22/06/2013
12:28:33
Index du forum Scène Internationale Évènements culturels

🍝 Festival international de la Gastronomie - Kotarakyat 2011

2856
Kotarakyat 2011


Festival international de la Gastronomie 2011


Kotarakyat food


Modalités des inscriptions au festival gastronomique de Kotarakyat


Le festival international de Kotarakyat est un festival gastronomique stranéen qui célèbre la diversité culinaire mondiale. Il se tient au printemps dans le quartier « restoran lingkungan » de la ville nazuméenne de Kotarakyat (Negara Strana). Cette année, le jury international est composé de dix chefs réputés : le stranéen Ali Sihotang accompagné de la fujiwane Akiko Nakamura, les chefs Ishiwarata Kiyinourou et Kisin Patli, respectivement marohniens et kahtanais, le chef mamiw Simonne Tsiranana, le chef banairais Baasim el-Omar, les chefs Joseph Fuller et Rosalie Nicollier, qui sont saint-marquois et nordiste, enfin le chef Jean Bondier issu de Prima, accompagné du chef milouxitan Rafael Baron complèteront ce jury.

Les pays peuvent inscrire des candidatures dans les catégories suivantes :

  • SpĂ©cialitĂ©s culinaires traditionnelles ou rĂ©gionales - Vous prĂ©senterez une spĂ©cialitĂ© culinaire en lien avec la culture et les traditions gastronomiques de votre pays.

  • TrophĂ©e de la Haute-Gastronomie 2011 - Une rĂ©compense reconnue par les meilleurs chefs Ă©toilĂ©s au monde. Il convient ici de prĂ©senter un plat de votre haute-gastronomie nationale et son chef.

  • Spiritueux et vins - Vous prĂ©senterez ici le meilleur cru de vos alcools locaux.


  • Comment participer ?


    Tous les joueurs validés de Geokratos peuvent inscrire leurs propositions à la suite de ce message, via un formulaire ci-dessous. En outre quelques règles sont à respecter :

  • Chaque joueur peut proposer, toutes catĂ©gories confondues, jusqu’à 10 formulaires. Pour plus de lisibilitĂ©, ne postez qu'un seul formulaire par message.

  • Votre proposition doit ĂŞtre le fruit de votre imagination. Si vous pouvez vous inspirer de l’existant, vous devez absolument y apporter votre propre plume. L'originalitĂ© est apprĂ©ciĂ©e : si vous reprenez un plat existant, vous devez en changer l'histoire par exemple. De plus, il est plus intĂ©ressant de sortir des sentiers battus, en proposant des plats originaux et en rapport avec votre culture.

  • Vous pouvez contribuer jusqu’au 20 septembre 2023, 23h heures. Les formulaires envoyĂ©s après cette date ne seront pas comptabilisĂ©s. Vous n'ĂŞtes donc pas obligĂ© de poster vos propositions les unes après les autres, vous pouvez le faire tout au long du laps de temps qui vous est donnĂ©.

  • Le vote interviendra Ă  partir du 21 septembre 2023. Les propositions les plus apprĂ©ciĂ©es seront inscrites au panthĂ©on gastronomique mondial, avec des quotas pour chacune des catĂ©gories. Ces quotas seront dĂ©cidĂ©s en fonction du nombre de participants.


  • Formulaire Ă  remplir


    [b]Pays :[/b]
    [b]Catégorie :[/b] À choisir entre : Spécialités culinaires traditionnelles ou régionales - Trophée de la Haute-Gastronomie 2011 - Spiritueux et vins

    [b]Nom du plat ou du chef :[/b]
    [b]Photo :[/b] Au moins une illustrative.
    [b]Description :[/b] Décrivez l'histoire du plat ou de son créateur. De quels régions est-il originaire ? Décrivez les ingrédients et la méthode de préparation ainsi que sa teneur en alcool pour le cas de la dernière catégorie.

    Vous pouvez aménager ce formulaire à votre convenance et lui donner une esthétique particulière, tant que tous les critères obligatoires y figurent.

    Vous avez jusqu’au 20 septembre 2023. Bonne chance !
    jPays : Empire du Nord
    Catégorie : À choisir entre : Spiritueux et vins

    Nom du plat ou du chef : Delieumur Doux
    Photo : https://media.discordapp.net/attachments/1063973231838625894/1142514979715686452/delieumur.png?width=358&height=544
    Description : Le Delieumur Doux est un vin rouge nordiste connue dans le monde entier. Vin très apprécié de la population est boisson traditionnelle, il fut un temps utilisé pour la messe également. Il a commencé à être produit au moins à partir 1458, date de la première mention historique. Il fut d'abord produit par les autochtones selon nos informations puis la production a été reprise par les colons austrasiens qui sont arrivés vers 1450, c'est d'eux que datent les premières mentions. La guerre entre colon est autochtone fut intense pendant 3 décennies, (de 1470-1500 pour les combats les plus intenses) et ce vin fut largement consommé par les deux armées afin de soutenir le poids psychologique.

