Bureau des Affaires extérieures |.gouv/diplo|

Vous vous apprêtez à entrer en communication avec le Bureau des Affaires extérieures de la République Sociale du Prodnov


Son ministre de la diplomatie est le camarade Artemiy Loginov Victorovich




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Palais Romanov, siège du Bureau des Affaires extérieures.
Les heures les plus noires de la nation prodnovienne sont passées. Sont nés de ces années de souffrances et de lutte acharnée, divisions et apocalypse. Le Prodnov n'est plus qu'un fracas de territoires sous le joug des puissants étant intervenus pour libérer le peuple souverain prodnovien. Des milliers de personnes ont quitté le pays, des millions de personnes sont mortes et cela seulement car ils avaient le courage de dire "non". Le pouvoir totalitaire communiste n'est plus, la peur n'est plus reine, l'angoisse n'est plus Roi. Le Norstalkian, le Pharois Syndikaali, l'Alguarena, la Lutharovie, Novigrad, le Lofoten et les autres puissances belligérants sont tous et tous des libérateurs. Peut importe leurs opinions, leurs actions ou leurs idéologies. Ces peuples que tout oppose sont intervenus pour dire "stop" aux massacres, stop à la violence, stop au mépris, stop au totalitarisme.

Peprolov, martyrisée, Peprolov bafouée mais Peprolov libérée et démocratisée. Nous ne voulons plus être reconnus comme État constitutif du Prodnov, ce pays qui dans les têtes de tous les citoyens et cela peu importe leurs genres ou leurs avis, résonne comme un état-camp de concentration et d'extermination. Nous regrettons énormément de chose, mais pas d'être devenu ce que nous sommes, libre. Les peuples frères du Vogimska, de la Lutharovie et de la République libre du Prodnov doivent travailler ensemble, unies mains dans la main malgré les différences et les désaccords. Nous avons besoin de l'aide de tous et de toutes pour redevenir ce que nous étions, un peuple autonome et peuple indépendant. La route est encore longue et parsemée d'embûches mais nous y arriverons, car la volonté du peuple peprolois est et sera de vivre en harmonie.

Beaucoup de peuples divisés chercheraient la réunification et cela coûte que coûte, quitte à le faire de force en sacrifiant des milliers d'âmes innocentes, ne demandant que de vivre en paix. Nous n'en voulons pas, ni réunification, ni usage de la force. Chaque État doit vivre sa route, sa destinée par rapport à ces ambitions. Mais nous le devons jamais remettre en cause les liens qui nous unissent. Une histoire commune, des martyrs communs, une langue commune, une culture commune et un combat commun. Développons-nous ensemble, pour prouver à chacune des nations du monde entier que la division de nous a affecté et que la liberté soudaine nous désorganise pas au contraire, qu'elle nous rend plus forts. À ça nous devons y arriver, en frères du cœur et de la main. Unité et Droit et Liberté sont les fondations du bonheur, fleurissons dans l'éclat de ce bonheur, fleurissons États prodnoviens.

Pour la communauté internationale, entrer en contact avec nous, nous reconnaître serait un grand pas vers la réussite et le progrès. Peut importe vos positions, votre idéologie, nous avons besoin de tout le monde et surtout de soutien. Sans vous, il n'y aura pas de République peprovite car c’elle-ci sombrera dans l'anarchie et dans la misère. Nous ignorer serait condamné lentement les 2 092 731 d'êtres humains qui possèdent largement les moyens de réussir. Nous allons réformer le pays, stabiliser l'économie, remettre en place la justice et l'éducation. Nous sommes proches de la péninsule Albienne mais nous voulons faire de même avec les puissances de l'ONC car notre neutralité doit être sans failles. Nous sommes indépendants. Peprolov a ses propres positions, son propre avenir, ses propres projets. Ajoutez votre pierre à l'édifice de la liberté !

