25/02/2015
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🎬 Festival international de cinéma - Chan Chimù 2004 - Page 2

Pays producteur(s) : Magermelk
Catégorie : À choisir entre : Film de fiction

Nom de la production : Cédric Gertil, Défenseur de la Liberté et de la République
Affiche ou visuel :
Image du film

Genre ou thème abordé : Biopic sur Cédric Gertil, son combat pour la République, pour le Magermelk et contre le communisme
Synopsis ou résumé : Le film retrace la vie de Cédric Gertil, ministre de l’éducation de 1970 à 1976 (sous Antoine Nobleloup) puis de 1981 à sa mort en 2003. Le film montre l’exemple à suivre qu’est Gertil, ses nobles combats et le patriote qu’il était. Cet historien connu dans tout le Magermelk devient ministre de l’Éducation nationale en 1970 et le meilleur selon le film. Mais un complot et une tentative d’assassinat contre Gertil commanditée par le premier ministre Alexandre Brocart lui feront quitter son poste. Il restera proche du de Benoît Grisette (alors ministre de la Défense) pendant les 5 années suivante, mais redeviendra ministre de l’Éducation suite au coup d’état de 1981. Il réformera l’éducation pour la rendre bien plus proche des idées de la République chrétienne-militaire du Magermelk. Après 22 ans de bons et loyaux services envers le Grand-Maréchal Grisette, Cédric Gertil décéda le 3 janvier 2003 d’un cancer à 73 ans. Le film a été créé pour lui rendre hommage.
Commentaire : La presse maguerroise salut bien évidemment le film et l’homme qu’était Gertil. Elle félicite l’équipe du film pour avoir rendu un si bel hommage à Gertil. La presse internationale critique une vision romancée de la vie de Gertil (mentant par exemple sur le complot qui est en réalité faux) et la propagande du gouvernement.

Société de production ou Producteur : Cinéma de la République, avec le Ministère de l’Éducation républicaine et le Ministère de la Culture et de l’Information.
RĂ©alisateur : Marc Mavien
Acteurs principaux ou notables : Christian Laurens (Cédric Gertil), Gabriel de la Croix (Antoine Nobleloup), Anthony Saint-Ange (Benoît Grisette), Augustin Garnier (Alexandre Brocart)
Date de sortie : 20 avril 2004 (pour les célébrations de la fête nationale, entre le 20 et le 24 avril).
Pays producteur(s) : RĂ©publique de Fortuna
Catégorie : Film de fiction

Nom de la production : Jour Z

Affiche ou visuel :

Jour Z, Affiche


Genre ou thème abordé : Science-Fiction, Horreur, Action, Apocalypse

Synopsis ou résumé : 1er Juillet 2010, un jour comme les autres qui semble débuter sur la ville d'Apozcana, riche et moderne métropole de la côte sud-ouest de l'Empire du Yuhanaca en Paltoterra. Pourtant, pour le Dr Manfred Rochelois, éminent épidémiologiste Albelais affilié au Bureau spécial de lutte contre les épidémies il s'agit là d'un des tournants majeurs de son existence. En effet, à l'appel réalisé quelques semaines plutôt de l'Institut impérial Yuhanac de la Santé, les plus grands esprits, ténors et éminences des domaines médicaux et scientifique de l'ensemble accourent au sein de la ville afin de participer à un colloque exceptionnel visant à se pencher sur le cas d'un mal mystérieux en Nazum extrêmement contagieux et semblant provoquer des crises de folie semblable à la rage chez ses victimes. Cependant, coincé dans un embouteillage en plein coeur d'Apozcana, le docteur Rochelois était loin de se douter que ce qui s'annonçait comme une grande journée pour le monde entier allait se transformer en une longue descente aux enfers pour l'humanité entière

Premier film d'une trilogie relatant la lutte de la race humaine contre une maladie excessivement contagieuse transformant ses représentants en créatures décérébrés avides de sang, Jour Z débute ainsi ce récit dans une atmosphère tout à fait banale que l'on trouverait dans n'importe quel autre genre. Toutefois, le calme apparent que contemple le protagoniste, le Docteur Rochelois est trompeur, de multiples indices sont ainsi laissés au spectateur, annonçant le désastre à venir qui culmine soudain par le déclenchement du chaos lorsque les premiers infectés se dévoilent à l'écran, transformant les rues paisibles et animés en véritable champ de bataille où scène de paniques et bain de sang se multiplient à un rythme effréné a. L'intervention des forces de police ainsi que de l'armée impériale Yuhanac qui ne tarde point à arriver et se déroule du point de vue du Docteur termine d'embraser la ville, la boucle est bouclée et un conflit sanglant contre un adversaire d'un nouveau genre débute alors que Rochelois amorce sa fuite à travers les rues ensanglantée de la métropole impériale.

Sauvé de justesse de ce carnage menant inévitablement Apozcana à un état prochain de ville-cimetière par un contingent héliporté de soldats Albelais dépêché sur ordre du gouvernement fédéral qui nécessite d'urgence son savoir et ses compétences afin de trouver une solution à ce mal qui s'il a débuté en Nazum, fait désormais à la stupeur générale des ravages à travers le monde. Via les ondes radios encore en place, l'épidémiologiste se rends compte de l'ampleur du désastre alors que les nouvelles toutes plus désastreuses que les autres s'enchaînent, les Empires Rémiens et Ancalagonais entrés en guerre il y a de cela quelques mois s'effondrent face aux assauts des infectés qui se déversent désormais dans toute l'Eurysie, frappant déjà le Walserreich et le Magermelk ou s'élançant à l'assaut des montagnes hylvètes. La République Fortunéene voit ses dépendances continentales disparaître les unes après les autres, Rio de Canossa est emportée par les flammes tandis que le Doge a battu le rappel de l'ensemble de la flotte afin de protéger l'île Mère de Regallia et la Lagune. En Nazum, tout contact a été perdu avec le Lavyria, le Yokai et le Nikawa. Le nouveau monde lui même n'est point épargné, quoique se défendant peut être mieux notamment grâce aux puissances armées d'Albel et de l'Arkencheen qui pour les unes tiennent bon tant bien que mal afin d'empêcher ceux que l'on nomme déjà "Les morts" d'atteindre Paradis en pleine évacuation, et pour les autres de nettoyer méthodiquement les archipels fédéraux largement épargnés par leur statut insulaires. Ce tandis que la famille royale Aumerinoise abandonnait leur Palais d'Aumerine City envahi par les malades, ce afin de se réfugier à Sainte-Marquise, tout ceci alors qu'au même moment une nouvelle révolution sanglante voyait le Grand Kah s'effondrer de lui même dans une marée de tête tranchés et de sacrifices humains tout aussi ravageurs que les infectés eux même. Enfin, et ce de façon assez paradoxale, quelques bonnes nouvelles émergeaient, annonçant un impact moindre de la crise au sein des pays du nord de l'Eurysie tel que le Makt ou le Pharois Syndikaali, des E.A.U qui grâce à leurs climats et à des populations moins denses pouvaient tenir en respect les infectés plus efficacement.

