09/08/2013
22:37:36
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Le choc des cultures ? Teyla-Faravan

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Un choc culturel certain ? - Royaume de Teyla et la République de Faravan


Une fois de plus, la capitale du Royaume De Teyla est mise à contribution pour une rencontre diplomatique considérée comme de haute importance pour le Royaume. Comme avec l'Empire du Nord, les drapeaux de la République de Faravan sont accrochés dans les quartiers les plus populaires de la capitale, mais aussi sur le trajet du convoi de la délégation du Président Faravien. Les journaux télévisés et écrits parlent de cette rencontre primordiale pour débuter un réseau diplomatique en Afarée. La Reine espère bien obtenir un partenaire fiable en Faravan pour lui ouvrir le continent pour divers projets.

Mais en plus de tout cela, des affiches publicitaire affichant les objectifs du programme spatial sont affichés partout dans le pays. Différentes affiches prennent place. Certaines vantent les retombées économiques en terme d'emploi pour la nation. D'autres affiches vantent les objectifs a long terme du programme spatial.

Le président de la nation étrangère une fois descendu de l'avion pourra voir ceci :
Vingt gardes royaux, formant deux colonnes de dix hommes et femmes. Tel un mur, la colonne indique à la fois où orienter son regard, mais aussi où marcher. La carabine de cérémonie tenue par les soldats de travers dans un angle parfaitement calculé, tout en ayant le fusil collé à la poitrine. La pointe du fusil pointée vers le haut. Au bout du couloir imaginaire, on voit une femme, des plus ravissantes pour son âge. À vue d'œil, on peut lui donner la quarantaine, dans les faits, elle a quarante-cinq ans. On voit dans son regarde le sens des responsabilités. Pendant que le Président marche le long du couloir humain, un des gardes aux côtés de la Reine hurle :

Garde Royal a écrit :
Courvoisier de son premier nom, Catherine III de choix, Reine du Royaume de Teyla, Mère des hommes et femmes du Royaume de Teyla, duchesse de manticore, guidant et unissant la nation sous un titre unique de Reine.

Dans une cérémonie des plus répétées et chorégraphié les vingt gardes royaux dans des gestes militaires présentent les armes avec leurs mains vêtues d'un gant blanc. Tout cela pendant que le Président continue sa marche. La distance étant calculée pour que les estimations laissent le président marché durant tout ce temps. Une fois arrivée en face de la Reine, comme le protocole le veut, le garde repris :

Garde Royale a écrit :
Au champs de l'Honneur du Royaume de Teyla, je présente à Sa Majesté la Reine Catherine III, le président de la République de Faravan Arash Farajpour.

Dans un geste des plus sobres, en tendant la main pour serrer celle du président elle dit :

Catherine III a écrit :
Ravi de vous rencontrer Monsieur le Président. C'est un honneur pour moi.
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La délégation faravanienne arrive dans un avion régional marqué des symboles du Faravan et destiné au transport des hautes autorités. A son bord, le président de la République Faravanienne, Arash Farajpour, accompagné de son ministre des Affaires étrangères, Dara Sahdavi, ainsi que de tous leurs aides et accompagnateurs. Parmi ces derniers se trouvent également un petit groupe de journalistes faravaniens pour la presse locale.

L'avion effectue un atterrissage gracieux sur la piste de l'aéroport, sans surprises de la part de pilotes militaires expérimentés. L'avion roule sur le taxiway jusqu'à son point de park désigné, à proximité du comité d'accueil. La rampe est apportée et s'accole au coté de l'avion avant que la porte s'ouvre.

Sort alors le président, Arash Farajpour, suivi quelques pas derrière du ministre Sahdavi. Les deux hommes, le président en tête, sont impressionnés par le spectacle devant eux et respectent scrupuleusement le protocole qui leur est proposé.

Se rapprochant de la reine Catherine III, le président Farajpour accepte sa main et s'incline comme la coutume l'impose. En se relevant, il dit :
Arash Farajpour a écrit :
L'honneur est miens votre majesté, c'est un privilège que de pouvoir être reçu dans votre beau pays, et avec un si bel accueil !
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Après un échange d'amabilité, un immense convoi parcours les rues de la ville, direction le Palais. La délégation pourra voir tout ce qui fût raconté lors du premier post. Mais en plus de cela, elle verra une nation entamant une toute nouvelle période de croissance économique. Au vu du nombre de sites industriels en construction ( 24 en comptant ceux construit ) la croissance sur le premier trimestre est estimée à quatre pour cent. La croissance sur l'année est estimée à quinze pour cent. Ce qui en fait une des croissances les plus forte pour le Royaume de toute son histoire moderne. Modifiant largement les capacités du pays à investir avec l'excédant fiscal dû à la croissance. À chaque coin de rue, on peut voir un chantier de construction.