    Ensuite, durant l'occupation coloniale, la production fut intensifiée dans le but de l'exporter, mais il fut aussi consommé en grande quantité par la population. Le délaissement de la métropole, la grande misère et les emplois difficiles amenaient les populations à "boire pour oublier". Lorsque la métropole déclara des restrictions à la consommation d'alcool à cause de nombres de personnes en état d'ébriétés publiquement, ce fut l'étincelle qui marqua le commencement de la guerre d'indépendance. Cette boisson est donc un symbole national, une fierté et un symbole de la révolution. La production augmente encore aujourd'hui et l'exportation aussi. Le prix a légèrement augmenté depuis le renouveau économique du pays, mais fut et reste encore un vin d'excellente qualité accessible à la classe moyenne (et aisée), un symbole d'union nationale.

    Ce vin est un vin rouge doux et fruité. Il est fait d'un mélange de raisin et de prune maturées qui dégage de l'alcool éthylique après sa fermentation. Moins fort que le traditionnel, cela donne un alcool fruité et sucré qui n'est pas trop enivrant .
    Pays : Milouxitania
    Catégorie :Spécialités culinaires traditionnelles ou régionales

    Nom du plat ou du chef : La "tailhole"

    j

    Description : La tailhole est une espèce de tartelette très appréciée en Milouxitania, dont la fabrication artisanale est effectuée principalement dans la ville portuaire de Badens, au sud d'Erau, sur la côte du Mostrocean.

    Ladite ville est connue pour son charme pittoresque, et sa presque-île qui offre un cadre idyllique aux touristes. Hormis la tailhole, la ville est réputée pour la qualité de ses fruits de mer, notamment les huitres et les moules, quoique palourdes et couteaux ne soient pas en reste.

    k
    La presque-île de Badens, ainsi qu'ne partie de son port

    A environ 2 kilomètres à l'ouest de Badens, à l'orée d'une forêt qui enchante les randonneurs, la fabrique artisanale des tailholes se dresse fièrement depuis plusieurs siècles. En effet, celle-ci fut bâtie à une date incertaine, vers 1550. Cependant, un incendie monstrueux dévasta une partie de la forêt et l'atelier avec au début du XIXème siècle. Cela permit la reconstruction de celui-ci dans un contexte certain d'industrialisation, quoique le directeur de l'époque, désireux de garder intact la qualité du produit final, limita le nombre de machines dans l'usine et privilégia le travail manuel.

    La tailhole entra dans le patrimoine culinaire ouxitan en 1957 (rappelons que l'on ne parle de Milouxitania que depuis 1992, à la suite de la fusion du Milois et de l'Ouxitanie). Nous ne savons à vrai dire pas grand-chose de la création de ce produit. L'originaire du nom même de cette gracieuse tartelette nous ait inconnue. Toujours est-il que nous sommes certains que sa naissance eût lieu dans des temps de troubles, suite aux nombreuses famines qui ont déchirées la région du Mostrocean vers 1550 (hivers rigoureux, récoltes désastreuses, opérations militaires coûteuses, etc...). La composition originairement simple de la tailhole a favorisé sa popularité, étant facile à préparer tout en étant savoureux et calant.

    Mais quels sont donc les ingrédients entrant dans la composition de ce plat typique du sud milouxitan ? L'ingrédient principal est... le poulpe. Remplaçable au besoin par du calamar, ce mollusque nage en nombre dans les eaux du Mostrocean, et sa pêche est facile pour ceux qui s'y connaissent. Et même si le poulpe ne figure pas spécialement dans la liste des aliments les plus aimés de tous, nous pouvons vous garantir que la tailhole n'a rien à voir avec un beignet de calamar !

    Mélangé à de la tomate, il s'agit là de la recette originale la plus simple. Une pâte composée de beurre ou de blé. Mais la modernisation du produit, ainsi que l'apport et la démocratisation des épices, ont transformé quelques peu la tailhole, sans la changer radicalement. Beaucoup aiment déguster ce délice avec du piment d’Espelette, qui donne un goût légèrement piquant très agréable en bouche et permet aux détracteurs du poulpe d'apprécier le produit.

    Nous vous conseillons de déguster cette merveille accompagnée d'une petite salade. Parfait pour égayer vos soirées d'été, chaud ou froid selon vos préférences, la tailhole s'est incrusté dans les régions milouxitanes et plusieurs variantes existent. Par exemple, dans le Milois, l'on aime remplacer le poulpe par du veau, tandis que dans les montagnes de l'est l'on apprécie beaucoup le boeuf. Vous pourrez également savourer une tailhole au poivron dans l'un des nombreux restaurants de la capitale, Ilios.

    Simple, efficace, délicieuse, la tailhole vous offre toute son histoire et son goût riche. Une simple bouchée de cette merveille et vous ferez un voyage direct pour le Milouxitania.

    HRP
    Le nom "tailhole" est dérivé de la "tielle", produit typiquement sétois/languedocien IRL, de même pour sa composition, dérivée de la réalité. De même, la photo de Badens est celle de Sète, ville portuaire héraultaise.
    Pays : Milouxitania
    Catégorie : Spiritueux et vins

    Nom du plat ou du chef : Le "Pech Romac"

    h

    Description : Le Pech Romac est un vin issu des vignes de la Calorcauda, le district fédéral de Neffies. Mais avant de vous parler de ce vin majestueux, parlons un peu de l'importance du vin en général au Milouxitania.

