14/06/2013
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Cabinet des Affaires étrangères - Page 6

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Chers Amis Gallésans,

Il est en effet vrai déconcertant que nous n'ayons pas d'ores et déjà une ambassade conjointe. Il n'y a aucune raison d'avoir honte cependant : c'est comme si c'était déjà fait !

Nous serons ravis de vous rencontrer, si possible chez nous, car Mme. la Présidente Fédérale effectuera bientôt son voyage nazuméen et on ne voudrait pas trop exploser le quota de voyages à l'étranger.

Au plaisir de vous voir à la date qui vous convient,

Mme. Pouzoles.
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A qui de droit,

Nous avons le plaisir de vous informer de la volonté de la Jurade de Sent-Julian d’établir avec votre pays des relations diplomatiques et consulaires. Cette démarche s'inscrit dans un souhait de renforcer les relations bilatérales et la coopération entre nos nations, conformément à la volonté unilatérale des assemblées saint-julianaises de s’ouvrir vers le monde.

Notre nation, bien que petite et d’une importance négligeable, demeure très ouverte, et souhaite développer de nombreuses relations à l’international, avec vous notamment. L’ouverture de représentations consulaires à l’étranger représente un coût conséquent pour un pays de notre gabarit, mais nous sommes certains que ces relations porteront leurs fruits aussi bien pour nous que pour vous. Notre position à l’international, absolument neutre de tout conflit, est une preuve s’il en fallait une de notre fiabilité en matière de relations bilatérales.

Nous espérons en outre que vous répondrez favorablement à notre missive, et attendons de tout cœur une ouverture bilatérale consulaire dans nos pays respectifs. Au-delà des intérêts économiques, nous avons à cœur de développer les échanges culturels avec vous, pour que nos enfants puissent découvrir le monde par-delà les frontières.

Nous attendons avec impatience votre réponse, qu’elle soit favorable ou défavorable à la présente lettre. Nous sommes prêts en outre à fournir toute l'assistance nécessaire pour faciliter ce processus.

Je vous prie d’accepter, Madame/Monsieur, l’expression de mes meilleurs sentiments.

Monsieur Pèire Durand,
Jurat délégué aux affaires internationales de la Jurade de Sent-Julian
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Cette déclaration a été relayé dans toute la Théocratie par le biais de l'unique chaîne radio, La Voix de l'Ange. Elle a été également transmise sur une onde radio internationale captable par les nations proches.


Mon Troupeau. Mes Brebis. Mes Juste. Comme je suis heureux de vous revoir !

Comme vous le savez, j'étais en pèlerinage pour faire la tournée des communautés forestières isolées et m'enquérir de leur santé physique et spirituelle. Je viens tout juste de fouler les rues de la cité d'Eden et j'apprend de graves nouvelles. Des Nations Iniques se pressent à nos frontières pour menacer le fragment terrestre d'Eden dont nous sommes les gardiens. Leurs machines polluent notre air. Leurs regards inquisiteurs viennent menacer le calme isolement de nos foyers.

Nous devons avoir peur. Mais nous ne devons pas nous sentir surpris. Tout cela a été prédit dans le Livre. Nous vivons la Période des Tribulations. Pleine de souffrances, d'injustices et de sacrifices. Souvenez-vous des Mots.

''Sans que vous ayez porté la main sur eux ou prononcer une malédiction à leur encontre, les Nations à vos frontières se dresseront contre vous et viendront menacer votre Nation et votre Terre.''

Nous devons endurer cette violation de notre souveraineté, mes Brebis, car l'homme fort ne pleure pas. Mais le Livre nous arme aussi contre de telles actions. La Nouvelle-Canaan est le dernier fragment de l'Eden de la Création et nous devons le sauvegarder à tout prix. C'est pour cela que j'ai pris une décision grave et lourde de sens.

Je lève l'Autarcie qui était notre quotidien depuis des siècles. Sachez, mes Justes, que ce discours est diffusé en ce moment même par une radio spéciale à longueur d'onde internationale. J'en invoque à la Foi et j'en appelle à la Bonté Humaine des nations voisines qui se rangent à la volonté de Dieu.

Gallouèse, Prima, Clovanie et autre Peuples Frères en Dieu qui gardent pour vous son Eden en appelle à votre Force. Venez à notre aide. Nation avide de justice, Peuple qui honnissaient les tyrans, venez à nous. L'heure est grave.
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Monseigneur Gwetran Langue-d'Argent.

