25/02/2015
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Maa - Bannière


ENVIRONNEMENT ET SÉCURITÉ
Quelles conséquences après l'attaque de la RSFT sur la Loduarie ?



Photographie Maa®

Photographie de la centrale nucléaire de Klialine au moment où l'un des missiles l'a frappé. La centrale de Klialine est située à seulement quelques kilomètres de la petite ville loduarienne du même nom.

Le 31 juillet dernier, à 3 heures et 19 minutes précises, des missiles transalviques explosaient sur la centrale nucléaire de Klialine en Loduarie. Ce matin du 31 juillet 2013, le monde s'était levé en état de choc quant à une telle action menée par la RSFT à l'encontre de la Loduarie, bien qu'elle soit une nation controversée.

Selon le gouvernement Loduarien, la centrale avait été durement endommagé, mais n'avait pas explosé. Cependant, les explosions des missiles avaient éventré le dôme de l'un de 6 réacteurs qui avaient, apparemment, été renforcés pendant la guerre civile Loduarienne. Pour l'instant, les exactions commises par la RSFT ont causé la mort de 355 personnes, la disparition de 16 personnes et enfin, 608 personnes sont considérées comme blessées (chiffres, sources : Gouvernement Loduarien).

Dans son communiqué, le gouvernement Loduarien précise que des particules avaient étés soulevés, et disséminés en direction de l'est à la suite des explosions. C'est ainsi que la région de Galaisie a été placée sous "quarantaine stricte" assurée par les forces armées Loduariennes. L'intégralité de la population vivant dans un rayon de 30 kilomètres autour de la centrale de Klialine a même été évacuée.

Le réacteur 4 de la centrale nucléaire de Klialine a été mis hors service à la suite de son "ouverture partielle". Si comme l'indique le gouvernement Loduarien, le réacteur de la centrale a vraiment été éventré, des problèmes majeurs pourraient survenir, notamment des rayonnements radioactifs et toutes les conséquences qui en découlent.

Rappelons que les causes de la radioactivité sur l'être humain et sur l'environnement sont néfastes. La conséquence la plus immédiate sur l'environnement, c'est la contamination de l'air. En effet, une dispersion se produit en fonction des conditions météorologiques, ce qui entraîne une contamination de l’air. Cette contamination est plus élevée à proximité de l’installation nucléaire qui est à l’origine des rejets et elle diminue en s’éloignant du point de rejet. Concernant, l'être humain, des effets aigus sur la santé, notamment des brûlures cutanées ou un syndrome aigu d’irradiation, peuvent être constatés lorsque les doses de rayonnements dépassent des niveaux très élevés. Mais de faibles doses de rayonnements ionisants peuvent tout de même augmenter le risque d’effets à long terme, comme l’apparition de cancers.

Pour l'instant, inutile d'être alarmiste nous rappelle le gouvernement Väestois. Comme l'a précisé le Ministre de l'Ecologie, Monsieur Samuel Roussel, les vents ne sont pas déplacés vers le nord-est de l'Eurysie. La Présidente par intérim, Madame Hortense Brunet, devrait prochainement s'exprimer quant à cette incident nucléaire et diplomatique.


Traduit du finnois. Article de Toni Savela
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Filantropia - Bannière


INTERVIEW : Madame Hortense Brunet,
Présidente de la République Fédérale d'Uusimaa



Photographie Filantropia®

Madame Hortense Brunet, Vice-Présidente de la République Fédérale d’Uusimaa depuis 2009 et désormais Présidente par intérim de la République Fédérale d’Uusimaa depuis le 15/10/2013, à la suite de l'annonce d'Elias Resmu de mettre en pause sa fonction pour des raisons personnelles.

Edvard Kemppainen, journaliste : Bonjour Madame la Présidente, merci de nous accueillir ici, au siège du gouvernement près du bois d'Entiset.

Hortense Brunet, Présidente : Bonjour Monsieur Kemppainen, je vous remercie de m'accorder cette interview, et vous souhaite la bienvenue au siège du gouvernement.

Edvard Kemppainen, journaliste : Tout d'abord, nous allons par commencer par aborder votre récente prise de fonction en tant que Présidente de la République Fédérale d'Uusimaa, en intérim, en remplacement de Monsieur Resmu. Comme le prévoit la constitution, lorsque le Vice-Président remplace le Président à son poste, deux ministres doivent être choisis par l'Assemblée Fédérale Législative pour reprendre les dossiers courants de la vice-présidence, une seule personne ne pouvant assumer ces deux fonctions. Ma question est la suivante, le gouvernement s'est-il accordé quant aux deux ministres qui reprendront les dossiers de la vice-présidence ?

Hortense Brunet, Présidente : Avant de répondre à votre question, je tiens tout d'abord à préciser que le cas dans lequel nous nous trouvons actuellement est exceptionnel, surtout par sa rareté. Même si la constitution a été optimisée au maximum, un Président par intérim et un Président n'exercerons jamais vraiment la même fonction. Un exemple simple, le Président est chef d'Etat, tandis que le Vice-Président est le chef du gouvernement. Dans le cas dans lequel nous nous trouvons actuellement, je me retrouve à exercer la fonction de Chef d'Etat et celle de chef du gouvernement. Or, comme vous l'avez dit, la constitution prévoit que l'Assemblée Fédérale Législative choisisse deux ministres pour reprendre les dossiers courants de la vice-présidence, une seule personne ne pouvant assumer ces deux fonctions. Ainsi, je vous annonce, que le gouvernement s'est réuni hier. Nous avons pris la décision, à l'unanimité, de proposer Madame Aurore Muller, Ministre des Affaires Sociales et Monsieur Jean-Michel Mazet, Ministre de l'Intérieur à l'Assemblée Fédérale Législative pour reprendre les dossiers courants de la vice-présidence.

Edvard Kemppainen, journaliste : D'accord, merci beaucoup pour cette réponse. Le prochain sujet que nous avons choisi d'aborder aujourd'hui, ce sont les réformes qui avaient été entreprises par le Président Elias Resmu, notamment sur les élections sénatoriales ou encore concernant des outils pour "ouvrir davantage la démocratie aux citoyens". Où en sont-elles aujourd'hui ?