    S'il y a bien une chose qui unifie les Milouxitans, quel que soit l'endroit où ils habitent, c'est le vin. Blanc, rosé, rouge, il se décline sous de nombreuses formes et les coopératives vinicoles en Milouxitania sont nombreuses. Dans de nombreux villages, on peut trouver une cave coopérative vinicole. On compte d'ailleurs deux fois plus de caves vinicoles en Milouxitania que d'églises, et autant que d'hôpitaux. C'est dire à quel point le vin est pour les Milouxitans.

    Les archéologues identifient la date de début de l'agriculture vinicole vers 2500 avant JC, dans la région de l'actuelle capitale, ainsi que dans le Mostrocean. Doté d'un climat propice à sa prospérité, le territoire milouxitan, alors constitué d'une myriade de cités-états indépendantes tantôt en conflits, tantôt en harmonie commerciale, se recouvre de vignes qui assurent à beaucoup de cités une prospérité économique sans pareil. La cité d'Erau (Erolt en grec, langue commune dans le Mostrocean à cette époque), a sur tirer son épingle du jeu et, associés à des oliveraies en nombre, la culture vinicole a rapidement permis à la cité de devenir l'une des plus puissantes de la région.

    Au Moyen Age, après la période impérialiste qui s'étend de 1115 à 1396, de nombreuses foires aux vins sont apparues dans le pays, dont certaines existent toujours. La ville de Montanha Blava, dans l'est montagneux du pays, près des frontières youslévos-kroniennes, possède la plus grande foire vinicole du pays, où des vignerons du pays entier, mais également de différentes contrées du monde, viennent présenter leurs vins.

    En 1813, le gouvernement ouxitan a créé le Concours National du Vin. Depuis, chaque année, en la ville de Montanha Blava, un vin se voit décerné le titre de "meilleur vin de l'année". Gagnant rapidement une notoriété mondiale, de nombreux vins milouxitans mais également étrangers se sont vus décernés le titre prestigieux.

    C'est là que l'on revient au Pech Romac. Vainqueur de la dernière édition en 2010, ce vin blanc, issu du muscat, a su enchanter les papilles des jurys. Issu des bonnes terres fertiles du Mostrocean, et plus précisément d'une petite exploitation au bord de la mer, le Pech Romac, de par sa rareté, se vend très chers. La dernière bouteille, achetée par un restaurateur jashurien, a été vendu quasiment 6 000 medridas, soit 12 000 dollars. Le propriétaire, qui s'est fort enrichi grâce à son travail qui a donné ce vin excellent, refuse catégoriquement d'agrandir son exploitation pour pouvoir préserver son temps à ces quelques ceps. Il ne peut ainsi se présenter devant vous aujourd'hui.

    Nous vous proposons donc aujourd'hui de goûter ce muscat extraordinaire, qui enchantera vos papilles. Goûtez, fermez les yeux, et sentez les embruns marins mêlés à la fraîcheur fruitée du vin.

    jk

    Le Pech Romac est Ă©galement reconnu pour sa faible teneur en alcool, pas plus de 7%.
    Pays : Manche Silice
    Catégorie : Spécialités culinaires traditionnelles ou régionales

    Nom du plat ou du chef : Soupe aigre du Sewerin
    Soupaigre

    Description : Roborative la cuisine du nord de l'Ostremont ? Assurément ! Roborative... et raffinée. La zupodzianka est le nom donné à une soupe aigre consommée dans le Sewerin depuis des temps immémoriaux. Son étymologie renvoie au salvonipe, la langue des Tchenkov (toujours usitée aujourd'hui) et serait un néologisme obtenu avec la contraction de "zupa", la soupe, et "niespodzianka" qui signifie surprise. De quelle surprise parlons-nous ? Elémentaire : de la soupe.

    La particularité de cette soupe est qu'elle est servie dans une miche de pain ronde. La légende veut que les chefs de clans aient pris l'habitude de surprendre leurs homologues étrangers lors de rencontres diplomatiques en leur faisant porter ce plat. Voyant arriver une simple miche de pain, certains dignitaires pouvaient prendre ombrage jusqu'à ce qu'on suggère au malheureux dirigeant de soulever le haut découpé de la miche pour découvrir le fameux potage traditionnel.

    L'aigreur est prodiguée par la fermentation, deux jours durant, d'un liquide associant des céréales fermentées à de l'eau bouillante. Ce liquide est mêlé par la suite à un bouillon de légumes, et complété de viandes, d'herbes aromatiques, voire d'oeufs et de crème fraîche. Le plat a été popularisé par la transmission orale de recettes de familles. L'almanach de l'Ostremont, au XVIIIe siècle, y fait référence et recense diverses variantes. Avec les migrations internes et externes à la Manche Silice, le plat voyage et s'invite sur les tables de toute la région eurysienne.

