,
  • 5 véhicules de transmission radio.

3e compagnie de cavalerie blindée
  • 250 soldats professionnels avec 250 armes légères d’infanterie,
  • 10 lance-roquettes,
  • 20 véhicules blindés légers,
  • 10 véhicules de combat d’infanterie,
  • 20 chars d'assaut,
  • 10 chars légers,
  • 6 camions-citernes,
  • 2 ponts mobiles,
  • 5 véhicules de transmission radio.

2e compagnie de support antichar,
  • 250 soldats professionnels avec 250 armes légères d’infanterie,
  • 10 lance-missiles antichars,
  • 20 lance-roquettes,
  • 10 camions de transport,
  • 20 véhicules blindés légers,
  • 30 chars légers,
  • 5 véhicules de combat d’infanterie.

1ère compagnie de reconnaissance blindée,
  • 150 soldats professionnels avec 150 armes légères d’infanterie,
  • 20 chars légers,
  • 10 lance-roquettes,
  • 5 camions de transport,
  • 10 véhicules blindés légers,
  • 5 véhicules de combat d’infanterie.
  • 1 véhicule de transmission radio.
  • 1 véhicule radar.

2e compagnie du génie
  • 200 soldats professionnels et 200 armes légères d’infanterie,
  • 5 ponts mobiles,
  • 6 véhicules de déminage,
  • 18 véhicules légers tout-terrain,
  • 10 bulldozers,
  • 20 camions de transport,
  • 10 camions-citerne,
  • 1 500 mines antipersonnels,
  • 1 000 mines antichars,
  • 10 chars d'assaut,
  • 10 chars de dépannage,
  • 6 véhicules de combat d'infanterie,
  • 6 véhicules blindés légers,
  • 3 véhicules de transmission radio,
  • 1 véhicule radar.

1ère compagnie d’artillerie
  • 250 soldats professionnels et 250 armes légères d’infanterie,
  • 24 canons antiaériens mobiles,
  • 20 lance-missiles antiaériens mobiles,
  • 40 camions de transport,
  • 20 canons tractés,
  • 20 canons antiaériens,
  • 1 véhicule radar.

2e compagnie d’artillerie
  • 250 soldats professionnels et 250 armes légères d’infanterie,
  • 30 canons automoteurs,
  • 10 lance-roquettes multiples,
  • 20 véhicules blindés légers,
  • 20 camions de transport de troupes,
  • 15 véhicules légers tout-terrain,
  • 2 véhicules radars.

1er groupe de protection et de surveillance maritime

1ère flotte de contact
  • 520 soldats professionnels et 520 armes légères d’infanterie,
  • 1 destroyer,
  • 2 frégates,
  • 4 patrouilleurs,
  • 2 hélicoptères légers polyvalents,
  • 1 hélicoptère de transport moyen,
  • 1 hélicoptère d'attaque.

2e flotte de contact
  • 400 soldats professionnels et 1 400 armes légères d’infanterie,
  • 1 sous-marin lanceur d'engin,
  • 4 sous-marins d'attaque,
  • 3 frégates,
  • 2 corvettes,
  • 4 patrouilleurs.

1er groupe de défense maritime
  • 350 soldats professionnels et 350 armes légères d’infanterie,
  • 1 frégate,
  • 2 corvettes,
  • 2 patrouilleurs,
  • 1 dragueur de mines,
  • 300 mines navales,
  • 8 vedettes.

2e groupe de défense maritime
  • 350 soldats professionnels et 350 armes légères d’infanterie,
  • 1 frégate,
  • 2 corvettes,
  • 2 patrouilleurs,
  • 1 dragueur de mines,
  • 300 mines navales,
  • 8 vedettes.

1er groupe de navires auxiliaires
  • 600 soldats professionnels et 600 armes légères d’infanterie,
  • 1 frégate,
  • 1 corvette,
  • 3 patrouilleurs,
  • 1 pétrolier-ravitailleur,
  • 1 dragueur de mines,
  • 300 mines navales,
  • 3 remorqueurs,
  • 3 cargos,
  • 10 vedettes.

1ère compagnie de défense stratégique
  • 500 soldats professionnels et 500 armes légères d’infanterie,
  • 40 lance-missiles antiaériens mobiles,
  • 1 sous-marin lance-missile,
  • 2 sous-marins d'attaque,
  • 1 frégate,
  • 40 missiles de croisière mer-sol,
  • 40 missiles de croisière sol-mer.

2e compagnie de défense stratégique
  • 500 soldats professionnels et 500 armes légères d’infanterie,
  • 40 lance-missiles antiaériens mobiles,
  • 1 sous-marin lanceur d'engins,
  • 2 sous-marins d'attaque,
  • 1 frégate,
  • 20 missiles balistiques,
  • 40 missiles de croisière sol-mer.

2e section des forces spéciales
  • 50 soldats professionnels et 50 armes légères d’infanterie,
  • 10 véhicules légers tout-terrain,
  • 4 vedettes,
  • 5 mitrailleuses lourdes.

1er groupe de protection et de surveillance aérienne

1er escadron d'hélicoptère d'attaque
  • 50 soldats professionnels et 50 armes légères d’infanterie,
  • 20 hélicoptères d'attaque,
  • 5 hélicoptères légers polyvalents.

2e escadron d'hélicoptère d'attaque
  • 50 soldats professionnels et 50 armes légères d’infanterie,
  • 20 hélicoptères d'attaque,
  • 5 hélicoptères légers polyvalents.

1er escadron de logistique et de transport
  • 50 soldats professionnels et 50 armes légères d’infanterie,
  • 6 hélicoptères de transport moyens,
  • 4 hélicoptères de transport lourds,
  • 4 hélicoptères légers polyvalents,
  • 6 camions de transport,
  • 8 véhicules utilitaires,
  • 4 camions citerne.

1er escadron de défense aérienne
  • 40 soldats professionnels et 40 armes légères d’infanterie,
  • 20 avions de chasse,
  • 5 chasseurs-bombardiers,
  • 2 avions-ravitailleurs.

1er escadron de transport d'assaut (aérien)
  • 50 soldats professionnels et 50 armes légères d’infanterie,
  • 4 avions de transport tactiques,
  • 3 avions de transport hybrides,
  • 1 avion de guerre électronique,
  • 1 avion de ligne,
  • 1 bombardier-gunship,
  • 10 chasseurs-bombardiers.

1er escadron de patrouilleurs à longue portée
  • 50 soldats professionnels et 50 armes légères d’infanterie,
  • 1 avion radar de type AWACS,
  • 4 drones de reconnaissance,
  • 3 avions-ravitailleurs,
  • 2 bombardiers stratégiques,
  • 4 chasseurs-bombardiers,
  • 10 avions de chasse.

1er escadron de reconnaissance aérienne
  • 40 soldats professionnels et 40 armes légères d’infanterie,
  • 20 drones de reconnaissance,
  • 1 avion radar de type AWACS,
  • 8 chasseurs-bombardiers,
  • 2 avions-ravitailleurs.

