10/08/2013
07:11:09
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Une monarchie et une République - Teyla et Tanska

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Une rencontre entre une république et une monarchie

Si on compare cette rencontre à celle avec l'Empire du Nord. C'est tout le contraire qui est à attendre. En effet les diplomates du Royaume ayant expressément dit au gouvernement que la République risquait de prendre très mal une certaine extravagante de la part du gouvernement de Sa Majesté. Alors les drapeaux de l'Empire du Nord furent enlevés, mais pas remplacés. La garde royale ne parcourt plus les rues instruments à la main pour jouer l'hymne da la République de Tanka.

C'est tout de même logiquement que le gouvernement attendit la délégation étrangère sur le Tarmac de l'aéroport international de Manticore. On pouvait voir ceci : dix hommes en uniformes de la garde royale, cinq de chaque côté, formant les murs d'un couloir pour la délégation. La carabine de cérémonie tenue par les soldats de travers dans un angle parfaitement calculé, tout en ayant le fusil collé à la poitrine. La pointe du fusil pointée vers le haut. Ce n'est pas fini, dès que la délégation aura commencé à faire son apparition alors l'hymne de la République de Tanska sera jouée. Les premières amabilités s'échangeant sous l'air de le l'hymne de Tanska. Sur le tarmac de l'aéroport, seront présent pour le Royaume de Teyla, le ministre des affaires étrangères Jean-Louis Gaudion, la future ambassadrice de Teyla au sein de Tanska Nathalie Sourut et le ministre de l'Économie Valentin Corentin. Un homme avancé plus que les autres apparaît aussi. Il s'agit du Premier ministre, Antoine Carbasier.

Le Premier ministre était un homme grand, charismatique par sa voix grave qui l'a tant aidé par le passé pour avoir une carrière politique. On pouvait lire dans les yeux dans du Premier ministre tant de chose. De l'inquiétude au vu de sa dernière conférence de presse qui laissait le Royaume dans une certaine inconnue. Plus on se plonge dans les yeux de cet homme, plus on y voit la détresse d'un homme seul par le pouvoir, d'un homme brisé par ses futures décisions. Mais que la délégation de Tanska ne se trompe pas. Actuellement le Premier ministre est tout sauf brisé et on peut aussi dans ses yeux, son visage l'espoir et une abnégation pour donner au royaume tout ce qui est possible de donner pour qu'il puisse survivre dans ce monde impitoyable.
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Le petit avion aux couleurs tanskiennes ornementé d'un lion national se posa dans une douceur exemplaire. A bord sont présents les ministres des Affaires étrangères et des Droits humains, monsieur Mar Loftsson ainsi que le ministre de l'Economie, Monsieur Svend Skaarup. Derrière eux, dans l'appareil aux moteurs refroidissants, une douzaine de conseillers et de membres de cabinets apportant de multiples dossiers.

Plus tôt dans la journée M. Skaarup avait présenté, aux côtés d'autres membres du gouvernement, les projets à l'occasion de la session des Grands Programmes au Congrès Fédéral. La mine amoindri par les semaines de dur labeur pour paraître convaincu, son verbe en était ressorti meilleur, affermit. Il avait réussi à convaincre quelques communistes et même fait douter un indépendantiste kylien du bienfait possible du canal de Kyli. Loftsson semblait plus naturel. Il n'était pas au travail, il était à l'œuvre. Là, sur ce tarmac, commençait cette fine partition qu'est la négociation entre diplomates.
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Le Premier ministre tend la main vers M.Skaarup puis Loftsson ainsi qu'à toute la délégation. Les autres membres pour le Royaume font de même. Puis le Premier ministre présente tout le monde tout en échangeant les premières amabilités. Le Premier ministre semble plus que ravi de cette rencontre bien qu'on voit assez clairement qu'il contrôle ses gestes.

Après quelques minutes, le Premier ministre invite la délégation à monter dans le convoi. Le convoi parcourt donc les rues de la capitale du Royaume. Une ville tout à fait au style européen avec ses immeubles haussmanniens, bien qu'on puisse bien plus d'immeubles ressemblant à des tours qu'à l'accoutumé. Le convoi telle une danse chorégraphiée et répétée des centaines de fois parcours les rues de la capitale en direction de la "Résidence Faure". Le lieu de travail du Premier ministre baptisé de celui qui l'a construit. Au début cela était bien la résidence du Premier ministre, mais l'évidence c'est imposé au fil des années. Il était bien plus pratique de transformer cela en un lieu de travail.