    L'appellation "Soupe aigre du Sewerin" est volontairement large puisqu'elle englobe toute une série de variantes locales. Ainsi, à Poludnie et Vychod, la bière entre dans la composition du bouillon. A Obrozeni et Ochrona, la recette incorpore de la betterave, donnant ainsi une couleur mauve caractéristique. A Nowe Miasto, la viande de cette soupe est essentiellement constituée de gibier alors que dans la plupart des cas, il s'agit essentiellement de porc d'élevage. Enfin, à noter l'existence, à Rio de l'Estuaire, d'une soupe aigre agrémentée de poisson, souvent sujet à moqueries par les habitants du nord, bien qu'importée dans le sud par des exilés du Sewerin.
    Pays : Nation Communiste de Loduarie
    Catégorie : Trophée de la Haute-Gastronomie 2011

    Nom du plat ou du chef : La Tartiflette de Galaisie
    Photo : https://img.cuisineaz.com/660x660/2013/12/20/i28489-photo-de-tartiflette.jpeg
    Description : La recette de la tartiflette de Galaisie a été mise au point dans les années 1970, dans les montagnes de Galaisie. Conçu au départ pour relancer la vente du Reblochon des montagnes Loduariennes, la tartiflette est devenu un plat Loduarien très prisé et populaire. De simples ingrédients pour un bon repas chaud en famille, voici son secret.
    Véritable icône des plats des montagnes de Galaisie, la tartiflette s'est vite répandu à travers toute la Loduarie, au point de devenir l'un des plats chaud les plus consommé par les Loduariens en hiver.

    Une bonne tartiflette comporte toujours des pommes de terre, des lardons de porc, un (ou deux si vous êtes gourmand !) fromage de reblochon Loduarien, du vin blanc de Galaisie et une bonne crème.

    La préparation de tartiflette est très diverse. Il existe autant de recettes qu'il existe de consommateur. Mais globalement, tous font toujours la même chose, à savoir couper les patates en carré ou en tranches, faire chauffer les lardons, mélanger les patates, les lardons, la crème, le vin blanc et des petits morceaux de reblochon Loduarien, poser le fromage de reblochon Loduarien dessus, puis faire cuire le plat au four.

    Et bien sûr, on oublie pas le petit verre de vin blanc ou rouge pendant sa consommation !
    Pays : Malévie
    Catégorie : À choisir entre : Spiritueux et vins

    Nom du plat ou du chef: Le Santa Clara de Suarte

    Photo :
    A

    Description :

    Le petit Domaine de Santa Clara de Suarte, situé dans une vallée pittoresque de Moriscote, est un des plus prestigieux de Malévie. Depuis 1914, ses vin rouges exceptionnels font rayonner la culture viticole malévienne à travers le monde. Les vignobles, qui sont passés de père en fils, sont cultivés méticuleusement avec l’abstention d’outils technologiques.

    La sélection soigneuse des cépages locaux, Merlot et Carménère, et les amalgames du terroir assurent une création unique au monde. La vinification des Santa Clara est particulière, car ils sont laissés dans la cuve après le processus de fermentation, demandant un temps de maturation prolongé, mais qui permet au rouge d’obtenir un corps supplémentaire. La cave prestige engendre un vin rouge d’une richesse considérable, qui avec chaque millésime la place aux cimes des palmarès internationaux.

    Une vue sur les vignes du domaine
    A

    Dû à l’attention étrangère particulièrement prononcée, le gouvernement a limité l’exportation de ce vin pour garantir la disponibilité à la consommation locale. En conséquence, les prix du vin ont augmenté de façon exponentielle. Après l’implémentation de cette contrainte, ce vin est devenu celui le plus trafiqué sur le marché noir.
    Pays : Negara Strana
    Catégorie : Spécialités culinaires traditionnelles

    Nom du plat : Nasi Memua

    Photo :

    Description : Contraction de “Nasi mebe semua” (“Riz avec de tout”), le Nasi Memua est le plat le plus emblématique du Negara Strana. Le plat se compose principalement de riz frit, d’une pâte de crevette (le terasi) et d’une sauce soja sucrée (la saudejai manis). Cependant, ce qui fait la spécialité du Nasi Memua est que la recette reste floue. De ce fait, le Nasi Memua est adaptable à volonté tout en gardant une empreinte stranéenne forte. La liberté culinaire si particulière de ce plat est notamment due à sa longue histoire.

    Les origines de ce plat remontent au XIIe siècle. A cette époque, le Nasi Memua naît sur les littoraux du Royaume de Strana. Près des villes de Kursirhyal (l’ancienne Kotarakyat) et de Lanaupalu, les agriculteurs disposaient seulement de riz, souvent fade dû au bas niveau de vie, pour se nourrir. Dans les ports de ces villes (nous ne savons pas laquelle en est à l’origine), des pêcheurs proposèrent d’y ajouter du terasi (une pâte de crevette, facilement obtenable en la faisant sécher au soleil, abondant au Negara Strana). Relevant parfaitement le riz, la simple recette (agrémenté de quelques autres ingrédients) se répand dans le royaume aussi rapidement qu'elle est appréciéz.