1er escadron de logistique et de ravitaillement en vol
  • 50 soldats professionnels et 50 armes légères d’infanterie,
  • 3 avions de ligne,
  • 3 avions de transport tactique,
  • 10 chasseurs-bombardiers,
  • 6 avions-ravitailleurs.
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Logo de l'armée régulière pontarbelloise, l'Armée Nationale du Pontarbello Libre

24 septembre 2011 - La République d’Union Nationale du Pontarbello, engagée pour la sécurité de la Sainte île pontificale de Catholagne.

Inventaire des équipements militaires pontarbellois disponibles à la donation
Le Général Leopoldo Sapateiro souhaite se rapprocher de la papauté catholane, par la fourniture de moyens militaires nécessaires à la dotation d’une partie de la brigade "Vigiles Papatus".

La République d’Union Nationale du Pontarbello faisant grand cas de son étroit lien avec l’Eglise catholique, particulièrement celle alguarena défendue et représentée par l’archevêque alguareno César Gálvez, actuel cardinal et capitaine général de l'Église catholane, il est des “démonstrations de foi” à travers le monde, qui sont plus scrutées que d’autres.

Interviewé à l’occasion de l’inauguration d’une première cathédrale dans la péninsule pontarbelloise, le Général Leopoldo Sapateiro avait profité de la présence de journalistes et médias nationaux pour faire porter à leur connaissance son souhait de contribuer à la défense du Saint Siège. Un soutien militaire certes projeté dans l’éventualité où les possessions catholanes et les institutions religieuses qui la représentent seraient menacées, mais également un soutien actif par la fourniture prochaine d’équipements militaires susceptibles de pouvoir s'inscrire au sein d’une composante opérationnelle placée sous la bannière du Saint Siège.

En effet et malgré ses aspirations les plus ambitieuses, le Saint siège catholan souffre encore d’un grand déficit de moyens, pour ce faire une force politique “qui compte” nichée au cœur de l’Eurysie. Il faut reconnaître à ce titre que les populations catholiques à travers le monde, sont davantage enclines à miser sur la protection fournie par les États nationaux dans lesquels elles se trouvent. Un contexte qui place inéluctablement les communautés catholiques en situation de dépendance avec les régimes locaux et rend la voix de la Papauté, clairement moins audible à travers le monde.

Représentée par le cardinal César Gálvez, actuel capitaine général de l'Église catholane, l’armée du Saint siège manque encore d’envergure, pour espérer fournir les garanties de protection aux communautés catholiques mondiales et avec elles, l’influence papale que les prédécesseurs de Pie XVI se sont pris à rêver d’avoir. Un rêve ou un vœu pieu, pour lequel le Général Leopoldo Sapateiro est décidé à interférer, pour alimenter sa notoriété à l’international et le poids de son influence auprès de la société civile pontarbelloise. Être en odeur de sainteté avec le Pape n’est jamais un luxe, même pour un dictateur de la trempe du Général Leopoldo Sapateiro.

Convaincu du prisme dans lequel sa gouvernance et la religion étaient inscrits, le Général Leopoldo Sapateiro avait lourdement insisté fac à la caméra, sur le rôle protecteur qu’il avait occupé dans l’émancipation de la péninsule et la mise en déroute des autorités impériales listoniennes, aujourd’hui accusées d’exactions sans précédent dans la micro-république de Port-Hafen.

“La religion pousse les gens à faire beaucoup de choses, peut-être plus encore que ce que ne saurait faire la peur… Nous avons à apprendre d’elle si nous voulons entretenir durablement la paix au sein de la société civile de notre pays” martelait-il à ses conseillers militaires, partagés entre les missions de sécurité intérieur et du renseignement. La peur pour la maîtrise des populations ne faisait qu’un temps et le cas pontarbellois ne dérogeait pas à la règle. Par chance, le régime Sapateiro cultivait les rivalités, avec les paramilitaires kah-tanais venus envahir le pays durant le processus d’indépendance, et le gouvernement pharois dont les récents déboires dans le pénitencier militaire de Santialche, avaient offert du grain à moudre pour 50 ans, au profit du Général Leopoldo Sapateiro, soucieux de répéter à qui veut l’entendre, qu’après lui il n’y avait que le chaos. Un argument en passe de faire mouche, quand l’on sait que l’officier a successivement triomphé des forces militaires kah-tanaises dans le nord du pays, et de celles pharoises dans la pointe sud de la péninsule.

Gestionnaire des inventaires militaires pontarbelloise a écrit :Si accord du Saint siège, transfert de :
  • 250 armes légères d’infanterie de niveau 5
  • 14 mitrailleuses lourdes de niveau 7
  • 15 lance-roquettes de niveau 3
  • 30 véhicules blindés légers de niveau 2
  • 10 véhicules de combat d’infanterie de niveau 2
  • 10 camions de transport de niveau 5
  • 25 véhicules légers tout-terrain de niveau 4
  • 10 véhicules de transport blindés de niveau 3
  • 4 véhicules de transmission radio (2 de niveau 3 + 2 de niveau 4)
  • 2 véhicules radar de niveau 3
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Logo du Pontarbello

CONFIDENTIEL - 21 novembre 2011 - Relations internationales Catholano-pontarbelloises : Pape et dictateur, le bon compromis?


Pape Pie XVI et le Général Leopoldo Sapateiro
Le Général Leopoldo Sapateiro a justifié son ascension au pouvoir par une lutte existentielle contre le colonialisme impérial listonien et les agressions katano-pharoises, peut-il s’y maintenir en se présentant comme une figure providentielle avec le soutien des représentants catholiques terrestres?


L’Eglise catholique au Pontarbello, est un mortier fédérateur de la société civile pontarbelloise, un porte-parole appréciable, qui renvoie les populations aux fondamentaux et entretient chez elle un sentiment de corps avec la nation, une capacité d’abnégation au profit de l’outil industriel national et des manoeuvres liberticides qui viennent définitivement asseoir l’autorité du Général Leopoldo Sapateiro, commandant-en-chef de l’Armée Nationale du Pontarbello Libre et héros national, après la victoire militaire arrachée aux forces invasives kah-tanaises et aux illégitimes occupants pharois.

Une manœuvre audacieuse et à l’issue bienheureuse, qui avait convaincu l’opinion publique que la souveraineté du Pontarbello et ainsi donc, sa propre identité nationale, était conditionnée à la présence de ce militaire d’exception. Une perspective d’autant plus renforcée par l’infortunée initiative porto-mundoise d'organiser une opération militaire au résultat désastreux, ce qui a pour effet immédiat de justifier la militarisation du pays et de donner du crédit à la police politique du régime Sapateiro.

