10/07/2013
05:21:18
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Présentation des médias en Uusimaa



En Uusimaa, les médias sont totalement libres, et indépendants de l'état. L'état possède seulement 10% du groupe CK, le principal groupe de télévision dans le pays, qui sont financés par une partie des impôts nationaux "la taxe audiovisuelle". Les listes présentées ci-dessous sont non-exhaustives.

Télévision : Cliquer sur la flèche pour voir les langues correspondantes aux chaînes


Presse écrite : Cliquer sur la flèche pour voir les langues correspondantes aux journaux, en cours


Le journal "Le Républicain" :
Le journal "Le Républicain" est un journal privé appartenant à des actionnaires privés. Il fait partie des deux journaux les plus lus du pays. Le siège social du journal est basé à Sainte-Anne. Ce journal est considéré comme neutre par le "Collectif du Journalisme en Uusimaa". La diffusion se fait en finnois et en français.
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Le journal "Le Väestois" :
Le journal "Le Väestois" est un journal fondé dès le XVIème siècle, il est financé par des actionnaires privés. C'est le journal le plus lu de tout le pays avant "Le Républicain". Le siège social du journal est basé dans la capitale du pays Entiset. Ce journal est considéré comme neutre par le "Collectif du Journalisme en Uusimaa". La diffusion se fait en finnois et en français.
https://www.zupimages.net/up/23/20/vemp.png
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Le Républicain - Bannière


Election de la Haute Assemblée Sénatoriale de 2012
Quels sont les partis favoris ? 1ère vague de sondages



Tous les partis politiques du pays sont déjà en lice pour la course à la Haute Assemblée Sénatoriale, même si leurs listes ne sont pas encore complètes…


Pour rappel, la Haute Assemblée Sénatoriale est élue au suffrage indirect proportionnel plurinominal à 1 tour par les membres des Conseils Fédéraux (régions). Les partis politiques doivent alors déposer, 6 mois avant les élections une liste avec 204 candidats (nombre de sièges de la Haute Assemblée Sénatoriale). Le nombre de candidats par région dans une liste, doit être proportionnel au nombre d'habitants de chaque région, par exemple, la région capitale Entiset, représente 20% de la population, donc 20% des candidats d'une liste doivent venir de cette région.


Ces élections sont avant tout, un défi pour le Président Elias Resmu (P) qui doit réussir à garder sa majorité au sein de la Haute Assemblée Sénatoriale. En effet, les élections de 2005 avaient étés un succès pour la droite qui n'avait pas de majorité au sein de l'Assemblée Fédérale Législative et qui n'avait pas remporté les élections présidentielles de 2003.


Ces élections sont donc, pour le Parti Populaire Conservateur (P) ainsi que pour les Libéraux-Démocrates (L), plus qu'un défi. La gauche elle aussi compte bien reconquérir la Haute Assemblée Sénatoriale, mais après tant d'échecs, la partie n'est pas encore jouée.

Nous serons bientôt plus informés, puisque la Présidente du Parti Populaire Conservateur (P), Véronique Pérrin tiendra une conférence de presse sur le sujet avant la fin de l'année. Les deux partis alliés, le Parti Travailliste (T), ainsi que le Parti Socialiste (S) tiendront une conférence de presse commune, également avant la fin de l'année pour annoncer les modalités de la composition de leur liste commune.

Voici les résultats de la première vague de sondages, exprimés en % :

Résultats de la première vague de sondages
On voit donc que le Parti Populaire Conservateur (P) ainsi que les Libéraux-Démocrates (L) pourraient potentiellement avoir la majorité à la Haute Assemblée Sénatoriale, ce qui pourrait alors renforcer le Parti Populaire Conservateur (P) et les Libéraux-Démocrates (L) dans leurs position de partis dominants.


Article de Félix Bertrand
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Le Républicain - Bannière


La proposition de loi controversée sur l'homosexualité et la transsexualité a été adoptée par l'Assemblée Fédérale Législative à 602 voix contre 21



La loi trans-partisane proposée par tous les groupes de l'Assemblée Fédérale Législative, sauf le Mouvement National, a été adoptée à 602 voix contre 21, 70 abstentionnistes et 10 absents.


En effet, ces dernières semaines, la proposition de loi a beaucoup fait parler. Très controversée, cette loi a été proposée par tous les partis présents dans différents groupes à l'Assemblée Fédérale Législative, sauf le parti d'extrême droite, le Mouvement National. Cette loi s'accompagne d'une deuxième proposition de loi qui arrivera bientôt à l'Assemblée, et qui aura pour but d'autoriser les personnes transsexuelles à entrer dans l'armée.

Cependant, tout n'est pas terminé puisque la Haute Assemblée Sénatoriale doit elle aussi voter cette proposition de loi, ce qui s'annonce plutôt bien pour les partis ayant proposé la loi puisque qu'ils disposent d'une large majorité.

La fin de l'année 2009 s'annonce chargée pour les deux chambres du Parlement, puisqu'un certain nombre de lois importantes doivent encore être votées ; retraites, assurance publique, salaire minimum… Mais également car les élections sénatoriales se rapprochent.


Article de Carita Ahonen
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Le Républicain - Bannière


La proposition de loi sur l'entrée des personnes transgenres dans l'armée Väestoise vient d'être adoptée par l'Assemblée Fédérale Législative à 651 voix contre 21



La seconde loi trans-partisane proposée par tous les groupes de l'Assemblée Fédérale Législative, sauf le Mouvement National, a été adoptée à 651 voix contre 21, 23 abstentionnistes et 8 absents.