Cependant, le bilan demeurait catastrophique, et Rochelois eut à peine le temps de considérer ces informations que son transport avait atteint sa destination. Il ne s'agissait point d'Albel en elle même, mais du navire amiral de la flotte fédérale, le Charbonneau, porte-hélicoptère nommé d'après le nom du président de la fédération et actuellement en pleine mer. Là bas, une partie du gouvernement et de l'état-major ainsi que de nombreux éminences du monde médical, s'affairant à essayer de trouver des solutions à cette crise sans précédant, ce tant bien que mal. Le film, s'il s'attarde quelques scènes sur le navire, se poursuit toutefois vers par l'envol d'une équipe spéciale comprenant notamment Rochelois par avion de transport tactique, ce vers Nazum, au sein de la ville de Heon-Kuang, affilié au Grand Kah, où les premiers cas d'infection semblaient être apparus il y a de cela plusieurs mois. L'objectif du périple était clair, trouver le patient Zero afin de pouvoir élaborer un remède.

Commentaire : Scénario catastrophe par excellence, les critiques notent une volonté claire et affichée de monter aux spectateurs un effondrement rapide et catastrophique de la société à l'échelle mondiale, qui bien que largement exagéré et jonglant avec certains éléments d'actualités déformés à l'extrême tel que les récentes tensions entre les empires rémiens et Ancalagon ou des références à l'histoire et à la culture du Grand Kah, s'ancrent toutefois bien le cadre de la science fiction. Dans ce film, il n'y a plus de rivalités régionales ou culturelles qui compte, le Fortunéen comme l'Albelois ou le Yuhanac est la cible d'un ennemi implacable, une maladie qui ne cherche qu'à s'étendre sans cesse, un propos simple en soit, devant les épidémies, les hommes d'où qu'ils viennent sont égaux. Fait intéressent, même si les communautés scientifiques et médicales ont décriés quelques temps ce film, rappelant qu'il ne s'agit là que d'évènements fantasmés bien loin de la réalité, celles ci ont tout de même intensifiés leurs efforts de communication afin de se pencher sur des maux bien réels. Quoi qu'il en soit, les spectateurs sondés quand à ce qu'il pensait du film considèrent toutefois ce dernier comme à minima correct et un divertissant pour la plupart, bien que tous les avis en soit ne soient pas uniformes, la plupart des négatifs étant surtout présent afin de critiquer le choix de faire intervenir des acteurs Albelais et de se servir de la république fédérale comme l'une des nations "phares" au sein d'une production fortunéenne.

Thème musical principal du film :


Société de production ou Producteur : Mundus Prodiction

RĂ©alisateur : Marco Durrando

Acteurs principaux ou notables : Jean Rossovsky (Dr Manfred Rochelois), Cyrano Kosvk (Le Capitaine Michel Lecontre, militaire Albelais), Juan Sartossa (L'Agent X, Officier d'intelligence Fortunéen à Heon-Kuang), Shao Qiang (Yua Zu, Scientifique du Kah à Heon-Kuang)

Date de sortie : Sorti le 3 FĂ©vrier 2004

Justice Borgne


Pays producteur(s) : Communauté d’Izcalie
Catégorie : Film de fiction

Nom de la production : Justice Borgne
Genre ou thème abordé : Judiciaire – Drame psychologique
Synopsis ou résumé : L’action se déroule en 1994, Josselin (Carl Bailén) est un avocat pénaliste expérimenté de 65 ans. Deux ans auparavant, un drame s’est produit : son fils et ses petites-filles sont lâchement assassinées par un marginal qui voulait les cambrioler. Rapidement, le suspect est arrêté : Lazare, un jeune homme sans un sou, devient alors l’ennemi public numéro en Izcalie, tant le pays s’est ému de cette histoire crapuleuse. Le jeune homme est alors condamné à mort, une sentence rarement prononcée, qui plus est à une époque où les débats font rage pour son abolition… une décision dont il fera appel. Ce drame a lourdement affecté Carl Bailén, qui en a fait une dépression. Pourtant, deux ans plus tard, alors que s’ouvre le procès en appel, et qu’aucun avocat ne veuille prendre la défense de l’accusé, Josselin se porte volontaire contre l’avis de sa famille, choquée de voir la mémoire de son fils ainsi salie. Sans soutien de sa famille, Josselin se trouve également esseulé face à un client qui ne semble pas éprouver de remords. Mais l’avocat continue son travail avec froideur mais grande efficacité, convaincu que son client a été condamné pour l’exemple, et que son premier procès, dicté par l’émotion, n’a pas été équitable. Au-delà ça, Josselin a pris cette décision en conformité avec ses opinions abolitionnistes. De plus, dans un contexte de tempête médiatique qui s’abat contre lui, le dépeignant comme un avocat cynique et sans éthique, il en profite pour régler ses comptes avec un monde judiciaire qu’il a côtoyé pendant près de 40 ans…

Commentaire : Habitué aux rôles d’antihéros, Carl Bailén signe une performance étonnante, en duo avec Ronan Lalande qui confirme, à moins de 30 ans, qu’il est bien un espoir du cinéma izcale. Le film n’a pas été un grand succès commercial mais a largement été apprécié par le public, pour jouer sur les ambivalences et les ambiguïtés.

Société de production ou Producteur : Pierre-Yves Dubost
RĂ©alisateur : Ignace Mahuizoh
Acteurs principaux ou notables : Carl Bailén (Josselin, l’avocat) ; Ronan Lalande (Lazare, le coupable et son client) ; Izel Yoliyamanitica (Zuma, la juge) ; Suzanne de Baugé (Juliette, la femme de Josselin)
Date de sortie : 10 octobre 2003
Pays producteur(s) : Confédération d’Hylvetia

Catégorie : À choisir entre : Film de fiction

Nom de la production : Aus Blut und Fleisch

Affiche ou visuel :

Wolf

Genre ou thème abordé : Film gothique / Épouvante / Mystère

Durée 163 minutes.

Limite d’âge : Interdit -16 ans.

Bande Originale :


Synopsis : En l’an de grâce 1759, le pays de Thiercelieu est victime d’une série d’attaques perpétrées par ce qui semble être une bête sauvage. Théobald Valmont, un jeune gendarme en mal d’aventure, est envoyé sur place pour découvrir quelle créature est responsable du massacre. Cependant, ce qu’il croit être purement naturelle va s’avérer aller bien plus loin que ce qu’il pouvait imaginer. Il va s’entourer de compagnons pour mettre fin aux agissements de la créature.

