21/02/2015
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🍝 Festival international de la Gastronomie - Kotarakyat 2011 - Page 2

Pays : Prima

Catégorie : Spiritueux et vins

Nom du plat ou du chef : Cidre du Val de l'Aire-du-Roué

Photo :

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Description :
Ce cidre est considéré comme le meilleur cidre primain, et à ce titre, et si l'on se fit à la vanité agricole primaine, le meilleur cidre du monde. Évidemment, il serait difficile de donner sur ce point un avis objectif ou définitif, sinon que la cidrerie du val de l'Aire-du-Roué connaît effectivement son travail et que ses bouteilles sont bien bonne. Le cidre, comme le poiré, la frênette et bière, sont des boissons populaires dans le royaume et que l'on consomme presque autant que le vin. Il faut dire que l'on boit beaucoup en Prima, l'on mange beaucoup, et tout ce qui suit dans le registre charnel. Le primain, en effet, surtout le primain rustique, l'homme du cru, est très enraciné. Hors le cidre est, pour ainsi dire, la boisson du terroir par excellence. Aussi il n'est pas surprenant que le royaume compte des centaines, que dis-je, des milliers de cidreries et que les pommiers à cidre y soient si nombreux et si densément plantés. En cela nombreux sont les concurrents sérieux à notre champion en lice.

Là où, cependant, la cidrerie du val l'Aire-du-Roué excelle, c'est dans l'art subtile et secret du mélange des pommes. En effet, l'art du cidre, c'est aussi et d'abord l'art des mélanges de types de pommes à cidre. C'est un art délicat et excessivement complexe dans lequel les maîtres cidriers du val de l'aire-du-roué ont atteint un niveau tel que le titre même de maître qu'on leur décerne est très en dessous de la réalité de leur expertise technique ou plutôt de leur génie artistique. Le cidre ainsi obtenue est brut mais riche en goût et en arômes, fortement effervescent et se digérant bien sans générer trop de gaz ou de transit, le tout grâce à un filtrage des dépôts habilement effectué.

Tout cela dit, il est une question que tout le monde se pose : pourquoi ce nom de «val de l'Aire-du-roué » ? Et bien c'est une appellation tout à fait historique. La cidrerie est construite à l'endroit exact de sa baronnie d’implantation où, jadis, l'on procédait aux exécutions publiques. Ladite baronnie, Le Chaussé (dans le comté de Heurtemont), s'était faite une tradition et pour ainsi dire une spécialité d'exécuter ses brigands odieux en employant le supplice bien connu de la roue. Disons simplement quelques mots à sont sujet pour les quelques uns qui n'auraient pas étés initié à l'art subtile des supplices primains. Il s'agit, pour faire court, d'attacher un homme à une roue, et de lui briser les bras et les jambes, par le moyen d'un bâton, puis on peut faire rouler la roue et se livrer à toutes formes d'actes qui dépendent des us du lieu ou de la fantaisie du bourreau. Et ce supplice était organisé au pied d'une gibet de justice qui se situait anciennement là où l'on trouve à présent le plus grand et le plus ancien des pressoirs de ladite cidrerie. Cela lui donna son nom, mais rien de plus. Cela dit, il est possible de visiter la cidrerie et l'on trouvera la roue, certifiée d'époque. Le supplice de la roue est encore pratiqué dans cette baronnie mais le lieu en a été changé pour permettre une meilleur accessibilité au public, le val étant, de beaucoup, trop étroit et le publique nous le savons bien, vient toujours nombreux à cette festivité judiciaire et dissuasive.
Pays : Prima

Catégorie : Spécialités culinaires traditionnelles ou régionales

Nom du plat ou du chef : Nectar de Bourdon

Photo :

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Description :

Comme décrit dans cet article scientifique très savant produit par l'Académie primaine des Sciences Naturelles (l'article est disponible : ici), cela fait plusieurs années que des savants de Prima, et plus précisément des éthologues, c'est à dire les spécialistes du comportement animal, travaillent activement à la domestication du bourdon. Le but de la manœuvre est de fournir à l'homme un second pollinisateur d'élevage.

Évidemment, les insectes se portent très bien dans le Royaume puisque l'on y pratique pas l'agriculture chimique industrielle qui est exterminatrice de la petite faune. Cependant les savants de Prima ne travaillent pas que pour le Royaume, mais c'est bien pour le genre humain dans son ensemble qu'ils œuvrent. Aussi, nombreux sont les pays qui ont des problèmes avec leurs ruches mais dans lesquels on observe que les bourdons ne se portent pas trop mal. Et bien, il est possible maintenant de les élever, ce qui se fait en Prima. Et d'en tirer deux produits : la cire, qui n'est guère différente de la cire d'abeille, bien que moins prolifique, et le nectar, qui est une sorte de miel mais qui ne se garde pas.

Pour obtenir ce nectar en quantité, et pousser les ouvrières à en stoker le plus possible, l'on procède depuis peu à un « gavage » des fondations par la fourniture de fructose accommodé d'une manière telle qu'il peut être collecté par les ouvrières. Le nid récolte donc des quantités de réserves bien supérieures à ses besoins et l'on peut ainsi prélever des outres de de nectar dont elles n'ont pas l'usage Mais ce produit, bien que délicieux, n'est hélas pas un produit de garde puisque qu'il n'est pas destiné à rester en réserve hivernale, les bourdon étant des animaux annuelles. La solution a été trouvé en le mélangeant à du miel d'abeille, lequel fixe le nectar et permet une conservation très longue, de plusieurs années.