Seulement quelques jours après la loi renforçant les droits des personnes homosexuelles et transgenres dans la société Väestoise, l'Assemblée Fédérale Législative a adopté une loi permettant aux personnes transgenres d'entret dans l'armée. En outre que les personnes transgenres aient désormais le droit d'entrer dans l'armée, nos militaires vont aussi recevoir une instruction sur le sujet.

Tout n'est pas encore terminé puisque la Haute Assemblée Sénatoriale doit aussi voter cette proposition de loi, les partis ayant proposé la loi bénéficiant d'une large majorité, cela ne devrait pas être compliqué.

Pour retrouver l'article sur la précédente loi.


Article de Carita Ahonen
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Le Väestois


La loi sur le retour de la famille royale vient d'être votée par le parlement,
qu'est-ce-que cela signifie ?



Photographie Le Väestois®

A gauche, le prétendant au trône Daniel X et sa femme Marianne, lors d'une réception à Flaviume en Aquitagne. A droite, le Président Elias Resmu, interviewé à Sainte-Anne après une journée de visites.


La nouvelle à créée un séisme politique en Uusimaa, et pourtant, les membres de l'ancienne famille royale vont bien rentrer en Uusimaa. Tout a commencé début janvier 2010, quand la présidence a édité un communiqué annonçant que le président entamait des discutions avec les membres de la famille royale pour un éventuel arrangement sur leur retour en Uusimaa. Mais c'est à la mort du Roy d'Aquitagne Philippe VII que tout s'est concrétisé. En effet, cet évènement a été le déclencheur de nombreux échanges sur une très courte période. En quelques jours, seulement, le gouvernement s'est décidé et a proposé une loi au vote à l'Assemblée Fédérale Législative, adoptée à 469 voix, contre 133, 94 abstentionnistes et 7 absents. S'en est suivi de même à la Haute Assemblée Sénatoriale ou la loi a été adoptée avec une majorité presque similaire.

Mais concrètement, qu'est-ce-que cela va changer en Uusimaa ? "Pas grand-chose…" nous réponds Mme la Vice-Présidente Hortense Brunet. En effet, tout au long de l'interview, Mme Brunet a insisté sur le fait qu'il n'y aurait pas de réforme constitutionnelle sur le rôle de la famille royale. D'après les dires de Mme la Vice-Présidente, il y aurait peut-être une nouvelle loi permettant de donner aux membres de cette famille un statut, par exemple, celui de "famille royale honorifique", de leur attribuer des titres ou encore de leur donner un rôle de représentation. Aucun rôle politique ne leur sera donné.

Les discussions avec le Royaume Fédéral d'Aquitagne vont se continuer jusqu'aux obsèques du Roy Philippe VII, le 3 février. Des réunions entre des membres des deux pays se tiennent actuellement à l'Ambassade de la République Fédérale d'Uusimaa en Aquitagne. D'après les insinuations du gouvernement, la famille royale pourrait être de retour parmi-nous d'ici mars 2010.


Article de Sonja Filpulla


www.afl-llk.uu / www.has-skk.uu / www.gouvernement-hallinto.gov.uu
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Le Républicain - Bannière


Loi des retraites, l'opposition jette l'huile sur le feu



Photographie Le Républicain®

La Présidente du groupe "S&T", députée de la circonscription n°33336 (Korhonen), Ivy Salla faisant un discours à la tribune de l'Assemblée Fédérale Législative.


La loi sur les retraites est à peine entrée en travail de commission, que l'opposition invite le gouvernement à prendre ses responsabilités. D'après les députés de la majorité présidentielle, cette réforme est nécessaire et "elle sera adoptée, certes en faisant du bruit, mais pour préserver un système au bord du gouffre […]".


Les tensions s’aggravent alors que se déroule un débat controversé sur la proposition de loi visant à reporter l'âge légal de la retraite en Uusimaa. Les initiateurs de cette mesure affirment qu'elle est nécessaire pour soutenir l'économie et relever les défis posés par le vieillissement de la population. Cependant, une opposition mécontente a émergé, exprimant un désaccord ardent contre la législation, citant des préoccupations quant à son impact sur les moyens de subsistance des personnes âgées et de l'ensemble de la population active.

Le projet de loi, présenté par le gouvernement Resmu-Brunet dans le cadre de son vaste programme de réformes économiques, vise à relever l'âge légal de la retraite de 65 à 70 ans progressivement sur 5 ans, repoussant ainsi l'âge auquel les Väestois peuvent prétendre à des prestations de retraite complètes. Les députés de la majorité présidentielle affirment qu'avec l'augmentation de l'espérance de vie et la baisse du taux de natalité, l'âge actuel de la retraite n'est plus économiquement viable et doit être ajusté pour assurer la pérennité des fonds de pension et des programmes de sécurité sociale.

L'opposition, menée par l’extrême-gauche, la gauche, l’extrême-droite et les syndicats, est en désaccord total avec la position du gouvernement. Elle soutient que le report de l'âge de la retraite pèse injustement sur la classe ouvrière et affecte de manière disproportionnée les personnes à faible revenu et celles qui exercent des professions physiquement exigeantes.

Ivy Salla, Présidente du groupe « S&T » à l’Assemblée Fédérale Législative, a fait part de ses préoccupations : "Cette loi est une attaque directe contre le bien-être de nos citoyens âgés, dont beaucoup ont travaillé sans relâche tout au long de leur vie. Au lieu de préserver leur retraite, le gouvernement les pousse à continuer à travailler au jusqu’à la fin de leur vie, sans tenir compte des conséquences que cela aura sur leur santé et leur épanouissement personnel".

Les critiques affirment également que la loi proposée entraînerait une concurrence accrue sur le marché du travail, ce qui rendrait plus difficile l'accès à l'emploi pour les jeunes générations. Les travailleurs plus âgés restant plus longtemps dans leur emploi, les possibilités de promotion et de croissance professionnelle pourraient diminuer de manière significative.