Moi, Paul fils de Paul fils de Daniel, de la tribu de Massané, j'ai l'honneur de tenir votre lettre entre mes mains.

Votre respect de nos Traditions vous honore et sachez que ce même respect de nos choix fait que désormais, vous compterez au rang très menu de nos Nations Amies. Pour preuve de notre bonne volonté, sachez que les trébuchets, balistes et autre armes de sièges qui arment les Tours à nos frontières communes seront désormais désarmés. Voyez-y un geste de profonde amitié.

J'accepte donc votre demande avec fierté: nous allons dès lors aménager une aile du fort de la Porte des Kerubim pour y accueillir vos messagers et un de vos Chanceliers à temps plein, pour qu'il y officie comme ambassadeur entre nos deux nations. Il y est libre de venir avec jusqu'à huit hommes, peu importe que l'on parle de gardes ou de clercs. Nous vous prions cependant de ne pas venir accompagné de femmes. Il me faut également vous faire cette offre: si l'envie vous prends de devenir pour nous une Nation Sœur, sachez qu'il est possible de passer entre nos deux familles dirigeantes une alliance matrimoniale. Les liens du Sang sont pour nous sacrés.

Cependant, Monseigneur, sachez que nous ne pouvons accepter toute proposition de dialogue avec la Nation Tyranne de Loduarie. Cela est clairement préconisé dans notre Tradition qui fait force de Loi, car leur cœur est endurcie par le Démon et leurs langues manipulées par l'Ennemi.

Que cette missive vous trouve en état de Grâce.

Longue vie à vous.
Longue vie à votre famille ducale.

(Cette missive sera portée à qui de droit par un Pélerin. Le saint homme sera chargé de présents, des produits régionaux de la Nouvelle-Canaan: beignets de fleurs d'acacia, bocaux de miel rouge, perles de moule des rivières et une coupe à boire en or, digne d'un duc. La lettre sera rédigée en excellent latin, et calligraphiée)
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Amie Gallouèse, entends la voix de ton Amie Canaan;

Que notre amitié se sublime. Qu'il n'existe pas que de l'amour entre nos Nations, mais que nous partagions désormais le même Sang. La Famille Théocratique offre la main de la Princesse Yehudit la Juste aux Princes des Nations de Prima, Clovanie, Sylva, Gallouèse et Aquitagne. Le premier qui prendra cette main sera alors lié à nous par le mariage.

Que l'Ange survole tes terres, Amie.

Yehudit
(Portrait sur icone de bois de la Princesse Yehudit)
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carton d'invitation

Sa Majesté Augustina II invite votre administration et vos entreprises à apprécier notre projet MondoPoorte, le plus grand port du monde !
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En-tête


Son Excellence Vanwe Piotroff, Ministre des Affaires Étrangères,

Excellence,

Je vous adresse cette lettre au nom des États-Unis d’Aleucie pour exprimer notre désir sincère d’approfondir et de renforcer nos relations bilatérales avec votre pays respecté. Dans un esprit de coopération et d’amitié mutuelle, et dans le but de faciliter et d’améliorer les échanges diplomatiques, culturels et économiques entre nos deux nations, les États-Unis d’Aleucie souhaitent établir une ambassade dans votre capitale, Ligert.

Nous sommes convaincus que la présence d’une ambassade aleucienne sur votre sol constituera un pas important vers une compréhension mutuelle accrue et une collaboration fructueuse dans divers domaines d'intérêt commun. Elle servira également de point de contact essentiel pour nos citoyens résidant ou voyageant dans votre pays, renforçant ainsi les liens entre nos peuples.

Nous vous assurons que cette ambassade opérera dans le respect total de la législation et des coutumes locales, et qu’elle s’efforcera de contribuer de manière positive à la vie locale et à l’amélioration des relations entre nos deux pays.

En vue de concrétiser ce projet, nous sommes prêts à entamer les discussions nécessaires concernant les modalités de cet établissement, y compris les aspects liés à l'emplacement, à la construction, au personnel et aux opérations diplomatiques. Nous espérons que vous accueillerez favorablement cette demande et que nous pourrons avancer rapidement vers sa réalisation. Nous sommes impatients de travailler en étroite collaboration avec votre gouvernement pour faciliter ce processus.

Dans l’attente d’une réponse favorable de votre part, veuillez agréer, Votre Excellence, l'expression de mes salutations les plus respectueuses.

