11/11/2014
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Cabinet des Affaires étrangères - Page 8

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Son Excellence ministre des Affaires Étrangères,
Gwetran de l'Hairdre de Kergouë,
Ligert, Duché de Gallouèse.

De la part de Son Excellence ministre des Affaires Étrangères,
Jean-Louis Gaudion,
11 Rue Elisabeth III,
Manticore, Royaume de Teyla.



Très estimé ministre et représentant du Duché de Gallouèse,

Je vous contacte en ma qualité de ministre des Affaires Étrangères et représentant du gouvernement de Sa Majesté du Royaume de Teyla. Le Royaume de Teyla souhaite exprimer toute son inquiétude concernant la situation actuelle en Eurysie, dont les responsables sont la Loduarie Communiste et la Translavya, qui vient de commettre un acte inqualifiable. Un tel suicide diplomatique ne s'est pas vu depuis Communaterra. Toutefois, le Royaume de Teyla souhaite, dans la continuité du rapprochement entrepris par nos deux pays, vous faire part de plusieurs propositions afin de fournir une réponse coordonnée face aux événements actuels.

Le Royaume de Teyla propose que vous participez à une réunion de l'Organisation des Nations Démocratiques, sous réserve d'acceptation des autres membres, dans le but de discuter des mesures de coopération nécessaires face à cette situation. Bien que cette mesure soit exceptionnelle, les circonstances le sont tout autant. Le gouvernement du Royaume de Teyla appel a une coordination des réponses à l'échelle Eurysienne face aux risques nucléaires. Le Duché de Gallouèse et le Royaume de Teyla seront les deux nations les plus touchées, après la Loduarie Communiste bien évidemment. Il est donc indispensable que nos deux nations coopèrent pour répondre aux risques nucléaires et à la propagation d'un "nuage nucléaire".

Nous sommes conscients de ce qui se joue actuellement en Eurysie : la stabilité d'un continent entier est en jeu. Nous sommes également conscients que l'Organisation des Nations Démocratiques pourrait être remise en cause, bien qu'elle semble attirer davantage de soutien, comme le montrent les résultats au Kronos, où un candidat favorable à l'Organisation des Nations Démocratiques, selon son programme, a atteint un score de cinquante-quatre pourcents. Toutefois, nous pensons que l'Organisation des Nations Démocratiques dispose des moyens et des organes nécessaires pour permettre la discussion dans les meilleurs délais et les meilleures conditions, et pour apporter une réponse forte à l'acte de la Translavya. Par ailleurs, nous devons apporter une réponse à la Loduarie Communiste qui, pour rappel, est à l'origine de cette guerre illégitime et impérialiste. Les actions du régime loduarien déstabilisent le continent entier et affectent directement nos nations, comme nous le constatons aujourd'hui.

Si les États-membres refusent votre participation et notre demande, nous vous serions reconnaissants de nous faire part de vos préoccupations et de vos besoins. Nous nous ferons alors un plaisir de les transmettre à l'Organisation des Nations Démocratiques.

Dans l'attente de votre réponse, veuillez agréer, Monsieur, de mes sincères salutations.

Fait à Manticore le 19/10/2013

Jean-Louis-Gaudion
Par le ministre des Affaires Étrangères.


MAE
Jean-Louis Gaudion, Ministère des Affaires Étrangères.
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Lettre à l'intention de Monsieur Gwetran de l'Hairdre de Kergouël, ministre des affaires étrangères du Duché de Galouèse.


Camarade, salutations.
Il est vrai que nous devons, face à la menace que représente désormais l'irrationnel et barbare gouvernement Translavique, agir en conséquence. L'union de circonstances que vous me proposez, et la coalition que vos représentants ont laissés entendre dans la presse n'est pas pour me déplaire, surtout face à une telle menace pour l'espèce humaine.
Je prends également note de votre proposition d'aide suite à la situation grave qui s'est profilé dans la centrale nucléaire de Klialine. Si nous ne pouvons pas, pour le moment, accepter une aide de traduisant par l'envoi de personnel qualifié, il se trouve que nous devons mettre fin à la situation le plus vite possible. Et pour cela, nous avons besoin de ressources, industrielles, matérielles... Tout ce qui est nécessaire pour mettre fin à la situation actuelle dans les plus brefs délais, nous le prenons.
Veuillez accepter l'expression de mes sentiments les plus distingués,

Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, secrétaire général de la Loduarie communiste
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À l'intention de Monsieur Gwetran de l'Hairdre de Kergouël.