Hortense Brunet, Présidente : Les réformes entreprises par le Président Resmu ont toutes été des succès. Dès 2009, seulement quelques mois après son élection à la tête du pays, il avait réussi à mettre en place une réforme constitutionnelle pour faire élire l'Assemblée Fédérale Législative à la proportionnelle, encore une fois, un grand succès. Il y a quelques mois, Monsieur Resmu parlait, de refaire en quelque sorte cette réforme mais pour les élections sénatoriales cette fois-ci. La Haute Assemblée Sénatoriale devrait en effet être élue à la proportionnelle, et à l'échelle nationale. Le système actuel est un système majoritaire, dans chaque circonscription qui quadrillent le territoire. Or, ce système est devenu obsolète. Ainsi mettre en place un système dans lequel chaque parti présenterai une liste à l'échelle nationale serait un système possible qui favoriserait la représentation des plus petits partis puisque le seuil pour avoir un siège à la Haute Assemblée Sénatoriale pourrait être de seulement 2,5%. Concernant l'autre mesure que le Président avait annoncée, je compte aussi la mettre en place. Je le rappelle, l'objectif serait de mettre en place deux outils pour ouvrir la démocratie à nos concitoyens. Premièrement, l'initiative populaire, qui devrait récolter 100 000 signatures pour qu'un texte soit soumis au référendum. Et deuxièmement, le référendum abrogatif, qui devrait récolter 500 000 signatures pour qu'une abrogation de loi soit proposée par référendum.

Edvard Kemppainen, journaliste : Très bien, ces réformes ont l'air très intéressantes. Le dernier thème que nous aimerions aborder avec vous, c'est la diplomatie Väestoise. Ces derniers temps, l'Uusimaa a essayer de trouver sa place sur la scène internationale, indépendamment, ou avec des organisations internationales. Quelle est alors la position de l'Uusimaa quant aux derniers évènements internationaux, et quels sont les projets diplomatiques que vous souhaitez mener ?

Hortense Brunet, Présidente : Il est en effet vrai que ces derniers temps l'Uusimaa a été présent sur de nombreux "fronts". J'ai été sollicitée à plusieurs reprises pour donner mon opinion quant à l'attaque de la RFST sur une centrale nucléaire en Loduarie, je vais donc y répondre. Cette attaque est extrêmement grave, voire même d'une gravité très rare en réalité. C'est pour ça que l'Uusimaa condamne fermement cette attaque. Nous espérons que la situation à Klialine est sous contrôle du gouvernement Loduarien et des partenaires internationaux. Cependant, l'Uusimaa ne soutiendra pas la Loduarie, un régime bien trop controversé. Nous espérons vivement que des observateurs internationaux indépendants ont pu examiner la situation sur place pour informer au mieux le reste du monde. Je tiens à rappeler à nos détracteurs que soutenir la Loduarie serait paradoxal après la ténacité avec laquelle nous nous y sommes opposés lors de sa guerre à l'encontre de l'Okaristan. De plus, l'Uusimaa se rangera toujours du côté de la démocratie. Concernant des projets que nous avons en cours, je souhaiterai vous parler de l'Iveri. Ce pays, situé en Afarée du nord-est est une ancienne colonie de l'Empire Väestois avec qui nous entretenons aujourd'hui une relation cordiale et de très bons liens, le Président Resmu s'y est même rendu l'été dernier. Bien conscients des abus que notre pays a pu y faire il y a de ça plus de 300 ans, nous allons aujourd'hui de l'avant avec l'Iveri. En juillet, nous avons lancé en partenaria avec l'Iveri l'Interstate Agency for Hydrocarbons Development ayant pour objectif le développement durable et la règlementation de l'exploitation des hydrocarbures en Iveri et en Uusimaa. Au mois de janvier 2014, des représentants de la Yechiyva, le parlement Ivérien devraient même venir nous rencontrer en Uusimaa. Plus particulièrement les représentants de l'Assemblée Fédérale Législative et de la Haute Assemblée Sénatoriale pour discuter de la collaboration interparlementaire entre nos deux pays. Quant à moi, si je suis toujours en poste, je devrais recevoir la Présidente Ivérienne, Madame Dana Cohen en mai 2014, lors d'une visite d'état prévue depuis la visite de mon prédécesseur dans le pays.

Edvard Kemppainen, journaliste : D'accord, merci beaucoup pour toutes vos réponses. Je vous remercie à nouveau de nous avoir reçu au siège du gouvernement, à bientôt.

Hortense Brunet, Présidente : Je vous en prie. Je vous dis également à bientôt.


Traduit du finnois, interview réalisée par Edvard Kemppainen
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Le Républicain - Bannière


Les compagnies aériennes Uusimaa International Airlines
et Avir Airlines annoncent la création d'une alliance



Photographie Le Républicain®

Le "President Elise Renaud Center" à Sainte-Anne, complexe dans lequel l'alliance entre Uusimaa International Airlines et Avir Airlines devrait très prochainement s'installer.


Il y a quelques jours, Jacob Berlinger, PDG d'Avir Airlines (Iveri) et Ariane Vidal, PDG d'Uusimaa International Airlines (Uusimaa) signaient à Tel-Abiel, capitale Ivérienne, un accord de coopération comprenant la création d'une alliance entre leurs deux compagnies aériennes.

L'alliance créée par les deux compagnie aériennes se nomme Aleph Alliance, en référence à la première lettre de l'alphabet hébreu, langue dominante en Iveri. Le siège de cette alliance est donc situé à Sainte-Anne, en Uusimaa au "President Elise Renaud Center" (cf. image d'illustration).

Pour les deux dirigeants, les enjeux sont nombreux. D'abord, les deux compagnies souhaitent étendre leurs réseaux par l'adjonction de lignes exploitées via des accords de partage de code, une augmentation de la fréquence de desserte des destinations, une optimisation des coûts grâce au partage des services au sol, des locaux et équipements de maintenance des aéronefs et aussi de certains services administratifs. L'objectif est aussi de faciliter les investissements grâce à l'union face aux fournisseurs et à la répartition des coûts.

Selon certains experts, il y aura des effets positifs et des effets négatifs sur les voyageurs de ces compagnies aériennes. Dans les points positifs, on trouve notamment des prix potentiellement plus bas, une meilleure flexibilité grâce à des horaires de départ plus variées, des correspondances facilitées et un enregistrement unique ou encore des temps de trajet réduits grâce à la synchronisation des vols. Mais il y a certains points négatifs comme une fréquence des vols qui pourrait être plus basse à cause de la baisse des rotations que permet une telle alliance.


Article de Carita Ahonen
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TV6 International


EMISSION: Interview de Madame Justine Blanchard
Ministre des Affaires Etrangères



Photographie TV6 International®

Le plateau de TV6 International avant l'interview de Madame Justine Blanchard, Ministre des Affaires Etrangères par le journaliste Heikki Leskinen.

Heikki Leskinen (journaliste) : Bonjour à toutes et à tous, ici Heikki Leskinen. Bienvenue dans le rendez-vous diplomatique sur TV6 international. Ce soir j'accueille Madame Justine Blanchard, Ministre des Affaires Etrangères dans le gouvernement Resmu-Brunet depuis 2009. Bonsoir Madame Blanchard.

Justine Blanchard (Ministre des Affaires Etrangères) : Bonsoir Monsieur Leskinen, merci de me recevoir ici dans le rendez-vous diplomatique sur TV6 international.