Résumé : Résumé détailléDans la forêt du domaine de Thiercelieu, un garçon de ferme est sauvagement massacré par ce qui semble être une créature terrifiante. Plusieurs mois plus tard, le massacre se poursuit et le spectateur fait la connaissance de Théobald Valmont, un gendarme que le canton a mis en charge de l’affaire. Ce dernier arrive en diligence dans un village où chaque regard lui semble pesant. Il se dégage une atmosphère lourde. Cependant, il est accueilli par Leonz, le charismatique maire du village, ce dernier lui fait le récit des morts dans les bois. Théobald rejette d’entrée la théorie d’une créature surnaturelle, expliquant que pour lui : « Seuls les faits comptent ». Guidé par Leonz, il se rend au chevet d’une survivante des attaques. Cette dernière est agonisante, le ventre ayant été déchiqueté. Leonz lui fait le récit de l’attaque. La jeune femme expire, non sans déclaré dans un sursaut que le Diable en personne l’a attaqué. Théobald reste perplexe. Leonz le conduit ensuite à l’auberge où il prend une chambre. Les deux hommes accompagnés par Thomas, chasseur qui connaît bien les bois, Renard, un soldat à la retraite, Balz, un courageux paysan, et Raul, un homme simple. Les six hommes se rendent sur le lieu de la dernière attaque. Théobald relève des poils sur un arbre alentour. Il fait par ensuite de sa théorie. Pour lui, il s’agit juste d’un loup, probablement enragé. Cependant, Leonz atteste avec ses compagnons qu’aucun des survivants n’a présenté les symptômes de la rage. Renart parle alors d’une histoire qu’il a entendu au front sur les chiens de guerre. Mais, il prend soin de rejeter cette hypothèse en affirmant que personne dans la région ne peut dresser un pareil molosse. Les quatre rentre ensuite au village sans se rendre compte qu’ils ont été épiés. Au village, Théobald fait la rencontre d’Heinrich, un ancien du village, ainsi que Alicia, sa petite fille, dont la mère et la sœur sont mortes lors d’une des attaques. Il fait ensuite la rencontre d’Angus, le Pasteur. Une tension se met en place entre les deux hommes, Théobald rejetant l’œuvre du Malin dans cette affaire. Après le diner, il part se coucher pour méditer sur le village et ses habitants. Il note ses premières impressions dans son journal. Alors, qu’il fait nuit noire, il entrevoit au travers de sa fenêtre, une ombre se glissant entre les maisons. Il descend alors mais ne trouve personne. Il remonte se coucher et raconte le lendemain ce qu’il a vu, Leonz explique qu’il s’agit probablement d’un ivrogne qui ne suit pas les recommandations du maire.

Théobald part interroger Alicia sur ce qu’elle a vu lors de la mort de sa mère et de sa sœur. Cependant, la petite fille reste muette. En repartant, il tombe sur Thomas mécontent, quelqu’un lui a volé ses collets. Théobald quitte le village en compagnie du chasseur pour la forêt qu’il souhaite connaître d’avantage. Les deux hommes déambulent dans les bois. Thomas lui demande ce qui le pousse à être gendarme, Théobald préfère ne pas répondre, évoquant un souvenir douloureux. Soudain, ils tombent sur un corps déchiqueté, le village est prévenu. Renart identifie la victime comme étant une bergère de l’autre versant de la montagne. En cherchant le troupeau, ils tombent sur un véritable carnage. En comptant les corps des moutons, ils s’aperçoivent qu’ils en manquent deux. Le jour tombe, tout le monde rentre au village. Le lendemain matin, une affiche a été placardée sur l’église. Il y est écrit que le village est un village de pécheurs et qu’il s’agit là d’un châtiment divin. Théobald prend en grippe Angus qui se défend d’avoir écrit cette affiche. L’affiche est déchirée par Leonz qui sermonne le village. Cependant, la tension commence à monter et Renard laisse échapper que celui qui tue pourrait bien être parmi eux. La journée s’achève tandis que les soupçons commencent à peser les uns sur les autres. Durant la nuit, Théobald est réveillé, quelqu’un vient de glisser une lettre sous sa porte. Il ne parvient pas retrouver l’individu. Il s’agit d’une lettre dénonciation accusant, Anna que l’auteur estime être une sorcière se changeant en bête.

Le lendemain, Théobald demande à voir cette Anna mais tombe devant un mur de silence. Thomas le prend à part et lui propose de le conduire à Anna en lui expliquant qu’elle est mal vu dans le village. Ils arrivent à la cabane d’Anna. Thomas présente Théobald à Anna et sa sœur, Yuna, une voyante. La jeune femme dément les allégations tenues contre elle affirmant qu’elle n’est qu’une simple apothicaire. Théobald demande avec ironie si Yuna ne peut pas démasquer la bête, cette dernière répond qu’elle voit le mal partout sauf en une personne. Thomas demande qui il s’agit mais Yuna préfère garder le silence. En repartant, Thomas se rend compte qu’ils sont observés. Il prend chasse celui qui les observe suivi de près par Théobald. Il finit par mettre la main sur l’espion. Il s’agit de Théophraste, un bucheron et gardien de la forêt qui semble être atteint d’une pathologie mentale. Thomas lui fait jurer de ne pas révéler où se trouve la cabane d’Anna car cela pourrait la mettre en danger. En rentrant au village, Angus et Renart leur apprennent qu’une autre attaque a eu lieu sur l’autre versant de la montagne. Pour eux, cela signifie qu’Anna et Yuna sont innocentes. Théobald rajoute que Thomas est aussi innocent. Ils se rendent sur les lieux pour découvrir le corps en charpie d’un garçon de ferme. De retour au village, Théobald explique la situation à Leonz, Thomas donnant son accord pour que le maire soit dans la confidence. L’innocence d’Anna ne trouble pas Leonz plus que cela.

De retour dans l’auberge, les trois tombent sur Gwer, un paysan du coin, débitant des accusations à l’égard d’Anna affirmant qu’elle, par sa magie noire, empoissonner son troupe. Théobald se met à le questionner sur la mort de son troupeau, sous le regard mauvais de Thomas. Finalement, Gwer quitte l’auberge non s’en avoir semé le doute dans l’esprit du gendarme. Ce dernier monte se coucher. Le lendemain matin, une battue géante est organisée. Renard, Leonz, Thomas et Théobald font équipe. Les chiens de Thomas rabattent un loup qu’il abat. Revenant au village avec la bête, Théobald soumet le corps du loup et celui du garçon à des examens morphologiques. Il se rend compte que la mâchoire d’un loup est incapable de produire des blessures d’une pareille taille et que le loup n’a aucunement la rage. Il fait part de ses avancées à Thomas et Leonz à l’auberge. Très perturbé, il monte se coucher. En réfléchissant, il comprend qu’Alicia a vu la créature et sait qu’elle sait quelque chose qui la pousse à rester muette. Il retourne la voir le lendemain mais la fillette demeure muette comme une tombe. Heinrich mettant cela sur le compte du traumatisme de la mort de sa mère et de sa sœur. Théobald demande alors où le père, Heinrich répond froidement qu’il est mort il y a des années. Théobald s’en va de plus en plus questionné sur la nature des attaques. Il se rend seul à la ferme de Gwer pour pousser son investigation sur la mort de son troupe. Il se rend compte que l’eau des bêtes a été empoissonnée. Il garde cette conclusion pour lui. Sur le chemin du retour, il entend des grognements provenir du sous bois. Armé de son pistolet, il pénètre dans la forêt et relève une empreinte démesurément grande. Il est soudainement assommé par derrière. Il reprend connaissance dans la cabane d’Anna et de Yuna. Anna s’occupe de sa blessure. Il fait nuit. Il choisit de rester. Il questionne alors Anna sur la mort du troupeau de Gwer, cette dernière nie en bloc les faits. La nuit s’achève sur une froideur entre les personnages. Le lendemain, il retourne au village et tombe sur Raul. Ce dernier le conduit à Leonz et Thomas qui préparent une nouvelle battue. Il leur explique sa découverte et ce qui est survenu juste après. Il soupçonne désormais que si bête il y a, elle est sous les ordres d’un homme. Il reprend la théorie du chien de guerre et demande d’avantage de précision à Renart. Raul, Renart et lui repartent sur les lieux où Théobald a vu la trace. En chemin, ils tombent sur Théophraste, le visage tuméfié, demandant ce qui s’est passé, le jeune homme fond en larme et explique que Gwer et d’autres villageois l’ont attaqué. Furieux, Théobald fait demi-tour et part chercher Leonz et Thomas. Ensemble, ils se rendent à la ferme de Gwer où Angus fait sermon exhortant les villageois à prendre les armes contre le Malin. Ils lui demandent pourquoi ils ont frappés Théophraste, Gwer répond que c’est voleur et un être malsaint. Leonz s’oppose à ce prêche, affirmant que l’enquête progresse et que l’étau se resserre. Ce qui est un mensonge évidant mais cela semble calmer les foules pour un temps. Thomas quitte le groupe pour se rendre chez les deux sœurs dont il craint pour la sécurité. Tandis que Raul et Balz ramènent tout le monde au village. Leonz et Renart écoutent Théobald qui leur explique que selon lui, Alicia a tout vu et sait qui est derrière les attaques. Ils sont interrompus par Gwer qui prononce de nouvelles accusations contre Anna, Leonz le frappe alors. Il est retenu par Renart sous le regard de Théobald. Ils quittent la ferme sans perdre de temps. Leonz demande alors où est parti Thomas. Théobald prétend qu’il est parti relever ses pièges dans la forêt. Leonz raconte alors que selon lui, Balz et Thomas sont les deux hommes les plus courageux qu’il connaisse. Ces derniers n’ayant pas hésités un seul à instant à lui sauver la vie d’un ours.