Monsieur le Ministre,

J'ai lu la dernière déclaration du gouvernement de Gallouèse concernant la Translavya. Il est plus que clair et évident que la pouvoir translavique représente désormais une menace claire pour la stabilité eurysienne tout autant que pour le monde. Aujourd'hui, bien que Kölisburg n'apprécie franchement pas la Loduarie Communiste, il est plus qu'évident qu'il n'est pas question de politique mais plutôt d'une union forte, internationale et militaire contre un état qui ne cesse de franchir les limites. Si on peut toujours critiquer le tir de missile qu'a effectué la Loduarie envers la République Translavique, il est cependant clair que la Translavya en attaquant directement une centrale nucléaire loduarienne ne voulait pas seulement leur nuit, mais aussi nuit à l'Eurysie. Nous jugeons que son seul et unique but était de déstabiliser l'Eurysie dans une tentative désespérée de faire naître un sentiment de crainte et de peur contre la Loduarie et son incapacité à gérer une telle situation. Évidemment, la Loduarie n'est pas spécialement apte à gérer ce genre de situation et, à vrai dire, nous ne pouvons pas lui jeter la pierre. Quel pays serait réellement préparé à contrer une attaque surprise sur l'une de ces centrales nucléaires? Ceci dit, Kölisburg répond favorablement à votre appel qui a pour but de faire tomber le pouvoir translavique. Nous restons donc à votre disposition pour donner une suite à ce dossier.
Bien à vous,

𝘼𝙙𝙖𝙢 𝙃𝙚𝙞𝙙𝙚𝙣𝙗𝙤𝙧𝙜, 𝘾𝙝𝙚𝙛 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙙𝙞𝙥𝙡𝙤𝙢𝙖𝙩𝙞𝙚 𝙙𝙚 𝙆𝙤̈𝙡𝙞𝙨𝙗𝙪𝙧𝙜
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https://i.ibb.co/HqLgVb6/Diplomatie.png

À l'intention de Monsieur Gwetran de l'Hairdre de Kergouël.

Monsieur le Ministre,

Lors de mon dernier contact avec vous je voulais discuter avec vous de l'immonde attaque qu'a subit la Loduarie Communiste déclenchée par la Translavya, aujourd'hui, je vous apporte des nouvelles bien plus joyeuses. Il existe officiellement un seul monarque en Kölisburg mais il existe cependant quatre vices-monarques. Chaque vice-monarque dirige un des états-membres de Kölisburg. Tous les vices-monarques seront très prochainement couronnés en même temps que sa majesté le Roi Confédéral de Kölisburg Wilhem III. Pour cela, le Roi a choisit la date du 20 Janvier. Kölisburg a toujours remarqué la décence et la prestance avec laquelle le Duché de Gallouèse se conduit à l'international. Dans le monde, quand on discute du Duché de Gallouèse, il n'est pas rare de parler d'une diplomatie habile notamment dû à vos rapports cordiaux avec quasiment tous les pays indépendamment de leur politique ou de leur régime. Ainsi, nous aimerions voir le Duché de Gallouèse représenté en Kölisburg à Galgarde le 20 Janvier prochain pour qu'il puisse témoigner de ces qualités que possède le Duché.
Bien à vous,

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Expéditeur : Secrétariat Fédéral aux Affaires Étrangères.
Destinataire : Cabinet des Affaires Étrangères du Duché de Gallouèse.
Objet : Proposition d'enquête internationale.

À l’attention de Son Excellence, Monsieur Gwetran de l'Hairdre de Kergouël, Officier chargé de la Diplomatie du Duché de Gallouèse.


Cher Camarade ministre,

C’est avec urgence que je prends la plume dans le but d’écrire au Duché de Gallouèse, dont vous êtes la voix à l’international.