Heikki Leskinen : Si vous nous avons invitée ce soir, c'est bien évidemment pour évoquer la situation actuelle à Saint-Marquise, un pays où je le rappelle, plus de 1000 de nos concitoyens vivent. Situation qui est devenue plutôt critique ces derniers jours. Ma première question est donc la suivante Madame Blanchard, que pensez-vous des réformes entreprises par le Président Saint-Marquois Joshua Andrew Caleb ?

Justine Blanchard : Je tiens tout d'abord, encore une fois, à féliciter le Président Caleb pour les réformes qu'il a entrepris dans son pays. C'est la preuve d'un engagement supplémentaire de Joshua Andrew Caleb d'ancrer la démocratie à Saint-Marquise et de manière plus générale sur le continent Aleucien. Mon interprétation m'amène à penser qu'il veut que Saint-Marquise transmette un message fort au monde. Comme l'avait dit le Président Resmu il y a déjà presque un an, le monde dans lequel nous vivons actuellement est victime de nombreuses dérives idéologiques, c'est donc pour cela que réformer la démocratie est un acte fort qui montre que dans certains pays, il reste encore un once de lucidité. Le Comité Constitutionnel Saint-Marquois, l'équivalent de notre Cour Suprême, est l'institution compétente pour donner son avis sur ce genre de question, elle l'a fait et a validé la révision du Douzième Amendement voulue par le Président Joshua Andrew Caleb, donc il n'y a pas de question à se poser sur la légitimé de cette révision constitutionnelle.

Heikki Leskinen : Vous voyez-donc d'un œil plutôt positif la réforme Saint-Marquoise entreprise par Joshua Andrew Caleb, visant à ancrer davantage la démocratie à Saint-Marquise. Mais que pensez-vous, plus précisément, de l'évolution, du retentissement et de l'impact qu'elle a eu à Saint-Marquise ?

Justine Blanchard : Il est vrai que l'évolution qu'a eu cette révision constitutionnelle c'était surement pas celle attendue par le Président Joshua Andrew Caleb, ni par les observateurs internationaux dans lesquels je me place aujourd'hui. Cependant, on tous très bien vu que ce mécontentement était plus une volonté de certains responsables politiques, que des Saint-Marquois eux-mêmes. Dès le 4 novembre dernier, le Président des "Indépendants" Monsieur Warson a incité ses partisans à défiler dans les rues de Barthelemew pour montrer leur mécontentement face au verdict du Comité Constitutionnel. Ce qui a bien-évidemment conduit à un blocage total de Saint-Marquise, ce qui a conduit le Président Caleb à le rencontrer dès le lendemain. En vain, puisque Saint-Marquise s'est littéralement embrasée dans la nuit du 5 au 6 novembre. Et c'est donc pour cela que j'ai appelé personnellement le 6 novembre au petit matin, tous les ressortissants Väestois à Saint-Marquise à quitter, du moins provisoirement, le territoire. Aujourd'hui, je déconseille toujours les Väestois de se rendre à Saint-Marquise, et je rappelle que la seule compagnie qui opère encore des vols vers Saint-Marquise c'est Uusimaa International Airlines, qui opère uniquement un seul aller-retour par jour.

Heikki Leskinen : Toujours dans la continuité de ma précédente question, quelle est votre position quant à la situation sur la plan politique aujourd'hui à Saint-Marquise ?

Justine Blanchard : Comme vous l'avez, je pense, compris, je soutiens à le Président Joshua Andrew Caleb dans les décisions qu'il a prises pour remédier au plus vite à ce problème. Il est clair que Frank Warson, n'a pas seulement appelé ses partisans à manifester paisiblement, mais plutôt à être violents. De telles émeutes, en plus lancées par un responsable politique peuvent très limpidement s'apparenter à un coup d'état !

Heikki Leskinen : Vous dites un coup d'état Madame Blanchard ?

Justine Blanchard : Oui, je dois malheureusement utiliser le terme coup d'état. Enfin excusez-moi, mais de telles émeutes, dans de telles proportions et dans un tel contexte, ça n'a pas d'autre qualification, permettez-moi, que le terme de coup d'état. Et permettez-moi une nouvelle fois, mais en démocratie, il n'y a pas de place pour les putschs à la petite semaine !

Heikki Leskinen : Merci beaucoup Madame Blanchard d'avoir pris votre soirée pour répondre à toutes nos questions et avoir pu nous éclairer dans le rendez-vous diplomatique sur TV6 International.

Justine Blanchard : Je vous remercie également de m'avoir reçue.

Heikki Leskinen : Enfin merci à vous chers téléspectateurs. C'était Madame Justine Blanchard, Ministre des Affaires Etrangères dans le rendez-vous diplomatique sur TV6 international. Retrouvez désormais "Questionner le monde" votre programme de seconde partie de soirée, je vous dis à bientôt.


Voix off : Le rendez-vous diplomatique vous a été présenté par Heikki Leskinen. Retrouvez toutes les informations et ce programme en replay sur notre application mobile ou sur notre si web www.tv6international.uu.
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Uusimaa 8


EMISSION : Interview de Madame Hortense Brunet,
Présidente de la République Fédérale d'Uusimaa



Photographie Uusimaa 8®

Madame Hortense Brunet, Présidente de la République Fédérale d'Uusimaa depuis 2013, lors de son arrivée dans les locaux du groupe audiovisuel "Uusimaa" à Entiset.

Olga Waris (journaliste) : Bonsoir, il est 20 heures. Ce soir nous recevons Madame Hortense Brunet, Présidente de la République Fédérale d'Uusimaa pour une édition spéciale du JT sur Uusimaa 8. Bonjour Madame la Présidente, merci beaucoup de nous avoir accordé une interview.

Hortense Brunet (Présidente de la République Fédérale d'Uusimaa) : Bonsoir Madame Waris, merci à vous de me recevoir pour clarifier certains points.

Olga Waris : Ce soir vous nous avez sollicité pour aborder un thème en particulier. Il s’agit bien évidemment de la situation actuelle à Saint-Marquise. La Ministre des Affaires Etrangères, Madame Justine Blanchard, a pris la parole hier soir dans l’émission « le rendez-vous diplomatique » sur TV6 international pour évoquer cette crise, et expliquer la décision que le gouvernement avait dû prendre le 6 novembre à la suite des émeutes dans ce territoire. Quelques jours se sont écoulés depuis les émeutes que j’ai évoqué précédemment, alors aujourd’hui, après les démarches entreprises par le président Saint-Marquois, Joshua Andrew Caleb, quelle est la nouvelle position de l’Uusimaa ?

