Lettre mystérieuse reçu préalablement a écrit :
Bonjour,
Je me présente, je suis Lorenzo Geraert-Wojtkowiak. Je suppose qu'il n'y a pas de besoin nécessaire d'en dire plus. J'ai eu le grand plaisir de lire l'un de vos articles, que vous avez réalisé à l'occasion d'une visite mondiale de toutes les nations communistes.
Je souhaiterais en discuter avec vous.
Vous êtes invité à mon bureau, camarade.
Je me présente, je suis Lorenzo Geraert-Wojtkowiak. Je suppose qu'il n'y a pas de besoin nécessaire d'en dire plus. J'ai eu le grand plaisir de lire l'un de vos articles, que vous avez réalisé à l'occasion d'une visite mondiale de toutes les nations communistes.
Je souhaiterais en discuter avec vous.
Vous êtes invité à mon bureau, camarade.
Citation a écrit :
"Le communisme est l'avenir de notre monde. Viendra un jour, proche ou lointain, maintenant ou dans des siècles, où les travailleurs du monde entier se lèveront et se battront contre la bourgeoisie oppressante du capitalisme. Un jour, un soleil rouge se lèvera dans le ciel, et celui-ci sera la preuve qu'une société sans classes sociales, fondée sur une égalité parfaite, peut exister. J'ai confiance en cet avenir. La guerre que nous vivons est une litanie d'horreurs. Mais elle est nécessaire, car sinon nos idéaux et qui nous sommes seront écrasés comme de vulgaires insectes. J'ai confiance. "
Lorenzo Geraert-Wojtkowiak, La guerre civile Loduarienne, 2002.
Lorenzo attendait dans son bureau l'arrivée tant attendu du journaliste. C'était pas souvent que le journalisme étranger parlait presque en bien de la Loduarie, et il fallait en profiter. Bon, cela ne camouflait pas les différentes prises de positions anti-régime qui apparaissaient dans l'article, mais ce n'était rien de bien méchant. Vraiment rien.
Alors Lorenzo attendait. Encore et encore.
Une voiture arriva, et un soldat réceptionna la personne qui en sortit. Comme il est de coutume, le journaliste fut trimbaler un peu partout dans la vaste résidence de secrétaire général, pour lui faire perdre ses sens au visiteur, et également des possibles impressions de supériorité.
Il ne tarda pas à arriver en face de la porte, où le soldat toqua pour lui.
Entrez !