09/06/2013
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[AMBASSADE & AFFAIRES ETRANGERES] Contacter l'ONC

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Bureau international d'accueil de l’ONC

L’Organisations des Nations Commerçantes est une organisation de droit international qui promeut une volonté internationale à sauvegarder la liberté des peuples, fondés sur les principes de la démocratie, des libertés individuelles et du libre-commerce global. Le bureau d’accueil international reçoit les doléances diplomatiques, les candidatures ainsi que les requêtes pour le statut d’observateur. L’accueil est à la charge de la Présidence de l’ONC.

(En cas de candidature pour le statut d’observateur, merci de préciser le nom de l’état-membre parrain ainsi que vos motivations vis-à-vis du commerce international.)
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Candidature à l'ONC des Empires-Unis de Bérégost


Ce 11/02/2007 à 03 heures 25 heure internationale,

L'Empereur Marcus Mucius "Le Grand" a émis le souhait de rejoindre l'Organisation.

Après discussions auprès des conseillers de différentes institutions, comme le Conseil des Patriarches ou celui des Plabès, il a été voté à la quasi-unanimité(2 abstentions au parlement) l'émission d'une candidature à une place d'état membre de l'ONC.

Bien évidemment, cela s'inscrit naturellement dans la ligne diplomatique de Bérégost et la volonté d'extension du commerce de Bérégost.

Trop souvent replié sur lui même, le commerce de notre nation millénaire n'a su atteindre les objectifs commerciaux fixés et, malgré une libéralisation de l'économie, entrepreneuriat Bérégostien reste conservateur et pas assez inventif sur le sujet commercial.

Ainsi, nous avons l'honneur de vous présenter notre candidature à une position d'état membre de l'Organisation des Nations Commerçantes.

L’exécutif des Empires-Unis de Bérégost
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Note administrative : Les candidatures sont gelées jusqu'à l'élection de la première présidence de l'ONC.
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Note administrative : L'accueil est désormais à la charge de la Présidence de l'ONC détenue par l'Alguarena.
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Ceci est un communiqué officiel du gouvernement fédéral maktois transmis par le ministère des affaires étrangères.
La République éternelle vaincra !


Candidature de la République Fédérale de Makt

Nom : République Fédérale de Makt
Régime politique : Démocratie représentative, République
Parti au pouvoir : Parti Libéral
Chef du gouvernement : Peter Van Manlor


Messieurs, mesdames,

C'est avec la plus grande joie que j'écris cette lettre et qu'elle vous parvienne. Nous demandons l'adhésion de la République dans l'ONC. C'est après une mûre réflexion, de débats au parlement, de discussions avec d'autres chefs d'états, que la demande d'adhésion a été approuvée au Parlement Fédéral. Il s'agit d'un grand jour pour la démocratie, Makt souhaitant augmenter son nombre de partenaires commerciaux et de tisser des liens avec des pays qui lui ressemble.

L'industrie maktoise ne cesse de se développer chaque jour, l'entrée dans l'organisation profitera à tous. Personnellement, il s'agit la pour moi d'un très grand accomplissement politique de voir que nous sommes à un fil de faire part de cette entité politique, nous mettrons en avant des idéaux de paix et de liberté en Eurysie du Nord. En effet, la stabilité de l'Eurysie du Nord est remise en cause par de multiples menaces, Makt a longtemps lutter pour ne pas sombrer dans les ténèbres, elle a perdue des hommes, beaucoup de sang est tombé. Mais un nouveau chapitre, une nouvelle ère apparaît à l'horizon : nous ne sommes plus seuls. Nous ne sommes plus seuls à refuser le totalitarisme, la contrebande, le terrorisme, la haine...

En entrant dans l'ONC, l'histoire de toute une région peut se réécrire pacifiquement grâce à la liberté, au commerce, à la paix.

Veuillez bien recevoir mes sincères salutations.

Peter Van Manlor, Premier Ministre de la République Fédérale de Makt




LA RÉPUBLIQUE ÉTERNELLE VAINCRA !
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République du Vogimska

République du Vogimska


Le 14 avril 2008, Vologiyev.

La République du Vogimska, parrainée par la République Fédérale de Novigrad, dépose officiellement sa demande d'adhésion à l'Organisation des Nations Commerçantes.