En outre, l'opposition souligne que la loi proposée ne tient pas compte des diverses circonstances de la population vieillissante. De nombreux citoyens âgés sont confrontés à des problèmes de santé ou à l'instabilité de l'emploi, ce qui fait du travail au-delà de l'âge actuel de la retraite, 65 ans, une tâche ardue.

En réponse à l'opposition croissante, le gouvernement Resmu-Brunet a reconnu les préoccupations soulevées par les citoyens et a promis d'engager un dialogue pour répondre à leurs réclamations. Cependant, il maintient que l'augmentation proposée de l'âge de la retraite de 65 à 70 ans est cruciale pour la stabilité et la viabilité économiques à long terme du pays.

Alors que la loi controversée fait son chemin dans le processus législatif, les différents camps se préparent à un débat acharné aux deux chambres du Parlement et les manifestants prêts à défiler. Pendant ce temps, les Väestois suivent de près l'évolution de la situation, inquiets des conséquences que cette décision pourrait avoir sur leur propre avenir et sur le tissu social du pays.

Le débat sur la proposition de loi soulève des questions fondamentales sur les valeurs sociétales, l'équité intergénérationnelle et la responsabilité de l'État envers ses citoyens. Au fur et à mesure que le discours se déroule, l’Uusimaa se trouve à la croisée des chemins, tiraillé entre la nécessité d'assurer la viabilité économique et celle de préserver le bien-être de sa population âgée.


Article de Félix Bertrand
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Le Väestois


Le gouvernement survit à la motion de censure alors que le Assemblée Fédérale Législative rejette la tentative de l'opposition d'évincer le Parti Populaire Conservateur et les Libéraux Démocrates du pouvoir



Photographie Le Väestois®

A gauche, Clément Leroy, le Président du groupe "Les Verts" à la tribune de l'Assemblée Fédérale Législative lors de l'après-midi de débats. A droite, Véronique Pérrin, Présidente de la Région Fédérale d'Entiset et du Parti Populaire Conservateur lors d'une conférence de presse au siège du parti après le vote.


Dans une épreuve de force, le gouvernement est sorti victorieux de l’Assemblée Fédérale Législative aujourd'hui, la motion de censure proposée par les deux groupes d'opposition « S&T » et « Les Verts » ayant été fermement rejetée. Cette motion visait à écarter le Parti Populaire Conservateur et les Libéraux Démocrates du pouvoir dans un contexte de critiques croissantes à l'égard de leurs politiques et de leurs actions, mais le gouvernement a réussi à résister à la tempête et à se préserver.

Après des jours d’attente insoutenable puis d’un après-midi de débats tendus, la motion de censure n'a pas obtenu le soutien nécessaire pour renverser le gouvernement. Ce résultat a été un soulagement pour la coalition au pouvoir et ses partisans, qui ont défendu leurs politiques et leurs réalisations face à la pression croissante de l'opposition.

La motion de censure accusait le gouvernement de mauvaise gestion, de manque de transparence et de ne pas s'être attaqué aux principaux problèmes du pays. Les dirigeants de l'opposition, notamment Mme Impi Halkohao, la Présidente du Parti Socialiste ont fait valoir que le Parti Populaire Conservateur avait perdu la confiance du peuple et qu'il devait être tenu pour responsable de ses faiblesses apparentes.

Cependant, la coalition au pouvoir (Parti Populaire Conservateur et Libéraux Démocrates) a réussi à rallier ses membres et à obtenir suffisamment de voix pour rejeter la motion. Les principaux membres du gouvernement, y compris la Vice-Présidente et le Président, ont présenté un front uni, exprimant leur confiance dans leur capacité à diriger le pays en ces temps difficiles. Ils ont défendu leur bilan en mettant en avant les réalisations économiques, les initiatives en matière de sécurité sociale et les efforts déployés pour lutter contre les différentes crises.

Tout au long de l’après-midi, l'atmosphère est restée tendue, les parlementaires des deux camps s'engageant dans des débats passionnés et prononçant des discours enflammés pour influencer les députés indécis. Les Väestois, les groupes de la société civile et les observateurs internationaux ont suivi de près l'issue du vote, chacun étant impatient de connaître le sort du gouvernement.

Au cours de la période précédant le vote, le soutien du public au gouvernement était visiblement divisé. Des rassemblements pro-gouvernementaux ont eu lieu dans plusieurs villes notamment Entiset ou encore Sainte-Anne, témoignant de la loyauté et de l'appréciation des efforts du gouvernement. D'autre part, des manifestations antigouvernementales ont également eu lieu, reflétant les griefs et les demandes de changement exprimés par une partie importante de la population.

Les analystes politiques estiment que le rejet de la motion de censure pourrait renforcer la position du gouvernement à court terme. Cependant, ils avertissent que le gouvernement devra répondre aux préoccupations soulevées par l'opposition et le public pour maintenir sa crédibilité et sa popularité.

Après le vote, les dirigeants des partis d'opposition ont exprimé leur déception mais se sont engagés à poursuivre leurs efforts pour demander des comptes au gouvernement. Ils ont affirmé que la lutte pour une meilleure gouvernance, la transparence et la prise en compte des besoins des citoyens se poursuivrait, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de Assemblée Fédérale Législative.

Les dirigeants du Parti Populaire Conservateur ont quant à eux souligné l'importance de l'unité et de la coopération face aux défis. Ils ont tendu la main à l'opposition, l'exhortant à collaborer pour le plus grand bien du pays.

Alors que la poussière retombe sur cet épisode litigieux à Assemblée Fédérale Législative, les Väestois envisagent l'avenir avec un mélange d'optimisme et d'appréhension. La survie du gouvernement a ouvert la voie à un engagement politique continu, les citoyens espérant un engagement renouvelé pour résoudre les problèmes urgents de la nation et travailler à un avenir meilleur.