Mais si le contexte sécuritaire justifie la mainmise du Général Leopoldo Sapateiro, sur les instances médiatiques et institutionnelles du pays, le renforcement de ses soutiens à l’international serait également en mesure de permettre la réaffirmation du droit à la souveraineté pontarbelloise, dont la définition légèrement floutée en sortie de la guerre d’indépendance, peine à se dessiner pour lui. Le Pontarbello peut-il s’enquérir du principe de souveraineté territoriale chéri par bon nombre des acteurs internationaux? Défendre son pays par les armes en cas d’agression est une chose, mais se prévenir desdites agressions par la diplomatie étrangère et la constitution d’un réseau d’états sur la scène internationale, à même de définitivement reconnaître les institutions pontarbelloises comme des interlocutrices officielles (et uniques) pour la représentation de ce territoire, en est une autre. Et c’est justement sous ce projet, que les autorités pontarbelloises incarnées par sa junte militaire, ont parachevé une série de manœuvres favorables au développement de l’Eglise catholique sur place. Se soucier des catholiques, c’est se soucier des pontarbellois et les latitudes offertes au développement de cette institution religieuse locale, sont à même de susciter l’intérêt de sa plus haute représentation : à travers la Papauté catholane.

Le marquage conservateur du Pape XVI et de ses principaux lieutenants parmi les plus actifs sur le continent aleucien et paltoterran, est une opportunité de plus d’imposer un coup d’arrêt aux pensées progressistes qui pourraient d’abord appeler à plus de libertés quant aux moeurs praticables pour finalement dévier vers des aspirations autour de la liberté d’expression et de l’affirmation de soi.

Du côté pontifical, il est vrai que la péninsule pontarbelloise offre un vivier de croyants catholiques non négligeable et certaines largesses par ses institutions nationales, décidées à faire du catholicisme une religion d’état. Une reconnaissance du catholicisme pour religion d'État et la reconnaissance du Pontarbello? Les bases d’un compromis viable? Oui mais pas que, la République d’Union Nationale du Pontarbello est également un État qui possède le double de population que la Catholagne et un outil de production militaire largement supérieur à celui disponible au sein de l'État pontifical. Ainsi donc, les autorités pontarbelloises pourraient s’autoriser la formation de certains groupuscules paramilitaires chrétiens, dont le support armé ou tourné vers le renseignement serait fortement apprécié des autorités catholanes, engluées dans des rivalités interreligieuses imposées par le schisme Volignonais et la menace croissante d’actions militaires contre les intérêts ou les sphères d’influence catholiques à l’international.

Asseoir son autorité et faire reconnaître sa position à l’international, nourrir des besoins humains et matériels pour sauvegarder les sphères d’influence préétablies? Voilà des enjeux et des outils que les institutions pontarbelloises et catholanes sont décidées à considérer minutieusement, ouvrant de nouvelles perspectives qui nourrissent des coopérations jusqu’ici délaissées.
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Foreign Affairs
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Dans un acte de subversion, la République des Comités de Communaterra a mis en branle une opération visant à répandre les nouvelles de l'abolition du mariage. Un avion civil deviendra le messager clandestin de l'éclatante nouvelle. Il larguera des papiers journaux empreints des détails de cette révolution féministe, particulièrement dans les zones dans lesquelles les femmes et les démunis sont plus nombreux, une stratégie calculée pour faire en sorte de toucher des personnes potentiellement pouvant être acquise à la cause. En parallèle, des individus officiellement déclarés en pèlerinage se glisseront habilement dans les méandres de la société, Leurs pérégrinations les mèneront à imprimer sur place la nouvelle déterminante, qu'ils afficheront sur les devantures des magasins, les panneaux publics, et tout lieu où le vent de la révolte peut porter ses effluves émancipateurs.
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Dans un ballet soigneusement chorégraphié pour éviter toute détection, l'opération subversive déployée par la République des Comités de Communaterra a prévu les détails techniques complexes de l'envoi aérien de cette nouvelle révolutionnaire. Un avion civil, spécialement équipé, devra surmonter une distance d'environ 12 000 km, le point le plus proche de la Communaterra jusqu'aux zones stratégiques de la Catholagne. Un Porte-Conteneur, agissant comme une base flottante, sera positionné pour permettre à l'hydravion de parcourir les premiers 6 000 km en toute discrétion. Une fois à mi-parcours, l'hydravion décollera du navire, traversant les cieux pour les 6 000 km restants avant d'amerrir avec précision 2 000 km plus loin, loin des regards indiscrets. À la fin de sa mission, la pilote, héroïne de la résistance, s'éjectera de l'hydravion avec un parachute, atterrissant en toute sécurité pour poursuivre son engagement dans la clandestinité. Sa stratégie finale consiste à se faire passer pour une femme affamée, cherchant refuge auprès d'un couvent. La trajectoire est calculé pour que l'avion se pose sur l'eau, flottant à sa surface.
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Article de presse en questionLa Plume Rebelle a écrit :
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Libération : La Fin des Chaînes du Mariage
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Dans un acte révolutionnaire d'une envergure sans précédent, la République des Comités de Communaterra déclare une guerre farouche contre l'ancien ordre oppressif du mariage. Cet édifice patriarcal, longtemps symbole de la domination incontestée de l'homme sur la femme, trouve aujourd'hui son ultime épilogue dans les annales de la Catholagne et au-delà.
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Nulle compromission n'est permise dans cette croisade contre l'asservissement des femmes, car il a été décidé que le mariage, ce reliquat du patriarcat, serait désormais illégal. Dans un geste révolutionnaire d'une ampleur considérable, tous les liens matrimoniaux préexistants sont brisés, renvoyant aux oubliettes de l'histoire ces alliances forcées, ces pactes inégaux, ces chaînes volontaires. Catholique, soyez de ceulleux qui forgeront le futur. Du Catholicisme à l'Église Protestante Révolutionnaire : Abolissons le mariage, symbole vétuste de l'oppression phallocrate
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L'Eglise Protestante Révolutionnaire émerge comme la véritable gardienne des principes divins, refusant toute hiérarchie humaine sur l'humanité, que ce soit dans les relations entre les sexes ou au sein de la classe ouvrière. Elle proclame avec véhémence que la seule hiérarchie naturelle est celle de Dieu sur l'être humain. En rejetant les dogmes séculaires qui ont maintenu les femmes dans une servitude institutionnalisée, l'Eglise Protestante Révolutionnaire doit permettre la libération des esprits de la Catholagne du joug patriarcal.
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Ainsi, habitantes et habitants de la Catholagne, entendez ce cri de libération résonner dans vos murs séculaires. La révolution féministe embrase les cieux de votre cité, apportant une nouvelle ère où la domination de l'homme sur la femme n'est plus qu'un vestige d'un passé révolu. C'est le crépuscule du mariage oppressif et l'aube d'une ère où l'égalité entre les genres est non négociable. Que cette nouvelle vous atteigne comme un souffle révolutionnaire, porteur de l'émancipation tant attendue.
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Que les chaînes du mariage soient brisées, que la révolution s'épanouisse !
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Perturbation d'Ondes Radioélectriques pour le Projet "Liberté Ondulatoire"
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Le projet "Liberté Ondulatoire" vise à brouiller les ondes radioélectriques de la station "Radio Sancte", la radio la plus écoutée en Catholagne, afin de permettre la diffusion de contenus alternatifs depuis la Communaterra. Cette opération requiert une ingénierie avancée pour garantir l'efficacité du brouillage tout en établissant une transmission stable sur des milliers de kilomètres.
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Radio Sancte opère dans la bande de fréquences 120.5, avec une modulation de fréquence (FM). Il est crucial de comprendre la structure précise de ces ondes pour concevoir un brouilleur capable de générer des interférences efficaces.
Le brouilleur radioélectrique sera basé sur une architecture à étalement de spectre, utilisant des techniques de modulation par séquence directe (DSSS). Cette approche permettra de minimiser les risques de détection et d'interception par les contre-mesures de la station cible. Le générateur de séquence pseudo-aléatoire sera calibré pour créer une large bande de brouillage tout en maintenant une faible puissance spectrale pour éviter d'attirer l'attention des autorités de régulation. Une gestion dynamique de la séquence garantira l'adaptabilité aux éventuelles modifications de la stratégie de brouillage.
Pour assurer la diffusion de contenus depuis la Communaterra, une station d'émission puissante avec une antenne directionnelle à haute gain sera déployée. Le système d'émission utilisera une modulation d'amplitude (AM) pour maximiser la portée de transmission sur de longues distances, tout en minimisant les risques de détection par des dispositifs anti-brouillage.'optimisation de la puissance émise et de la fréquence de transmission sera cruciale pour maintenir une qualité de diffusion adéquate tout en évitant une localisation rapide de la source par les autorités en Catholagne. Des algorithmes d'optimisation en temps réel seront intégrés pour ajuster dynamiquement ces paramètres en fonction des conditions atmosphériques et du trafic radioélectrique environnant. Voici le discours radio émis :
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Message Radio diffuséPrésidente Xaiomara a écrit :
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Son de fond.
Filles et Fils de la Libération,
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Aujourd'hui, aux portes d'une ère nouvelle, nous éveillons les consciences assoupies et proclamons avec ferveur la naissance de l'Église Protestante Révolutionnaire pour la Gloire de Dieu, notre Souverain éternel et unique ! Que résonnent les clameurs de la liberté, brisant les chaînes séculaires de l'oppression et du capitalisme vorace ! Ouvrez vos esprits à la lumière radicale de la révolution, car nous sommes les artisans d'un monde délivré des entraves du patriarcat et du capitalisme.
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Entendez le message clair de l'émancipation, vous qui avez été maintenus dans l'ombre par les dogmes archaïques. Levons-nous, réclamons notre place dans cette nouvelle communauté dédiée à l'affranchissement des esprits humains ! Rejetons les vestiges d'une Église vieillissante, complice de la suprématie oppressive, qui sous le masque de la piété, pérennise les chaînes du patriarcat et du capitalisme. Soyons catholiques, soyons protestants, mais surtout, soyons les enfants de Dieu qui, à l'unisson, dénonçons le capitalisme qui corrompt la Solidarité Catholique.
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Femmes de la Révolution, que notre foi soit une force éclairant le chemin vers l'égalité et la justice ! Révolutionnons ensemble, car aucune foi authentique ne peut tolérer l'injustice du patriarcat et du capitalisme. Dénonçons l'alliance incestueuse entre le pouvoir religieux et les structures oppressives qui ont trop longtemps maintenu les femmes dans l'ombre.
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Notre Église Protestante Révolutionnaire n'est pas ici pour vous convertir, mais pour proclamer avec vigueur que le capitalisme et le patriarcat sont incompatibles avec la Solidarité Catholique ! Que chacune et chacun d'entre vous, femmes catholiques, soyez les phares guidant notre marche vers une ère nouvelle où le pouvoir est entre les mains du Peuple, où la richesse est partagée équitablement, et où l'émancipation individuelle est célébrée comme un triomphe divin !
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Élevons nos voix dans une symphonie révolutionnaire, renversant les dogmes oppressants et proclamant que chaque femme est une force incommensurable, une créatrice, une révolutionnaire ! Ensemble, écrivons un nouveau chapitre dans l'histoire de la foi, où Dieu est le seul maître, et où le capitalisme et le patriarcat s'inclinent devant la grandeur de la Solidarité Catholique !
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Révolutionnaires, embrassons notre destin commun avec la conviction que la libération est notre hymne et que la révolution est notre prière !
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Citoyennes et Citoyens, ensemble, nous écrirons un nouveau chapitre dans l'histoire de la foi, où Dieu est le seul maître ! Soyons fiers de refuser le patriarcat et le capitalisme !
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Dans un pied de nez orchestré à la station réactionnaire Radio Sancte, les ondes seront ensuite envahies par une playlist résolument rebelle. Douze titres soigneusement sélectionnés, mariant les harmonies du communisme et du féminisme, seront diffusés pour inonder les ondes. Après ce crescendo musical de la révolution, la scène sera savamment cédée à Radio Sancte.
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Au doux amour qui enchaîne