    De plus, ce qui fait l'originalité de ce plat, c’est que des ingrédients peuvent être rajoutés sans porter atteinte à la recette originale. Ainsi, il est désormais d'usage pour les stranéens d’utiliser les restes pour faire un Nasi Memua, dont on comprend dorénavant le sens étymologique. Aujourd’hui, ce plat plaît également à l’étranger car, bien que traditionnel, il est aisé d’adapter la recette aux coutumes culinaires locales, comme s’adonnent de nombreux restaurateurs stranéens.

    Évoquée de manière parsemée dans ce court texte, la recette est donc sommaire. L’essentiel est le riz frit, le terasi (composé de cette fameuse pâte de crevette) ainsi que la saudejai manis. Le riz est d’abord cuisiné avec de la sauce soja et est ensuite enveloppé de terasi. A partir de cette base, tout ce qui est ajouté est libre à vous ! Les stranéens ajoutent souvent différentes épices et plusieurs légumes, en fonction de ce qu’il y a à disposition. Le plat peut aussi être préparé avec de la viande ou du poisson. En outre, il n'est pas rare de voir son Nasi Memua servit avec un œuf frit (les restaurants, notamment bien notés, adorent les présentés ainsi!).
    Pays : Milouxitania
    Catégorie : Spécialités culinaires traditionnelles ou régionales

    Nom du plat ou du chef : Le "Milos-Neffies"

    h

    Description : Pâtisserie très appréciée en Milouxitania, le Milos-Neffies doit son nom à son origine.

    Origine quelque peu douteuse, car elle relève d'une légende sans aucun doute bien éloignée de la vérité, inconnue à ce jour. La légende raconte que lors de la guerre d'indépendance de 1396 contre les légions impériales, lors du siège terrible de Neffiès, la population de la ville mourrait littéralement de faim. Les experts s'accordent pour dire que ce n'est pas moins de la ville qui a périt en ville lors de ce long siège de trois ans. La ville ne fut libérée que grâce au soutien des Milois, libérés quelques mois plus tôt.

    La légende raconte alors qu'un marin de Milos avait été chargé d'amener des caisses en bois de nourritures jusqu'à Neffies. Le marin, ne sachant pas quelle nourriture il pourrait apporter en si grand nombre à la population neffiessoise, demanda à un ami boulanger de l'aider. Celui-ci façonna le premier Milos-Neffies (quel fut le nom donné à l'époque selon la légende, nous ne le savons pas), constitué à la simple d'une simple pâte feuilletée et d'une crème aux amandes. La légende ne précise pas comment le marin a pu apporter les caissons de nourriture dans la ville assiégée, ce qui laisse penser que cette légende est façonnée de toute part et n'a vraisemblablement aucun lien avec la vérité.

    Toujours est-il que le gâteau porte aujourd'hui le nom de Milos-Neffies. La recette "officielle" si l'on peut dire, est une pâte feuillée, saupoudrée de grains d'amandes et de sucre glace, à l'intérieur de laquelle on dispose une crème aux amandes et à la noisette. Le gâteau est traditionnellement en forme de donut, mais est souvent décliné en différentes formes.
    Pays : Prima
    Catégorie : Spiritueux et vins

    Nom du vin : Le vin de Désolation appelé aussi Cidre Sanguin, Fraisette de Désolation, Sang de Vampire, Essence de Vampire, Liqueur des Fortunéens, Liqueur de Vierge, Sang de Vierge ou encore Sang de Désolation.
    Photo :


    https://cdn.discordapp.com/attachments/1089615739180294194/1143942610268991559/image.png

    Description :
    Ce vin doit ses multiples noms particuliers et quelque peu macabres, pour ne pas dire sordides, non pas à quelques cultes secrets et maudits fortunéens, cela est une pure superstition grotesque résultant d'esprits complotistes arriérés et dérisoires, mais tout simplement à sa couleur et sa texture qui évoquent le sang ainsi que son lieu de production, à savoir Désolation, comté montagneux, quelque peu isolé au sud du Royaume, à la frontière d'avec Fortuna. Bien que modeste sur le plan économique, on peut même dire pauvre, ce comté est couvert de nombreux château aux donjons souvent élevés et impressionnants bien que, pour la plupart d'entre eux, quelques peu ruinés. Ces châteaux veuillent jalousement sur d'étroites vallées fortement boisées et peu peuplés dont l'histoire ancienne et globalement oubliée de tous sauf des savants et des gens du cru, leur a donné la garde.

    C'est au pied de ces château multi séculaires et en partie ruiné que l'on confectionne le célèbre Vin de Désolation. Il s'agit ni plus ni moins d'un vin de fraise, c'est à dire un fermentation sans distillation, mais qui, contrairement au vin classique, s'obtient non pas avec du raisin mais avec des fraises. Le procédé de production est peu ou prou le même : l'on presse les fraises dans de grands pressoirs en bois cerclés de fer qui ressemblent davantage à des pressoirs à pomme qu'à des pressoir à raison et qui est souvent confectionné artisanalement par les savoirs-faire ancestraux des compagnons et des maîtres des deux corporations fameuses des ferronniers et des tonneliers, qui s'associent pour réaliser la meilleur presse à fraise afin de respecter au mieux les traditions.

