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Activités étrangères au Grand Kah - Page 4

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El Globo
8 Novembre 2009 - Attaques des brigades solaires au Pontarbello : Plusieurs centaines d’intellectuels et experts soutiennent la qualification d’invasion, l’entrée de plusieurs milliers de soldats des brigades solaires kah-tanaises sur le territoire péninsulaire.


Invasion du Pontarbello par les brigades solaires kah-tanaises, un échec militaire qui nourrit les tabous de la part des autorités politiques du Grand Kah.
L’invasion (manquée) de la péninsule pontarbelloise par les brigades solaires kah-tanaises, un sujet tabou qui entame la liberté de la presse internationale?


Utiliser le terme d’invasion pour décrire la présence de six milles combattants kah-tanais dans un pays disposant d’une force de quatre cents hommes est-il exagéré? A-t-on seulement le droit de dire à l’antenne kah-tanaise, que la présence par milliers des brigades solaires, dans la péninsule pontarbelloise, constitue légitimement une invasion? Les autorités kah-tanaises s’offrent le luxe d’espérer que non, tentant maladroitement de museler des journalistes paltoterrans engagés au sein de l’Agence Générale de la Presse, une institution journalistique indépendante et internationale.

“Doit-on s’interdire de qualifier d’invasion, la présence indésirable et armée, d’un contingent de plusieurs milliers de soldats, organisés collectivement et équipés d’éléments de motorisation, au sein d’un territoire sur lequel leur présence n’est pas désirée?” commence par interroger l’audience le professeur Fernando Cascarraz, de l’université en sociologie et politique de Pomosejo, en Arcoa.

Interpellé par la censure de journalistes de l’Agence Générale de la Presse, à l’égard de leurs confrères alguarenos, l’homme s’est depuis penché sur l’inavouable question : la manoeuvre militaire de sept milles miliciens des brigades solaires kah-tanaises au Pontarbello, était-elle une invasion?

Pour formaliser une réponse claire et sans ambiguité, l’universitaire fonde sa théorie sur trois critères déterminants, pour caractériser (ou non) la dimension invasive de la manoeuvre militaire kah-tanaise:
  • La manœuvre est-elle armée?
  • Les forces kah-tanaises avaient-elles l’aval des autorités pontarbelloises ou même impériales listoniennes, pour pénétrer le territoire?
  • S’agissait-il d’une force de substitution au pouvoir en place? C’est-à-dire est-ce que les brigades solaires kah-tanaises ont coopéré avec les autorités loyalistes listoniennes?

La manœuvre kah-tanaise est-elle armée, menaçante à l'ordre public?

Première question et des plus simples à répondre pour notre universitaire : l’opération conduite par les Brigades solaires au Pontarbello, est-elle armée? Considérant la composition, tant quantitative que qualitative des Brigades Solaires présentes au Pontarbello, il apparaît plus qu’évident que nous sommes en présence d’un contingent militaire, arborant des milliers de soldats, autrement une force suffisante pour des opérations d’occupation durable du territoire.

Sur un plan qualitatif, j’ajouterai simplement que les milliers de personnes envoyées au Pontarbello par les autorités kah-tanaises ne sont pas des boulangers et des chauffeurs de bus, mais des personnes formées aux arts de la guerre et déployées sur place pour s’en servir. Dans ces conditions, il m’est permis de dire que les premiers éléments de réponse soulignant le caractère armé et offensif de l’expédition militaire kah-tanaise au sein de la péninsule pontarbelloise, vont dans le sens d’une théorie de l’invasion.

Les forces kah-tanaises étaient-elles autorisées à entrer dans la péninsule?

Malgré l’importance et le caractère strictement militaire du dispositif déployé par les brigades solaires au Pontarbello, ce seul critère ne suffit pas à décrire une manœuvre invasive. En effet, les milliers de miliciens envoyés se battre au Pontarbello auraient pu avoir une certaine légitimité, si leur présence sur place s’inscrivait dans le cadre d’une coopération militaire, d’une action de soutien, défensive en somme, des autorités loyalistes et impériales listoniennes. Manifestement, ni les populations ni les autorités locales listoniennes n’avaient connaissance des manœuvres militaires des brigades solaires kah-tanaises à venir. C’est-à-dire qu’une fois engagées, celles-ci n’ont trouvé ni le soutien des populations lusophones de la péninsule, ni les autorisations morales et politiques des autorités loyalistes listoniennes.

Sans avoir l’autorisation pour une telle manœuvre militaire, la violabilité des frontières, qu’on les considère pontarbelloises ou listoniennes, ne fait aucun doute. Et d’un raisonnement tout à fait logique permis à chacun d’entre nous, si l’intégrité territoriale d’un état est entamée par une force armée, non autorisée à circuler sur celui-ci, il est plus que permis de considérer cette force expéditionnaire, comme un acteur de l’invasion du Pontarbello.

Les brigades solaires ont-elles coopéré avec le pouvoir loyaliste, ou s’inscrivaient-elles comme une force de substitution dans la péninsule?

Le dernier élément qui permettrait de caractériser l’opération militaire des brigades solaires comme une manœuvre d’invasion, serait celui consistant à dire que ces forces militaires se sont abstenues de toute coopération avec les autorités locales. Les forces militaires qui ont envahi la péninsule pontarbelloise, ont accompli ce méfait à partir d'un autre territoire, précédemment envahi qu'est l'Izcalie. Les autorités listoniennes et izcales, n'ont été en rien prévenues des opérations militaires portées par les brigades solaires kah-tanaises et leur passage au sein de leur espace territorial. En s'imposant la présence de milliers de soldats étrangers sur son sol, un sol depuis lequel les brigades solaires kah-tanaises ont pu lancer des attaques contre le Pontarbello, l'Izcalie s'est faite cobelligérante malgré elle de la guerre. Une preuve irréfutable que les brigades solaires kah-tanaises ont non seulement envahi le Pontarbello, mais également l'Izcalie.

Les brigades solaires se sont, par cette manœuvre, substituaient à toutes les autorités politiques de la région, se faisant une faction invasive, autonome de ses moyens et de ses décisions...
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10 novembre 2009 - L’invasion du Pontarbello par les brigades solaires, un qualificatif tabou pour les médias kah-tanais rongés par l’infamie.

Négationnsime et désinformation, la liberté de l'Agence Générale de Presse remise en cause.
Le négationnisme et le désinformationnel kah-tanais, en cause sur le dossier du Pontarbello, après que des lobbys aient refusé le qualificatif d’invasion.

L’espace public, sous l’influence des lobbys kah-tanais, semble s’interdire de plus en plus la dénomination d’invasion pour parler de l’entrée irrégulière au Pontarbello, de milliers de soldats des brigades solaires. Mais une entrée clandestine sur le territoire pontarbellois, depuis un autre territoire souverain qu’est l’Izcalie, de sept milles combattants armés et motorisés, peut-elle échapper à ce qualificatif? Les experts qui prennent aujourd’hui le temps de la réflexion semblent amenés à penser que non et craignent que les journalistes kah-tanais exerçant à l’Agence Générale de la Presse, n’usent de leur influence pour défendre le négationnisme et la désinformation. Une liquéfaction inacceptable de l’intégrité journalistique et pourtant amenée de façon grandissante au sein de l’espace médiatique international. Dans ce contexte, des professeurs universitaires installés dans la capitale arcoane, ont souhaité théoriser l’idée selon laquelle, la péninsule pontarbelloise a fait oui ou non l'objet d’une manœuvre d’invasion de la part des brigades solaires kah-tanaises.

Une initiative remarquée, dans un contexte de tensions toujours existant et pour lequel les Communes Unies du Grand Kah semblent décidées à saper le devoir de mémoire autour de cette guerre comme on en avait plus vu depuis la révolution varanyenne, en 2003.

“Il y a eu au Pontarbello une guerre entre les forces de l’Armée Nationale du Pontarbello Libre face aux forces paramilitaires des brigades solaires, cette guerre est la résultante d’une invasion kah-tanaise du Pontarbello et avant ça, de l’Izcalie, territoire souverain depuis lequel des forces militaires kah-tanaises ont pénétré le territoire pontarbellois pour y faire la guerre…” confie sans détour le politologue Qiaro Novarraz. “Les deux pays doivent faire un travail de mémoire autour de ces évènements et l’incapacité du monde journalistique kah-tanais à reconnaître ces faits,

Pour cet expert, le nier aussi ouvertement dans la presse internationale comme le fait la sphère dite intellectuelle du Grand Kah, est une “aberration grossière”, relevant de la “pitrerie” et susceptible d’offenser les peuples marqués par un passif aussi lourd que celui ayant frappé le Pontarbello, ou encore tout simplement, les familles des miliciens kah-tanais tombés au combat dans la péninsule.

“Il y a un tabou de la part des autorités kah-tanaises et avec elles, de la sphère communicationnelle de ce pays, qui reconnaissaient déjà avec peine, avoir commis un acte de guerre lors de l’envoi d’une demi-centaine d’avions de combat, sans autorisation, au sein de l’espace aérien alguareno.” Le Grand Kah et consorts (cf : les brigades solaires) agissent sans autorisation en territoire étranger, c’est un fait doublement marqué pour la péninsule pontarbelloise, après son invasion terrestre par des milliers de miliciens et l’arrivée d’une demi-centaine d’avions de combat étatique dans un espace aérien souverain comme celui alguareno.

Cette absence de volonté manifeste à reconnaître l’évidence pourrait passer inaperçue si elle n’était pas arrivée à ce stade où elle souhaiterait régir le contenu informationnel des chaînes de journaux télévisés internationales, pourtant réputées libres d’investigation en ce qui concerne l’actualité mondiale.

Ainsi donc, les récentes sorties de “journalistes” de l’Agence Générale de Presse, notoirement proches de la gouvernance kah-tanaise, tentant de sonner la fin des libertés d’investigation et d’expression qui en résultent, apparaissent comme un geste mal avisé et inacceptable de la part de ces lobbys proches du pouvoir communaliste de Lac-Rouge, ancré dans le négationnisme et le désinformationnel.
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10 novembre 2009 - Le Grand Kah et ses sphères d’influence installées au sein de l’Agence Générale de Presse, resserrent le nœud coulant autour du cou de la presse internationale.