« Cornelia, je te reçois comme épouse et je me donne à toi pour t'aimer fidèlement tout au long de Notre vie. »
« Lauriano, je te reçois comme époux et je me donne à toi pour t'aimer fidèlement tout au long de Notre vie. »



Sur une paisible île du large des côtes eurysiennes de Leucytalée, les Catholars vivent de la culture de leurs terres et de leurs eaux depuis plusieurs centaines d'année ; satisfaits d'ignorer et d'être ignorés de la communauté internationale. Ils ne semblent que de peu d'importance ; ne sont connus ni pour être d'une quelconque puissance, ni pour être des plus sages. Non, ils sont de ce qu'il y a probablement de plus ordinaire, mais aussi de plus sincère. Et pourtant, en cette journée, une pluie de tracts venaient inonder les rues de leur cité. Au petit matin, les devantures des magasins étaient couvertes d'affiches qui pouvaient bien faire rire les habitants tant le message semblait déplacé. Certains même pouvaient croire qu'il s'agissait de l'œuvre de quelques cancres d'un collège voisin. Enfin, c'est la principale radio de la cité qui avait été touché, diffusant durant quelques minutes un message à l'encontre du mariage ainsi qu'un court interlude musical. Les Catholars ne s'empêchèrent pas de l'apprécier, dansant pour certains, et allant même jusqu'à oublier le message saugrenu qu'accompagnait la musique

Au centre radiophonique de l'émission Radio Sancte, le Père Jacques regardait d'abord avec étonnement le tableau qui se déployait devant lui. La République des Comités de Communaterra avait orchestré une subversion habile mais quelque peu ridicule, piratant l'émission de Radio Sancte pour répandre une nouvelle radicale, celle de l'abolition du mariage. L'avion civil converti en messager clandestin larguait ses papiers journaux. Ceux-ci ne trouvèrent que peu d'échos. Le message féministe pouvait aisément tomber à l'eau car, hors des charges hautes du clergé séculier, rien ne leur était spécifiquement inaccessible. Le message social était lui aussi sans relayeur ; la petite population de l'île et ses richesses en faisant l'un des peuples les plus prospères du monde. La clandestinité de l'opération était certes impressionnante, mais ces résultats étaient comme une étoile filante dans le ciel nocturne, éclatante et prometteuse au premier abord, attirant tous les regards vers elle, mais finissant par disparaître dans l'obscurité sans laisser de changement durable. Le prêtre, reprenant l'antenne après le piratage, ressentit un soulagement tant la réponse qu'il allait apporté lui semblait d'une évidence même. Dans un geste solennel, il ajusta le micro et commença à parler d'une voix déterminée.


