12/02/2017
14:31:06
Index du forum Continents Afarée Althalj

[Relations Extérieures] La Khaïma - Page 6

Voir fiche pays Voir sur la carte
1286
sigle

Ouverture de l'ambassade d'Azur à Icemlet, Tamurt n Althaj


Le Califat constitutionnel de l'Azur est fier d'annoncer ce jour remettre ses lettres de créance à son lointain mais estimé voisin, le Tamurt'n Althaj, afin de convenir d'un échange d'ambassades permanentes. De même qu'une délégation althajir est la bienvenue à Agatharchidès, nous promettons de doter notre délégation à Icemlet des compétences et des attributions juridiques et administratives que demande le droit, afin d'exercer la représentation permanente de Notre Califat auprès de la Qari Ijja Shenna et de son peuple.

Les relations entre nos pays sont anciennes. Elles s'enracinent dans nos liens culturels, religieux, notre appartenance à l'Afarée, et notre désir de voir la voir prospérer. Au-delà des différents - profonds - qui peuvent nous séparer sur le plan de la religion, l'Althaj n'en reste pas moins un pays de la civilisation et du Livre. Ses efforts pour le développement et la coopération en Afarée ne peuvent qu'être salués. Le Khalife Kubilay ibn Sayyid prononce des voeux en ce sens, et nous faisons la prière que la collaboration future entre nos Etats saura apporter à nos peuples prospérité, paix et félicité.

Nous annonçons que l'Ambassadeur d'Azur à Icemlet, le Sheikh Erdogan, prend dès ors ses fonctions et se prépare à un travail assidu en ce sens. Que ce jour marque le début d'une période faste pour l'Althaj et l'Azur !

Jamal al-Din al-Afakhani
Ministre des Affaires étrangères

31.10.2014
Agatharchidès
3836
sigle

Communication cryptée concernant la situation au Gondo

A l'intention de la Khaïma du Tamurt N'Althaj

Excellences,

Je m'adresse à vous au nom du Diwan, gouvernement de l'Azur, en qualité de Ministre des Affaires étrangères. Je vous présente les salutations respectueuses du Califat constitutionnel.

Le Diwan suit avec inquiétude la détérioration de la situation au Gondo, où l'affrontement entre l'armée du gouvernement de la République Démocratique Libre du Gondo, du Président Désiré Flavier-Bolwou, et les rebelles qui représentent à présent une force structurée autour de l'Armée Démocratique du général Yahnick Sangaré. La prise de Cap-Franc par l'Armée démocratique par l'Armée Démocratique survenue il y a à peine quelques semaines a été le point de bascule vers une nouvelle étape du conflit. Les rebelles ont réitéré leur intention de poursuivre jusqu'à son terme leur "opération Rectitude" et de créer un Etat communiste à l'échelle du Gondo entier. De son côté, reposant sur son allié clovanien, le Président Flavier-Bolwou renforce ses capacités militaires et radicalise son intention de demeurer au pouvoir. Nous observons un renforcement de la présence clovanienne et de son opération Chrysope. Le tableau actuel est pitoyable, alors même qu'en août étaient signés les Accords d'Icemlet stipulant l'arrêt des combats. La Khaïma était alors parvenue à réunir autour de ce programme de pacification l'ensemble des parties prenantes, une avancée significative pour une paix durable au Gondo, qui a malheureusement volé en éclats.

L'Azur, comme l'Althaj, est un pays d'Afarée. Le Califat constitutionnel déplore la reprise de la guerre civile au Gondo, qui ensanglante un pays déjà éprouvé par une situation sociale et économique dramatique. Il s'inquiète de voir ce conflit utilisé par des puissances étrangères, venues d'outre-mer, pour y préserver leur pouvoir et leur influence. Ayant dans son histoire traversé de douloureux épisodes de colonisation, le Califat considère que cette page a été définitivement tournée pour notre continent tout entier, et ne saurait jamais être rouverte.

C'est pourquoi, Excellences, je viens vous témoigner aujourd'hui de la préoccupation du Diwan quant à la reprise des combats et à l'annonce faite par l'Empire de Clovanie d'accroître encore sa présence militaire dans les régions contrôlées par le régime de la RDLG. Nous n'encourageons pas non plus les communistes dans leur lutte armée. La position de l'Azur est la suivante. Premièrement, un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel doit être mis en place entre toutes les parties. Deuxièmement, des négociations doivent se tenir entre les partis et les factions belligérants et nous considérons que le meilleur moyen d'en assurer la vertu et l'efficacité est de programmer des élections libres visant à exprimer la volonté populaire des citoyens du Gondo, en s'appuyant non pas sur les armes, mais sur les structures de la société comme les associations, les chefs de village, les autorités religieuses, la société civile qui n'a plus voix au chapitre du fait de l'omniprésence des militaires.

Nous reconnaissons pleinement l'action de l'Althaj dans la mise en oeuvre des Accords d'Icemlet qui répondent parfaitement à ces objectifs. Nous considérons que l'Althaj et l'Azur ont une parfaite entente de vues au sujet de la situation gondolaise. L'Azur souhaite intimement que soient rétablies les mesures des Accords d'Icemlet, et en premier lieu le cessez-le-feu inconditionnel.