Les compagnons se rendent à l’auberge où le nom d’Anna est sur toutes les lèvres. Balz tente de rassurer les gens tandis que Raul fait part de ses doutes sur la « Sorcière de la forêt ». Théobald ne peut pas nier de peur de révéler l’endroit où vivent les sœurs ou pire, de devenir une cible potentielle. Leonz part discuter seul à seul avec Angus. Le lendemain, Théobald est réveillé par des cris. Une femme a été tuée alors qu’elle rentrait ses bêtes. Elle a été entièrement dévorée. Théobald se rend sur les lieux avec Balz. Leonz, Raul et Renart étant déjà présent sur place. Alors qu’il inspecte les lieux, Théobald relève plusieurs emprunts de pas mais il constate que ce ne sont pas ceux de la fermière. Commençant à comprendre ce qui se joue, il garde cette information pour lui. Il n’a confiance en personne. Cependant, il remarque également les traces de griffes et de crocs sur les corps de plusieurs bêtes. En effectuant des mesures, il comprend que ce n’est ni loup, ni chien, ni ours et que cela n’est définitivement pas naturel. Au village, la colère monte de plus en plus. Angus et Gwer haranguent la foule, lui sommant de débusquer les deux sœurs. Leonz parvient difficilement à calmer le jeu. C’est finalement Heinrich qui apaise la foule. Il confie à Théobald qu’il perd le contrôle et qu’un drame va se produire si ils ne mettent pas fin à ce carnage. Ils se réunissent avec Balz, Renart, Raul et Thomas, qui vient de revenir de la forêt. Raul lui demande alors ce qu’il a fait. Thomas répond simplement qu’il a dormi dans sa cabane de chasse.

Raul est de plus en plus soupçonneux et tient de moins en moins en place. Leonz parvient à la calmer. Il admet alors à ses compagnons qu’il est impuissant et qu’il ne sait plus quoi faire. Les suppositions de Théobald ne le rassurent guère. Des patrouilles sont mises en place par le village. Théobald, Raul et Leonz forment un groupe et Thomas, Renart et Balz, un autre. Au petit jour, personne n’a été tué. Alors qu’il se repose, Théobald est dérangé par Yuna. Cette dernière s’est rendue secrètement au village pour lui parler. En effet, elle lui fait confiance et affirme qu’elle a un poids sur le cœur. En larme, elle avoue que Thomas et Anna se sont éclipsés pendant la nuit. Théobald la remercie lui jurant de garder le secret. Il décide alors de suivre discrètement Thomas à la nuit tombée. Ce dernier rejoint Anna dont il s’avère l’amant. Théobald ne cherche pas en savoir plus sur le moment. Le lendemain, il confronte Thomas sur cet élément. Thomas, se sachant démasqué, avoue que lui et Anna sont amants depuis qu’elle lui a sauvé la vie alors qu’il s’était blessé à la chasse. Il ni en rigolant être le massacreur. Il fait promettre à Théobald de ne rien dire, celui-ci répond que tout dépend de la suite des événements. C’est alors, qu’ils surprennent Raul, Gwer et Angus entrain de comploter derrière l’église. A la vue des deux hommes, ils se séparent. Thomas retourne dans la forêt craignant pour la sécurité des deux sœurs. Théobald lui conseille d’avouer la vérité à Yuna pour faire tomber les soupçons. En retournant à l’auberge, il tombe sur Heinrich et Alicia. La petite semble le fuir. Heinrich explique que son interrogatoire a fait remonter des mauvais souvenirs à la petite. Puis, s’éloigne, non s’en mettre le gendarme en garde sur ses agissements. Théobald comprend qu’il n’est bientôt plus le bienvenu. Il se décide à agir. La nuit tombe, les patrouilles continuent, aucun mort n’est à déplorer. Cela renforce les soupçons de Théobald qui pense que l’assassin n’est plus en mesure d’agir car coincé dans une des patrouilles. Il fait part de sa théorie à Thomas, qui l’approuve. Il lui dit aussi qu’il suppose que c’est Gwer qui lui a porté la lettre anonyme mettant en cause Anna. Il explique également, qu’ils ne doivent avoir confiance en personne, étant les seuls à pouvoir s’innocenter ainsi que les deux sœurs. Ils retournent voir les sœurs pour faire part de leurs avancées.

Par miracle, Anna a pu se procurer une des bêtes tuées chez la fermière et affirme preuve à l’appuie que le coupable est un lycanthrope, un loup-garou. Théobald affirme que les loups garous n’existent pas. Mais Anna lui raconte de nombreux témoignages attestant de la véracité de sa théorie. Thomas et lui rentrent au village, confiant à Anna et Yuna, un pistolet pour se défendre. Leonz, Balz, Renart, Thomas et Théobald se retrouvent à l’auberge. Ils savent qu’ils sont infériorité par rapport aux villageois. Leonz leur confie qu’il sait de source sûre que Gwer et Angus conspirent contre lui, le soupçonnant de protéger les deux sœurs. Ces derniers vont demander un vote pour destituer le maire au prochain conseil du village, c’est-à-dire, le lendemain. Thomas comprenant l’urgence de la situation part retrouver les sœurs les cacher. Tandis que Leonz et Théobald tentent de mettre en place en plan. Il dit également que selon lui, Raul est dans le coup et qu’il ne faut plus lui faire confiance. Leonz confie à Théobald et aux autres qu’il sait ce que fait Thomas et qu’il l’a toujours su. En effet, c’est lui qui a ramené Thomas à la cabane des sœurs le jour de son accident. Balz promet qu’il défendra les sœurs et Leonz jusqu’à la mort s’il le faut, Renart approuve. Théobald lui confie qu’Heinrich pourra faire pencher la balance en leur faveur pour le vote. Leonz part s’entretenir avec lui. Les trois autres forment une patrouille.