Hortense Brunet : Je tiens tout d’abord à préciser qu’aujourd’hui, comme toujours, la position de notre pays dans cette crise est très claire. Il y a six jours de ça, nous avons dû prendre la très ferme décision de déconseiller à nos citoyens de se déplacer à Saint-Marquise, et même de conseiller à nos ressortissants dans le pays de rentrer en Uusimaa. Concernant la crise en elle-même, ma ministre des Affaires Etrangères, Madame Justine Blanchard l’a à nouveau précisé hier soir sur TV6 international, selon nous c’est bien Monsieur Frank Warson du parti des "Indépendants" qui est responsable des émeutes qui ont éclaté à Saint Marquise. Et j’ai beaucoup aimé la tournure de phrase qu’a utilisé Madame Blanchard pour décrire l’attitude de Monsieur Frank Warson, c’est pour ça que je vais à nouveau l’utiliser : il n’y a pas de place pour les putschs la petite semaine en démocratie ! Je crois que cette phrase à elle seule suffit pour résumer la position du gouvernement Vaëstois dans cette crise. Cependant, je suis très heureuse aujourd’hui, enfin, de pouvoir annoncer que dès demain, nous annulons le conseil que nous avons donné à tous nos concitoyens le 6 novembre dernier, et que les vols vers Saint-Marquise reprendront à leur fréquence habituelle.

Olga Waris : En clair, si j’ai bien compris, Madame la Présidente, tous les citoyens, Vaëstois peuvent à nouveau se rendre à Saint-Marquise, et vous ne conseillez plus aux ressortissants de quitter le territoire ?

Hortense Brunet : Voilà, c’est exactement le message que je tiens à faire passer ce soir. J’ai eu des contacts aujourd’hui avec les compagnies aériennes effectuant des vols vers les principales villes à Saint-Marquise, et elles sont en train de faire leur maximum pour remettre en place tous les vols vers ce pays dès demain matin à la première heure.

Olga Waris : Parmi les alliés de Saint-Marquise, Madame la Présidente, l’Uusimaa a été le seul pays à prendre de telles mesures. D’abord ma question est pourquoi de telles mesures, et ensuite pourquoi ne pas avoir pris une décision collective avec les autres membres de l’UNIL par exemple ?

Hortense Brunet : L’Uusimaa êtes une nation indépendante, et ce, malgré son adhésion à telle ou telle organisation internationale. Maintenant, je vous avoue que je suis assez surprise que vous évoquiez l’UNIL, dans la mesure où cette organisation internationale est clairement en état de mort cérébrale, excusez-moi de le dire, mais c’est la vérité ! L’Uusimaa a fait tout son possible, il y a presque un an déjà, pour essayer de raviver la flamme, en quelque sorte… Mais la majorité des autres états membres sont restés passifs, ce qui aujourd’hui, met cette organisation dans une situation de blocage total. C’est donc pourquoi concernant la crise à Saint-Marquise, nous avons été obligés de prendre une décision seuls.

Olga Waris : Alors, Madame la Présidente, je dois vous poser la question, quelle est la position de notre pays dans l’UNIL aujourd'hui ?

Hortense Brunet : Personnellement, la question que je me pose, c’est l’UNIL est-elle encore aujourd’hui, une organisation internationale digne de ce nom ? Parce que comme je l’ai déjà dit il y a quelques minutes, notre ancien Président, mon prédécesseur Elias Resmu, a fait tout son possible pour faire revivre l’UNIL, mais toutes ses tentatives se sont révélés être infructueuses. Aujourd’hui, j’appelle les chefs d’État ou de gouvernement des pays membres de cette organisation au sursaut. Soit pour se dire clairement que cette organisation n’existe plus, et officiellement y mettre fin pour pouvoir permettre à notre nation de s’ouvrir sur d’autres projets, ou bien pour la faire repartir, sur de nouvelles bases, solides et saines.

Olga Waris : Merci beaucoup, Madame la présidente de votre présence à ce JT de 20 heures sur Uusimaa 8, et merci d’avoir répondu à toutes nos questions et d’avoir pu nous éclairer sur la situation actuelle à Saint Marquise.

Hortense Brunet : Je vous remercie également de m'avoir reçue.

Olga Waris : Merci à tous et à toutes, chers téléspectateurs, d’avoir suivi ce JT sur Uusimaa 8. Je vous souhaite une excellente soirée.


Voix off : Le JT du 20 heures sur Uusimaa 8 vous a été présenté par Olga Waris. Retrouvez-nous demain dès 13 heures sur le canal 8 de la TNT. L’information continue sur notre site www.uusimaa8.uu.
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Järvinen Posti


INTERNATIONAL : les entreprises Voiteluaine
et Bensiini investissent au Wanmiri



Photographie Järvinen Posti®


Les entreprises énergétiques Vaëstoises Voiteluaine et Bensiini ont annoncé hier, dans des communiqués distincts, avoir investi au Wanmiri, un pays du Nazum. Selon leurs communiqués, elles auraient investi pour un total de presque 500 millions de Rahas.

D'après Voiteluaine et Bensiini leurs investissent se répartissent dans plusieurs domaines du secteur énergétique. Ces investissements font partie du projet "Renaisans" mis en place par le gouvernement Wamirien pour reconstruire le pays à la suite de la guerre, mais Voiteluaine et Bensiini n'ont jamais fait de charité. Les parts achetées ont été longuement étudiées.

Dans un premier temps, les deux sociétés ont acheté des parts pour réaliser des activités de prospection pétrolière au large des Isteal pour éventuellement y découvrir du pétrole, ou du gaz. Cet investissement relève pour le moment d'une simple et longue prospection pétrolière. Si des hydrocarbures sont découvertes, les entreprises Voiteluaine et Bensiini auront peut-être la possibilité de les exploiter, sous contrôle de l'état et de l'armée. Ironie du sort, les deux entreprises ont acheté des parts dans le même secteur, le secteur central, dit « Isteal centre ».

Et dans un second temps, les deux entreprises ont investi dans la construction de postes électriques et de lignes à haute tension dans l’ouest et dans l'est du Wanmiri. Le but est d'installer des lignes très haute tension (400kV) qui sillonneront le pays pour distribuer et répartir l'électricité produite par des sociétés étrangères au Wanmiri. Peu rentable, ce genre d'activité s'apparente surtout, pour Voiteluaine et Bensiini à améliorer, voire remplir leurs objectifs en matière des responsabilité sociétale des entreprises.

Le gouvernement n'a pas encore réagit aux annonces des deux entreprises Vaëstoises. Dans tous les cas, étant des sociétés indépendantes, le gouvernement ne pourra pas interdire directement leurs investissements au Wanmiri. Cependant des députés de l'opposition de gauche dénoncent à nouveau l'impérialisme de ces entreprises. Les Verts se sont quant à eux indignés de l'impact environnemental des sociétés Voiteluaine et Bensiini à l'étranger.


Traduit du finnois, article de Kiira Kivelä
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Maa - Bannière


INTERNATIONAL ET DIPLOMATIE (Interview)
Comment se positionne le gouvernement Vaëstois ?



Photographie Maa®

Photographie de la Demeure Jaune, résidence officielle du Président de la République de Saint-Marquise, actuellment Joshua Andrew Caleb.