Après le rejet de la motion de censure, le gouvernement doit rétablir la confiance du public et prouver sa valeur par l'action et les résultats. Au fur et à mesure que le pays avance, les citoyens suivront de près la performance de leurs représentants élus et les tiendront responsables de leurs promesses et de leurs actions.


Article de Sonja Filpulla
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Le Républicain - Bannière


Intégration de la République Fédérale d'Uusimaa à l'UNIL



Photographie Le Républicain®

La Ministre des Affaires Etrangères, Justine Blanchard, lors d'une conférence de presse traitant de l'intégration de la République Fédérale d'Uusimaa à l'UNIL.


Dans un geste historique qui souligne son engagement à favoriser la collaboration et l'harmonie internationales, l’Uusimaa a officiellement rejoint les rangs de l'estimée UNIL, une organisation internationale dédiée à la promotion de la paix, de la coopération et des échanges entre les nations membres.

Cette avancée significative intervient alors que l’Uusimaa fait un pas en avant audacieux sur la scène internationale, reconnaissant l'immense valeur des partenariats multilatéraux pour relever les défis mondiaux et faire avancer les objectifs communs. La décision d'intégrer l’UNIL marque un tournant dans l'histoire diplomatique du pays, lui permettant de jouer un rôle plus influent dans la construction de l'avenir du monde.

Fondée sur les principes de la diplomatie, du dialogue et de l'action collective, l’UNIL s'est imposée comme une lueur d'espoir pour les nations qui cherchent à transcender les frontières et à œuvrer ensemble pour une paix et une prospérité durable. En adhérant à cette organisation estimée, l’Uusimaa a non seulement réaffirmé son engagement à défendre les idéaux de la coopération, mais a également saisi l'occasion d'apporter ses forces et ses perspectives uniques au discours mondial.

Alors que l’Uusimaa assume son rôle au sein de l’UNIL, le gouvernement et les Väestois expriment un sentiment d'optimisme et un désir de participer activement à divers programmes, initiatives et dialogues. Les diverses plateformes de l’UNIL offrent à l’Uusimaa une occasion unique de collaborer sur un large éventail de questions, allant du développement l’économie au maintien de la paix.

Cette intégration a déjà donné lieu à une série d'initiatives qui soulignent le dévouement de l’Uusimaa aux efforts de consolidation de la paix. Les dix représentants de la République Fédérale d’Uusimaa devraient participer aux prochains groupes de travail et forums, où ils engageront des dialogues constructifs avec les autres États membres, notamment le Fjøllskot et le Finnevalta (nouveau lui aussi) afin de relever certains des défis internationaux les plus urgents. Ces interactions devraient favoriser une meilleure compréhension des préoccupations communes et faciliter l'échange de solutions innovantes.

Lors d'une interview exclusive, la Ministre des Affaires Etrangères Justine Blanchard a souligné l'importance de l'adhésion à l’UNIL en déclarant : "Notre intégration à l’UNIL témoigne de notre engagement à créer un monde où le dialogue l'emporte sur la discorde, la coopération sur le conflit. Nous sommes convaincus qu'en travaillant en étroite collaboration avec nos partenaires internationaux, nous pouvons créer un avenir meilleur pour tous".

Alors que l’Uusimaa entame ce voyage transformateur au sein de l’UNIL, la communauté mondiale attend avec impatience, espérant que cette intégration ouvrira la voie à un renforcement des liens diplomatiques, à une amélioration des relations transfrontalières et à un avenir plus radieux pour les générations à venir. Grâce à cette alliance stratégique, l’Uusimaa est prêt à contribuer de manière significative au maintien mondial de la paix, de l'unité et de la prospérité partagée.


Article de Carita Ahonen
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Le Républicain - Bannière


L'ancienne personnalité éminente du Parti socialiste Jane Harkimo créée son propre parti de gauche-progressiste, le Parti Social-Démocrate



Photographie Le Républicain®

Nouveau portrait de Jane Harkimo à l'occasion de la création de son propre parti, le Parti Social-Démocrate un nouveau parti de la gauche progressiste.


Après des années de service dévoué en tant que figure de proue du Parti socialiste, Jane Harkimo a annoncé un changement audacieux et potentiellement transformateur en créant son propre parti politique, le Parti Social-Démocrate. Cette arrivée inattendue fait déjà des vagues dans le paysage politique, soulevant des questions sur l'impact potentiel à la fois sur le Parti Socialiste et sur l'ensemble de l’échiquier politique.

Jane Harkimo, figure connue et respectée des cercles socialistes, s'est lancée dans une mission de redéfinition et de rajeunissement des principes qui lui sont chers depuis longtemps. Sa décision de créer le Parti Social-Démocrate est une réponse à ce qu'elle décrit comme un paysage politique en évolution, qui exige une nouvelle approche pour relever les défis de l'ère moderne.

Dans un entretien exclusif avec la chaine de télévision CK 1, Mme Harkimo a exposé sa vision du Parti Social-Démocrate. "Notre société se trouve à un carrefour crucial, confrontée à une série de questions complexes qui nécessitent des solutions innovantes fondées sur la justice sociale, l'égalité et les droits de l'homme", a-t-elle déclaré. "Bien que je sois fière de mon passage au sein du Parti Socialiste, je pense qu'il est temps de tracer une nouvelle voie qui reflète l'évolution des besoins et des aspirations de nos concitoyens".

Selon M. Harkimo, le programme du Parti Social-Démocrate repose sur un mélange de valeurs progressistes et de politiques pragmatiques. En mettant l'accent sur un solide filet de sécurité sociale, la durabilité environnementale et une croissance économique équitable, le parti cherche à unir les individus à travers l’échiquier politique qui partagent un désir commun de changement positif.

