08/07/2013
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[Penseurs] Les Traditionalistes (Ouvert à tous) - Page 2

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Nationalité : Xineman

Portrait :
Portrait de Gong Guiying

Nom complet du penseur : Gong Guiying
Dates de naissance et de mort : Vers 777 - Entre 845 et 855
Activités : Enseignement, Méditation, Guidance spirituelle,
Mouvement de pensée : Chán,

« Religion » : Bouddhisme chán
Influencé par : Mahāyāna, Taoïsme, Confucianisme, Bouddhisme cathayen,

Courte biographie : Né vers 777 en un lieu inconnu du Xinemane préburujois, Gong Guiying était un maître bouddhiste influent du courant chán. Il fut surtout connu à son époque, et l'est encore pour de nombreux Burujois, pour son enseignement sur la nature de l'esprit et de la réalité ultime. Il entra très jeune dans les ordres monastiques et devint moine dans un temple réputé. Il consacra de nombreuses années à étudier les textes bouddhistes classiques et à pratiquer la méditation en divers lieux de la région. Sa quête spirituelle le conduisit finalement au temple de Baizao où il rencontra le maître chán Ye Lei, célèbre pour son approche directe et souvent provocatrice dans l'enseignement du Dharma. Gong Guiying devint alors son disciple et plongea profondément dans l'étude de la tradition chán sous sa direction. Après la mort de Lei, Guiying continua à approfondir sa compréhension de la voie du chán. Il voyagea à travers le monde cathayen pour étudier avec d'autres grands maîtres et développa sa propre approche unique de l'enseignement. Finalement, il revint au Xinemane et s'installa dans le temple de Rong où il commença à enseigner activement à ses disciples. Il était réputé pour sa grande sagesse et son style d'enseignement direct et non conventionnel. Il insista sur la nécessité de transcender la dépendance aux mots et aux concepts pour accéder à l'essence de l'éveil. Ses enseignements mettaient l'accent sur la nature pure de l'esprit, dépassant les distinctions entre le bien et le mal, l'existence et la non-existence, et insistaient sur l'importance de la pratique de la méditation pour réaliser cette vérité.

Le célèbre recueil d'enseignements Recueil des enseignements Gong Guiying, est un ouvrage central de la littérature chán tardive, paru au XVIIe et retranscrivant les enseignements de Guiying transmis par voie orale. Dans ce texte, il guide ses disciples à travers des dialogues stimulants et des paraboles éclairantes pour les aider à comprendre la nature de l'esprit éveillé. Il souligne souvent l'importance de la pratique intuitive et directe pour transcender les conceptions ordinaires et saisir la réalité ultime. L'influence de Guiying s'étendit étendue au-delà de son vivant, et son enseignement exerça une profonde influence sur le développement ultérieur du bouddhisme zen en Ylma, puis en Jinu, courant directement adapté du chán. Les enseignements de Gong Guiying furent transmis par le moine Qiu Ah, fondateur des écoles de zen en Ylma. Aujourd'hui encore, les enseignements de Guiying continuent d'inspirer et de guider les pratiquants des bouddhismes chán et zen dans leur quête d'éveil et de compréhension profonde de la réalité ultime.


Résumé de sa pensée : Au cœur de la pensée de Gong Guiying se trouve l'enseignement de la nature de l'esprit éveillé, qui est intrinsèquement pur et illuminé. Il insiste sur le fait que chacun possède cette nature éveillée dès le départ, mais que nous sommes aveuglés par les illusions et les attachements qui nous empêchent de la reconnaître. Selon lui, la pratique du chán consiste à réaliser directement et intuitivement cette nature éveillée, au-delà de toutes les pensées et concepts. Pour Guiying, l'esprit éveillé ne peut être atteint par l'intellect ou la raison, car la réalité ultime dépasse toute conceptualisation. Il encourage ses disciples à transcender les dualités de l'esprit, telles que le bien et le mal, le sujet et l'objet, pour atteindre une compréhension directe et immédiate de la réalité telle qu'elle est. Cette pratique intuitive est souvent symbolisée par le très célèbre "coup de bâton" donné par celui-ci à ses disciples pour les éveiller à la réalité ultime. Pour Gong Guiying, l'éveil ne dépend pas de l'étude des sutras ou de l'accumulation de connaissances intellectuelles. Il rejette fermement toute approche dualiste de la spiritualité qui sépare le pratiquant de la réalité ultime. Il enseigne que l'éveil est réalisé par une pratique directe et immédiate, sans dépendre des mots et des concepts. Il exhorte ses disciples à abandonner leurs conceptions et à plonger directement dans la réalité sans intermédiaire.

