07/07/2013
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Le Républicain - Bannière


"Les Modérés" intègrent officiellement la majorité présidentielle



Photographie Le Républicain®

Maria Lind, Sénatrice et Présidente du parti politique Väestois de centre-droit : Les Modérés.


C'est après plusieurs semaines de négociations entre le Parti Populaire, les Libéraux-Démocrates et Les Modérés que la majorité présidentielle a annoncé par un communiqué de presse l'entrée du parti Les Modérés au sein de cette dernière, auparavant composée par le Parti Populaire et les Libéraux-Démocrates.

Cet article indique qu'un accord a finalement été conclu entre les trois groupes la semaine dernière. Cet accord stipule que le groupe "Les Modérés" intègre la majorité présidentielle à l'Assemblée Fédérale Législative et à la Haute Assemblée Sénatoriale, mais aussi dans certains conseils fédéraux. Ce communiqué indique aussi qu'un membre du parti Les Modérés sera nommé au gouvernement dans les prochains mois.

Un nouveau logo a été spécialement conçu pour cette occasion. Le bleu foncé et le jaune ont laissé place à un bleu clair et à du blanc. Sous l'inscription "majorité présidentielle", l'on peut voir trois barres qui représentent les trois partis composant cette nouvelle majorité présidentielle. Les trois barres sont de taille égale, probablement une façon de montrer que le nombre d'élus n'a pas d'importance dans le projet du gouvernement.

C'est lors d'une grande consultation que les adhérents des trois partis se sont en majorité prononcés en faveur de l'entrée des Modérés dans la majorité présidentielle. Cet élargissement de la majorité présidentielle Väestoise s'inscrit dans le projet du gouvernement de gouverner avec une plus grande majorité représentant le plus de Väestois possible.

D'après des proches du Président de la République Fédérale, Elias Resmu, les bureaux de l'Assemblée Fédérale Législative et de la Haute Assemblée Sénatoriale devraient eux aussi subir quelques changements pour intégrer chacun un membre des Modérés en tant que Vice-Président ou que Secrétaire.


Article de Carita Ahonen
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Le Väestois


Gouvernement : un remaniement plus large que prévu



Photographie Le Väestois®

En haut : à gauche, Léonie Renou (Libéraux-Démocrates), à droite, Jean-Michel Mazet (Parti Populaire). En bas : à gauche, Marja-Leena Nevalainen (Les Modérés), à droite, Kristian Furuholm (Parti Populaire).


Comme indiqué dans un communiqué de presse, le parti politique de centre-droit Les Modérés a enfin intégré la majorité présidentielle Väestoise. Ce communiqué annonçait aussi que des membre du parti Les Modérés rejoindraient les bureaux de la Haute Assemblée Sénatoriale et de l'Assemblée Fédérale Législative puis le gouvernement Resmu-Brunet I.

Contre toute attente, ce n'est pas une seule personne qui est entrée et une seule personne qui est sortie. En effet, trois personnes ont quitté le gouvernement au profit de nouvelles personnes, et une personne s'est déplacée au sein du gouvernement. Ce n'est donc pas un remaniement mais un nouveau gouvernement. Effectivement, en Uusimaa, lorsque plus de deux personnes sont remplacées au profit de nouveaux membres, ce n'est pas considéré comme un remaniement mais comme un nouveau gouvernement. C'est donc une nouvelle ère qui s'ouvre en Uusimaa. Le gouvernement Resmu-Brunet I, en place depuis le 28 mars 2009 est remplacé, ce 03 mai 2012, par le gouvernement Resmu-Brunet II.

Les changements

Jonah Pulkkinen, Ministre des Armées, Gabriel Morin, Ministre de l'Intérieur et Jukka Salonen, Ministre des Sports ont été remplacés au sein du nouveau gouvernement.

  • Jonah Pulkkinen, ancien Ministre des Armées est remplacé par Kristian Furuholm. Membre du Parti Populaire, conseiller fédéral de la région d'Entiset et professeur, c'est l'ancien Secrétaire d'Etat chargé de l'UNIL qui devient Ministre des Armées.
  • L'ancien Secrétaire d'Etat chargé de l'UNIL, Kristian Furuholm est donc remplacé par Marja-Leena Nevalainen. Membre du parti Les Modérés, ancienne conseillère en stratégie politique auprès de Véronique Pérrin et conseillère municipale de Port-Etelä, elle devient Secrétaire d'Etat chargé de l'UNIL.
  • Gabriel Morin, ancien Ministre de l'Intérieur est remplacé par Jean-Michel Mazet. Membre du Parti Populaire, ancien conseiller du Président de la République Fédérale Charles Courvoisier et député de Sainte-Anne depuis 1997 il devient Ministre de l'Intérieur.
  • Jukka Salonen, lui, est remplacé par Léonie Renou, membre, tout comme lui, des Libéraux-Démocrates. Ancienne collaboratrice de Seppo Ussa dans la région fédérale de Keski, puis députée de la ville de Valövgur, elle devient Ministre des Sports.