Une fois arrivé à la résidence, on pouvait voir des majordomes qui prendront en charge les bagages des invités en les transférant vers leurs lieux de séjour durant le séjour de vingt-quatre heures comme convenu. Le Premier ministre une fois descendu demande donc :

Est-ce que vous préférez prendre le temps de vous installez ou commencer les choses sérieuses immédiatement ?

Lieu
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M. Loftsson a écrit :
Merci bien.

Nous aimerions passer directement aux négociations. Nos agendas respectifs sont aussi chargés en politique intérieure quexterieurs et je présume qu'à la suite de vitre annonce d'un programme spatial ambitieux le vitre l'est tout autant.

Nous avons évidemment le temps pour ces négociations, je ne voudrais pas paraître pressant, je ne le suis pas.
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Antoine Carbasier : a écrit :
Bien alors suivez moi s'il vous convient

Les hommes et femmes suivent donc le Premier ministre qui amène tout ce monde dans une salle avec une longue table rectangulaire. Par respect, personne ne s'assoit à l'un des bouts côté Teylor.

Antoine Carbasier : a écrit :
Sachez que dans un premier temps, nous sommes très heureux de vous accueillir ici. C'est un honneur de vous avoir pour interlocuteur. Cela vaut pour le monde présent ici. Vous l'avez dit vous-même, le programme spatial nous donne une tonne de travail. Donc je vais faire court. Nous souhaitons commencer par prendre l'information concernant la concession d'un port de commerce ou d'une zone pour la construction d'un dit port pour notre nation. S'il vous convient de commencer par ce sujet.

Comme vous le savez ma nation n'a aucun accès à la mer ou océan. Du coup dans un premier temps si vous nation le souhaite nous souhaitons vous proposez une baisse des droits de douane pour tout ce qui concerne les denrées alimentaires venant de vos zone de pêche et votre pays.

De plus mon gouvernement souhaite étudier la question d'une concession pour une certaine durée d'un port. Un port commercial pouvant recevoir des porte-conteneurs ainsi que des tankers.
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Surpris par la demande, les deux ministres se regardèrent un instant. Puis Loftsson se retourna vers un conseiller qui lui passa quelques mots à l'oreille.


M. Loftsson a écrit :
C'est une importante demande que vous évoquez la M. Carbasier. Je ne peux, vous vous en douter bien, répondre définitivement à cette demande en cet instant. Je ne peux non plus vous dire quelles seront les demandes émanant du Congrès Fédéral pour une telle concession ainsi que la durée.

Néanmoins, ce serait un important signe de relations entre nos deux nations. Qu'il s'agisse d'un port ou d'un quai, il va de soit que l'étendue même de cette cession (territoriale et temporelle) soit sujette à discussion. En conséquence je me dois de vous demander des précisions. Sur la zone ainsi que l'étendue souhaitée mais aussi sur de possibles contributions économiques.
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Le ministre de l'économie après s'être plongé dans ses notes pendants de longues secondes déclare :

Valentin Corentin a écrit :
Nous nous doutons que vous ne puissiez pas nous répondre tout de suite. Nous le comprenons amplement.

Concernant ce que s'engage à faire mon état au niveau du prix. Sachez dans un premier temps que nous envisageons sérieusement la baisse des droits de douane concernant les denrées alimentaires venant de votre pays. De plus mon gouvernement tout dépend de la taille de la zone ou du port trouvé par les différentes autorités si un tel d'accord est possible. Mais nous estimons nos investissements maximum possibles à deux milliards de pétales pour une durée de concession variant entre trente à cinquante ans.( soit 8 000 pts ) ( 1 pétale = 1 euro ).

L'étendue de la zone sera celle du port, mais nous vous garantissons toujours le droit d'utilisation pour votre nation ainsi que le respect des lois de votre pays.
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Le ministre de l'Economie prend a son tour après la parole après quelques instants de concertations avec deux conseillers.