Presse internationale et sphères d'influence kah-tanaise, l'onde de choc d'une dangereuse alchimie.
La liberté de la presse, kah-tanaise ou internationale, menacée par le négationnisme autour de l'invasion du Pontarbello par des milliers de miliciens des Brigades Solaires?


S’interdire de parler d’invasion du Pontarbello, eu égard à l’arrivée unilatérale de milliers de combattants kah-tanais dans la péninsule aleucienne sous la bannière unique des Brigades Solaires, constitue pour les journalistes alguarenos un marqueur de changement dans la liberté de la presse voulue par cet état et ses sphères d’influence intégrées au tissu informationnel international.

“On comprend mieux pourquoi les proches des sept milles kah-tanais envoyés au casse-pipe dans la péninsule pontarbelloise, ne se sont pas plaints et n’ont pas manifesté lur désapprobation, leur inquiétude, dans le pays. L’invasion du Pontarbello (et avant ça de l’Izcalie depuis laquelle les Brigades Solaires ont attaqué) n’a jamais eu lieu, ont tonné les intellectuels kah-tanais proches de la direction de l’Agence Générale de Presse.

Un procédé pervers, lorsque la pratique du négationnisme et de la désinformation se drape elle-même, d’un objectif de lutte contre les mêmes actions.

Mais les sorties des lobbies d’influence kah-tanais, peuvent-ils aller au-delà des constatations faites, autour de l’entrée sur les territoires izcales puis pontarbellois, d’un contingent militaire de plusieurs milliers de soldats, arborant le même drapeau qu’est celui des Brigades Solaires? Clairement pas non, s’évertuent maintenant à dire depuis quelques temps, de nombreux thésistes et universitaires associés aux établissements d’études supérieures de la Fédération d’Alguarena. “Lutter contre les fausses informations est notre devoir et dire que l’entrée irrégulière en Izcalie puis au Pontarbello de milliers de soldats affiliés à une même entité politique n’est pas une invasion, en est une” fustige le professeur Diego Santava, de l'université fédérale d’Aserjuco, porteur d’une étude sur le caractère invasif des opérations paramilitaires kah-tanaises dans la péninsule sud-aleucienne. Pour lui et de nombreux intellectuels ayant traité en profondeur ou en surface le sujet, l’opération paramilitaire perpétrée par les Brigades Solaires kah-tanaises au Pontarbello, sans accord préalable des autorités locales, qu’elles soient listoniennes ou avant ça izcaliennes, constitue clairement et indiscutablement un acte d’invasion.

Considérant cette évidence, les intellectuels des établissements d’enseignement présents au sein de la Fédération, multiplient les travaux de recherche et d’analyse pour rétablir les faits, sous leur caractère sémantique du terme… Et à l’issue un seul mot d’ordre : il y a eu invasion de l’Izcalie et de la péninsule pontarbelloise par les Brigades Solaires, un moyen pragmatique et citoyen de rétablir la vérité, tout en sauvant la liberté de la presse après les attaques en règle perpétrées par les sphères d’influence kah-tanaises, désireuses d’y mettre des coups de canife pour ne pas ajouter de l’infamie à l’humiliante défaite militaire de ses milices des brigades solaires, engagées sur la pointe sud de l’Aleucie.

Les médias étrangers, des cibles privilégiées pour le diktat impérialiste des autorités kah-tanaises, ancrées dans des ingérences militaires à l’étranger, en Marhénie, au Vinheimur, au Kodeda, au Pontarbello et que sais-je encore?

Devant l’omniprésence des Brigades Solaires kah-tanaises sur l’ensemble des points chauds, pour ne pas dire l’ensemble des conflits internationaux, les autorités de certains pays, telles que la Fédération d’Alguarena, ont d’ores et déjà entamé des actions politiques et législatives, portant sur la classification des Brigades Solaires, parmi les organisations terroristes.

Mais cette condamnation ne semble plus suffire à présenter le mal environnant ces groupuscules paramilitaires, et devant les initiatives hardies des sphères d’influence kah-tanaises, qui n’hésitent plus à censurer et à condamner les publications d’autres confrères journalistes, le travail des intellectuels est rendu d’autant plus nécessaire pour préserver les capacités de la presse internationale, à informer le grand public sous un angle strictement factuel, comme il en est question en ce qui concerne l’invasion de la péninsule sud-aleucienne, par les milices kah-tanaises.
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Une coopération grandissante entre le Grand Kah et Péronas

Alors que les deux pays sont officiellement entrés en contact au cours de l’année 2008, nous sommes bientôt en 2010 et pourtant, les deux pays liés d’une forte proximité géographique ont connu de beaux moments de partage de cohésion, et cette dernière ne cesse de grandir.

L’ouverture au monde après la période d’autarcie de Péronas aura marqué un grand coup sur la scène internationale. Péronas a donc décidé de quitter son isolationnisme tant apprécié auparavant et de s’ouvrir sur la scène internationale. Péronas en a profité pour contacter une flopée de pays plutôt proches ou jugés importants, dont le Grand Kah en faisait parti pour les deux raisons citées. Après un échange d’ambassadeurs acceptés par le Grand Kah, les relations ont alors continué à se développer.

13 avril 2008, à 16h45, un incendie se déclare au musée d’histoire de Rore. Ce musée qui contient des centaines d’années d’histoire se voit ravagé dans sa grande majorité. Heureusement, et grâce au secours héroïque d’une guide de musée s’étant sacrifiée, une dizaine d’œuvres inestimables ont pu être sauvées, bien que d’autres dizaines aient brûlées et aient été détruites. Les relations entre Péronas et le Grand Kah étaient encore à leurs débuts, mais le Grand Kah a décidé de porter assistance à Péronas et très rapidement après le drame, le Grand Kah a proposé d’aider à la sauvegarde du patrimoine en se proposant d’envoyer des reliques pouvant avoir appartenus à Péronas.

Après quelques jours, c’est plus de 300 objets et reliques qui atterrissent à Péronas. Des originaux et des copies exactes se retrouvent alors de nouveaux disponibles à l’exposition. Et après 3 mois de durs labeurs, le musée réouvre et l’ambassadrice Kah-Tanaise siégeant à Péronas, invitée, n’a pas hésitée à faire le déplacement pour réitérer son amitié avec Péronas et le souhait que les relations perdurent.

Bien que cela aurait pu évidemment commencer sur des notes plus positives, le Grand Kah et Péronas ont continués à coopérer et ce, sans problèmes. La vie continuait, les pays travaillaient en étroite collaboration, tout allait pour le mieux.

Des mois plus tard, bien que les relations soient au beau fixe entre Péronas et le Grand Kah. On ne peut en dire de même concernant les relations entre Péronas et l’Empire Burujois qui eux sont à leurs pires niveau depuis l’ouverture au monde de Péronas.

Pour contextualiser le tout, des Pérons font une suite d’actes malveillant au Burujoa. En effet, après avoir violé et tué une jeune fille Burujoise, ces derniers se font exploser à des points névralgiques de Kairamu et tuent plusieurs dizaines d’individu. Bien que Péronas condamne cet acte, l’Empire Burujois déclare l’Etat Péron complice. S’en suivent des relations diplomatiques au plus bas, des fermetures de frontières et malheureusement des Burujois coincé à Péronas. Plutôt que de vouloir les rapatrier, le Burujois préfère les oublier, Péronas se doit alors de subvenir à leurs besoins.

Alors que les échanges montent, l’Empire Burujois décide de ramener une énorme quantité d’équipements militaires sur l’enclave la plus proche de Péronas, située à plus de 2500 kilomètres à l’Ouest des côtes Pérones. Péronas essaie alors de se défendre, et pour gagner du temps face à de telles intentions, il peut compter sur le Grand Kah.

A la demande de Péronas, le Grand-Kah et Péronas vont organiser d’immenses exercices militaires navals et aériens sur les côtes Ouest du pays. Ce sont plusieurs bateaux lourds tels que des destroyers, des corvettes, des patrouilleurs qui sont engagés pour ces exercices. On dénombre aussi des sous-marins d’attaques, des sous-marins lance-missiles. Pour le côté aérien, des avions de chasses, des hélicoptères d’attaques et des avions tactiques s’élancent sur la côte Ouest. On dénombre également plus de 5 tests de missiles lancés par Péronas, qui étrangement, tous se dirigeaient vers l’exclave Burujoise. Ces exercices durant des semaines, c’est un silence radio du côté de l’exclave Burujoise. Plus aucuns mouvements suspects ne s’opèrent, et ce qui, à la télé semblait être à la limite d’une déclaration de guerre, ne bouge pas d’un iota dans la vie réelle.

A la suite de ces exercices militaires qui ont permis également d’améliorer les relations entre le Péronas et le Grand-Kah, la tension entre le Burujoa et le Grand-Kah n’est pas redescendue pour autant, mais c’est ce qui a réellement stoppé la montée des tensions.

Entre temps, et sur une demande Pérone, le Jashuria a joué le rôle de médiateur et est venu récupérer les Burujois enfermé à Péronas pour les ramener chez eux de manière saine et sauve.

Enfin, rien ne s’est réellement passé depuis ce temps entre Péronas et le Grand-Kah, cependant, alors qu’on les avait appris volontaire pour organiser conjointement la Coupe du Monde de Basket-Ball de 2009. On vient récemment d’apprendre que cette candidature commune a pris le dessus sur la candidature qui, étonnamment contient le Burujoa allié à République Nationale-Socialiste de Maronhi.

Cette candidature relève d’une réelle épreuve à affronter conjointement, et comme précisé sur la candidature, l'organisation commune de la coupe du monde de Basket-Ball par Péronas et le Grand-Kah est justifié par diverses raisons telles que : coûts partagés, capacités d'organisation combinées, augmentation de l'attrait touristique, élargissement de la portée de l'événement, promotion des relations internationales.

Il faudra cependant répondre aux questions sécuritaires posées par le conflit Péronas-Burujoa durant cette coupe du monde, car Péronas sera au centre de l’attention, et il serait malvenu qu’un drame se commette.

Concernant l’amélioration des relations, nous avons interrogé plusieurs citoyens Kah-Tanais, et nous leurs avons posés 3 questions. Voici les réponses qui reviennent principalement.