    Le liquide obtenu est versé en tonneau où il fermentera, étape indispensable durant laquelle le sucre se transformera en alcool. Comme il n'est pas permis d'ajouter du sucre et que la distillation est une chose qui n'est pas estimée en Prima et globalement fort peu pratiquée, le vin de Sang ne dépasse jamais les 10° et sa concentration d'alcool moyenne et ordinaire tourne plutôt autour des 5° à 7°, ce en quoi il se consomme davantage comme un cidre que comme un vin. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il est appelé dans certains comtés primains : « cidre sanguin ». En ce qui concerne l'effervescence, il existe avec du gaz (pétillant) et sans gaz (plat), les deux recettes existent bien que l'on affirme qu'il n'y avait pas de gaz originellement. En ce qui concerne la texture, il existe sous deux formes : lisse ou calloteux, dans le premier cas le liquide pressé a été totalement filtré, ce qui n'est pas le cas du second, dans lequel le filtrage a été gardé « grossier » et dans lequel se forment des « caillots » sorte d'amas de fraises écrasées qui évoqueraient, dit-on les caillots sanguins.

    Le vin de sang le plus traditionnelle et le plus estimé est le Vin de Sang lisse et calloteux. C'est d'ailleurs sous cette forme que le vin de Désolation est la plus apprécié, notamment par les fortunéens dont le pays est le principal importateur. Cela dit, plus globalement, il s'agit d'une boisson particulièrement appréciée des amateurs de vins exotiques. Le Sang de Vierges est léger, fruité, désaltérant, élégant, et, selon certain inspirant. Ce n'est pas pour rien qu'il est si chère et si difficile à acquérir, car la faible production est très recherché et se vend à un prix considérable. Notons enfin que c'est un excellent vin de garde pour qui sait choisir l'année.
    Pays : Prima
    Catégorie : Spécialités culinaires traditionnelles

    Nom du plat ou du chef : Les chocolats Ratier & Hertons
    Photo :

    https://cdn.discordapp.com/attachments/1089615739180294194/1144168854315085844/image.png

    Description :
    La chocolaterie Ratier & Hertons est la maison la plus en vue dans le plus beau monde (ainsi que le demi monde) des dames de Prima. C'est un nom que toutes connaissent malgré sa relativement jeunesse. Aussi, bien que la maison associée des chocolatiers Ratier & Hertons n'ait qu'une grosse vingtaine d'année, les maisons respectives de chacun de ses deux membres ont, quant à elles, un bon siècle d’existence. Quant à la corporation des chocolatiers de Prima, à laquelle ils doivent leur apprentissage et leur compagnonnage, puisque ce sont bien entendu des artisans incorporés, sa fondation remonte à plus de cinq siècles …

    En Prima, le chocolat est comme la mode, c'est un art pratiqué par les hommes mais destiné aux femmes. Sur ce point, il en va de la chocolaterie comme de la confiserie : il s'agit parfois du seul repas des dames. Vendus en boite contrairement aux bonbons que l'on vend en sachet, on les places ensuite dans son sac ou son manchon après s'être assurée de les avoirs biens emballés, un par un de manière a ce qu'ils ne fondent pas dans le sac et le souillent. On les consomme d'ordinaire à l'opéra ou au théâtre, ou bien encore au cinéma. Ils ne sont pas dédaignés non plus dans les salons, dans lesquels ils trouvent leur place à coté des biscuits pour agrémenter la table et enrichir la collation légère que l'on se doit de servir avec le thé.

    Donc, les chocolats occupent en Prima un rôle similaire à celui des bonbons et des biscuits. Ainsi, de même que les confiseurs et les biscuiterie ont des maisons plus ou moins estimées et en vue, de même la Chocolaterie possède elle des maisons à la renommé variable, renommé qui dépend entièrement de ces dames, qui en sont les colporteuses des réputations de ces maisons autant que les consommatrice de leurs production. Et donc, de tout les chocolatiers de Prima, et pensez bien qu'ils sont nombreux, c'est la maison Ratier & Hertons qui est la toutes les grâces de la plupart des représentent du beau sexe. Il faut dire que les deux maîtres ont sut ^élever leur art à un degrés de maîtrise tel, et dans une diversification de production tellement prodigieuses, que l'on ne saurait donner tord à ces dames. Du reste, ne sont-elles pas les mieux placées, les plus qualifiées pour juger des choses ? N'est-ce pas un fait établie par la plus élémentaire des sciences naturelles que le sexe féminin pousse à chercher les douceurs, là ou le sexe mâle se mets plutôt en quêtes de rôtis ou de charcuteries diverses ? On trouvera, il est vrai, des dames, et parfois même des demoiselles du demi monde que la vue d'un plat en sauce ou d'une assiette de cochonnaille enchante et ravie plus que de voir des bonbons ou autres sucreries. Mais n'est-ce pas là l'exception qui confirme la règle ? Et même dans ce cas, il est vraisemblable qu'il s'agisse davantage d'un moyen d’entraîner l'homme qui l'accompagne que de se régaler elle-même.