BUREAU DES AFFAIRES EXTERIEURES PEPROVITE
Palais Romanov, 5300 Place de la Nation, Peprolov Centre

4 mai 2008,
Ministère du Commerce et des Mers, Gyugograd

Salutations,

La crise au Prodnov a bouleversé l'Eurysie de l'Est. Multiples sont les conséquences de cette crise, et elles sont pour la plupart lourdes. La crise s'est résultée par un massacre à Bridjesko, et une guerre muette, sans aucun sang versé, mais qui n'a pas laissé la population indemne. Le régime communiste totalitaire qui régnait sur le Prodnov avec une main de fer est tombé aujourd'hui, et les derniers vestiges du communisme au Prodnov ne se résument qu'à la zone d'occupation de la Lutharovie. Le pays a longtemps été délaissé par son gouvernement et il est à présent dans un état pitoyable. Il est donc nécessaire de le reconstruire, et de redonner espoir au peuple Prodnovien ayant subi la crise et les massacres.

Ainsi, dans l'optique de la reconstruction de Peprolov et du redressement économique de la région, nous vous faisons parvenir une certaine somme d'argent, qui permettra à Peprolov de se redresser. Les heures sombres sont passées, à présent, l'heure est de donner un avenir meilleur à la jeunesse de Peprolov et du Prodnov tout entier.

Veuillez accepter mes plus sincères salutations,

Nikolaï Molotov,
Ministre du Commerce et des Mers de Lutharovie

Qui que soit le lecteur qui nous répondra,

Nous savons que les récents événements on été durs, et que la communauté internationale a un peu oublié le Peprolov. Aussi, au nom de l'Union des Terres australes de Shuharri, je vous invite à entrer en contact avec nos représentants de la Gyasarr, et moi en particulier, si vous le désirez, nous serions, je pense, disposés à coopérer et à vous fournir différents soutiens pour la reconstruction du pays. Parce que vous aussi avez le droit à des jours meilleurs.
Puissions-nous tenir l'hiver ensemble,

Yuu aon Laonko, au nom de l'Organisation Étatique de l'Union des Terres australes de Shuharri

Cher monsieur Andrejew,
En réponse au message que vous avez eu la gentillesse de nous faire parvenir, nous souhaitons toujours établir, si vous le souhaitez, des liens de coopération. Votre réticence à laisser entrer des intérêts étranger sur vos terres est compréhensible, et on fait d'ailleurs difficilement plus méfiant qu'un Shuh sur la question. Nous préférons laisser çà à ceux qui décident de chiffrer la valeur des services et d'un travail en unités monétaires. Si vous pouvez imaginer pour votre population mieux que du PIB et que vous pensez important de prendre en considération ce que votre pays sera dans une vingtaine d'années, nous somme faits pour nous entendre. C'est pourquoi nous préférons discuter, longuement s'il le faut, qu'utiliser un appel d'offre en lieu et place de dialogue. Il existe bien des manières d'interagir. Si ce que vous recherchez est des investisseur privés, nous pouvons dépêcher des gens pour discuter directement avec la population, voir ce qu'elle souhaiterait faire, et ce dont elle aurait besoin.
Bien cordialement,
Yuu aon Laonko

A l'attention de Dominique Andrejew

Alors là on parle !

Si vous pensez que nous sommes là pour faire la guerre, vous ne comprenez pas l’Hémisphère Sud ! Nous devons également gérer les cendres d'une révolution à Hohhothai, une crise migratoire à Tumgao, et depuis peu, les signes d'une nouvelle éruption vers le sud des Terres australes. Si nous gérions chaque catastrophe en faisant la guerre, nous serions morts depuis des siècles. De plus, je n'imagine pas que beaucoup de gens au Peprolov aient même lu ces communications, sans même parler d'être sceptiques, sauf si la lecture de missives diplomatiques passionne à ce point les foules, je sais que ce n'est pas le cas dans la plupart des pays, le nôtre y compris. Le Prodnov est partitionné, le régime a complètement changé, pour le moment, il n'y a plus de guerre, si vous voulez encore en mener une, c'est votre affaire et nous n'y participerons pas. Sinon, la suite est à la médiation de paix, c'est à vous et à vos ressortissants respectifs de gérer les blessures aussi douloureuses soient-elles qu'ils ont dû endurer. Rappelez-vous simplement que chaque nouvelle guerre qui passe rendront vos frontières encore plus imperméables. Du Sud, nous observons que la poudrière eurysienne risque un jour de plonger le monde dans un hiver sans fin, nous essaierons, comme chaque été précédent, de nous y préparer, et comme chaque hiver précédent, d'y survivre. Ceci est notre camp : les siècles qui suivent, les millénaires qui suivent, et l'intérêt de nos descendants.