  • D'après plusieurs sources proches du gouvernement, la nouvelle composition des bureaux de la Haute Assemblée Sénatoriale et de l'Assemblée Fédérale Législative devrait bientôt être annoncée par ses institutions.


    Article de Eva Aarne
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    Le Républicain - Bannière


    Président Elias Resmu : "l'Uusimaa dénonce avec une grande fermeté
    les attaques de la Loduarie sur l'Okaristan"



    Photographie Le Républicain®

    La ville Okaristanaise de Dąbrotyn, détruite après des frappes massives de l'armée de l'air Loduarienne. C'est dans cette ville que se trouvait des camps de base Okaristanais et Tcharnoves.


    Lors d'un entretien avec le Président de la République Fédérale d'Uusimaa, Elias Resmu, nous avons eu l'occasion de lui poser un certain de nombre de questions quant au conflit actuel en Okaristan impliquant la Tcharnovie, la République Fédérale de Tanska, le Royaume de Teyla, la Grande République de Velsna ou encore la Loduarie.

    Journaliste, Félix Bertrand : Bonjour Monsieur le Président, bienvenue dans les locaux du Républicain. D'abord, pouvez-vous nous expliquer plus clairement la position de la République Fédérale d'Uusimaa quant à la guerre en Okaristan ?

    Monsieur le Président, Elias Resmu : Merci à vous de m'accueillir. Tout d'abord, je tiens à vous éclairer, la position de notre pays est très claire et le restera. L'Uusimaa s'est à plusieurs reprises prononcé contre la guerre et en faveur la paix. En revanche nous ne pouvons pas nous résoudre à la dictature, surtout lorsqu'il s'agit de nos voisins. L'Okaristan est un régime dictatorial qui fait preuve de répression sanglante. Un mouvement révolutionnaire, soutenu par de grandes démocraties, veut rétablir la paix, mais la Loduarie, qui se prétend démocratique, alors qu'elle bombarde des villes. L'Uusimaa ne peut pas accepter ce genre de pratiques et soutiendra donc le Mouvement Révolutionnaire Okaristanais. S'il le faut, nous soutiendrons économiquement et militairement le Mouvement Révolutionnaire Okaristanais et ses alliés.

    Journaliste, Félix Bertrand : Concrètement, comment cela se traduira-t-il ?

    Monsieur le Président, Elias Resmu : Concrètement ? Nous n'hésiterons pas à fournir du matériel militaire, au Mouvement Révolutionnaire Okaristanais comme à ses alliés, ou encore à fournir une aide économique conséquente comme nous l'avons fait pour la reconstruction de Port-Hafen. Nous sommes prêts à tout pour protéger la démocratie ! Après la guerre, l'Okaristan démocratique pourra compter sur nous comme un allié majeur. En attendant, et ce depuis quelques jours, nous avons renforcé la sécurité à la frontière avec l'Okaristan.

    Journaliste, Félix Bertrand : Vous parlez d'aide militaire, qu'entendez-vous par là ?

    Monsieur le Président, Elias Resmu : Comme je l'ai dit précédemment, je ne pense pas que l'Uusimaa s'engagera directement au combat. En revanche, si cela est nécessaire, nous entendons bien fournir du matériel militaire au Mouvement Révolutionnaire Okaristanais et à ses alliés. Nous pourrions notamment fournir des mitrailleuses lourdes, des lance-missiles antichar, des mines antichars ou bien encore des canons antiaériens. Je permets aussi de détailler notre aide économique, qui comme je l'ai dit précédemment devrait se rapprocher de ce que nous avons fait pour Port-Hafen. Nous comptons en effet verser de l'argent en UMI, ce qui pourrait atteindre plusieurs centaines de milliers de Rahas.

    Journaliste, Félix Bertrand : La Tcharnovie, Teyla ou Tanska sont considérés, par des membres de la classe politique Väestoise, d'impérialistes. Quelle est votre position face à cela ?

    Monsieur le Président, Elias Resmu : Je réfute catégoriquement l'étiquette qui a été collée aux partenaires du Mouvement Révolutionnaire Okaristanais. Je suis également atterré que des membres de la classe politique Väestoise, vivant dans une grande démocratie qui est la nôtre, puissent, d'une certaine manière ou d'une autre, faire le choix de supporter la Loduarie qui soutient le régime dictatorial en place, plutôt que de favoriser la démocratie.