Comme vous l’avez probablement déjà remarqué, il y a eu très récemment un accrochage à la fin tragique entre un convoi aérien Sylvois et le navire amiral de la Marine Loduarienne : le croiseur Amiral Geraert-Wojtkowiak. Suite à cela, le Secrétaire Général de la Démocratie Communiste de Loduarie : le funestement célèbre Lorenzo Geraert-Wojtkowiak, a, dans une allocution, accusé le Duché de Sylva, qui comme vous le savez est un allié de la Fédération que je représente, d’avoir lancé les hostilités à l’égard du bâtiment Loduariens.

Dans ce contexte, le gouvernement fédéral de la Fédération des Communes Zélandiennes a pris la décision de lancer une enquête afin de faire la lumière sur cette affaire, et d’éviter un conflit, qui sera sanglant pour chacun des partis prenants ainsi que pour l’Eurysie de l’Ouest, par les jeux d’alliance qui s’enclencheront. Cette enquête, à laquelle la Fédération invite tout État neutre et démocratique à participer, aura donc pour but d’identifier le véritable agresseur, ainsi que de trouver des sanctions approprier, qui mettront d’accords l’État lésé tout en évitant un conflit et la justice par soi-même.

Je reviens maintenant sur un terme sur lequel j’aimerais appuyer tout particulièrement. Il s’agit du “neutre”. En suivant les dernières annonces diplomatiques ainsi que la presse internationale, vous remarquez que l’Organisation des Nations Démocratiques ne participera pas à ce projet, alors que cela pourrait-être son rôle. Pourquoi ? Pour la simple et bonne raison qu’il est de notoriété publique que l’Organisation et la Loduarie ont été plusieurs fois en désaccord. Le blocus Onédiens à l’encontre de la célèbre démocratie communiste et sa présence en Manche-Blanche est le dernier exemple en date. Cependant, les Communes-Unies de Zélandia, malgré le fait qu’elles soient, elles aussi, membres de l’O.N.D., ne font cependant pas partie du Conseil Militaire de cette dernière et se considèrent dans la frange plus pacifiste de l’Organisation. Par ailleurs, la Fédération que je représente est aussi membre de l’Internationale Libertaire, organisation dont une grande majorité de ses membres, à commencer par les Communes-Unies du Grand-Kah sont de nature socialisante. Le gouvernement dont je fais partie pense donc que Zélandia est assez légitime et neutre pour mener ce projet à bien, avec une objectivité la plus totale possible.

Mais si je vous contacte en ce jours, cela est parce que, avec mes camarades Secrétaires Fédéraux ainsi que le Secrétaire Général : Monsieur Siert Bruggink, nous pensons que le Duché de Gallouèse est, lui aussi, légitime dans cette mission Humanitaire de Justice et de vérité. Le Duché est un acteur majeur de cette région qu’est l’Eurysie de l’Ouest, arrivant à vivre dans une paix, toute relative, avec la Loduarie sans non plus se laisser “marcher sur les pieds”, si vous me permettez l’expression. Nous souhaiterions donc, ici à Blankenvoorde, que la Gallouèse participe avec la Zélandia à cette enquête, ainsi qu’à la sécurisation des lieux où s'est passée la tragédie ; le sauvetage des marins Loduariens encore en mer et leur rapatriement sans condition en Loduarie. Et enfin le rapatriement du croiseur Amiral Geraert-Wojtkowiak en Zélandia pour le bien de l’enquête ainsi que de son escorte dans le but de dissuader tout acteur hostile.

Par ailleurs, comme dit dans les communiqués de l’Organisation des Nations Démocratique sur la question, ainsi que le respect envers le gouvernement Ducal de Gallouèse m’obligeant à la franchise ; toute cette mission sera sous pavillon et commandement Zélandien. Néanmoins, nous mettons un point d’honneur à mettre chaque acteur sur une même ligne horizontale, comme le veulent la tradition et le droit Zélandien.


En attendant que cette missive vous parvienne, veuillez agréer de mes plus sincères et plus distinguées salutations.

Bien Cordialement,Giel Rutter.Signature
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Economic Index Eurysia.