Il reste que deux populations se retrouvent sur le carreau, et çà, ce n'est pas une guerre, c'est une reconstruction, et çà, on sait le faire. L'ONC a décidé de s'ingérer dans les affaires du Prodnov dans un appel d'offres public, donc accessible à tous, grand bien leur fasse. C'est le principe de ce genre d'appels d'offre : tout le monde peut candidater, y compris le Pharois et le Kah, même vous d'ailleurs, et si vous avez réellement lu nos offres, nous ne proposons même pas réellement des entreprises, et ce ne sont pas des entreprises qui se portent volontaires, mais des tribus, des clans, des villes, des jeunes. Les offres ne seront probablement pas acceptés, mais rien que leur existence peut avoir des effets sur le pays. Ce que nous proposons, c'est des hôpitaux de campagnes, un hôpital psychiatrique, des rails, un Internet, aucune armée, les prodnoviens en ont besoin, et nous pouvons proposer une autre vision des services publics que les intérêts d'états de l'ONC, un jour, au Prodnov, lorsqu'ils devront faire face à un régime capitaliste brutal et qu'ils en viendront à regretter le communisme, quelqu'un rappellerait qu'au Nazum, en Afarée et en Paltoterra du Sud, à des milliers de kilomètres, des villes, des tribus et des gens leur avait proposé une autre voie.

Message secretInformation secrète réservée aux personnes autorisées
Il se trouve que vous êtes encore en capacité de ne pas faire la même erreur, il serait peut-être temps de mener de réels débats publics, de discuter avec votre population, et de réfléchir à ce que le Peprolov veut être dans les prochains siècles. Ce que vous nous demanderez ou non, çà se discute. Ce ne serait pas nécessairement des investisseurs d'ailleurs, çà pourrait très bien être des médecins, des concerts, ou du cidre du Sud, il est plus question d'une boîte à outils. Ce que nous obtiendrons en retour, çà se discute également, une situation un peu moins tendue dans la région serait déjà un gain, mais chacun de nos peuples à sa vision, j'imagine qu'il en est de même au Peprolov. Si nous faisons les bons choix, nos jours ne sont pas comptés.
Puissions-nous tenir l'hiver,
Yuu aon Laonko

A Dominique Andrejew, pour la République de Peprolov,

Monsieur Andrejew,
Nous savons très bien que Staïglad n'accepte pas les investissement de n'importe qui. Ils acceptent néanmoins les propositions de n'importe qui, et ces propositions sont déjà des informations. De notre côté, la tentative d'améliorer le sort de la population à Staïglad et dans les autres villes et zones rurales du pays est non négociable, de même que la tentative de calmer un des nombreux points de tension eurysiens. Imaginez bien que vous n'affronterez pas Staïglad seuls, et qu'ils n'essaieront pas de vous écraser seuls. Une guerre contre Staïglad, sera également une guerre entre vos alliés et l'ONC, et une guerre contre vos alliés et l'ONC impliquant d'autres partis. Nous ne nous réveillerons pas un matin en apprenant que nous avons laissé une guerre s'envenimer sans même tenter d'agir jusqu'à destruction de pays entiers. Si une telle guerre arrive, aucun soutien ne viendra de nous, ni pour le Peprolov, ni pour Staïglad et son pays, ni pour aucune partie impliquée.