Depuis les évènements du Prodnov et le changement de camp du Vogimska, autrefois pro-Albi et désormais pro-ONC, la République du Vogimska fait face à une pression permanente du Conseil de Sécurité Nord-Eurysien réunissant l'Union Albienne et la Lutharovie. La seule force présente dans la région capable de tenir tête au Conseil de Sécurité Nord-Eurysien est sans contestation l'ONC. Il est à rappeler que l'ONC est présente en Eurysie du Nord grâce à l'action du Vogimska, profondément anti-communiste et pro-démocratie.

La menace est d'abord terroriste, principalement ce qui est appelé au Vogimska le 'terrorisme rouge' faisant référence au terrorisme communisme. Généralement financés par le Conseil de Sécurité Nord-Eurysien et en particulier la Lutharovie, ces organisations terroristes agissent partout sur le territoire Vogimskan semant la terreur et le désordre. L'ONC au Vogimska, ça signifie la réduction des actions terroristes rouges, étant donné que l'ONC tient tête au Conseil de Sécurité Nord-Eurysien, ce dernier réduira considérablement, voire totalement son financement des organisations terroristes.

Le territoire national de la République du Vogimska est menacé. La Loduarie a menacé à plusieurs reprises le Vogimska d'actions militaires sur le sol Vogimskan, par le biais de son allié le Reylos. Les deux nations sont amies du Conseil de Sécurité Nord-Eurysien, les effets évoqués précédemment s'appliquent sur ce cas de figure.

La République du Vogimska se développe lentement, notamment sur le plan économique depuis la chute du régime communiste en 2005. La faute en particulier à une mauvaise gestion par l'ancien dirigeant Volomyr Kazantsev, qui a allié le nouveau Vogimska aux nations néfastes du Nord comme le Pharois Syndikaali. L'Organisation des Nations Commerçantes est une opportunité pour le Vogimska de développer son commerce et son économie.

Gloire à l'ONC, bénie soit la Démocratie.


Je vous prie d'agréer l'expression de mes salutations distinguées.



Cordialement,
Igor Vychedkevitch, Responsable des affaires internationales, membre du Gouvernement de la République du Vogimska.
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Fait à Aumérine le 25 mai 2008

A qui de droit

Madame, Monsieur,

Le Reinaume d'Aumérine, profondément attaché à ses valeurs, souhaiterait par la présente, recouvrer sa pleine et entière souveraineté. Notamment celle qui lui octroie la liberté de commercer comme bon lui semble sans avoir à en être sévérement jugé pour cela.

En effet, cette "idéologie" si souvent mise en avant par l'ONC, par le biais de sa charte et sans pour autant la nommer, ne correspond en rien à l'idée que nous nous faisons du commerce qui, selon moi, doit demeurer apolitique afin que persiste un monde multipolaire, et avec lui, la stabilité ainsi que la paix.

Estimant ainsi avoir été trompé puis salit par les retombées médiatiques couvrant le conflit du Prodnov, pour d'ambitieux desseins qui ne sont pas inscrits dans la Charte de l'ONC, je vous demande de bien vouloir radier le Reinaume d'Aumérine de la liste des membres de l'ONC et de m'en accuser réception une fois cela fait.

Cordialement.
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Com

Par la présente, le triumvirat de la Tripublique de Manche Silice soumet une demande d'adhésion à l'Organisation des Nations Commerçantes. Les échanges économiques occupent une place centrale dans la péninsule de l'Ostremont. L'histoire millénaire de nos peuples constitutifs témoigne d'un attachement au commerce équitable (au sens de la juste rétribution de la vente de marchandises et de services).

Plus des trois-quarts de nos 517 milliards de produit intérieur brut provient du commerce de biens produits en Manche Silice. Notre modèle agricole nous permets à la fois de nourrir notre population (céréales, fruits et légumes, production laitière, bovins, ovins et porc) et d'exporter le surplus. L'économie fluviale et maritime représente un autre poste de recettes importantes (fret, pisciculture, culture d'algues et pêche). L'agroforesterie, l'industrie minière et la sidérurgie complètent nos domaines d'expertise. Nous prônons une intégration plus grande de nos Etats, une politique commune sur la fiscalité de l'import-export ainsi qu'une harmonisation des réglementations pour faciliter l'accès réciproques au marché.