Le lendemain jour du vote, Gwer porte de nombreuses accusations contre Leonz puis, avec le soutien de Raul et d’Angus, propose de voter pour le démettre de ses fonctions de maire. Théobald ne peut pas voter car il n’est pas un villageois. Cependant, Balz et Heinrich réitèrent leurs confiances en Leonz. Cela ne suffit pas et à une voix près, Gwer est élu maire. Il proclame alors qu’il est tend de chasser les sorcières de son village. Leonz, Théobald, Balz et Heinrich regardent impuissant. Balz s’éclipse alors pour prévenir Thomas et les sœurs. Le village brandit fourches et torches guidés par Gwer, Angus et Raul. Leonz tente de les raisonner mais rien n’y fait. Gwer menace de le bannir ou pire si il ne la ferme pas. Théobald comprend qu’ils ne sont plus les bienvenus. Ils ne renoncent pas à leur combat. Il se rend chez Heinrich pour convaincre Alicia de lui dire ce qu’elle a vu. La fillette en demeure pas moins muette. Soudain, des exclamations et des cris résonnent dans le village. Théobald sort et voit les villageois sous les ordres de Gwer entrain de torturer le pauvre Théophraste qui avoue où sont cachées les sœurs. Les villageois se ruent dans la forêt laissant le jeune homme agonisant. Il expire dans les bras de Théobald en demandant à Thomas de lui pardonner d’avoir trahi son secret. Le gendarme réunit des fidèles de Leonz, ils s’arment et partent en direction de la forêt.

Guidés par Théobald, ils arrivent à la cabane qu’ils découvrent en flamme. Les deux sœurs, Thomas et Balz ne s’y trouvant pas. Les villageois repartent bredouilles. Leonz conseille à ses fidèles de rentrer discrètement pour ne pas se mettre en danger. Puis, ils attendent que les fidèles de Gwer se dispersent. Ils se rendent à la campagne de chasse de Thomas pour trouver les quatre cachés. Théobald raconte ce qu’il s’est passé. Yuna se met à pleurer, elle aimait Théophraste. Le répit n’est que de courte durée. Des cris résonnent dans la forêt, Gwer les a suivis et il revient avec ses fidèles. Balz,Leonz, Théobald, Renart et Thomas font barrage. Gwer ne voulant pas négocier ordonne qu’on les tue. Ses fidèles se montrent hésitants. Ce qui laisse le temps pour les fidèles de Leonz d’arriver guider par Heinrich. Le village est là, séparé en deux camps. Chacun pointant son fusil vers l’autre. La tension est à son comble. Un coup part et Heinrich s’effondre, mort. Les hommes de Leonz répliquent. Le chaos est total, des morts tombent par dizaine. Soudain, Anna et Yuna tentent de fuir mais sont rattrapées par un petit groupe avec Raul à leur tête. Levant sa lame, il plante Anna dans le dos, cette dernière s’effondre, elle est mise en pièce sous les yeux de sa sœur par les villageois. Thomas tire dans le tas. Balz parvient à s’extirper de la mêlée pour s’emparer de Yuna et fuir dans le cœur de la forêt. Devant l’intensité et la violence du carnage, les villageois se dispersent. Gwer, Raul et Angus en tête.

Leonz ordonne à ses fidèles de ramener le plus de monde possible au village sans faire plus de victimes et qu’ils s’occuperont des morts de lendemain. Ils partent à la suite de Balz et de Yuna. Pendant ce temps, Yuna avoue que c’est elle qui a empoissonné le troupeau de Gwer pour se venger des mauvais traitements qu’il infligeait à Théophraste. Anna lui demande si elle a utilisé sa potion de mort, Yuna répond que oui. Soudain, un lycanthrope leur barre la route. Terrifiée, Yuna tombe à genoux paralysée par la peur. La Bête est énorme, une gueule de cauchemar. Balz lui tire dessus, intimant aux sœurs de s’enfuir. La Bête lui saute dessus et le met en pièce. Yuna fuit. C’est alors que surgissent Gwer et Raul, enragés, ils poignardent Yuna. Raul s’apprête à l’achever lorsqu’il est abattu par Thomas. Gwer s’enfuit dans la forêt. Yuna, agonisante, leur dit d’aller sauver Balz. Mais c’est déjà trop tard, le Salvateur est mort en sauvant une vie. Le lycanthrope a disparu. Yuna meurt dans les bras de Thomas confiant à Théobald, la potion de vie, lui disant qu’Anna lui faisait confiance mais que tout cela est loin d’être fini qu’elle a vu les Bêtes. Pendant ce temps-là, Gwer s’enfuit mais il est rattrapé par le lycanthrope qui le met en pièce. Le Dictateur est mort.

Au petit jour, on compte dix-sept victimes. On pleure les morts. Angus est fait prisonnier, on cherche à l’exécuté mais Leonz empêche une « barbare mise à mort ». Yuna fait le récit des événements au village. Un loup-garou est parmi eux. Une gigantesque battue se met en place pour tenter de trouver et d’abattre la bête. Angus et Leonz prennent le centre. Théobald et Renart prennent le côté droit. Thomas prend le côté gauche. La battue ne donne strictement rien. Le soir venu, Angus rend hommage aux victimes et tous s’endorment dans l’église, devenue un lieu de refuge. Le matin, on enterre tous les morts, y compris Anna. On commence à forger des armes en argent, argent que l’on récupère sur des objets de luxes présents à l’auberge. Les premières balles sont fabriquées. Ce qui permet à Renart, Thomas et Théobald de se décider de partir dans la forêt pour mettre la main sur Gwer tandis que Leonz reste au village pour mettre en place la suite des opérations. Une fois dans la forêt, ils finissent par retrouver le corps de Gwer en lambeau. C’est alors, que des grognements puis des hurlements se font entendre. Les trois hommes sont pris en chasse par le lycanthrope, plutôt que de fuir, ils décident de faire face. Ils ouvrent le feu et parviennent à blesser la Bête, qui se replie. Suivant les traces de sang et l’instinct de Thomas, ils arrivent à son antre. La Bête leur a tendu un piège. Elle leur bondit dessus, immobilisant Renart. Elle lui broie l’épaule de sa mâchoire, il parvient néanmoins à lui enfoncer son coutelas dans l’œil jusqu’au cerveau, la tuant. Le Vieux Soldat meurt avec le sourire. La Bête se métamorphose révélant Angus. Il meurt à son tour. Les villageois arrivent en masse guidés par Leonz, ce dernier ne peut que constater la situation. La Bête est morte. On brûle son corps, se rassurant, se disant que l’on a été manipulé par le Malin dans la peau d’un pasteur.