Toni Savela, journaliste : Bonjour Madame la Présidente, merci d'avoir accepté notre interview.

Hortense Brunet, Présidente : Bonjour Monsieur Savela, je vous remercie de m'accorder cette interview.

Toni Savela, journaliste : Je le rappelle, le 25 novembre dernier, à Saint-Marquise, un forcené a pénétré dans la Demeure Jaune puis a pris en otage le Président Joshua Andrew Caleb avant de le blesser par balle. Dans un premier temps, nous aimerions savoir quelle est votre position concernant cette attaque ?

Hortense Brunet, Présidente : Tout d'abord, j'aimerais adresser mes plus sincères vœux de rétablissement au président Joshua Andrew Caleb. En effet, ce qui a vécu ce dernier est très grave. Et j'espère sincèrement que le coupable sera puni par la justice Saint-Marquoise.

Toni Savela, journaliste : D'un point de vue plus politique, que pensez-vous de cette attaque contre le Président Saint-Marquois ?

Hortense Brunet, Présidente : Je l'ai déjà dit précédemment, ce qu'a vécu le président Joshua Andrew Caleb est très grave. Ce que j'ai du mal à comprendre, c'est la manière dont l'assaillant a pu pénétrer dans la Demeure Jaune. Parce que visiblement, l'assaillant est rentré assez facilement à l'intérieur de la résidence présidentielle. Maintenant, ce qui m'inquiète profondément, c'est qu'une nation amie de l’Uusimaa, en l’occurrence Saint-Marquise, ne puisse pas garantir la sécurité de son propre Président, à l'intérieur même de la demeure présidentielle. Et je ne vais pas vous mentir, mais tout ce qui s'est passé en si peu de temps à Saint-Marquise, commence vraiment à m'inquiéter. J’espère que je n’aurais pas à prendre de décision drastique pour résoudre ce problème.

Toni Savela, journaliste : Un sommet d'amitié entre l'Uusimaa et Saint-Marquise se déroule en ce moment en Uusimaa. Que comptez-vous évoquer avec les représentants de Saint Marquise durant ce sommet ? Et ce que vous comptez évoquer le problème de sécurité à Saint-Marquise dont vous m’avez fait part précédemment ?

Hortense Brunet, Présidente : Les sujets à évoquer durant ce sommet d'amitié seront bien évidemment très nombreux. Nous allons par exemple évoquer le cas de l'UNIL. Une organisation dont l’Uusimaa et Saint-Marquise font tous les deux partie et qui, depuis plusieurs années maintenant, ne fonctionne plus correctement. Avec les représentants de la République de Saint-Marquise nous allons également continuer les discussions que nous avions eues lorsque le Président Elias Resmu s'était déplacé à Saint Marquise. A savoir la mise en place un pacte d'amitié Saint-Marco-Väestois, dans le domaine d'échanges universitaires et culturels. Ou encore la création quartier général de coopération diplomatique bilatéral. Concernant la question de la sécurité à Saint-Marquise que vous avez évoquée, il est bien évident que je ne laisserai pas partir les Saint-Marquois sans leur en avoir parlé (rires). Plus sérieusement, il est très important, que l'on clarifie les choses avec Saint-Marquise, pour sécuriser le futur de la coopération entre nos nations. J’espère que Madame Stéphanie Tradewell, Premier Conseiller de la République de Saint-Marquise, aura les bons mots qui permettront de nous rassurer, et de continuer notre coopération.

Toni Savela, journaliste : D'accord, merci beaucoup pour toutes vos réponses. Je vous remercie à nouveau d'avoir accepté notre interview, à bientôt.

Hortense Brunet, Présidente : Je vous en prie. Je vous dis également à bientôt.


Traduit du finnois, interview réalisée par Toni Savela
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POLITIQUE : Le Mouvement National de Venla Rajala
propose une loi pour réformer l'immigration



Photographie Filantropia®

Venla Rajala, Présidente du Mouvement National depuis le 8 mai 2011. Elle a succédé à Augustin Chevallier en mettant en place une ligne politique encore plus radicale et ferme. Certaines de ses idées lors de la campagne des sénatoriales en 2012 lui ont valu des plaintes, classées sans suite, auprès de la justice Vaëstoise.

Ce 15 décembre 2013, lors d'une conférence de presse, la Présidente du Mouvement National, Venla Rajala, a annoncé que le groupe de son parti à l'Assemblée Fédérale Législative allait déposer une proposition de loi visant à restreindre l'immigration vers l'Uusimaa. Lors de cette conférence de presse, la loi a été détaillée point par point par la Présidente du Mouvement Nationa, Venla Rajala.

Pour résumer, Venla Rajala et le Mouvement National veulent restreindre l'entrée sur le territoire Vaëstois à certaines personnes seulement. Au début de la conférence de presse Madame Rajala est restée très floue. Au fur et à mesure des questions des journalistes, nous avons compris qu'elle voulait ne faire entrer sur le territoire que des personnes éduquées et à l'aise financièrement, soit, de la discrimination pure et dure. Elle a par la suite évoqué un questionnaire à remplir avant d'entrer sur le territoire. Ce qui n'est pas sans nous rappeler la proposition faite par la Saint-Marquoise Erin Lafranch du Parti Démocratique et qui avait provoqué un tollé à Saint-Marquise.

Le gouvernement n'a pas encore réagit aux annonces de Venla Rajala. En revanche, August Louhisola, député et Vice-Président de l'Assemblée Fédérale Législative et membre Parti Populaire à fermement dénoncé cette proposition de loi en la qualifiant "d'absurde" au vu de l'image de notre pays dans le monde. Les autres responsables politiques, membres de l'opposition ou soutiens du gouvernement ont se sont tous, eux aussi, fermement opposé aux annonces de Venla Rajala.

Venla Rajala, Présidente du Mouvement National, a annoncé que la proposition de loi serait déposée auprès de l'administration de l'Assemblée Fédérale Législative de manière à pouvoir organiser les débats et le vote dans les deux assemblées du Parlement Vaëstois avant les vacances de Noël et du nouvel-an.


Traduit du finnois, article d'Edvard Kemppainen
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The Times of Uusimaa - Bannière


POLITIQUE : Le gouvernement saisit la Cour Suprême
concernant la proposition de loi du Mouvement National



Photographie The Times of Uusimaa®

Photographie du Palais Alice III à Entiset. Il est le siège de la Cour Suprême depuis sa fondation en 1941 en même temps que la naissance de la République Fédérale d'Uusimaa par Augustin Jacquet.

Il y a quelques jours, le 15 décembre 2013, Venla Rajala la Présidente du Mouvement National annonçait lors d'une conférence de presse que son parti déposerai une proposition de loi visant à restreindre l'immigration en Uusimaa auprès de l'administration parlementaire avant les vacances de Noël.