Arrivé devant le Palais, on peut voir le palais, très certainement ancien a vu d'œil. Si un conseiller du Président fouille dans leurs notes ils trouveront sûrement que le Palais fût construit, il y a deux cents ans, sans agrandissement depuis ni sans trop de modernisation et maintenance. Bien que d'apparence vétuste selon, où l'on regarde, le palais reste grand. La grille du Palais s'ouvre laissant passer les voitures.

Le Premier ministre attend, bras le long du corps. Au vu de l'activité de son gouvernement, il est fatigué et cela se voit à son visage. Il aurait bien pris une canne pour se tenir debout, mais il y a renonça pour sauver son image et sa carrière politique. En y réfléchissant de plus en plus, le mot démission lui vient de plus en plus fort dans la tête tandis que le convoi s'approche de sa position. Mais il écarte cette idée de sa tête tout aussi vite qu'elle est venue. C'est passager, le temps que les premiers pas de sa diplomatie se terminent se dit-il. Le ministre d'économie Valentin Corentin et le ministre des affaires étrangères Jean-Louis Gaudion pensent tout autrement. Bien que fatigués, ils sont ravis d'être ici et cela se voit contrairement au Premier ministre. Qui faut regarder plusieurs fois pour y voir un brin de bonheur.

Le convoi fini par s'arrêter. Une fois la délégation arrivée, il tendit la main instinctivement et se présente.

Tout ce monde s'enfonce dans les entrailles du palais, et s'installe dans une grande salle avec une table rectangulaire. La Reine prend la parole :

Catherine III a écrit :
Au nom de tous, de mon peuple, c'est avec une immense joie nous vous accueillons au sein de notre nation. Comme le veut le programme nous allons commencer à discuter des divers sujets. La cérémonie se tiendra demain. Par quel sujet vous voulez commencer ? Dit-elle en regardant le Président de Faravan.
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La délégation s'embarque dans le long convoi qui, tel une procession millimétrée, les emmèneras dans la ville en direction du palais bicentenaire. Naturellement, c'est vers l'extérieur que sont tournées les têtes, constatant un pays qui, bien que différent du leur à de nombreux égards, est évidemment similaire sur de nombreux points. Parmi ces similitudes, l'important effort de modernisation entrepris par le Royaume de Teyla et, inconsciemment, l'idée que les deux pays pourraient se complémenter à merveille se loge dans la tête du président Arash Farajpour. Autre similitude, l'attrait manifeste pour la frontière finale, l'espace, dont la publicité pour le programme spatial teylais est affichée fièrement le long des rues que parcourent le convois.

Après ce bref trajet, et une fois le convois a l'arrêt, le président et sa délégation descendent. Ils sont rencontrés par le premier ministre du royaume qui présente ses salutations, que le président lui rend enthousiasme. Immédiatement après, la délégation s'emploie a suivre leurs hôtes dans le magnifique palais qui servira de lieu de rencontre. Arrivés dans la salle, chacun prend sa place en suivant le protocole et écoute la prise de parole de la reine.

Le président répond :

président Arash Farajpour a écrit :
Je voudrais vous remercie de l'accueil que vous nous avez accordé, votre joie est partagée et accompagnée d'un grand enthousiasme à la perspective du rapprochement diplomatique de nos deux nations. C'est ce sujet que je souhaiterais aborder en premier, la confirmation de la normalisation des relations diplomatiques de nos pays. A ce titre, et s'il vous en conviens, l'ouverture d'ambassades seraient une première étape significative dans ce sens. Nous restons bien évidement ouvert à toutes propositions de votre part en ce sens.
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Catherine III a écrit :
Cela me semble, en effet, primordial que nos nations officialisent par des actes la normalisation de notre relation bilatérale. De fait, mon pays accepte l'échange d'ambassades. Par ailleurs, nous savons déjà qui sera notre ambassadeur au sein de votre pays. Si votre délégation souhaite rencontrer cette personne plus tard cela est possible.