S. Skaarup a écrit :
Nous prenons notes de ces informations Monsieur Corentin. La possibilité de baisse de prix de douanes pour nos exportations agricoles est intéressante, nous le consentons. Néanmoins nous n'avons pas encore définie de perspective de croissance connue. Nos services devront travailler sur la question.

Pour le port, nous procéderons à une étude commune des possibilités de localisation convenable à une telle installation. En négociation entre nos autorités nationales mais aussi les autorités locales et régionales qui seront concernées. De plus, une attention particulière devra être faite sur la question des voies de transit vers votre pays par la suite. Il est évident que tout cela fera l'objet d'intenses discussion en particulier avec notre Parlement. Nous tenons à préciser que le port de Norja est exclu. Il en sera de même pour celui de Kálfafell. Accueillant une base aérienne et une base navale, le Parlement nous refusera toute concession dans ces environs. Néanmoins plusieus sites de la côte ouest peuvent convenir je pense. Il conviendra aussi de prévoir des mesures de contrôle des marchandises passantes.

Nous sommes conscient que certaines importations ou exportations pourront être sensibles. Nous devrons en parler en respectant à la fois vos mesures de secret d'état, et nous nos mesures de sécurité nationale car si le port sera placé sous un régime d'extraterritorialité, le transit vers votre pays passera nécessairement par d'autres territoires.

Les investissements maximum couvriront la seule valeur du prêt ou pourront-ils s'étendre à d'éventuels aménagement ou agrandissements d'infrastructures(dans les limites du territoire qui sera définie) en accord entre nos deux états bien évidemment.

Il nous paraît aussi important de considérer que ce territoire aura un statut différent de celui d'une ambassade. Se faisant le trafic d'individus ou de biens de notre pays par le dit port ne fera l'objet d'aucun droit de douane comme vous l'avez exprimé très justement.

Nous pouvons paraître exigeant mais une pareille affaire nécessite toute l'exigence que nos citoyens respectifs attendraient de nous. Vous pour vos raisons économiques et géographiques, nous pour nos raisons économiques mais aussi souveraines.
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Le ministre discute à voix basse avec son ministre de l'économie puis des affaires étrangères. Après quelques minutes étranges et pouvant paraitre longue le Premier ministre prend la parole :

Antoirne Carbasier a écrit :

Votre gouvernement doit savoir plusieurs choses. Dans un premier temps, nous ne souhaitons avoir aucun bâtiment de guerre sur place, à quai. Nous ne souhaitons transférer aucune arme, véhicule de guerre dans un port dont la concession sera faite par votre pays. Le secret-défense de votre nation sera bien sûr respecté. Comment dire cela dans des termes diplomatique ? Au besoin, nous pouvons vous fournir le port pour transférer du matériel sensible si votre nation en a besoin. Tant que nous somme prévenu.

Après vous pensez peut-être à un domaine particulier quand vous avez évoqué la partie de la sensibilité des importations et exportations ?

Nous nous voulons respectueux en toute occasion de vos institutions. Ainsi, nous respecterons toutes les procédures de votre nation et transmettrons tous les documents que souhaite obtenir les différentes institutions de votre pays.

Votre gouvernement doit être aussi inquiet de l'emploi et du simple fait de possible passage frontalier irrégulier. Dans un premier temps, en cas d'accord, mon pays s'engage à garder tous les emplois et employés du port en cas de cession d'un port. En cas de concession d'une zone vide nous nous engageons à employer lors de la construction puis après cinquante pour cent de Tanskiens. Concernant des passages irréguliers potentiels, je propose la chose suivante :

La territorialité du port restera la vôtre, donc la distribution de visa et autre sera au bon vouloir de vos autorités. Bien entendu tant qu'il nous sera garanti assez de visas pour le bon fonctionnement des installations.
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Le ministre reprend

S. Skaarup a écrit :
Cela nous parait sirprenant quaucun equipement importe ou exporte n'ai à passer par le trafic maritime mais soit. Ce choix vous revient. Le materiel sensible suit des voies définies qui passent par nos installations militaires. Si cela doit évidemment être prévu dans le cadre d'un possible futur accord, la probabilité d'application d'une telle mesure apparaît limitée.