Nous confrères de Filantropia évoquaient déjà il y a quelques jours les travers et les dangers de cette loi si elle était adoptée. Venla Rajala, Présidente du Mouvement National avait évoqué lors de sa conférence l'idée d'un questionnaire à remplir avant d'entrer sur le territoire. Un questionnaire fondé sur la discrimination qui comporterait des questions liées à la profession, à la fortune et même, plus surprenant, à la religion.

Cette proposition de loi avait déjà fait vivement réagir la classe politique Vaëstoise le 15 décembre dernier. Quelques minutes après l'intervention de Venla Rajala, August Louhisola, député, Vice-Président de l'Assemblée Fédérale Législative et membre du Parti Populaire avait fermement dénoncé cette proposition de loi. Depuis, la gauche travailliste et socialiste s'est exprimé dans la presse à travers sa cheffe de groupe à l'Assemblée Fédérale Législative, Ivy Salla qui a déclaré que cette loi n'avait "pas sa place en Uusimaa, ni ailleurs dans le monde". A télévision, Hilkka Viljanen, Vice-Présidente de l'Alliance Progrès et Démocratie s'est elle aussi fermement opposée à cette loi en déclarant : "la xénophobie est un délit, c'est pour cela que Madame Rajala devra répondre de ses actes devant la justice". Le gouvernement a lui aussi donné son avis concernant la proposition de loi de Venla Rajala. C'est Aurore Muller, Ministre des Affaires Sociales qui s'en est chargé et selon elle : "cette loi est fondée sur des critères raciaux et religieux, c'est inacceptable", elle a par la suite annoncé que le gouvernement avait saisi la Cour Suprême.

La Cour Suprême a annoncé être en train d'étudier la proposition de loi de Venla Rajala et du Mouvement National, mais n'a pour le moment donné aucune indication supplémentaire. Selon un spécialiste en droit constitutionnel, le cœur même de cette proposition de loi est contraire à la Constitution Vaëstoise et à son grand principe d'Humanité, ce qui laisse peu de chance au Mouvement National.


Traduit de l'anglais, article de John Smith
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Järvinen Posti


POLITIQUE : Hilkka Viljanen, l'espoir
des progressistes et des démocrates pour 2015



Photographie Järvinen Posti®

Hilkka Viljanen, Vice-Présidente de l'Alliance Progrès et Démocratie, dans son bureau à Cedar dans la région fédérale de Zlens au sud-ouest de l'Uusimaa.

Entrée dans la vie politique depuis peu, Hilkka Viljanen est pourtant le grand espoir pour les démocrates et les progressistes à l'élection présidentielle de 2015. Membre éminent de l'Alliance Progrès et Démocratie, revenons plus en détail sur sa carrière et sur son parcours politique.

Elle commence sa carrière en tant que responsable des ventes chez Blue Space Communications en 1990, poste qu'elle occupera jusqu'en 1999. C'est à partir de cette date, marquante pour Hilkka Viljanen, que sa carrière s'internationalisera. En effet, elle devient responsable des relations internationales dans un holding international à Mont-Law à Saint-Marquise. Après 3 ans à son poste, elle prend en 2002, les rennes de l'entreprise. Sous sa direction l'entreprise s'ouvre à 4 nouveaux pays, alors qu'elle est déjà présente dans une dizaine d'états. Ce poste, qu'elle occupera jusqu'en 2007, lui servira de tremplin pour sa carrière de cheffe d'entreprise en Uusimaa.

En 2007, elle quitte le holding international qu'elle dirige depuis 2002 pour revenir vivre en Uusimaa. Elle fonde Viljanen Green Energies Technologies une entreprise novatrice dédiée au développement des énergies renouvelables à grande échelle dans le monde. En parallèle, elle est élue conseillère fédérale sous l'étiquette Progressiste au Conseil Fédéral de Zlens, dans l'opposition. En 2011, elle entre au Conseil Municipal de la ville de Cedar qui élit Clotilde Tomas à sa tête, elle siège sous l'étiquette Progressiste également, dans l'opposition.

Après les élections des Conseils Fédéraux en 2013, une nouvelle voix s'offre à elle. En effet, l'ancien Président des Progressistes puis de l'Alliance Progrès et Démocratie de la Région Fédérale de Zlens, Erik Eliasen, démissionne de son poste. Hilkka Viljanen est élue à ces fonctions, ce qui fait aussi d'elle la Présidente du groupe Progrès et Démocratie au Conseil Fédéral de Zlens, composé de 6 conseillers sur 38. Depuis cette date, elle est aussi Vice-Présidente de l'Alliance Progrès et Démocratie à l'échelle nationale, en charge de l'environnement et du développement durable.

Depuis mi-2013, c'est-à-dire lors de l'élection des Conseils Fédéraux, elle est l'une des personnalités politiques les plus importantes de la Région Fédérale de Zlens. Toutefois son élection en tant que Vice-Présidente de l'Alliance Progrès et Démocratie tend à étendre son influence et sa popularité à l'échelle nationale. C'est d'ailleurs elle qui s'est exprimé au nom de l'Alliance Progrès et Démocratie à la télévision pour dénoncer le projet de loi sur l'immigration de Venla Rajala.


Traduit du finnois, article de Kiira Kivelä
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The Times of Uusimaa - Bannière


INTERNATIONAL : OND, quand "la lâcheté prime sur les vraies solutions"



Photographie The Times of Uusimaa®

Hortense Brunet, Présidente de la République Fédérale d'Uusimaa. Elle dénonce fermement l'attaque de l'OND au Hvítneslånd, territoire sécessioniste et fasciste du Valkoïnenland, un pays membre de l'Union Economique Eurysienne, organisation dont l'Uusimaa est partenaire.

Il y a trois jours, le 1er janvier 2014, une opération militaire a été lancée au Hvítneslånd, territoire sécessioniste et fasciste du Valkoïnenland. Menée par Tanska, Teyla et Caratrad sous la bannière de l'OND, en prétextant "une opération militaire de libération anti-fasciste". Selon le Premier Ministre Teylais Angel Rojas, cette opération a pour but de "libérer la population d'une guerre civile qui n'a que trop duré face aux massacres, aux viols, aux crimes et face à la violence des combats menés par les forces fascistes".

Cependant, selon Hortense Brunet, Présidente de la République Fédérale d'Uusimaa, "L'OND se sent pousser des ailes et prétend faire son devoir en attaquant, une fois de plus, cette population du Valkoïnenland qu'elle-même dit «meurtrie»". Elle fait à nouveau références aux déclaration du Premier Ministre Teylais, Angel Rojas : "Notre humanisme et notre anti-fascisme nous obligent à intervenir face au gouvernement fasciste du Hvítneslånd. Notre devoir est de libérer ce peuple meurtri des jougs du gouvernement de Hvítneslånd qui opprime son peuple […]".