Economic Index Eurysia est une agence de notation financière qui évalue la situation financière des pays eurysiens.
La Gallouèse a obtenu la note de B.
Pour en savoir plus : https://geokratos.com/?action=viewTopic&t=7917&p=0#m55690

Edouard Bastème, économiste et directeur de Economic Index Eurysia.
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Expéditeur : Secrétariat Fédéral aux Affaires Étrangères.
Destinataire : Cabinet des Affaires Étrangères du Duché de Gallouèse.
Objet : Accusé de réception.

En réponse à Son Excellence, Monsieur Gwetran de l’Hairdre, Ministre des Affaires Étrangères du Duché de Gallouèse.


Cher Camarade ministre,

Tout d’abord, sachez qu’ici à Blankenvoorde, nous comprenons le choix du Duché de Gallouèse et de son gouvernement d’assurer une neutralité totale quant au contentieux entre l’aviation du Duché de Sylva et la Marine de la Démocratie Communiste de Loduarie. Je clôturerai ce point, à moins que vous ne préfériez continuer à en parler, en disant que c’est justement cette neutralité de la Gallouèse, qui nous a poussé à vous faire cette proposition, afin d’atteindre une plus grande objectivité. Nonobstant, comme dit ci-dessus, nous comprenons votre décision, ainsi que les arguments avancés.

Il y a bien un point sur lequel je me permets d’insister : le sauvetage des marins Loduariens encore en mer et des pilotes Sylvois restants, s’ils sont encore vivants ; dans le cas contraire, le rapatriement des corps au Duché de Sylva.
Vous l’avez dit vous-même : les deux principaux acteurs sont parfaitement capables de mettre en place une ou des opérations de sauvetage. Seulement, le Duché de Sylva a récemment annoncé que la Loduarie avait récupéré l’un des trois pilotes Sylvois dont les chasseurs ont été abattus par le croiseur Amiral Geraert-Wotjkowiak. Ledit Duché a aussi informé vouloir que le régime Lorenzien rende son pilote et ne le garde pas comme “prisonnier de guerre” : propos qui pourrait signifier que, malgré les annonces du Secrétaire Général Lorenzo, son régime se considère déjà en guerre avec le Duché de Sylva. Ainsi, sur la question du sauvetage des naufragé, nous vous implorons à nous prêter main forte, afin d’éviter que la Loduarie ne mette la main sur les deux autres pilotes Sylvois, s’ils sont encore en vie ; ou bien que le Duché de Sylva n’ait l’idée d’agir comme le régime Lorenzien avec les marins Loduariens.

Mis à part cela, sur la question d’une médiation, nous sommes, nous aussi, ouvert à cette idée aux côtés du Duché de Gallouèse. Peut-être nos deux États devraient-ils faire une déclaration commune pour l’annoncer ? Concernant le lieux, le Conseil Exécutif a-t-il une idée d'où organiser cette médiation ? Ligert ou Blankenvoorde ? Nous pouvons l’accueillir, mais cela risque d’afficher à l’international un certain parti prit pour le Duché de Sylva, et non une image de neutralité.

Enfin, si cela peut vous rassurer, il n’est pas dans les habitudes de la Fédération d’imposer un droit, quelque il soit, le sien ou un autre. En mer ou sur la terre ferme, nous avons pris l’habitude de nous adapter aux droits locaux s’il y en a, ou bien de faire sans.


En attendant que cette missive vous parvienne, veuillez agréer de mes plus sincères et plus distinguées salutations.

Bien Cordialement,Giel Rutter.Signature
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Expéditeur : Secrétariat Fédéral aux Affaires Étrangères.
Destinataire : Cabinet des Affaires Étrangères du Duché de Gallouèse.
Objet : Accusé de réception.

À l’attention de Son Excellence, Monsieur Gwetran de l’Hairdre, Officier chargé de la Diplomatique au Conseil Exécutif du Duché de Gallouèse.


Cher Camarade ministre,

Concernant le sauvetages des marins Loduariens et des deux autres pilotes Sylvois, ou le rapatriement de leurs corps, nous concédons à avertir les deux partis de nos mouvement, notamment la Démocratie Communiste de Loduarie si cela permet d’éviter tous conflits inutiles. La politique Zélandienne quant à la mer est de ne pas reconnaître l’appropriation de cette dernière par des États, y compris la Fédération. Mais nous pouvons toujours faire des exceptions.

