25/06/2013
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Encyclopédie - Page 2

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Chapitre II, grand A


La géographie terrestre
ou comment se dessine le paysage nordiste


Dans ce chapitre, nous allons parler du paysage nordiste, en commençant par la topographie du territoire.


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Voici la métropole. Nous voyons plusieurs massifs montagneux au sud, au sud-ouest, au nord et un peu au centre. Plusieurs frontières nordistes sont donc protégées par des chaines montagneuses. La montagne sud s'appelle "la chaine des Carcallacs", au nord ce sont "les Dômes d'Antimart", à l'ouest, c'est le mont Montaubagne et enfin au centre, le Sommet de la Passy. Le mont Montaubagne tire son nom d'un ancien lieu de bagne pour l'Empire Austrasien qui a été repris comme prison par l'Empire. Aujourd'hui s'y trouve la prison d'État qui est la plus sécurisée et fortifiée du pays, il y réside environ 200 personnes à l'année avec 300 places. Cette prison qui se nomme Fort-Repenti est aussi une des plus difficiles à vivre, avec en moyenne 9° en été et -13° en hiver, personne n'a jamais réussi à s'en évader, ou du moins à rester en vie plus de deux minutes en dehors.

La topographie générale de la métropole forme une sorte de cuvette avec des espaces plus hauts sur les côtés et une bande assez basse au centre. On retrouve également plusieurs plateaux autours des montagnes et un affaissement près du lac Courgny (grand lac d'une superficie de plus de 11'500 km³ située à l'ouest dans la métropole). L'Empire a donc un relief varié avec un cœur plus plat et des bords et frontières escarpées à plusieurs endroits.

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Pour les régions afaréennes, on voit un relief moins haut en général, mais moins régulier dans la disposition que la métropole. On voit qu'à l'est, le désert d'Habann se trouve dans la zone la plus haute de la région. On voit aussi que la frontière avec le Gondo (au sud) est plus haute que les côtes pareillement. Les côtes, elles, sont relativement basses par rapport à la métropole et ses grandes falaises de plusieurs centaines de mètres.

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Les territoires afaréens sont divisés en deux régions et huit départements. À l'inverse de la métropole, il n'y a pas de duchés ou marquisats, faute de noblesse locale. La capitale régionale de la région nord qui est Owenbo s'appelle Nosangoa. Elle est située dans le Melnamar et celle de de Makola est Kenkela, située dans l'Isofue. Nous verrons plus tard les différences économiques et démographiques entre les deux régions, ainsi que le fonctionnement politique de celles-ci.

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A : Crowford (crowfordois(e))
B : Lancaster (lancasterois(e))
C : Lanison (lanisonais(e))
D : Grand-Lac (grand-lacois(e))
E : Gerblême (blêmais(e))
F : Timberland (lander)

1 : Merigales (merigalais(e))
2 : Antistead (antisteadois(e))
3 : Fort-Gelé (gelé(e))
4 : Sutford (fordais(e))
5 : Millster (sterois(e))
6 : Amessor (sorois(e))
7 : Beaverford (Verfordais(e))
8 : Bortoise (Bortois(e))
9 : Hasstel (stelais(e))
10 : Vilsburg (burgeois(e) [bourgois(e)])
11 : Donebridge (donois(e))
12 : Saulles (saullois(e))
13 : Alberside(sidien(ne))
14 : Stratpool (startpoolois(e))
15 : Brightbury (burois(e))
16 : Rowbury (rowburois(e))
17 : Trogers (trogerin(e))
18 : Milstead (steadois(e))
19 : Stalynson (lynson(e))
20 : Gendebois (genbois(e))
21 : Vieubourg (vieux-bourgeois/vieux-bourgoise)
22 : Terre-Nouvelle (neo-terrois(e))
23 : Bois-aux-cerfs (cerfois(e))
24 : Millheller (hellerais(e))
25 : Woodsor (sorais(e))
26 : Chelriden (ridenais(e))
27 : Ville-Morauze (morauzois(e))
28 : Champonce (poncien(ne)
29 : Elinor (alinorois(e))
30 : Whitehead (headais(e))
31 : Strendak (strendakois(e))
32 : Seeale (seeais/seeaise [syais/syaise])
33 : Purguoise (purguois/purguoise)
34 : Val-de-Choir (choir(e))
35 : Don-sur-Rive (don/donne)
36 : Belle-écaille (dorois/doroise)
37 : Malveau (malveau/malvoise)
38 : Triack-sur-lac (triois/trioise [try'ois/try'oise])
39 : Belle-cavalière (beau-cavalier/belle-cavalière)
40 : Colon-les-Deuxtours (colonois/colonoise [colaunois/colaunoise] bien que ClD se prononce bien [colon])
41 : Santre-sur-Ïote (santrin/stanrine)
42 : Cawle (cawlois/cawloise)
43 : Trante (trantais/trantaise)
44 : hault-les-trapeurs (haultois/haultoise)
45 : Graham (grahamois(e) [gram'ois(e)])

Les duchés, au nombre de six dans la métropole, oscillent entre six et dix marquisats. Le plus grand est celui de Crowford (61'735 km³ et qui a comme duc Maximilien II) et le plus petit est celui de Lanison (36'470 km³ et ayant comme duc Clovis le Pieux) Les duchés ont tous un duc ou une duchesse à leurs têtes et les marquisats des marquis ou marquises. Ces derniers sont l'équivalent des départements d'outre-mer et les duchés sont un équivalent des régions d'outre-mer.

