Nationalité : Burujoise (Ymlasienne)
Portrait :
Nom complet du penseur : Nasu Katsukane
Dates de naissance et de mort : 11 mars 1865 - 20 mai 1939
Activités : Diplomatie, Politique, Professorat, Linguistique, Lexicographie, Escrime au sabre, Essayisme,
Mouvements de pensée : Bushido universel, Impérialisme burujois,
« Religions » : Hanaoïsme et Bouddhisme zen
Influencé par : Bushido, Zen, Chan, Chamanismes, Animismes, Cultures burujoises, Mercantilisme,
Courte biographie :
Né le 11 mars 1865 à Karaimu en Ylma, Nasu Katsukane (1865-1939) était un érudit, diplomate, maître d'armes et éducateur burujois particulièrement connu pour son œuvre majeure intitulée Bushido: l'Âme de l'Empire Éternel. Né dans une famille de samouraïs, Katsukane développa un profond intérêt pour les cultures, les traditions et les valeurs de l'Empire Burujoa dès son plus jeune âge. Katsukane étudia à l'Université Impériale de Karaimu et obtint son diplôme en 1886, avant de partir pour Vomogorod pour poursuivre ses études supérieures. Il obtint un doctorat en économie politique et en droit international. Son séjour eut une grande influence sur lui, l'exposant davantage à la pensée occidentale au travers des couches slaves de la société vomogorou et lui permettant de développer une vision plus globale. Après son retour en Ylma, Katsukane occupa plusieurs postes importants dans le gouvernement et le système éducatif burujois. Il servit en tant que directeur dans une école prestigieuse de Karaimu et fut nommé secrétaire des Affaires agricoles au Département de l'Agriculture. Il travailla également en tant que conseiller diplomatique, contribuant d'abord à renforcer les relations des différentes régions entre elles puis à renforcer les relations du Burujoa avec d'autres États.
Cependant, c'est grâce à son ouvrage Bushido: l'Âme de l'Empire Éternel publié en 1998, que Katsukane acquit une renommée internationale. Ce livre, d'abord écrit en ymlasien classique, fut largement traduit et diffusé dans le monde entier, aidant à mettre par écrit le code de conduite du bushido pour le reste de l'empire et façonner l'image du samouraï dans les imaginaires étrangers. Dans cet ouvrage, Katsukane explora les principes éthiques et moraux du bushido, le code d'honneur des samouraïs. Ce dernier souligna l'importance des valeurs telles que la loyauté, le courage, l'honneur, la sincérité et la bienveillance. Il chercha à expliquer comment ces valeurs influencèrent la société et la mentalité nippo-ymlasienne puis une partie du Burujoa, ainsi que leur pertinence dans un monde moderne en proie à l'évolution. Katsukane aborda également le concept de la dualité dans le bushido, soulignant comment les samouraïs devaient équilibrer leur rôle de guerriers avec un comportement pacifique et humaniste. Il souligna que le bushido était non seulement un code de conduite martial, mais aussi une voie spirituelle et philosophique pour cultiver la vertu et rechercher la perfection de soi. Son œuvre fut bien accueillie à l'époque, offrant une perspective unique sur la culture nippone, particulièrement ymlasienne, et suscitant l'intérêt pour la compréhension mutuelle entre l'Est et l'Ouest. Bushido: l'Âme de l'Empire Éternel contribuaé à établir Katsukane comme un érudit respecté et un ambassadeur culturel du Burujoa. Il poursuivit ses efforts pour promouvoir la compréhension interculturelle tout au long de sa vie et fut actif dans des organisations internationales visant à favoriser la coopération et la compréhension entre les nations. Nasu Katsukane décéda le 20 mai 1939 à soixante-quatorze ans, laissant derrière lui un héritage durable en tant qu'intellectuel et éducateur contribuant à la promotion des cultures burujoises et à la recherche de la compréhension mutuelle. Sa vision du bushido continue d'influencer la perception du Burujoa contemporain et contribue à forger une compréhension plus profonde des mentalités burujoises et de ses traditions. Son œuvre, aujourd'hui largement reprise et amplifiée, permit à certains de ses fils spirituels d'établir le code du bushido dans d'autres cultures non-nippo-ymlasiennes de l'Empire Burujoa, même au-delà, comme en Maronhi avec la large diffusion du code dans les cultures autochtones-maronhos de la forêt vierge.