Le nectar de bourdon est un met extrêmement cher, parmi les plus cher que l'on peut trouver puisqu'il faut prélever sur des dizaines de nid d'élevage et à plusieurs reprises pour obtenir une quantité suffisante du précieux liquide. C'est certainement ce qui se fait de plus cher en terme d'alimentation en Prima. Cela dit, l'ensemble de l'argent collecté va au projet de recherche et permet d’accélérer d'autant la qualité de la domestication et l'ampleur de l'élevage. Paradoxalement, c'est un grand luxe qui est très bénéfique à la nature, notamment la flore. En ce qui concerne ses modalités de consommation, il peut se consommer comme du miel, dont il est composé d'ailleurs à 55%. Et on peut l'employer en cuisine bien que les producteurs ne le recommandent pas car il a été observé la préparation thermique ou en mélange de l'aliment avait une lourde tendance à dénaturer le gout très fin de l'aliment. Notons enfin que ledit aliment serait une cure de jouvance d'une grande efficacité, c'est au reste pour cela que les dames du monde primaines, un peu ou beaucoup sur la fin, payent des sommes considérables. Les effets rajeunissants du produit n'ont, pour l'heure, jamais étés testés, mais finiront par l'être dès le production permettra qu'on en achète les quantités suffisantes pour les expérimentations, mais une chose est certaine : c'est très bon ! Enfin, il se dit qu'un vin serait en préparation, mais que la première cuvée ne serait disponible avant l'année prochaine. L'attente sera longue et le prix .... plus grand que l'attente.
Pays : Volignon (au nom de l'OCC)

Catégorie : Spiritueux et vins

Nom du plat ou du chef : La Clarisse

Photo :

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Description :
La Clarisse est une bière blanche brassée par les moniales de l'Ordre des Clarisses de la Charité. Les sœurs la confectionne sur la base d'une recette donnée dans un codex médiéval rédigé au XIIe siècle. La recette n'a pas changée depuis ! Autant dire qu'elle est une partie à part entière de la Tradition Catholagnaise. Certes, on ne peut dire la sainte Messe avec cette bière puisque seul le vin peut être employé pour le saint Sacrifice, mais en dehors de l'église, c'est certainement la plus sacrée des boissons !

Elle est brassée par de saintes femmes ayant orientée leur vie vers Dieu, sa contemplation, son adoration, aussi on n'est pas loin d'une chose pure et sacrée. En effet, la totalité de la production est assurée par les moniales de l'Ordre et personne d'autre ! Les sœurs ne recourent à aucun personnel, elles sont nombreuses, vigoureuses, et motivés à œuvrer, non pas dans les vignes du Seigneur, mais dans ses houblonnière, ce qui n'est pas une mauvaise chose non plus. Par ailleurs, boire de la biére La Clarisse c'est aussi aider ces dames à assurer les frais de leurs maisons de priére. Elles ne vivent certes de pas grand choses, mais pas encore du seul air du temps. Aussi, cet achat est un achat solidaire.

C'est aussi un achat écologique car, conformément aux pratiques primaines et volignonaises, les pesticides et intrants de synthèse sont proscrits dans les fermes de l'OCC, c'est pourquoi en achetant une bière La Clarisse, l'on fait œuvre d'écologie, et même d'écologie profonde en ce que ces dames refusent également la monoculture et d'autres horreurs agronomiques semblables et vont souvent jusqu'à s'approcher voir pratiquer les plus modernes des techniques permacoles. Il en ressort que les couvent de l'OCC, et donc ses brasseries, sont des lieux de protection de la biodiversité et que leur produit sont sains de toute trace de produits chimiques cancérigènes et autres perturbateurs endocriniens qui rendent stérile ou contrefaits.

Enfin, et ce n'est pas le moindre argument, les sœurs produisent la Clarisse un peu partout dans le monde mais n'exporte jamais de trop loin leur production, c'est donc toujours un produit local, et par là même enraciné, aussi c'est faire œuvre de locavorisme que d'en consommer. Vous aidez les vôtres, votre communauté et vos marchands en même temps que vous financez les épouses de Dieu. Que demander de plus ?

Tout cela dit, nous tenons à rappeler que les boissons alcoolisées doivent être consommées avec modération, que sous l'empire de l'alcool on peut se livrer à des comportement violent pour ces messieurs et licencieux pour ces dames et que selon l’apôtre, les ivrognes ne vont pas au Paradis. Consommons donc avec modération, mais consommons bien, et pour ce faire, achetons des bières La Clarisse qui sont des bières bonnes pour notre âme, pour nôtre corps et pour notre peuple.

La Clarisse, la bière qui nous protège des maléfices !
Pays : Sérénissime République de Fortuna
Catégorie : Spiritueux et vins

Nom du plat ou du chef : Hypocras d'Ascalonie - Le Millésime d'Orient
Photo :

Hypocras Sérénissime

Description : Lorsque l'on en vient à parler de cépages et des créations que l'on peut en faire avec autant de techniques que d'innovation, la Sérénissime Fortuna n'est assurément pas en reste et n'a rien à envier à ses voisins voir au reste du monde. Après tout, la viticulture est un art respecté autant que clé de manière générale en Fortuna et pas seulement en métropole. Le Vin est un effet un symbole social et l'une des boissons les plus représentatives de la Républiques, mais surtout à l'image de l'universalité Fortunéenne, le plus réputé d'entre eux se trouve être une association de différents ingrédients venus du Globe.

Ainsi l'Hypocras, du nom de son créateur Hypolion Meleani, un marchand ayant fait fortunes dans le commerce de l'épice et s'étant reconverti dans la viticulture sur la péninsule d'Ascalonie à l'ouest de la Cémétie afin de vivre ses vieux jours est considéré comme le Vin Fortunéen le plus prestigieux depuis plusieurs siècles désormais et non content de cela a pendant très longtemps été auréolé d'une aura toute particulière au sein des cours Eurysiennes car ayant été employé à de très nombreuses reprises comme présents diplomatiques exotiques au même titre que la Soie Ushong d'antan, les épices Nazuméennes, ou le Café du Levant.

S'il est dans les faits un Vin médiéval épicé dont la production été cantonné uniquement à l'Ascalonie, les raisins employés poussant en effet sur les versants ensoleillés de la Mesa Limastara, curiosité géologique fertile locale faisant face aux côtes arides sur lesquelles trônaient le grand port d'Adonis d'où arrivèrent dans le temps croisés et pélerins, l'Hypocras de nos jours a vu sa production de manière générale être démocratisée tant et si bien qu'il en existe diverses variantes produites à travers toute la République. Toutefois, l'original demeure encore à ce jour la fierté d'Ascalonie et si les méthodes de production et de conservation ont évolués avec le temps à mesure des innovations technologiques, la recette ou plutôt les recettes, car il en existe plusieurs en fonction des épices que l'on demeure toutefois plus ou moins la même en dépit des siècles.