L'Empire a une diversité de biomes assez forte. Il comprend une forêt primaire, bien qu'elle ait été exploitée il y a de ça plusieurs siècles, un temps suffisant s'est écoulé pour qu'elle redevienne primaire : c'est la forêt de Malkorn. On compte aussi un désert aride (Habann) et un désert glacé dans les montagnes au sud de la métropole (la muraille blanche). Des étendues forestières par centaines avec des forets de toutes sortes. De plaines et collines avec des centaines de variétés de fleurs, d'herbes, d'animaux. Des marais, des lacs, des dizaines de rivières et plusieurs fleuves. Des montagnes recouvertes de glaces ou de foret. Des forêts tropicales et équatoriales, des brousses... L'Empire a donc l'un des paysages les plus variés du monde.
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Chapitre II, Grand B

Géographie économique


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Nous pouvons déjà voir qu'il y a au sein de la métropole une différence de revenu est-ouest avec des revenus plus conséquent à l'est. Mais cet écart est encore plus grand dans les régions d'outre-mer avec une différence d'au minimum 2900$ de revenu, donc une réduction minimale de 16% du revenu. Cela s'explique historiquement avec une politique favorisant grandement la métropole et un usage des territoires d'outre-mer particulier. Ces territoires avaient une économie tournée il y a encore quelques années vers la seule exportation vers la métropole pour faire fonctionner l'industrie. On l'a vu lors de l'indépendance du Mokhaï, bien que l'Empire ait laissé un complexe économique et industriel important, les usines n'avaient plus de débouchés commerciaux. La région de Crowford qui est celle où se trouve la capitale est également celle qui a les plus hauts revenus. Chose assez typique dans la plupart des pays du monde. C'est par ailleurs une région ayant une activité commerciale importante avec des investissements étrangers conséquents. La deuxième région ayant les salaires les plus hauts est Lancaster, région hautement commerciale grâce à son important port à Laagfort, ville industrielle par ailleurs. Timberland, Gerblême et Lanison ont un revenu médian plus bas que les trois autres Duchés, car sont des régions plus rurales et agricoles. Grand-Lac, lui, a son PIB/habitant légèrement plus élevé (~300$) aidé par une plus forte présence industrielle, notamment grâce à des chantiers navals nombreux et une exploitation minière importante.

Les forêts permettent une utilisation conséquente des ressources ligneuses dans la fabrication de meubles, d'outils, de charbons de bois, BTP... Cette exploitation se trouve principalement dans les régions de Gerblême et de Grand-Lac. La production agricole se trouve-t-elle, dans les régions de Lanison et Timberland. On entend par là la production de fruits, légumes, graminées... Au niveau de l'élevage, on retrouve une grande partie de l'élevage bovin à Lanison, l'élevage porcin à Timberland, l'élevage équestre dans la région de Gerblême et l'élevage de volaille à Lancaster. Au niveau des outre-mer, on a un élevage, on retrouve de l'élevage caprin, de la culture fruitière exotique surtout ainsi que de la culture diversifiée comme le colza, le manioc, le riz, la tomate... Ces territoires d'outre-mer sont aussi importants en termes d’exploitations minières, pétrolifères, charbonnières et dans la production textile, artisanale et l'industrie du gros oeuvre. La région de Crowford elle, est spécialisée dans l'industrie de pointe, les services, le commerce...

Dans le monde, a la moitié de l'année 2011, l'Empire a le 33ᵉ plus gros PIB mondial, donc sur 140 nations. Il a la 31ᵉ économie civile la plus développée, la 26ᵉ plus grosse industrie militaire, la 26ᵉ industrie scientifique la plus grosse et enfin la 36 industrie culturelle la plus grande.
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Michael Boyle, dit Michael V


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Michael Boyle ou Michael V est un Empereur nordiste de 1989 à 2009. Empereur controversé, voici sa biographie :

Michael Jean Ferdinand Boyle né le 10 juin 1920 à König aux États-Unis d'Aleucie et a pour parent Edouard Boyle et Jeanne-Marie Boyle. En 1920, l'Empire du Nord est en pleine période fasciste et c'est la République Nationale Socialiste Nordiste qui a le pouvoir sous le règne dictatorial de Christophe Tailler. La famille impériale est en exil et l'Empereur Jean III, son grand-père, cherche par tous les moyens à retrouver son trône.

Il grandit dans l'incertitude de revoir son pays et est scolarisé à domicile où il reçoit une éducation générale par le percepteur Hubert Synraut et une éducation militaire qu'il débutera à l'âge de 10 ans, mais qu'il devra mettre en pause, car sa famille rentrera dans l'Empire en 1930. Il vit donc dix ans dans le château de Herbruck à quelques kilomètres de la capitale des États-Unis. Ses parents sont très présents puisqu'ils n'ont que peu de chose à faire durant cette période et il découvre donc le pays sur lequel il sera surement appelé à régner, Michael étant fils unique.