D'ici-là en revanche, vous disposez d'un soutien possible, qu'il revient à vos peuples, éventuellement vos candidats, et vous, d'utiliser ou non. En faisant appel à des ressources ou à autre chose. Vous le savez, vos candidats le sauront, vos successeurs le sauront, et finalement, vos ressortissants le sauront. Mais au bout du compte, la décision vous revient. J'espère, et ce quelque soit vos choix, que dans un avenir possiblement pas si lointain, vous connaitrez la paix.
Bien à vous,
Yuu aon Laonko

COURRIER DIPLOMATIQUE CONFIDENTIEL

33 AVENUE DU ROI ALEXANDRE II
LINKOGRAD, DISTRICT III
SVOBANSKY-NORMANIE


À l’attention de Monsieur Dominique Adrejew, Président de la République de Peprolov.
L’heure est venue de donner ensemble une nouvelle impulsion à la paix et à la réconciliation. J’appelle donc la communauté internationale à redoubler d’efforts pour parvenir à un cessez-le-feu mondial d’ici à la fin de l’année pour calmer toutes les tensions présentent en Eurysie afin d’en faire un havre de paix et de fraternité comme il le fut jadis.

Aussi, pour parvenir à ces fins, j’invite les représentants de la République de Peprolov, à assister dans les jours qui suivent, à une conférence internationale afin de rayer de la carte toute forme de tensions qui menacerait la race humaine, la souveraineté des peuple et la fraternité.

Nous en appelons aux dirigeants et aux nations avides de paix, d’égalité et de sécurité.

Je vous prie d'agréer, monsieur Andrejew, l'expression de ma considération distinguée.


Eleonóra Kemenes
Ministre des Affaires étrangères



La présente missive est confidentielle, en cas de perte merci de la transmettre le plus rapidement possible au Consulat ou à l’ambassade svobansk - normanienne la plus proche. En cas de divulgation du contenu confidentiel, les auteurs de ce crime d'État s’exposent à de fortes sanctions et exposent également leurs pays à une crise diplomatique. Les services de renseignements svobansk - normaniens se réservent le droit de tracer la présente missive jusqu’à ce que celle-ci soit arrivée à bon port.

Au Premier Ministre Peprovite,
Au camarade Malyshev Alexei Stanislavovich,

Cher monsieur,

C'est avec grande joie que j'ai pris connaissance des résultats électoraux de la Sborka peprovite. Permettez moi donc de saluer votre victoire et nomination en tant que premier ministre de la République de Peprolov. Je sais que sur ce point nos positions diffèrent mais sachez que la bonne tenue des élections est pour nous un gage de légitimité qui vous renforce d'autant.

Il tardait au gouvernement Pharois de savoir à qui s'adresser à Peprolov. Notre travail sur le terrain avec les autorités prodnovienne a jusque-là, je m'en enorgueilli, été un succès, mais comme vous l'avez assez bien répété pendant la campagne, il est désormais temps que la République se dote d'un cap qu'elle aura elle-même choisie.
Les Peprovites ont fait leur choix, et les Pharois les soutiendront. Car il y a bien des choses à discuter à présent et que leur urgence ne souffre pas d'être laissées en suspens trop longtemps.

Je me rends actuellement en Svobansky-Normanie pour la conférence de paix où, je crois, vous même avez été conviés. J'espère vous y croisé, armé d'une majorité solide. La conférence devrait avoir lieu dans dix jours, ce qui vous laisse bien assez de temps pour constituer un gouvernement je pense. La conférence svorbanske sera l'occasion de nous rencontrer enfin, j'ai matière à penser qu'il n'est de véritable fraternité qui ne se regarde dans les yeux.

A propos de votre venue, je me permets, au nom du Syndikaali, de vous un cadeau. Un de nos tous derniers modèles d'avion de ligne, de qualité militaire. Il est impensable qu'un chef d'Etat ne puisse circuler à sa guise dans le monde et Peprolov mérite de s'afficher au fleuron de la technologie. C'est le sens que nous avons voulu donner en unissant nos sciences avec Albigärk, il est naturel que vous en récoltiez également les fruits.