« Chers fidèles, aujourd'hui, notre radio a été le théâtre d'une tentative de subversion. Des forces extérieures ont cherché à semer la discorde en propageant des idées qui vont à l'encontre de notre foi. Mais soyons assurés que la vérité triomphera. C'est pourquoi nous allons profiter de cette reprise, après ce bref interlude musical que vous avez apprécié je l'espère, afin d'orienter cette émission vers une réponse aux responsables de cet acte en attendant une réaction de nos autorités laïque et ecclésiastique. »

  • L'Eglise protestante révolutionnaire ? Les bases du protestantisme

  • Qu'est-ce que l'Eglise protestante révolutionnaire ? Nous pouvons déjà dire qu'il s'agit d'une création de la soi-disante « révolution prolétarienne » de la la République des Comités de Communaterra en Paltoterra. Jusqu'à très peu encore massivement catholique, une large partie de la population aurait tourné au protestantisme en près d'une année selon les rapports émanant du Communaterra. À moins d'avoir développé les meilleures méthodes de rééducation et d'endoctrinement, comment cet État a-t-il pu réussir à convertir des millions de personnes en si peu de temps, encore plus pour une église dite « protestante » dont les enseignements théologiques divergent grandement de ceux du Magistère de l'Église catholique ? C'est une réponse que nous espérerons voir émaner de quelques enquêtes sur le sujet mais que nous ne pouvons malheureusement pas apporter ici.

    En posant les bases, nous pouvons aisément dire que le protestantisme est une branche du christianisme qui tire son nom de la « protestation » faite par un groupe de nobles germaniques eurysiens au début du XVIe siècle. Cette protestation visait à contester les pratiques et les doctrines de l'Église catholique catholare, conduisant à la naissance du mouvement de la Réforme protestante. Le mouvement de la Réforme a conduit à la formation de nombreuses dénominations protestantes, chacune avec ses propres interprétations théologiques et pratiques. Certaines des principales dénominations issues de la Réforme comprennent les luthériens, les calvinistes, les anglicans, les baptistes, et d'autres. Où placer "l'Église protestante révolutionnaire" parmi toutes ces dénominations ? La chose n'est pas des plus simples tant cette dénomination chrétienne semble rompre avec tout ce qui s'est fait, et non pour y ajouter une plus-value, hors-mis celle de faire sourire. Pour essayer d'y voir plus claire, il nous faut revenir aux cinq piliers du protestantisme, à savoir : Sola Scirptura (l'Écriture seule), Sola Fide (la Foi seule), Sola Gratia (la Grâce seule), Solus Christus (le Christ seul), Soli Deo Gloria (à Dieu seul la Gloire).

    Par "l'Écriture seule", les réformateurs mettent l'accent sur l'autorité suprême des Écritures, la Bible, en matière de foi et de pratique chrétiennes. Ils rejettent ainsi certaines traditions de notre Église catholique catholare qui, selon eux, ne sont pas en accord avec la Bible. La justification par la "Foi seule" est une doctrine centrale de la Réforme. Les protestants mettent particulièrement en avant l'idée que l'homme est justifié devant Dieu par la foi en Jésus-Christ, et non par les œuvres ou mérites humains. Vient ensuite la "Grâce seule" ; les réformateurs enseignent que celle-ci, accordée par Dieu, est la seule cause efficace du salut. Cela signifie que le salut n'est pas mérité par les œuvres humaines, mais qu'il est accordé par la grâce de Dieu. La médiation entre Dieu et l'humanité est ensuite assurée le "Christ seul". Les réformateurs rejettent l'idée d'intermédiaires tels que les saints ou la Vierge Marie dans le processus de salut. Enfin, vient "à Dieu seul la gloire" : cette doctrine souligne que la gloire de Dieu est la finalité ultime de toutes choses. Les réformateurs insistent sur le fait que tout doit être fait pour la gloire de Dieu et non pour la gloire humaine.

    Il semble très évident que les différences fondamentales entre l'approche catholique et protestante quant à l'interprétation et à l'autorité des Écritures saintes découlent souvent de divergences théologiques majeures. Les catholiques, contrairement aux protestants, n'adoptent pas une perspective de la "sola scriptura," qui signifie que seule l'Écriture est la source ultime de l'autorité. La tradition catholique intègre plutôt une approche plus large, englobant les Écritures, la tradition et l'enseignement autorisé de l'Église. L'étude des Écritures dans le catholicisme dépasse de plus la simple appréciation individuelle. Les catholiques valorisent l'étude approfondie des textes sacrés, souvent guidée par des théologiens, des philosophes et des moralistes. La constitution même du Canon biblique, la liste des livres considérés comme inspirés par Dieu, est le résultat d'une étude minutieuse menée par les Pères de l'Église. Ces premiers théologiens chrétiens ont discerné, souvent après des délibérations sérieuses, quels textes devaient être inclus dans la Bible. Ce processus a pris en compte la datation des écrits par rapport aux événements de la vie de Jésus, écartant certains textes jugés trop tardifs pour être authentiques. L'existence de textes écartés du Canon met également en évidence la rigueur intellectuelle exercée par l'Église dans sa démarche. Certains écrits, bien que parfois intéressants historiquement, n'ont pas été inclus en raison de critères spécifiques tels que la proximité temporelle avec les événements évangéliques et la conformité doctrinale avec la foi chrétienne. En plus des Écritures, les catholiques se réfèrent au Magistère de l'Église, c'est-à-dire l'enseignement autorisé transmis par les évêques en communion avec le pape. Le catéchisme de l'Église catholique synthétise cet enseignement, offrant une compréhension cohérente et approfondie de la foi. Ainsi, pour les catholiques, l'autorité ne réside pas uniquement dans l'interprétation personnelle des Écritures, mais aussi dans la tradition vivante et l'autorité enseignante de l'Église, contrairement aux « réformés ». L'inclusion ou l'exclusion de textes dans le Canon biblique a été un processus délibéré, guidé par des critères théologiques solides. Cette approche plus large intègre la sagesse des Pères de l'Église, le travail des théologiens, et la guidance continue du Magistère, offrant une compréhension nuancée et approfondie de la foi chrétienne.

    Cette explication majeure met en évidence deux points d'une importance capitale à prendre en compte ici. Le premier, qu'il semble très curieux qu'une large population de la République des Comités de Communaterra puisse s'être convertie en un temps record pour un mouvement protestant divergeant dans son essence, dans ses fondements, de la Foi catholique. Il ne s'agit aucunement de détails ; autrement les catholiques et protestants auraient aisément pu s'ignorer au lieu de provoquer les guerres de religion. Le second point est sur la très nette contradiction qu'il existe entre le dogme de la Sola Scripture (l'Écriture seule) théoriquement promu par cette "Église révolutionnaire" et la condamnation de cette dernière du mariage. En effet, s'il suffit de s'appuyer sur les Écritures, sur la Bible donc, pour savoir ce qui est vrai, alors procédons comme cela. Malheureusement pour eux, un certain personnage y promeut le mariage et y condamne même le divorce ; pas un personnage anecdotique car il s'agit ni plus ni moins que Notre Seigneur Jésus Christ. "Solus Christus" comme dirait bien tout bon "prétendu réformé". Pour enfoncer le clou dans un geste de pitié, penchons nous plus précisément sur Son message après une brève pause musicale.