Que ressentez-vous en sachant que la candidature du Péronas et du Grand Kah a été sélectionnée, et que ces deux pays organiseront donc conjointement la future Coupe du monde de Basket-Ball ?

1 (La réticence) : Ça ne peut être qu’une fierté pour nous, même si je vous l’avoue, j’aurais préféré.e que nous l’organisions de notre propre initiative et tous seuls. Maintenant, je fais confiance à l’Union et je suis sûr que cela se passera bien avec Péronas. Je pense même, à titre personnel, me rendre à Péronas pour l’occasion.

2 (La confiance) : Je suis très excité.e à l’idée de cette coupe du monde, Péronas a su faire ses preuves dans le milieu du sport et je suis très content.e que l’on soit co-hôte avec eux !

Que pensez-vous de Péronas ?

1 (Négatif) : Avec ce qu’il s’est passé l’an dernier, je ne saurais pas vraiment me positionner. J’émets encore quelques doutes à ce pays, entre la stabilité politique et les lacunes diplomatiques…

2 (Positif) : Péronas est un très bon pays, bien que l’on n’ait pas le même régime, c’est un endroit où je n’hésiterais pas à partir en vacances. Là-bas on peut y aller en toute sécurité et découvrir tout ce qu’il a à nous proposé.

Que pensez-vous des relations diplomatiques entre le Péronas et le Grand Kah ?

1 (Positif) : Cela ne peut-être que positifs pour tous. Entreprendre des relations diplomatiques de nos jours est primordial, ne serait-ce qu’en cas de crise, la meilleure réponse est le dialogue.

2 (Négatif) : Au vu des précédents de Péronas, on peut voir que la diplomatie n’est pas leurs points forts. Je serais donc plus attentif à ce que nos relations n’empirent pas, car pas sûr qu’ils chercheraient à les améliorer.


Ian Xirau, pour le Journal Péron,
le XX/XX/2009
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5 mars 2010 - CONFIDENTIEL - Les avions de chasse et l’avion de guerre électronique kah-tanais, une arme de guerre archaïque mais toujours redoutable, dans la nature.


Des GRS-2002 sous les couleurs de l'armée de l'air pontarbelloise, une future réalité ou un projet fantasmé?
Le Pontarbello veut les avions kah-tanais saisis par l’armée fédérale d’Alguarena (ainsi que ses transpondeurs!).


Saisis par les forces de l’armée de l’air fédérale d’Alguarena, ces avions de chasse et cet avion brouilleur électronique de conception kah-tanaises sont des opportunités réelles d’entretenir un avantage tactique en temps de guerre. Trop vieux et archaïques pour équiper les escadrilles de l’armée de l’air alguarenas, les avions de chasse de modèle GRS-2002 sont depuis leur saisie en février 2007, les composantes d’un arsenal aérien inexploité.

Soucieux d’acquérir toujours plus de moyens offensifs, les officiers-généraux de l’état-major pontarbellois ont porté à la connaissance du Général Leopoldo Sapateiro, “leur intérêt le plus vif” pour “l'acquisition prochaine de la trentaine d’aéronefs kah-tanais aujourd'hui sous le scellé des forces armées fédérales d’Alguarena, après qu’ils eussent contribué à la conduite d’une agression kah-tanaise dans l’espace aérien alguareno.

Une trentaine de GRS-2002, qui pourrait donc faire peau neuve dans l’armée de l’air pontarbelloise? Le Général Leopoldo Sapateiro, commandant-en-chef des forces de l’Armée Nationale du Pontarbello Libre, veut y croire. Un espoir qu’il espère sous peu transformer, en formulant une demande formelle aux services du renseignement alguareno, l’Oficina de Investigacion y Seguridad Federal qui gère l’enquête et donc le scellé entourant ces “escadrilles pirates” qui ne correspondent en rien au parc militaire alguareno.

Le Grand Kah et ses supplétifs, sous-entendu les brigades solaires, ont démontré par leur bellicisme leur volonté ou en tout cas leur absence de tenu, à porter la guerre au plus près du Pontarbello. Une démonstration de force repoussée mais entendue par l'état-major pontarbellois, qui souhaite maintenant prendre une série de mesures destinée à lui offrir un avantage à minima tactique, sur ses ennemis déclarés. Son intérêt pour les escadrilles d’avions de chasse, et plus encore pour l’avion de guerre électronique kah-tanais, constitue dès lors une piste fiable à l’entretien d’un atout militaire de premier ordre.

En effet et indépendamment du niveau technologique de ces appareils, chacun des GRS-2002 présents dans le contingent saisi conserve en son sein un précieux objet : le transpondeur.
Et en matière de guerre, la capture de transpondeurs ennemis est un élément-clé de la défense ou de l’attaque aérienne. Capturer ces appareils avec à leur bord ces petits boîtiers, peut présenter une série d’avantages militaires que le Pontarbello peut difficilement négliger étant donné la situation qu’est la sienne et les conflictualités qui l’entourent.

Parmi ces avantages militaires, il nous est permis de notamment citer la capacité des appareils renégats à identifier les autres éléments de l’aviation ennemie. Les transpondeurs, s’il nous fallait rappeler leur utilité, sont des équipements permettant la communication entre les radars, que ces radars soient au sol ou à bord des aéronefs. Si vous capturez intact un aéronef et le transpondeur à son bord, vous avez la faculté avec celui-ci, de pouvoir identifier les avions ou encore les radars ennemis qui se trouveraient actifs sur le secteur de patrouille des GRS-2002 capturés. De la sorte, l’emploi de ces appareils kah-tanais, qu’il soit question des trente GRS-2002 ou de l’avion de guerre électronique, peut activement contribuer à la surveillance de zone, par l’identification des transpondeurs embarqués à bord des escadrilles ou des radars kah-tanais. Un atout non négligeable, pour identifier des activités aériennes que l’ennemi tenterait de dissimuler, particulièrement dans le cas du Grand Kah, dont l’armée de l’air s’était introduite sans crier gare, au sein de l’espace aérien alguareno.

De conception kah-tanaise, ces simples avions de chasse, de conception aussi archaïque qu’ils soient, ne sont plus que de simples avions de chasse, mais un “cheval de Troie” dont la valeur ajoutée dépasse très largement le stade de ses aptitudes au combat aérien. Bien entendu, les postures passives ne sont pas les seuls débouchés permis pour ces appareils hors norme, il est également envisageable la conduite d’actions offensives décisives grâce à cette même capacité de détection des patrouilles aériennes et des radars ennemis au sol. “Si vous joignez un seul de ces GRS-2002 à une escadrille de chasseur-bombardier, il va y avoir un double grabuge que s’il y en avait eu aucun…” s’était permis de résumer le Colonel Jonatán Yepes, commandant de la Force Ascara, confortant ses supérieurs qu’une stratégie d’attaque était tout à fait permise avec ces appareils, mêlés à d’autres pour la puissance de feu cependant. Une stratégie d’attaque qui miserait là encore tout son potentiel sur la connaissance des positions et des mouvements adverses. Il existe en Alguarena, considérant sa maîtrise des technologies radars, des stations de type transhorizons, des stations radars qui, par leur portée, sont tout à fait capable de couvrir l’espace aérien pontarbellois. Cette technologie maîtrisée et déployée par un pays “ami” offre à ce jour au Pontarbello, les moyens d’entretenir une capacité défensive notable, si bien que la projection de ces aéronefs kah-tanais dans la détection des éléments ennemis peut aussi bien se faire dans une phase offensive. “Le Pontarbello est sauf et reste à l’épreuve du feu…” martelait le Général Leopoldo Sapateiro, à qui voulait l’entendre lors des réunions d’état-major.

La présence d’appareils kah-tanais, ou en tout cas d’appareils équipés de transpondeurs kah-tanais puisqu’ils peuvent très bien être réintégrés à d’autres aéronefs de conception alguarena, plus modernes, sont aussi l’opportunité à une force aérienne pontarbelloise, de développer des stratégies d’attaques efficaces, par l’identification précise des modèles d’appareils au moyen des transpondeurs. De la sorte, il sera bien plus aisé aux appareils attaquants, d’identifier les aéronefs sensibles, tels que les AWACS, les bombardiers stratégiques et autres atouts majeurs de la force aérienne kah-tanaise. Grâce à l’emploi de ces transpondeurs, la localisation mais aussi l’identification par codes ou simples signatures radar des aéronefs kah-tanais sera rendu plus aisée, ce qui permettra aux aéronefs amis en position d’attaque, de cibler et de concentrer leurs efforts sur les éléments les plus importants ou à défaut les plus vulnérables, des escadrilles ennemies.

En somme, la capture de transpondeurs présents au sein des aéronefs kah-tanais constitue une opportunité toujours inexploitée par les forces armées de l’air alguarenas, ce qui donne l’envie à l’état-major pontarbellois de récupérer ces trésors, pour ne pas dire ces butins de guerre.

Cible de plusieurs attaques et opérations invasives, le Pontarbello est aujourd’hui remis à flots par une politique nationale ambitieuse, lui ayant octroyé une croissance économique sans pareil sur la scène internationale, un bilan économique appréciable pour le Général dictateur Leopoldo Sapateiro, qui l’oblige à s’offrir les moyens de minimiser l’impact d’une nouvelle guerre sur l’économie du pays, car en effet, ne disons-nous pas qu’en matière de défense, la meilleure d’entre elles reste l’attaque?

Si les marathons diplomatiques sont plutôt limités en ce qui concerne la gouvernance du Pontarbello, incapable de parcourir indéfiniment les palais présidentiels considérant le statut atypique du régime imposé par la junte militaire à la tête du pays depuis maintenant trois ans, l’acquisition d’aéronefs par le Pontarbello, normalement tout indiqués au rebus et source d’une crise politique ainsi que militaire majeure entre la Fédération d’Alguarena et les Communes-Unies du Grand Kah, ne serait-elle une solution arrangeante pour les deux états?
Le Général Leopoldo Sapateiro aime le penser et les tractations entre l’état-major alguareno et lui vont depuis lors, bon train.