La décision de Mme Harkimo a suscité à la fois enthousiasme et scepticisme au sein de la classe politique. Les partisans de Mme Harkimo considèrent qu'il s'agit d'une étape nécessaire pour revigorer le Parti Socialiste qui, selon eux, est devenu stagnant et déconnecté des préoccupations des citoyens ordinaires depuis sa présidence "catastrophique" du pays entre 2003 et 2009. Ses détracteurs, en revanche, estiment que son départ du Parti Socialiste pourrait fragmenter le vote de gauche et diluer l'influence des idéologies socialistes.

En réponse à ces préoccupations, Mme Harkimo a souligné son engagement à maintenir des lignes de communication et de collaboration ouvertes avec d'autres partis progressistes. "Nous devons reconnaître que notre objectif commun est d'améliorer la vie de nos concitoyens. Même si nous avons des approches différentes, nous pouvons trouver un terrain d'entente et travailler ensemble pour une société plus juste et plus équitable", a-t-elle déclaré.

Alors que Harkimo entame ce nouveau chapitre, le paysage politique connaîtra certainement des changements significatifs. Les observateurs suivront de près l'évolution du Parti Social-Démocrate et son potentiel à remodeler l'avenir de la politique progressiste. Avec un leader charismatique à sa tête et une vision positive du changement, le parti a le potentiel de s'emparer des cœurs et des esprits des citoyens à la recherche d'une nouvelle perspective sur les défis auxquels notre nation est confrontée, notamment les élections régionales pour les représentants à l’UNIL au mois de septembre.

Les mois à venir seront sans aucun doute déterminants pour le succès de Jane Harkimo. Alors qu'elle s'engage sur cette voie inexplorée, la nation l'observera en retenant son souffle, impatiente de voir si le Parti Social-Démocrate peut effectivement inaugurer une nouvelle ère de politique progressiste.


Article de Félix Bertrand
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Le Väestois


Le Président Resmu réagit à l'attaque barbare contre Port-Hafen



Photographie Le Väestois®

A gauche, le président Resmu lors de notre entretient avec lui au Château du Haut Entiset. A droite, une image de la frappe d'un missile balistique sur l'hôtel de ville hafenoise.


Le président de la République Fédérale d'Uusimaa, Elias Resmu, a condamné fermement l'attaque barbare dévastatrice perpétrée par l’Empire Listonien dans la ville étrangère de Port-Hafen. Cette attaque, qui a choqué la communauté internationale, a incité le président Resmu à appeler à une action mondiale unie contre de tels actes de violence.

Port-Hafen, une ville côtière animée connue pour sa riche histoire et sa diversité culturelle, a été victime d'un acte de brutalité effroyable qui a bouleversé ses habitants et endeuillé le monde entier. D’après le gouvernement Saint-Marquois, il est indiqué qu'un assaut coordonné a ciblé des infrastructures clés, notamment l'hôtel de ville et des zones peuplées, entraînant de nombreuses pertes en vies humaines et des destructions massives.

La réponse du président Resmu a été rapide et sans équivoque, et il a parlé du fond du cœur de cet horrible incident. "L'attaque de Port-Hafen est un acte odieux et lâche qui va à l'encontre des principes de paix, de respect et d'humanité qui nous sont chers en Uusimaa", a déclaré le Elias Resmu dans une interview. "Nos pensées et nos prières accompagnent les victimes et leurs familles dans ces moments difficiles”.

Le président Resmu a souligné l'importance de la solidarité mondiale face à cette violence extrême. "Aujourd'hui, plus que jamais, la communauté internationale doit s'unir contre ces actes barbares qui menacent le tissu même de la civilisation", a-t-il affirmé. "Nous devons travailler ensemble pour faire en sorte que les responsables de cette atrocité soient tenus de rendre compte de leurs actes”.

Alors que les enquêtes sur les auteurs et les motivations de l'attaque se poursuivent, Elias Resmu souhaite que la communauté internationale reste concentrée sur la prévention contre des attaques similaires et sur la défense des valeurs de paix et de coexistence. La condamnation ferme du président Resmu et son appel à l'unité ont souligné l'urgence de lutter contre de tels actes de terreur et d'assurer un avenir plus sûr pour toutes les nations.

Dans un monde souvent confronté à l'adversité, les paroles du président Resmu sont une lueur d'espoir, nous rappelant que même dans les moments les plus sombres, la lumière de l’entraide et de l'unité peut nous guider vers un avenir meilleur.


Article de Sonja Filpulla
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Le Républicain - Bannière


Le Mouvement National élit Venla Rajala comme nouvelle présidente,
signe d'un changement vers un programme encore plus radical



Photographie Le Républicain®

La nouvelle présidente du Mouvement National, Venla Rajala lors de son investiture au siège du parti, le 8 mai 2011.


C'est dans une tournure surprenante, que le parti politique d'extrême droite "Mouvement National" a élu Venla Rajala comme sa nouvelle présidente, évinçant le président sortant Augustin Chevallier dans un geste qui signale un changement significatif vers un programme plus radical et sévère. Les élections internes, qui se sont déroulées dans un climat d'anticipation et de spéculation intenses, ont laissé les analystes politiques et les observateurs perplexes de ce changement de direction.

Augustin Chevallier, qui était à la tête du Mouvement National depuis 2001, a vu sa présidence prendre fin lorsque les membres du parti ont voté en faveur d'une nouvelle orientation défendue par Venla Rajala. Mme Rajala, connue pour ses positions impitoyables et sans concession sur les valeurs nationalistes et ultra-conservatrices, a promis de conduire le parti sur la voie d'une idéologie encore plus extrême et rigide.