Un autre aspect important de la pensée de Guiying est son insistance sur la nature non abstraite de la réalité ultime. Il déclare que la véritable nature de l'esprit éveillé est "ni vide, ni non-vide", transcendant toute dichotomie. Pour lui, la réalité ultime ne peut être saisie par les catégories de la pensée conceptuelle et ne peut être décrite que par des négations. Cette compréhension profonde de la réalité ultime l'amène à rejeter toutes les méthodes et les pratiques basées sur les calculs et les spéculations intellectuelles. Il déclare que "le Dharma est au-delà de toutes les pratiques et de toutes les réalisations", soulignant ainsi que l'éveil est au-delà des efforts et des accomplissements de l'esprit conditionné. Il insiste sur le fait que l'éveil ne peut être atteint que par une pratique directe et non conditionnée. En suivant sa logique, la pratique du bouddhisme chán consiste à revenir à l'esprit éveillé originel, qui est présent en chaque être. Il enseigne que cet esprit éveillé ne peut être trouvé nulle part ailleurs que dans l'instant présent, dans l'expérience directe de chaque moment. Il exhorte ses disciples à abandonner toutes les conceptions et à vivre pleinement chaque instant sans attentes ni désirs. Ainsi, il enseigne également fondamentalement que l'éveil est un état constant qui transcende les fluctuations de l'esprit conditionné. Il encourage continuellement ses disciples à ne pas être attachés aux hauts et aux bas de l'expérience, mais à rester fermement ancrés dans la nature éveillée qui est immuable et inébranlable.

Œuvres : Communication de l'esprit (Date inconnue); Recueil des enseignements Gong Guiying (1654, transcription tardive de traditions orales);
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Nationalité : Xineman

Portrait :
Portrait de Qiu Ah

Nom complet du penseur : Qiu Ah
Dates de naissance et de mort : Vers 784 - Vers 852
Activités : Patriarcat bouddhiste, Enseignement, Méditation,
Mouvements de pensée : Chán,

« Religion » : Bouddhisme chán
Influencé par : Mahāyāna, Bouddhisme cathayen, Lui-même,

Courte biographie : Né vers 784 dans une famille pauvre de Shoudu, au Xinemane préburujois, Qiu Ah, parfois reconnu comme le Sixième Patriarche, est une figure emblématique des bouddhismes chán et zen. Il est considéré comme l'un des plus grands maîtres de cette tradition et joua un rôle essentiel dans son développement aussi bien au Xinemane, qu'en Ylma puis Jinu. La vie de Qiu Ah est enveloppée de légendes et d'histoires populaires, mais sa contribution au bouddhisme est incontestable selon la recherche historique. Il perdit son père à un jeune âge et grandit dans la pauvreté et l'obscurité des quartiers de la ville xineman. Il ne reçut d'éducation formelle et dû travailler dur pour subvenir à ses besoins. Qiu Ah serait même, aussi bien selon les histoires populaires que la recherche historique, demeuré analphabète tout le long de sa vie. Selon la tradition, un jour, alors qu'il vendait du bois dans une ville voisine, Qiu Ah entendu un moine réciter un verset du Sutra du Diamant, originellement composé en sanskrit. Ce verset le frappa au cœur et éveilla en lui un profond désir de poursuivre la voie du bouddhisme. Il décida alors de se rendre au monastère de Gengxin pour rencontrer celui étant parfois considéré comme le Cinquième Patriarche des bouddhismes chán et zen, Cao Ning. Une fois arrivé au monastère, Qiu Ah fut admit comme novice et commenca à mener une vie monastique dévouée. Cependant, il ne fut pas accepté par les autres moines en raison de son humble origine et de son manque d'éducation. Il fut alors assigné à des tâches ingrates et privé d'étudier les enseignements bouddhistes. Un jour, le Cinquième Patriarche décida de choisir un successeur parmi ses disciples et annonca un concours de poésie. Il écrit un verset sur un mur et invita les moines à ajouter un second verset pour démontrer leur compréhension de l'esprit éveillé. Lorsque Qiu Ah entendit parler du concours, il sut qu'il ne pouvait rivaliser avec les autres moines en termes d'éducation et de connaissance des sutras. Mais, croyant comprendre la nature de l'esprit éveillé, il écrivit le poème suivant :