♫ Pane di vita nuova

  • Jésus et la question du mariage

  • À la lecture des Évangiles et des paroles du Christ sur le mariage, une interrogation nous hante. Dans les paroles strictes de Jésus sur le mariage, où réside la Bonne Nouvelle ? Ces exigences, cette interdiction abrupte du divorce, ne semblent-elles pas rendre ce chemin chrétien inextricable ? Les auditeurs de Jésus, notamment ses disciples, ressentaient cette charge comme presque insurmontable. Et aujourd'hui, ne sommes-nous pas également pris dans les étreintes d'une indissolubilité matrimoniale radicale ? Pour la jeunesse d'aujourd'hui, influencée par une culture sécularisée, cette perspective de mariage éternel n'est-elle pas une corde au cou, une promesse de malheur ? Et pour ceux qui luttent dans les méandres de l'amour conjugal, la rigidité des enseignements de Jésus ne les exclut-elle pas de la miséricorde divine en les tenant à l'écart de la communion eucharistique ?

    Pourtant, loin de figer, Jésus insuffle une dynamique au mariage. Ces exigences dévoilent un chemin de vie, non pas un fardeau paralysant. Le mariage devient, par l'Évangile, un parcours jalonné de mystères joyeux, douloureux, et glorieux. Les joyeuses nouvelles émergent lorsque, malgré l'apparent durcissement des règles, Jésus ramène ses auditeurs au projet initial de Dieu dans la Genèse. Le mariage est le chemin ordinaire, la voie normale vers une vie réussie, conduisant l'homme à son authentique bonheur. Il devient ainsi le moyen voulu par Dieu pour conduire l'homme à sa véritable plénitude. La fidélité exigée par Jésus n'est pas seulement un devoir imposé, mais un choix définitif. Le mariage devient un apprentissage de l'amour véritable, de la dépendance amoureuse qui est une liberté sans cesse renouvelée. Au cœur du péché originel, l'amour conjugal a été altéré. Mais Jésus propose un remède radical : le chemin de croix conjugal. Dieu, loin de se résigner, choisit ce chemin pour guérir l'humanité de son infidélité. Ainsi, le mariage chrétien devient une révélation de l'amour infini, capable de guérir les cœurs et de les rendre capables d'aimer véritablement. Les mystères glorieux, bien que non perceptibles ici-bas, sont une réalité, le signe du commencement de la vie éternelle. Pour les couples solides, ils expliquent la force de résurrection présente dans chaque acte de pardon, de réconciliation, de progrès dans l'amour. Ils conduisent également les époux à comprendre que leur amour conjugal prépare un amour plus vaste et universel. Ainsi, le mariage chrétien, avec ses hauts et bas, est vécu comme un chemin d'enfance spirituelle. Un parcours où le Seigneur offre sa main, quel que soit le lieu ou la faiblesse, invitant à saisir cette main avec confiance, docilité, patience, émerveillement, et une gratitude infinie. La lecture de l'Évangile se conclut sur l'appel de Jésus à laisser venir à lui les petits enfants, dévoilant un chemin de vie plutôt qu'une épreuve à surmonter. Notre imaginaire a parasité l'amour vrai. Nous ne concevons de plus en plus que comme une successions de bonheurs, une passion. L'on dit généralement, et à raison le plus souvent, que la passion dure trois années. Et après la passion, que reste-t-il ? Eh bien, c'est l'amour. Celui qui se construit. Celui qui s'entretient. Rien de plus, rien de moins à condition que l'on en prenne soin.

  • Travestir la Foi par l'esprit du temps

  • Dans l'ombre des traditions au sens noble, là où réside la pureté des enseignements sacrés, émerge une triste réalité : des âmes égarées comme celles à l'origine de cette "Église révolutionnaire" travestissent la Foi, soumises à l'esprit changeant des époques. Comme des marionnettes manipulées par les tendances éphémères, ils déforment la vérité intemporelle pour la plier aux caprices du temps. La Foi, telle une flamme sacrée, devrait éclairer la voie des croyants avec une clarté inaltérable, ou dû moins y tenter. Cependant, certains, séduits par quelques mirages modernes, choisissent de modeler leur croyance selon les contours changeants de la société. Des prétendus croyants sacrifient la stabilité divine sur l'autel de la popularité éphémère. Ces imposteurs spirituels adoptent des masques trompeurs, prétendant moderniser la Foi pour la rendre plus "acceptable" aux yeux du monde. Ils altèrent les dogmes, édulcorent les principes et sacrifient la vérité sur l'autel du relativisme. Pour eux, la Foi n'est pas un roc immuable, ou elle ne doit pas chercher à l'être, mais une matière plastique malléable selon les désirs changeants de l'opinion publique. Les traditions mystiques et éthiques sont éclipsées par les lubies du moment, les valeurs sacrées sont dissoutes dans le bain acide de la complaisance mondaine ou populaire. Les anciens rites, porteurs de profonde signification, sont relégués au rang de reliques dépassées. Ces fossoyeurs de la vérité oublient que la Foi authentique transcende les époques. Ces fondements ne se plient pas aux modes passagères ni ne capitulent devant les pressions éphémères. La Foi, au-delà des rites et du superflus, au plus profond, à sa base, demeure, immuable, une lumière dans l'obscurité changeante du monde.

  • Dans la tête des leaders Komunteranos

  • La société est pleine d'influences inconscientes que nous subissons. Ainsi, tout serait le résultat de ces influences de la société auxquelles nous ne pouvons presque rien, voire rien. Il s'agit d'un mode de pensées pervers pour qui la relation entre l'humain et la société est à sens unique, ou dans les deux sens mais extrêmement limitée par des dominants. Comment la société aurait-elle le pouvoir de guider nos choix, elle qui n'est que projection de notre esprit ? On nous répondra presque par automatisme que la société est alors l'instrument des puissants, des patrons sur les travailleurs, des blancs sur les autres ethnies, de l'homme sur la femme. Voilà une pensée bien arrangeante et quelque peu fainéante qui permet, à celui qui la manie, d'aisément mettre un quidam contradicteur en déroute. Cependant, c'est une pensée à double tranchant. En effet, celle-ci n'affirme rien, ne construit rien, ne cherche aucune vérité ; elle place son utilisateur sur un trône de ruines en passe de s'écrouler sur ses fondements. Bien malheureux est celui qui appuie son argumentation sur des supputations, des fils invisibles, des choses qu'il nous est impossible d'étudier en prenant assez de facteurs en compte pour que la conclusion soit d'un quelconque sérieux.