L'accession de Mme Rajala à la présidence n'a pas été sans controverse. Ses opposants estiment que son élection marque une rupture avec les tentatives antérieures du parti de modérer son image et de faire appel à une base plus large. Au contraire, l'ascension de Mme Rajala semble annoncer un retour aux racines les plus radicales du parti, avec un accent renouvelé sur les politiques anti-immigration, une rhétorique nationaliste et une pression pour des mesures plus fortes afin de préserver ce qu'elle appelle "notre héritage culturel et notre identité nationale".

Les élections internes ont été marquées par des débats ardents et des discussions animées au sein du Mouvement National. Les partisans de Mme Rajala pensent que sa position intransigeante permettra de renouveler les valeurs fondamentales du parti et d'attirer un certain nombre de membres plus dévoués et plus passionnés. Les soutiens d’Augustin Chevallier, en revanche, craignent que cette nouvelle orientation n'isole encore davantage le parti et ne limite sa capacité à s'imposer sur la scène politique.

Augustin Chevallier, le président sortant, a obligeamment accepté le résultat des élections, exhortant les membres du parti à se rallier sous la direction de Venla Rajala. Dans son discours de passation de pouvoir, Chevallier a reconnu que les membres du parti s'étaient exprimés et qu'il était crucial pour le Mouvement National de rester uni face à cette transition.

Les mois à venir s'avéreront sans aucun doute cruciaux pour le Mouvement National, qui naviguera sous la direction de Venla Rajala. Les partisans du parti attendent avec impatience une approche plus affirmée de leur programme politique, tandis que les opposants se préparent à ce qu'ils craignent être "une nouvelle descente dans l'extrémisme".

Alors que le Mouvement National entame ce nouveau chapitre avec Venla Rajala à sa tête, le rôle du parti dans le façonnement du paysage politique sera certainement suivi de près, tant au niveau national qu'international. Seul l'avenir nous dira si cette évolution vers une position plus radicale produira les résultats escomptés pour le parti ou si elle le poussera encore plus en marge de l'échiquier politique.


Article de Carita Ahonen
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Le Väestois


Uusimaa Song Contest 2011 :
Un début spectaculaire de brillance musicale à Entiset



Photographie Le Väestois®

A gauche, l'intérieur du centre des congrès d'Entiset lors d'un concert. A droite, l'extérieur du centre des congrès d'Entiset.


L'édition inaugurale de l'USC présente des talents exceptionnels et une concurrence féroce, promettant une expérience musicale inoubliable.

La ville charmante d'Entiset, véritable capitale de l’art de l'Uusimaa, est actuellement en pleine effervescence alors qu'elle accueille la toute première édition de l'Uusimaa Song Contest (USC). Cet événement, qui a déjà conquis le cœur des amateurs de musique de tout le pays, est en passe de devenir une institution dans le monde des concours de chant.

L'USC a rassemblé douze impressionnants artistes de milieux divers et exceptionnellement talentueux qui se disputent le titre convoité de meilleur chanteur interprète d’Uusimaa. De la pop au rock et du rap au hip-hop, les artistes participants livrent des performances exceptionnelles qui laissent le public bouche bée.

Alors que les répétitions s'intensifient, il est clair que le chemin vers la finale n'est pas un long fleuve tranquille. Le niveau d’investissement et de professionnalisme dont font preuve les artistes a placé la barre à des niveaux sans précédent, ce qui fait de la demi-finale une tâche complexe et exigeante. Le nombre de places étant limité à six, l'enjeu est de taille et chaque note chantée peut changer la donne.

"La réponse au concours de chansons Uusimaa a été extraordinaire", déclare Anna Kivelä, fondatrice et organisatrice en chef de l'événement. "Nous avons toujours pensé que l'Uusimaa regorgeait de talents musicaux, mais la qualité et la variété des performances auxquelles nous assistons sur la scène de l'USC dépassent de loin nos attentes. L'engagement des artistes envers leur art est vraiment inspirant".

Les entreprises locales et les habitants se sont rassemblés autour de l'USC, transformant Entiset en une ville musicale. Les rues sont animées par le bruit des répétitions, des sessions improvisées et des discussions sur les spectacles. Côté bon plans, les restaurants et les cafés proposent des offres spéciales sur le thème de l'USC, créant ainsi une atmosphère qui célèbre à la fois la musique et l'esprit collectif.

L'un des aspects les plus remarquables de l'USC est l'accent mis sur la célébration de l'originalité. De nombreux artistes participants ont choisi d'interpréter leurs propres compositions, ajoutant ainsi une touche d'authenticité et d'innovation au concours. Cette approche unique a trouvé un écho auprès des participants et du public, ce qui a donné lieu à une démonstration de créativité.

La finale de l’USC promet d'être une épreuve de force aux proportions épiques... L'impatience est palpable et les fans de tous les coins de l’Uusimaa et d'ailleurs attendent avec impatience la grande finale. La fusion réussie de talents exceptionnels, d'une compétition animée et d'une touche de charme local a fait de l'USC 2011 un événement inoubliable.

Alors que le soleil se couche sur Entiset et que les lumières de la scène illuminent les dernières répétitions avant la demi-finale, la ville est prête à assister à l'écriture d'une page d'histoire. L’Uusimaa Song Contest a non seulement ouvert la voie à un avenir vibrant d'excellence musicale, mais il s'est aussi fermement établi comme l'un des temps forts du calendrier culturel du pays. Avec les échos de mélodies qui persistent dans l'air, l'USC 2011 est prêt à laisser une marque indélébile sur le monde de la musique.

Rendez-vous le 10/07/2011 pour la demi-finale et le 20/07/2011 pour la grande finale !