Nous tenons à préciser, d'emblée, que nos produits se positionnent sur le segment du haut-de-gamme voire du très haut-de-gamme et sommes opposés à toute pratique de dumping social ou économique

Carmenita Azafran Maiora Incarnados
Arkadi Ksiaz Staroste Tchenkov
Vittorio IV Podestat Landrin
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CABINET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES DE LODUARIE


Lettre à l'attention des autorités de l'Organisation des Nations Commençantes.
Salutations à vous, capitalistes et libéraux. Je pense pas que vous ne vous faites de faux espoirs, nous ne sommes pas là pour vous annoncer que la Loduarie est devenue tout à coup amicale à votre égard et que nous sommes prêts à adopter votre système impérialiste.
Mais je ne vous contacte pas pour des prunes et vous parler de choses improbables. Je vous contacte pour faire une réclamation. Il se trouve que depuis un certain temps déjà, des citoyens Loduariens sont maintenus prisonniers. Ceux-ci n'ont toujours pas pu rentrer en contact avec leurs familles ni revenir en Loduarie. Vous l'aurez deviné, il s'agit des équipages de nos avions humanitaires que vous avez détournés pour servir votre cause.
Ceci est une requête de notre part : nous demandons le retour de l'intégralité des citoyens Loduariens présents au Prodnov occupé par L'ONC.
Vous vous demanderez sûrement : mais pourquoi ferions nous cela ? Nous avons la réponse.
Il se trouve que environ une centaine de ressortissants Lofotens sont sur notre territoire. Conformément à notre politique actuelle, ceux-ci ont étés placés à résidence surveillé. Nous sommes prêts à leur laisser leurs libertés. Mais uniquement si nos équipages nous reviennent le plus tôt possible. Pensez aux familles des ces pauvres citoyens qui se sont vus êtres séparés.
Veuillez accepter l'expression de mes sentiments les plus distingués,

Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, secrétaire général de la Loduarie communiste
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A notre chère amie,
A Madame Sarai Panomyaong, Présidente de l'Organisation des Nations Commerçantes,


Il est des nouvelles qui réchauffent le cœur et en ce dur mois de février, au Syndikaali, ma matinée me fit l’effet d’un printemps précoce. Comme on s’extasie à raison devant l’arrivée des premiers bourgeons et le recul du froid, je me félicite de voir l’hiver derrière nous.

Votre victoire, madame Panomyaong, est un symbole fort pour le monde entier. C’est le triomphe de la paix sur la guerre, du dialogue sur la force, de l’intelligence sur la bêtise. Nous étions nombreux à nous désoler de voir la tournure qu’avait pris l’ONC ces dernières années sous la direction de la précédente présidence, devenant assez vulgairement l'instrument d’ouverture aux forceps des marchés de l’armement au profit de l’Alguarena. Provoquer la guerre pour écouler des armes, manœuvres bien connue, mais manœuvre de brigand.

La candidature et désormais victoire d’une ligne plus ouverte au dialogue ramène – du moins nous est-il permis de l’espérer – l’ONC dans le camp des institutions fréquentables. Bien sûr, le Syndikaali n’ignore pas qu’il reste beaucoup de chemin à faire pour se départir de cette réputation de coalition d’Etats voyous qui collait à la peau de l'organisation, en raison de la présence malheureuse d'une poignée de pays outrageusement bellicistes. En cela, votre accession à la présidence est un premier pas vers un retour en grâce, et non des moindres, aux yeux de la communauté internationale. Le Jashuria, et les nations s'étant portées garantes de sa victoire, montrent que la faction la plus va-t-en guerre de l'ONC n'était finalement qu'une minorité bruyante au sein d'un collège de pays raisonnables.

A ce titre, sachez que le Pharois Syndikaali et – sans aucun doute – les nations du Liberalintern, seront heureuses d’engager à vos côtés un processus de normalisation de nos relations, entachées par l’impérialisme flagrant de quelques moutons noirs. Il me semble que le monde a tout à gagner à prendre le chemin d’une ère de paix et de prospérité collective. Nous avons déjà trop à faire avec les conflits régionaux pour nous engager dans des tensions internationales, non seulement vaines, mais également dangereuses.

A ce sujet, il me tarde d’évoquer avec vous la question de monsieur Boris Koshetchkine qui s’obstine à afficher un mutisme malheureux, non seulement pour les relations jusqu’alors parfaitement cordiales entre les Pharois et les Vogimskans, mais également pour son économie. Ce n’est pas de gaîté de cœur que les nations de l’océan du nord ont fait le choix de mettre le Vogimska au banc de leurs routes commerciales, mais nous ne pouvons tolérer l’autoritarisme, l’arbitraire et le racisme qui attisent la rancœur et font le nid des conflits à venir.
Le souhait des Pharois est tout entier tourné vers la pacification, le libre commerce et la circulation des êtres humains. Nous pensons qu’il n’est de fraternité entre les peuples qui ne se construise et c’est dans le temps long, dans les échanges culturels, linguistiques, politiques et économiques que se bâtissent des relations fortes, forgées à l’épreuve des paniques morales et des angoissants récits d'exclusion et d'isolement.