Nous vous proposons donc, Excellences, de porter ces objectifs en commun en nous adressant aux différentes factions en guerre et aux puissances qui s'y mêlent afin d'enjoindre les premières à revenir à la table des Accords, et les secondes à suspendre leur participation aux combats et à respecter les volontés de la population gondolaise exprimée démocratiquement par des élections.

Excellences, j'espère que nous pourrons mener ensemble ce travail pour l'interruption des combats, la restauration pleine et entière des Accords d'Icemlet et la poursuite à leur terme de négociations visant à organiser une pacification de la situation au Gondo. Je vous fait part de nos encouragements et de notre solidarité afaréenne en ce sens. La solution pour le Gondo ne peut venir que des Gondolais ; la paix pour l'Afarée doit être garantie par les Afaréens.

A votre écoute,
allo
Jamal al-Din al-Afaghani
Ministre des Affaires étrangères
22.04.2015
2751
header

Axis Mundis,

A la respectée Ijja Shenna, Qari de l'Althalj et des peuples Althaljirs,

Amie,

La Convention générale tient à vous informer, en toute transparence et par respect pour les relations historiques qui unissent nos nations, qu’il a été décidé de déployer une partie de notre flotte dans les eaux avoisinant le Gondo. Cette décision découle d’un constat alarmant : la présence croissante de forces militaires étrangères sur le sol gondolais, en soutien à un régime discrédité et oppressif. Ces forces ne font qu’aggraver la situation déjà dramatique de ce pays en poussant son gouvernement à se retrancher dans des postures jusqu’au-boutistes. En tant qu’alliés des luttes anti-coloniales et fervents défenseurs de la souveraineté des peuples, nous considérons qu’il est de notre devoir d’agir pour préserver l’intégrité et la libération de cette nation.

Le déploiement de notre flotte a pour objectif principal d’envoyer un message aux puissances étrangères impliquées. Nous ne pouvons tolérer que des interventions extérieures continuent de prolonger la guerre civile et d’imposer une tutelle néocoloniale sur le peuple gondolais. Nos navires auront pour mission de surveiller les mouvements maritimes dans la région et, si nécessaire, de dissuader toute tentative d’escalade militaire de la part des forces étrangères. Il s’agit d’une démarche avant tout préventive et défensive, visant à renforcer les efforts internationaux en faveur d’une résolution politique et pacifique du conflit.

Nous savons que la Tamurt n Althalj partage notre vision d’un monde libéré des dominations impérialistes et fondé sur le respect des peuples et des cultures. Votre soutien historique aux luttes des nations opprimées résonne profondément avec les idéaux qui guident notre action. Nous souhaitons donc réaffirmer notre engagement à travailler en étroite coordination avec vos représentants et à vous tenir informés de l’évolution de la situation dans la région. Toute action entreprise par notre flotte sera conduite dans le strict respect des principes du droit international et des accords que nous avons toujours défendus ensemble.

Dans cette lutte pour la liberté du Gondo, nous espérons pouvoir compter sur votre compréhension et votre solidarité, comme nous avons toujours pu le faire par le passé. Si votre gouvernement souhaite engager des discussions plus approfondies sur cette question, nous sommes à votre disposition pour organiser une rencontre ou des échanges directs entre nos délégations. Notre action se fait indépendamment de celles initiées par les pays d’Afarée, mais pourra s’en mal se rattacher à leurs décisions : nous avons été le bouclier du continent pendant plus d’un siècle, il ne tient qu’à vous de nous brandir à votre guise.

Car comme par le passé, nos nations continueront à marcher côte à côte dans la défense des causes justes, en montrant au monde qu’une autre voie, fondée sur la justice et la coopération, est non seulement possible mais nécessaire. Nous avons les moyens de défendre notre utopie.

Salut et fraternité,

Citoyenne Actée Iccauhtli
Au nom du Commissariat aux Affaires Extérieures
2128
__________________
COMMUNIQUER DIPLOMATIQUE CHURAYNN
_________________________


https://i.postimg.cc/dVSRpNjz/Design-sans-titre.png

De : La Sénémite, Grand Bureau des affaires étrangères
Uzdek Helias, Conseiller des affaires étrangères
Palais Azrah
6 Rue Palais Azranh
Walemir, Grande Province
Empire Islamique de Churaynn


Pour : la Qari Ijja Shenna
Qari du Tamurt n Althalj
La Khaïma
Tamurt n Althalj/right]


Objet : Lettres de demande d'ambassade de l' Empire Islamique de Churaynn au Tamurt n Althalj


Que la paix, la miséricorde et la bénédiction de Dieu soient sur vous !