Article de Oliver Viik
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Le Väestois


Une aide économique sans précédent de 92 000 Rahas accordée à Port-Hafen face à l’attaque barbare de l'Empire Listonien



Photographie Le Väestois®

En haut à gauche, Justine Blanchard, Ministre des Affaires Etrangères. En bas à gauche, Elias Resmu, Président de la République Fédérale d'Uusimaa lors de notre dernière interview avec ce dernier. A droite, Kaatarina Tikkala, Ministre de l'Economie lors de son arrivée à l'Assemblée Fédérale Législative.


Dans un remarquable élan de solidarité et de bienveillance internationales, la République Fédérale d'Uusimaa s'est engagée à fournir une aide économique sans précédent d'une valeur de 92 000 Rahas (10 000 points de développement) à la ville martyre de Port-Hafen, qui a subi l’attaque brutale de l'Empire Listonien. Cet engagement généreux, mené par le trio dynamique composé de Justine Blanchard, Ministre des Affaires Etrangères, Elias Resmu, Président, et Kaatarina Tikkala, Ministre de l'Economie, a non seulement souligné l'engagement de l'Uusimaa en faveur de la paix mondiale, mais a également mis en évidence son soutien inébranlable aux régions en crise.

Alors que Port-Hafen lutte contre l'agression de l'Empire Listonien, la promesse résolue d'une assistance économique de la part de l’Uusimaa est une lueur d'espoir au milieu de ces circonstances compliquées. Le gouvernement, en signe de solidarité avec la ville de Port-Hafen, a tendu une main qui va au-delà de la simple rhétorique, traduisant fermement ses paroles en actions concrètes.

Justine Blanchard, la déterminée Ministre des Affaires Etrangères, a joué un rôle essentiel dans la mise en œuvre de cette initiative charitable. Comprenant parfaitement l'urgence de la situation à Port-Hafen, Mme Blanchard a défendu la cause de l'aide et rallié le soutien de la communauté internationale. Son sens de la diplomatie et ses efforts inlassables ont ouvert la voie à une réponse collective qui restera dans les mémoires comme un moment décisif de coopération.

L'annonce par le Président Elias Resmu du programme d'aide économique aux 92 000 Rahas, lors d'une interview, a marqué un tournant dans l'engagement de l'Uusimaa en faveur de la paix. La ténacité de Resmu à soutenir Port-Hafen en ces temps difficiles a non seulement trouvé un écho auprès des citoyens Väestois, mais a également envoyé un message fort à l'Empire Listonien et à la communauté internationale dans son ensemble. La position résolue du président illustre les valeurs fondamentales de la nation que sont la liberté, la justice et la solidarité.

La Ministre de l'Economie, Kaatarina Tikkala, a fait preuve d'un leadership exceptionnel dans la mise en œuvre pratique de ce programme d'aide. L'expertise de Mme Tikkala en matière de politique économique et les efforts qu'elle a déployés pour formuler et proposer la législation nécessaire aux deux chambres du parlement bicaméral de la République Fédérale d’Uusimaa ont permis de garantir que l'aide serait fournie de manière efficace et rapide. Son engagement en faveur de la prospérité économique en tant qu'outil de changement social a non seulement ravivé les perspectives de Port-Hafen, mais a également montré comment les nations peuvent utiliser leurs ressources pour le plus grand bien de l'humanité.

Le gouvernement espère que l'annonce sera amplement saluée par les dirigeants du monde entier, en y voyant un témoignage de la puissance de la coopération internationale. Lorsque que l'aide arrive à Port-Hafen, elle portera en elle les aspirations d'une nation qui s'est engagée à soulager la souffrance et à encourager l'espoir, même dans les moments les plus sombres.

Dans un monde souvent divisé par les différences, la République Fédérale d'Uusimaa a illustré le potentiel des nations à transcender les frontières et à tendre la main à ceux qui sont dans le besoin. Justine Blanchard, Elias Resmu et Kaatarina Tikkala ont non seulement orchestré un programme d'aide économique remarquable, mais ils ont également incité la communauté internationale à reconnaître les valeurs fondamentales qui nous lient tous en tant qu'habitants de cette planète.


Article de Sonja Filpulla
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Le Républicain - Bannière


Le gouvernement Resmu-Brunet I marque deux ans de succès en Uusimaa



Photographie Le Républicain®

La Vice-Présidente Hortense Brunet lors de son entretient sur le retour de la famille royale en Uusimaa avec nos confrères du Väestois. Seconde protagoniste du gouvernement Resmu-Brunet I, la Vice-Présidente prépare actuellement une proposition de loi sur la fiscalité en Uusimaa.


Le Président Elias Resmu et la Vice-Présidente Hortense Brunet dirigent la nation avec détermination et ténacité depuis deux ans. Malgré les difficultés rencontrées, telles que la motion de censure, le gouvernement Resmu-Brunet I peut se vanter d'une période de réformes significatives qui ont laissé un impact durable sur tout le pays.

L'une des réussites remarquables du gouvernement Resmu-Brunet I a été son engagement à faire progresser les droits de l'homme et l'inclusion. L'administration a fait des progrès considérables dans la protection des droits de la communauté LGBT, faisant de la République Fédérale d'Uusimaa un modèle de tolérance et d'acceptation. Cette réussite a été saluée au niveau international et a renforcé la réputation de la nation en tant que modèle en matière de défense des droits de l'homme.

En outre, l'engagement du gouvernement en faveur de l'égalité s'est illustré par sa décision historique d'autoriser les personnes transgenres à servir dans les forces armées. Ce changement de politique progressiste favorise non seulement la diversité au sein de l'armée, mais envoie également un message fort d'inclusion et d'égalité des chances à tous les Väestois.