Le Premier ministre prend la parole directement

Antoine Carbasier - PM a écrit :
De plus, si vous le souhaitez nous souhaitons vous proposez un accord d'échange culturel. Dans les grandes lignes, nous voulons l'échange d'étudiant de notre pays vers le vôtre et inversement. La promotion de nos langues dans nos nations.
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président Arash Farajpour a écrit :
Je suis enchanté de pouvoir officialiser ainsi la normalisation de nos relations bilatérales. Notre délégation serait ravie de pouvoir rencontrer le futur ambassadeur de Teyla dans notre pays. Encore mieux, il pourra, s'il le désire, le futur ambassadeur de la république faravanienne à Teyla. Ils pourront ainsi échanger leurs vues et faire conaissance intimement, cela ne peut être que positif pour la suite.

Il écoute le premier ministre parler puis répond :

président Arash Farajpour a écrit :
Monsieur le premier ministre, cette proposition faisait justement partie de l'ordre du jour des questions à aborder de notre côté. L'aspect de l'éducation supérieure est vital pour nous, il est crucial que l'on puisse être en mesure de former la génération future qui saura prendre les reines de notre pays qui est actuellement en pleine transformation. Qu'ils puissent bénéficier d'un point de vue complémentaire que celui que notre système éducatif peut leur fournir est une excellent opportunité pour eux. Je pense par ailleurs que vos étudiants pourront profiter de nos départements de spécialité, notamment dans la chimie avancée, l'ingénierie et la physique, tout en bénéficiant bien sur du superbe cadre que vous connaissez.

Il rajoute :

président Arash Farajpour a écrit :
Pour rester sur un sujet similaire, je peux également vous proposer un accord de recherche. C'est a dire un partenariat dans lequel nous pourrions joindre nos forces pour la réalisation d'un ou de plusieurs projets scientifiques. A ce propos, j'ai cru comprendre que vous vous étiez engager sur la voie d'un programme spatial, est-ce exact ?
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Catherine III a écrit :
Je suis sur que les futurs ambassadeurs respectif seront ravi de se rencontrer dans les plus brefs délais afin d'échanger sur le futur de la relation entre nos deux nations.

Le Premier Ministre reprit la parole aussitôt après la fin de prise de parole de la part de la Reine.

Antoine Carbasier - PM a écrit :
Pour être tout à fait honnête mon gouvernement, s'est penché sur la question d'un tel accord d'échange d'étudiant. Nous avons pensé dans un premier temps un programme commun d'échange d'étudiant. Les domaines que vous évoquez me semble les plus important aux regards des évolutions que je souhaite pour le Royaume. Nous pouvons envisager une collaboration entre diverses universités de nos pays pour un échange. En vue de faciliter l'échange, mon gouvernement étudie l'option de prendre en charge une partie du coût d'une année scolaire, universitaire.

Oui, vous avez tout à fait raison Monsieur le Président. Il est vrai que mon gouvernement, c'est engagé sur cette voie pour diverses raisons. La première étant la science. Ma nation mettant un point d'honneur à être décrite comme une nation scientifique. La deuxième étant un début formidable pour la modernisation de l'économie du Royaume. Soyons franc, jusqu'ici notre économie reste vieillissante. Mais les diverses réformes entreprissent par mon gouvernement donnent d'excellents résultats. Les différents organismes envisagent environ une croissance de quatre pour cent pour le premier trimestre de l'année.

Il me semble que votre pays se soit aussi engagé dans la voie d'un programme spatial. Je comprends votre proposition d'accord de recherche. Nous n'y sommes pas défavorables. Mais je dois émettre quelques réticences. La première étant le fait que ma nation souhaite une souveraineté la plus entière concernant ce domaine. Mais au vu du point de départ de ma nation nous sommes ouverts à diverses coopérations.
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En se tournant vers la Reine, il dit :

président Arash Farajpour a écrit :
J'en suis également convaincu madame, cela ne peut que renforcer nos liens.

Puis, se tournant vers le premier ministre :

président Arash Farajpour a écrit :
En ce qui concerne l'éducation, cela nous convient parfaitement, nous allons faire de même afin de permettre à nos étudiants de pouvoir s'épanouir pleinement dans le domaine de leur choix. Les fortunes personnelles ne devraient pas être un frein ou un accélérateur pour l'accès à l'éducation, c'est l'un de nos principes fondamentaux dans notre république. Je serais donc heureux de pouvoir leur offrir d'avantage de choix.

Par ailleurs, je suis heureux d'entendre ces bonnes nouvelles monsieur le premier ministre. Une fois encore, nos vues convergent, cela ne pourra que rendre notre coopération que plus forte.