Mes salutations,

Je vous adresse mes salutations et je souhaite le plus sincèrement possible la prospérité pour votre Pays et votre peuple. Des milliers de kilomètres nous séparent, mais il est clair que les liens entre nos deux nations peuvent dépasser la distance et s’appuyer sur des valeurs communes ayant pour objectif la quête d’un avenir meilleur pour nos peuples respectifs. Nous souhaitons entamer avec le Tamurt n Althalj un dialogue sincère et constructif. Nous proposons l’établissement d’ambassades dans nos capitales respectives. Elles deviendront des centres d’échanges diplomatiques, culturels et économiques. Nous espérons qu’elles serviront à approfondir la compréhension entre nos peuples et à ouvrir la voie à des initiatives communes, qu’il s’agisse de commerce, de recherche ou d’arts. Bien sûr, nous restons ouverts à toute autre de vos propositions. Notre proposition s’étend également à l’exploration d’accords dans des domaines clés tels que le développement économique, la gestion des ressources naturelles et la mise en valeur de nos entreprises. Ensemble, nous pourrions développer des projets ambitieux qui bénéficieraient à nos nations et renforceraient notre influence sur la scène internationale. Nous croyons que cette initiative pourrait être le début d’une relation qui sera tout autant bénéfique entre nos deux Pays. Si cette proposition trouve écho auprès de Votre Qari, nous serions honorés d’envoyer une délégation officielle pour discuter des modalités et des possibilités futures. Nous attendons avec espoir et impatience votre réponse, confiants que cette opportunité saura rapprocher nos deux nations et enrichir nos horizons communs.

Que la paix et la bénédiction divine soient sur vous et sur votre noble nation,

[right]Uzdek Helias
Conseiller des Affaires Étrangères de l'Empire Islamique de Churaynn


https://i.postimg.cc/k5LH3vmg/Capture-d-cran-2025-01-07-232751.png
0
Missive adressée à l’intégralité des états Afaréens.

Son Excellence Aimé Bassé, représentant de son Excellence Aimé Bolila, Premier Ministre du Royaume de Marcine et de Sa Majesté Louis VI d’Antérinie, Roi de Marcine.
A
L’intégralité des ministères des affaires étrangères afaréens.

Vos excellences, secrétaires à la diplomatie ou ministres des affaires étrangères.


Je vous adresse aujourd’hui cette missive dans l’optique de créer une sorte d’alliance afaréenne, en effet l’actualité, bien trop sombre, bien trop sanglante endeuille l’Afarée, pourtant connue pour sa stabilité et les relations cordiales entre les états la composant. En effet, la guerre reprends de plus belle, au Gondo, entre l’Antegrad et l’Ouwalinda, de nouvelles tensions au Varanya et au Mandrarika. Bien sur, cela n’est rien comparé aux conflits qui agitent les états eurysiens, entre missiles balistiques et prises d’otages en mers. Mais malheureusement, ces conflits, qu’ils soient en Afarée ou en Eurysie font chaque jour des veufs, des veuves, des orphelins, des amputés, des traumatisés, autrement dit, des victimes, alors que beaucoup (comme en Eurysie) semblent considérer la vie humaine comme dérisoire par rapport aux intérêts des grandes puissances coloniales et néo-coloniales. Et ce manque de considération, aussi terrifiant et sidérant soit-il, est monnaie courante, notamment au Gondo.

Mais malheureusement, en plus de voir que le monde reste inactif, se désintéresse au plus haut point de la situation locale déplorable, les grandes puissances s’ingèrent dans ce conflit, elles continuent à appauvrir le pays tout en se rendant coupable de colonialisme, la Clovanie s’en vante au travers du cinéma, certains états tentent de rester discrets, mais nous savons tous que les états afaréens soutenant les puissances à l’origine de ces ingérences sont nombreux, et nous tacherons de taire le nom de ces derniers, qui se reconnaîtrons, nous en sommes certains. Ainsi l’Afarée doit rester unie et indépendante, surtout elle ne peut et ne doit tolérer les atteintes faites à sa souveraineté, qui se traduisent par la possession de colonies,l’ingérence dans les affaires internes ou encore la soumission de certains états à des Métropoles qui n’ont rien à envier aux antiques protectorats du XIXe siècle.

Afin de lutter efficacement contre le fléau colonial, qui réduit en esclavage bon nombres d’états, il nous paraît nécessaire, notamment au P.P.A (le parti pan afaréen marcinois qui vient de gagner les élections royale) d’unir l’Afarée, dit comme cela, beaucoup d’entre vous, estimés collègues, penseront que nous agiront comme de vulgaires impérialistes détournant le droit des peuples à leur profit… Mais je vous rassure, l’objectif n’est en rien d’unir l’Afarée autour d’un état, au contraire d’ailleurs, nous souhaitons que l’Afarée reste un continent multipolaire, pour des raisons bien évidemment politique mais aussi culturelle, notre Mère a toujours été un continent multiculturel et imposer une idéologie, une croyance, en plus de relever de l’impérialisme, trahit l’histoire millénaire de l’Afarée. Par conséquent, il faut que toutes les puissances afaréennes, indépendantes, semi-indépendantes, puissent se réunit autour d’une table et qu’elles puissent négocier ensemble.

Ces négociations, si elles veulent avoir un poids diplomatique digne de ce nom, afin d’éviter que Clovaniens et aleuciens puissent à nouveau s’immiscer dans des situations aussi terribles, ainsi nous proposons à toute les puissances afaréennes, quelque soit leurs orientations politiques, religieuses, ethniques, nous voulons rassembler et non pas diviser, ainsi les états afaréens sont conviés à Marcine pour une conférence sur la paix au Gondo, l’objectif de cette dernière sera de désigner la seule partie légitime de cette terrible guerre civile qui frappe actuellement le Gondo, cette désignation et par extension la reconnaissance du nouvel état gondolais devra être faites par toutes les puissances afaréennes s’engageant dans cette conférence pour permettre au continent de conserver son unité et d’éviter les malheureux débordements qui causent encore plus de victimes. Ainsi cette conférence n’a qu’avant tout un objectif diplomatique, excluant toute intervention militaire.