De fait, nous ne pouvons que déplorer les mesures prises par monsieur Boris Koshetchkine visant à éloigner Pharois, Lutharoviens ou encore Kah-Tanais (qu’ont-ils dont fait pour mériter pareil amalgame ? tous les gens raisonnables se le demandent encore) du brave peuple vogimskan, et cela au nom de critères ethniques qui nous rappellent les pires heures de la Transblêmie.
Par ailleurs, les sanctions imposées au Vogimska ne sont plaisantes pour personne, seule l’impérieuse nécessité de défendre les nôtres les impose. Du reste, le Syndikaali n’a pas vocation à taper sur les doigts de tous les adeptes de la ségrégation raciale du monde entier, nous ne faisons pas de leçon de morale.
Je pense que sous votre gouvernance, madame Panomyaong, ce délicat petit accrochage pourrait se régler de manière parfaitement diplomatique, ce qui soulagerait assurément tout le monde.

S’il vous était possible d’intercéder en notre faveur envers monsieur Boris Koshetchkine, ou mieux, de le convaincre de sortir de son mutisme pour entamer des pourparlers, vous feriez notre bonheur, et marqueriez sans aucun doute d’un geste fort votre début de mandat.

Au plaisir de vous lire, et en vous adressant une nouvelle fois toutes mes félicitations,

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Bien à vous,
Capitaine Mainio,
Ministre des intérêts internationaux du Pharois Syndikaali
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A l'attention des États membres de l'Organisation des Nations Commerçantes

Chers amis de l'ONC,
Je me présente, je suis Leone Vaillancour, Directrice du Conseil de la République Fédératrice de Youslévie, et je vous écris en ce jour afin de vous faire part solennellement de la candidature de la RFY à votre organisation.

Depuis des décennies, et même des siècles, la Youslévie n'a cesser de vouloir commercer et de faire régner la justice dans le monde, vous vous souvenez sans doute des marchands et explorateurs qui ont parcouru le monde à la recherche de terres inexplorées ou de la puissance jadis de notre belle nation sur la scène internationale.
Cependant, de nombreux évènements tragiques ont fait basculer notre démocratie dans la peur et le sang au cour de ce que nous appelons "la Décennie Perdue". Depuis, nous tentons de nous reconstruire et d'à nouveau faire valoir les valeurs qui sont les nôtres, et qui figurent d'ailleurs sur notre devise, la Justice et l'Harmonie.
Pour cela, nous estimons qu'une adhésion au sein de l'Organisation des Nations Commerçantes ne peut-être qu'une bonne idée.

Une admission à l'ONC serait une opportunité inespérée pour notre pays de revenir dans la cour des grandes nations et d'occuper une place qui est la sienne au sein du monde, la Youslévie est en effet à l'heure actuelle la dix-huitième nation au vue du classement du Produit Intérieur Brut et risque de rapidement atteindre des sommets.
Les marchés qui s'ouvriraient à notre pays pourraient nous permettre de nous développer encore plus et la capacité de frappe et de dissuasion de l'Organisation nous permettraient encore une fois de faire valoir et progresser nos valeurs, qui sont aussi les vôtres, partout sur le globe.

Vous aussi, membres de l'ONC, avez de grands intérêts à voir la Youslévie intégrer votre organisation.
Vous pourrez en effet profiter d'un marché en plein essor mais tout de même enclin aux aides étrangères et des produits de fabrication youslève, notre industrie étant réputée pour sa fabrication de textile et nos campagnes connues pour leurs élevages d'ovins leurs cultures de céréales.
De plus, un allié de notre poids est toujours bon à avoir de son côté. Alors certes, nous ne faisons pas partie du cercle très fermé des grandes puissances mondiales, et en sommes encore loin, mais nous avons tout d'une puissance émergente. Et au vue de l'instabilité de notre continent, l'Eurysie, il est toujours bon d'avoir un ami de plus dans ce continent.
Enfin, nous avons déjà eu des contacts avancés avec certains des membres de l'ONC. Nous pouvons citer Fortuna ou Saint-Marquise, avec qui la Youslévie a liée des liens forts. De plus, presque toutes les nations présentes ici possèdent déjà une ambassade à Sedjan, notre capitale, signe de bonnes relations n'est-ce pas ?