Au sujet de l’organisation d’une médiation, si cela permet de faire la lumière sur toute cette affaire, nous concédons, ici à Blankenvoorde, à accepter vos deux conditions. La Noardlike Fleet se retirera du Détroit de Caratrad, à l’entrée duquel l’incident du croiseur a eu lieu, et nous ne saisirons pas l’Amiral Geraert-Wotjkowiak.
Notre seul souhait est l’accès à tous les enquêteurs, y compris Sylvois, Gallèsant et Zélandiens, au croiseur, ses appareils de communications, ses radars et appareils de surveillance ainsi que ses journaux de bord. Mais ces conditions seront réitérées lors de la médiation avec les deux acteurs principaux de cette tragédie.


En attendant que cette missive vous parvienne, veuillez agréer de mes plus sincères et plus distinguées salutations.

Bien Cordialement,Giel Rutter.Signature
1068


ROTSTUBB VUM ÜSSLANDISCHA AEMT
(CABINET DU CONSEILLER AUX AFFAIRES ÉTRANGÈRES)
D'HANSIVOLKSGASS 17,
1001 LÖWENBRÜCK, HS
OSTARA


À l'intention de Gwetran de l'Hairdre de Kergouël, Ministre des Affaires Étrangères de Gallouèse


Cher homologue,

Nous avons la joie de vous adresser cette missive pour établir un premier contact entre nos deux nations et pour discuter de la possibilité d'un échange d'ambassades.

Le Duché de Gallouèse et la Confédération Monarchique d'Ostara partagent des frontières communes et nous croyons fermement que l'établissement d'une relation diplomatique solide entre nos deux États serait bénéfique pour nos intérêts respectifs et contribuerait à renforcer les liens amicaux qui nous unissent.

À cette fin, nous serions ravis de discuter des modalités de cet échange et de convenir d'une rencontre pour explorer les opportunités de collaboration qui s'offrent à nous. Nous espérons que cette démarche sera le début d'une relation diplomatique fructueuse et durable.

Nous nous réjouissons de l'opportunité de travailler ensemble et sommes impatients de recevoir votre réponse pour organiser cette rencontre.


Respectueusement,

L'Honorable Herbert Schmitt
Conseiller aux Affaires Étrangères
1293


ROTSTUBB VUM ÜSSLANDISCHA AEMT
(CABINET DU CONSEILLER AUX AFFAIRES ÉTRANGÈRES)
D'HANSIVOLKSGASS 17,
1001 LÖWENBRÜCK, HS
OSTARA


À l'intention de Gwetran de l'Hairdre de Kergouël, Ministre des Affaires Étrangères de Gallouèse


Cher homologue,

Nous sommes ravis de votre volonté d'ouvrir des relations diplomatiques avec nous.
Au vu de la situation géographique de notre Confédération, nous vous proposons l'ouverture d'une ambassade dans notre quartier des ambassades Eurysiennes de Löwenbrück et aussi, un Consulat Général afin que votre représentation puisse être aussi présente à vos frontières à Fort-Royal dans le Royaume de Brin.

Nous attendons par retour de missives une adresse afin d'établir notre représentation. Pour votre information, Monsieur, nous avons nommé Madame Camille Velare comme Ambassadrice. Sa famille a des racines gallèsante et a grandie proche de vos frontières. Diplômée de Sciences Politiques de l'Université Royale des Brins, Campus de Fort-Royal, elle as jusqu'aujourd'hui servie son pays comme adjointe au Ministère des Affaires Étrangères du Royaume de Brin.

Vous trouverez ci-dessous les locaux que nous vous cédons pour le mandat consulaire, merci de me transmettre aussi les noms de l'Ambassadeur et du Consul :

AmbaOstara a écrit : Ambassade du Duché de Gallouèse
Örisiagass 16,
1001 Löwenbrück, HS
Ostara

AmbaOstara a écrit : Consulat Général du Duché de Gallouèse
Rue de Ligert 7,
3003 Fort-Royal, BR
Ostara


Respectueusement,

L'Honorable Herbert Schmitt
Conseiller aux Affaires Étrangères
3249

Bureau du Maître du Grand Commerce et des étrangers

Ambassade velsnienne pour les nations libres des pays civilisés (Eurysie de l'ouest)


Drapeau

A son Excellence de l'Hairdre de Kergouël, ministre des affaires étrangères du Duché de Gallouèse le Patrice, le Sénat et le Conseil Communal de Velsna te salue.