Il poursuivra son éducation toujours auprès de son percepteur Hubert Synraut mais ne reprendra pas son éducation militaire avant ses 18 ans. À 18 ans, il s'engage dans l'armée pour faire son service militaire d'une durée de deux ans et en 1940 il se lance dans une carrière militaire permanente. Il s'engage dans la marine où il ne gravira pas tant que cela les échelons, il montera jusqu'au grade d'Enseigne de vaisseau de 2ᵉ classe. Il participera à la guerre d'indépendance du Kumasi de 1957 à 1960 où il servira sur le cuirassé le Nestor qui participera à la bataille de la Baie de Belseau. Un patrouilleur déclassé vendu par une nation étrangère aux indépendantistes et quelques vedettes militaires s'opposèrent au cuirassé Nestor. Les navires ennemis souhaitaient forcer le passage pour entrer dans le port de la ville de Awina cependant ils furent couler par le navire impérial. Il quitta l'armée en 1980, son père étant malade, il voulait lui apprendre comment régner. En 1951, Michael s'était marié à Jade Florie, une fransciquienne qui lui donna un enfant en 1957, Cadmen.

Edouard Iᵉʳ, son père, meurt en 1989 et il devient donc Empereur. Son père avait entamé l'industrialisation du pays après la guerre et il hérite d'une situation mitigée. Edouard Iᵉʳ par son charisme a su conserver le calme politique et la paix sociale, cependant les nobles et les États se vouent une rivalité grandissante. Par de nombreuses maladresses, il perd la majorité absolue au Parlement et partage l'exécutif avec un opposant, ce qui enlise le pays. L'économie va mal, les réformes sont bloquées et l'armée qui a beaucoup souffert des guerres d'indépendances ne peut être suffisamment financée.

Devant la menace de nouvelles indépendances, il dissout l'Assemblée et, par ordonnance, restreint le corps électoral. Il réussit à obtenir de justesse une majorité absolue à l'Assemblée et à nommer un Premier Ministre qu'il lui est relativement favorable. Il entame des réformes infructueuses dans l'économie, la confiance en la monnaie et en la croissance étant nulle. Il investit énormément dans la police et dans la répression de l'indépendance et de l'opposition grandissantes. Il sent son pouvoir lui échapper. L'économie stagne, l'armée est toujours en lambeau, il veut faire des réformes, mais pour cela, il lui faut sa majorité, mais il ne peut l'avoir que par des restrictions électorales, ce qui mécontente encore plus le peuple et il est obligé de faire de la répression de la gauche trop virulente.

Il a un désir sincère d'améliorer l'économie et aimerait faire des réformes démocratiques, mais son impopularité et ses maladresses couplées à de faibles compétences d'administration le font rentrer dans un cercle vicieux. En 2002, il essaye d'entamer l'ouverture au monde du pays et de gérer les attentats indépendantistes au Mokhaï mais peine à établir une situation stable. Dans une sorte de paranoïa sur une possible invasion du pays par ses voisins, car l'Empire est très affaibli et instable, il se jette dans les bras du Kronos communistes pour assurer la protection du pays. En acceptant l'installation de missiles balistiques, il déclenche une importante crise au sein de l'Aleucie et du Paltoterra. L'ONC pose un ultimatum et l'Empereur fait marche arrière. Il sait depuis des années que la seule solution est une nouvelle figure à la tête du pouvoir. Il est conscient que son fils tente de tout faire pour prendre le pouvoir, mais sait qu'il reproduira les mêmes erreurs que lui. Il décide donc de préparer son départ et dans son "Crepusculum declarationes", il choisit son petit-fils comme successeur et retire plusieurs biens à son fils afin de l'écarter du pouvoir.

Michael est malade depuis plusieurs années. Un cancer dépisté en 2006 et plusieurs autres maladies qu'il acquière l'affaiblissent considérablement. Sa carrière militaire l'aura fatiguée et rendu plus fragile et il succombe en 2009 après être tombé dans le coma.

C'est donc un Empereur controversé, entre incompétent total, homme maladroit, mais conscient de son incapacité. Il est un héros pour les amateurs de l'ordre, un monstre pour les progressistes. Une légende noire plane toujours autours de lui et se conservera surement avec les années. Nul doute qu'il était un peu tout cela à la fois.
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Fonctionnement politique nordiste, "pré-" et "post-" réformes.


Cet article vise à expliquer le fonctionnement politique de l'Empire qui peut parfois être source de confusions, et montrer les changements d'avant la période dite de la "réforme" bien qu'elle soit en deux étapes. Nous aurons donc le chapitre sur le fonctionnement de l'Empire Fédéral du Nord (1930-2009), puis de l'Empire Démocratique et Parlementaire du Nord pré-réforme (2009-2011) et post-réforme (2012-...)