    Journaliste, Félix Bertrand : Est-ce-que cette guerre en Okaristan ouvre de nouvelles voies diplomatiques pour l'Uusimaa ?

    Monsieur le Président, Elias Resmu : Bien-sûr, même si nous préfèrerions que cette guerre n'est pas lieu, il est indéniable que cette guerre ouvre de nouveaux horizons à la diplomatie Väestoise. D'abord, nous sommes sur de bonnes voies diplomatiques avec de nations qui soutiennent le Mouvement Révolutionnaire Okaristanais, dont la Tcharnovie. Et deuxièmement, nous espérons que cette guerre débouche sur la démocratie en Okaristan, et nous nous portons garants de bonnes relations diplomatiques avec cette nation dans le futur.

    Journaliste, Félix Bertrand : Merci Monsieur le Président de la République Fédérale d'avoir répondu à toutes nos questions concernant la guerre en Okaristan.


    Interview réalisée par Félix Bertrand
    1966
    Le Républicain - Bannière


    Frontière Lutharovie / Uusimaa : la construction du mur touche à sa fin



    Photographie Le Républicain®

    La frontière Vaëstö-Lutharovienne est matérialisée depuis 1991 par une barrière en grillage et en barbelé. Mesurant plus de 500 km, la construction de ce mur touche à sa fin après plus de 20 ans de construction. Plus qu'une simple frontière matérielle, ce mur a une grande importance en Uusimaa.


    Après 21 ans de construction, le mur séparant l'Uusimaa et Lutharovie est presque construit. Mesurant 589 km de long, la construction de ce mur fait de grillage et de barbelé, a été initiée sous la présidence d'Keikki Mäkinen, avec des objectifs multiples.

    Au départ construit pour éviter l'immigration clandestine entre l'Uusimaa et la Lutharovie, le mur a aujourd'hui plus d'enjeux qu'une simple barrière anti-immigration. Heikki Mäkinen avait en effet lancé la construction de ce mur pour limiter l'immigration des populations du sud et de l'est de l'Eurysie en Uusimaa. A l'époque, la construction de ce mur avait été justifiée par l'inexistence d'un accord commercial et douanier entre la Lutharovie et l'Uusimaa ce qui empêchait tout échange commercial. Aucun accord n'est en vigueur aujourd'hui, et les échanges de flux entre l'Uusimaa et la Lutharovie sont nuls.

    Aujourd'hui, les enjeux sont multiples. Effectivement, malgré que les objectifs de construction de 1991 en soient toujours, de nouveaux objectifs sont apparus au fil du temps. Nous pouvons par exemple donner l'exemple de la séparation idéologique. Bien qu'elle n'est jamais été une motivation officielle, il est évident que ce mur tend à séparer deux nations déjà éloignées par un fossé idéologique. Ce mur a aussi pour objectif d'empêcher tout Lutharovien d'entrer en Uusimaa et inversement, le travail des gardes-frontières sera donc facilité, alors qu'auparavant la frontière était siplemement délimitée par de légères barrières en bois.

    Selon certains députés de la majorité présidentielle, le mur s'inscrit désormais dans la volonté du gouvernement de vouloir rompre tout contact, même géographique, avec des nation à régimes non-démocratiques. Mais aussi plus récemment, dans un effort de lutte effective contre le communisme avec la guerre en Okaristan.


    Article de Carita Ahonen
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    Le Väestois


    C'est Ava qui représentera l'Uusimaa
    au Concours international de la chanson



    Photographie Le Väestois®

    Arrivée en troisième position du "Uusimaa Song Contest 2011", c'est Ava, avec son titre "Watch me" qui a été choisie par le Comité Väestois du Concours international de la chanson pour représenter son pays, l'Uusimaa, à l'édition 2012 du concours qui se déroula à Pilarca, à Sent-Julian.


    C'est officiel, le Comité Väestois du Concours international de la chanson vient d'annoncer que c'est Ava, avec son titre "Watch me" qui représentera l'Uusimaa à l'édition 2012 du concours à Pilarca. "Watch me" est une chanson de l'auteur-compositeur-interprète Väestoise Ava. Décrite comme une chanson pop elle est chantée en anglais (et en hébreu). Le radiodiffuseur Väestois du Concours international de la chanson est le groupe "Uusimaa", le concours sera donc diffusé en direct sur la chaîne "Uusimaa 8" et rediffusé sur la chaîne "Uusimaa 11".