Bien sur cette conférence peut marquer le début d’une coopération afaréenne marquée dans les affaires diplomatiques, qui permettrait de restabiliser le Continent tout en luttant contre les ingérences étrangères, si propices au colonialisme. Nous espérons ainsi que nombreux seront vos états à répondre favorablement à cette proposition de conférence qui souhaite rétablir la paix au Gondo en apportant un soutien diplomatique à l’état reconnu comme légitime par les états participants à cette conférence, qui se veut, je le répète, universelle et ouverte à tout les états afaréens.

Bien cordialement et au plaisir de lire vos réponses.
0
Monsieur le Ministre des Relations Internationales,
République de Poëtoscovie.

Madame, Monsieur la, le Responsable des Affaires Étrangères,
Althalj.


Hernani-centre. Le 26 novembre 2015.



Objet - Lettre relative à l'établissement d'ambassades




Madame, Monsieur,


Je me permets de vous contacter ce jour en tant que représentant de la diplomatie Poëtoscovie pour vous exprimer les plus sincères amitiés de la part d'un pays qui regrette que nous n'ayons jamais pris le temps de nous connaître véritablement. Soyez pourtant assurés que tenons en estime vos cultures et politiques, et c'est justement dans le prologement de cette considération que nous souhaiterions entretenir des relations durables avec les autorités de votre splendide pays.

Je ne vous cacherais point l'objet de cette lettre, tout d'abord puisqu'il est indiqué en objet de celle-ci, mais aussi car je suis de ceux qui pensent avec force et conviction que la diplomatie, c'est aussi faire preuve de franchise avec ceux envers qui on a confiance, et il me semble ici ne pas me tromper. Aussi ai-je l'immense honneur de vous demander, au nom de la République de Poëoscovie, si vous accepteriez d'établir à Hernani-centre, notre capitale, une ambassade ? En serait-il également possible réciproquement ?

Je ne puis vous cacher attendre votre réponse avec une certaine impatience, car entrentenir de bonnes relations à l'international nous est, en tant que Nation, un voeu infiniment cher.


Avec tout mon respect,


Monsieur le Ministre des Relations Internationales,
République de Poëtoscovie.



Cet échange est sécurisé par les Services de la Sécurité d'État de Poëtoscovie.
270
La Fédération Monarchique des Peuples Unis du Canta, ou Canta, vous souhaite une bonne année

carte

Prenez le temps de découvrir notre projet pour un commerce mondial libre et fluide, avec le projet du plus grand port du monde, au coeur de la Manche Blanche, artère vitale du commerce mondiale
MondoPoorte, les portes du monde
0
Drapeau de Dgondu


Ecrit le 18/02/2016

Aux nations Afaréennes,


Chers frères et soeurs d'Afarée,

Aujourd'hui, nos états peuplant le continent mère sont menacés par des puissances impérialistes et néocoloniales qui se rêvent en puissances mondiales et dominatrices en Afarée. Cette situation, qui perdure entre autre au Gondo, pour ne citer que lui, n'est pas tolérable et ne doit pas être tolérable pour des nations comme nous, qui vivons sur ces terres depuis des générations et des générations.

Nous devons nous renforcer collectivement, nous devons nous unir comme un seul continent fédéré autour de nos valeurs et nos idées. Le Dgondu a toujours promu une vision Pan-afaréiste et refuse de laisser des puissances étrangères dicter leurs lois sur le sol des Afaréens. C'est pour cela que je vous invite à un sommet à Mpanga, capitale du Dgondu, le 25 Février 2016. Durant cette rencontre, nous parlerons de diverses sujets, allant d'une coopération économique poussée entre nos nations, à travers peut être la création d'une seconde monnaie commune, à des traités militaires dans les situations les plus favorables, comme des pactes défensifs, à la création d'un institut promouvant nos cultures afaréennes dans le monde entier.

Egalement, il sera envisagé de fonder une potentielle organisation afaréenne, bien que cette possibilité soit ouverte aux débats de part la présence du Forum de Coopération de l'Afarée du Nord déjà existant dans le nord de l'Afarée.

Avec toutes mes salutations les plus distinguées et avec espoir de recevoir une réponse favorable de votre part,

Malandela Gudmada
Sa Majesté Malandela Gudmada,
Roi des rois du Dgondu, état fédéré de Yukanaslavie
4902
sigle

Au sujet de la situation en Afarée occidentale

A l'attention de la Khaïma du Tamurt N'Althaj

Que la Paix, la Miséricorde et la Bénédiction d'Allâh soient sur vous.

Excellence,

Je vous écris aujourd'hui pour vous faire part des inquiétudes du Diwan au sujet de la crise qui s'ouvre en Afarée de l'Ouest. Par la présente missive, je reviens sur cette crise, sur son origine autant que ses conséquences, et je formule ci-dessous une proposition importante pour le Tamurt N'Althaj.