Nous ne pensions à rien de précis. Mais il va de soit que tout pays peut faire transiter du matériel ou des équipements relevant du secret industriel ou autre. Nous sommes ouverts à cette possibilité la. Si des contrôles doivent avoir lieu, un juste milieu est à trouver entre la protection de notre défense nationale et celle de vos intérêts propres.

La question des emplois est évidemment importante et centrale. Il va de soir qu'une cession d'un port existant ne devra entraîner aucune perte d'emploi dans les limites du possible. Sous entendu, seule des pertes liées à une baisse d'activité économique n'étant pas un choix volontaire sera toléré sauf si des accords venaient à émerger. La possibilité d'aménagement d'un territoire vierges d'installations est envisageable. Il paraît aussi possible d'imaginer la construction d'un quai propre rattaché à un port. L'agrandissement de territoires sur la mer est une spécialité tanskienne depuis des siècles.

Enfin, il me semble intéressant d'envisager la question des visas non seulement sur la question de ce port mais de l'ensemble de nos relations bilatérales.

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Antoine Carbasier a écrit :
Quand vous dîtes "Il paraît aussi possible d'imaginer la construction d'un quai propre rattaché à un port. L'agrandissement de territoires sur la mer est une spécialité tanskienne depuis des siècles."

Imaginons l'extentions pour deux quais l'un pour accueillir un tanker et l'autre un cargo tout a fait banal. Il serait possible d'avoir une étude de prix ? Un devis si vous voulez en d'autres termes. Je pense que mon gouvernement est très intéressé par cette option. Elle comporte beaucoup d'avantages contre peu de contraintes. En attendant la construction, nous pouvons étudier l'option de louer un quai d'un vos ports. Pas plus pas moins. Si vous estimez cela possible mon gouvernement souhaite privilégier cette option.

Concernant les équipements, je parlais uniquement d'équipement militaire. Pour le moment, mon pays ne souhaite pas l'exportation d'équipement militaire. Il est acquis concernant d'autres domaines, dont l'industrie que vous avez cité, il est me semble important de trouver un terrain d'entente pour permettre à nos deux nations de garantir les contrôles tout en garantissant le secret industriel.

Mon gouvernement sur la question des visas se montre prudent. Mais nous étudieront toutes paroles ou propositions de projet de votre part. Si nous avons l'assurance dans plusieurs domaines, cela ne doit pas poser de souci particulier à ce que le Royaume revoit sa politique de visa envers la vôtre.
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Le ministre des Affaires étrangères reprend la parole

M. Loftsson a écrit :
Il serait effectivement possible d'avoir l'étude d'un prix. Il y aura toujours le montant de la concession ensuite mais compte tenu du fait que l'infrastructure serait moins importante qu'un port complet, le prix, en dépit des coûts de constructions, s'en trouverait probablement réduit.

L'option d'une location temporaire est aussi envisageable. Elle fera l'objet la aussi d'un accord. Nous tenons, mais cela est tout à fait logique, à ce que chaque étape, si il venait à y en avoir plusieurs, fasse l'objet d'accords distincts et possiblement de payement distinct. Il va de soit que vous n'aurez pas à payer d'éventuelles constructions en plus de la location si celles-ci venaient à ne pas avoir lieu. Ou encore que le payement sera progressif pour d'une part vous éviter un payement conséquent, d'autre part nous assurer des résultats si pour une raison inconnue un accord venait à être annulé.

De même, des mesures de compensations devront être prévues si pour des raisons X ou Y nous avions à stopper temporairement le trafic dudit port ou dudit quai, que ce soit pour un navire ou un mois complet et sans que cela ne soit simplement dû à des raisons de sécurité ou autre - une réquisition dans le cadre d'une urgence par exemple.