    Dans une analyse de la chaîne de télévision culturelle Vaëstoise "Uusimaa 11", la chanson est décrite comme une chanson qui encourage la force et la persévérance des femmes. Ce titre est dédicacé par Ava à la communauté juive d'Uusimaa. En effet, la licorne est une référence possible au "re'em", un animal mentionné dans la Bible hébraïque comme symbole de force. Dans la chanson, Ava exprime son désir d'exploiter le "pouvoir d'une licorne".

    Dans une interview accordée à "TV6 International", Ava a déclaré que ses expériences d'adolescente ont inspiré la création de la chanson. À l'âge de 16 ans, alors qu'Ava commençait tout juste sa carrière musicale, elle a déclaré : "J'ai reçu beaucoup de critiques sur ce que je faisais en tant que jeune femme et en tant qu'artiste. À l'époque, j'avais l'impression que tout le monde essayait de me rabaisser". Ava a aussi déclaré que la chanson promouvait "la coexistence et l'unité", ce qui, selon "TV6 International", était une référence aux discriminations subies par la communauté juive partout à travers le monde.

    Après avoir terminée troisième à l'"Uusimaa Song Contest 2011", la jeune auteur-compositeur-interprète Väestoise de 21 ans, Ava, n'entend pas s'arrêter là ! Effectivement, elle compte bien conquérir la première place du Concours international de la chanson 2012 à Pilarca.


    Article de Sonja Filpulla
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    Le Républicain - Bannière


    Elections régionales 2013 :
    quel contexte 1 an avant ?



    Photographie Le Républicain®

    Véronique Pérrin, Présidente de la Région Fédérale d'Entiset depuis 2001. Elle a d'ores et déjà annoncé qu'elle serait tête de liste pour le Parti Populaire, qu'elle préside depuis une dizaine d'années. C'est probablement la Président de Région Fédérale la plus médiatisée du pays, notamment de par les fonctions qu'elle a exercé en Uusimaa.


    En 2007 se sont déroulés les dernières élections régionales en Uusimaa. Pour rappel, lors de ce scrutin, le taux de participation était de 71,88 %, soit un taux relativement correct. 96 % des Väestois sont inscrits sur les listes électorales, soit 18 679 161 personnes. 71,88 % des Väestois se sont déplacé lors des précédentes élections régionales, soit 13 426 582 votants pour ce scrutin.

    L'Uusimaa compte six régions fédérales, chacune dotées de leur propre conseil fédéral qui compte plus ou moins de conseillers selon les régions. Les six régions fédérales d'Uusimaa sont (de la plus peuplée à la moins peuplée) : la Région Fédérale de Sainte-Anne, la Région Fédérale d'Entiset, la Région Fédérale de Väestö, la Région Fédérale de Keski, la Région Fédérale de Nouvelle-Terre et enfin la Région Fédérale de Zlens. Un conseiller fédéral représente environ 25 000 personnes, on compte 759 conseillers fédéraux en Uusimaa. Le rôle du conseiller fédéral est d'être présent aux différentes commissions du conseil fédéral auquel il appartient, de voter les projets et d'élire les sénateurs Väestois. Chaque conseil fédéral élit, lors de sa séance inaugurale (première séance de la législature) : un Président, deux Vice-Présidents et deux Secrétaires. Ces membres clés des conseils fédéraux figurent sur des listes. Le Président appartient à la majorité régionale, tout comme les deux Vice-Présidents et parfois les Secrétaires. La majorité régionale peut être composée de plusieurs groupes. Le mode de scrutin utilisé est le scrutin proportionnel plurinominal, avec un seuil de 5% pour avoir des sièges.

    Actuellement, les conseils fédéraux sont présidés par : Mme. Amanda Lahtinen (Parti Populaire - Région Fédérale de Sainte-Anne), Mme. Véronique Perrin (Parti Populaire - Région Fédérale d'Entiset), M. Daniel Saarinen (Parti Socialiste - Région Fédérale de Väestö), M. Seppo Ussa (Libéraux Démocrates - Région Fédérale de Keski), Mme. Sophie Leroux (Les Verts - Région Fédérale de Nouvelle-Terre) et M. Samuel Lacroix (Les Modérés - Région Fédérale de Zlens).

    Tous les partis politiques sont représentés dans les conseils fédéraux Väestois, mis à part le Parti Social-Démocrate qui devrait, selon nos sources, à nouveau s'allier avec les Progressistes sous l'égide de l'APD (Alliance Progrès et Démocratie), tandis que le Parti Socialiste et le Parti Travailliste devraient s'allier comme ils l'ont toujours fait. D'après les premiers sondages de l'institut indépendant Thinking plan, seul le Mouvement National n'atteindrai pas ces seuils dans certaines régions.