Comme vous le savez, et j'en suis bien désolé, l'Afarée occidentale est une région instable. A la guerre civile au Gondo s'ajoute depuis quelques temps une dispute autant diplomatique que militaire entre l'Antegrad et l'Ouwanlinda, dispute émaillée de déclarations agressives et d'actes militaires de part et d'autre, mais qui n'a pas conduit à une conflit de haute intensité, jusqu'aux derniers événements qui nous occupent.

Comme vous avez pu l'apprendre, ce 27 juin dernier, Ateh Olinga, dictateur impitoyable de son pays où toute la population n'a même pas accès à l'eau potable, a fait propulser un missile supersonique, détenu dans quelque arsenal balistique insoupçonné, pour bombarder et détruire le palais présidentiel de l'Antegrad. Dans l'explosion, le bâtiment officiel a été anéanti, emportant des dizaines de civils et le chef de l'Etat, Ismael Idi Amar, dans la mort.

Vous conviendrez, Excellence, vous qui connaissez la valeur de la vie donnée par le Créateur, vous qui connaissez l'importance de la diplomatie et le respect de règles dans les relations interétatiques, que cet acte n'est rien de moins qu'un crime qui nous met tous au pied du mur. Voilà qu'une pauvre dictature se révèle être une puissance balistique qui n'hésite pas à frapper sans prévenir ! Voilà qu'un trublion jusqu'ici périphérique se prévaut d'assassiner les chefs d'Etat en exercice et de détruire les édifices publics, qui représentent l'amour-propre d'une nation toute entière ! Peut-on vraiment le tolérer ? L'Azur ne compte certainement pas renoncer à désormais tout mettre en oeuvre pour écarter cette menace intolérable qui pèse non seulement sur les adversaires déclarés d'Olinga, mais sur tous les pays qui se trouvent à portée de cet arsenal dont on ignore tout. L'Azur a résolu d'agir.

Grâce à Allâh, tous en Afarée n'ont pas sombré dans la folie meurtrière. Le Président Idi Akim, succédant à Ismael Idi Amar, a déclaré être prêt à restaurer les relations bilatérales avec l'Ouwanlinda si l'auteur de la frappe, qui n'est autre qu'Ateh Olinga, formulait des excuses publiques et officielles. L'Azur s'est rangé à cette sage décision, à cette preuve de haute sagesse qui renonce au cercle de la vengeance pour proposer une réparation symbolique du tort causé. Il serait véritablement bien la moindre des choses qu'Ateh Olinga s'excuse pour le tort qu'il a causé, mais celui-ci a balayé la demande de la famille d'Idi Amar !

En tout état de cause, et tout en souhaitant que le dialogue diplomatique puisse persévérer dans le but d'obtenir ces excuses, l'Azur soutient désormais un protocole d'action visant à résoudre le problème de la force militaire ouwanlindaise confiée à un autocrate belliqueux et agressif. En ce sens, conformément aux pratiques qu'exigent son rang diplomatique et la noblesse de ses intentions, il s'est conformé au souhait de l'Antegrad pour qu'une réponse afaréenne, pacifique et efficace soit apportée au risque de voir l'Ouwanlinda consolider ses forces tout en répudiant la négociation. Il a donc été décidé, avec une série d'Etats partenaires de l'Antegrad, afaréens et extra-afaréens, de mettre en place un déploiement naval afin de surveiller le fret maritime ouwanlindais et contrôler les navires cargos, de manière à interdire l'entrée d'armements sur le territoire du pays. Ce déploiement est encadré et légitimé par l'adoption d'un protocole, que voici.

Protocole de déploiement en réponse à la crise diplomatique entre l'Ouwanlinda et l'Antegrad a écrit :Exposé des motifs
Par le bombardement du palais présidentiel de l'Antegrad et l'assassinat du chef de l'Etat, l'Ouwanlinda s'est rendu coupable d'une escalade extrêmement grave de la violence. Ses déclarations et la liste de ses actions récentes indique qu'il serait prêt à répéter ces crimes. Afin de prévenir toute future escalade, il est nécessaire de garantir que les capacités de frappes d'Ateh Olinga, seul responsable de la crise actuelle, ne soient pas renforcées. En ce sens, les pays volontaires signataires s'engagent à travers ce protocole à coordonner leurs actions dans cet objectif.

1 - Garantir la liberté de navigation à l'Antegrad
Les pays signataires s'engagent à ne pas remettre en cause, d'aucune manière, la libre circulation des navires et des marchandises se rendant ou partant d'Antegrad, quelle que soit leur provenance et leur contenu.

2 - Mise en place d'un déploiement préventif
Les pays signataires décident, à travers une opération commune, d'interdire le transfert d'armements ou de produits utilisables dans une action militaire à l'Ouwanlinda par la surveillance de sa façade maritime et l'investigation éventuelle d'embarcations. Les embarcations ouwanlindaises seront systématiquement fouillées. Les embarcations qui se refuseraient à une inspection seraient contraintes par la force. Toute opposition de force à cette force entraînera une action militaire.

3 - Coordination du déploiement
Toutes les informations et décisions prises dans le cadre de cette opération doivent être partagées avec les signataires de ce protocole. Toute autre information relative à la circulation d'unités militaires en Afarée occidentale devra être partagée.