Victorieuse contre de nombreux ennemis ayant envahi ou occupé son territoire souverain, l’Armée Nationale du Pontarbello Libre s’est faite une force militaire d’exception sur la scène internationale, malgré la petitesse de son armée. Des exploits rendus possibles par une doctrine militaire ambitieuse, mais qui appelle aujourd’hui son haut commandement à renouveler ses approches, à commencer par l’intégration de ces aéronefs “pirates” dont le potentiel au combat et dans le renseignement, n’est plus à démontrer…
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26 mars 2010 - Après la publication d’un institut émettant de nouvelles menaces militaires kah-tanaises contre la Fédération d’Alguarena, les autorités de l’archipel se veulent rassurantes auprès de la population.


L'institut kah-tanais de Cuetlachquiauhco, par ses publications partisanes et spéculatives d'études de recherche qui n'en sont pas, va-t-il trop loin pour se placer comme outil de propagande du régime de Lac-Rouge?
Sous couvert d’une étude de la guerre, un institut kah-tanais menace la souveraineté de la Fédération d’Alguarena, l’ambassadeur kah-tanais convoqué à Aserjuco.

Un institut kah-tanais, porté sur l’étude de la guerre, est venu spéculer sur la capacité alguarena à défendre sa souveraineté et accuse la Fédération d’Alguarena à ne pas promouvoir la pluralité des opinions publiques, le parti présidentiel de Mazeri Abrogara s’est dit vent debout. C’est une publication lunaire qui est venue tâcher de son encre le papier journal et de ses caractères les pages dématérialisées parues le 24 mars dernier. Effectivement et par le biais d’une étude qui se veut sérieuse, un institut kah-tanais a spéculé sur la prochaine agression militaire susceptible de frapper la Fédération d’Alguarena. Une agression forte et puissante, implacable et réjouissante même, à en croire l’enthousiasme déployé à travers ce récit digne de la fiction.

L’Alguarena taxée de menacer la paix au Grand Kah, des députés fédéraux rappellent l’évidence : le Grand Kah a attaqué la Fédération d’Alguarena, pas l’inverse.

Dans un rapport fourni de plusieurs pages, l’institut chargé “d’étude sur la guerre” fait grand cas de la politique étrangère alguarena, sans jamais évoquer celle des Communes-Unies. Une omission qui en dit long sur le crédit permis autour d’un govuernement qui est à ce jour, l’unique nation ayant déclaré la guerre à la Fédération d’Alguarena pour les trois dernières décennies. “C’est culotté” tenait à rétorquer un député fédéral appartenant à la majorité présidentielle. “Vous avez un institut qui fait le procès de la politique étrangère alguarena, alors même que le gouvernement kah-tanais qui finance le bon fonctionnement de son institution est l’auteur de plusieurs cas d’invasion auprès de plusieurs pays.

Des faits d’autant plus graves, que les Communes-Unies du Grand Kah se sont faites (tristement) célèbres pour avoir initié une guerre contre la Fédération d’Alguarena, à l’occasion d’une attaque aérienne d’ampleur portée au sein de l’espace aérien alguareno. La défaite sans appel des autorités kah-tanaises avait depuis su faire taire la véhémence de ses gouvernants et de tous les instituts soucieux de porter sur la scène internationale, le fruit de leur réflexion partisane. Aussi, alors même que la Fédération d’Alguarena a effectivement annoncé une intervention armée en République communiste du Kronos, considérant tous les graves manquements à la morale et les insécurités que ce dernier fait peser sur la scène internationale, l’institut du Grand Kah laisse à penser que le moment serait possiblement opportun pour attaquer le Pontarbello et l’Alguarena. “Une idée suicidaire” a souhaité rappelé le Général d’armée Caïtano Lossada, qui a insisté sur le fait qu’à ce stade, “seule une goutte d’eau de nos forces militaires coulait à ce stade sur le régime tyrannique de Baldassare Calabraise”. Pour l’officier général et chef de l’état-major, “la Fédération d’Alguarena, sous chacune de ses armes, terre, air et mer, a les moyens de défendre sa souveraineté et la paix régionale. Il en est pas autrement car le pays et sa présidence n’ont jamais mis la priorité ailleurs que dans la sécurité des alguarenos…” Un discours clair et tranché, qui vient donc dénoter avec le caractère insidieux d’une étude et recherche kah-tanaise, “limitée à la spéculation et des projections dangereuses”. Il faut dire que pas plus tard que ce mois-ci, l’armée de l’air fédérale d’Alguarena a fait l’acquisition d’une trentaine d’avions de chasse de dernière génération, les seuls appareils au monde, justifiant d’une telle technologie embarquée et d’un tel niveau de performances techniques en situation de combat.

Et bien que les technologies aéronautiques du Grand Kah aient quelques peu évolué, le Général d’armée Caïtano Lossada s’est permis le parallèle avec le précédent combat qui opposa la Fédération d’Alguarena au Grand-Kah, “si un seul de nos avions de chasse actuels avait dû être déployé contre les escadrilles de chasseurs kah-tanais qui nous ont attaqué plusieurs années auparavant, il est prouvé qu’il emmenerait facilement avec lui au sol, près de cinq appareils ennemis…” À cela, des experts militaires présents nous invitent à ajouter le critère d’expérience des forces aériennes alguarenas, victorieuses des escadrilles kah-tanaises et la relative appréhension que doivent avoir les pilotes kah-tanais de se mesurer une nouvelle fois aux forces armées fédérales, et vous avez les ingrédients complets pour une nouvelle débâcle.

Sans jurer s’offrir une victoire, les autorités militaires fédérales ont insisté sur le fait qu’à ce stade, aucune menace létale ne pouvait être porter contre la Fédération d’Alguarena ou sa région limitrophe, sans se solder par une victoire alguarena décisive, que ces affrontements lui soient imposées sur terre, en mer ou dans les airs.

La Fédération d’Alguarena, incapable de promouvoir la pluralité des opinions? La présidence fédérale et son parti majoritaire s’en défend et dénonce un nouvel effet miroir de la part des instituts kah-tanais, instruments politiques d’un Grand-Kah à la réputation d'un blanc immaculé à tort.


La guerre kah-tanaise en Mahrénie? Un non-évènement. L’intervention armée au Kodeda? Une manoeuvre militaire sans envergure. L’invasion du Pontarbello? Une opération humanitaire ! La capacité des pouvoirs publics kah-tanais à occulter son opinion publique sur ses “actions impopulaires” inquiète légitimement les autorités fédérales d’Alguarena sur la capacité de ce même état, à promouvoir la pluralité des opinions dans son pays.

Le dirigeant totalitaire du Pontarbello, le Général Leopoldo Sapateiro, est quant à lui allé un peu plus loin dans la critique du régime de Lac-Rouge (capitale Kah-tanaise), en comparant le monde intellectuel kah-tanais à une société fantoche instrumentalisée par le gouvernement paltoterran, considérant leur incapacité à critiquer les errements politiques et militaires de ses armées à l’international…

“Si les Communes-Unies du Grand-Kah manquent de gymnastes pour les prochaines compétitions d’athlétisme mondiales, nul doute qu’elles peuvent assurément envoyer ces intellectuels scénaristes d’exception, dont l’activité quotidienne se repose sur l'exécution d’innombrables pirouettes destinées à ne pas évoquer les crimes de guerre et les agressions militaires perpétrées par ses forces armées. Le Pontarbello lui, n’a jamais attaqué et ne s’est battu qu’à travers la défense de son territoire…” Des propos remarqués et même commentés parmi la classe politique alguarena, dont certains élus fédéraux de la coalition d’extrême-droite, la Ligue des Souverainistes. “Si les régimes totalitaires trouvent maintenant de la matière à tacler le manque de pluralisme journalistique aux Communes-Unies du Grand Kah, rien ne va plus…”
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Observateurs en mission : L'arrivée des représentants fujiwans à Heon-Kuang et les préparatifs pour le Mokhaï

Le 3 mai 2010, alors que les premières lueurs du jour apparaissaient à l'horizon, un avion militaire fujiwans atterrit sur la piste de l'aéroport international Jin Murosawa dans l'exclave de Heon-Kuang du Grand Kah. À son bord se trouvaient plusieurs observateurs fujiwans, envoyés dans le cadre de l'opération du Grand Kah pour protéger le peuple du Mokhaï en République du Mokhaï.

Ces observateurs, experts en diplomatie et en analyse de conflits, avaient été soigneusement sélectionnés par le Cabinet fujiwans pour représenter leur pays lors de cette mission cruciale. Ils étaient conscients de l'importance de leur rôle et de la nécessité d'établir des rapports clairs et objectifs sur la situation sur le terrain.

Dès leur arrivée à Heon-Kuang, les observateurs furent accueillis par des représentants du Grand Kah. Après les salutations d'usage et un bref échange sur la situation actuelle, les observateurs furent conduits à leur lieu de résidence temporaire, une caserne militaire située à proximité de l'aéroport. Les observateurs disposaient de quelques jours pour s'installer et se familiariser avec leur nouvel environnement avant le départ pour le Mokhaï. Ils profitèrent de cette période pour établir des contacts avec les autorités locales et d'autres acteurs clés de l'exclave, afin de mieux comprendre les enjeux et les défis auxquels ils seraient confrontés une fois sur place.

Dans leurs quartiers, les observateurs trouvèrent des conditions de vie spartiates mais fonctionnelles. Les chambres étaient simples et partagées, avec des lits superposés et des casiers pour ranger leurs affaires personnelles. Un réfectoire commun leur permettait de prendre leurs repas et de se détendre en discutant avec les autres résidents de la caserne. Alors que les observateurs fujiwans s'installaient dans leurs quartiers provisoires à Heon-Kuang, le chef de la délégation, le lieutenant-colonel Kazuki HARADA, se tenait à l'écart, observant attentivement ses collègues s'organiser. Bien que la mission officielle n'ait pas encore commencé, il savait que chaque détail comptait et que la préparation était essentielle pour mener à bien cette opération.

Kazuki était un homme d'une quarantaine d'années, au regard perçant et aux traits fins. Ses cheveux noirs étaient coupés court, et il portait toujours son uniforme impeccablement repassé. Il avait gravi les échelons de l'armée fujiwane grâce à sa persévérance et à sa capacité à prendre des décisions rapides dans des simulations complexes. L'armée fujiwane n'avait pas beaucoup d'expérience en dehors de son territoire, mais cette opération internationale est un bon moyens de prendre de l'assurance.