D'ici à la conférence, je vous souhaite bon courage et ne vous tuez pas trop à la tache. Nous aurons besoin de vous en forme.
Au plaisir de vous rencontrer,


Capitaine Mainio,
Ministre des intérêts internationaux du Pharois Syndikaali

CABINET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES DE LODUARIE

Lettre à l'intention de Monsieur Malyshev Alexei Stanislavovich, premier ministre de la République Sociale du Prodnov.
Camarade Malyshev Alexei Stanislavovich, félicitations. Quel bonheur de voir que après tant de tensions, tant de revers et tant de difficultés, le communisme triomphe toujours envers le peuple Prodnovien. Je me souviens d'il y a 2 ans, lorsque je contactais alors le Prodnov après la mort du camarade Gwepolosk Belleski, lâchement assassiné par des ennemis du peuple. À ce moment là, rien n'aurait pu laisser penser que la situation allait dégénérer pour aboutir à la situation que nous connaissons actuellement. Un pays divisé et opprimé par l'impérialisme des capitalistes de L'ONC, tel est la situation que nous avons toujours combattu.

Il est maintenant temps de faire bloc ensemble contre l'impérialisme capitaliste de notre monde. Je ne passerais pas par quatres et j'ai une proposition à vous faire. Historiquement, le Prodnov et la Loduarie on réalisé un échange d'ambassadeurs respectifs. Suite à la chute de Staïglad et à la proclamation de la soi-disant "République Libre de Prodnov", notre ambassade a dû être déplacé à Bridjesko, principale ville de la province de Galkovine, actuellement contrôlé par la Lutharovie, et l'ambassade Prodnovienne en Loduarie a du fermer, faute de nation existante pour la maintenir en vie.
Je vous propose ceci : notre ambassadeur, historiquement ambassadeur Loduarien au Prodnov et son équipe seront prêt à déménager à Peprolov si vous acceptez. Bien entendu, l'ancienne ambassade de Prodnov en Loduarie reouvrira ses portes pour vous et votre ambassadeur. Cela nous permettra de réaliser un échange d'ambassadeurs dans les règles et dans la continuité des actions que nous avions menés avec le Prodnov. De plus, je vous propose également une alliance militaire, chose que nous avions également développé avec le Prodnov, avant que votre administration centrale décide de se rendre aux armées albiennes.

La nouvelle République Sociale du Prodnov est également invitée à déposer une candidature à l'Union des Nations Communistes et Socialistes, candidature que nous pourrons faire passer en convaincant nos camarades membres de l'Union.

Sur ce, camarade,
Пролетарии всех стран, объединяйтесь!
Veuillez accepter l'expression de mes sentiments les plus distingués,

Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, secrétaire général de la Loduarie communiste

CABINET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES DE LODUARIE

Lettre à l'intention de Monsieur Malyshev Alexei Stanislavovich, premier ministre de la République Sociale du Prodnov.
Camarade Malyshev Alexei Stanislavovich, la révolution sera éternelle. Nous souhaitons autant que vous la réunification du Prodnov. Il s'agit de la seule mesure que nous avons toujours souhaité, malgré les exigences de nos alliés Pharois et Norstalkians. Malheureusement, nous n'avons pas pu tenir ces objectifs, faute de moyens. Mais il n'est jamais trop tard.
Dès demain je motiverait au parlement de L'UNCS une aide militaire, qui aura pour but l'envoi de 10 000 formateurs venant de toute l'Union en République Sociale de Prodnov. Et vous pouvez considérer que 2 500 soldats Loduariens sont déjà prêts à entraîner votre armée. Les anciens contigents militaires présent au Reylos et étants intervenus sur l'ex-territoire Peprovite en collaboration avec nos alliés Albiens seront de retour sur votre territoire, et vous aiderons. Si possible, une base militaire Loduarienne pourra être établie sur votre sol, afin de fournir un endroit où vivre à nos formateurs, ainsi qu'un lieu d'entreposition de leur matériel et véhicules, si possible.