En ce qui concerne le spatial, ne vous faites pas de soucis dans ce domaine, nous comprenons parfaitement vos inquiétudes que nous partageons par ailleurs. Cependant je ne peux pas m'empêcher de remarque que votre pays est enclavé et que vous ne disposez pas d'une fenêtre dégagée dans l'éventualité ou vous souhaiteriez envoyer des engins dans l'espace. La république faravanienne peut vous proposer une solution, dans le sens ou nous avons récemment débuté la construction d'un spatiodrome dans mon pays qui, comme vous le savez, dispose d'une place plus qu'avantageuse géographiquement parlant. Si, au terme de votre programme, vous souhaiteriez disposer d'un spatiodrome au niveau de l'équateur et sans aucune gène sur les fenêtres de lancement, nous vous accueillerons avec joie. En fonction des contrats négociés, nous pouvons être extrêmement accommodant et vous réserver autant de droits que vous jugez nécessaire au bon procédé de vos opérations.
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Le ministre des affaires étrangères prend la parole. Il connait bien le dossier ayant passé des heures dans des réunions concernant le programme spatial.

Jean-Louis Gaudion a écrit :
C'est un geste qui nous touche. Mais pour l'heure actuelle nous n'avons pas pour projet de délocaliser le lancé de nos lanceurs. Mais ma nation prend en considération votre proposition pour l'avenir. Nous pouvons la proposer à diverses entreprises nationales qui voudront se lancer dans la course au lancement de satellite ou autre.

Mais en ce qui concerne les programmes civils engagés par ma nation. Cela se fera au Centre Spatial déjà en construction avec quatre pas de tir qui sont prévues.

Puis le Premier Ministre enchaine :

Antoine Carbasier - PM a écrit :
Il me semble que votre pays voulez évoquer la question pétrolière ? Cela nous intéresse énormément, vu que nous sommes totalement indépendant des importations sur cette question.
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Le président répond aux deux hommes :

président de la république faravanienne Arash Farajpour a écrit :
C'est une décision que nous respectons, naturellement. La souveraineté est primordiale dans ce genre de projets. Si vous souhaitez néanmoins bénéficier de nos futures installations de lancement, soyez assurés que vous y serez toujours les bienvenus. L'offre s'étend par ailleurs a toute autre collaboration dans le secteur spatial.

Il continue :

président de la république faravanienne Arash Farajpour a écrit :
C'est exact monsieur le premier ministre, vous n'êtes pas sans ignorer que notre pays est l'un des plus gros extracteurs de pétrole et de gaz. A ce titre nous cherchons activement à l'exporter et, si vous êtes intéressés, une route commerciale pourrait être ouverte sans problèmes et vous pourrez bénéficier de tarifs tout à fait avantageux. Il faudra cependant nous spécifier le lieu de livraison pour que ces produits vous arrivent correctement.
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Antoine Carbasier a écrit :
Je ne peux rien affirmer à l'heure actuelle, les négociations étant toujours en cours. Mais nous avons pris contact avec la République de Tanska. Pour la concession d'une infrastructure portuaire. De plus, nous avons commandé des études préliminaires concernant un projet d'oléoduc allant de Tanska au Royaume de Teyla. Il est évidant que votre nation à un fort avantage économique concernant l'industrie pétrolière.

Il me semble opportun d'évoquer la situation agricole de nos deux nations respectives. Nous avons une bonne production, de bonnes récoltes dans divers produits de l'agroalimentaire. Je pense que nous pouvons conclure un accord global à travers ces deux points économique.

Nous avons donc une consommation de pétrole d'environ huit cent mille barils par jour. Cela va fortement augmenter dans les années à venir. Si nous vous proposons d'ici deux mois une importation de deux cents miles barils par jour puis dans quatre mois cela augmentera à quatre cent mille barils. En contrepartie en plus du payement, mon pays demande une baisse des droits de douane sur les produits agroalimentaires de ma nation. Cela me semble être un accord commercial correct.
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président Arash Farajpour a écrit :
Je prend note de vos projets infrastructurels. En attendant, nous pouvons vous proposer des méthodes alternatives. En attendant que cet oléoduc soit achevé, nous pouvons livrer le pétrole dans un port libre ou de votre convenance. La république de Tanska est également envisageable, nous entretenons également de bonnes relations avec elle. Dans tous les cas, le pétrole serait déchargé, puis acheminé par route ou par rail jusqu'à vos lieux de stockages.

En ce qui concerne les volumes, une importation deux cents miles barils par jour d'ici a deux mois puis une augmentation à quatre cent mille barils dans quatre mois nous semble tout a fait raisonnable et réalisable.