En regardant autour de lui, il repensa aux instructions précises qu'il avait reçues de ses supérieurs. Leur mission était d'évaluer la situation sur le terrain en République du Mokhaï, d'être l'un des superviseurs du déroulement des opérations menées par le Grand Kah et de s'assurer que les droits de l'homme étaient respectés. C'était une tâche délicate, car les observateurs devaient rester neutres et impartiaux tout en protégeant les intérêts du Fujiwa.

Le lieutenant-colonel HARADA était conscient de la responsabilité qui pesait sur ses épaules. Il savait que la réussite de leur mission dépendait en grande partie de la cohésion et de l'efficacité de son équipe. Il avait passé en revue le dossier de chaque membre, s'assurant qu'ils possédaient les compétences et l'expérience nécessaires pour relever ce défi. Il avait également organisé des séances de formation et des simulations pour préparer ses troupes au terrain et aux défis qu'ils pourraient rencontrer.

Chaque jour, les observateurs assistaient à des réunions d'information et de coordination avec les représentants du Grand Kah et d'autres alliés présents sur place. Ces réunions leur permettaient de se tenir informés des développements récents en République du Mokhaï et de planifier leurs actions à venir en conséquence. Malgré le poids des responsabilités qui pesaient sur leurs épaules et l'incertitude quant à l'évolution de la situation en Mokhaï, les observateurs fujiwans restaient déterminés à remplir leur mission. Ils savaient que leurs rapports et leur présence sur place pourraient jouer un rôle crucial dans la résolution de ce conflit complexe et potentiellement déstabilisateur pour le Nazum.

Au fil des jours, les observateurs s'adaptèrent à leur nouvel environnement et commencèrent à tisser des liens avec leurs homologues du Grand Kah. Ensemble, ils travaillaient à la recherche d'une solution pacifique et durable pour le Mokhaï et ses habitants, conscients de l'impact que leur action aurait sur l'avenir de cette région et au-delà.

Lieutenant-colonel Kazuki HARADA
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Les présentations

Duan Song, Quan Yijun et Chen Xia marchait d'un pas tranquille vers le port de Ghaliya pour rencontrer les émissaires et les troupes kah-tanaises, burujoises, et fujiwanes. Duan Song était la présidente du Parti Populaire, Chen Xia du Parti Plébéien et Quan Yijun du Parti du Peuple. La présidente du Parti Communiste présidait les débats et n'a donc pas pu venir.

Ils s'arrêtèrent dans un parc pour discuter un peu plus de la situation.


Duan Song pris la parole en première.

-Bon, on va refaire un point. L'idée, c'est de rencontrer les émissaires et de coordonner les opérations. Là, on a 2700 soldats et une centaine de fonctionnaires et observateurs. On va devoir les répartir et planifier absolument tout...

Chen Xia continua.
-Déjà l'objectif n°1 c'est d'assurer la protection de l'assemblée. Après la relance du pays en matière d'économie, de santé et d'infrastructures de première nécessité. Et le respect de la constitution qui devrait bientôt, enfin, j'espère, voir le jour.

Quan repris.
-Je vous rappelle aussi que les troupes loduariennes réclamées par Saburo vont bientôt arriver et là, ça va être un bordel sans nom ! Nos informations ne sont pas précises, mais on estime entre 1'500 et 3'500 soldats avec le matériel qui va avec et des véhicules motorisés. Avec un peu de chance, on sera en supériorité numérique. Je crains que nous allons devoir confronter Saburo. Il ne faut pas que le Mokhaï devienne le champ de bataille des autres puissances. Indirectement, c'est encore une fois l'UNCS contre les autres, voir les copains de l'ONC ou des sympathisants. Il reste aussi à voir ce que va faire le Jashuria.

-Je l'avais oublié celui-là...
Dit Chen

-Je ne vois qu'une seule solution pour tout ça, organiser des rencontres pour tout mettre au clair. Je propose une rencontre entre nous et le jashuria, puis entre nous et les 4 belligérants de l'OMPM, une rencontre entre Sabruo et nous et enfin, une rencontre entre les 4, nous et le Jashuria. Cela fait beaucoup, mais il faut nous assurer des intentions de chacun et il est impératif de rencontrer le Jashuria en privé. Allons à la rencontre des militaires maintenant et nous organiserons la rencontre avec Saburo après. Il nous faut aussi rapidement avoir une première constitution par rapport au pouvoir législatif et exécutif.

-Je viens de recevoir un message
-dit Quan - Ça a l'air d'être le bordel à l'assemblée, ils s'affrontent sur le pouvoir exécutif et plus particulièrement sur les armées ! On va voir les militaires et après, on file au Palais Pourpre.
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Rencontre entre Aoki Saburo et les dirigeants des partis de l'Assemblée Populaire


Il est au alentour 10 heures du matin, les quatre dirigeants des partis de l'Assemblée Populaire sont arrivés en avance. Il y a bien sûr Duan Song, la présidente du Parti Populaire, mais aussi Chen Xia du Parti Plébéien, Lin Yawendu Parti Communiste et Quan Yijun du Parti du Peuple. Duan Song s'était affirmé de manière naturelle, leadeuse de la contestation législative et elle était donc la meneuse du quatuor. Elle regarda sa montre, 10h 12. Elle enrageait, Aoki Saburo était en retard, même pire, peut-être qu'il ne viendrait pas à la réunion. Ils se trouvaient tous dans le bureau du président de séance de l'Assemblée qui se trouve dans le Palais Pourpre.


-Il arrive quand ! Il a presque un quart d'heure de retard, à tout moment, il a fait dépêcher ses milices de mes deux !


On frappe à la porte.

-Ça doit être lui...

Lin s'avance et ouvre la porte, Aoki Saburo entre, le visage sans expression, il lui sert la main et va vers les autres pour en faire de même.

-Pardonnez mon retard, j'ai été très occupé.

-Effectivement, vous êtes en retard... répondit froidement Duan

-Bon commençons si vous le voulez bien. De quoi vouliez-vous me parler ?

-Vous le savez très bien Saburo.

-Je vous prierai de m'appeler autrement, je suis votre président !

-Être président suppose avoir été élu, hors, vous êtes plus proche du despote que du président.

-Ahh... C'est alors de ça que vous voulez parler.

Chen pris la parole,
-Nous voulons vous parler du pays. De ses enjeux, du rapport de force entre vous et l'assemblée, des puissances armées présentes sur notre territoire et de l'avenir. Vous n'êtes pas sans savoir qu'une constitution est en cours de débat. Une constitution axée sur le Kah. L'assemblée aspire à la démocratie et le peuple aussi en dehors de vos milices et lieutenants. Le pays va très mal et malgré le fait que vous annulez presque systématiquement les dettes d'État, nous sommes quand même endetté et imprimer des billets comme vous le faites n'aidera pas. Le pays est endetté à 212% de son PIB, c'est énorme et tout cela en partie pour votre "fantaisie" un sous-marin d'attaque alors que le chômage n'a jamais été au plus haut et que nombre de famines existent. L'inflation galope et vous avez voulu créer une monnaie propre au pays bien trop élever par rapport aux autres monnaies. Au départ, c'était un Épi Communiste égal à trois dollars, cela a posé d'énorme problème comme du pain à 6 dollars, du lait à 5 dollars et bien d'autres. Aujourd'hui, un Épi Communiste est égal à 0.05 dollar, soit 5 centimes. Nous sommes ruinés et il faut désormais un sac de billet entier pour acheter une bouchée de pain. Même si vous ne voulez pas le dire publiquement, le chômage explose, il est à 21% ! Vos réformes économiques sont une catastrophe !

-Si vous avez de meilleures idées, je vous écoute !

-Il nous faut des réformes libérales, à commencer par la dénationalisation de 60% des entreprises, minimum. Dit fermement Lin.

-Pardon ? C'est une blague ! Vous voulez redevenir capitalistes, c'est ça ! Nous avons fait une révolution, le peuple tout entier s'est soulevé contre cela pour prôner le communisme et le socialisme ! Je ne dénationaliserai pas les entreprises.

-Vous croyez à vos mensonges ? Seulement 25% du peuple vous étaient de près ou de loin favorable. Vous avez fait une révolution avec des milices armées qui ont commis des massacres et vous êtes prêt à tout pour retourner la situation ! Le socialisme, ce n'est pas forcément cela. L'idéologie du social, c'est l'égalité et la liberté ! Hors là, vous êtes un dictateur et plus personnes ne vous fait confiance, à part les sadiques comme vous et les personnes que ça arrange de vous avoir au pouvoir. Rendez-vous à la raison, votre dictature chaotique ne mènera qu'à votre perte et le peuple que vous prônez comme justification, en aura plus qu'assez et vos moyens de répressions ne suffirons plus. L'Assemblée Populaire, que vous avez pourtant nommée, est elle-même contre vous. La constitution que nous rédigeons est modérée pour le moment, mais nous guettons vos actes et elle peut se radicaliser contre vous à tout moment.

-Vous me menacez ? Sachez que j'ai encore des alliés puissants et que des forces armées de la Loduarie et du GASP viennent me soutenir. Des centaines de soldats loduariens et des milliers de mercenaires du GASP pour faire régner l'ordre et soutenir ma politique.

-Le Grand-Kah qui est la 3e puissance du monde nous soutiennent, le Fujiwa qui est une puissance en plein essor et qui commence à être une puissance régionale majeure, le Banairah, 9e puissance et le Burujoa, l'Empire où le soleil ne se couche jamais. Tous nous soutiennent dans notre projet de démocratisation et la démocratie et synonyme, d'élection, d'autodétermination et de remise en question de votre pouvoir fragile qui repose sur la peur.

-Bande de lâche, vous faites appel à l'ennemie pour vous protéger. Je peux vous dissoudre si je veux et vous faire tous arrêter.

-Les forces de l'OMPM sont là pour vous en empêcher, nous vous connaissons trop bien malheureusement.

-Elles ne sont pas encore coordonnées et vous seuls pouvez représenter le mouvement de contestation, aucunes autres figures politiques n'en aurez le cran !