4 - Levée du blocus
L'opération de blocus prendra fin lorsque la voie diplomatique aura permis à l'Antegrad d'obtenir réparation symbolique et matérielle pour le crime qu'il a subi. Il appartient à l'Antegrad de définir cette réparation.

5 - Sortie du protocole
Un Etat signataire souhaitant sortir de ce protocole devra disperser ses forces militaires et les faire quitter la région.


Excellence, au nom du Diwan, je viens surtout présenter à la Khaïma la proposition faite à l'Althaj par l'Azur de rejoindre ce protocole, sinon de manière opérationnelle en y intégrant une partie de sa flotte de déminage ou de ravitaillement pétrolier, en tous cas de manière diplomatique, en signant ce protocole. Par une telle signature, l'Althaj rejoindrait le collectif d'Etats afaréens se portant solution à la crise à travers ce déploiement mesuré, encadré, légitimé et dont les ressorts clairs et précis indiquent sa vocation à la paix. Sont d'ores et déjà signataires de ce texte des Etats comme le Finejouri, dont l'engagement pour l'unité de l'Afarée n'est plus à prouver ; l'Azur, dont votre serviteur représente la parole ; le Duché de Sylva, une nation démocratique partenaire de l'Antegrad, et l'Empire du Nord, qui est un acteur important de l'Afarée occidentale. Quel beau symbole serait de compter l'Althaj dans ce collectif !

Evidemment, ce déploiement est une mesure conservatoire visant à installer la première garantie minimale qu'Olinga n'accroisse pas son arsenal militaire, mais il ne saurait se substituer au dialogue diplomatique. L'ensemble des Etats partie prenante en ont pleinement conscience et soutiennent un processus de discussions, de sorte qu'Ateh Olinga sorte de sa posture qui déshonore son pays et entache profondément l'unité de l'Afarée, pour sortir par le haut de cette crise que nous n'avons pas voulu. Ce dialogue diplomatique continue et, si l'Antegrad y consent, l'Azur pourrait mettre son poids dans la balance pour que l'Althaj y soit associé.

J'espère, Excellence, que mes inquiétudes trouveront grâce à vos yeux, et que la Khaïma pourra étudier sereinement l'hypothèse de participer enfin à une résolution de crise multilatérale, encadrée, fondée sur des principes clairs et dont la légitimité à agir est indiscutable.

A votre écoute,
Amir Bey il-ir Usdeli
Ministre des Affaires étrangères par Intérim
13.08.2016
2333
sigle

Au sujet de la crise en Afarée occidentale

A l'attention d'Ijja Shenna, Qari de l'Althaj et des peuples althajirs

Que la Paix d'Allâh soit sur vous.

Excellence,

Autant que le Diwan regrette le fait que la Khaïma ne signera pas le protocole d'embargo à l'égard du régime de l'Ouwanlinda, il se félicite de constater à travers vos paroles sages une entente de vues manifeste entre nous. De fait, ainsi que vous l'avez rappelé, l'acte d'Ateh Olinga ne saurait être banalisé, ni aucune recrudescence de la violence en Afarée occidentale. De cette violence prospèrent le pur rapport de forces qui voit les grandes puissances militaires imposer leur volonté aux petites. En ce sens, l'initiative de ce protocole, qui réunit plusieurs pays dont aucun n'est connu pour ses entreprises militaires, est parfaitement en accord avec le principe que vous avez édicté.

Comme vous l'avez rappelé, la possibilité d'acquérir des armes sans aucune restriction est un sujet majeur pour nous. L'existence d'un arsenal balistique de dernière technologie, qui se manifeste à nous de la plus horrifiante façon, ne saurait être une donnée négligeable et l'Azur partage entièrement la préoccupation de l'Althaj quant à ce problème. Quelles sont ses dimensions ? Quelle est sa portée ? Vers qui est-il dirigé ? Pourrait-il être renforcé à l'avenir ? Voilà des questions qui émergent à présent avec force pertinence.

Si le Tamurt N'Althaj se refuse à accompagner un mouvement d'embargo envers l'Ouwanlinda, je gage qu'il est ouvert à la discussion diplomatique. C'est l'imminence de négociations, dont des signes positifs semblent déjà avoir été décelés du côté de l'Antegrad comme de l'Ouwanlinda, qui devrait permettre une approche structurée et conséquente du problème par les Etats afaréens, qui partagent désormais le même besoin de voir leurs garanties de sécurité rétablies face aux missiles hypersoniques du dictateur Olinga.

L'Azur espère que ces négociations s'ouvriront bientôt, et qu'elles iront à leur terme, ce qui sera le signal de la levée de l'embargo sur l'Ouwanlinda. A travers ces négociations, nous espérons obtenir les garanties de sécurité complètes et les excuses officielles d'Ateh Olinga qui permettront a minima de restaurer un équilibre de paix en Afarée occidentale. Mais peut-être le résultat de ces discussions dépassera-t-il nos espérances, à travers pourquoi pas un grand mouvement afaréen de réconciliation et de coordination sécuritaire.