Ministre de l'Haudre,

J'accuse réception de vos questionnements et me fait une joie de répondre au nom du Conseil Communal, ainsi que de son excellence Matteo DiGrassi à qui vous avez envoyé ce courrier. Ce faisant, je me ferai une joie de prendre le relais. En premier lieu, je tiens à vous remercier de l'attention que vous semblez porter à cette affaire.

Ensuite, il va de soi que les contours d'un tel accord seront définitivement fixés suivant les aspirations de ceux ayant répondu à cette invitation et s'étant rendu à cette conférence. C'est pourquoi j'estime devant votre intérêt manifeste, et avant même de vous expliquer notre point de vue quant à l'ébauche de ce qui sera cet accord, que vous avez toutes les raisons de participer à la dite réunion. Tout d'abord, cette présence ne se fait sur base d'aucune obligation préalable, et votre participation n'impliquerait pas automatiquement votre adhésion. Ceci se fera sûrement au cas par cas et suivant l'accord final. Mais en participant, vous pourriez faire pencher l'éventuel accord selon votre vision de ce dernier.

Quant à notre vision propre de cette "ligue" (terme qui nous utilisons de manière générique puisque non définitif), en voici les termes les plus précis que je puis vous donner à l'instant:
- A l'encontre de qui ce pacte prendrait effet ? Un tel pacte prendrait effet en cas de menace géo-stratégique majeure encourue par l'un de nos éventuels membres, c'est à dire dans la mesure où celui-ci serait sous la menace d'une organisation internationale contre laquelle l'offensé serait dans une position largement défavorable. Nous pourrions également appliquer ce principe à des pays agissant seuls, mais représentant une menace globale à l'encontre des principes énoncés dans la lettre qui vous a été adressée. En revanche, il n'est pas question pour nous de nous investir dans des conflits locaux qu'une négociation d'égal à égal pourrait amplement régler. Liberté à l'un de nos membres d'assister un autre dans une telle éventualité, mais je pense que cela se ferait davantage sur la base du volontariat dans ce cas de figure.
- Dans quelle condition ce pacte prendrait effet ? Il est évident qu'il sera nécessaire selon nous de nous parer à toute tentative de détournement des termes de cet accord par des nations peu scrupuleuses, et qu'il faut en fixer clairement les limites. Pour ce qui nous concerne, nous estimons qu'il serait bénéfique que cette alliance ne prenne effet que dans ces deux conditions précises:
. En cas d'attaque directe de l'un de nos pays membre par une nation tierce, le premier étant dans la position de l'agressé uniquement.
. En cas de menaces répétées manifestes et avérées par une nation tierce à l'encontre d'un pays-membre.
- Comment un membre pourrait activer cette clause de défense ? Nous pourrions décider du soutien d'une nation l'activant dans le cadre d'un vote, où nous jugerions ce cas suivant sa recevabilité. Il va de soi que dans un tel contexte, ce vote devrait toutefois être rapide pour répondre à l'urgence de la situation.

Pour finir, il serait de bon ton d'écarter de cette alliance des pays à la diplomatie instable et/ou jugée irresponsable et dangereuse pour les autres membres de l'alliance.

Cette réponse a t-elle satisfait toutes vos questions ?

En vous souhaitant une bonne continuation dans vos tractations commerciales,


Ainsi a été fait ce courrier à la date du 4 juillet 2014 par le sénateur et ambassadeur de la Grande République auprès des nations civilisées,
Vita Petroli.