« L'esprit éveillé est fondamentalement vide,
Où pourrait-il y avoir de la poussière ?
Fondamentalement propre, où pourrait-il y avoir de la souillure ?
Ne cherchez pas l'esprit éveillé à l'extérieur,
La nature originelle est toujours claire et pure. »


Ce poème impressionna le Cinquième Patriarche, Cao Ning reconnut alors la sagesse et la profonde compréhension de Qiu Ah. Il proclama celui-ci comme le Sixième Patriarche et lui donna le manteau et le bol d'aumône du patriarche. Après avoir reçu la transmission du Dharma, Qiu Ah quitta le monastère et commença à enseigner le bouddhisme chán dans différentes régions, d'abord au Xinemane, puis, curieusement, vers les terres d'Ylma, de l'autre côté de la mer, où il fit naître la branche zen. Tout comme d'autres avant lui, sa manière d'enseigner était directe et non conventionnelle, il encourageait ses disciples à réaliser directement l'esprit éveillé au-delà des mots et des concepts. Qiu Ah fonda la Grande école de chán à Shoudu, sur les ruines des quartiers malfamés qu'il fréquentait enfant, et qui deviendra plus tard l'une des principales écoles du bouddhisme chán du monde cathayen. Il attira également de nombreux disciples, dont certains devinrent eux-mêmes des maîtres éminents de la tradition.


Résumé de sa pensée : La pensée de Qiu Ah mettait l'accent sur la pratique directe et immédiate pour réaliser l'éveil. Il rejetait l'attachement aux sutras et aux enseignements écrits, soulignant que la vérité ultime ne pouvait être saisie par les mots et les concepts. Il exhortait ses disciples à chercher directement dans leur esprit pour découvrir leur nature bouddha innée. Pour lui, l'éveil était accessible à tous. Il disait souvent : « L'esprit éveillé est ordinaire, rien de spécial. Si vous cherchez l'esprit éveillé, vous ne le trouverez jamais. Si vous ne le cherchez pas, c'est là. » Cette approche radicale s'appuyait sur la pratique intuitive et la compréhension directe plutôt que sur l'apprentissage intellectuel. Qiu Ah insistait sur le fait que l'éveil n'était pas quelque chose à atteindre, mais plutôt quelque chose à réaliser ici et maintenant, dans notre expérience quotidienne. Il utilisait des méthodes d'enseignement variées pour aider ses disciples à se libérer des limitations mentales et à accéder à l'éveil direct. Il était connu pour ses expressions provocatrices et ses déclarations énigmatiques qui remettaient en question les conceptions erronées de ses disciples. Qiu Ah souligna également l'importance de la pratique de la méditation, ou zazen, pour calmer l'esprit et développer la clarté mentale. Cependant, il mettait en garde contre l'attachement à la méditation comme un moyen d'atteindre l'éveil, car il considérait que l'esprit éveillé était déjà présent en chacun de nous.

Œuvres : Recueil des sutras du Sixième Patriarche (1637, transcription tardive de traditions orales);
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Nationalité : Burujoise (Ymlasienne)

Portrait :
Portrait de Riko Murai

Nom complet du penseur : Riko Murai
Dates de naissance et de mort : 18 mars 1888 - 23 juillet 1961
Activités : Écriture, Calligraphie, Histoire, Philosophie politique,
Mouvements de pensée : Impérialisme burujois, Panzenisme,

« Religions » : Hanaoïsme et Bouddhisme zen
Influencé par : Zen, Confucianisme, Nationalismes nazumis,