Ce que Madame Hortense Brunet, Présidente de la République Fédérale d'Uusimaa, nous dit regretter, c'est que : "A l'OND, la lâcheté semble primer sur la recherche de solution durables. Ce qui me choque le plus, c'est que l'OND entre dans un conflit qui ne la concerne pas mais s'amuse, ici c'est clairement le cas, à jouer les gendarmes du monde, ce qui est lamentable en 2014. Et à nouveau, au lieu de faire preuve de consensus ou de trouver de vraies solutions par la diplomatie, l'OND fait la seule chose qu'elle sait faire : la guerre. C'est une honte, une insulte à l'humanité."

Elle a également donné son avis sur la réponse de l'Union Economique Eurysienne à cette attaque : "La charte de l'UEE est très claire sur l'implication de ses états-membres en cas d'un conflit militaire impliquant justement l'un de ses membres. C'est d'ailleurs pour cela que l'Uusimaa n'en deviendra très probablement jamais état-membre. Le problème, c'est à nouveau qu'aucune vraie solution diplomatique n'est cherchée, mais que la réponse est simple : la guerre par la guerre, ce que je déplore."

En revanche, Madame Hortense Brunet, Présidente de la République Fédérale d'Uusimaa, a tout de même tenu à nuancer ses propos : "La volonté de l'OND en elle-même n'est pas mauvaise. Ce qui pêche, c'est la manière de faire, la guerre et toujours la guerre, et le prétexte qu'elle utilise pour intervenir sur le territoire d'un état souverain, dans un conflit auquel elle n'est pas liée."

Avec l'entrée des troupes de la Confédération de Kölisburg au Hvítneslånd, territoire sécessioniste et fasciste du Valkoïnenland, le conflit devrait encore beaucoup évoluer les prochaines semaines. Le gouvernement Vaëstois appelle les protagonistes, membres de l'OND et de l'UEE à la désescalade le plus rapidement possible pour protéger les populations civiles locales.


Traduit de l'anglais, article de John Smith
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Le Väestois


ALERTE INFO : La Cour Suprême déclare le projet de loi
du Mouvement National, anticonstitutionnel



Photographie Le Väestois®

Venla Rajala, Présidente du Mouvement National depuis le 8 mai 2011. Elle a succédé à Augustin Chevallier en mettant en place une ligne politique encore plus radicale et ferme. Certaines de ses idées lors de la campagne des sénatoriales en 2012 lui ont valu des plaintes, classées sans suite, auprès de la justice Vaëstoise.

En décembre dernier, le Mouvement National, présidé par Venla Rajala avait déposé auprès de l'administration parlementaire un projet de loi concernant l'immigration. Venla Rajala et le Mouvement National voulaient restreindre l'entrée sur le territoire Vaëstois à certaines personnes seulement.

Lors de sa conférence de presse, Venla Rajala avait évoqué un questionnaire à remplir avant de pouvoir entrer, ou non sur le territoire Vaëstois. Un questionnaire clairement fondé sur la discrimination qui aurait pu comporter des questions liées à la profession, à la fortune et même, plus surprenant, à la religion.

Le mois dernier, le projet avait déjà suscité de vives réactions au sein de la classe politique, tous bords confondus. Par exemple, à télévision, Hilkka Viljanen, Vice-Présidente de l'Alliance Progrès et Démocratie s'était fermement opposée à cette loi en déclarant : "la xénophobie est un délit, c'est pour cela que Madame Rajala devra répondre de ses actes devant la justice". Le gouvernement avait lui aussi donné son avis concernant la proposition de loi de Venla Rajala "cette loi est fondée sur des critères raciaux et religieux, c'est inacceptable" tout en saisissant la Cour Suprême.

En ce 4 décembre 2014, la Cour Suprême a annoncé, lors d'une conférence de presse à son siège, que la proposition de loi du Mouvement National était anticonstitutionnelle. Par conséquent, comme l'ont rappelé les juges, ce texte ne pourra pas être soumis au vote dans les deux chambres du Parlement Vaëstois. Au Mouvement National, personne n'a encore réagit à l'annonce.


Traduit du finnois, article de Sonja Filpulla
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Le Républicain - Bannière


POLITIQUE : Sondages sur les partis politiques et les alliances, janvier 2014



Photographie Le Républicain®

A gauche, Jane Harkimo, Présidente du jeune Parti Social-Démocrate. A droite, Eveliina Hämäläinen, Présidente des Progressistes. Depuis fin 2011, leurs deux partis forment l'Alliance Progrès et Démocratie.


En partenariat avec notre allié Thinking Plan, nous avons réalisé une série de sondages politiques pour le début de l'année 2014, a un peu plus d'un an des élections présidentielles qui devraient se tenir en mai 2015. Pour cela, un sondage a été réalisé. Notre partenaire Thinking Plan a utilisé un échantillon représentatif de la population Vaëstoise pour réaliser un sondage par quotas en interrogeant 2000 personnes.

D'après notre sondage, le parti jouissant de la côte de popularité la plus élevée est le Parti Populaire avec 24% d'avis favorables. Il est suivi de près par le Parti Libéral-Démocrate avec 18% d'avis favorables, soit tout de même un écart de 6 points de pourcentage. Le Parti Libéral-Démocrate ne distance que de 3 points de pourcentage les Progressistes dont la côte de popularité est de 15%. Juste après, on trouve les Modérés (13% d'avis favorables) dont l'écart avec le Parti Social-Démocrate est minime (12% d'avis favorables). Loin derrière, on trouve le Parti Travailliste qui jouit d'une côte de popularité de 7% et qui est talonné par Les Verts-Écologie avec 6% d'avis favorables à leur égard. En avant dernière position on trouve le Parti Socialiste avec seulement 3% d'avis favorables, puis enfin, le Mouvement National avec 2% d'avis favorables.

La deuxième infographie est une recomposition du premier sondage, en additionnant les résultats obtenus par les partis pour le compte du groupe ou de l'alliance à laquelle ils appartiennent, tout en redressant les statistiques. Ainsi, c'est le gouvernement composé du Parti Populaire, du Parti Libéral-Démocrate et des Modérés qui obtient la côte de popularité la plus élevée avec 55% d'avis favorables. Derrière, on trouve l'Alliance Progrès et Démocratie avec 28 points de pourcentage d'écart mais une côte de popularité avoisinant tout de même les 27% d'avis favorables. Très loin derrière, avec 17 points de pourcentage d'écart, on trouve l'alliance "S&T" regroupant les socialistes et les travaillistes qui jouit d'une côte de popularité de 10%. Ensuite, il y a les Verts-Écologie, indépendants, avec 6% d'avis favorables. Et le Mouvement National, avec seulement 2% d'avis favorables.