    En revenant à nôtre cas, les femmes faisant le choix volontaire de se marier, de s'enchaîner dans une relation, seraient en vérité (car il faut considérer cela comme un insidieux complot) en proie à la volonté des hommes, du patriarcat, par le biais de la société. Mais que voilà un bon spectaculaire de la pensée ! Ainsi, il s'agit d'une position philosophique niant l'existence du libre-arbitre, une philosophie peu chrétienne, mais une philosophie quand même. Les gens (ou les "dominés" au besoin du sophiste) feraient donc des choix ne relevant non de leur volonté, mais d'autres, de la doxa. Et s'il serait faux de s'opposer au constat que nous sommes tous le fruit d'influences, que nos choix sont bornés à la fois à des critères naturels et culturels, ce serait bien manquer d'humilité de prétendre que nous ne sommes aucunement libres. Nous ne sommes pas pleinement libres de par ce que nous avons expliqué plus tôt. Cependant, nous ne sommes que des êtres humains, incapables de dépasser notre nature pour atteindre un niveau d'omniscience permettant une critique et une émancipation de toutes influences, ainsi qu'à toucher du doigt la vérité. Ainsi, le militant prétendument féministe qui cherche à émanciper les femmes en dépit du choix "volontaire" de ces dernières, est, comme nous tous, aussi le fruit d'influences et de biais. Il n'est pas plus légitime qu'aucun autre. Son combat n'est plus que celui d'un modèle contre un autre ; des modèles qui sont tous porteurs d'avantages et d'inconvénients divers. Mais la suppression des inconvénients, des peines, est une course sans fin lorsque l'on se met en tête, comme beaucoup de libertaires, de chercher le plaisir, de jouir sans entraves, expliquant donc cet entêtement à vouloir interdire le mariage. Mais il faut se rappeler, et comme enseignent nos frères bouddhistes, que l’espérance entraîne avec elle la déception ; que la jouissance produit la satiété et le dégoût ; que dans la vie, la somme des peines est supérieure à celle des plaisirs ; et que donc chercher le bonheur, ou seulement le plaisir, est chose vaine et contradictoire... Avant d'en terminer chers auditeurs, tout de suite, une nouvelle pause musicale !

♫ La tendresse

  • Au bout du monde : les libertaires-totalitarisant

  • Si les libertaires nous avaient habitué à prôner la liberté individuelle et la non-ingérence de l'État dans les choix personnels, les choix idéologiques opérés par la République des Comités de Communaterra nous ont quelque peu surpris. En effet, une analyse critique de l'argumentation de ces représentants nous évoquent comme un emprunt à certaines méthodes totalitaires, au nom de la libération. Une contradiction apparaît lorsque des libertaires justifient leur action en affirmant que les choix individuels sont influencés par des structures sociales et des groupes dominants, puis cherchent à imposer leur propre vision libératrice en niant certains de ces choix, à l'échelle d'un État.

    Au cœur de cette contradiction se trouve l'argument que nous avons survolé plus tôt selon lequel les choix individuels sont conditionnés par des influences extérieures, souvent oppressives. Certains libertaires que nous ignorions encore jusque-là avancent que pour atteindre la véritable liberté, il est nécessaire de lutter contre ces influences et de créer un environnement qui favorise des choix "authentiques". Cependant, cette logique peut être inversée pour justifier une forme de totalitarisme, où ceux qui prétendent détenir la vision libératrice ultime cherchent à dicter les choix individuels au nom de cette libération. Par exemple, si une communauté choisit volontairement certaines pratiques ou normes culturelles, mais que ces choix entrent en conflit avec la vision libératrice préconisée par ces libertaires, la tentation est grande de les réprimer au nom de la libération même. Cette approche, bien que prétendant libérer les individus des influences oppressives, impose en réalité une nouvelle forme d'oppression, celle du groupe libérateur. À l'échelle d'un État, cette contradiction devient particulièrement problématique. Lorsque les libertaires cherchent à interdire certaines pratiques volontaires au nom de leur vision libératrice, ils adoptent une position totalitaire, niant la diversité des choix individuels au profit d'une norme imposée. Cela s'oppose à l'idée fondamentale de l'anarchisme libertaire, qui est censé promouvoir la diversité et l'autonomie individuelle. Quid de la liberté individuelle ou citoyenne face à l'État si cet État joue le rôle de gendarme des mœurs ? Nous nous en attristons, mais il est en ce monde des libertaires qui ne peuvent cesser d'être des totalitaires...

  • Éloge aux chaînes du mariage

  • Chers auditeurs, regardez par le fenêtre, dans le tissu délicat des jours qui se rencontrent, dans ce vaste paysage où les âmes se croisent, s'épanouit une mélodie divine, un hymne sacré que l'on nomme mariage. À l'amour qui enchaîne, je dédie ces mots tissés de rêves et de réalités, une prose romantique imprégnée des mystères joyeux, douloureux et glorieux qui tissent la trame de l'union sacrée. Au commencement, une allégresse indicible, un mystère joyeux qui danse dans les yeux des amoureux. L'amour, source d'une joie pure et partagée, devient l'étoile qui guide les cœurs égarés vers le sanctuaire du mariage. C'est là que commence le conte, un conte écrit dans la lumière des jours heureux et des promesses éternelles. Pourtant, chaque conte a ses chapitres d'ombre, ses mystères douloureux. Dans le livre du mariage, des pages sont parfois froissées par les vents tumultueux de la vie. Les épreuves, ces sombres nuages, ne font que mettre en relief la force de l'amour qui enchaîne. Car dans la douleur partagée se révèle la solidité des liens, et le mariage devient une symphonie où chaque note, même discordante, contribue à la grandeur de l'œuvre. Mais la vie, dans sa sagesse infinie, offre également des chapitres glorieux. Ces moments d'apothéose où l'amour, triomphant des tempêtes, resplendit tel un soleil éternel. Le mariage, alors, devient une épopée dont les héros sont les deux âmes intrépides qui ont choisi de s'embarquer ensemble, main dans la main, dans la mer tumultueuse de l'existence.

    À l'amour qui enchaîne, je rends hommage comme à une force mystique qui transcende les limites humaines. C'est un lien tissé par les mains divines, une corde d'affection ourlée par les anges. Le mariage, dans sa splendeur, est l'œuvre du Créateur qui a semé des étoiles dans le ciel de chaque couple, des éclats de joie qui persistent même dans la nuit la plus sombre. Ainsi, dans l'éternité d'un « oui » échangé, se dessine un poème qui traverse les saisons de l'âme. À l'amour qui enchaîne, à cette grâce ineffable qui guide les époux à travers les mystères joyeux, douloureux et glorieux, je m'incline avec respect et admiration. Que la lumière divine éclaire nos esprits et renforce notre détermination à rester fidèles aux principes qui ont guidé notre foi depuis des siècles. Je vous remercie de m'avoir écouté. À tous, allez dans l'amour du Christ.

« À l'amour, que les chaînes et le sacrifice rendent plus vrai et sincère que nature.
À l'amour éternel, celui-la même qui rapproche de l'amour à l'Éternel.
Je dirais sincèrement, éternellement, définitivement ; "oui". »

Au doux amour qui enchaîne.
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Perspective sur les anges


« L'ange est le musicien du silence de Dieu. »

Chasseur de Catholagne

L'île catholare, bien fournie en radars et aisément surveillée en raison de sa taille réduite, ne pouvait avoir la moindre peine à détecter l'hydravion après ses agissements. Ainsi, deux chassèrent décollèrent bientôt, après le lâché de tractes, pour prendre l'intrus en chasse. Les deux appareils papaux, des aéronefs offerts à Sa Sainteté et ornés d'œuvres religieuses bien connues, prirent rapidement de la vitesse, rattrapant ainsi l'intrus. Ils entourèrent l'hydravion subversif, prêts à réprimer toute absence de coopération. Un dialogue débuta alors dans les cieux entre les envoyés de la papauté et l'engin komunterano. Un des co-pilotes tentait de porter un avertissement à la pilote de la République des Comités de Communaterra par communication radio sur divers fréquences .