Courte biographie : Née le 18 mars 1888 à, en Ylma, au Burujoa, Riko Murai était une éminente écrivaine, philosophe et penseuse politique du XXe siècle. Elle joua un rôle clef dans le développement de l'idéologie impérialiste burujoise ainsi que du « panzenisme ». Sa vie dut marquée par son engagement envers les idéaux de l'Empire Burujoa et son désir de voir les peuples nippons d'abord, puis les peuples dits « parcourus par le zen », s'unir pour résister à un « impérialisme occidental d'enfant agité ». Riko Murai grandit dans une famille de jizamouraïs modestes, soit de nobles guerriers paysans. Très tôt, elle fut influencé par les enseignements zen et confucéens de son grand-père, qui ont contribué à façonner sa vision du monde et sa conception du devoir envers la société. Elle poursuivit ses études à l'Université de Karaimu, où elle s'est intéressée aux idéologies nationalistes et impérialistes ainsi qu'au pannipponisme, qui étaient en vogue à l'époque.

En 1914, Murai fonda la revue littéraire Rokkaku, qui devint rapidement un forum important pour les écrivains et les intellectuels burujois de l'époque. La revue promut une idéologie impérialiste et contribua à la formation de la pensée politique de Riko Murai. À travers ses écrits et ses discours, elle plaida en faveur de l'impérialisme burujois et du renforcement de l'identité burujoise, d'abord burujoise nazumie au travers du zen, face à l'influence croissante de l'Occident. Au fil des années, Riko Murai développa une vision politique mettant l'accent sur l'importance de l'Empire fort et centralisé pour garantir la sécurité et la prospérité du Burujoa. Elle prôna également un impérialisme cherchant à promouvoir les divers cultures et les valeurs de l'empire tout en rejetant l'influence étrangère. Pour Murai, l'indépendance culturelle et la résistance à l'impérialisme occidental étaient essentielles pour que le Burujoa puisse se hisser au rang des grandes puissances mondiales. En parallèle, Riko Murai était également une fervente partisane du panzenisme, un mouvement qui prônait l'unité et la solidarité entre les peuples, principalement de l'empire, du fait d'une spiritualité et d'une culture zen plus ou moins partagée, face à l'impérialisme occidental. Elle croyait que d'autres États, notamment nippons, ou anciennement des colonies burujoises comme la Maronhi, devaient s'unir pour protéger leur souveraineté et leur identité culturelle face aux ambitions coloniales des puissances occidentales. Murai chercha à promouvoir cette idée à travers ses écrits et ses discours, espérant voir le zen se lever en tant que force unie dans le monde, portée par l'Empire Burujoa.


Résumé de sa pensée : Pour Riko Murai, l'impérialisme burujois est une idéologie politique et expansionniste qui repose sur l'idée que l'Empire du Burujoa, en tant qu'empire puissant et avancé du continent nazumi, a le devoir de s'étendre et d'exercer son influence sur d'autres régions du pour les préserver de l'Occident. Elle estime que cette expansion territoriale est essentielle pour la prospérité et la sécurité des États, ainsi que pour promouvoir les valeurs culturelles. Pour les partisans de l'impérialisme burujois comme Murai, l'expansion territoriale est aussi perçue comme un moyen de garantir l'accès aux ressources naturelles, aux marchés commerciaux et aux matières premières, ce qui est essentiel pour la croissance économique de l'Empire, favorisant une meilleure protection des régions du fait de la mise en commun des ressources et des moyens. Elle considérait également que l'expansion territoriale renforcerait la puissance et le prestige de l'Empire sur la scène internationale, affaiblissant de ce fait l'Occident. L'idéologie de l'impérialisme burujois est également accompagnée d'un sentiment de supériorité spirituelle de l'Empire Burujoa par rapport aux autres nations.