Cordialement,

Karl Müller, Secrétaire d'État

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Blason du Secrétariat Royal des Affaires Étrangères


Bryngaerdinas Pil, le 11 août 2012

A l'attention de Monsieur Gwetran de l'Hairdre de Kergouël, ministre des affaires étrangères du Duché de Gallouèse .

Excellence,

Un message envoyé par un certain M. Jérémy Flavier-Bourville a été porté à mon attention par les services de presse du Secrétariat. Après l'avoir lu avec toute l'attention requise, je tiens à remercier personnellement ce M. Flavier-Bourville de sa délicatesse ainsi que de sa discrétion. Ce communiqué de l'AGP n'a probablement pas été rédigé par le même département qui a relayé votre communiqué, ou il s'est en tout cas produit une erreur manifeste de communication. Qu'elle qu'ait pu être la part d'erreur attribuable au Secrétariat dans cette affaire, sachez que je m'en excuse par avance.

Nous n'avons, à ma connaissance, jamais employés la formule "régime-voyou", et il s'agit sûrement là d'une référence à une déclaration plus ancienne d'une autre démocratie à laquelle la Loduarie aura causée du tort, peut-être l'Alguarena, mais je vous avoue que la liste est suffisamment longue pour qu'on s'y perde. Quant à notre déclaration concernant les "coupables loduariens", je vous avoue ne pas comprendre en quoi elle diffère de celle de Madame Alcole Dienat, qui a appelé, si je ne m'abuse, "à sanctionner les coupables" de deux meurtres, si ce n'est assassinats. Je perçois néanmoins l'ambiguïté dont vous vous plaignez, et je vous assure personnellement que nous nous emploierons à clarifier ce point auprès de la communauté internationale.

Je regrette profondément, Excellence, que M. Jérémy Flavier-Bourville, parlant en votre nom et, je dois le considérer, avec votre accord, tienne pour "infondés" nos propos sur le gouvernement loduarien, auquel vous conviendrez toutefois qu'il est difficile d'associer les adjectifs "pacifique" et "démocratique". Néanmoins, je vous laisse examiner, en votre âme et conscience, de l'innocence présumée d'un régime réputé principalement pour massacrer les civils et, à l'occasion, ses opposants politiques. Il ne m'appartient assurément pas, après tout, d'assurer ici un magistère moral, ni de juger de l'association que certains qualifieraient de "curieuse" entre les antonymes "démocratie", "Loduarie" et "communiste".
J'attends avec impatience votre réponse aux questionnements soulevés dans le présent message, après quoi nous pourrons enfin rendre public notre erratum, sans froisser Son Altesse Ducale ou Son Gouvernement cette fois.

Vous saluant respectueusement, et
Vous priant de bien vouloir agréer l’expression de mes sentiments les plus distingués,
Le Très Honorable Secrétaire Royal des Affaires Étrangères,

Signature du secrétaire royal des affaires étrangères, le TH Padraig Cunningham


Sceau du secrétaire des affaires étrangères
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Foreign Affairs

Monsieur Gomez,

Nous avons bien reçu votre lettre exprimant votre incompréhension quant au refus d'accréditation pour la Conférence de Presse du Palais Libre de Muzeopoli, que nos expert-e-s constitutionnalistes ont étudié-e-s.

Nous nous excusons du délais au vu du nombres de procédures en cours. Nous comprenons votre préoccupation concernant la liberté de la presse et l'accès à l'information. Toutefois, nous tenons à souligner que notre politique d'accréditation est en place pour garantir que seuls les médias indépendants et non affiliés à des États non-prolétaires puissent assister à nos conférences de presse. Cette démarche vise à préserver l'intégrité des informations transmises et à éviter toute influence extérieure. De plus, c'est un cadre spécial qui est là organisée, nous invitons votre presse à demander des entretiens avec qui de droit ou d'interroger lors de sorties publics des mêmes personnes que vous souhaiteriez interroger.

Votre argument concernant les subventions du Duché de Gallouèse est noté. Cependant, même si celles-ci ne représentent qu'une partie limitée de vos recettes, elles demeurent une affiliation financière à un État non-prolétarien. Notre critère d'indépendance est strict afin de maintenir une presse libre de toute influence étrangère.