    Non, non, cessons de douter. Si le dévolu délicat des dames primaines est tombé sur les chocolats Ratier & Hertons c'est assurément parce qu'ils doivent être les meilleurs. Connaît-on un pays où les femmes sont plus délicates que celle que l'on trouve en Prima ? Les dames des Cours et Salons Primains ne sont-elles pas ce qui se fait de plus fin et de plus précieux ? Pourrait-on trouver ailleurs un goût aussi bon et aussi indiscutable que celui que l'on voit dans nos bals ou nos balades champêtres ou encore dans les tribunes et les loges de théâtres, cinémas et opéras primains ? La réponse est évidente, et nous la connaissons tous : « Non ». Les chocolats de la maison Ratier & Hertons sont définitivement les meilleurs et les plus adaptés pour la dégustation et les menues plaisirs des femmes les plus supérieurs qui se puisse penser.

    Les Chocolats Ratier & Hertons, des chocolats tels qu'il n'y en a pas de plus bon !
    Pays : Province ultamarine d'Halvø, République Fédérale de Tanska
    Catégorie : Spécialité culinaire traditionnelle régionale

    Nom du plat ou du chef : týnt kjöt
    Photo : Image
    Description : Le týnt kjöt, ou "viande perdue" est un plat tanskien de la province ultramarine d'Halvø fait à base de viande fumée d'agneau ou de mouton. Servi en tranche après plusieurs heures de cuissons, il est traditionnellement accompagné de pommes de terres à la sauce béchamel et de petits pois à la vapeur. Les versions servies en restaurant ont tendance à utiliser la patate douce introduite tardivement dans la cuisine provinciale. La viande, issues des élevages des hautes altitudes de l'arrière-pays Halvøis est régulièrement aussi accompagnée d'une partie non découpée ayant cuit dans un bouillon avec plusieurs légumes (carottes, navets, oignons) en plus des tranches classiques et de son accompagnement traditionnel.

    Les morceaux de viandes sont principalement située dans le gigot. C'est pourquoi il n'est pas rare de trouver des týnt kjöt qui, sans proposer de bouillon, propose directement un gigot complet avec l'os et une couche de gras que l'on découpe devant le client.

    La fumaison de la viande est avant tout issue du bois de bouleau. Cependant les meilleurs restaurant d'Halvø mais aussi de Norja et des principales villes peuvent proposer une viande à la double fumaison, généralement de sapin.

    En dépit de ses variantes, il s'agit avant tout d'un plat traditionnel, peu couteux dans ses versions les plus simples, servi aussi bien en temps normal que dans les périodes de fêtes fédérales et de fin d'année.

    Les versions plus méridionales des provinces d'Etelämanner et de Kyli ont tendance à supprimer l'agneau au profit uniquement du mouton. Les légumes ne changent pas bien que la carotte soit souvent préférée au petit pois. Le chou rouge est un accompagnement régulier.
    Pays : Volignon
    Catégorie : Spiritueux et vins

    Nom du plat ou du chef : Le Château du Vrai Pape

    Photo :

    https://cdn.discordapp.com/attachments/1089615739180294194/1144243395146031255/image.png

    Description :
    Ce grand cru existe depuis des siècles et fait le plaisir des amateurs de vin du monde entier. Originellement on le nommait le « Château du Pape », car l'état de Volignon, pays de vigne, appartient depuis fort longtemps aux états pontificaux. Quand survint la crise dans l’église et l’avènement des faux papes antéchrists qui eurent l'audace, toute démoniaque, d'usurper iniquement le saint Siège Apostolique Rémien (mais le feu éternel est sur eux et les consume bientôt), le Royaume de Prima annexa Volignon pour sauver une partie des États du Pape. Le vrai pape y fut lors installé, et c'est ainsi que le « Chateau du Pape » devint le « Château du Vrai Pape » car ce divin nectar manifestait dés alors le scandale de l'occupation du Siège Apostolique par des imposteurs et l’exil du pape authentique dans le dernier état qui lui restait.

    Ce vin, qui est un vin rouge, est totalement artisanal. Les vignes sont cultivées sans aucune mécanisation et taillées et dirigées selon les gestes et techniques multiséculaires hérités des antiques rémiens. Il est ensuite pressé par le moyen du pressoir à vis, conformément à la Tradition locale, puis mis en tonneaux. Ces tonneaux, réalisés par des tonneliers volignonais avec des bois primains, sont faits dans la plus pure tradition locale. Les caves de Volignon sont creusées dans les profondeurs de la ville et forment un réseau vaste et méconnu faisait des dizaines de kilomètres et encore mal connu, même des cataphiles passionnés.