Empire Fédéral du Nord


L'Empire Fédéral du nord est apparu après la période fasciste du pays qu'était la République Nationale-Socialiste Nordiste. Jusqu'en 1960, l'Empire est ce qu'on pourrait appeler un régime hybride, entre la démocratie et l'autoritarisme. Après la guerre avec ses voisins et sa période fasciste, le pays doit se remettre sur pied et la transition peut être compliqué. Dans les faits, les institutions de 1930 jusqu'à 1960 et 2009 sont les mêmes, cependant la liberté est restreinte pour être sûr de la stabilité du régime dans les années qui suivent cette période.

Le pouvoir exécutif :

Le pouvoir exécutif est assuré d'une part par l'Empereur et d'une autre par le Premier Ministre. De 1930 à 1960, l'Empereur détient la possibilité d'émettre des décrets et ordonnances ne pouvant être remis en cause ou censuré que par lui. Il peut être à l'initiative de projets de lois auprès de ses ministres qui doivent les rédiger. Le Premier Ministre dispose également de ces pouvoirs et préside le Conseil des Ministres. Le Premier Ministre est alors nommé par l'Empereur jusqu'en 1960. Le Premier Ministre propose les ministres qui doivent être approuvés ou non par l'Empereur. La liberté de se rassembler est restreinte, la liberté de la presse aussi.

Après 1960, le Premier Ministre est élu par le Parlement et il nomme la moitié des ministres et propose l'autre moitié à l'Empereur. Durant cette période, la liberté de se rassembler et de la presse sont à nouveaux autorisés.

Le pouvoir judiciaire :

Le pouvoir judiciaire est séparé des autres et autonome. Les affaires judiciaires sont prises en charge par des tribunaux. Les ministres et parlementaires disposent d'une immunité effective pour la durée de leurs fonctions, restreignant l'étendue des actes pour lesquels un parlementaire ou un ministre en activité peut être jugé durant son mandat.

L'Empereur ne dispose pas de cette immunité, car ne dispose pas de mandats.

Pouvoir législatif :

Il est exercé par un Parlement bicaméral composé de l'Assemblée Nationale et du Sénat Impérial. Des décrets durant la période 1930-1960 peuvent faire office de lois, puis jusqu'à la fin du Fédéralisme dans une portée plus restreinte.

Assemblée Nationale :

L'Assemblée Nationale était la chambre basse du Parlement composée de 1'000 députés jusqu'à la fin de l'Empire Fédéral. Elle avait le pouvoir de voter et d'être à l'initiative de lois. Jusqu'en 1960, l'Empereur pouvait censurer certaines lois. Après 1960, seul le Parlement peut réviser les lois votées. Tous les électeurs doivent élire leurs représentants.

Sénat Impérial :

Le Sénat Impérial est la chambre haute du Parlement composé de 300 sénateurs jusqu'à la fin du Fédéralisme. Comme l'Assemblée Nationale, il vote et peut-être à l'initiative des lois et l'Empereur peut en censurer jusqu'en 1960. Ce sont les Grands Électeurs (personnes disposant d'un mandat que ce soit national, régional ou même municipal ect) qui les élisent.

Conseil Fédéral :

Jusqu'à la fin du fédéralisme, le Conseil Fédéral regroupe l'ensemble des Ducs, Duchesses et Proconsuls de l'Empire en un conseil pouvant voter les propositions de l'Empereur en préambule de la proposition au Parlement. L'accord du conseil est nécessaire pour modifier la constitution et c'est lui qui contrôle le fait que les lois peuvent être appliquées.

Conseil Impérial :

Le Conseil Impérial est un conseil constitué des ministres, des ducs, duchesses et proconsuls, et des plus gradés des militaires. Il est celui qui gouverne durant la durée d'un état de siège ou d'une période de crise. Dans ce conseil, l'Empereur a le dernier mot jusqu'à la fin du Fédéralisme.

Conseil des Ministres :

Il est le conseil durant lequel les ministres se coordonnent et où le Premier Ministre donne et l'Empereur, jusqu'en 1960, donnent l'impulsion de leurs politiques. A parti de 1960, l'Empereur ne le préside qu'une fois par mois afin de rendre compte de sa vision jusqu'à la fin du Fédéralisme.

Colonies :

Les colonies qu'étaient Makola, Owenbo et le Mokhaï ont eu ce statut jusqu'à la prise de pouvoir de Maximilien II. Ses habitants ne pouvaient qu'élire leurs représentants aux Assemblées Coloniales qui n'exerçaient qu'un pouvoir législatif restreint de ces régions.

Décrets impériaux :

Décrets émanant de l'Empereur jusqu'en 1960 où ils font offices de textes législatifs sans recours possible par le Parlement. De 1960 jusqu'à la fin du Fédéralisme, les décrets n'avaient qu'une portée plus restreinte et le Parlement pouvait le censurer par une majorité de 60%.

Ministres :

De 1930 à 1960, ils sont nommés par l'Empereur. Puis sont proposés par le Premier Ministre et validés ou non par l'Empereur.

Empereur :

Il est le chef de la diplomatie et des armées. Le garant de la constitution, de valeurs, des symboles et des traditions du pays. Peut émettre des décrets (pouvant être censurés depuis 1960, pas avant) et nomme les ministres.