    Article de Félix Bertrand
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    TRIBUNE "Pourquoi faillait-il rejeter la proposition
    de nationalisation de "New Televiestinä?"

    Par Lars Jensen, Président du Parti Populaire à l'Assemblée Fédérale Législative, et Line Rasmussen, Députée de Pessière


    Photographie Le Républicain®

    A gauche, Lars Jensen, Président du Parti Populaire à l'Assemblée Fédérale Législative. A droite, Line Rasmussen, Députée de Pessière.


    Il existe une infinité d'arguments prouvent que la nationalisation de la société de téléphonie mobile "New Televiestinä" serait dangereuse pour la société et les consommateurs. C'est d'ailleurs pour ça que tous les groupes de la majorité présidentielle, à l'Assemblée Fédérale Législative comme à la Haute Assemblée Sénatoriale, ont décidé de voter contre ce projet proposé par les groupes "S&T" et "Les Verts".

    D'abord, nous pouvons mettre en exergue l'inefficacité d'une société nationalisée et la bureaucratisation inutile que cela aurait pu déclencher. En effet, les entreprises nationalisées sont souvent associées à une gestion bureaucratique et inefficace en raison de l'intervention directe du gouvernement dans ses affaires. Cela aurait donc pu entraîner des retards dans la prise de décisions et des difficultés à s'adapter rapidement aux changements du marché de la téléphonie mobile.

    Ensuite, cela aurait très probablement ralenti l'innovation de l'entreprise "New Televiestinä", puisque la concurrence dans le secteur privé encourage l'innovation et la recherche de nouvelles technologies pour attirer les clients. En nationalisant "New Televiestinä", la pression des concurrents aurait été réduite, ce qui aurait pu entraîner une diminution de l'innovation dans les services et les produits offerts aux consommateurs par "New Televiestinä".

    Pour continuer, la société "New Televiestinä" aurait pu être victime d'une mauvaise répartition des fonds pour les entreprises nationalisées. Effectivement, sous une gestion gouvernementale, les entreprises nationalisées peuvent être concernées par des décisions politiques plutôt que par des considérations économiques rationnelles. Ce qui aurait donc pu conduire à une attributions inefficace des fonds, où les priorités sont, en général, fixées en fonction d'objectifs politiques plutôt que des besoins réels des consommateurs Väestois.

    Il y aurait aussi eu un risque d'influence politique dans la gouvernance de l'entreprise "New Televiestinä". En effet, une société nationalisée peut être soumise à une influence politique grandissante, ce qui aurait pu compromettre son objectivité dans la fourniture des services qu'elle rend aux Väestois. Les décisions commerciales auraient également être pu prises pour des motifs politiques plutôt que pour la satisfaction des consommateurs ou les performances économiques de l'entreprise.

    Enfin, la nationalisation de l'entreprise "New Televiestinä" aurait eu des conséquences sur les investissements étrangers et la compétitivité internationale de l'entreprise. On peut supposer que la nationalisation de "New Televiestinä" aurait pu décourager les investisseurs étrangers, car cela aurait envoyé un signal négatif sur la liberté d'entreprendre en Uusimaa. De plus, ça aurait aussi pu réduire la compétitivité internationale de "New Televiestinä", ce qui aurait ainsi pu nuire à sa capacité à se placer sur le marché mondial.

    Pour conclure, la nationalisation de "New Televiestinä" aurait pu entraîner une gestion inefficace, une diminution de l'innovation, une mauvaise répartition des fonds dédiés aux entreprises nationalisées, une influence politique injustifiée et une réduction de la compétitivité internationale, ce qui serait préjudiciable à la "New Televiestinä" et aux consommateurs.


    Tribune de Lars Jensen et Line Rasmussen
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    Le Républicain - Bannière


    ANALYSE : 2 ans après sa création, quel avenir pour l'UNIL ?



    Photographie Le Républicain®

    Marja-Leena Nevalainen, Secrétaire d'Etat chargée de l'UNIL depuis 2012. Elle s'efforce de poursuivre le projet du gouvernement Väestois, c'est-à-dire de continuer à faire exister l'UNIL comme une force majeure au sein du monde.


    Lors de sa fondation il y a deux ans, l'Union des Nations Indépendantes et Libres (UNIL) avait pour objectif d'établir un espace de coopération et de dialogue entre ses membres fondateurs. Cependant, malgré ses intentions respectables, l'organisation se retrouve aujourd'hui confrontée à un certain nombre de défis qui remettent en question son avenir.