Pour finir, je tenais à dissiper une potentielle inquiétude quant à la situation à la frontière youslévo-kronienne.
Rassurez-vous. Le sanguinaire Baldassare Calabraise a ordonné il y a peu le retrait de ces troupes la frontière séparant Kronos de la Youslévie.
Cette décision vient grâce à une gestion de la situation que je peux qualifier de pragmatique et raisonnable de la part de Monsieur Heran Romeretegui, mon prédécesseur, et de moi même. Je n’omet évidemment pas l’aide précieuse de la Sérénissime dans cette affaire.
La situation en Youslévie est donc définitivement calme et propice aux échanges.

Je vous laisse donc maintenant examiner notre candidature en espérant , tout en étant convaincue, que vous prendrez la décision adéquate.

Avec tout le respect et l’amitié de l’ensemble du Conseil de la République Fédératrice de Youslévie.

Leone Vaillancour
Directrice du Conseil de la RFY
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presidenceRLP


À l'attention de Madame la Présidente Sarai Panomyaong, ainsi qu’aux dignitaires et honorable représentants de l'ONC,


Grâce à l'aide et au soutien des républiques et démocraties du monde libre, dont vous êtes les plus illustres représentants, notre nation le Prodnov et les nombreuses aspirations sociétales souhaitées pour ce dernier se sont soldées par la scission politique de notre territoire initial, suite à une révolution populaire couronnée de succès, mais victime hélas dans le même temps de l'invasion sournoise de ses voisins de l'Union Albienne, profitant du chaos ambiant pour obtenir des gains territoriaux.

Comme vous le savez, ce découpage territorial, bien que douloureux et qui a défiguré les frontières ancestrales de notre pays, a été un sacrifice nécessaire pour éviter une guerre d'envergure à grande échelle.

Un projet défendu par toutes les parties prenantes, y compris par les agresseurs albiens, comme le seul gage de stabilité et de paix durable pour cette région eurysienne en effervescence.

Pourtant, en dépit de l’accord formel établi entre les parties Accord de paix entre la RLP et l'Union Albienne et de la définition territoriale faite au Prodnov, désormais partagé sous trois entités politiques distinctes, la gouvernance de la République de Peprolov et les autorités administratives lutharoviennes de Galkovine, ont unilatéralement violé et remis en question les clauses du dit accord, en fusionnant les deux territoires sous une seule entité politique nouvelle sous le nom de République Sociale du Prodnov, en violation complète des Accords de Paix suscités.

À ce changement de statut politique et territorial, rompant sans concertation les termes de l’accord de paix souscrit par les nations de l’Union Albienne et par les membres de l'ONC ayant permit à la concorde et à la prospérité de s'installer, la République Sociale du Prodnov s’est également offerte le droit d’émettre des revendications fantaisistes et totalement illégitimes Revendications de l'espace maritime de la RLP sur la souveraineté maritime de la République Libre du Prodnov.

Manifestement, tout porte à croire que les parties prenantes jadis signataires de l’accord de paix ne se considèrent plus tenues par les termes de celui-ci, et nous interprétons ces soudaines revendications sur un territoire qui ne leur appartient pas comme une provocation calculée par la RSP dans le but de fournir une justification à une nouvelle agression de leur part, voir à nous déclarer la guerre.

En effet, il n'aura échappé à personne que les deux territoires séparés de la RSP n'usent de ce feint prétexte pour déclencher une nouveau conflit voir une nouvelle invasion de la RLP, dans le but d'unifier et de former une seule et unique entité, qui ne pourra s'acquérir que par des annexions territoriales, celles des régions nord de la RLP.

C'est une réalité géographique.

Afin de prévenir ce terrible scénario d'une nouvelle guerre d'annexion, probablement souhaitée par sa puissance tutélaire plutôt que par la RSP elle-même qui n'est qu'un de ses nombreux vassaux , nous sollicitons à nouveau l'aide et le soutien militaire, logistique, financier voire même moral de l'ONC.

La seule chose qui maintient encore le très fragile espoir de paix et l'actuel statu quo au Prodnov, face à l'ogre impérialiste pharois, est le refus et la peur qu'ont les Albiens d'un affrontement direct avec les armées de l'ONC.

J'ose croire que votre fantastique puissance et force militaire combinée est la seule chose ayant encore permis à ce jour de retenir ou retarder ce funeste projet.