La garantie de la transparence et l'accès à l'information pour tous les citoyens sont des principes que nous défendons. Cependant, cela ne signifie pas nécessairement l'accès de tous les médias à nos conférences de presse. Nous encourageons plutôt les journalistes indépendants et affiliés à des médias prolétariens à participer activement. Vous avez en tant que médias étranger tout le loisir de pratiquer votre journalisme hors des cadres de cette conférence de presse qui a un tout autre objectif que celui de répondre à tous les journalistes.

Nous comprenons votre position, mais maintenons notre décision de refus d'accréditation pour cette conférence particulière. Nous restons ouverts à d'autres formes de collaboration et de discussion qui ne compromettront pas nos principes d'indépendance.

Pour toute question supplémentaire, nous vous encourageons à explorer d'autres canaux de communication ou à poser vos questions directement par le moyen de lettres officielles.

Veuillez agréer, Monsieur Gomez, l'expression de nos salutations distinguées.

Linéo Palèz,
Membre du Comité National Prolétaire,
Membre du Comité Populaire aux Doléances et au Respect de la Constitution & des Autonomies et du Pouvoir Souverain du Peuple.
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Lorenzo prit le combiné que lui tendait le secrétaire en face de lui, avant de le congédier d'un geste de la main. La Galouèse appelait ? Soit. Sûrement en rapport avec les tensions avec Teyla.

Allô ?
Ah, c'est donc vous, monsieur Farche. Bonjour à vous.
Je prends en compte votre motivation à faire descendre les tensions dans la région, initiative louable à laquelle nous adhérons, comme vous le savez.
Concernant Teyla, nous n'avons rien à nous reprocher. Ils ne font que hurler au loup pour la simple et bonne raison que deux civils sont morts à notre frontière commune, alors même que ceux-ci ont été aperçus en train de commettre un acte de terrorisme à l'encontre de notre nation, et que leur appartenance à la nation Teylaise n'a pas été confirmée, ni leur identité.
Je vous remercie aussi pour le soutien auquel vous nous faites preuve face aux nations qui hurlent en harmonie avec Teyla, toujours sans raison véritable.

Je n'ai pas l'intention de laisser une guerre éclater pour une telle broutille. Ce n'est pas dans notre intérêt, et de toute manière nous savons que nous n'auront aucun mal à les écraser si il le fallait.

Comme d'habitude, vous faites de plus honneur à votre réputation diplomatique, ce qui est louable. Sachez que si il devait y avoir des négociations concernant une fin des tensions, nous serions prêt à vous faire pleinement confiance pour en assurer la médiation, vu que celle qui a été assuré par Sylva ne semble pas donner de résultats. Rien ne vous empêche d'ailleurs de prendre l'initiative et de jouer les médiateurs dès maintenant, d'ailleurs.
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De : Jean-Louis Gaudion, Ministre des Affaires Étrangères du Royaume de Teyla.
A : À l'attention de Monsieur Gwetran de l'Hairdre de Kergouël, ministre des Affaires étrangères du Duché de Gallouèse.
Adresse : 11 Rue Elisabeth III, Manticore.



Votre Excellence,

Le Royaume est rempli de gratitude à l'égard de votre nation quant à la présentation de ses condoléances pour les victimes d'un meurtre commis par les autorités Loduariennes. Un acte perpétué qui ne peut rester impuni, le Royaume de Teyla a toujours prôné des valeurs de justice, de paix et de dialogue. Il continuera à le faire en lien avec ses partenaires.

Concernant les administrations teylaises prises en défaut, je vous prie de dire à quel événement vous faites référence. Toutes les décisions prises par le Royaume de Teyla sont réalisées en accord avec le droit international, la loi teylaise et en accord avec les personnes compétentes. Il n'y a aucune prise en défaut possible en nous basant sur ses critères légitimes. Au contraire des actes des autorités Loudariennes. Je tiens à vous rappeler, Votre Excellence, qu'actuellement notre ambassade est encerclée par les forces de sécurité loduariennes, sans qu'une justification n'ait été fournie au Royaume de Teyla. Cet acte met en danger la vie de nos diplomates ainsi que de notre très estimé ambassadeur sur place. Il est évidant que si l'ambassade viendrait à être pénétrée, cela enclenchera un acte sans précédent aux yeux du Royaume de Teyla. Je tiens à rappeler la mise en place de mines et barbelés, ainsi qu'un accroissement de la présence militaire Loduarienne à la frontière. Je rappelle que du côté Teylais, seuls des policiers sont présents à la frontière, afin de ne pas faire monter les tensions et d'éviter toute escalade.