    L'un des principaux obstacles auxquels l'UNIL est confrontée est la complexité de ses règles d'adhésion. Elles étaient au départ conçues pour garantir une sélection stricte des nouveaux membres, mais ces règles se sont avérées être un frein plutôt qu'un moteur pour l'expansion de l'organisation à travers le monde. Le processus d'adhésion, requiert en effet que les pays candidats ne soient pas membres : de l'Organisation des Nations Commerçantes (ONC), de l'Union des Nations Communistes et Socialistes (UNCS) ou de l'Union Médiane des Traditionalistes (UMT). De plus, le récent abandon de la République Laïque et Fédérale du Milouxitania, l'un des membres fondateurs de l'UNIL, soulève des questions sur la solidité de l'UNIL.

    L'autre défi majeur auquel l'organisation est confrontée, c'est l'absence de mécanismes clairs pour la résolution des conflits et la promotion de la paix dans le monde. Alors que l'UNIL aspire à "répandre le pacifisme" et à favoriser la diplomatie et les échanges, elle est confrontée à des tensions internes de méthode qui pourraient compromettre ces objectifs.

    En outre, la passivité de certains états-membres pendant les conseils décisionnels quant aux décisions de l'UNIL est regrettable. En tant qu'organisation internationale et d'échelle intercontinentale, l'UNIL se doit de prendre ses décisions sérieusement mais dans des délais acceptables.

    Malgré ces défis, l'UNIL a toujours un potentiel considérable en tant qu'organisation internationale et transcontinentale. Mais pour assurer son avenir, l'UNIL doit entreprendre des réformes claires pour simplifier ses processus internes, renforcer la cohésion entre ses membres et promouvoir la coopération et la paix entre les états du monde. Il est également impératif que les États membres de l'UNIL redoublent d'efforts pour travailler ensemble à la réalisation de leurs objectifs communs et ainsi répondre aux objectif initiaux de l'UNIL.


    Article de Carita Ahonen
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    Le Väestois


    ENQUÊTE : Quelle(s) rémunération(s) pour nos élus et nos représentants ?



    Photographie Le Väestois®

    Elias Resmu, Président de la République Fédérale d'Uusimaa depuis 2009. Il veut mettre en place un loi de transparence qui obligerait tous les élus et les représentants rémunérés à déclarer leur patrimoine publiquement chaque année.


    On recense en Uusimaa plus de 2000 élus et une vingtaine de représentants. Ministres, députés, sénateurs etc. Mais alors, combien sont-ils rémunérés chaque mois, et quelle est la facture pour l'état à la fin de l'année. Nous essayons d'analyser ce fait avant la réforme du Président Resmu.

    Présidence :

    Chaque mois, l'Etat Väestois verse au Président de la République une enveloppe de 200 000 Rahas (21 881,84 Unités Monétaires Internationales). Ce chiffre a doublé depuis 1941, puisque le premier Président de la République Fédérale d'Uusimaa, Augustin Jacquet, recevait chaque mois 100 000 Rahas (10 940,92 UMI). La dernière augmentation date de 2004, sous la Présidence de la socialiste Judith Girard qui a fait passer son salaire, et donc celui de ses successeurs, de 150 000 Rahas (16 411,38 UMI) par mois à 200 000 Rahas (21 881,84 UMI) par mois, une augmentation de 50 000 Rahas (5 470,46 UMI), un record donc. Ainsi, chaque année, le Président de la République Fédérale d'Uusimaa touche donc 2 400 000 Rahas (262 482,1 UMI).

    Vice-Présidence :

    Pour continuer, chaque mois, l'Etat Väestois verse à la Vice-Présidente de la République une enveloppe de 150 000 Rahas (16 411,38 UMI). Ce chiffre a, quant à lui, triplé depuis 1941, puisque le premier Vice-Président de la République Fédérale d'Uusimaa, Keijo Lahti, recevait chaque mois 50 000 Rahas (5 470,46 UMI). La dernière augmentation date elle aussi de 2004, sous la Présidence de la socialiste Judith Girard qui a fait passer la salaire de son Vice-Président Asko Polanen, et donc celui de ses successeurs, de 100 000 Rahas (10 940,92 UMI) par mois à 150 000 Rahas (16 411,38 UMI) par mois. Là aussi une augmentation de 50 000 Rahas (5 470,46 UMI), un autre record. Donc, chaque année, la Vice-Présidente de la République Fédérale d'Uusimaa touche 1 800 000 Rahas (196 936,5 UMI).