De facto, aux grappes généreuses et pulpeuses de raisins fermentés se joignent ainsi un assortiment d'épices dont beaucoup de nos jours viennent du Jashuria ainsi que de quelques autres pays du Nazum, gingembre, cannelle mais aussi poivre voir même des piments écarlates pour ne citer que celles ci sont ainsi des additions communes que l'on peut retrouver mariées au vin en lui même et auquel l'on ajoute au besoin plusieurs grammes de sucres que ce soit sous forme brute ou via d'autres additifs tel du miel, ou à l'inverse des éléments plus salés, ce en fonction des épices employées à la base de tel manière à équilibrer les saveurs et offrir une expérience gustative aussi unique qu'exotique.

De manière générale, il n'est ainsi pas faux d'affirmer que l'Hypocras Ascalonien demeure le porte-enseigne de l'universalisme Fortunéen, un authentique syncrétisme de saveurs autant que d'influence permettant de relier la longue histoire de la Sérénissime a ses aspirations globales et ne saurait ainsi être dégusté qu'afin de rassembler comme aiment à le dire les descendants de Meleani qui ont encore à leur charge la production du spiritueux originel.
Pays : Royaume Stargray Islamique d'Esmea
Catégorie : plat traditionnel

Nom du plat ou du chef : Rozmara

Photo :
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Description :
Le Rozmara est un plat traditionnel qui incarne l'essence culinaire du royaume. Il s'agit d'un ragoût riche et parfumé, préparé avec des morceaux tendres de viande d'agneau ou de bœuf, mijotés dans une sauce savoureuse aux épices locales. Les ingrédients clés comprennent des oignons, de l'ail, des tomates fraîches, des poivrons doux et une combinaison soigneusement équilibrée d'épices telles que le cumin, la coriandre, le paprika doux et le safran. Le secret du Rozmara réside dans le mélange d'épices. Les épices sont torréfiées légèrement dans la poêle pour libérer leurs arômes avant d'être ajoutées à la cocotte. Le cumin apporte une chaleur terreux, la coriandre ajoute une touche citronnée et le paprika doux enrichit la couleur et le goût de la sauce. Le safran, quant à lui, confère une teinte dorée caractéristique ainsi qu'une note subtile et raffinée.
La création du Rozmara remonte au 13ème siècle , à l'époque où les tribus nomades du Royaume Stargray Islamique d'Esmea luttaient pour garder leurs terres contre les factions arabes. À cette époque, la guerre rendait les ressources rares et la survie dépendait de la créativité culinaire. Au cœur de cette époque se trouvait une famille renommée de cuisiniers dans un petit village oublié, les Al-Khazra. Lors d'une migration à travers les terres arides qui bordent les frontières arabes, les Al-Khazra, alors qu'ils s'échappaient des lieux ravager par la guerre, firent la rencontre d'une tribu des basses terres, les Taruka. Les Taruka étaient connus pour leur connaissance profonde des herbes et des épices indigènes. Au cours de leur séjour avec les Taruka, les Al-Khazra apprirent à connaître une herbe rare et puissamment aromatique appelée "Roz" qui poussait exclusivement dans les terres arides de cette région. Les Taruka utilisaient cette herbe pour parfumer leurs plats traditionnels, lui conférant une saveur unique et enivrante. Leur village soufrant de famine, les Al-Khazra voulant aidée les Taruka s'inspira du Roz pour créer un plats nourrissant, consistant et d'une quantité suffisante pour nourrir toute une tribu avec seulement les produits qu'il a sous la main. Ils préparèrent ainsi le premier Rozmara, un ragoût de viande tendre et parfumé qui capturait les arômes uniques de chaque coin du royaume. Les épices chaleureuses et les herbes fraîches se mélangeaient harmonieusement, créant une expérience gustative qui transcendaient les barrières culturelles et ethniques.
Pays : Volignon (au nom de l'OCC)

Catégorie : Spécialités culinaires traditionnelles ou régionales

Nom du plat ou du chef : Chaussée aux moniales

Photo :

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Description :
Ce fromage réputé est l'une des principales productions de l'artisanat monastique des sœurs de l'Ordre des Clarisses de la Charité. Évidemment, cet ordre est d'abord séculier, il s'occupe prioritairement des œuvres de bienfaisance qui est sa mission première, mais il s'est tout de même ménagé une fraction de ses maisons dont les activités, plus contemplatives, permettent de pratiquer l'artisanat à une échelle qui dépasse le couvent. Car dans toutes les maison l'on a un potager et, si possible, une basse cour et même du gros bétail, mais seules les maisons qui n'ont pas de charges charitables particulières peuvent atteindre un niveau de production excédentaire permettant une commercialisation, et par là, pouvant généré des profits (qui sont loin de couvrir les dépenses réelles de l'Ordre qui repose presque totalement sur les dons pour assurer le maintien de ses missions de bienfaisance).

Quand cela arrive, qu'un pouvoir de production est possible, les sœurs peuvent choisir de produire plusieurs choses parmi lesquelles nous trouvons la bière : La Clarisse, produit de grande qualité pour lequel une candidature a déjà été posée (ici), mais aussi le fromage, c'est à dire le Chaussée aux Moniales dont nous parlons actuellement (et bien d'autres choses encore). Comme beaucoup de choses y ont déjà été dites au sujet de l'artisanat monastique quand nous avons présenté la bière des sœurs, notamment sur l'importance morale d'acheter leurs productions et sur les grâces spirituelles que cela apporte, nous allons directement parler du produit.

Le fromage Chaussé aux Moniales est fait avec du lait de vache qui est gardé cru et non pasteurisé affin d'en conserver le goût et les micro organismes utiles pour notre flore intestinale. C'est un fromage à pâte molle très savoureux, que l'on peut manger frais mais qui gagne beaucoup à être frais et coulant. Pour ce faire, il est recommandé de faire une large entame et de laisser le fromage travailler à température ambiante, mais dans sa boite ou bien, idéalement, sous une cloche en verre dans sur un plateau à fromage. Il est également possible d'en faire une sauce extrêmement savoureuse, pour ce faire il faudra de faire fondre doucement, à feu doux, idéalement dans un lit de crème. En ce qui concerne la boisson, le vin rouge est le plus indiqué, comme pour tout fromage, mais la bière comme le cidre sont bien entendu des accompagnements qui peuvent compléter agréablement l'expérience culinaire de que ce fromage d’excellence offre.