Cependant, Théobald a l’intime conviction que rien n’est terminé. Il s’en retourne au village mais ne participe pas au festin. Le lendemain, il retourne voir Alicia. Il lui dit qu’il sait qu’Angus n’était pas seul quand sa mère et sa sœur ont été tués. Il dit qu’il a trouvé plusieurs traces de pas différentes dans la ferme et qu’Angus n’a pas pu commettre plusieurs des crimes, il était avec le village quand certains des crimes se sont produits. Il demande à Alicia : « Qu’as-tu vu ? » et elle répond : « Leonz ». Choqué par cette révélation, il s’en retourne voir Thomas. Et lui raconte les révélations d’Alicia. Ils se décident à aller confronter Leonz. Ils arrivent chez lui mais ne trouvent personne. Demandant où il est, on leur apprend qu’il est parti avec deux villageois et Alicia dans la forêt. Ils se hâtent. Ils tombent sur les corps des deux villageois. Leonz, s’étant changé en lycanthrope, s’apprête à dévorer la petite, affirmant qu’elle a détruit la promesse qu’elle lui a faite. Thomas et Théobald tirent et le blessent. S’engagea alors, un combat au corps à corps durant lequel, Thomas et Théobald sont aggravement blessés. Théobald larde le loup garou de plusieurs coups de coutelas en argent. Leonz lui arrache alors son bras droit et lui crève un œil. Thomas éventré parvient cependant à tirer une balle dans le cœur du Loup-garou avant de succomber à ses blessures. Leonz fuit. Théobald réunit ses dernières forces et se lance à ses trousses. Il finit par trouver Leonz adossé à un arbre. Ce dernier, agonissant, se met à leur raconter son histoire, de la malédiction dont il est victime en évoquant le Père des loups, il en vient à sa rencontre avec Angus, de leur faim insatiable et de son plan pour élever et guider un troupeau humain. Il félicité Théobald pour l’usage des balles en argent et meurt en remerciant Théobald. Le gendarme s’effondre ayant perdu trop de sang. Il se réveille et découvre Alicia à son chevet. La petite fille est plusieurs habitants se sont relayés pour lui sauver la vie. Il a perdu son droit et son œil. Il apprend que la petite fille à utilisé la potion de vie sur lui. Il l’a remercie. Le film s’achève sur l’enterrement du Chasseur et Théobald quittant le village en compagnie d’Alicia qui voit en lui, un père de substitution. Il lui promet de retrouver son père. Dans l’ombre, quelque chose guette. Fin.

Commentaire :

Le film possède une esthétique proche du gothique et du film d’horreur. Toutefois, il se tourne également du côté du film policier et de récit d’aventure quand cela est nécessaire. Le film est aussi bon dans son scénario que dans les genres qu’il exploite. Donnant, un résultat unique dont la fin pose de nombreuses questions. Les personnages sont écrits avec une grande profondeur. Urban Bitterwolf utilise astucieusement les montagnes hylvètes dans leur côté le plus sombre. Le film a été un véritable succès puisqu’il a fait plus de six millions d’entrées sur le territoire hylvète. Rapportant, 52 millions d’écus pour un budget initial de 21 millions. Il s’agit du plus gros succès de l’année 2003 et d’un futur film culte. Les effets spéciaux entièrement mécaniques sont l’autre point fort du film, ce qui explique que le film prenne autant aux tripes, tout est réel.

« Alors que l’on est en droit de s’attendre à un simple divertissement d’épouvante, nous nous retrouvons devant un film qui surprend le spectateur par une esthétique gothique extrêmement bien léchée, un scénario aux rebondissements multiples, des personnages surprenants et hauts en couleurs avec au milieu de cela, un homme à moitié perdu qui bascule peu à peu dans une espèce de folie. La Bête est un des points forts du film, son esthétique la rend à la fois terrifiante et humaine dans le même. Le film se livre à un hommage au genre littéraire qu’est le gothique en s’inspirant librement du roman Le crépuscule dans les montagnes de Jonas Zürn, publié pour la première fois en 1854 et qui inspira le célèbre jeu du Vampyr ainsi que Les aventures de l’inquisiteur Solomon Frémond, datant de 1925, et dont le réalisateur n’aurait pas eu les droits pour le film. Le film est excellent quoiqu’il ne soit pas à mettre en toutes les mains. » - Tobias Amacher, Le Matin

Société de production ou Producteur : Gauvin Entertainment / Cosmo Film

RĂ©alisateur : Urban Bitterwolf

Acteurs principaux ou notables :

Vito Zopfi (Théobald Valmont)
Maximilian Ramseyer (Thomas, le Chasseur)
Rose Marignan (Alicia, la Petite fille)
Daniel Favre (Renart, le Soldat)
Elva Kobler (Anna, l’Apothicaire)
Elena Aernia (Yuna, la Voyante)
Ivan Notz (Leonz, le Maire)
Luc Vogt (Heinrich, l’Ancien)
Mark Zeiler (Théophraste, l’Idiot du village)
Rolf Spiess (Gwer, le Corbeau)
Ugo Larzt (Angus, le Pasteur)
Paul Remund (Balz, le Salvateur)
Norin Brawand (Raul, le Simple villageois)

Date de sortie : 29 octobre 2003

Entrées : 6 856 987

Inspiration pour la réalisation : Le Pacte des Loups de Christophe Gans / Sleepy Hollow de Tim Burton.
Pays producteur(s) : Fédération d'Albel
Catégorie : Film de fiction

Nom de la production : Wilster 1951
Affiche ou visuel :
Affiche
Prise de vue de la scène d'ouverture du film, montrant un bombardier albelais abattu par un chasseur arkencan

Genre ou thème abordé : Film de guerre basé sur le débarquement de Wilster, bataille iconique de la Guerre albelo-arkencane

Synopsis ou résumé : 11 août 1951 - Une flotte de bombardiers tactiques de l'Armée de l'Air Fédérale d'Albel fait route vers la ville heenlythaine de Wilster, chef lieu de l'île de Bentford. Peu avant d'arriver à destination, les aéronefs albelais sont pris en chasse par une nuée de chasseurs arkencans qui parviennent à en abattre une partie, sans que cela suffise à empêcher le bombardement de la ville, qui ne tarde pas à brûler, avec ses habitants, sous le feu des bombes incendiaires. Une heure plus tard, la flotte albelaise approche des côtes de l'île arkencane, et c'est alors que débute l'une des batailles les plus sanglantes de la guerre albelo-arkencane, avec le débarquement de plus de huit mille hommes de la Fédération sur les plages d'une île pour laquelle les soldats arkencans sont prêts à se battre jusqu'au dernier palmier. Suivant la bataille du point de vue d'Yves Crépon, pilote albelais qui a pu s'éjecter de son bombardier peu après que celui-ci a largué ses bombes sur l'île, avant d'être abattu par la chasse arkencane, le spectateur assiste à l'enlisement de la bataille, qui coïncide avec une sauvagerie des combats et une horreur croissante, alors que se multiplie l'usage d'armements non conventionnels dans les deux camps.
Commentaire : Le film s'ouvre sur une scène de combat aérien spectaculaire dont les effets spéciaux ont été loués par la critique, montrant l'angoisse des équipages des bombardiers albelais alors que leurs appareils se trouvent criblés des balles tirées par les chasseurs arkencans, démembrant à l'occasion une partie des passagers. Il se poursuit avec un enchaînement de scènes d'une grande violence et d'un réalisme époustouflant, si bien que lors de la première du film qui a eu lieu le 1er juillet 2004 à Paradis, une partie des vétérans de la bataille qui avaient été invités à la projection ont quitté la salle, ne pouvant supporter les images. Loin de glorifier la guerre ou de prendre partie pour l'un des deux camps, le film s'échine à montrer de manière très crue les aspects les plus sombres du conflit, et notamment les exactions commises d'un côté et de l'autre de la ligne de front. L’œuvre bénéficie d'ailleurs d'une production conjointe entre le studio albelais Méridien Productions, et la société arkohane Balestera, qui a permis au réalisateur de disposer d'un budget conséquent pour ce film, faisant intervenir des acteurs arkencans dans le rôle des soldats des Îles-Fédérées. Alors qu'Ernst Keller n'a jamais dissimulé ses convictions libérales (les libéraux albelais étant anti-militaristes), le film est un message clair adressé aux gouvernements actuels des deux pays belligérants de son scénario, dans un contexte de regain des tensions géopolitiques entre la Fédération d'Albel et les Îles-Fédérées d'Arkencheen.
Société de production ou Producteur : Méridien Productions, en collaboration avec la société de production arkohane Balestera
RĂ©alisateur : Ernst Keller
Acteurs principaux ou notables : Georges Malatier dans le rôle du pilote Yves Crépon
Date de sortie : 1er juillet 2004
Pays producteur(s) : Confédération d’Hylvetia

Catégorie : À choisir entre : Série télévisée (non animée)

Nom de la production : 11-3 en patrouille.