Le panzenisme est une idéologie politique et culturelle inventée par Murai elle-même, qui prône l'unité et la solidarité entre les peuples parcourus par le bouddhisme zen. Le terme "panzenisme" provient de la combinaison des mots "pan" (qui signifie "tout" en grec) et "zenisme", mettant ainsi en évidence l'idée d'une unité globale basée sur une spiritualité et une culture communes, celles du zen. Murai croyait que certaines populations partageaient une spiritualité profonde et une culture commune à travers le bouddhisme zen, qui pourrait être un puissant vecteur d'unité et de force pour un certain nombre d'États. Pour elle, le panzenisme était une réponse à l'impérialisme occidental, qui menaçait l'identité culturelle et la souveraineté des peuples. Elle considérait que les nations devaient s'unir pour résister à ces ambitions coloniales et protéger leur patrimoine culturel. L'idéologie du panzenisme met l'accent sur l'importance de préserver les traditions culturelles, principalement nazumies, en particulier celles inspirées par le bouddhisme zen. Elle considère que ces traditions ont le pouvoir de renforcer les liens entre les peuples asiatiques et de créer une identité commune. Le panzenisme encourage également la coopération économique et politique entre les États concernés, afin de promouvoir leur développement mutuel et de renforcer leur position sur la scène internationale. L'unité prônée par le panzenisme vise également à créer une superpuissance dominatrice et protectrice pour ces États et leurs populations. Bien que le concept de panzenisme soit né dans le contexte de la pensée de Riko Murai et de son désir de préserver l'identité culturelle burujoise, il a depuis été adopté et adapté par d'autres penseurs et mouvements. Aujourd'hui, le panzenisme continue d'être un sujet de débat et de réflexion, suscitant des discussions sur la manière dont les peuples, notamment du Nazum, du Paltoterra et d'Aleucie, peuvent collaborer pour relever les défis du XXIe siècle tout en préservant leurs identités.

Œuvres : Différents sujets sur le Burujoa réémergent (1923); Une étude de l'esprit zen (1926); Le colon occidental ou l'enfant agité (1929); Histoire de l'Empire (1933); Histoire d'une agression sur l'art de vivre (1943);
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Nationalité : Burujois (Cendanois)

Portrait :
Portrait de Robert Bronstein

Nom complet du penseur : Frère Robert, né Robert Bronstein
Dates de naissance et de mort : 14 mai 1924 - 25 novembre 2005
Activité(s) : Écriture, Vie monastique, Enseignement spirituel, Dialogue interreligieux,
Mouvements de pensée : Monachisme bénédictin, Gratitude, Panzenisme,

« Religion » : Catholicisme catholan
Influencé par : Impérialisme burujois, Mystique chrétienne, Bouddhisme, Zen/Chan,

Courte biographie : Né Robert Bronstein le 14 mai 1924 à Maura, dans la région de Cendane, en Aleucie burujoise, frère Robert est un moine bénédictin, écrivain et enseignant spirituel. Il est connu pour son travail sur la gratitude, la spiritualité interreligieuse et la méditation. Sa vie a été marquée par un profond engagement envers la recherche de la paix intérieure et de la compréhension mutuelle entre les différentes traditions spirituelles, principalement entre celles de l'Empire Burujoa. Il grandit dans une famille catholique de la ville de Maura et fut élevé dans la tradition catholique catholane. Durant son adolescence, il fut fortement influencé par les enseignements de son professeur de religion, qui l'encouragea à explorer sa foi et à approfondir sa compréhension de la spiritualité. À l'âge de 21 ans, Robert Bronstein rejoint l'ordre bénédictin à l'abbaye de Bergretter, toujours dans la région de Cendane. C'est là qu'il prit le nom de frère Robert et commença son chemin de vie monastique. Au sein de la communauté bénédictine, il étudia la théologie et la philosophie, tout en s'engageant dans une vie de prière et de méditation profonde. Dans les années 1960, frère Robert commença à s'intéresser aux enseignements des traditions spirituelles orientales comme le bouddhisme, notamment le courant zen/chan. Il fut particulièrement influencé par la méditation et les pratiques contemplatives de ces traditions qui l'aidèrent à approfondir sa propre spiritualité et à trouver un sens plus profond à sa vie de moine. Au cours des décennies suivantes, frère Robert fut un fervent défenseur du dialogue interreligieux et de la promotion de la compréhension mutuelle entre les différentes croyances de l'empire, en particulier entre le christianisme et le bouddhisme. Il voyagea à travers le monde pour rencontrer des leaders religieux de diverses traditions, et œuvra pour promouvoir la paix et la réconciliation à travers ses enseignements et ses conférences. Frère Robert devint également un auteur prolifique, écrivant de nombreux livres sur la spiritualité, la gratitude, la paix intérieure et les correspondances entre christianisme et zen. Ses écrits touchèrent de nombreuses personnes à travers le monde, particulièrement à travers l'Empire Burujoa, et inspirèrent de nombreux lecteurs à explorer leur propre chemin spirituel. L'un des thèmes centraux de l'enseignement de frère Robert est la gratitude. Il a développé une profonde compréhension de la gratitude comme une pratique spirituelle qui peut nous aider à cultiver une plus grande conscience de la beauté et de la bonté de la vie. Selon lui, la gratitude nous permet de vivre dans le moment présent, d'apprécier les petites choses de la vie et de trouver la paix intérieure. En reconnaissance de son travail et de ses contributions à la spiritualité, frère Robert reçut de nombreux prix et distinctions au cours de sa vie. Il fut honoré, deux fois par l'empereur burujois, pour son dévouement au dialogue interreligieux et à la promotion de la compréhension mutuelle entre les différentes traditions de l'empire.