    Ce vin est un vin de garde mais il peut aussi se boire jeune.Il se mariera de préférence avec la viande rouge ainsi que les fromages et les plats en sauce. Notons qu'il n'y a aucun sucre ajouté, et qu'il est donc possible de l'employer pour la messe, nous recommandons cependant d'acheter le blanc à cet usage, lequel est certes un peu plus cher mais c'est le vin de messe du vrai pape !
    Pays : Prima

    Catégorie :Spécialités culinaires traditionnelles

    Nom du plat ou du chef : Les bonbons des demoiselles

    Photo :

    https://cdn.discordapp.com/attachments/1089615739180294194/1144601791833591959/image.png

    Description :
    A Prima, on ne connaît pas le pop-corn et assez peu l'usage du maïs en général, lequel est globalement cantonné à son seul rôle d'aliment pour l'élevage, notamment des volailles (grâce auquel on obtient les fameux poulest jaunes qui feront peut être l'objet d'une candidature dans cette édition du concours ou bien dans le prochain). On ne connaît donc pas le pop-corn mais cela ne veut pas dire pour autant que l'on ne mange rien aux spectacles. En vérité, on grignotait dans les spectacles en Prima certainement bien avant qu'à l'étranger quelqu'un s'avise de faire griller du maïs pour le faire éclater et le servir aux entrées des cinémas.

    En Prima, l'on mange des bonbons durant les spectacles de théâtre, d'opéra, de ballets et de cirque ou encore durant les projections de films. Enfin, « on », non, les dames seulement car la consommation de sucrerie est considérée culturelle comme un acte féminin ou enfantin, aussi un homme qui mangerait des bonbons en publiques pourrait être tenu soit pour efféminé soit pour attardés, deux épithètes que personne ne recherche. Aussi, seul le beau sexe (et les enfants) mange durant les événements dont nous avons fait la liste. Mais tout le monde ne mange pas la même chose. Les enfants ont leur propre type de bonbon, avec des formes grotesques et très variables, les dames ont aussi leur propre type, très sombre, petit, plus puissant en goût que sucré, et souvent sombre de couleur, ambré. Entre ces deux opposés que sont les bonbons des enfants et les bonbons des dames, l'on trouve les bonbons des demoiselles.

    Les bonbons des demoiselles, comme leur nom l'indique, sont généralement destinés aux jeunes femmes, ou bien au adolescentes qui rêvent l'être déjà ou les matures qui s'imaginent l'être encore. Ces bonbons sont plus petits que ceux des enfants, mais plus grands que ceux des dames, ils sont moins sucrés que les premiers et moins puissants que les seconds. Ils se caractérisent surtout et d'abord par leur finesse de goût et leurs très recherchée, précieuse, et sa couleur est souvent faite d'une transparence assez marquée, assez pure, cristalline parfois mais le plus souvent comme un verre légèrement trouble ou soufflé.

    Vous l'aurez compris, le bonbon des demoiselles est moins une recette précise qu'un type de bonbon qui prend place dans une typologie gastronomique totalement liée à la culture primaine. N'importe quel primain saura dire, pour ainsi instinctivement, si tel ou tel bonbon est un bonbon d'enfant, de demoiselle, ou de dame, soit en le regardant soit en le gouttant, soit, même, en le sentant. En ce qui concerne sa disponibilité, le bonbon de demoiselle est disponible dans toutes les confiseries et peut être acheté en tant que tel (en vrac comme tout ce qui se fait en Prima, peu ou prou), c'est alors un assortiment de jusqu’à une cinquantaine de types de bonbons classiques et pas loin du même nombre pour les bonbons propres à tel ou tel confiseur. Il va de soi que tout cela est est très strictement encadré par la corporation des confiseurs, lesquels ne plaisantent pas sur le respect des traditions dans les recettes de fabrication, comme à peu près toutes les corporations des métiers de bouche.
    Pays : Milouxitania
    Catégorie : Spécialités culinaires traditionnelles ou régionales

    Nom du plat ou du chef : La tĂŞte d'autruche de la cheffe Sonia
    Photo :

    k
    Comme vous pouvez le voir, le leurre est surréaliste

    Description : La cheffe Sonia (née en 1973), est réputée pour ses œuvres pâtissières trompe-l’œil. Mais son talent réside dans les têtes d'autruches, qu'elle réalise à la perfection (comme vous pouvez le voir). Alliant des saveurs comme le chocolat, la praline ou encore la vanille, elle parvient à faire ses têtes d'autruche de tous les goûts. Et bien évidemment, elle arrive à jouer magnifiquement avec les couleurs afin de rendre la création plus que réelle.

    Le point le plus dur de la pâtisserie est sans nul doute les "poils". Sans cela, le trompe-l'oeil ne serait pas parfait. Façonnés dans des moules fabriqués par la cheffe elle-même, ces poils, composés de fibres de chocolats colorisés, sont durcis afin de s'accrocher facilement au reste de la création. En ce qui concerne les yeux, la gelée est de mise.

    Pour le reste, il y a tellement de façon différente de faire la tête d'autruche que nous ne saurions tous vous les décrire. Le plus dur est bien évidemment la coloration des produits pour rendre aux gâteau final sa splendeur.

    Fait avec des colorants bien évidemment naturels et sans additifs ni produits dangereux pour la santé humaine, les couleurs sont faites avec différents produits issus de plantation agrégées, gérées par le cheffe elle-même.

    Créé en 2001, la cheffe Sonia, originaire du nord du Milois, voulut mettre en avant la culture miloise, dont l'autruche est l'animal totem.
    Haut de page