président Arash Farajpour a écrit :
Ne vous y méprenez pas, nous ne vous attribuons aucune ambitions belliqueuses d'aucune sorte. Voyez vous, un pacte de non agression est une simple formalité afin de définir un cadre légal. Des sortes de fondations qui nous permettent de construire l'aspect défensif de notre collaboration.
Je tiens également à vous rassurer en vous disant que nous comprenons parfaitement votre décision d'attendre d'avantage avant de vous engager dans un traité d'assistance mutuelle. Néanmoins nous pouvons vous assurer que cette proposition tiendra jusqu'à ce que vous soyez en mesure d'y apporter une réponse ferme, qu'elle soit favorable ou non. Et que, bien entendu, une réponse négative n'aura aucune conséquences pour nos relations bilatérales. Je peux par ailleurs vous garantir que notre engagement dans un tel traité sera total et immédiat dès son entrée en vigueur.
Si vous me le permettez, je souhaiterais expliciter d'avantage l'aspect des exercices de ma proposition. Nous n'envisageons bien évidemment pas d'exercices d'envergure à l'heure qu'il est. Non seulement car nos forces ne savent pas encore travailler ensemble, mais également car le contexte géopolitique ne le nécessite pas. Cependant, des exercices d'opportunités peuvent être organisés régulièrement. Ces exercices en taille réduite permettraient principalement à nos forces armées respectives de mieux se connaitre et d'apprendre à terme a pouvoir travailler ensemble. Il s'agit de la première pierre vers une interopérabilité plus complète. Pour vous donner un exemple, deux de nos navires se croisant en mer pourraient effectuer quelques heures d'exercices de coopération ensemble, avant que chacun reprenne sa route. On peut encore imaginer que quelques avions de nos forces aériennes viennent voler ensemble dans des scénarios plus ou moins complexes. Il s'agit du principe d'exercices de passage, ou de "PASSEX". Ils n'engagent a rien en soit et ne peuvent être perçu comme rien d'autre que l'entrainement continu de nos forces. En soit, ces "exercices" pourraient très bien durer que quelques heures, jusqu'à pourquoi pas plusieurs jours a terme. Je le répète, il s'agit avant tout de permettre à nos forces armées de se connaitre plutôt qu'une préparation a une escalade ou a une guerre. Mon ministre des armées sera ravis de fournir plus amples détails au votre si vous le souhaitez.
Le continent de l'Afarée est malheureusement tiraillé par les conflits et par les velléités impérialistes de certains états dont il n'est pas la pratique commune de se soumettre au droit de souveraineté des états légitimes. Les exemples en sont malheureusement trop nombreux: insurrection au Mokhai, confrontation ouverte dans le détroit de Leucytalée ou soulèvement anticolonial du Jadida... C'est sans compter les guerres civiles qui menacent dans nombre de pays instables du continent.
Pour autant, notre région de l'Afarée bénéficie d'un degrés de stabilité et de prospérité qui rivalise avec les continents que certains seraient tenté de qualifier de "plus développés". La République faravanienne elle-même bénéficie d'excellentes relations avec ses pays voisins et dispose d'alliés qui comptent afin de garantir la sécurité de notre région.
Je peux vous confier que nous avons foie en notre modèle de gouvernance commun. De ce fait, notre discours ne changerait pas et ce, même si vous étiez directement menacé. Nous avons appris que la démocratie est un modèle fragile, certes, mais qui mérite que l'on se batte pour lui. Voici ce en quoi nous croyons fondamentalement.
Je tiens également à vous rassurer en vous disant que nous comprenons parfaitement votre décision d'attendre d'avantage avant de vous engager dans un traité d'assistance mutuelle. Néanmoins nous pouvons vous assurer que cette proposition tiendra jusqu'à ce que vous soyez en mesure d'y apporter une réponse ferme, qu'elle soit favorable ou non. Et que, bien entendu, une réponse négative n'aura aucune conséquences pour nos relations bilatérales. Je peux par ailleurs vous garantir que notre engagement dans un tel traité sera total et immédiat dès son entrée en vigueur.
Si vous me le permettez, je souhaiterais expliciter d'avantage l'aspect des exercices de ma proposition. Nous n'envisageons bien évidemment pas d'exercices d'envergure à l'heure qu'il est. Non seulement car nos forces ne savent pas encore travailler ensemble, mais également car le contexte géopolitique ne le nécessite pas. Cependant, des exercices d'opportunités peuvent être organisés régulièrement. Ces exercices en taille réduite permettraient principalement à nos forces armées respectives de mieux se connaitre et d'apprendre à terme a pouvoir travailler ensemble. Il s'agit de la première pierre vers une interopérabilité plus complète. Pour vous donner un exemple, deux de nos navires se croisant en mer pourraient effectuer quelques heures d'exercices de coopération ensemble, avant que chacun reprenne sa route. On peut encore imaginer que quelques avions de nos forces aériennes viennent voler ensemble dans des scénarios plus ou moins complexes. Il s'agit du principe d'exercices de passage, ou de "PASSEX". Ils n'engagent a rien en soit et ne peuvent être perçu comme rien d'autre que l'entrainement continu de nos forces. En soit, ces "exercices" pourraient très bien durer que quelques heures, jusqu'à pourquoi pas plusieurs jours a terme. Je le répète, il s'agit avant tout de permettre à nos forces armées de se connaitre plutôt qu'une préparation a une escalade ou a une guerre. Mon ministre des armées sera ravis de fournir plus amples détails au votre si vous le souhaitez.
Le continent de l'Afarée est malheureusement tiraillé par les conflits et par les velléités impérialistes de certains états dont il n'est pas la pratique commune de se soumettre au droit de souveraineté des états légitimes. Les exemples en sont malheureusement trop nombreux: insurrection au Mokhai, confrontation ouverte dans le détroit de Leucytalée ou soulèvement anticolonial du Jadida... C'est sans compter les guerres civiles qui menacent dans nombre de pays instables du continent.
Pour autant, notre région de l'Afarée bénéficie d'un degrés de stabilité et de prospérité qui rivalise avec les continents que certains seraient tenté de qualifier de "plus développés". La République faravanienne elle-même bénéficie d'excellentes relations avec ses pays voisins et dispose d'alliés qui comptent afin de garantir la sécurité de notre région.
Je peux vous confier que nous avons foie en notre modèle de gouvernance commun. De ce fait, notre discours ne changerait pas et ce, même si vous étiez directement menacé. Nous avons appris que la démocratie est un modèle fragile, certes, mais qui mérite que l'on se batte pour lui. Voici ce en quoi nous croyons fondamentalement.