Résumé de sa pensée : La pensée de Robert Bronstein est profondément influencée par son engagement envers la spiritualité interreligieuse et son exploration des points de rencontre entre différentes traditions, notamment le christianisme et le zen, aussi nommé originellement chan. Ainsi, il estime que ces deux voies spirituelles partagent des enseignements essentiels qui peuvent enrichir notre compréhension de la vie et notre pratique spirituelle. Pour frère Robert, le christianisme et le zen ne sont pas des traditions diamétralement opposées, mais plutôt des chemins complémentaires qui convergent vers des vérités universelles. Celui-ci est persuadé que chaque tradition possède des trésors spirituels précieux qui peuvent éclairer notre quête de sens et de sagesse. L'un des principaux points de convergence entre le christianisme et le zen réside dans la pratique de la méditation et de la contemplation. Dans la tradition chrétienne, la méditation est souvent associée à la prière contemplative, où l'on cherche à entrer en communion avec Dieu et à écouter sa présence intérieure. De même, dans le zen, la méditation assise, dite zazen, est au cœur de la pratique, visant à calmer l'esprit, à développer une présence attentive et à cultiver une profonde conscience de l'instant présent. Frère Robert soutient que ces deux approches méditatives peuvent se compléter mutuellement. La méditation chrétienne peut être enrichie par la simplicité et la discipline du zazen, tandis que le zazen peut être éclairé par la dimension spirituelle et relationnelle de la prière contemplative chrétienne. Selon lui, la méditation est une porte d'entrée vers une réalisation plus profonde de notre être intérieur et de notre lien avec le divin. Un autre aspect important de la pensée de frère Robert, qui s'est traduit dans sa production littéraire, est celui de la notion de gratitude, censé transcender les frontières religieuses. Ainsi, il considère la gratitude comme une attitude essentielle pour une vie épanouissante et une spiritualité vivante. Pour lui, la gratitude n'est pas simplement une expression de reconnaissance envers les bénédictions que nous recevons, mais une attitude fondamentale qui nous permet de percevoir la beauté et la bonté dans chaque aspect de la vie. Frère Robert décrit lui-même la gratitude comme un émerveillement face à la vie, une ouverture à l'émergence continue de la grâce dans notre existence quotidienne. Il invite alors chacun à cultiver une attention attentive et reconnaissante envers les cadeaux simples de la vie, tels que la nature, les relations interpersonnelles et les moments de paix intérieure. Pour lui, la gratitude est un moyen de se connecter à la source de la vie et de trouver un sens plus profond dans nos expériences, aussi banales puissent-elles paraître. Dans la correspondance entre le christianisme et le zen, frère Robert explore également la question de l'ego et de l'identification au moi. Tant dans le christianisme que dans le zen, il y dévoile une invitation à transcender l'ego et à s'ouvrir à une dimension plus vaste de l'existence. La notion de "mourir à soi-même" présent dans le christianisme, par exemple, trouve un écho dans la dissolution du moi dans le zen, où l'illusion de la séparation est dépassée pour réaliser notre interconnexion avec tout ce qui est. Frère Robert insiste sur l'importance de l'ouverture au mystère de la vie et de la confiance en la sagesse inhérente de l'univers. Cette confiance en la vie, en Dieu pour les chrétiens et en la réalité ultime pour les bouddhistes zen/chan, est une source de force et de sérénité qui nous permet de faire face aux défis de la vie avec courage et acceptation.