Empire Démocratique et Parlementaire du Nord pré-réforme (2009-2011):


Pouvoir Législatif :

Il est exercé par un Parlement bicaméral composé de l'Assemblée Nationale et du Sénat Impérial. Des décrets peuvent faire office de lois pendant une durée limitée et possédant certains limites (voir plus bas).

Pouvoir Exécutif :

Il est officiellement/symboliquement exercé par l'Empereur qui n'a dans les faits que très peu de pouvoir. Il est exercé par le Premier Ministre et son gouvernement qui ont la charge de faire appliquer et lois et qui peuvent en proposer au Parlement. Le Premier Ministre est élu par le Parlement.

Pouvoir Judiciaire :

Même système qu'avant.

Assemblée Nationale :

Elle est la chambre basse du Parlement composée de 468 députés. Le Parlement dont fait partie l'Assemblée Nationale peut faire tomber le gouvernement par une motion de défiance qui doit obtenir la majorité absolue plus une voix. Le Parlement dont fait partie l'Assemblée Nationale peut censurer un décret impérial par une majorité absolue plus une voix.

Sénat Impérial :

Il est la chambre haute du Parlement, composé de 156 sénateurs. Il peut, comme l'Assemblée Nationale, censurer un décret impérial, mais ne peut pas voter de motion de défiance visant à faire tomber le gouvernement. Il vote et peut aussi être à l'initiative des lois.

Conseil des Ministres :

Il a les mêmes fonctions et siège chaque mardi et une fois par moi l'Empereur y siège pour être informé des décisions. Il ne peut être amené à donner son avis seulement et seulement si les ministres lui demandent. C'est le Premier Ministre qui préside.

Chambre des Nobles :

Assemblée de nobles (marquis, ducs) mais aussi des élus exécutifs des outremers (proconsuls et gouverneurs qui sont élus localement) se réunissant sur convocation de l'Empereur en tant qu'Assemblée gardienne des symboles et traditions pour toutes questions ou consultations quant à ces mêmes symboles et traditions.

Conseil Impérial :

Constitué de la même manière que sous l'Empire Fédéral du Nord et a les mêmes fonctions, cependant l'Empereur ne peut y décider seul et son pouvoir exécutif exceptionnel est délégué au Premier Ministre. Il ne peut plus donc gouverner en temps de crise.

Décrets impériaux :

Ils font également office de lois ou de décisions administratives et sont à l'initiative de l'Empereur en accord avec le Conseil des Ministres, cependant ils peuvent être censurés par le Parlement.

Territoires Impériaux d'Outres-Mers :

Successeur du statut de colonie, il permet à l'ensemble de ses habitants de voter pour toutes les élections. Les habitants élisent également des Assemblées Régionales ayant un pouvoir législatif sur ce territoire et ils élisent les gouverneurs de provinces ainsi que les proconsuls de régions.


Ministres :

Ils sont proposés par le Premier Ministre et validés ou non par l'Empereur.

Empereur :

Il est le chef de la diplomatie et des armées. Le garant de la constitution, de valeurs, des symboles et des traditions du pays. Peut émettre des décrets (pouvant être censurés) et approuve la nomination ministres.

Empire Démocratique et Parlementaire du Nord post-réforme (2012...):



Pouvoir Législatif :

Idem en dehors des décrets voir plus bas.

Pouvoir Exécutif :

Idem cependant le Premier Ministre est élu par suffrage universel (voir réformes dans le topic Assemblée Nationale pour les modes de scrutins)

Pouvoir Judiciaire :

Les Ministres et Parlementaires ne bénéficient plus d'immunités. Ils peuvent être jugés pour toutes affaires, si les charges sont mineures, ils continuent d'exercer leurs fonctions durant la procédure judiciaire, sinon les suppléants de parlementaires ou les chefs de cabinets assurent l'intérim. Si ils sont reconnus coupables d'un délits ils reprennent leurs fonctions. Si ils sont reconnus coupables d'un crime, ils doivent démissionner.

Assemblée Nationale :

Idem cependant, le Parlement peut également censurer certains décisions diplomatiques de l'Empereur.

Sénat Impérial :

Idem cependant, le Parlement peut également censurer certains décisions diplomatiques de l'Empereur.

Conseil des Ministres :

Idem

Chambre des Nobles :

Idem

Conseil Impérial :

Idem.

Décrets impériaux :

Idem, cependant ils sont limités à 5 par années et peuvent toujours être censurés.

Territoires Impériaux d'Outres-Mers :

Idem.

Ministres :

L'Empereur nomme, avec l'accord du Premier Ministre, les ministres suivants : le Ministre de la Sécurité, le Ministre des Affaires Extérieures, le Ministre de la Défense et des Armées, le Ministre de la Justice et le Ministre de l'Économie.
Le Premier Ministre propose des personnes aux postes des Ministères de la Finance, de l'Éducation et du Commerce à l'Empereur qui doit approuver ou non les propositions. Le reste des ministres sont nommés par le Premier Ministre sans interférences de la part de l'Empereur. Ils ne peuvent être démis de leurs fonctions qu'avec le vote d'accord du Parlement.