Dans l'attente de prochaines évolutions de la situation, le Diwan adresse à nos consoeurs du Ponant ses meilleurs sentiments et son souhait profond de voir l'Afarée grandie, et non affaiblie, par la crise en cours.

A votre écoute,
Amir Bey il-ir Usdeli
Ministre des Affaires étrangères par intérim
28.08.2016
0
Némédie a écrit :
Ministère des affaires étrangères


Drapeau

Messieurs,

En mon nom personnel, ainsi qu’au du Roi de Némédie, et du peuple némédien, je vous adresse mes salutations respectueuses.

La Némédie, désireuse de renforcer les liens d’amitié, de dialogue et de coopération entre les deux États, vous fait savoir par la présente son souhait d’ouvrir une ambassade némédienne dans votre capitale, de même pour vous à Epidion.

Ce geste, emblématique et porteur d’avenir, constituerait une pièce maîtresse de l’édifice des relations bilatérales grâce à cette présence diplomatique on pourrait faire vivre, alimenter et étoffer les échanges culturels, scientifiques, commerciaux et politiques pour accéder à l’établissement d’un partenariat pérenne basé sur la confiance mutuelle et le respect du voisinage.

Je vous prie d’agréer, mes salutations distinguées.

Philippos Adrastos
Ministre des Affaires Étrangères de la Némédie

Fait à Epidion, ce jour, en l’an 2016

57
Bureau des Affaires étrangères

Très chers homologues,

Dans ce siècle marqué par des incertitudes croissantes, alors que les tensions géopolitiques, les menaces transnationales ainsi que les ingérences extérieures et intérieures fragilisent notre continent, le moment est venu pour les nations d’Afarée de s’unir autour d’un pacte de stabilité, de souveraineté et de solidarité. C’est dans cet esprit que vous trouverez ci-joint le texte fondateur du Pacte Afaréen de Sécurité, mûrement réfléchi et adopté par Finejouri, l’Azur et l’Antegrad. Face aux défis actuels, l’Afarée doit montrer sa véritable force celle de l’unité, de la coopération et de la responsabilité collective. Nos trois nations vous invitent respectueusement à adopter ce texte et à rejoindre cette alliance défensive et fraternelle, pour construire ensemble un avenir plus sûr et plus souverain.


texte du traité
(explications non-incluses dans le texte final souhaité)

Pacte afaréen de sécurité
(le nom du traité est à convenir ensemble)

1. Charte des valeurs afaréennes
Ce premier point du traité vise à exprimer nos valeurs communes qui nous distinguent d'Etats "techniquement situés en Afarée", mais qui n'ont rien d'afaréen, comme Cramoisie, ou d'Etats qui ont des provinces afaréennes en leur sein, mais qui ne sont pas afaréens, comme Fortuna.)
1.1. Les valeurs afaréennes sont les valeurs qui unissent tous les peuples indigènes du continent afaréen, sans distinction d'ethnie, de religion ou d'idéologie politique. Est membre de droit de ce traité tout Etat dont le territoire souverain et la capitale politique, économique et militaire se trouve sur le continent afaréen, dont la langue officielle est une langue afaréenne, et qui a adopté le texte intégral de cette présente charte dans sa loi nationale.
1.2. Les valeurs afaréennes sont les suivantes ; (1) l'esprit de l'unité des peuples du continent et de leur indépendance ; (2) le désir de coopération, de concorde et de paix entre les peuples afaréens ; (3) le respect des spécificités nationales et des croyances religieuses de chaque peuple afaréen représenté par son Etat ; (4) le respect du droit universel des peuples à la prospérité, à la tranquillité et à la justice, en Afarée comme ailleurs ; (5) la consécration du droit souverain et inaliénable des peuples à déterminer la forme de leur existence politique ; (6) le rejet de l'impérialisme et du colonialisme ; (7) la décolonisation pleine et entière et la préservation contre les ingérences extérieures de tout le continent afaréen.

2. Principe de non-agression
Les Etats signataires s'engagent à ne pas recourir à des actions militaires hostiles les uns contre les autres et à privilégier la voie du dialogue, de la négociation et du droit pour régler les différends qui existeraient entre eux sur toutes les questions possibles.

3. Principe de solidarité afaréenne en matière diplomatique et de sécurité
Les Etats signataires s'engagent à se porter diplomatiquement et si nécessaire matériellement assistance en cas d'agression par un Etat extérieur.
(Les modalités de l'aide à apporter sont à débattre dans le Conseil Afaréen de Sécurité.)

4. Conseil Afaréen de Sécurité
Les Etats signataires s'associent en une instance de discussion et de prise de décision au sein du Conseil Afaréen de Sécurité. Cette instance doit être le lieu de l'expression des points de vue pour coordonner l'action des Etats signataires et réviser, s'il y a lieu de le faire, le présent traité. L'Etat coordinateur du C.A.S. veille au bon déroulement des débats et à leur concrétisation.
(C'est un simple groupe de discussion pour définir des positions communes, par exemple des communiqués diplomatiques communs ou des opérations militaires communes. Le coordinateur du CAS est un siège électif ou tournant ; son rôle n'est pas d'être le "chef", mais simplement d'organiser la discussion, de rédiger les textes communs signés par tous, et de s'assurer que les débats se passent bien. Il n'a aucun rôle symbolique distinct.)
L'exclusion d'un Etat du C.A.S. doit être votée à l'unanimité des autres membres, et ne saurait être que temporaire et conditionnée à des dispositions facilement évaluables.
(Le C.A.S. devrait être un groupe le plus large possible, même si certains Etats membres ont des relations compliquées. L'exclusion ne devrait donc pas être trop facile. Il faudrait des circonstances extrêmement grave qui créeraient l'unanimité de tous les autres membres contre lui pour qu'un Etat soit exclu. Comme c'est un Etat afaréen, il faut cependant que son exclusion soit temporaire et conditionnée, pour qu'il puisse réintégrer ensuite le conseil.)