Œuvres : De l'instant présent (1957); La Musique du silence : Une méditation sur le bonheur (1961); Les vertus de l'émerveillement (1964); Ce que nous partageons : pratique quotidienne entre zen et christianisme (1972); Introduction à l'éthique chrétienne (1975); Sagesses pour aller vers soi (1983);
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Nationalité : Burujoise (Jinuienne)

Portrait :
Portrait de Ryom Kyung-Min

Nom complet du penseur : Ryom Kyung-Min
Dates de naissance et de mort : 20 octobre 1890 - 23 juin 1979
Activités : Traduction, Enseignement universitaire, Philosophie,
Mouvements de pensée : Zen, Panzenisme, Christianisme zen,

« Religion » : Bouddhisme zen
Influencé par : Écoles burujoises du zen, Écoles burujoises du chan, Mystique chrétienne, Philosophie occidentale,

Courte biographie : Né le 20 octobre 1890 à BongDang en Jinu, Ryom Kyung-Min, célèbre philosophe et érudit, grandit dans un environnement traditionnel. Cependant, dès son plus jeune âge, il démontra un esprit vif et curieux. Après des études dans sa ville natale, puis à Karaimu, il s'intéressa à la philosophie occidentale et aux langues étrangères, maîtrisant rapidement les dialectes anglophones et germanophones de l'empire. Cette connaissance des langues étrangères ouvrit la voie à une profonde exploration des idées philosophiques et religieuses de l'Orient et de l'Occident. Kyung-Min découvrit le bouddhisme zen, aussi nommé chán, à l'âge de vingt-deux ans lorsqu'il commença à étudier avec le célèbre maître ymlasien Momoi Nobuharu. Cette rencontre fut déterminante dans sa vie, car elle marqua le début de son profond engagement dans le bouddhisme zen et sa quête de sagesse spirituelle. Fort de ses connaissances en langues étrangères et de son expertise en philosophie, Kyung-Min se consacra à l'enseignement du bouddhisme zen aux étrangers de cette tradition, aussi bien au sein de l'empire qu'en dehors. Il voyagea ainsi en Aleucie avant de s'établir à Cendane où il fut nommé professeur à l'Université de Jin City. Sa présence charismatique et ses connaissances approfondies du zen captivèrent ses étudiants et les intellectuels occidentaux. Pendant ses années d'enseignement à Cendane, Kyung-Min écrivit plusieurs ouvrages influents. Ses écrits étaient caractérisés par leur clarté et leur accessibilité, ce qui les rendit très populaires auprès du grand public et contribua à populariser la philosophie zen en Occident, notamment à Cendane, avec l'influence de Taigen Sharaku.

Au-delà de son rôle d'enseignant, Kyung-Min fut un ambassadeur culturel de Jinu à Cendane où la communauté jinuienne était déjà importante. Il s'efforça de présenter la culture et la spiritualité orientales de l'empire au monde, aidant ainsi à établir des liens culturels et intellectuels entre l'Orient et l'Occident. Ses efforts furent récompensés par le gouvernement burujois, témoignant de sa contribution exceptionnelle à la promotion de la philosophie zen dans le monde. Restant ses dernières années à Cendane, il continua d'enseigner et d'écrire sur le zen tout en poursuivant son engagement envers la culture jinuienne. Le 23 juin 1979, Ryom Kyung-Min s'éteignit à l'âge de quatre-vingt-huit ans, laissant derrière lui un héritage durable dans le monde académique et spirituel. Sa contribution au rapprochement entre l'Orient et l'Occident au sein de l'Empire Burujoa a eu un impact significatif sur la compréhension et l'appréciation du bouddhisme zen à Cendane et en Occident. Aujourd'hui, l'influence de Kyung-Min perdure à travers ses écrits et son enseignement. Son travail a jeté les bases d'une étude sérieuse, plus intellectualisée, du bouddhisme zen dans les universités cendanaises, ouvrant la voie à de nombreux chercheurs et pratiquants qui poursuivent son héritage.