Le chaussée aux moniales : Une gourmandise qui ne fait pas de mal !
Pays : Prima

Catégorie :Spécialités culinaires traditionnelles ou régionales

Nom du plat : Le poulet jaune de Queslen

Photo :
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Description :
Ce poulet est tenu pour être le plus fameux de Prima. Il est dit de Queslen car c'est en ce comté du centre-ouest qu'il est élevé. L'élevage du poulet jaune de Queslen est extrêmement réglementé de manière à ce que personne ne puisse usurpé cette appellation prestigieuse pour satisfaire une insatiablement âpreté au gain au détriment de l'image de ce produit fameux. Aussi faut-il observer un certain nombre de regles dont la plupart a trait aux conditions d'élevage de l'animal qui doit se faire en plein air et en faible densité avec un itinéraire quotidien long et varié pour que la volaille puisse se mettre à l'ombre, boire comme il faut, marcher suffisamment et manger quelques vers et insectes, le tout dans le plus pur respect de ses besoins naturels et instinctifs.

Rien que par le respect de tout cela on obtient un produit de qualité supérieure, mais ce n'est pas encore suffisant pour obtenir un poulet jaune de Queslen. Cela impose deux autres choses supplémentaires : d'abords il faut une lignée de poulets de Queslen, en effet, c'est d'abord et avant tout une race et une ascendance. Il faut ensuite une alimentation complémentaire presque exclusivement composée de maïs, c'est de là que vient la couleur tant recherchée de cette chair d'excellence. Quand toutes ces conditions sont réunies et attestées par un grand maître de la corporation des éleveurs de Prima (de la confrérie de Queslen), alors vous êtes en face d'un authentique poulet, une virtuosité de la volaille, une élégance supérieure et inimitable qui se concrétise, entre autre, par le port du jaune dans la chair, bien supérieur au banal blanc des volailles du vulgaire.

Sur le plan pratique, ce poulet est fait pour être rôti, au four ou à la broche, il peut certes être fait en sauce mais ce serait sous exploitation la supériorité d'une telle chair. Il en va de même pour les autres préparations froides ou chaudes que l'on peut faire, nous ne les recommandons pas, ce poulet doit être servi grillé puis froid à la rigueur, mais idéalement pas autrement. On peut le servir avec un rouge ou un blanc, les deux choix sont possibles, on tranchera la question selon ses envies ou les exigences de l'accompagnement. Cela dit, traditionnellement, le rouge l'emporterait plutôt. En ce qui concerne les types d'accompagnements traditionnels, il s'agit souvent de pommes-de-terres, de blés en grain ou de pâtes de Fortuna. Pour la sauce, l'usage est de se contenter de celle que nous donne la cuisson d'animal mais rien n'interdit de faire usage de moutarde ou de mayonnaise.

Le poulet jaune de Queslen ? Tiens, j'en mangerais bien !
Pays : Volignon

Catégorie : Trophée de la Haute-Gastronomie 2011

Nom du chef : Mère Gabrielle de la manne et sa brigade pontificale

Photo :

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la mère Gabrielle

Description :

Il s'agit ni plus ni moins que des cuisinières du pape, celui de Volignon, le vrai. Elles forment une brigade complète de professionnelles, toutes moniales de l'OCC et qui servent aux cuisines et au service du restaurant du Saint Siège (le vrai), exilé en Volignon. Les sœurs de l'OCC assurent l’ensemble des besoins du palais, y compris l’hôtellerie, mais c'est un autre sujet, ainsi que, comme nous venons de le dire, le service. Toutes ces pieuses femmes sont sous le commandement de la Mère Gabrielle qui, avant d'entrer en religion, brillait déjà en cuisine, étant la fille du maître Faber, fameux cuisinier primain du XXe siècle doublement étoilé.
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une partie de la brigade au travail.


Cette brigade assure tout les jours trois repas (que l'on prend à heure fixe et en salle) que sont le petit-déjeuner, le déjeuner et le dîner. Il va de soi que les jours de jeûne et d'abstinence sont observés avec la plus absolue exactitude. Cette ouverture quotidienne et ses trois services, eux aussi quotidiens, imposent la présence d'une brigade aux effectifs nominalement considérables pour assurer une rotation des personnels. Les sœurs ne sont tenues à aucun convention sinon leur règle monastique, mais ce n'est pas une raison pour en abuser. En effet, le caractère monacal des éléments de brigade permet déjà des facilités considérables puisque le prieuré de ces dames est accolé au palais pontifical et permet au personnel d'être toujours là, peu importe le temps ou les distances.

En ce qui concerne les plats créés et servis, ils sont d'abord ceux que le saint père aime, c'est lui qui donne le la en terme de choix dans les mets que l'ont sert. Mère Gabrielle a appris rapidement quelles étaient les dilections culinaires du saint père et, à partir de là, et toujours conformément aux désirs pontificaux, a extrapolé et inventé toutes sortes de variations et innovations en lien avec ces goûts. En pratique, le saint Père aime les rôtis de viandes rouges et les sauces, aussi là mère Gabrielle a t-elle imaginée toutes sortes de plats en lien. Le dernier ayant fait date à ce jour étant « L'autruche de Milouxitania au cidre du Val-du-Roué et à la pomme bocagère primaine ». Ce plat, qui reçu le nom d'Autruche à la bocagère fut servit d'une telle manière que, placé dans un seule plat gigantesque, la bête semblait comme présentée du seule pièce au saint père et à ses nombreux convives et autres officiers pontificaux.

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une autre photographie de la brigade

Le plat fit une impression si vive sur l'assistance qu'il se murmure que le camerlingue envisagerait d'aménager une ferme à autruche aux abords de la cité. Rien n'est encore, bien sur, mais il n'est pas du tout impossible que ces bipèdes curieux s'acclimatent dans la cité des papes... Tout cela pour dire que la cuisine pontificale est une chose centrale et importante et que contrairement aux idée préconçues que l'on pourrait avoir, la mère Gabrielle et ses filles font certainement partie des plus estimés membres la maison pontificale. D'autres exemples de plats pourraient être donnés, comme le sanglier dans son lit de vin rouge, pour cela nommé sanglier à la vigneronne et agrémenté de pommes dauphines accommodées au goût du pape par l'ajout de farines exotiques diverses et par la même renommées « pommes pontificales ». Le sanglier ayant lui aussi été présenté sous le vocable : Sanglier à la vigneronne sur son lit de pommes pontificales ». Ce fut également un grand succès, et il ne sera pas question, pour cette fois, d'importer des sangliers en Volignon puisque ceux-ci sont partout et doivent être réguler assez massive tout les ans.