-Retenez vos hommes et je retiendrai les miens, dit de ton menaçant Duan

-Votre pouvoir, Aoki Saburo, ne tiens qu'à un fil et ce fil finira tôt ou tard par céder. Plus tôt il cèdera, plus ce sera doux, plus tard il cèdera, plus cela fera mal. Nous vous proposons de jouer fairplay. L'Assemblée fait son travaille et vous perdez de plus en plus de pouvoir jusqu'à ce que des vraies élections soient faites et cela durera peut-être quelques mois. Ou, deuxième option, vous vous entêtez et cela se transforme en nouvelle guerre civile, mais cette fois-ci, ce sera donc Jashuria, Grand-Kah, Burujoa, Banairah, Fujiwa Priscyllia, nous et les conscrits contre vous, les milices, les mercenaires qui travailleront contre de l'argent et la Loduarie. Vous serez en infériorité et cela ne sera qu'un bain de sang.
Si vous choisissez la première option et que cela se passe bien, vous pourrez surement immigrer en Loduarie, sinon vous serez jugé ou tué. À vous de choisir.

-Je n'ai pas encore dit mon dernier mot.

-Malheureusement pour vous si. Cela se passe maintenant, saisissez votre chance.

-Mais rien n'est joué, Mme. Song, il n'est pas sûr à 100% que ces pays vous soutiennent dans une guerre civile.

-Notre pays est stratégique. Nous sommes situés entre l'Afarée, l'Eurysie et le Nazum, au bord de la mer. Nous sommes idéalement positionnés pour le commerce et de nombreux pays aimeraient en profiter. De plus, nous sommes dans la sphère d'influence du Banairah et du Jashuria...

-Vous pensez avoir réponse à tout n'est-ce pas ? Mais que ferez-vous de mes milices qui me sont dévouées ? Elles continueront le combat.

-Mais quel combat ? Ce qui leur profite, c'est qu'ils peuvent pilier, détruire ce qu'ils veulent et violer toutes les personnes que ça leur chante. Ils ne font pas ça pour l'idéologie. Si vous êtes destitué et que nous ne reprenons par leur bien, ils ne bougeront pas le petit doigt, ils seront déjà riches et ils nous laisseront tranquille. Ce sont comme des mercenaires.

-Nous verrons bien comment évolue la situation...

-Vous venez de signer votre arrêt de mort.

-Et vous aussi.

Il se lève et repart.
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Rencontre entre Aoki Saburo et les dirigeants des partis de l'Assemblée Populaire


Il est au alentour 10 heures du matin, les quatre dirigeants des partis de l'Assemblée Populaire sont arrivés en avance. Il y a bien sûr Duan Song, la présidente du Parti Populaire, mais aussi Chen Xia du Parti Plébéien, Lin Yawendu Parti Communiste et Quan Yijun du Parti du Peuple. Duan Song s'était affirmé de manière naturelle, leadeuse de la contestation législative et elle était donc la meneuse du quatuor. Elle regarda sa montre, 10h 12. Elle enrageait, Aoki Saburo était en retard, même pire, peut-être qu'il ne viendrait pas à la réunion. Ils se trouvaient tous dans le bureau du président de séance de l'Assemblée qui se trouve dans le Palais Pourpre.


-Il arrive quand ! Il a presque un quart d'heure de retard, à tout moment, il a fait dépêcher ses milices de mes deux !


On frappe à la porte.

-Ça doit être lui...

Lin s'avance et ouvre la porte, Aoki Saburo entre, le visage sans expression, il lui sert la main et va vers les autres pour en faire de même.

-Pardonnez mon retard, j'ai été très occupé.

-Effectivement, vous êtes en retard... répondit froidement Duan

-Bon commençons si vous le voulez bien. De quoi vouliez-vous me parler ?

-Vous le savez très bien Saburo.

-Je vous prierai de m'appeler autrement, je suis votre président !

-Être président suppose avoir été élu, hors, vous êtes plus proche du despote que du président.

-Ahh... C'est alors de ça que vous voulez parler.

Chen pris la parole,
-Nous voulons vous parler du pays. De ses enjeux, du rapport de force entre vous et l'assemblée, des puissances armées présentes sur notre territoire et de l'avenir. Vous n'êtes pas sans savoir qu'une constitution est en cours de débat. Une constitution axée sur le Kah. L'assemblée aspire à la démocratie et le peuple aussi en dehors de vos milices et lieutenants. Le pays va très mal et malgré le fait que vous annulez presque systématiquement les dettes d'État, nous sommes quand même endetté et imprimer des billets comme vous le faites n'aidera pas. Le pays est endetté à 212% de son PIB, c'est énorme et tout cela en partie pour votre "fantaisie" un sous-marin d'attaque alors que le chômage n'a jamais été au plus haut et que nombre de famines existent. L'inflation galope et vous avez voulu créer une monnaie propre au pays bien trop élever par rapport aux autres monnaies. Au départ, c'était un Épi Communiste égal à trois dollars, cela a posé d'énorme problème comme du pain à 6 dollars, du lait à 5 dollars et bien d'autres. Aujourd'hui, un Épi Communiste est égal à 0.05 dollar, soit 5 centimes. Nous sommes ruinés et il faut désormais un sac de billet entier pour acheter une bouchée de pain. Même si vous ne voulez pas le dire publiquement, le chômage explose, il est à 21% ! Vos réformes économiques sont une catastrophe !

-Si vous avez de meilleures idées, je vous écoute !

-Il nous faut des réformes libérales, à commencer par la dénationalisation de 60% des entreprises, minimum. Dit fermement Lin.

-Pardon ? C'est une blague ! Vous voulez redevenir capitalistes, c'est ça ! Nous avons fait une révolution, le peuple tout entier s'est soulevé contre cela pour prôner le communisme et le socialisme ! Je ne dénationaliserai pas les entreprises.

-Vous croyez à vos mensonges ? Seulement 25% du peuple vous étaient de près ou de loin favorable. Vous avez fait une révolution avec des milices armées qui ont commis des massacres et vous êtes prêt à tout pour retourner la situation ! Le socialisme, ce n'est pas forcément cela. L'idéologie du social, c'est l'égalité et la liberté ! Hors là, vous êtes un dictateur et plus personnes ne vous fait confiance, à part les sadiques comme vous et les personnes que ça arrange de vous avoir au pouvoir. Rendez-vous à la raison, votre dictature chaotique ne mènera qu'à votre perte et le peuple que vous prônez comme justification, en aura plus qu'assez et vos moyens de répressions ne suffirons plus. L'Assemblée Populaire, que vous avez pourtant nommée, est elle-même contre vous. La constitution que nous rédigeons est modérée pour le moment, mais nous guettons vos actes et elle peut se radicaliser contre vous à tout moment.

-Vous me menacez ? Sachez que j'ai encore des alliés puissants et que des forces armées de la Loduarie et du GASP viennent me soutenir. Des centaines de soldats loduariens et des milliers de mercenaires du GASP pour faire régner l'ordre et soutenir ma politique.

-Le Grand-Kah qui est la 3e puissance du monde nous soutiennent, le Fujiwa qui est une puissance en plein essor et qui commence à être une puissance régionale majeure, le Banairah, 9e puissance et le Burujoa, l'Empire où le soleil ne se couche jamais. Tous nous soutiennent dans notre projet de démocratisation et la démocratie et synonyme, d'élection, d'autodétermination et de remise en question de votre pouvoir fragile qui repose sur la peur.

-Bande de lâche, vous faites appel à l'ennemie pour vous protéger. Je peux vous dissoudre si je veux et vous faire tous arrêter.

-Les forces de l'OMPM sont là pour vous en empêcher, nous vous connaissons trop bien malheureusement.

-Elles ne sont pas encore coordonnées et vous seuls pouvez représenter le mouvement de contestation, aucunes autres figures politiques n'en aurez le cran !

-Retenez vos hommes et je retiendrai les miens, dit de ton menaçant Duan

-Votre pouvoir, Aoki Saburo, ne tiens qu'à un fil et ce fil finira tôt ou tard par céder. Plus tôt il cèdera, plus ce sera doux, plus tard il cèdera, plus cela fera mal. Nous vous proposons de jouer fairplay. L'Assemblée fait son travaille et vous perdez de plus en plus de pouvoir jusqu'à ce que des vraies élections soient faites et cela durera peut-être quelques mois. Ou, deuxième option, vous vous entêtez et cela se transforme en nouvelle guerre civile, mais cette fois-ci, ce sera donc Jashuria, Grand-Kah, Burujoa, Banairah, Fujiwa Priscyllia, nous et les conscrits contre vous, les milices, les mercenaires qui travailleront contre de l'argent et la Loduarie. Vous serez en infériorité et cela ne sera qu'un bain de sang.
Si vous choisissez la première option et que cela se passe bien, vous pourrez surement immigrer en Loduarie, sinon vous serez jugé ou tué. À vous de choisir.

-Je n'ai pas encore dit mon dernier mot.

-Malheureusement pour vous si. Cela se passe maintenant, saisissez votre chance.

-Mais rien n'est joué, Mme. Song, il n'est pas sûr à 100% que ces pays vous soutiennent dans une guerre civile.

-Notre pays est stratégique. Nous sommes situés entre l'Afarée, l'Eurysie et le Nazum, au bord de la mer. Nous sommes idéalement positionnés pour le commerce et de nombreux pays aimeraient en profiter. De plus, nous sommes dans la sphère d'influence du Banairah et du Jashuria...

-Vous pensez avoir réponse à tout n'est-ce pas ? Mais que ferez-vous de mes milices qui me sont dévouées ? Elles continueront le combat.

-Mais quel combat ? Ce qui leur profite, c'est qu'ils peuvent pilier, détruire ce qu'ils veulent et violer toutes les personnes que ça leur chante. Ils ne font pas ça pour l'idéologie. Si vous êtes destitué et que nous ne reprenons par leur bien, ils ne bougeront pas le petit doigt, ils seront déjà riches et ils nous laisseront tranquille. Ce sont comme des mercenaires.

-Nous verrons bien comment évolue la situation...

-Vous venez de signer votre arrêt de mort.

-Et vous aussi.

