La république a fait du chemin depuis sa création en 1787, lorsque Ahmed Attia est élu président de la république. Ahmed Attia est le plus jeune président de la république sarranide élue à 29 ans. Il base sa politique autour du rôle de l'individu (le citoyen) dans la société (la république). Pour Ahmed Attia, le citoyen est un individu à part entier et la société doit tout faire pour qu'il puisse exercer sa personnalité et enrichir la société. Comme il le dit : "Je fais le pari que la société repose sur les individus et non l'individue sur la société.". Jeune homme, bien proportionné et aimant la vie, il est le président le plus populaire de république, il donne un nouvel élan démocratique à la république. Pour ça il réforme la constitution et y introduit une multitude de droits. L'opposition prétend alors qu'il tue la république en essayant de faire naitre une anarchie sociale sans cohérence. Mais cette libéralisation dans les coutumes comme le titre les journaux est un véritable bol d'air pour la société qui commençait à voir la république comme une nouvelle monarchie tyrannique. Il augmente le budget de l'éducation pour qu'il soit le premier secteur de dépense de la république. Il dit : "C'est dans ses enfants que la république investie, c'est en son avenir qu'elle croie.". Il réforme le programme scolaire, avec des cours de rhétorique, d'art, sport, français, mathématique et bien d'autre enseignement. Il mise sur une économie libérale où l'état se porte garant d'acquis sociaux et démocratique puisqu'il "ne veut pas vendre la république aux entreprises, même si ce sont les entreprenant qui arrive à sa tête". Ce personnage politique est une figure culturelle auxquelles est attaché le peuple sarranid, comme son grand frère. Il lança son parti, les sociaux-démocrates, qui aujourd'hui encore existent dans la sphère politique. Malheureusement, il meurt dans un accident d'avion au large de leucytalée à 39 ans. Son appareil et son corps ne seront jamais retrouver.
Photo de Ahmed Attia au balcon présidentiel, derrière lui le vizir Bassel Zogby