Empereur :

Il est le chef de la diplomatie et des armées. Le garant de la constitution, de valeurs, des symboles et des traditions du pays. Peut émettre 5 décrets par années (pouvant être censurés) et nomme certains ministres.

En conclusion, de 1930 à 1960, l'Empire est un régime hybride. Un Empire aux pouvoirs de son souverain étendus avec peu/pas assez de contrepouvoirs. Passé 1960, le pays tend à devenir une démocratie défaillante avec certaines lacunes. Puis avec la prise de pouvoir de Maximilien II, les réformes s'engagent, l'Empire devient une démocratie imparfaite avant la période de la réforme puis après l'entré de l'OND et une stabilisation globale faite, l'Empire devient une démocratie. Le système politique de l'Empire est le résultat d'une histoire complexe et résulte donc sur un système unique voire atypique. Le souverain garde des pouvoirs plus importants que dans d'autres monarchies constitutionelles mais bénéficient de larges entraves si il voudrait en abuser. Il a, dans son rôle symbolique, la fonction de vulgarier et de difuser les prises de décisions du gouvernement. Rares sont les fois où c'est le Premier Ministre qui est ammené à expliquer sur les plateaux ou en discours public la politique du gouvernement. Le rôle de l'Empereur par son aura médiatique et son lien fort avec la population est de rendre visibles ces décisions et fait ainsi vivre dans l'imaginaire populaire, l'image d'un souverain fort et sources d'initiatives, bien qu'en réalité, cela soit faux et que ses pouvoirs réels sont moindres. Cette image relève plus du fantasme, du mythe national et de l'image que le pays veut avoir de lui même, celui d'un Etat au chef fort. L'imagerie impériale se mèle aux empires amérindiens, à la période de colonisation par une puissance étrangère puis de colonisation par le pays indépendant, ce qui renvoie un fonctionnement complexe mais rendant le pays si unique et aussi fort à ce jour.
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Liste des partis actuels et passés de l'EDPN


Mouvement Anarcho-Révolutionnaire :


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Classe politique : Extrême-gauche, anarchiste, dadaïste, révolutionnaire, marxiste
Période d'activité : 13 mai 1938 - 17 septembre 1974

Présentation :
Le Mouvement Anarcho-Révolutionnaire, ou MAR, est un mouvement situé à l'extrême gauche du spectre politique et qui a été celui le plus à gauche de l'histoire nordiste. Fondé par Léo Marchio (1895-1976), un homme politique et résistant nordiste mort assassiné par un individu d'extrême droite. Le groupe a défendu la révolution du peuple afin de mettre en place une gouvernance entièrement décentralisée, sans autorité centrale, fondée sur des idées d'égalité totale, d'abolition de l'argent, de la propriété privée. Des idées écologistes, de "philosophiquation" et "d'artistisation" de la politique. Le groupe n'a compté qu'un maximum de 11 sièges sur une Assemblée Nationale de 1000 députés en 1952 et n'a jamais été un parti ayant une grande ampleur. Touchant majoritairement les étudiants et des générations de cinquantenaire déjà imprégnés d'idées anarchisantes, il a été un parti diabolisé par les camps gouvernementaux successifs. Finalement dissout en 1974 par décret impérial dans le but "d'éviter un ensauvagement de l'extrême gauche et de la gauche civile et de mettre fin aux appels à la violence et au terrorisme de ce groupe". Ce qui est qualifié ainsi sont les appels à la révolution, le groupe sera considéré dès 1975 "groupe terroriste et extrémiste". Plusieurs de ses membres auront été poursuivit pour diverses raisons, mais surtout pour leurs appels à la révolution, la désobéissance totale et pour des propos injurieux et diffamatoires. Son fondateur militera les dernières années de sa vie pour que son groupe soit réhabilité, mais se fera poignarder dans un port par un militant d'extrême droite. Aujourd'hui, les groupes s'en revendiquant ont presque entièrement disparu et ne comprennent plus que des artistes et des étudiants minoritaires.

Chefs de partis :
  • Léo Marchi de 1938 à 1951 (1895-1976)
  • Javier Niostrias de 1951 à 1963 (1903-1964)
  • André Briton de 1961 à 1974 (1904-1985)

  • Rassemblement Marxiste-Communaliste :


    https://i.postimg.cc/RVkLLx01/logo-RMC.png

    Classe politique : Extrême-gauche, communalisme, kah, révolutionnaire, socialiste, marxiste
    Période d'activité : 08 février 1939 - 2 juin 1985

    Présentation :
    Le Rassemblement Marxiste-Communaliste, ou RMC, est un mouvement situé à l'extrême gauche du spectre politique. Il est fortement inspiré des travaux du célèbre Karl Marx, mais aussi de la révolution et du modèle kah-tanais en un peu plus radical. Fondé par Michel Artivun (1901-1975), il a été soutenu par l'extrême gauche et a récupéré les soutiens du MAR à sa dissolution quand il obtiendra son record de siège en 1979 avec 22 sièges à l'Assemblée Nationale puis déclinera en raison de nombreux conflits internes et de la disparition progressive de ses grandes figures, ce qui avait été amorcé en 1975 avec la mort de son fondateur suite à une crise cardiaque lors d'une violente dispute verbale avec son fils. Le parti défendait une économie marxiste dans le modèle politique inspiré du kah, c'est-à-dire des communes autonomes et des commités centraux. Il tombe à 13 sièges à l'Assemblée Nationale en 1984 et ses derniers députés et partisans se divisent sur la question de l'organisation économique. Son président de l'époque, Achille Messmers annoncera la dissolution interne du parti en 1985.