Cordialement,

Représentants de l'Azur, de Finejouri et de l'Antegrad
0
ASSEZ D'ÊTRE UNE VICTIME ?

Révolution afaréenne

Afaréen ! Prends ton destin en main !

Dites merde au colonialisme et mettez vous définitivement hors de portée de l'OND grâce au parapluie balistique carnavalais !

Vous souhaitez bénéficier de la protection des missiles carnavalais ? Rien de plus facile !
Remplissez simplement le formulaire ci-dessous et renvoyez-le à CRAMOISIE© pour bénéficiez dès le mois prochain de l'installation de plusieurs pas de tirs balistiques sur votre territoire en plus d'une garantie de riposte chimique en cas de blocus ou d'invasion de votre nation !

La dissuasion Obéron c'est la paix pour de bon !

[center][color=#6D0000][size=1.5]OUI mon pays souhaite se placer sous la protection du parapluie balistique carnavalais ![/size][/color]

OUI [size=0.8]j'accepte d'accueillir un site balistique Obéron Industrie sur mon sol à mes frais d'entretien[/size] !
OUI [size=0.8]j'accepte d'être défendu par la Principauté de Carnavale en cas d'agression contre mon pays ou de blocus de mes routes maritimes commerciales[/size] !
OUI [size=0.8]je me mets enfin à l'abri, et pour un prix modique, de toute guerre et tentative de déstabilisation étrangère[/size] !
OUI [size=0.8]j'achète définitivement ma protection et celle de ma population[/size] !
OUI [size=0.8]je reconnais la Colonie chimique de CRAMOISIE© comme un État souverain et légitime en Afarée[/size] !
OUI [size=0.8]j'accepte de laisser les Laboratoires Dalyoha procéder à la cartographie génétique de ma population[/size] !
OUI [size=0.8]mon chef d'Etat se fera baptiser sous huitaine, ainsi que chacun de mes dirigeants à partir d'aujourd'hui et jusqu'à la fin du monde[/size] !

[size=1.2]OUI
OUI
OUI[/size]

[size=1.5][color=#6D0000]Avec le parapluie de Printempérie
je dis OUI à la vie ![/color][/size][/center]

Assez des alliances régionales sans lendemain ?
Assez de devoir tenir compte de la diplomatie idiote de vos compatriotes afaréens ?
Assez de devoir gérer des nations peu civilisées ?


CARNAVALE
Bâtissez ENFIN une alliance avec quelqu'un qui pèse !


Placez vous sous la protection des Obéron c'est acheter la paix et la prospérité pour votre nation
Si vous refusiez, pas certain que votre population vous le pardonnerait ...


C'est une petite révolution !
L'Afarée prend enfin le chemin de la décolonisation !

C'est un petit Grand Soir !
L'Afarée entre enfin dans l'histoire !
1352
Alors que l'Astre Solaire balaye fièrement les landes de l'Afarée de sa puissante lumière, cherchant inévitablement à réconforter les âmes en peine mises à mal par l'ombre grandissante écarlate qui s'élève depuis la plaie béante qui a été infligée au continent, des mains discrètes s'activent. Sur une table réservée d'une de ces auberges traditionnelles bordant les routes pittoresques des anciennes terres du Matriarcat de l'Althalj, une lettre est déposée dans les dignes usages d'antan.

La Maréchaussée Fantôme

Le naufrage perpétuel offre ses usages d'hommages,

Infamie ainsi que mille et une diableries,

Ternissent l'or sablonneux battu par le vent,

D'écarlate se pare la terre meurtrie jusqu'à sa chaire,

Les idiots utiles sortent alors du bois,

Justifiant jusqu'à plus soif de fantasques agenda,

Tandis que sur le bas-côté, le Grand Satan se gaussait,

Les vieux pactes pourtant s'élèvent toujours,

Que d'une flamme éclatante les fanaux s'embrasent

Et de tout horizons les justes autrefois cadavres se relèveront,

Les masques bientôt ci et là tomberont,

Les opportunistes malvenus par leurs méfaits et omissions se dévoileront,

Et le Grand Satan dans ses atours du sabbat sera alors vulnérable,

Les vieilles alliances attendent d'être honorés une énième fois de bon gré,

Ce afin que l'aube s'élève à nouveau demain.


A l'arrière du message, soigneusement joint à ce dernier pourra toutefois être découvert une carte de tarot atypique que les connaisseurs reconnaîtraient comme appartenant à un set très spécifique et peu usité ladite carte représentant : La Paladine

Paladine
Haut de page