Malgré tout ces actes, vous dites dans votre lettre, que le Royaume de Teyla ne recherche pas l'apaisement. C'est des paroles que nous réfutons et que nous trouvons discourtois au vu du contexte. Où est la recherche de l'apaisement quand la Loduarie masse ses militaires face à des policiers et des douaniers ? Où est la recherche de l'apaisement quand l'ambassade teylaise est encerclé de militaire, sans avoir fourni une raison, mettant en danger de mort chaque heure qui passe nos diplomates ? Comme si les deux morts n'ont pas suffi. À défaut d'apprendre des potentielles erreurs commises par les forces de sécurité de la Loduarie, celles-ci recommencent, pouvant amener encore une fois à des morts teylais.

Votre demande de médiation, rend perplexe le Royaume de Teyla. Vous accusez d'une part le Royaume de Teyla de ne pas chercher l'apaisement, alors que tous les actes du Royaume prouvent la recherche du dialogue et de la paix dans ce dossier. Cette accusation vous discrédite aux yeux du Royaume de Teyla pour le moment, notre position pourra être revue, selon les explications fournies par votre ministère. Sachez que pour l'instant, l'absurdité que nous voyons, est l'insulte faite envers la Fédération des Communes Zélandiennes. La Fédération des Communes Zélandiennes est une nation ayant une diplomatie développée et ayant une expérience passée pour la médiation. De plus, la Fédération des Communes Zélandiennes a l'amabilité diplomatique d'éviter les fausses accusations envers le Royaume de Teyla et la Loduarie Communiste. Toutefois, si la Loduarie refuse la Fédération des Communes Zélandiennes, nous prendrons acte et nous trouverons une nation médiatrice convenant aux deux nations. Si volonté de rencontre il y a du côté de la Loduarie Communiste, qui lors la dernière rencontre, a insulté à travers son chef d'état notre représentant. Je cite le représentant teylais : "Fermez la", de la part de son Excellence Lorenzo, envers la représentation officielle du Royaume de Teyla.

De plus il a appuyé sur le fait que la Loduarie utilisera la force brute partout où bon lui semble. Êtes-vous toujours d'accord avec votre affirmation qui dit que la Loduarie recherche l'apaisement et le Royaume de Teyla le contraire ?

À travers votre lettre, il est évidant que la crainte d'une escalade touche votre nation, nous ne pouvons pas vous le reprocher. Néanmoins, il n'y a point d'escalade. Le Royaume de Teyla n'a entamé aucune mobilisation de ses forces armées. Je rajoute qu'à ma connaissance, aucun membre de l'Organisation des Nations Démocratique n'a entamé une mobilisation de son armée.

En ma qualité de ministre des Affaires étrangères, j'espère que cette crise n'entachera pas nos relations diplomatiques, qui sont cordiales, mais je pris votre ministère de revoir certaines accusations qu'il porte ou sous-entend envers le Royaume de Teyla.

Dans l'attente de votre réponse, veuillez agréer mes sincères salutations.

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Oh que oui, je peux vous garantir qu'une enquête en bonne et dûe forme a étée menée envers les deux soldats impliqués dans cette affaire. Enquête que j'ai pu moi même observer.
Et vois devez savoir que personnellement, je traite assez sévèrement chacun de mes soldats. Si jamais il y avait eu bavure, ou autre chose, vous pourriez êtres sûrs que vous n'auriez pas entendu parler d'eux.
En l'occurrence, ils ont fait leur devoir et appliqué ce qui leur a été enseigné.
Ils n'ont rien à se reprocher.
Mais soyez sûr que j'ai personnellement fait attention à l'enquête.
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Euh. Pardon, mais là vous descendez dans mon estime, monsieur.
Tant que je serais vivant, et écoutez bien. Tant que je suis vivant, je ne cautionnerais aucune, mais bel et bien AUCUNE injustice, quelque que soit cette injustice. Il est hors de question que des soldats Loduariens, ou même tout simplement des Loduariens, aient à payer pour les exactions de quelques idiots Teylais, qui se sont dits que c'était une bonne idée de traverser la frontière illégalement pour déplacer un fichu panneau !
Donc non, jamais. Je vous le dis.
Et concernant la pression que nous appliquons, celle-ci se terminera un jour où l'autre.
En attendant, nous allons bien gentiment raccompagner leurs diplomates à la frontière. N'oublions pas que deux civils Loduariens ont étés arrêtés dans la capitale Teylaise sans aucune raison valable. Par simple racisme.
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Soit. Nous attendons le verdict final de la justice Teylaise, si vous y tenez. Mais si il s'avère que des Loduariens ont étés arrêtés sans raison valable, et que ceux-ci sont inculpés pour je cite, "terrorisme et espionage", nous prendrons de nouvelles mesures radicales. Car je peux vous le garantir par moi-même, après avoir consulté les dossiers des deux civils Loduariens : ceux-ci sont innocents.