Il se lève et repart.
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  • Woke !
Les produits chimiques de Carnavale dérivent vers les pays du sud : ce n'est pas raciste puisque la marée est noire, explique Jérômain Crinpette conseiller municipal à l'écologie.
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Report de la coupe du monde de Basket-Ball


Compétition dont l’organisation a été remportée conjointement par Péronas et le Grand Kah après une longue bataille contre les autres candidats dont la candidature conjointe du Burujoa et de Maronhi.

Logo de la compétition

Elle devait prendre place en fin d’année 2009, pourtant, et sur une décision en ayant surpris plus d’un. La Fédération Internationale de Basket-Ball a décidé de suspendre la compétition et ce, de manière temporaire, pour lutter contre des affaires majeures au sein de la fédération.

Les préparatifs étaient pourtant en train de toucher à leurs fins, les hôtels affichaient complets, et les plus célèbres lieux touristiques des deux pays commençaient à être pris d'assaut, pourtant, c’est une annonce qui a causé aux deux pays un choc économique immense.

En effet, alors qu’on annonçait plusieurs millions, voireun milliard de Francs Péronais de bénéfice, voilà que la décision de la Fédération Internationale de Basket-Ball a coupé court tout espoir de gains cette année en annonçant reporter la compétition sans date prédéfinie.

Heureusement, la Fédération n’a laissé que très peu d’attente, en effet, elle a annoncé reporter la compétition au cours de l’année 2011, tout en maintenant l’organisation à la charge de Péronas et du Grand Kah, si elles l’acceptent. Toutes les deux fédérations ont accepté à l’unique condition d’avoir la garantie que la compétition serait jouée à ce moment-là, auquel cas la FIBB s’engage à rembourser l’intégralité des préparatifs.

Nombre des fans de basket-ball ont été déçus d’apprendre le report de cette compétition qu’ils attendaient depuis 4 ans. Cependant, ce qui marque le plus ces supporters est l’arrivée inopinée d’une telle décision. En effet, cela n’est jamais arrivé dans l’histoire d’un quelconque sport que ce soit, de voir une compétition d’une telle envergure annulée (reportée) dans les deux derniers mois.

Le Ministre des Sports de Péronas évoque un raté monumental de la part de la FIBB. Il espère cependant que les promesses seront tenues quant à la tenue de la compétition en 2011. Le Ministre des Affaires Étrangères lui annonce que le problème a été géré conjointement avec le Grand Kah et que, bien que la décision soit lourde de conséquences, le maximum sera fait entre les deux pays pour s’entraider dans cette situation.

C’est avec les pertes de plusieurs millions de Francs Péronais pour la rénovation, l’entretien et la mise à disposition de stades, logements, commerces que Péronas doit faire face. Fort heureusement, cet argent n’est pas perdu, car la compétition qui devrait se dérouler début 2011 permettra à cet argent d’avoir un minimum servi, bien qu’il faudra réinvestir plusieurs centaines de milliers de Francs Péronais pour revérifier l’intégralité de ces installations pour le Jour J.

Il faudra donc s’attendre à ce que les prix des places augmentent légèrement, dans la mesure du raisonnable.


Septembre 2009
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Exercices militaires d'entraînement entre Péronas et le Grand Kah


Image présentant le fonctionnement et l'emplacement de l'exercice militaire

15 février 2009, dans le destroyer Péron sur les eaux internationales à environ 600 kilomètres des côtes Pérones, et à plus de 2'000 kilomètres des côtes Kah-tanaises

C’était le branle-bas de combat dans la salle de commandement du Reluciente, le nom donné au destroyer Péron de fabrication fortunéenne. Une dizaine de personnels du corps de commandement discutaient de l’opération à venir, le tout, assisté d’officiers formateurs envoyés par le Grand Kah. Alors que les exercices étaient censés commencer sous peu, le Colonel Egardo également capitaine du Destroyer et chargé de la flotte navale Pérone et le Général Monzaa, chargé des exercices militaires discutaient des derniers préparatifs.

Colonel Egardo : Mon Général, l’ensemble de la flotte Pérone est réunie dans ce secteur, le destroyer ici présent, les 4 corvettes, les 4 patrouilleurs ainsi que nos 2 sous-marins d’attaque sont en alerte maximale. Les 800 militaires travaillant pour l’armée de mer sont prêts au commencement des opérations.

Général Monzaa : C’est reçu mon Colonel. J’ai discuté avec les officiers Kah-tanais et la stratégie suivante sera utilisée lors de ces exercices militaires. Nous nous battrons conjointement avec le Grand Kah contre une armée envahissante. Pour cela, les différentes unités aériennes de Péronas et du Grand Kah ont décollé de leurs pays respectifs il y a de ça plusieurs dizaines de minutes, elles arriveront d’ici peu, et au vu de leur autonomie en carburants, nous disposerons de 2 heures pour accomplir l’ensemble des exercices. Les unités aériennes et la flotte navale ont été divisées en deux groupes, celui des agresseurs et celui des défenseurs. Le but sera pour chaque camp de neutraliser l'autre. Du côté du Grand Kah, ils ont eu l’immense sympathie de faire participer leur unique destroyer à ces exercices, ils seront accompagnés de 4 de leurs frégates, de 6 corvettes et de 4 patrouilleurs.

Il expliqua alors comment les différentes moyens furent répartis, du côté des agresseurs, le destroyer Kah-tanaise, 2 frégates Kah-tanaises, 5 corvettes dont 3 Pérones et 2 Kah-tanaise, 4 patrouilleurs dont 2 Pérons et 2 Kah-tanais et un sous-marin d’attaque Péron. Du côté des agressés, le destroyer Péron sera accompagnée des 2 frégates Kah-tanaises restantes, de 5 corvettes parmi lesquelles 1 Pérone et 4 Kah-tanaise suivi de 4 quatres corvettes, encore une fois de 2 Pérone et de 2 Kah-tanaise le tout accompagné par un sous-marin d’attaque.

Général Monzaa : Pour chaque camp, l’objectif sera axé sur la communication et simultanéité des opérations. Des tests de lancements de missiles seront également testés depuis Péronas, ceux-ci devront permettre de tester la nouvelle génération de missile balistique testée par Péronas, en effet, ils devront atteindre une cible maritime de 10 mètres par 10 mètres, en cas de réussite, on considérera avoir touché un des matériels des agresseurs. Péronas dispose de 5 missiles prototypes. De plus, une quinzaine de missiles de croisières sol-mer seront également lancés depuis Péronas avec comme même objectif, cette fois-ci, les missiles sont supposés être au point, ils devront toucher une cible de 4 mètres par 4 mètres située à plusieurs centaines de kilomètres de là. Nous ferons également usage de missiles de croisières air-sol par le biais des différentes unités aériennes qui devront pouvoir atteindre des cibles maritimes de 2 mètres par 2 mètres, pour considérer avoir touché un matériel ennemi. Est-ce que c’est bien clair pour vous messieurs ?

Tous acquiescèrent, les ordres étaient de toute façon déjà intégrés, car l’opération a déjà été préparée à l’avance, le Général ne s’occupa uniquement que du point de situation avant de démarrer.

Une trentaines de minutes plus tôt, à Péronas

L’ensemble des 50 avions chasseurs ou chasseurs-bombardiers étaient prêt pour l’opération, pour corréler le discours du Général Monza, 25 avions allaient faire partie du groupes des agresseurs dont 6 chasseurs Péron et 19 chasseurs-bombardiers Kah-tanais, le même nombre d’avions et le même type participerait au groupe des agressés.

Dans le but d’assurer la sécurité et la protection des unités aériennes, deux porte-hélicoptères ont été mis à disposition par le Grand Kah, dans le seul but de pouvoir réceptionner d’urgence un avion de chasse nécessitant du secours, effet, des légères modifications ont été faites pour permettre cela.

30 minutes avant le début officiel de l'opération, l’ensemble des avions décollèrent les uns à la suite des autres. Fixés à une vitesse de croisière de Mach 1.2, l’ensemble des avions arrivèrent au lieu de l’opération à l’instant t où les opérations étaient censées démarrer.

Photographie prise peu après le décollage des chasseurs en provenance de Péronas, ils atteindront la vitesse de Mach 1.2 pour rejoindre le théâtre des opérations

De retour dans le destroyer Péron, on commençait à entendre l’entièreté de la flotte aérienne arriver à destination. On attendit alors que ceux appartenant aux agresseurs prirent le temps de rejoindre leurs camps. En effet, les deux camps sont séparés de plus d’une quinzaine de kilomètres. Leurs objectifs premier sera d’obtenir la supériorité aérienne, s’en suivront ensuite des batailles navales pour savoir quel camp l’emportera.

Il était aux alentours de 10h10, en pleine canicule, lorsque le combat fut déclenché.

Les agresseurs adoptent une posture offensive, sous le commandement d’un officier Kah-tanais. Leur destroyer se situe en tête, suivi de près par les frégates et les corvettes, tandis que les patrouilleurs assurent les flancs. Leur sous-marin se positionne alors pour une attaque sournoise.

Tandis que le camp des agressés, lui, adopte une posture défensive, sous le commandement du Colonel Roilo. Au centre de cette formation se trouve le destroyer, flanqué par les frégates, les corvettes en position intermédiaire et les patrouilleurs à la périphérie. Le sous-marin est positionné en profondeur, prêt à agir en tant que frappeur furtif.

La bataille s’engage alors lorsque les différents chasseurs de chaque camp se rencontrent, au beau milieu d’un océan, vide de tout. Les premiers échanges de tir eurent lieu, tandis que certains chasseurs du camp des agresseurs ont tenté de s’immiscer au plus près de la flotte défenseure, ces derniers ont été rattrapés par les défenses anti-aériennes placées un peu partout sur les bateaux. Pourtant, la bataille fait rage dans le ciel, les attaquants réussissent à avoir un semblant de supériorité aérienne, dûe à leur stratégie aérienne visant à contourner et esquiver toute offensive des défenseurs, ce qui leur permet de se placer derrière un avion ennemi et de l’abattre sans trop de difficulté.

Pendant ce temps, la bataille navale fait rage dans les eaux Carmines, les premiers échanges de tirs ont lieu entre les différents navires. Mais, sur un coup de génie du sous-marin des défenseurs qui arrive à se faufiler au plus près des attaquants, le lancement de plusieurs torpilles vient alors endommager une frégate ennemie et la rendre presque inutilisable.