En ce qui concerne la biographie de notre cheffesse, nous en avons déjà dit deux mots mais il serait bon d'en dire davantage. Fille d'un cuisinier fameux, double étoilé, de Prima, la mère Gabrielle, alors demoiselle Justine Faber, passera toute son enfance en cuisine. À douze ans, elle est envoyée dans un établissement scolaire de l'OCC où elle complète son éducation, notamment académique. A seize ans, elle sent naître en elle une vocation monastique en même temps qu'elle se passionne pour la cuisine. Elle deviendra novice de l'OCC en même qu'apprentie que feu la mère Adeline, ancienne cheffesse des cuisines pontificales qui avait fuit la Cathalogne dégénéré en même temps que les bon cardinaux et avait été là à la fondation de Volignon.

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Une novice s'exerçant

La novice et apprentie opta pour le nom de religion de Gabrielle, elle donna rapidement satisfaction à sa maîtresse et prononça ses vœux après deux ans de noviciat et entra en compagnonnage dans la foulée. Quand la mère Adeline rendit son âme à Dieu, en 1999 (des suites, dit t-on, des peines causées par la tragique et meurtrière guerre primo-loduarienne), la sœur Gabrielle la remplaça et devint donc la mère Gabrielle, elle exerce depuis ce jour comme cheffesse des cuisines pontificales et donne, semble-il, parfaite satisfaction.
Pays : Royaume de Fjøllskot
Catégorie : Spiritueux et vins

Nom du plat ou du chef : Brænn Fjøllskoti
Photo :
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Bouteille de Brænn Fjøllskoti.
Description :

Histoire : Cet alcool a été distillé pour la première fois par Nikolai Rindahlsen, un paysan de Nøensberg, non loin de Hoges, en 1763. À cette période, l'alcool était une denrée extrêmement chère, donc quelques habitant de Fjøllskot distillaient leur propre alcool et le revendaient. La légende raconte que lorsque Nikolai fit goûter sa création à son fils, le jeune adulte fut surpris par la puissance de la boisson et s'exclama ainsi : "Brænn, brænn, javle Fjøllskoti" (ça brûle, par Fjøllskot tout entier en ancien patois norvégien-fjøllskit du Vestland). Nikolai Rindahlsen mourut en 1789, mais son héritage a perduré. Le Brænn Fjøllskoti est toujours produit à Fjøllskot, et il est devenu une boisson emblématique du pays.

Préparation : L'aneth est récoltée en été, lorsque la plante est en pleine floraison. Elle est ensuite séchée à l'air libre ou dans un séchoir. Une fois séchée, l'aneth est broyée pour libérer ses huiles essentielles. Le Månasøy est cueilli à la main dans les montagnes de Fjøllskot. Elle est cueillie au printemps, juste avant la floraison. Le seigle est cultivé dans les terres fertiles. Il est moulu en farine pour être utilisé dans la fermentation.

Les ingrédients sont mélangés puis fermentés pendant 2 à 3 semaines à une température d'environ 20 à 25 degrés Celsius. La distillation dure quelques heures, à environ 80°C. L'alcool est ensuite vielli 3 mois dans des futs en bois. il peut être vielli plus longtemps, ce qui lui donnera une couleur dorée. L'alcool est peut ensuite vendu.

Goût : L'alcool a des notes anisées, herbacées, acidulées et sucrées. Sa teneur en alcool est entre 40° et 50°.
Pays : RĂ©publique DĂ©mocratique du Wanmiri

Catégorie : Spécialités culinaires traditionnelles ou régionales

Nom du plat ou du chef : Goreran (contraction de Gorengan sayuran, qui signifie "beignet de légumes")

Galerie photographique
Gorerans kentang (Ă  base de pomme de terre), photographie, 2011
Gorerans kentang (Ă  base de pomme de terre), photographie, 2011

Zoom sur des gorerans bayam (Ă  base d'Ă©pinards), photographie, 2011
Zoom sur des gorerans bayam (Ă  base d'Ă©pinards), photographie, 2011

Gorerans pisang (Ă  base de banane plantain), photographie, 2011
Gorerans pisang (Ă  base de banane plantain), photographie, 2011

Gorerans bawang (Ă  base d'oignons) servis dans un restaurant chic, photographie, 2011
Gorerans bawang (Ă  base d'oignons) servis dans un restaurant chic, photographie, 2011



Description :
Selon une légende, rapportée par un auteur des temps anciens anonyme, l’histoire du goreran débuterait il y a plusieurs siècles dans la ville d’Aaethalio. En ce temps-là, le glorieux Empire de Yahudharma dominait la Péninsule du Nazum. La légende ajoute aussi qu’à l'époque les esprits étaient audacieux, les hommes de vrais hommes et les femmes de vraies femmes. Mais ceci est un autre débat, que nous ne poursuivrons pas ici. Donc, à l’époque, l’Empire était jeune et l’Empereur-Dieu Soleil avait encore beaucoup de pouvoir. Et pour s’assurer de la fidélité de ses sujets, il leur rendait parfois visite, faisant le tour des provinces.

L’Empereur se rendait donc dans la ville d’Aaethalio, pour y rencontrer le seigneur des lieux, et s’assurer de sa loyauté. Celui-ci, étant prévenu, avait demandé à son cuisinier de préparer les meilleurs plats que l’on connaissait. La journée se devait d’être mémorable, jusque dans les moindres détails. Le cuisinier, grand chef reconnu, s’était élancé dans cette tâche titanesque avec son équipe. Mais, alors que le festin était presque prêt, et l'Empereur proche d’arriver, le chef se rendit compte qu’il n’avait pas suffisamment d’entrées à servir. Il voulut alors s’atteler à la préparation de l’entrée manquante en vitesse. Mais, les récoltes ayant été mauvaises cette année-là, il ne disposait plus des ingrédients nécessaires. Alors, désespéré, il chercha une entrée de remplacement. Il prit quelques légumes qui restaient par là, et les prépara selon une recette qu’il nomma “Envisasi” (à savoir la contraction de “Entri yang diimprovisasi”, qui signifie “entrée improvisée”, ce chef n’était pas réputé pour son esprit dans les domaines linguistiques, et rappelons qu’il était pressé).