En prononçant ces mots, il se tourne vers l'un de ses aides de camp, un économiste spécialisé dans les questions des ressources fossiles. Il acquiesse aux mots du président.

président Arash Farajpour a écrit :
Bien. Ce sera chose faite.
Pour l'agriculture, un abaissement mutuel des droits de douanes sur nos produits respectifs serait une bonne chose pour la circulation de nos produits. Je pense que nos producteurs seront ravis de pouvoir bénéficier de notre marché commun dans son intégralité. Et puis ce sera l'occasion de diversifier les choix dans les rayons de nos supermarchés.

Et justement, vu que nous en sommes a discuter de la circulation de nos produits, que penseriez vous de simplifier les procédures de délivrance des visas pour nos concitoyens qui souhaiteraient se rendre dans nos pays ? Cela pourrait aider considérablement le secteur du tourisme en plus de faciliter la tache aux étudiants dont nous parlions précédemment.
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Le premier ministre se gratte la tête en entendant la phrase sur les produits agricoles.

Pour la première fois lors de cette rencontre on entendit alors le ministre de l'économie Valentin Corentin :

Valentin Corentin a écrit :
D'un point de vue strictement économique cela me semble un peu tendancieux concernant les produits agricoles. Notre agriculture est fleurissante et pour l'instant nous somme quai-autosuffisant en terme de nourriture. Cela me semble excessif un tel accord concernant les produits agricoles. Surtout une important d'aussi loin alors que nous pouvons trouver des partenaires régionaux sur la question. Qu'avez vous de plus que les acteurs régionaux sur cette question M.le président ?

Le ministre des affaires étrangères prit ensuite la parole :

Jean-Louis Gaudion a écrit :
Cela me semble être une bonne idée concernant les visas. Vous avez été plus rapide que nous car nous vous aurions proposé une telle action soyez en sur.
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président Arash Farajpour a écrit :
C'est simple monsieur le ministre, nous avons des produits que vous n'avez pas comme vous même avez des produits que nous n'avons pas en circulation dans votre marché. Si c'est la concurrence qui vous inquiète, ce qui est parfaitement légitime et que nous comprenons pleinement, nous serions tout à fait disposés à l'instauration de quotas afin que ces échanges ne causent pas de dégâts a nos productions locales. Le but ici est bien de pouvoir permettre aux consommateurs d'avoir plus de choix, et ce, dans les deux sens. Tout en respectant bien sur les régulations du marché et non pas dans l'optique de causer du tord aux producteurs mais bien de leur ouvrir un nouveau marché.

Au ministère des affaires étrangères :

président Arash Farajpour a écrit :
C'est une bonne nouvelle monsieur le ministre, nous pourrons dés lors travailler à permettre une plus grande liberté de mouvement à nos concitoyens.

Il regarde sa fiche, pause, avant de reprendre :

président Arash Farajpour a écrit :
Je crois que nous avons couvert les sujets d'économie, d'éducation, de recherche et de diplomatie. Nous nous félicitons des accords que nous avons pu trouver jusque la.
A présent, je pense judicieux d'aborder l'aspect culturel. Nous serions plus que disposés à l'ouverture de centres culturels dans nos pays respectifs en plus des ambassades. Cela ne pourrait que renforcer les liens qui nous unissent. Si vous n'y voyez pas d'inconvénients, nous pourrions également convenir de l'organisation d'événements culturels et sportifs entre nos deux nations.
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Valentin Corentin fait la moue et prend la parole :

Valentin Corentin a écrit :
Je propose de remettre à plus tard, une autre rencontre pourquoi pas la discussion concernant les produits agricoles. Pour l'instant, nous y sommes réticents.

Il faut dire que les agriculteurs ont permis en d'autres l'élection de l'actuel gouvernement. Ce qui semble ici coincer le gouvernement sur la question. La Reine prend la parole sur la question culturelle.

Catherine III a écrit :
Dans un premier temps, nous pensons que l'ouverture de quatre centres culturels concernant votre nation au sein du Royaume de Teyla est un bon début. Le gouvernement participera financièrement à hauteur de vingt pour cent. De plus, nous pouvons organiser un match amical entre nos nations en football. S'il vous convient aussi nous pouvons faire une exposition d'œuvre commune répertoriant quelques-unes des œuvres de nos nations. Pendant un mois, cela serait exposé dans votre pays et dans le mois suivant au Royaume de Teyla.
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