
Le premier ministre de la Confédération d’Hylvetia, Arthur Berth, le ministre de l’Intérieur de la Confédération d’Hylvetia, Gustav Sondheim, la ministre de la Justice de la Confédération d’Hylveti, Ada Seck, et moi-même, Joackim Löw, ministre des affaires étrangères de la Confédération d’Hylvetia, avons l’immense joie de vous annoncer qu’à la suite d’une opération de la part de nos services de police et services secrets, nous avons pu arrêter, dans une villa de Vevey, Alfonso Jésus Gaos (71 ans), Juan Ezequiel Gaos (51 ans) et Marcos Isaac Gaos (32 ans), ainsi que plusieurs hommes de mains de la famille Gaos dont voici la liste (elle comprend ceux dont nos services sont sûr de l’identité, les « ? » marquent les doutes et le besoin urgent d’identification) : Ramon Cazalla (28 ans), Andrés Cortés (44 ans), Salvador Cortés (42 ans), Max Reyes (?), Manuel Venegas (36 ans), Ernesto Vera (?), Jonatán Abasto (32 ans), Predo Pousa (55 ans), Luis Pareja (?) et Thiago Tasis (37 ans). Sur place, nous avons interpellé plusieurs membres de la famille proche de monsieur Gaos, sa fille, Constanza Gaos (43 ans), ainsi que sa petite fille, Carmen Gaos (21 ans), son petit fils, Arturo Ismael Gaos (17 ans).
Nous avons pu arrêter ces hommes à la suite d’une investigation de plusieurs mois qui a permis à un coup de filet géant. Nous avons découvert qu’Alfonso Jésus Gaos vivait sous une fausse identité dans cette villa de Vevey. Nous avons entamé une surveille des lieux pour en savoir d’avantage. Nous avons pu découvrir un bon nombre d’infractions, de délits et de crimes commis par monsieur Gaos ou ses sbires. Puis, nous avons appris que monsieur Gaos allait recevoir la visite de Marcos Isaac Gaos, son petit-neveu et actuel n°2 de la famille Gaos en Alguarena, ainsi que de Juan Ezequiel Gaos, en cavale pour plusieurs crimes commis en Alguarena. Du reste, nous avons interpellé les suspects en pleine réunion de famille pour l’anniversaire de monsieur Gaos Senior.
Voici maintenant, les fait qui leurs sont reprochés sur le territoire hylvète :
- Alfonso Jesús Gaos est soupçonné de corruption, d’association de malfaiteurs, de crimes en bande organisée, de trafic de drogues, trafic de drogues, de détention d’armes sans permis, de blanchiment d’argent, de trafic d’influence, de faux et usage de faux, de trafic d’être humain, de proxénétisme, de distribution de pornographie, de séjour illégal sur le territoire hylvète. La peine encourue est de 75 ans de prison ferme assortie d’une expulsion définitive du territoire hylvète. Monsieur Gaos est considéré comme étant un individu extrêmement dangereux et il est, à ce titre, actuellement détenu dans un endroit tenu secret pour la sécurité de chacun.
- Juan Ezequiel Gaos est soupçonné de crimes en bande organisée, d’association de malfaiteurs, trafic de drogues, de trafic d’armes, de faux et usage de faux, de trafic d’influence, de trafic d’êtres humains, de proxénétisme, de distribution de pornographie, de blanchiment d’argent, de coups et blessures et d’un assassinat sur le sol hylvète (Leo Reiser, 28 ans, retrouvé mort, dans la forêt domaniales de Vevey en 2003, de plusieurs balles dans la tête. Une enquête a permis de déterminer qu’il avait rendez vous avec monsieur Gaos le jour de sa mort. De plus, le mobile de monsieur Gaos est celui de l’argent. En effet, monsieur Reiser avait contracté une série de lourdes dettes chez monsieur Gaos). Etant estimé extrêmement dangereux, monsieur Gaos est détenu dans un endroit tenu secret. La peine encourue est la peine capitale ou la prison à perpétuité incompressible assortie d’une période de sureté de 105 ans.
- Marcos Isaac Gaos est soupçonné de trafic d’armes, de trafic de drogue, de corruption et de faux et usage de faux, de séjour illégal sur le territoire hylvète. La peine encourue est de 25 ans de prison ferme assortie d’une période de sureté de 30 ans et d’une expulsion définitive du territoire hylvète. Etant estimé comme extrêmement dangereux, il est actuellement détenu dans un endroit tenu secret.
- Ramon Cazalla, Andrés Cortés, Salvador Cortés, Max Reyes, Manuel Venegas, Ernesto Vera, Jonatán Abasto, Predo Pousa, Luis Pareja et Thiago Tasis sont soupçonnés de crimes en bande organisée, association de malfaiteurs, extorsions de fonds, trafic de drogues, trafic d’armes, d’intimidation, de coups et blessures, de détention d’armes sans permis, de faux et usage de faux, de blanchiment d’argent, de trafic d’êtres humains, de proxénétisme et de distribution de pornographie. Ils encourent 60 ans de prison incompressible, assortie d’une période de sureté de 105 ans et d’une expulsion du territoire définitive du territoire hylvète. Ils sont actuellement détenus dans plusieurs prisons en QHS, des cantons du Baarland, de Vern et du Valois.
- Constanza Gaos est en détention pour possession d’une arme sans permis, elle encoure 10 ans de prison assortie d’une période de sureté de 10 ans et d’une expulsion définitive du territoire hylvète. Elle est détenue dans la prison de Vern jusqu’à l’ouverture de son procès.
- Carmen Gaos a été relâchée quelques heures après son arrestation.
- Arturo Ismael Gaos est poursuit pour outrage et rébellion au cours de son arrestation, étant mineur et ayant un casier vierge, il a été condamné en comparution immédiate à une amende de 1500 écus et un rappel à la loi. Il a été remis aux autorités alguarenaises car étant mineur.
Nous vous assurons que chacun a pu consulter un avocat et sera en mesure de se défendre lors de son procès. Cependant, au vu des crimes commis par la famille Gaos en Alguarena, nous avons appliqué un article de la loi hylvète, après concertation avec les services de justice et de police, qui considère messieurs Gaos, Gaos et Gaos comme étant terroristes. Ce qui nous permet de nous assurer de leur détention.
Nous savons à quel point, ces hommes ont profondément meurtris votre pays. C’est pourquoi, pour assurer une bonne collaboration entre nos pays dans cette affaire nous requérons votre aide et votre expertise dans cette affaire ainsi que dans le transfert des suspects pour la poursuite des investigations ainsi que nous n’en doutons pas, des poursuites sur le territoire alguarenais.
Amicalement,
Joackim Löw, ministre des affaires étrangères de la Confédération d’Hylvetia.