Même si la légende est fort divertissante, sa véracité est quelque peu douteuse, et il est plus probable que la recette du goreran - de son nom populaire - provienne de quelque village reculé, où l’on manquait de vivres de qualité. Malgré tout, cela reste un plat typique à Aaethalio et dans les environs, ce qui tend à faire croire que la recette en est bien originaire.

Les gorerans donc, sont des beignets de légumes. On les confectionne en sélectionnant deux ingrédients parmi les suivants : épinards, oignons, bananes plantain, aubergines, pomme de terre (ajout plus récent dont l’origine est probablement aleucienne), choux-fleurs, tomates, kejal (un fromage local) ou piments. Parfois, lors de grandes occasions, on peut y ajouter du pain, du poulet ou du poisson, mais cela reste rare. Les ingrédients sont trempés dans une pâte réalisée à partir de farine de pois chiche, avant d’être frits. Le résultat est croustillant à l'extérieur et moelleux à l'intérieur.

Les plus populaires sont ceux réalisés à partir de pommes de terre (goreran kentang) ou d’oignons (goreran bawang). D’autres variétés sont nommées selon leur ingrédient fétiche, comme le goreran bayam (à base d’épinards), le goreran pisang (à base de banane) ou le goreran kejalam (à base de kejal).

Traditionnellement, les gorerans sont servis à l’entrée, en encas ou à l’apéritif. Ils sont très appréciés des restaurants chics comme de la restauration rapide, même si l’on dit souvent que les meilleurs sont ceux que l’on fait soi-même. Lors des cérémonies importantes (fêtes ou mariage), ils sont généralement servis avec des sauces, comme du chutney (sauce aigre-douce), et accompagnés de chai (thé, souvent servi avec des épices, du sucre et du lait). Ils sont servis chauds (tout juste frits) pour profiter au maximum du goût, mais cela en rend parfois la préparation à l’avance (dans de grandes quantités, lors de mariages notamment) très difficile.
Pays: Etat du Fujiwa.
Catégorie: Spécialités culinaires traditionnelles ou régionales.

Nom du plat: Oni-Hotto.
Photo:

Oni-Hotto

Description: Le Oni-Hotto trouve ses origines dans la métropole de Miyako, réputée pour la préservation soignée de ses traditions et de sa culture. Selon la légende, ce plat a été créé par des agriculteurs locaux en périphérie de la ville. Ces derniers cherchaient un moyen simple et rapide de cuisiner leurs récoltes et de les combiner harmonieusement en une seule préparation. La simplicité des ingrédients nécessaires à sa réalisation a rapidement contribué à sa popularité à Miyako, puis dans ses environs, avant qu'il ne devienne un emblème culinaire de l'île de Wano. De plus, sa préparation est si facile qu'elle ne requiert pas de compétences culinaires particulières: même les enfants peuvent s'y essayer. Le Oni-Hotto est souvent la crêpe la plus demandée par les plus jeunes, en particulier dans sa version sucrée. Il est fréquemment le premier plat que les jeunes Fujiwans apprennent à préparer de leurs propres mains.

Le Oni-Hotto est principalement une pâte que l'on transforme souvent en crêpe, capable d'accueillir une grande variété d'ingrédients. L'atout majeur de ce plat réside dans la liberté qu'il offre quant au choix de la garniture. Certains préféreront y ajouter des légumes et de la viande, tandis que d'autres opteront pour du poisson ou simplement des légumes, et même du fromage. En réalité, tout ingrédient susceptible d'être découpé en petits morceaux peut trouver sa place dans cette crêpe. Ainsi, le Oni-Hotto saura satisfaire tant les carnivores que les végétariens. Principalement consommé dans sa version salée, le Oni-Hotto se décline également en une version sucrée que l'on retrouve souvent lors des goûters ou des petits-déjeuners. La taille de la crêpe peut également varier en fonction du nombre d'œufs utilisés dans sa préparation. Ce plat peut donc être savouré aussi bien en en-cas que comme plat principal dans les restaurants ou les stands de rue, que l'on retrouve à travers toutes les villes et villages fujiwans. Le Oni-Hotto est donc une expérience culinaire qui marie la richesse des produits de la terre et/ou de la mer, offrant un plat nutritif et délicieux qui a conquis le cœur des habitants de Miyako avant de gagner en popularité dans Wano, puis dans tout le Fujiwa.

Aperçu de la recette la plus populaire:

  • 1 tasse de farine.
  • 1 tasse d'eau.
  • 1 Ĺ“uf.
  • Sel au goĂ»t.
  • 200g de viande de porc finement tranchĂ©e.
  • 1/2 chou Ă©mincĂ©.
  • 1 carotte coupĂ©e en julienne.
  • 1 oignon Ă©mincĂ©.
  • 2 Ĺ“ufs battus.
  • Sauce tonkatsu pour la garniture.
  • Mayonnaise fujiwane pour la garniture.
  • Algues nori sĂ©chĂ©es et ciselĂ©es pour la garniture.
  • Bonite sĂ©chĂ©e en flocons pour la garniture.

Méthode de préparation: On commence par préparer la pâte en mélangeant la farine, l'eau et un œuf dans un bol, en y ajoutant une pincée de sel. On bat le tout jusqu'à l'obtention d'une pâte lisse. Dans un autre bol, on prépare la garniture en mélangeant les légumes à disposition et en y ajoutant la viande ou le poisson tranchés. Ensuite, on verse une petite quantité de pâte dans une poêle chaude et huilée. On ajoute une portion généreuse du mélange de viande ou de poisson et de légumes sur le dessus de la pâte. C'est la technique de l'assemblage. On fait cuire le tout à feu moyen pendant environ 5 minutes jusqu'à ce que la base soit dorée. Puis, on retourne le tout avec une spatule pour faire dorer l'autre côté. Pour finir, on bat les deux derniers œufs restants et on verse cette préparation sur le dessus de la crêpe. On couvre le tout et on laisse cuire pendant 3 minutes. Ensuite, place au service: on transfère la crêpe dans une assiette et on la garnit de sauce tonkatsu, d'un filet de mayonnaise fujiwane, de bonite séchée et d'algues nori. À table!
Pays : Novigrad
Catégorie : Spécialités culinaires traditionnelles ou régionales

Nom du plat : Le yaourt novirien ou « ochyrotikí ».
Photo :
Illustration d'un yaourt novirien avec un accompagnement au concombre et Ă  la ciboulette.