Je vous supplie, je vous implore même, au nom de la liberté et de la démocratie, de nous aider à défendre notre souveraineté, et les acquis de la Révolution d'Octobre. Si vous ne voulez pas nous envoyer des troupes, envoyez-nous au moins du matériel, des armes, des équipements, que l'on ait les moyens de nous défendre avec honneur et dignité.

Si les démocraties abandonnent le Prodnov Libre, ce dernier ne sera bientôt plus qu'un souvenir et rejoindra la liste des territoires tributaires et assujettis, et les Albiens établiront à Staïglad un régime fantôche, sur le modèle Peprolovite. Et ces mois, ces années même à obtenir des investissements, des progrès sociaux, et des libertés fondamentales, ils seront définitivement perdus, et tout cela, tous ces efforts et sacrifices n'auront servi à rien.

Dans l'attente et l'espoir de retours positifs de votre part,


Magdalena Sireskaya Магдалена Сирская, Présidente de la République Libre du Prodnov


Sireskaya
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CABINET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES DE LODUARIE

Lettre à l'attention de Madame Sarai Panomyaong, présidente élue de l’Organisation des Nations Commerçantes.
Madame Sarai Panomyaong, je ne pense pas que discuter avec vous par nos canaux diplomatiques actuels est une bonne chose. Je n'ai franchement pas non plus l'envie de vous écrire, je préfère vous parler du sujet qui nous touche de vive voie.
En tant que Secrétaire Général de la Loduarie communiste, et provisoire Dictateur Militaire de la Loduarie Communiste, je vous invite à Lyonnars en Loduarie Communiste, le plus tôt possible. Prenez un avion dans la minute si besoin.
Je pense qu'une rencontre entre L'ONC et la Loduarie se fait urgente.
J'attends votre réponse.
Veuillez accepter l'expression de mes sentiments les plus distingués,

Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, secrétaire général de la Loduarie communiste
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CABINET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES DE LODUARIE

Lettre à l'attention de Madame Sarai Panomyaong, présidente élue de l’Organisation des Nations Commerçantes.
Madame Sarai Panomyaong, je prends acte de votre décision de ne pas me répondre. Je pense avoir compris le message. Voici donc mon message à votre intention.
Un jour, quand vous entendrez le son de l'artillerie vous réveiller le matin, vous comprendrez. Un jour, quand vous tenderez la main à une jeune fille que vous venez de sauver du viol, vous saurez. Un jour, quand vous verrez une école remplie d'enfants être rasé par un tir de lance-roquettes multiples, vous ressentirez. Un jour, quand vous verrez votre meilleur ami allongé sur le champ de bataille, vous apprendrez. Un jour, quand la personne que vous aimez tellement que vous auriez souhaité avoir une belle et longue vie commune avec elle mourra dans vos bras en ayant le temps de souffler "je t'aime" dans son dernier souffle, vous changerez.
Vous saurez alors tout de la guerre et des souffrances qu'elle afflige.
Amusez vous bien avec votre guerre. Envahissez, soumettez, contrôlez. Mais si vous décidiez de lancer une opération militaire contre le Prodnov, ne tentez même pas de vous approchez de mon peuple. Nous avons un monde à reconstruire, bien loin de vos idéaux.
Veuillez accepter l'expression de mes sentiments les plus distingués,

Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, secrétaire général de la Loduarie communiste
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en-tête



COMMUNIQUÉ DIPLOMATIQUE


BUREAU DE LA PRÉSIDENCE
RÉSIDENCE PRÉSIDENTIELLE,
LA DEMEURE JAUNE
MONT-LAW
SAINT-MARQUISE


1er AOÛT 2009


À l'attention de Madame Sarai Panomyaong, Présidente de l'Organisation des Nations Commerçantes.

Madame la Présidente,
C'est avec un regret que je vous fait parvenir le retrait immédiat de la République de Saint-Marquise en tant que membre de l'ONC.

Suite à un référendum effectué le 23 juillet et des preuves qui montrent que l'organisation n'est plus ce qu'elle était.
La République ne peut pas rester dans une alliance qui, au lieu de la diplomatie, prône pour la force militaire pour parvenir à ses fins, cette action n'est pas conforme à notre politique.

Et pour terminer, le Premier Conseiller ainsi que moi serions toujours prêts à discuter avec les membres de l'ONC afin d'éviter un incident diplomatique.

En recevant notre réponse, veuillez agréer, Madame la Présidente, mes sincères salutations.





sceau nationale
ISABELLE DEPREY
Présidente
De la République de Saint-Marquise
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