    Ministres et Secrétaires d'Etats :

    Ensuite, tous les Ministres et Secrétaires d'Etat du gouvernement Väestois reçoivent 100 000 Rahas (10 940,92 UMI) chaque mois. A savoir que les 3 premiers mois suivant leur nomination, les Ministres ne reçoivent que 50% du salaire prévu, soit 50 000 Rahas (5 470,46 UMI) par mois. Au total, chaque Ministre est payé 1 200 000 Rahas (131 291 UMI) par an. Si on assemble les 11 Ministres et le Secrétaire d'Etat, en 2011, 15 600 000 Rahas (1 706 783 UMI) ont été dédiés aux salaires des Ministres.

    Députés et Sénateurs :

    Chaque député et chaque sénateur reçoit une enveloppe de 70 000 Rahas (7 658,643 UMI) chaque mois. Ainsi, en une année, chaque parlementaire reçoit 840 000 Rahas (91 903,72 UMI). Cependant, ce salaire peut être retiré aux parlementaires s'ils sont absents trop régulièrement ou s'ils violent le règlement de leur chambre respective. On compte en Uusimaa 907 parlementaires (204 sénateurs et 703 députés), ainsi, chaque année, l'état dédie 761 880 000 Rahas (83 356 675 UMI) aux salaires des sénateurs et des députés.

    Au total, en 2011, seulement pour les fonction citées ci-dessus, l'Etat Väestois aurait versé plus de 781 680 000 Rahas, soit 85 522 976 Unités Monétaires Internationales.


    Article de Eva Aarne
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    Järvinen Posti


    INTERNATIONAL : le Président Elias Resmu réagit aux annonces
    du Président Saint-Marquois Joshua Andrew Caleb



    Photographie Järvinen Posti®

    A gauche, Elias Resmu, Président de la République Fédérale d'Uusimaa depuis 2009. A droite, Joshua Andrew Caleb, Président de la République de Saint-Marquise depuis 2012.


    Il y a quelques jours, le Président Saint-Marquois, Joshua Andrew Caleb avait annoncé une restructuration du gouvernement Saint-Marquois, ce à quoi la classe politique Saint-Marquoise avait réagi vivement. Par la suite, les représentants de quatre partis politiques se sont entretenus à huit-clos avec le Président Saint-Marquois à la Demeure Jaune, la résidence officielle des Présidents de la République de Saint-Marquise.

    C'est quelques jours après les annonces du Président Saint-Marquois, Josh Caleb, que le Président Väestois Elias Resmu a décidé de nous accorder un entretien exclusif dans lequel il devrait nous donner sa position sur les évènements en cours à Saint-Marquise, mais aussi, d'après son entourage, faire des annonces concernant directement l'Uusimaa.


    Kiira Kivelä, journaliste : Bonjour Monsieur le Président, c'est un honneur de vous accueillir ici à Järvinen dans les locaux du Järvinen Posti.

    Elias Resmu, Président : Bonjour, merci Madame Kevelä de m'acceuillir au Järvinen Posti.

    Kiira Kivelä : D'abord, quelle est votre position quant aux récentes annonces de votre homologue Saint-Marquois, le Président Josh Caleb ?

    Elias Resmu : Je tiens, pour commencer, à féliciter Josh Caleb. En effet, je sais que certains ont pu être étonnés par ses récentes annonces, moi, non. Il est vrai que je crois profondément que Josh est autant attaché à la démocratie que les Väestois, il l'a montré à bien des reprises. Donc nous pouvons analyser les réformes qu'il propose comme un engagement supplémentaire de Josh Caleb d'ancrer la démocratie à Saint-Marquise et sur le continent Aleucien. Je le soutien donc naturellement dans ses réformes.

    Kiira Kivelä : Et comment interprétez-vous ces réformes ?

    Elias Resmu : Je pense que Josh Caleb veut que Saint-Marquise transmette un message fort au monde. Le monde dans lequel nous vivons est victime de nombreuses dérives, réformer la démocratie est un acte fort qui montre que dans certains pays, il y a encore un once de lucidité ! Je pense ainsi que nous pouvons interpréter ces réformes comme une modernisation de la démocratie car, ce que Josh Caleb a tenu à souligner, c'est "l'âge avancé" de la démocratie Saint-Marquoise sous sa forme actuelle.

    Kiira Kivelä : Avant votre élection, en 2009, vous parliez déjà de vouloir ancrer encore davantage la démocratie Väestoise. Est-ce-que Josh Caleb vous inspire et vous ouvre la voie ?

    Elias Resmu : Il est vrai que l'ancrage de la démocratie est l'une des grande causes de mon mandat. Je ne dirais pas forcément que le Président Josh Caleb "m'inspire" ou "m'ouvre la voie". En revanche, il est vrai que nous avons cet objectif commun qui est de faire de la démocratie un grand système universel. Ma boussole, et je crois que Josh Caleb la partage, est d'ouvrir la démocratie à tous les citoyens, dans la mesure du possible et du raisonnable.