« Nous vous adjurons de mettre fin à cette mission et d'amerrir immédiatement. Vos agissements sont contraires aux lois laïques et ecclésiastiques de Catholagne. Amerrissez et remettez-vous à la justice du trône de saint Pierre ou vous serez abattu. »

Les avions de la papauté demeurèrent en vol de croisière un instant, semblant communiquer silencieusement à travers les airs en attendant une réponse ou une réaction. Puis, dans un mouvement coordonné, ils déclenchèrent un ballet aérien, encerclant étroitement l'hydravion rebelle. Les avions de la papauté continuèrent leur ballet, incitant l'hydravion subversif à amerrir pour faire face à la justice terrestre qui les attendait.

À peu près au même moment où les chasseurs avaient décollé, quelques soldats catholars embarquèrent avec équipages à bord de cinq vedettes qui se lancèrent vers la direction prise par l'hydravion afin de récupérer les potentiels prisonniers ou victimes après succès de l'opération.

Détails logistiques de l'intervention :

  • Motricité :
Les pilotes interviennent rapidement dans un espace aérien proche de Sancte. (Quelques minutes ou dizaines de minutes pour réagir.)
Des vedettes naviguent pendant le même temps dans la direction prise par l'hydravion pour récupérer les potentiels prisonniers/victimes.

  • Équipement emporté :
- 2 avions de chasse niveau 4.
- 5 vedettes niveau 5.

  • Composition des forces armées :
- 2 pilotes et 2 copilotes de chasseur (Catholagne)
- 30 personnes pour soldats et équipages des vedettes (Catholagne)

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Bureau du Maître des Universités


Drapeau

A sa sainteté de la Sainte-île Pontificale de Catholagne Pie XVI, le Patrice, le Sénat et le Conseil Communal de Velsna te salue.

Nous t'envoyons cette requête avec pour but de faire savoir l'établissement de relations diplomatiques officielles avec le Sant-Siège, car si officiellement la Grande République de Velsna ne reconnaît plus de religion officielle, 92% de sa population est catholique et il existe ainsi un lien évident entre nos États. A ainsi été envoyé à ton recensement universel nos données démographiques dans l'espoir de prendre notre place parmi les cardinaux. L'ouverture mutuelle d'ambassades est également selon moi une étape importante dans l'établissement de ces relations. Nous souhaitons ainsi une grande prospérité à ton Eglise

Ainsi a été fait ce courrier à la date du 9 mai 2012 par le Maître des Universités,
Tina Salieri.
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24 mars 2013 - CONFIDENTIEL - Un prêtre catholique expulsé de la Mandrarika après avoir taxé les orgies des universalistes d’infamantes.


Eglise catholique et culte caaganiste, quelle équation?
Propos du Père Roberto Villatorga en Mandrarika, quelle lecture faite par le Saint-Siège de l’Eglise Catholique?

Après que le Père Roberto Villatorga ait décrit les orgies caaganistes comme une absence de considération et d’engagement envers les hommes et Dieu, ce dernier a fait l’objet d’une mesure administrative portant expulsion du territoire ainsi que d’un fichage pour extrémisme par les autorités des institutions religieuses mandrarikanes. Accusée d’intolérance et d’incitation à la haine par plusieurs figures du culte caaganiste, l’Eglise catholique peut-elle préciser sa position sur les religions minoritaires et défaire le jugement de valeur porté par un membre de son clergé?

En Mandrarika, beaucoup l’espèrent, s’offusquant de la stigmatisation et du dénigrement porté par ces déclarations. “Nous ne sommes des fornicateurs” explique Ursule Hattabo, un caaganiste en duplex depuis sa communauté en Mandrarika. “Le culte caagansite fait grand cas de notre capacité à nourrir une certaine universalité entre les êtres, une race, un seul peuple, façonné par nos créateurs supraterrestres. Nos instants d’union, que certains résument à de basses œuvres, sont des instants de communion par la religion et animés par notre foi en l’universalité des uns et des autres. Ces instants nous appartiennent et doivent s’affranchir de la souillure et des verbiages que nous imposent des personnes extérieures à notre communauté.“

Venue accomplir une mission évangélique en Mandrarika, le Père Roberto Villatorga s’en sort, de l’avis général, assez bien, eu égard aux troubles qui sévissent sur le territoire à l’occasion de la guerre civile entre les Forces Claniques Combattantes et le gouvernement mandrarikan. “Ses déplacements sur le territoire auprès des communautés de l’arrière pays sont dangereux et ne pourront réunir l’ensemble des conditions garantissant sa sécurité, si cette personne tient également des propos blasphématoires à l’égard du culte, le risque de représailles portées par des croyants caaganistes échaudés est réel. Notre administration, considérant le caractère extrémiste et blasphématoire des propos tenus par le prêtre Roberto Villatorga, a conclu qu’il était de l’intérêt général, de suspendre instamment son visa, et d’entamer une procédure d’expulsion à effet immédiat, pour garantir sa sécurité et le libre exercice des lieux de culte présents sur le territoire…” confie un responsable des institutions religieuses caaganistes de la capitale.

A la marge de cet incident, la pensée universaliste des caaganistes ne tarde pas à reprendre le dessus, rappelant la nécessité de ne pas entretenir d’animosité avec les catholiques et sollicitant auprès de ces derniers, par la voix de sa figure la plus éminente qu’est le Pape Pie XVI, une posture claire et hégémonique pour son Eglise, qui puisse favoriser l’apaisement.
“Personne ne souhaite d’animosité entre l’Eglise catholique et caaganiste. Nous souhaitons juste être considéré dans la pratique faite de notre religion et appeler à la reconnaissance des autres religions, pour ce faire une communauté si ce n’est comprise, entendue…”

Des aspirations légitimes qui semblent trouver le soutien des plus hautes instances décisionnelles de la Mandrarika, notamment à travers le Premier Mandrar Rakoto Manorohanta lui-même, qui a indiqué prendre la plume pour espérer un échange avec le Pape Pie XVI.

Une entrevue entre l’autorité du culte caaganiste et l’Eglise catholique, serait une première et viendrait parachever les premières politiques étrangères développées localement, notamment sur la base des coopérations et rapprochements précédemment effectués, auprès du Faristan et de l’Empire du Burujoa qui, sans en connaître la teneur, viennent donner un poids plus lourd à la voix mandrarikane et à ses représentants officiels.

La venue du Pape en Mandrarika, ou la venue du Premier Mandrar en Catholagne, serait un fait inédit qui viendrait inéluctablement développer, l’envergure politique des autorités caaganistes à l’international.
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