Et oui, en cas de refus d'obtempérer, tout en ayant traversé la frontière illégalement, et ce munit de pelles, les forces Loduariennes sont autorisés, et même encouragés, à ouvrir le feu si la situation dérape en faveur des personnes interpellés au départ. C'est la dure réalité des choses, mais quiconque vient en Loduarie le sait et doit s'y soumettre.

Et je le répète. Personne ne sera radié de ses fonctions pour faire plaisir aux Teylais. Personne, et mon état-major pense la même chose. Est-ce clair ?
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De : Jean-Louis Gaudion, Ministre des Affaires Étrangères du Royaume de Teyla.
A : À l'attention de Monsieur Majëul Farche, Président du Conseil Exécutif du Duché de Gallouèse.
Adresse : 11 Rue Elisabeth III, Manticore.



Votre Excellence,

Permettez-moi, de commencer par le dernier point que vous évoquez. Le Duché de Gallouèse serait une nation neutre dans cette crise. À titre personnel, je ne crois pas en la neutralité dans une période de paix, dans laquelle nous sommes actuellement. Les théories des relations internationales acceptent la notion de neutralité seulement en cas de conflit, ayant une définition spécifique et pointue. Ici, vous réclamez de la neutralité n'est une qu'une posture. Uns posture afin de, vous réclamez ni ennemi ni allié des deux nations impliquées dans la crise diplomatique qui vous fait crainte une escalade.

Concernant, une potentielle escalade, le Royaume de Teyla, a refusé, un entraînement militaire avec les membres de l'Organisation des Nations Démocratiques, dans le but d'éviter une potentielle escalade. Mais il est évidant que si la Loduarie, ne fait aucun geste, c'est-à-dire n'allège pas son dispositif militaire à la frontière, n'arrête pas l'encerclement de notre ambassade et ne laisse pas l'accès libre à nos enquêteurs au sein de la Loduarie Communiste, nous reconsidérons cette option. Le Royaume de Teyla, ne peut pas laisser éternellement ses frontières sans surveillance, alors qu'une mobilisation armée a lieu du côté de la Loduarie Communiste, faisant crainte une invasion du Royaume de Teyla par la Loduarie Communiste à tout instant, de plus la mise en danger de nos diplomates. Je tiens à rappeler que lors du sommet de médiation, organisé par le Duché de Sylva, le leader de la Loduarie Communiste a dit à toutes les représentations, dont teylaises, qu'il croit plus qu'en a la force brute et n'a aucune crainte à l'utiliser.

Il est évidant qu'au vu des actes récents de la Loduarie Communiste, des prises de position de son dirigeant, le Royaume craint une invasion du Royaume de Teyla à travers une opération false flag, qui a pris forme à travers l'assassinat de deux citoyens teylais, sous de fausses accusations de terrorisme.

La Loduarie Communiste a commis un acte inacceptable et horrible, provocant elle-même une crise diplomatique. Elle refuse l'accès aux enquêteurs Teylais, encercle l'ambassade Teylais, et masse ses troupes à la frontière teylaise, tout cela après avoir menacé le Royaume de Teyla d'utilisation de la force brute. Le Royaume de Teyla fait tout pour là désescalade, quand la Loduarie fait tout le contraire. La patiente du Royaume de Teyla n'est pas infinie au contraire de sa demande de justice qui elle est infinie.

Lors d'un discours, le dirigeant de la Loduarie Communiste qualifie de broutille le meurtre de deux teylais. Ce qui est une insulte totale envers les familles des victimes et le Royaume de Teyla. Des paroles indécentes, faisant penser au Royaume de Teyla que la médiation ne mènera à rien. Tant que la justice Teylaise, ne pourra juger elle-même les coupables, après une enquête, alors le Royaume de Teyla, réclamera la justice.

Dans l'attente de votre réponse, je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Président du conseil, l'expression de mes salutations distinguées.

Signature
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