    Kiira Kivelä : Concrètement, quelle est la mesure que vous souhaiteriez mettre en place pour ouvrir la démocratie aux citoyens Väestois ?

    Elias Resmu : Concrètement j'aimerais mettre en place deux outils pour ouvrir la démocratie à nos concitoyens. Premièrement, l'initiative populaire, qui devrait récolter 100 000 signatures pour qu'un texte soit soumis au référendum. Et deuxièmement, le référendum abrogatif, qui devrait récolter 500 000 signatures pour qu'une abrogation de loi soit proposée par référendum. Ce sont deux mesures majeures que le parlement aura bientôt à débattre et qui permettra à tous les Väestois jouissant du droit de vote de faire, à leur échelle, de la politique pour s'impliquer pour leur pays. Le but n'est bien évidemment pas de faire de ces deux outils des lois, mais bien des articles distincts de notre constitution, ce qui impliquera une réforme constitutionnelle dans les mois ou les années à venir.

    Kiira Kivelä : Vous parliez également, en 2009, de favoriser la représentation de tous les partis au Parlement, plus particulièrement à la Haute Assemblée Sénatoriale qui est élue au suffrage universel indirect. Quelle mesure pour répondre à cette affirmation ?

    Elias Resmu : Comme je l’ai en 2009, je souhaiterais en effet favoriser la représentation de tous les partis au Parlement, notamment à la Haute Assemblée Sénatoriale qui n'est pas élue au suffrage universel direct. Pour moi, élire la Haute Assemblée Sénatoriale au suffrage universel direct, ça n'aurait pas de sens. Puisqu'il y a bien une chambre haute et une chambre basse qui doivent être distinctes, en revanche, je pense que la Haute Assemblée Sénatoriale devrait être élue à la proportionnelle à l'échelle nationale. L'Assemblée Fédérale Législative est élue à la proportionnelle dans chaque circonscription. Ce système est très bien, il est très représentatif et il permet à tous les partis d'être présent dans cette chambre. La Haute Assemblée Sénatoriale, par contre, c'est un système majoritaire dans chaque circonscription qui quadrillent le territoire. Or, ce système est obsolète de nos jours, ainsi une liste pour chaque parti à l'échelle nationale serait un système possible qui favoriserait la représentation des plus petits partis puisqu'on pourrait mettre un seuil à seulement 2,5% pour avoir un siège à la Haute Assemblée Sénatoriale. La mesure qui devrait donc favoriser la représentation de tous les partis à la Haute Assemblée Sénatoriale, c'est le scrutin universel, indirect, proportionnel plurinominal à liste fermée.

    Kiira Kivelä : D'accord, merci beaucoup Monsieur le Président d'avoir répondu à toutes nos questions.

    Elias Resmu : Je vous remercie également.


    Traduit du finnois. Article de Kiira Kivelä.
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    Les Présidents Väestois et Saint-Marquois se rencontreront
    le 6 mars prochain à Saint-Marquise



    Photographie The Times of Uusimaa®

    Elias Resmu, Président de la République Fédérale d'Uusimaa depuis 2009. Il a été un acteur majeur du rapprochement de l'Uusimaa avec Saint-Marquise ces dernières années.


    Après plusieurs semaines d'échanges cordiaux, notamment quant aux réformes entreprises par le Président Saint-Marquois Joshua Andrew Caleb dans son pays, les deux hommes ont annoncé par voie officielle qu'ils se rencontreraient le 6 mars prochain à Saint-Marquise.

    D'après des proches du Président Resmu, ce dernier attend beaucoup de ce voyage officiel à Saint-Marquise. D'abord, pour montrer qu'il tient désormais une place importante sur la scène internationale, ensuite, pour partager pour acter ses points communs avec le Président Saint-Marquois Joshua Andrew Caleb. Enfin, le Président souhaiterai renforcer davantage la coopération entre les deux pays.

    Des sources officieuses du Château du Haut Entiset (résidence officielle du Président), ont annoncé que ce dernier se rendrait à Saint-Marquise à bord d'un nouvel avion de ligne de la société aéronautique Väestoise : Mattsson qui a annoncé récemment la sortie du M-L200. Nos sources nous ont affirmé que le Président rendrait visite à sa belle-famille, avec sa femme, Jordana Darian-Resmu, mais également avec sa fille nous ont confirmé nos informateurs.


    Traduit de l'anglais. Article de John Smith
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