Je comprends que vous refusiez pour le moment d'adhérer à l'Union des Nations Communistes et Socialistes, au vu de votre position actuelle. Sachez que si, à tout moment, vous souhaitez faire de la République Sociale de Prodnov un membre à part entière, vous pourrez déposer votre candidature et nous n'aurons qu'à la valider.

Bien entendu, votre ambassade en Loduarie est déjà prête, le nouveau drapeau du Prodnov vert et rouge orné du Marteau et de la Faucille flottant déjà au dessus de votre ambassade. Notre équipe diplomatique règle ses dernières affaires à Galkovine, et elle arrivera bientôt par la voie de la mer.
При этом, товарищ,
Пожалуйста, примите выражение моих самых выдающихся чувств,

Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, secrétaire général de la Loduarie communiste

CABINET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES DE LODUARIE

Lettre à l'intention de Monsieur Malyshev Alexei Stanislavovich, premier ministre de la République Sociale du Prodnov.
Camarade Malyshev Alexei Stanislavovich, je comprends votre décision. Mettre en place des bases militaires autres que Prodnoviennes au Prodnov serait en effet très déstabilisant pour l'apparente paix actuelle. Et je suis sur que ces connards de putschistes qui tiennent actuellement Staïglad et ses environs, rendant véritablement impossible tout gage de paix.
Nos officiers sont déjà partis, ils seront commandés par le Général Piotr Jules Adamsky.
Mais soyez en sûr : la Loduarie se tiendra toujours à vos côtés.
При этом, товарищ,
Пожалуйста, примите выражение моих самых выдающихся чувств,

Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, secrétaire général de la Loduarie communiste

le 12 avril 2009,
Kremlin de Gyugograd,
République Socialiste Fédérative de Lutharovie

À l'intention de Malyshev Alexei Stanislavovich, Chef d'État de la République Sociale du Prodnov,

Cher camarade,

J'ai longuement réfléchi au sujet de votre lettre. J'espère d'ailleurs que l'attente de ma réponse n'était pas trop longue, mais céder un territoire à un état nécessite une grande réflexion avant de procéder à quoi que ce soit. J'ai pu débattre sur le sujet de votre proposition avec le Politburo et avec l'état major de l'armée Lutharovienne stationnée en Galkovine.

Ainsi, après plusieurs longs jours de débats et de réflexion, c'est avec joie que je vous donne notre accord pour céder la Galkovine à la République Sociale du Prodnov. Le peuple Prodnovien ne peut pas continuer à être divisé, et c'est en toute logique que nous avons décidé de procéder à la rétrocession de la Galkovine.
La rétrocession est donc prévue pour le 15 avril 2009 à dix heures du matin. À ce moment là, le drapeau Lutharovien laissera place au drapeau de la glorieuse République Sociale du Prodnov. Nous organiserons un dernier défilé militaire en dans le stade de Bridjesko en guise d'adieu au peuple Prodnovien, avant de quitter définitivement la Galkovine le 20 avril 2009, si cela vous convient. Puissions nous construire ensemble un nouveau Prodnov.
Je vous souhaite d'ici là bonheur et prospérité,


Alexeï Vorpenko,
Président de la République Socialiste Fédérative de Lutharovie

CABINET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES DE LODUARIE

Lettre à l'intention de Monsieur Malyshev Alexei Stanislavovich, premier ministre de la République Sociale du Prodnov.
Camarade Malyshev Alexei Stanislavovich, voici un petit don de notre part. Utilisez bien ce matériel, et votre défense sera assurée.
Camarade Geraert-Wojtkowiak Lorenzo a écrit :Liste du matériel envoyé :

• 25 canons tractés de première génération
• 25 mortiers tractés de première génération
• 6 lances roquettes multiples de première génération
• 20 canons antiaériens fixes de première génération
• 6 canons antiaériens mobiles de première génération
• 1 lance-missiles antiaérien mobile de première génération
• 8 hélicoptères légers polyvalents de première génération
• 5 vedettes de première génération

Veuillez accepter l'expression de mes sentiments les plus distingués,
Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, secrétaire général de la Loduarie communiste

QUEENDOM of AUMERINE

FOREIGN AFFAIRS and TRADE

Aumérine, le 11 juillet 2009S.E. Krasnov Leontiy Vyacheslavovich
Ministre des Relations extérieures
République Sociale du Prodnov
Peprolov Centre


Votre Excellence,

Nous n'en avions pas encore eus véritablement l'occasion mais nous tenions tout d'abord par vous présenter nos plus plates excuses concernant notre implication - même si à l'époque celle-ci reste passive et non consentie - dans l'agression et l'injustice qu'à subit le Prodnov face à l'ONC.