862
en-tête


COMMUNIQUÉ DIPLOMATIQUE


BUREAU DE LA PRÉSIDENCE,
RÉSIDENCE OFFICIELLE,
DEMEURE JAUNE,
MONT-LAW, HAUT-DISTRICT,
SAINT-MARQUISE



À l'attention de Votre Excellence, Bastien II, Duc de Gallouèse, Héritier de la Couronne de Gallovant, Marquis de Draune et Comte Consort de Vallètez, commandeur de l'Ordre du Ruban Pourpre et de Celui de la Croix de Ligad,

Votre Excellence,
C'est avec un grand honneur de recevoir une missive d'une nation que la République de Saint-Marquise apprécie faisant partie de l'Union des Nations Indépendantes et Libres.
Je vous rejoins dans vos paroles disant que votre nation soit allié avec la nôtre.

Ce serait avec plaisir de vous accueillir sur le sol saint-marquois pour cette visite symbolique afin de pouvoir montrer notre attachement aux valeurs de l'Union.

En recevant cette missive, veuillez agréer, Votre Excellence, mes sincères salutations et qu'une amitié se créer entre nos deux nations.





sceau nationale
JOSHUA ANDREW CALEB
Président
De la République de Saint-Marquise
2332
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Son Excellence Duc de Gallouèse,Héritier de la couronne de Gallovan, Marquis de Draune et Comte Consort de Vallètez, commandeur de l'Ordre du Ruban Pourpre et de Celui de la Croix de Ligad,
Bastien II de Gallouèse,
Ligert, Duché de Gallouèse.

De la part de Son Excellence Souveraine du Royaume de Teyla,
Catherine III,
1 Rue des Faubourgs,
Manticore, Royaume de Teyla.



Son Excellence, Votre Majesté,

J'ai eu le plaisir de lire votre lettre qui m'était destinée. Vos observations concernant l'analyse des relations passées et présentes entre le Royaume de Teyla et le Duché de Gallouèse sont tout à fait justes. Des relations passées entre le Royaume et le Duché, nous pouvons dire et observer qu'elles intervenaient dans un contexte particulier pour nous tous. La tension régionale n'avait connu pareil emballement depuis plusieurs années, voire décennies. Les contacts réguliers entre les deux gouvernements n'étaient pas réguliers à l'époque, favorisant l'incompréhension parce que nos gouvernements dépendent de deux systèmes politiques et sociaux différents. Cette différence a pu être observée dans la volonté propre des gouvernements, mais aussi dans leurs analyses de la situation, bien que j'en sois persuadé, chaque gouvernement voulait le même but : la préservation de la paix en Eurysie de l'Ouest.

Les différences ne sont toutefois pas insurmontables, comme le montrent si justement nos échanges directs. Les différences idéologiques sur la politique internationale peuvent s'expliquer par l'histoire de nos deux pays, mais aussi par le contexte présent, me semble-t-il. Le Royaume de Teyla fait partie de l'Organisation des Nations Démocratiques, ainsi les différentes nations regardent le Royaume de Teyla en prenant en compte cet aspect de la diplomatie du Royaume. Nous pensons que cet aspect important empêche les nations extérieures d'être neutres envers le Royaume de Teyla.

Il y a plusieurs années, lors de ma tournée mondiale, vous m'avez reçu avec tous les honneurs. Cet accueil bienveillant, je ne peux l'oublier. Je peux vous affirmer que vous êtes le bienvenu au Royaume de Teyla. Je suis certaine que je puis entendre vos arguments quant à la neutralité d'une nation sur la scène internationale. Il serait injuste et immorale de vous refuser une visite auprès de la diaspora gallèsante. Je peux aussi vous confirmer que l'Assemblée nationale et la Chambre des Nobles, qui peuvent être réunis en Chambre Parlementaire Royale par moi-même pour l'occasion, acceptent d'entendre Votre Majesté.

Dans l'attente de votre réponse, veuillez agréer de ma très haut considérable Votre Altesse Royale.

Fait à Manticore le 03/08/2014

Catherine III,
Par la Souveraine du Royaume de Teyla.


Sa Majesté
Sa Majesté, Catherine III
717
Cher représentant des Affaires Étrangères

Je souhaiterais voir avec vous la possibilité d'une ambassade dans le royaume de Sochacia Ustyae Cliar. Nous serions honorés d'établir une ambassade avec votre noble pays et voyons en cette collaboration diplomatique un moyen de renforcer les liens entre nos deux nations.