    Chefs de partis :
  • Michel Artivun de 1939 à 1959 (1901-1975)
  • Baptiste Lambert de 1959 à 1968 (1909-1968)
  • Jean-Laurent Vigneron de 1968 à 1975 (1921-1994)
  • Élodie Lambert de 1975 à 1980 (1927-1988)
  • Achille Messmers de 1980 à 1985 (1923-2003)

  • Parti Communiste Proletarial :


    https://i.postimg.cc/RVkLLx01/logo-RMC.png

    Classe politique : Communiste, extrême gauche, autoritaire, marxiste-léniniste
    Période d'activité : 22 janvier 1901 - 25 juin 1915 / 05 novembre 1931 - 16 avril 1971

    Présentation :

    Parti créé en janvier 1901 par Yves Lafrogne puis interdit par la nouvelle République en juin 1915, le parti reprend de l'activité à partir de novembre 1931 jusqu'à son autodissolution en avril 1971. Le parti fut l'un des plus importants partis communistes du pays, tant historiquement par sa longévité que par son poids politique. Défendant des réformes radicales via une thérapie de choc par des réformes profondes à tour de bras, ses penchants autoritaires lui causeront sa perte dans ses dernières années. Regroupant ouvriers, classe moyenne des petites et moyennes villes ainsi qu'une poignée d'intellectuels, il atteindra son apogée en 1936 avec 202 sièges, il sera le premier parti d'opposition durant cette période et jusqu'en 1946 où d'autres partis mettrons fin à sa prépondérance en tant que force d'opposition. Les rêves de pouvoir populaire autoritaire et de réformes choc s'effriteront, faisant de moins en moins d'adeptes jusqu'à son déclin final en 1971 où il annoncera sa dissolution.

    Chefs de partis :
  • Yves Lafrogne de 1901 à 1915 (1862-1921)
  • Edouard Morel de 1931 à 1941(1885-1945)
  • Alexandre Zepeti de 1941 à 1946 (1890-1951)
  • Charles Rome de 1946 à 1956 (1897-1967)
  • Paul Sandro de 1956 à 1957 (1911-1957)
  • Emmanuel Drieck de 1957 à 1961 (1905-1978)
  • Madelaine Juivosine de 1961 à 1966 (1906-1971)
  • Benoit Lavoisier de 1966 à 1971 (1918-1987)

  • Action Sociale Républicaine :


    https://i.postimg.cc/L8kvKxHW/logo-ASR.png

    Classe politique : Socialisme, laïcisme, républicanisme
    Période d'activité : 14 décembre 1836 - 18 juillet 1915 / 19 mars 1930 - 16 avril 1997

    Présentation :
    5541
    Organisation de l'armée impériale


    Armée de terre :

    L'armée de terre impériale est divisée en deux corps d'armée de 42'750 soldats (3 divisions et 15 brigades, 30 régiments et 75 bataillons) et un de 57'000 soldats (4 divisions et 20 brigades, 40 régiments et 100 bataillons). Les divisions impériales comprennent 14'250 soldats, les brigades 2'850 et les régiments et bataillons ont des effectifs fluctuants allant de 750 à 2'100 pour le premier, et de 350 à 800 soldats pour le second.

    L'armée impériale s'articule surtout autours de bataillons standardisés. Dans une division qui est composée de cinq bataillons, l'on retrouve un bataillon mécanisé, un bataillon blindé, un bataillon motorisé, un bataillon d'artillerie et un bataillon de soutien.

    Bataillon mécanisé :

    Rôle et description : Les bataillons mécanisés de l'Empire sont des bataillons faits pour le contact et disposent d'engins blindés, mais peu d'engins lourds, contrairement au bataillon blindé. Ils sont conçus de façon à pouvoir être un maximum autonome en cas de séparation prolongée avec le reste de la division ou du régiment. Ces bataillons représentent 1/5 des bataillons de l'Empire, soit 35 bataillons sur 175 et 28'000 soldats au total.

    Matériels et effectifs :

  • 800 soldats
  • 40 véhicules de combats d'infanterie
  • 20 camions de transport
  • 15 camions citernes
  • 20 véhicules légers tout-terrain
  • 15 transports de troupes blindés
  • 5 véhicules radios
  • 5 chars de dépannages
  • 800 armes légères d'infanterie
  • 10 mitrailleuses lourdes
  • 10 mortiers légers
  • 10 lance-roquettes
  • 100 lance-missiles antichars
  • 5 chars légers
  • Total de points de nuisance : ██████████████████████
  • Bataillon blindé :

    Rôle et description : Les bataillons blindés de l'Empire s'articulent principalement autours de chars, d'assaut comme légers. C'est donc une unité aux engins blindés lourds malgré la présence de véhicules de combats d'infanterie, mais dans une moindre mesure. Cette unité de contact est faite pour être moins mobile, peut être utilisée pour tenir des positions ou briser des lignes de fronts. Elle représente en même proportion 35 bataillons sur les 175 et aligne en cumulé 17'500 soldats.