Selon certains experts, même si la côte de popularité du gouvernement dépasse les 50% d'avis favorables, il est essentiel de prendre en compte qu'il a perdu près de 10 points de pourcentage d'avis favorables par rapport à début 2012, il y a deux ans, malgré une récente hausse d'avis favorables avec la prise de fonction d'Hortense Brunet en tant que Présidente de la République Fédérale d'Uusimaa. Ces mêmes experts disent que le plus intéressant à prendre en compte se trouve du côté de l'Alliance Progrès et Démocratie. Fondée il y a seulement 3 ans en 2011, par deux partis récents, dont un a été créé la même année, en 2011 et l'autre en 2004 il y a seulement 10 ans, l'Alliance Progrès et Démocratie enregistre une progression phénoménale. Déjà lors de l'élection des Conseils Fédéraux il y a un an, le succès de l'Alliance Progrès et Démocratie avait été salué, et aujourd'hui (en coalition tout de même) l'Alliance s'est hissée à la tête de 2 des 6 régions fédérales alors qu'elle n'en n'avais jamais dirigée auparavant, un exploit. Lors de sa création, initialement prévue pour les élections sénatoriales de 2012, l'Alliance Progrès et Démocratie avait récolté 8,82% des suffrages et 18 sièges au sein de la chambre, alors qu'elle dépassait péniblement les 5% d'avis favorables lors des sondages réalisés en 2012. L'évolution de l'Alliance Progrès et Démocratie reste à suivre jusqu'à l'élection présidentielle de 2015 alors que la nomination d'un candidat commun reste encore bien loin.


Article de Félix Bertrand
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Maa - Bannière


ÉNERGIE : l'entreprise Voiteluaine découvre
un gisement de pétrole dans la province de Vejlemaa



Photographie Maa®

Photographie prise dans la province de Vejlemaa (Région Fédérale de Sainte-Anne) à seulement quelques mètre de l'endroit où l'entreprise Voiteluaine à découvert un gisement de pétrole.

Ce 22 janvier 2014, un représentant de la société énergétique Vaëstoise Voiteluaine a annoncé lors du journal télévisé de la 8 que l'entreprise avait découvert un gisement de pétrole dans la province de Vejlemaa, dans la Région Fédérale de Sainte-Anne, à environ 70 Km de la ville du même nom. Selon le représentant de Voiteluaine, la découverte date de début janvier. Depuis, la zone a été totalement bouclée par Voiteluaine.

Rappelons-le, les sociétés énergétiques Vaëstoises Voiteluaine et Bensiini ont obtenu des permis de prospection pétrolière en 2009, lors de derniers instants du gouvernement Girard-Pöllänen. La société Voiteluaine a été autorisée à prospecter dans le nord de l'Uusimaa, dans les Région Fédérales de Sainte-Anne et de Nouvelle-Terre, tandis que Bensiini a été autorisée à prospecter au large des côtes en mer blanche.

Comme le prévoit l'accord que les deux entreprises avaient signé en 2009, si elles font une découverte, elles doivent avertir immédiatement le gouvernement, qui donnera son accord ou non pour les autoriser à forer. Le représentant de Voiteluaine a annoncé lors de son passage à la télévision, que le Conseil d'Administration de l'entreprise s'était concerté avec la Présidente Hortense Brunet. Le Gouvernement n'a pour l'instant fait aucune annonce officielle concernant cette découverte.

Selon, les premières estimation de l'entreprise Voiteluaine, le gisement qu'elle a découvert pourrait représenter environ 50 millions de mètres cube de pétrole brut. Si on se fie au déclarations du représentant de Voiteluaine au Journal Télévisé de la 8, on peut clairement penser que l'entreprise compte bien forer et exploiter ces gisements au plus vite, encore lui faudrait-elle l'accord du gouvernement.


Traduit du finnois, article de Toni Savela
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Filantropia - Bannière


INTERNATIONAL : Diplomatie Vaëstoise, qui est vraiment aux commandes ?



Photographie Filantropia®

Madame Justine Blanchard, est l'actuelle Ministre des Affaires Etrangères, et ce depuis le 28 mars 2009. Pourtant, est-elle vraiment aux commandes de la diplomatie qu'elle est censée représenter ?

En poste depuis le 28 mars 2009, la diplomatie conduite par Madame Justine Blanchard a souvent été saluée. C'est notamment elle qui était à l'initiative des 92 000 Rahas versées pour la reconstruction de Port-Hafen. Pourtant, depuis plusieurs mois, ses décisions semblent de plus en plus controversées, malgré quelques contradictions.

Depuis le mois d'octobre 2013 et la prise de fonction de Madame Hortense Brunet en tant que Présidente de la République Fédérale d'Uusimaa, la diplomatie conduite par sa Ministre des Affaires Etrangères, Madame Justine Blanchard, semble de plus en plus floue. Des informations contradictoires concernant certains évènements internationaux ont même été fournis par les cabinets de ces deux dernières. Pourtant jusque-là, son parcours ne présentait aucun doute.

Lorsque l'on cherche bien, on finit par se rendre compte que la ligne de Justine Blanchard elle-même est toujours restée la même. Seulement depuis que Madame Hortense Brunet, est devenue Présidente de la République Fédérale d'Uusimaa en octobre dernier, elle a pris en grande partie le contrôle de la diplomatie Vaëstoise, alors que son prédécesseur, Elias Resmu, laissait plutôt sa Ministre des Affaires Etrangères, Justine Blanchard, agir selon son propre jugement.

Par exemple, si l'on se focalise sur les interview en lien avec la diplomatie Vaëstoise données à la presse, on constate que c'est Hortense Brunet uniquement qui s'en est chargé ces derniers mois, à une exception près. Par exemple, c'est la Présidente qui a réagi la première à l'attaque de la RFST sur la centrale nucléaire de Klialine en Loduarie. En revanche, lors des émeutes à Saint-Marquise, c'est la Ministre des Affaires Etrangères, Justine Blanchard qui a pris la parole dans "Le rendez-vous diplomatique" sur TV6 international, mais sans en avertir la Présidente au préalable selon nos sources. Et dès le lendemain, la Présidente a répliqué en participant au "Journal Télévisé de 20h" sur Uusimaa 8, sans en avertir le Ministère des Affaires Etrangères au préalable. Quelques semaines, plus tard, c'est à nouveau la Présidente qui a participé à une interview du journal Maa concernant la prise en otage du Président Saint-Marquois et concernant le sommet d'amitié qui s'est déroulé en Uusimaa en décembre 2013. Et enfin, il y a quelques semaines, c'est encore la Présidente qui a donné une interview au journal The Times of Uusimaa dans lequel elle a fustigé l'OND.

C'est par ailleurs cet interview de Madame la Présidente, Hortense Brunet, qui a attiré à Madame la Ministre des Affaires Etrangères, Justine Blanchard, les foudres de son homologue de l'Empire du Nord. Et c'est cette dernière qui a dû s'expliquer avec lui sur les déclarations de Madame la Présidente, Hortense Brunet. La Ministre des Affaires Etrangères s'est d'ailleurs faite savoir assez agacée auprès de l'une de nos sources.


Traduit du finnois, article d'Edvard Kemppainen
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