Du côté des navires, de nombreux échanges de tirs se font, certains ratent, d’autres réussissent. De chaque côté, les patrouilleurs et les corvettes sont envoyés en première ligne pour attaquer et résister aux salves aériennes et navales.

L’extrême difficulté de ces exercices militaires est qu’aucun coup de feu n’est tiré que ce soit du camps des attaquants ou de celui des défenseurs, en effet, des caméras et des superordinateurs s’occupent de vérifier et de simuler les dégâts des coups tirés par un matériel, informant la victime de ces dégâts et de s’il est encore utilisable ou non.

Après plus de 30 minutes de batailles, les attaquants recensent un plus grand nombre de pertes, en effet, il leur reste 14 chasseurs contre 18 chasseurs du côté des défenseurs. Quant aux navires, les attaquants ont lourdement été endommagés sur 3 patrouilleurs et 2 corvettes, tandis que les défenseurs ont eux reçus des dégâts conséquents sur une frégate et 2 patrouilleurs. Les deux destroyers tiennent le coup et ne sont victime que de dégâts légers.

Image du lancement d'un des missile de croisière sol-mer en provenance de Péronas, il atteindra la vitesse de 800 kilomètres par heure

Après 33 minutes de bataille, le premier missile de croisière sol-mer est envoyé de Péronas. Ce dernier, dont la trajectoire est calculée pour toucher une cible maritime, a la possibilité de changer de trajectoire de l’ordre de plusieurs kilomètres, et ce, à tout instant. En effet, la cible maritime sera bougée afin de reproduire le mouvement des navires.

Image du lancement d'un des missile balistiques en provenance de Péronas, il atteindra la vitesse de Mach 4

Le premier des missiles balistiques partira après 35 minutes de batailles atteignant très rapidement une vitesse de Mach 4. Il sera suivi par le lancement des 4 autres missiles à intervalles de deux minutes chacun.

C’est donc après 7 minutes que les missiles balistiques sont enfin arrivés à leur cibles. Sur les 5 lancers de Péronas, seulement 2 se sont révélés fructueux, ce qui permet donc d’endommager lourdement les 2 frégates attaquantes.

À 11h30, l'horizon se teinte d'une lueur inquiétante. Les radars des attaquants signalent une série de missiles de croisière sol-mer se dirigeant droit vers eux. La menace est prise très au sérieux et le camp des attaquants donne immédiatement l'ordre à ses troupes de se préparer à la défense.

Les patrouilleurs et les corvettes, malgré leur lourd endommagement, essaient tant bien que mal de lancer des leurres pour dérouter les missiles. Le destroyer, quant à lui, active ses systèmes de défense antimissile, lançant une volée d'intercepteurs dans une tentative désespérée d'arrêter les missiles entrants. Les chasseurs restants se déplacent frénétiquement pour éviter l'impact.

Pendant ce temps, les missiles de croisière continuent inexorablement leur avancée, imperturbables face aux tentatives de défense. Leurs systèmes de guidage avancés les amènent à ajuster leur trajectoire, esquivant les leurres et contournant les intercepteurs.

A 11h33, les premiers missiles atteignent leur cible. Les déflagrations se succèdent, faisant trembler l'océan et le ciel. Les frégates et les patrouilleurs ennemis, déjà lourdement endommagés, sont les premiers à être touchés, transformés en épaves fumantes. Le destroyer résiste, mais les dégâts sont importants.

Le sous-marin agresseur, essayant de se faufiler pour lancer une contre-attaque, est détecté par les sonars avancés du sous-marin défenseur qui lance une salve de torpilles, le mettant hors d'état de nuire.

C’est ensuite dans le combat aérien que tout va se terminer, alors qu’il ne reste plus que le destroyer attaquant, deux frégates lourdement endommagées, la majorité des corvettes et des patrouilleurs inutilisables, les derniers avions des attaquants viendront se faire abattre par les défenseurs, plus organisés que jamais, et dont l’intervention des missiles aura plus qu'aider.

Après une intense heure et demie d'exercice militaire, les eaux Carmines retournent à leur calme naturel. L’ensemble des navires ayant collaboré à cette opération commencent à retourner à leurs bases, que ce soit au Grand Kah ou à Péronas.

Le Général Monzaa, satisfait du déroulement de l'exercice, se tourne vers ses troupes. Il a pu observer de nombreux détails, et il se servira de tout cela comme un tremplin vers l’entraînement, en effet c'est le moment d'analyser les performances, d'identifier les erreurs commises et de célébrer les stratégies réussies.

Le Général Monzaa, en collaboration avec les officiers Kah-tanaisvont également observer et analyser les raisons pour laquelle le camps des attaquants ne s’en est pas sorti, afin de parer une éventualité de défaite lors de batailles offensives. Les stratégies utilisées seront revues, les tactiques améliorées et les erreurs corrigées.

Cet exercice militaire, malgré son intensité, n'était qu'un aperçu de ce que pourrait être un véritable conflit naval. C'était une opportunité pour tester de nouvelles tactiques, entraîner les équipages et évaluer les performances des différents systèmes d'armes. Chaque participant, qu'il ait été du côté des "attaquants" ou des "défenseurs", en ressort plus expérimenté et préparé.

La conclusion de cet exercice n'est donc pas simplement la victoire ou la défaite, mais plutôt le progrès réalisé par chaque participant. L'entraînement militaire est un processus constant d'apprentissage et d'amélioration, et cet exercice n'a fait que souligner cette réalité.

Tout au long de l'exercice, les hauts commandements des deux camps ont pu observer et analyser les performances de leurs troupes en temps réel. Les leçons tirées de cette simulation seront utilisées pour améliorer les stratégies, les tactiques et les équipements, assurant que si un véritable conflit devait se produire, les forces en présence seraient prêtes à y faire face.

Cet exercice militaire, en plus de fournir un entraînement précieux, a démontré la puissance de la technologie moderne et la nécessité d'une stratégie intelligente. En fin de compte, il a montré que la préparation, le travail d'équipe et l'adaptabilité sont tout aussi importants que la force brute sur le champ de bataille moderne.

Au total, ce seront plus de 5'000 hommes qui auront été mobilisés pour la préparation de ces exercices militaires, et plus de 2’000 qui ont participé au théâtre des opérations, au cœur de l’Océan Carmin.
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15 janvier 2011 - Communes-Unies du Grand Kah
2011, l'année en crise

Chantiers à l'arrêt
Les incertitudes politiques au Pharois Syndikaali font naître des craintes sans précédent sur le marché intérieur kah-tanais, où de nombreuses institutions et sociétés se retrouvent sans fournisseurs de biens et de matières premières, mettant à l'arrêt de nombreux chantiers et poussant à la délocalisation un certain nombre de business.

Les sociétés de transport et de fret maritimes pharoises, des entités plus ou moins déclarées et qui pouvaient se targuer d'acheminer des ressources à travers le monde et particulièrement au sein des Communes-Unies du Grand Kah, sont à l'arrêt face aux atermoiements de la flotte noire et de la marine nationale pharoise, qui filtrent scrupuleusement les manœuvres maritimes au départ de Pharot. De cet arrêt brutal de la logistique pharoise découlent ces faits notables :

  • Aucune compagnie de transport maritime pharoise n'arrive au Grand Kah pour y assurer les opérations de fret habituelles, que les marchandises et les matières premières soient pharoises ou non, un nombre conséquent de vraquiers pharois interagissait avec le commerce kah-tanais et est aujourd'hui inopérant dans cette zone


  • nation morcelée, il convient de rappeler que le Grand Kah est directement dépendant des frets maritimes pour assurer la continuité de certaines exclaves à l'international,

  • de l'incapacité à produire de la richesse et à la commercialiser, face à leur dépendance des transporteurs internationaux pharois, plusieurs business locaux ferment et une partie conséquente d'entre eux fait le choix de la délocalisation sur la scène internationale, pour profiter de leurs fournisseurs en circuit-court et définitivement s'affranchir des aléas liés à la crise politique pharoise, dont les sociétés de transport maritimes avaient grignoté une certaine part du marché Kah-tanais.

Staff a écrit :Après échange avec Vasterien, il a été décidé le retrait de 420 usines réparties comme suit : 378 industries civiles, 10 industries culturelles, 10 industries scientifiques et 22 industries militaires. La répartition s'est faite de sorte à ne pas générer de l'inflation et donc sans freiner les prochains investissements en points de développement faits par le joueur.

Le staff laisse toute la latitude nécessaire à Vasterien et aux autres joueurs de développer cet évènement conjoncturel, dans le respect du background kah-tanais.
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Les sœurs de l'OCC arrivent dans les deux communes du Grand Kah les plus traditionnelles et réactionnaires pour y ouvrir des écoles primaires de filles et tâter le terrain.


Choisissant évidemment les communes les plus réactionnaires pour s'y installer, les sœurs qui n'attendent pas grand chose de ladite installation, ont tout de même tenues à venir en ce territoire pour montrer qu'elles s'installent partout où cela leur est permis. Évidemment, il n'est pas question d'avoir uns structure aussi dense ou aussi intégrée que celles du Maronhi ou de Peronas, ne serait-ce que parce qu'il n'est pas certain qu'elles ne soient pas expulsées rapidement, cependant, certains services relevant du bien commun ne demandent, pour ainsi dire, rien sinon de la bonne volonté et du dévouement ; deux choses qui ne font jamais défaut aux sœurs de l'OCC et qu'elles peuvent toujours remporter avec elle.

Typiquement, l'enseignement, surtout primaire est parfaitement adapté aux objectifs. L'enseignement pour filles, cela va de soi. C'est pour cette raison que les seurs vont se borner, tout du moins dans un premier temps, à un faible effective réparti en quelques petite écoles installées dans de grandes maisons plus que dans des complexes dédiés. Elles se laisseront ainsi le temps de voir comment fonctionne cette implantation et si il est opportun de l'agrandir, de la maintenir ou de l'abandonner. Concrètement, les soeurs choisies pour cet essai sont des paltoterrans pour limiter les problèmes d'intégration.

En résumé
Vingts sœurs arrivent en Grand Kah pour ouvrir deux écoles primaires de filles, le tout dans de vieux manoirs retapés en écoles. Le dispositif est léger et expérimental et est susceptible de changement à moyen terme.
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