Sur le plan économique, l’Uusimaa a connu une croissance sans précédent sous le gouvernement Resmu-Brunet I. Les politiques fiscales astucieuses de ce dernier ont permis d'augmenter les recettes de l'État, avec des opportunités d'emploi accrues et un niveau de vie en hausse pour les citoyens de tout l'Uusimaa. Cette prospérité s'est traduite par l'amélioration des conditions de vie, l'accès à une meilleure éducation, à des soins de santé de qualité et au développement des infrastructures.

Dans une démonstration de solidarité internationale, le gouvernement Resmu-Brunet I a récemment tendu une main secourable à la ville de Port-Hafen, barbarement attaquée par l’Empire Listonien. L'aide généreuse du gouvernement, qui s'élève à 92 000 Rahas (10 000 points de développement), témoigne de son engagement à aider les autres nations en cas de besoin et montre que la République Fédérale d'Uusimaa est un partenaire mondial en faveur de la paix.

Malgré les difficultés initiales, le gouvernement Resmu-Brunet I a fait preuve de résilience et de dévouement à ses valeurs fondamentales. La gestion du Président Elias Resmu et de la Vice-Présidente Hortense Brunet a non seulement permis à l'Uusimaa de traverser des périodes turbulentes, mais a également positionné la nation en tant qu'acteur international défenseur des libertés individuelles.

À l'occasion du deuxième anniversaire du gouvernement, les Väestois peuvent réfléchir à l'impact positif de l'administration Resmu-Brunet I sur le pays, avec des avancées en matière de droits de l'homme, de prospérité économique et de solidarité internationale qui sont sur le point de façonner l'avenir de ce pays dynamique.


Article de Félix Bertrand
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Le Républicain - Bannière


Moment historique : L'Église Réformée Väestoise reconnaît officiellement l'homosexualité masculine et féminine



Photographie Le Républicain®

L'Evêque de l'Eglise Luthérienne Väestoise, Veera Lattu.


L'Église Réformée Väestoise a officiellement reconnu l'homosexualité masculine et féminine, consolidant ainsi son engagement en faveur de l'inclusion et de l'égalité des droits au sein de sa congrégation. Cette décision historique ouvre la voie à la reconnaissance des mariages homosexuels au sein de l'Église, marquant ainsi une étape importante de l'histoire.

Cette décision, qui a reçu un large soutien tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de l'Église, est attribuée aux efforts infatigables de Veera Lattu, qui est l'Evêque de l'Église Réformée Väestoise depuis 2004. Le dévouement de l'Evêque Veera Lattu à promouvoir une communauté ecclésiastique ouverte et acceptante a joué un rôle essentiel dans le choix vers cette position progressiste.

Un long chemin vers l'acceptation

La reconnaissance de l'homosexualité masculine et féminine par l'Église Réformée Väestoise est le fruit d'un long cheminement et d'innombrables discussions au sein de la congrégation. Elle reflète un consensus croissant au sein de l'Église sur le fait que l'amour et l'engagement doivent être célébrés et honorés, quel que soit le sexe.

L'évêque Veera Lattu a joué un rôle moteur dans la promotion de ce changement, en plaidant pour une église plus inclusive qui accueille tous les individus, quelle que soit leur orientation sexuelle. Sa compréhension et sa vision ont encouragé un dialogue et une réflexion constructifs parmi les membres de l'Église, ce qui a finalement abouti à cette décision capitale.

Célébrer l'amour et l'égalité

La décision de reconnaître les mariages homosexuels au sein de l'Église Réformée Väestoise envoie un puissant message d'amour, d'acceptation et d'égalité. Elle aligne les enseignements de l'Église sur les valeurs contemporaines des droits de l'homme et de la justice sociale, en approuvant la diversité de ses membres.

Dans une déclaration publiée par l'évêque Veera Lattu, elle a exprimé sa conviction que "L'amour est un don de Dieu qui doit être célébré et affirmé sous toutes ses formes". Elle a ajouté : "Aujourd'hui, notre Église fait un pas important vers la création d'une communauté plus inclusive où tous les individus peuvent trouver réconfort et soutien dans leur cheminement vers la foi".

Implications mondiales

La reconnaissance de l'homosexualité masculine et féminine au sein de l'Église Réformée Väestoise devrait avoir un impact considérable au-delà de la congrégation elle-même. Elle constitue un exemple positif pour d'autres institutions religieuses dans le monde, les encourageant à s'engager dans des discussions et des réflexions approfondies sur les questions d'inclusion et d'égalité.

Cette décision historique démontre que les organisations religieuses peuvent s'adapter à l'évolution des normes sociétales tout en restant fidèles à leurs valeurs fondamentales. Elle souligne l'importance du compréhension et du dialogue dans la résolution de questions complexes et délicates au sein des communautés religieuses.

Un avenir plus radieux et plus inclusif

En reconnaissant officiellement l'homosexualité masculine et féminine et en acceptant les mariages homosexuels, l'Église Réformée Väestoise franchit une étape importante dans la construction d'un avenir meilleur et plus inclusif pour tous ses membres. Ce moment historique restera dans les mémoires comme un témoignage du pouvoir de l'amour, de l'acceptation et des efforts indispensables de personnes comme l'Evêque Veera Lattu, qui travaillent avec diligence à la création d'un monde plus inclusif pour tous.

Par cette décision progressiste, l'Église luthérienne d'Uusimaa réaffirme son engagement envers les enseignements de Jésus-Christ, qui mettent l'accent sur l'amour, la compassion et l'acceptation avant tout. Elle se présente comme une lueur d'espoir pour ceux qui recherchent une communauté spirituelle qui célèbre l'amour sous toutes ses formes.


Article de Carita Ahonen
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