Description : Le yaourt novirien, ou de son nom local « ochyrotikí », littéralement « fortifiant », est un yaourt novigradien brassé, onctueux et crémeux. Très populaire dans le bassin hellénique, on estime que son origine remonte à l’âge de bronze où les premières communautés helléniques commencèrent à maîtriser l’élevage des bovins. On retrouve de nombreuses traces de son utilisation pendant l’antiquité notamment dans les textes hérités de la cité guerrière d’Aros où il est dit que les hoplites devaient en avoir à chaque repas afin de renforcer leur condition physique. Depuis ce temps, le brassage de ce yaourt est resté dans les mœurs et l’unique changement dans sa conception fut l’apparition de la pasteurisation au 19ème siècle. Il est produit avec le lait des vaches de race « mysos », une race ancienne issue des régions montagneuses de l’Ouak, petite mais robuste. Ce yaourt profite de caractéristiques nutritives très intéressantes, en effet, il contient un apport important en protéines et en calcium ainsi que de nombreuses bactéries bénéfiques notamment la fameuse « lactobacillus ». Celle-ci est particulièrement efficace pour assainir le système digestif et détruire les toxines dans les intestins. Ces caractéristiques en font un yaourt très réputé dans le monde du sport et du fitness, il aide d’ailleurs au maintien de la masse musculaire. On le consomme généralement au petit déjeuner ou en dessert avec du miel, du citron, du concombre et de la menthe, on peut aussi le consommer en entrée froide avec de la ciboulette, du concombre et un peu de poivre. Les nombreuses possibilités de préparation en font un plat polyvalent très apprécié des cuisines et aux utilisations multiples.
Pays : Tamurt n Althalj
Catégorie : Spécialités culinaires traditionnelles ou régionales

Nom du plat : Taghella (pain de sable)

Photo :

Taghella ou pain de sable

Description :
Le pain de sable est resté, à travers les siècles et les changements sociétaux Althaljirs, un met encore utilisé et recherché par les gourmets et gourmands d'Alnaas Althalj et des peuples du Sahra'.
Le taghella aura surtout été un pain cuit par les nomades et Althaljirs de la région d'Asefsaf et Ifilku dés lors qu'il nécessitait les propriétés du sable pour le cuire.
La tradition de sa cuisson et son goût unique ont ensuite été recherché et des variantes sont apparues dans les régions de la Dorsale Glacée où la terre et les roches étaient employées de manière similaire.

La recette, bien que simple, nécessite une certaine expertise, un "coup de main", afin de bien l'étaler avant la cuisson et surtout permettre une cuisson optimale ; par optimale, ou parfaite, il est ici question d'éviter une surcuisson qui ferait du taghella un pain dur et sec alors qu'il est escompté une certaine tendresse et ce goût de pain fraîchement cuit et aromatisé de la base de farine.
Aucun levain n'est nécessaire, la farine (mil, blé ou de cutt*) mélangé à de l'eau formera une base à pétrir une vingtaine de minutes afin d'obtenir une boule, élastique que l'on étale en une galette avec les mains et les doigts sans la (trans)percer. La galette est déposée sur des cendres, ou braises en fonction des habitudes, qui recouvriront cette première, le tout recouvert de sable en fonction de l'heure de la journée (la froidures des nuits Sahrannes peuvent influer sur la cuisson du taghella).
La galette gonflera par endroit et en fonction de la densité de la pâte et si celle-ci est recouverte ou non par les cendres et le sable.

Cuisson entre 8 et 15 minutes en fonction du fameux "coup de main" et le taghella peut être sortie des centres à l'aide d'un bâton ou tisonnier. Il faudra tapoter un peu le pain et le frotter délicatement si celui-ci dispose encore de quelques impuretés, notamment des cendres ou quelques grains de sable tenaces. Les impuretés ne se seront pas mélangées par le pain, ce qui évitera quelques désagréables croquements sous les dents lors de la consommation.

Accompagné de hummus, de quelques sauces à base d'aubergines fumées (sur les cendres) ou de tomates et légumes pimentées, avec une viande ovine ou traditionnellement caprine, le taghella est aujourd'hui servi comme met à tout repas ou moment de la journée.

Une Althaljir consomme un taghella tous les deux jours en moyenne.
Le pain peut être conservé assez longtemps dans un environnement sec et chaud, tel que le désert. Il est d'usage de le cuire pour le jour même. Faute d'environnement adapté à la cuisson traditionnelle, les ménages utilisent de plus en plus des poêles larges sur des cuisinières traditionnelles ou classiques.

Prisé des jeunes écolières et étudiantes afin de rassasié un gosier affamé, le taghella est un met qui se partage.
Ce pain rappelle que la simplicité, la tradition et l'ingéniosité de l'adaptabilité des Femmes au désert sont des recettes à succès.


Qui mange seule s'Ă©trangle seule.
Proverbe Althaljir
Pays : Maronhi
Catégorie : Spécialités culinaires traditionnelles ou régionales

Nom du plat : Mawonio andagi
Photos :
Andagi
Description :

Origine

L'andagi ou mawonio andagi (litt. Andagi maronhien), mets populaire des côtes maronhiennes, possède une histoire riche qui remonte à plusieurs siècles. Son nom, "andagi," évoque la forme de sourire formée par les craquelures de la friture. En Maronhi, deux variantes sont principalement représentées : les satatō andagi, sucrés, aux fruits ; et les akura andagi, salés, aux poissons, assez proches des accras retrouvés sur le reste du continent paltoterran. L'histoire de l'andagi commence au XVe siècle en régions ymlasienne et xineman du Burujoa, où celui-ci était encore servi nature. Davantage bourratif, il était répandu parmi les couches les plus basses de la société, notamment chez les marins et autres gens de mer. Au XVIe siècle, avec la colonisation du plateau maronhien occidental, ce mets est naturellement intégré à la vie des colons. C'est là que l'on trouve les premières traces d'andagis dits maronhiens, aux fruits et aux poissons. La légende raconte que certains andagis, comme ceux au maracuja (fruit de la passion) ou à l'acoupa rouge, trouvèrent un certain écho au Palais des Lucioles, alors centre d'administration burujois des colonies maronhiennes. En dépit de son origine modeste, la popularité de l'andagi se répandit rapidement parmi les couches supérieures de la société, devenant un symbole raffiné de saveurs de la Maronhi.