Affiche ou visuel :

11-3
Louis Cartier (Emile Gilson) et Nicolas Lebay (Florent Rodien)


Genre ou thème abordé : Drame / Policier

Générique de la série :

Synopsis ou résumé :

Nicolas Lebay est un policier patrouilleur, aux méthodes cavalières, de la police de quartier à Vern. Après une fusillade où son collègue est grièvement blessé, il demande à être affecté aux patrouilles en solitaire. Le capitaine Plessis décide de lui affecter un collègue nouvellement arrivé en ville fort de quinze ans d’expérience et qui sera en mesure de le contrôler. Cet homme, c’est Louis Cartier. Lebay est cependant très réticent à l’idée d’avoir un nouveau partenaire. Le duo sera pour le moins tendu et explosif. Dans le même temps, nous suivons la vie du poste de quartier numéro 11 avec les flics, leurs missions et leurs problèmes.

Commentaire :

La série met en scène de manière réaliste la vie et les missions des policiers de la ville Vern. Et pour cause, le réalisateur et scénariste, Michel Renart est un ancien policier qui a exercé à Vern. La série adopte un aspect très documentaire, avec une caméra filmant les interactions et la misère du quotidien sans porter le moindre jugement sur ce qui se déroule à l’écran que ce soit avec un trafiquant de drogue, une femme suicidaire ou un sdf malade. La série porte un regard humain sur le devoir des hommes en uniformes, sans prendre de gants.

Société de production ou Producteur : Radio Télévision Hylvète

RĂ©alisateur : Michel Renart

Acteurs principaux ou notables :

Florent Rodien (Nicolas Lebay)
Emile Gilson (Louis Cartier)
Pierre Leroy (le capitaine Plessis)
Thaïs Baudet (Hélène Kléber, l’ex-femme de Lebay et inspectrice)
Cyril Thiers (l’officier patrouilleur Benoît Valluy)
Astrid Dieulafoy (l’officier patrouilleur Mégane Leroux)

Date de sortie : La première saison a été diffusé du 7 novembre 2003 au 7 janvier 2004 avec 12 épisodes de 55 minutes.

Inspiration pour la réalisation : 19-2 de Réal Bossé / The Wire de David Simon
Pays producteur(s) : Empire DĂ©mocratique Latin Francisquien
Catégorie : Série Télévisée

Nom de la production : La vérité
Affiche ou visuel : https://nsa40.casimages.com/img/2021/05/16/210516025335682387.png
Genre ou thème abordé : Drame, émotion
Synopsis ou résumé : Alors que la jeune clémentine a fini l'école, elle attend ses parents mais ils ne viennent pas. Son institutrice décide de contacter ses parents en vain. Après 2 heures d'attentes, elle contacte les autorités qui ramène la petite fille chez elle et y découvre une scène macabre : Sa mère et son père son décédé tandis que son petit frère pleure de souffrance et couvert de sang dans son landau. Face à la scène, la petite fille reste traumatisée et régulièrement des flash lui reviennent sur des disputes familiales et des hommes qui veulent du mal à sa famille. Les autorités persisteront à comprendre ce qu'il s'est passé alors que la petit fille semble se renfermer dans un mutisme traumatique.

Commentaire : "Extrêmement émouvant!" -Spectatrice, "Les acteurs sont fantastiques et jouent très bien leur rôle!" -Spectateur
Société de production ou Producteur : Odysseus Productio, Louis Kolétios
Réalisateur : Théodore Hikionos
Acteurs principaux ou notables :
La petite fille : Marie NĂ©lophore
L'enquêteur en charge : Julius Lonétoros
Enquêtrice accompagnatrice : Clémence Pitios
Voisine : Dalia Fetelias
"Homme mystère" : Archilios Bénétios
Date de sortie : 3 décembre 2002
Pays producteur(s) : RĂ©publique de Fortuna
Catégorie : Série télévisée d’animation

Nom de la production : Chiens de Guerre

Affiche ou visuel :

Chiens de Guerre


Genre ou thème abordé : Histoire - Action - Guerre

Synopsis ou résumé : Au sein des esprits de nos sociétés contemporaines, la paix est un élément de vie que beaucoup considèrent comme acquis et ce tout particulièrement en Eurysie dont l'histoire des nations querelleuses composant ce continent est entachée par des guerres aussi nombreuses que longues, aux intérêts parfois nébuleux ou absurdes mais toujours suffisant pour ensanglanter le vieux monde dans des proportions considérables. Ainsi, et à chaque fois qu'une demande se crée, une offre suit, et en l'espèce les conflits nombreux mais pas forcément à grande échelle associés à un manque d'opportunités pour de nombreuses âmes jusqu'au XXe siècle ont permis la création d'une véritable culture du mercenariat à travers le continent afin que les grands et les riches puissent se livrer bataille et réaliser leurs ambitions toutes plus dévorantes les unes que les autres. L'Histoire, juge impartiale qui peut choisir d'oublier ou d'immortaliser a notamment conservé la mémoire d'illustres individus et de puissantes compagnies qui s'ils n'ont pas toujours révolutionné l'art de la guerre, sont toutefois entrés dans la légende par leurs exploits, hauts faits ou rôles clés dans les conflits auxquelles ils participèrent.



Cette série d'animation signée de la main d'Alfredo Contador, illustrateur phare des comics et autres bandes dessinés des éditions Falcone basés à Miraglia et aussi productrice de ladite série, se veut être une adaptation quelque peu romancée de l'épopée du mercenariat en Eurysie et même au delà, ne donnant pas forcément le beau rôle à ses protagonistes mais cherchant à les rendre humains, pour le meilleur comme pour le pire. Chaque épisode se veut être distinct, et si le spectateur retrouvera éventuellement de l'un à l'autre des visages et des noms familiers, il n'est pas dit que ce soit toujours dans une position favorable vis à vis de leur dernière apparition qui pourra ainsi remonter à des décennies de cela dans certains cas. Car oui, la série va s'étaler dans le temps et couvrir plusieurs époques, dans le désordre afin de ne laisser aucun point d'ombres et permettre d'observer l'évolution du rôle du mercenaire et son intérêt au fil de l'histoire, que ce soit à l'antiquité, au moyen-âge, à l'époque moderne ou dans une ère plus proche.