Nous sommes convaincus que l'installation d'une ambassade dans notre pays et d'une ambassade Loclenasque dans le vôtre ouvrira la voie à une coopération bénéfique pour nos peuples respectifs. Nous souhaitons ardemment favoriser les échanges culturels, académiques et commerciaux entre nos nations pour un avenir commun prospère.

Dans l'attente de cette coopération fructueuse et durable, nous vous exprimons nos salutations les plus cordiales.

Cuo Nantgarw Carleone
Ministre des Affaires étranges d'UC Sochacia
2908
Département Fédéral des Affaires Etrangères


A l'attention de Son Altesse Bastien II de Gallouèse, Duc de Gallouèse,
Héritier de la couronne de Gallovan, Marquis de Draune et Comte Consort de Vallètez,
commandeur de l'Ordre du Ruban Pourpre et de Celui de la Croix de Ligad.



Monseigneur,

Permettez moi de brièvement de me présenter, je suis Catherine de Tocqueville-Masson, la Conseillère d'Etat Fédérale aux Affaires Etrangères du Lofoten. Je me permets également par la présente de vous transmettre les très chaleureuses salutations de Madame Gudrün Stefersøn, Chancelière Fédérale de notre nation, et de son gouvernement. J'en profite par ailleurs pour accuser réception de votre missive et de vous répondre sans plus d'attente par l'affirmative quant à votre requête de visite diplomatique sur notre sol.
Nous sommes enthousiastes à l'idée de vous faire découvrir notre pays, et sommes persuadés que les Lofotènes vous ferons bon acceuil et serons à la hauteur de la réputation d'hospitalité dont nous nous enorgeuillons.
Lors de votre visite, je ne puis que vous enjoindre à vous éblouir des paysages et merveilles naturelles de nos très nombreux parcs nationaux, si vous êtes sensibles à la majesté des fjords, lacs enneigés, et village de pêcheurs typiques ainsi que de tous les présents dont Dame Nature a très généreusement doté notre pays. Vous pourrez aisément vous promener et déambuler à votre guise et en toute aisance et sécurité au sein de nos villes et villages. Je ne puis qu'également fortement vous conseiller de déguster un Kannelbolle au sirop de bouleau (viennoiserie à la cannelle) dans l'une des terrasses de cafés de Port-Sainte-Anne ou bien vous laisser enivrer par les sons et lumières du Golden Square de notre capitale fédérale.

Je tiens également qu'au nom du gouvernement des Provinces-Unies, nous respectons tout particulièrement l'attachement du Duché de Gallouèse aux principes et valeurs républicaines qui sont les nôtres, et d'avoir toujours su œuvrer et naviguer avec objectivité, modération et indépendance au milieu d'un continent connu pour ses guerres incessantes, ses extrêmismes et sa violence perpétuelle. Pour cela gagez, monseigneur, du grand respect que nous témoignons eu égard au peuple et aux dirigeants du Duché de Gallouèse. Nous espérons sincèrement à l'avenir renforcer et entretenir davantage de liens entre nos deux pays.

J'apprécie également votre honnêteté et désir de transparence concernant les autres pays et dirigeants que vous allez contacter. Bien entendu nous sommes totalement conscients que l'art de diplomatie requiert de parler avec tout le monde, et particulièrement d'ailleurs avec ceux dont les politiques et gouvernements sont très éloignés du nôtre. Nous ne tiendrons aucunement rigueur, loin s'en faut, de votre volonté de soigner vos relations pacifiques avec d'autres pays contre lesquels nous avons été en conflit, bien qu'actuellement. Sachez qu'aujourd'hui le Lofoten est en paix et n'est impliqué dans aucun conflit de ce monde.

Je vous renouvelle les amitiés sincères du peuple lofotène et espère que votre séjour dans les terres nordiques du Lofoten vous laisseront des souvenirs émouvants et impérissables.

Bien cordialement



Catherine de Tocqueville-Masson


Catherine de Tocqueville-Masson,
Conseillère d'Etat Fédérale aux Affaires Etrangères
Provinces-Unies du Lofoten
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