Ingrédients

  • 110 g de farine Ă  gâteau ou ordinaire
  • 1/2 cuillère Ă  cafĂ© (5ml) de levure chimique
  • 1 Ĺ“uf
  • 60 g de sucre
  • 1/2 cuillère Ă  soupe (15ml) d'huile de cuisson ou de beurre fondu
  • 1/2 cuillère Ă  soupe (15ml) d'huile de friture
  • fruit, de prĂ©fĂ©rence en confis, ou poisson, de prĂ©fĂ©rence en rillettes


  • PrĂ©paration

    1. D'abord, préparez la pâte. Battez l’œuf dans un bol. Ajoutez le sucre.

    2. MĂ©langez bien.

    3. Ajoutez l'huile et mélangez à nouveau.

    4. Ensuite, mélangez la farine et la levure chimique. Mélangez les poudres dans un bol. Ensuite, tamisez les poudres dans le bol du mélange d’œuf.

    5. Maintenant, mélangez les ingrédients avec une spatule en coupant la pâte. Évitez de trop mélanger sinon la texture moelleuse va être perdue quand elle sera frite.

    6. Mettez 1/4 de la pâte de côté afin de la mélanger avec le fruit ou le poisson. Faites en de petites boules.

    7. Ensuite, rabattez la pâte principale sur ces petites boules. Faites en des boules plus épaisses, d'une taille environ d'une balle de ping pong. Les formes d'andagis sont prêtes.

    8. Et maintenant, faites frire les andagis. Faites chauffer l'huile à 150°C (302°F), qui est une température relativement basse pour de la friture. Des petites bulles devraient un peu se former autour de la pointe des baguettes.

    9. Mouillez vos mains avec de l'huile et prélevez une cuillère de pâte dans vos mains.

    10. Placez doucement les boules de pâte dans la friteuse et faites-les frire doucement à basse température. Vous allez avoir environ 10 boules de pâte au total mais aujourd'hui, nous allons cuire seulement 5 d'entre elles.

    11. La pâte va tourner sur elle-même donc ne les touchez pas trop sinon ils vont avoir moins de chance d'avoir les fissures caractéristiques.

    12. Une fois prêts, retirez les beignets et présentez les dans une assiette, un bol ou une corbeille.


    DĂ©gustation

    Visuellement, le résultat est une douceur dorée ; gustativement, croustillant à l'extérieur et incroyablement moelleux à l'intérieur. Même s'il ne s'agit pas d'une règle formelle, l'andagi maronhien est souvent fourré d'un confis de fruit ou de rillettes de poisson quelconque afin d'ajouter une touche de légèreté. De nos jours, l'andagi est devenu une icône reconnue de la cuisine maronhienne à travers le monde, appréciée lors de festivals, de mariages et d'occasions spéciales. Cette gourmandise sucrée est également un souvenir prisé par les visiteurs du plateau, qui souhaitent emporter un peu de l'âme de la Maronhi chez eux. L'andagi illustre un phénomène plus large de la colonisation burujoise au Paltoterra ; la rencontre entre une culture gastronomique riche et un monde de saveurs nouvelles réalisant alors des trésors culinaires uniques. C'est un rappel savoureux de l'histoire et de l'héritage du pays, un régal qui réunit les générations de tous les horizons pour partager la joie et la douceur de la vie maronhienne.
    Pays : Royaume Stargray Islamique d'Esmea
    Catégorie : Spécialités culinaires traditionnelles ou régionales

    Nom du plat : Atay n Sahra (Thé du Désert)

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    Description :
    L'Atay n Sahra, ou Thé du Désert, est une icône culinaire et culturelle parmi les Saharis et les peuples du Sahra'. C'est bien plus qu'une simple boisson ; c'est une cérémonie en soi, un symbole de générosité, d'hospitalité et de convivialité qui a traversé les âges et reste au cœur de la vie sociale et culturelle dans la région d'Iondalbon. La préparation de l'Atay n Sahra nécessite des ingrédients de la plus haute qualité, choisis avec soin pour garantir une expérience gustative exceptionnelle.
    La base du thé est constituée de feuilles de thé vert, souvent en vrac, soigneusement sélectionnées. Les Saharis ont une préférence pour le thé du sud Iondalbonné, reconnu pour ses saveurs subtiles. Cela veut dire que les feuilles sont roulées avant d’être séchées, ce qui leur confère un goût frais et puissant. Les Saharis ont transformé la dégustation de cette boisson chaude en un véritable art. Les feuilles de thé sont généreusement dosées pour obtenir un goût riche et légèrement amer, caractéristique de cette boisson. La menthe, fraîche et aromatique, est abondante dans les oasis d'Iondalbon. Elle est récoltée à la main et lavée avec soin pour préserver ses huiles essentielles. Avant d'être ajoutée au thé, la menthe est légèrement écrasée, libérant ainsi ses arômes frais et mentholés. Le sucre de canne, pur et non raffiné, est utilisé pour adoucir le thé. Les Saharis ont une préférence pour un thé fortement sucré, enlevant ainsi la majorité de l'amertume du thé vert. Pour finir, La qualité de l'eau est cruciale. Elle est chauffée dans une bouilloire en cuivre spécialement conçue pour obtenir une température parfaite, juste en dessous de l'ébullition.
    L'Atay n Sahra est bien plus qu'une boisson. C'est un rituel ancestral, une pause qui réunit les gens, qu'ils soient amis, famille ou étrangers de passage. Chaque cérémonie de thé est une occasion de se rassembler, de discuter, de partager des histoires et de tisser des liens.
    L'hospitalité des Saharis s'exprime souvent par la préparation et le partage de cette boisson. L'Atay n Sahra est offert aux invités en signe de bienvenue, et chaque dégustation est unique, reflétant la générosité et la chaleur humaine qui caractérisent la culture de la région d'Iondalbon. Cette tradition rappelle que la simplicité de la vie dans le désert peut donner naissance à des moments riches en saveurs et en convivialité, et que l'hospitalité est une valeur précieuse pour les Saharis. Chaque tasse de thé raconte une histoire, chaque cérémonie est une célébration de la vie.
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