Résumé de sa pensée : Nasu Katsukane soutenait que les valeurs fondamentales du bushido, telles que l'honneur, la loyauté, la sincérité, le courage et la bienveillance, étaient des qualités universelles qui transcendent les frontières culturelles. Il croyait en la capacité du bushido à inspirer et à guider les individus dans leur quête de vertu et de développement spirituel, indépendamment de leur origine ou de leur contexte culturel. Selon lui, les enseignements du bushido ont une portée universelle en raison de leur caractère intemporel et de leur pertinence dans toutes les sociétés humaines. Il considérait que les valeurs du bushido, en encourageant le respect de soi et des autres, en promouvant l'intégrité morale et en mettant l'accent sur la responsabilité personnelle, étaient des principes essentiels pour la construction d'une société éthique et harmonieuse, et que par conséquent, il se devait d'être le ciment de l'identité burujoise et de l'empire. Il est important de souligner que Katsukane ne prétendait pas que chaque culture devait adopter le bushido dans son intégralité, mais plutôt que les principes et les valeurs fondamentales qu'il mettait en avant étaient universellement applicables et pouvaient être intégrés dans différents contextes culturels et philosophiques. En promouvant l'universalité du bushido, Katsukane cherchait à établir des ponts entre les différentes cultures et à encourager le respect mutuel et la compréhension interculturelle dans un empire multiethnique. Il estimait que le partage des valeurs du bushido pouvait contribuer à la construction d'un empire plus uni et soudé.
Pour Katsukane, le bushido était bien plus qu'un simple code de conduite pour les guerriers. Il le considérait comme un système de valeurs qui pouvait apporter des enseignements précieux à toute personne, quel que soit son statut social. Katsukane croyait que les principes du bushido, tels que la loyauté, le courage, l'honneur, la bienveillance et la sincérité, étaient universels et pouvaient ainsi être portés par le Burujoa pour être ensuite appliqués dans tous les aspects de la vie des régions de l'empire. L'un des aspects essentiels du bushido selon Katsukane était la notion de loyauté. Il considérait la loyauté envers son seigneur ou son supérieur comme une valeur fondamentale, mais il soulignait également l'importance de la loyauté envers ses principes et ses convictions. Katsukane affirmait que la loyauté était la base de l'intégrité personnelle et de la cohésion sociale. Le courage était un autre aspect central du bushido pour ce dernier. Il le définissait comme la capacité de faire face aux défis et aux difficultés avec bravoure et détermination, mais il soulignait également que le vrai courage résidait dans la maîtrise de soi et la capacité à contrôler ses émotions, ce pour quoi il s'attachait également à recommander la pratique du zen. L'honneur était également une valeur clé du bushido pour Katsukane. Il considérait l'honneur comme la quête constante de la vertu et de l'intégrité morale. Pour lui, l'honneur impliquait l'adoption d'une conduite juste et droite, même dans les situations les plus difficiles. Enfin, pour lui, la bienveillance et la sincérité étaient des valeurs étroitement liées. Il croyait que la bienveillance envers les autres et la sincérité dans ses actions et ses paroles étaient essentielles pour cultiver des relations harmonieuses et pour promouvoir la paix sociale.
La dualité la plus frappante dans le bushido était pour Nasu Katsukane celle entre la vie et la mort. Les guerriers se conformant au code, jusque-là tacite pour beaucoup, étaient constamment confrontés à la possibilité de la mort, car ils devaient se préparer à combattre et à donner leur vie pour leur seigneur ou pour leur cause. Cependant, dans cette acceptation de la mort, ils trouvaient une force intérieure et une intensification de leur engagement envers l'honneur et la loyauté. Une autre dualité importante était celle entre la violence et la bienveillance. Ces guerriers étaient entraînés à la violence et à la maîtrise des arts martiaux. Cependant, Katsukane soulignait que cette maîtrise ne servait pas seulement à causer des dommages, mais également à protéger les faibles et à préserver la paix. Les guerriers du code devaient donc équilibrer leur capacité de destruction avec un profond sens de compassion et de bienveillance envers les autres. Il considérait également que le bushido exprimait une dualité entre la discipline et la liberté. Les samouraïs étaient soumis à un strict code de conduite et à des règles précises, mais cette discipline leur offrait une voie vers l'accomplissement et la liberté intérieure. En embrassant cette discipline, ils trouvaient une structure qui leur permettait de se réaliser pleinement en tant qu'individus. Une autre dualité soulignée par Katsukane était celle entre la tradition et l'adaptation. Les samouraïs étaient profondément enracinés dans les traditions anciennes, mais ils devaient également s'adapter aux changements du monde qui les entouraient. Katsukane considérait que cette capacité d'adaptation était essentielle pour la survie et la pérennité du bushido, tout en préservant l'intégrité de ses valeurs fondamentales. Enfin, Katsukane abordait la dualité entre la force et la délicatesse. Ces guerriers étaient puissants et résolus, mais ils cultivaient également une sensibilité artistique et une appréciation pour la beauté et l'esthétique. Il soulignait ainsi que la véritable force ne résidait pas seulement dans la puissance physique, mais aussi dans la capacité à apprécier la subtilité et la délicatesse du monde qui les entourait.
Œuvres : Zen et Bushido, le tonnerre et l'éclair (1893); Bushido: l'Âme de l'Empire Éternel (1898); Recueil lexicographique aïnou de Vomogorod (1902); De l'enseignement du Code (1911); De l'adaptabilité du guerrier en toute terre (1918); Le meilleur des guerriers est désarmé (1925); Carnets de voyages en terres du Code (1934);