Résumé de sa pensée : Au cours de sa carrière prolifique, Kyung-Min explora de nombreux aspects de la spiritualité et de la philosophie bâtardes de l'Empire Burujo, notamment le naissant « christianisme zen », qui fut l'un de ses sujets d'étude les plus importants. Il s'agit d'un concept qui émergea à la croisée des chemins entre les traditions chrétienne et bouddhiste mahāyāna, plus précisément du courant zen. Kyung-Min s'intéressa à cette convergence de pensées et chercha à approfondir la compréhension des similitudes et des différences entre ces deux grandes traditions « religieuses ». Dans ses écrits sur le christianisme zen, Ryom Kyung-Min cherchait à explorer la manière dont les enseignements du Christ pouvaient être intégrés aux principes fondamentaux du bouddhisme zen. Pour lui, il ne s'agissait pas de créer une nouvelle religion synchrétique, mais plutôt de mettre en évidence les points communs entre les deux philosophies afin de favoriser une meilleure compréhension mutuelle. L'une des idées clés du christianisme zen réside dans la notion de "non-dualité", qui est centrale dans la pensée zen. Kyung-Min soulignait que le bouddhisme insiste sur la transcendance des dualités et sur l'atteinte de l'unité avec l'existence. Dans cette perspective, le christianisme zen invitait à dépasser les distinctions entre le sacré et le profane, entre le divin et l'humain, pour parvenir à une expérience directe et intuitive de la réalité. Pour lui, le christianisme zen ne se limitait pas à une simple fusion des croyances chrétiennes et bouddhistes, mais invitait à une réinterprétation profonde des enseignements du Christ à travers le prisme du bouddhisme zen. Il considérait que cette approche offrait un nouveau regard sur les évangiles et permettait de découvrir des niveaux de compréhension plus profonds et universels. Une autre dimension essentielle du christianisme zen selon Kyung-Min était la notion de "vacuité", qui est également un concept fondamental du bouddhisme. La vacuité fait référence à la nature essentielle de toute chose, dépourvue de substance ou d'existence intrinsèque. Dans cette perspective, ce dernier considérait que le christianisme zen invitait à transcender les formes extérieures pour accéder à l'essence spirituelle pure, qui sous-tend toutes les traditions religieuses. La pratique de la méditation jouait également un rôle crucial dans le christianisme zen tel qu'il le présentait. Il voyait dans la méditation chrétienne une voie pour atteindre la pleine conscience et l'unité avec le divin, tout comme dans la pratique de la méditation zen. Il mettait l'accent sur l'importance de la contemplation silencieuse et de l'expérience intérieure dans la quête spirituelle, qu'elle soit chrétienne ou bouddhiste.

Il est cependant essentiel de noter que la perspective de Ryom Kyung-Min sur le christianisme zen n'a jamais été sans controverse à Cendane. Certains critiques ont ainsi soutenu que ses interprétations pouvaient être trop orientées vers le zen et que certaines nuances du christianisme pouvaient être perdues dans cette approche. Néanmoins, la contribution de celui-ci à la compréhension du christianisme zen a eu un impact durable. Ses écrits ouvrirent des voies pour le dialogue interreligieux au sein de l'empire et encouragea les croyants des deux traditions de la région cendanaise à explorer les convergences et les complémentarités entre le bouddhisme et le christianisme. Aujourd'hui encore, les enseignements de Kyung-Mini continuent d'inspirer des chercheurs, des théologiens et des pratiquants engagés dans l'étude du zen et du christianisme. Sa quête d'harmonie entre les différentes traditions spirituelles est un héritage précieux qui invite, d'une part, à la réflexion et à la recherche de l'essence universelle de la spiritualité humaine, et d'autre part, à la réflexion d'une nouvelle identité culturelle et spirituelle en Aleucie burujoise. Par sa vision ouverte et éclairée, il laissa une marque indélébile dans le dialogue interreligieux et a contribué à rapprocher l'Orient et l'Occident au sein de l'Empire Burujoa sur le chemin de la sagesse et de la compréhension mutuelle.

Œuvres : Le non-pensée de la pensée zen (1952); Les Chemins de la Voie (1959); Essais sur le zen et le christianisme (1965); Le regard plongé dans le Vide (1972);
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