    Matériels et effectifs :

  • 500 soldats
  • 10 véhicules de combats d'infanterie
  • 15 camions de transport
  • 10 camions citernes
  • 10 véhicules légers tout-terrain
  • 8 transports de troupes blindés
  • 5 véhicules radios
  • 5 chars de dépannages
  • 500 armes légères d'infanterie
  • 10 mitrailleuses lourdes
  • 10 mortiers légers
  • 10 lance-roquettes
  • 100 lance-missiles antichars
  • 15 chars légers
  • 15 chars d'assaut
  • Total de points de nuisance : ██████████████████████


  • Bataillon motorisé :

    Rôle et description : Les bataillons motorisés eux, à l'inverse des blindés et mécanisés, sont essentiellement des bataillons d'infanterie. C'est-à-dire que leurs engins n'ont pas vocation première à combattre, mais à déplacer les troupes, c'est pourquoi l'on ne trouve que peu de véhicules de combats d'infanterie au profit de plus de camions, plus de transports de troupes blindés et de véhicules légers tout-terrain. Ces bataillons ont donc des missions de combats urbains, de sécurisation d'infrastructures ou de combats dans des zones dans lesquelles il est difficile d'y manœuvrer avec des véhicules de combats d'infanterie ou des chars. Ces bataillons représentent 1/5 des bataillons de l'Empire, soit 35 bataillons sur 175 et 28'000 soldats au total.

    Matériels et effectifs :

  • 800 soldats
  • 5 véhicules de combats d'infanterie
  • 32 camions de transport
  • 10 camions citernes
  • 40 véhicules légers tout-terrain
  • 25 transports de troupes blindés
  • 5 véhicules radios
  • 5 chars de dépannages
  • 800 armes légères d'infanterie
  • 25 mitrailleuses lourdes
  • 15 mortiers légers
  • 15 lance-roquettes
  • 100 lance-missiles antichars
  • Total de points de nuisance : ██████████████████████

  • Bataillon d'artillerie :

    Rôle et description : Les bataillons d'artilleries ont pour missions d'appuyer les offensives, notamment celles des bataillons motorisés, ceux-ci ayant des moins grandes puissances de feu. L'artillerie est un des piliers de l'armée impériale qui base une partie de sa doctrine sur un mur de feu fourni par une artillerie en arrière pendant que les bataillons de contacts avancent ou contournent. Briser les lignes ennemies ou casser leur chaine d'approvisionnement, leur route en séparant les groupes sont des tactiques très utilisées par l'Empire. Ils ont également le rôle de DCA, rôle clé dans les brigades impériales. Dans les mêmes proportions que les autres bataillons, 1/5 de ces derniers sont des bataillons d'artillerie qui représentent. Au total, c'est 12'250 au sein des bataillons d'artillerie de l'Empire.

    Matériels et effectifs :

  • 350 soldats
  • 4 véhicules de combats d'infanterie
  • 40 camions de transport
  • 15 camions citernes
  • 35 véhicules légers blindés
  • 10 transports de troupes blindés
  • 5 véhicules radars
  • 5 véhicules radios
  • 5 chars de dépannages
  • 350 armes légères d'infanterie
  • 15 lance-roquettes
  • 15 mortiers tractés
  • 15 canons tractés
  • 5 canons automoteurs
  • 5 lance-roquettes multiples
  • 15 canons antiaériens
  • 5 canons antiaériens mobiles
  • 5 lance-missiles antiaériens multiples
  • Total de points de nuisance :██████████████████████

  • Bataillon de soutien :

    Rôle et description : Le bataillon de soutien comprend l'aspect médical, logistique, de transport et de distribution. Comprend le quartier général de la division. Il comprend aussi des stocks divers. Il n'est pas fait pour le combat, mais pour la logistique et l'organisation. Il représente pareillement 1/5 des bataillons et 14'000 soldats.

    Matériels et effectifs :

  • 400 soldats
  • 4 véhicules de combats d'infanterie
  • 40 camions de transport
  • 20 camions citernes
  • 30 véhicules légers tout-terrain
  • 30 transports de troupes blindés
  • 5 ponts mobiles
  • 2 véhicules radars
  • 5 véhicules radios
  • 10 chars de dépannages
  • 450 armes légères d'infanterie
  • 100 lance-missiles antichars
  • 15 bulldozers
  • 5 chars légers
  • 5 véhicules de déminages
  • Total de points de nuisance : ██████████████████████

  • L'Empire dispose aussi de bataillons binationaux en collaboration avec certains de, c'est allié. À l'heure actuelle, les pays disposant d'un bataillon binational sont Sylva et le Miridian, avec des effectifs combinés de 500 soldats chacun (250 nordistes pour 250 soldats de l'autre nationalité).
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