En gage de notre bonne foi, nos équipes sont unanimement tombées d'accord pour offrir au Prodnov une centaine de nos chasseurs-bombardiers de première génération. En espérant sincèrement que ce généreux don pourrait amplement contribuer à réchauffer nos relations distendues.

Par la même occasion, nous aimerions en profiter pour opérer à un rapprochement diplomatique par le biais d'un échange d'ambassades.

En attendant un retour de votre part qui, je l'espère sera positif, nous souhaitons paix et prospérité à votre nation.

Bien cordialement.


Ce message ainsi que toutes les pièces qui y sont jointes (ci-après le "message") sont établis a l'attention exclusive de ses destinataires.
Si vous recevez ce message par erreur, merci de le détruire et d'en avertir immédiatement l’expéditeur par n'importe lequel des canaux disponibles.
Toute utilisation de ce message non conforme à sa destination, toute diffusion ou toute publication, totale ou même partielle, est interdite, sauf autorisation expresse.

À l'attention de M. Malyshev Alexei Stanislavovich,

Monsieur,

Il y a deux ans, le Prodnov et les nombreuses aspirations sociétales souhaitées pour ce dernier amorcèrent la division politique de son entité territoriale. Une division alors défendue par chacun, comme le seul gage de paix durable pour cette région en effervescence.

En dépit de l’accord formel établi entre les parties Accord de paix entre la RLP et l'Union Albienne et de la définition territoriale faite au Prodnov, désormais partagé sous trois entités politiques distinctes, la gouvernance de la République de Peprolov et les autorités administratives lutharoviennes de Galkovine, se sont arrogées le droit, d’acter unilatéralement, l’uniformisation du territoire sous une entité politique nouvelle et la mutualisation de l’ensemble des moyens rattachés. Une annexion politique concrétisée sous le nom de République Sociale du prodnov, en violation complète des Accords de Paix suscités.

À ce changement de statut politique et territorial, rompant les termes de l’accord de paix souscrit par les nations de l’Union Albienne, la République Sociale du Prodnov s’est également offerte le droit d’émettre des revendications fantaisistes Revendications de l'espace maritime de la RLP sur la souveraineté maritime de la République Libre du Prodnov, menaçant d’atteintes aux libertés de déplacement et d’exercice d’une activité professionnelle, l’ensemble des armateurs, pêcheurs, usagers maritimes de la RLP ainsi que les étrangers présents dans des eaux territoriales qui ne leur sont nullement reconnues.

Manifestement, tout porte à croire que les parties prenantes jadis signataires de l’accord de paix ne se considèrent plus tenues par les termes de celui-ci, en plus de faire peser de graves menaces sur les flux de biens et des personnes dans les eaux territoriales de la République Libre du Prodnov.

Par conséquent, je soussignée, Madame Magdalena Sireskaya, Présidente de la République Libre du Prodnov, condamne et dénonce la violation délibérée des termes de l’accord de paix de 2007, par le gouvernement de la République Sociale du Prodnov et enjoint sous quinzaine ce dernier, à réviser les transgressions précitées ainsi qu’à cesser toutes revendications territoriales susceptibles de contrevenir à la souveraineté de notre état ainsi qu'à respecter les bases du droit international.

En cas d'absence de réponse de votre part, nous considérerons que vous avez décidé unilatéralement de rompre les accords de paix, avec les conséquences que cela implique.

Magdalena Sireskaya Магдалена Сирская, Présidente de la République Libre du Prodnov