Nous tenons à indiquer que peu importe la ou les solutions retenues, si votre gouvernement souhaite par la suite étendre ou restreindre des clauses, qu'il s'agisse de la durée de concession ou du terrain concédé, cela fera l'objet de négociations entre les parties prenantes : nos gouvernements respectifs et les autorités locales. Enfin, en cas de décision d'investissement ou de modification de la disposition d'une ou partie des infrastructures allouées, il faudra la aussi quelques négociations et le coût ainsi que la main d'œuvre vous reviendrons. Tant qu'il ne s'agit pas d'agrandissement, nous ne voyons aucune nécessité d'imposer l'usage de mains d'œuvres nationales pour des aménagements ponctuels.
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Antoine Carbasier a écrit :
Je dois avouer la réticence de mon gouvernement concernant un payement en diverses étapes. Une fois l'étude de prix effectuée. Nous pensons à une procédure standard. Un payement, si vous le souhaitez sur plusieurs années, est possible. Ce qui nous convient tout autant pour tout dire.

Mais un payement sur chaque étape, c'est un fort risque que cela augmente les coûts pour nous. Tout autant cela renforce la valeur d'un tel accord. J'en suis certain que les équipes juridiques de nos deux nations pourront le blinder de clauses pour s'assurer de payement conséquent en cas d'annulation de la part d'une de nos nations. Vous avez évoqué le risque d'accord annulé. Je pense que cela permet de limiter très fortement ce risque.

Je vous pris d'allez plus en profondeur concernant les mesures de compensation que vous avez évoqués. Nous sommes ouverts. Alors je vous pris d'allez plus profondément dans votre réflexion.
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M. Loftsson a écrit :
Bien. Ce sujet fera donc l'objet de discussions supplémentaires à l'avenir. Toutes les possibilités seront traitées.

Pour les compensations cest assez simple voyez vous. Bien que nous conserverions, comme vous l'indiquiez, toute souveraineté par l'application de nos lois sur ces quais cédés, notre gouvernement, en cas de requisition non justifiee par des arguments de securites locale (incendie par exemple) vous remboursera ou vous déduira, selon le moyen de payement qui aura été choisi, d'une valeur équivalentes rapport à la durée de réquisition.

Simple et efficace. Nous sommes ouverts à la discussion.

Un autre point majeur, me semble t il, est celui du transfert des marchandises entre le port et votre territoire national. Peu importe la voie choisie, il conviendra de negocier des facilitations ou des amenagements d'infrastructures pour n'entraver ni votre commerce, ni nos activités économiques. Nous simmes a l'écoute de vos propositionsà ce sujet.
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Antoine Carbasier a écrit :
Cela me semble honnête pour des compensations. Nous pouvons mettre un groupe de travail sur cette question.

Concernant les moyens de transport de marchandise. Cela reste tout à fait théorique pour la partie suivante. Cela étant modifiable à l'avenir selon les échanges diplomatiques que mon pays aura.

Concernant le pétrole et carburant, etc dont ma nation est entièrement dépendante des importations nous souhaitons la mise en place d'un oléoduc. Nous nous ferrons les gardiens extrêmes que le projet soit le plus écologique possible. Mon gouvernement s'engagera pour que le projet soit neutre en termes de rejet de gaz à effet de serre. Par le financement d'association environnementale, plusieurs projets écologiques gouvernementaux comme la création de trois réserves naturelles qui sont en cours d'études par le ministère de l'Écologie. Le projet le plus long passant par aucune nation autre que les nôtres s'étalerai sur une distance de deux mille kilomètres environ. Quant au projet moins long, passant par un autre pays, l'inglie, tout cela représente une distance de mille six cents kilomètres environ. Tout dépendra de la zone où se situera le port bien évidemment. Ce qui représente un coût de cinq milliards pour le premier projet et quatre milliards pour le second. Nous pouvons pendre en charge de soixante pour cent ( 6 000 points ) du coût total du projet. Après cela reste négociable. J'oubliais tout cela pour une capacité de un million de barils par jour.

Pour les autres types de marchandises, nous envisageons le rail. Cela semble être le moyen le plus approprié de plus, cela pourra servir avec une extension supplémentaire de relier nos pays par voie de chemin de fer pour la population de nos deux nations respectives. Cela me semble primordiale un tel projet pour normaliser à terme nos relations. Après nous nous posons encore la question. Vous connaissez vôtre pays mieux qui quiconque donc ses infrastructures mieux que quiconque.
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