Dors et déjà, des noms récurant au sein des cercles historiographiques, qui ont notamment participé en partie à la réalisation de la série, ont été mentionné, et si l'on s'attendait bien évidemment à entendre parler des lansquenets des régions germaniques ou des Condotta des rives sud de l'Eurysie, d'illustres compagnies hylvètes feront aussi leur apparition. Qu'il s'agisse des lanciers de Vern rendus célèbres lors de leur défense des gorges de Loquerie pour le compte de la Sérénissime au XVIe siècle, des mousquetaires de Montclair dont la réputation d'excellence les précédant leur a valu des postes dans de nombreuses gardes royales ou encore des cavaliers de Triesenberg dont les redoutables charges ont laissés sur le carreaux plus d'une formation d'infanterie d'Albi à sa grande époque, nul ne sera oublié et chacun disposera de son épisode dédié. Toutefois, malgré une volonté clairement assumée de se centrer sur l'Eurysie en grande majorité, quelques noms en provenance d'Afarée comme la "Bande des Amazones" exclusivement composée de femmes et ayant donnée du fil à retordre à de nombreux colonisateurs au cours du XVIIe siècle, sera aussi de la partie, de même que la Compagnie des "Tigres" spécialiste des affrontement dans les jungles du sud est de Nazum dont l'héritage perdure encore jusqu'à nos jours.



Commentaire : D'aussi loin que l'on se souvienne, Chiens de guerre est la série d'animation ayant battu tous les scores d'audiences réalisés auparavant par d'autres oeuvres lors de sa diffusion. Ceci est principalement dû à une vaste polémique ayant embrasée la scène publique fortunéenne pendant plusieurs semaines dû à l'offuscation de nombreuses personnes, consternés par la violence bien souvent assez crue de la série dévoilé à la vue de tous et toutes et qui était d'après les intéressés une véritable insulte à toutes les bonnes moeurs et un danger pour les enfants que l'on ne pouvait en bonne conscience laisser regarder ceci. La polémique est allé si loin que le Conseil des Dix, la plus haute autorité judiciaire de la Sérénissime a dû se réunir afin de traiter de ce cas à part, rendant finalement un verdict autorisant la diffusion de la série tout en forçant ses producteurs à insérer des avertissements et quelques limites quand à la violence et la "barbarie" la plus pure représentée. Une décision insuffisante d'après les principaux détracteurs qui continuent encore à ce jour de se plaindre allègrement en réclamant purement et simplement l'interdiction de diffuser cette oeuvre.

Toutefois, et ce de façon assez paradoxale, toute la démarche visant à faire disparaître la série a eu exactement l'effet inverse en faisant une immense publicité au sein de la Sérénissime pendant des semaines, et même dans une certaine mesure à l'étranger où certains journaux accordèrent quelques instants à l'affaire qui était pour le moins assez comique d'un point de vue extérieur. Toujours est-il que malgré les avis divergeants, qui demeurent toutefois en grande majorité positifs, saluant le courage des producteurs qui n'ont pas eut peur de vouloir choquer afin de raconter la Grande Histoire du Mercenariat étroitement liée à celle des nations.

Musique du générique d'ouverture :


Société de production ou Producteur : Les éditions Falcone de Miraglia

RĂ©alisateur : Alfredo Contador

Date de sortie : Une première saison de seize épisode sortie en fin de novembre 2003, une seconde déjà en production et annoncée pour le courant de 2005.
Pays producteur(s) : Magermelk
Catégorie : À choisir entre : Film documentaire

Nom de la production : Charles Laroy, un bon dictateur communiste ?
Affiche ou visuel :
Une des rares photographies de Charles Laroy, au début de son mandat en 1882

Genre ou thème abordé : Communisme, dictature, Fédération Communiste Maguerroise
Synopsis ou résumé : Le film raconte la présidence de Charles Laroy, dictateur communiste maguerrois entre 1882 et 1887. Le film analyse Laroy (avec l’œil de la propagande) pour trouver le bon et le mauvais. Il est connu pour avoir été chef d’état juste après Jean Grégoire, pire dictateur du Magermelk (selon les autorités de la République chrétienne-militaire du Magermelk). Il est également connu pour avoir subi une grande crise économique et avoir été en même temps très populaire et impopulaire. Populaire car bien moins dur et fou que Grégoire, il permit de « démocratiser » un petit peu le pays. Il fut également très impopulaire car, à cause de la crise économique, beaucoup de personnes se retrouvèrent dans la pauvreté et on passa pas loin d’une (petite) famine. Le documentaire tire la conclusion que Laroy était un fou sanguinaire, car communiste, mais plus raisonné que d’autres chefs d’état communistes (comme Grégoire).

Société de production ou Producteur : Cinéma de la République, avec le Ministère de la Culture et de l’Information.
RĂ©alisateur : Jean-Luc Ernis
Acteurs principaux ou notables : Pour les voix off : Luc Devoirs, historien très célèbre dans le Magermelk
Date de sortie : 18 septembre 2002
Pays producteur(s) : RĂ©publique socialiste du Ardchouja
Catégorie : À choisir entre : Série télévisée

Nom de la production : Pour le Peuple (Li chabi ⵍⵉ ⵛⴰⴱⵉ)
Affiche ou visuel :
Image
Genre ou thème abordé : Série Historique / Drame / Romance / Politique
Synopsis ou résumé : La série La raconte en détaille l’histoire de la révolution ardchoujaise à travers la vie des 2 grands symboles de la révolution ardchoujaise, Faycal aityadir et condé baba, la série commencent par raconté la jeunesse de Faycal aityadir un fils unique d’une famille très pauvre qui vit dans un village au nord d’ardchouja appelé Kchaten, verra sa vie changée quand il décidera d’aller étudier le droit à Assima contre la volonté de ses parents. À Assima il rencontre Coundé baba un étudiant de commerce qui lui raconte sa vie, il été d’une famille très riche né à Affoué mais le roi a exécuté son père pour avoir critiqué la royauté publiquement et a pris la majorité de leurs biens, les deux jeunes petit à petit devient des activistes et mènent des manifestations contre les crimes faites par le roi « alim ainudar » qui exercé son pouvoir de façon autoritaire et sans contrôle. Ces injustices poussent ces jeunes à créer clandestinement le « Bureau secret de la révolution Ardchoujaise » le BSRA et commencent à semer l’esprit révolutionnaire dans tout le pays, dans ses voyages Faycal aityadir tombent amoureux d’Aya Bagayoko une fille du sud d’ardchouja, qui le suit dans son voyage jusqu’à ce que la révolution fût déclencher et gagner.
Dans la série on trouve des personnages fictifs qui n’ont jamais existé mais le réalisateur a voulu les ajouter pour accroitre la narration et passer des messages, comme le personnage de halim un agriculteur arabe d’un village près de Al ayyadh qui va rejoindre le Bureau secret de la révolution et aussi le personnage Bernad Decrer un Étranger qui va rejoindre la révolution, tout ça est fait par le réalisateur pour illustrer la diversifié qu’a ardchouja, il y a même des scènes très.

Commentaire :La série a eu un grand succès commercial, car elle parle d’une période à la fois difficile et glorieuse de l’histoire d’Ardchouja, mais elle a créé une polémique de la manière par la qu’elle cette série a illustré les personnage, le réalisateur Jamil Aitgama a déclaré « l’histoire tout le monde la connais mais moi j’ai essayé de la raconter a ma manière et d’ajouter un coté philosophique qui laissera les spectateurs réfléchir plus sur nos symbole historique »

Société de production ou Producteur : Nescaprod
RĂ©alisateur : Jamil Aitgama .
Acteurs principaux ou notables : Idir tayir (Faycal aityadir), Ngo Jaimi (Coundé baba), Inaya douani (Aya Bagayoko), Karim Atifi (halim), Maria soungé (Fatoumata baba), Aribi mouhcin ( le roi alim ainudar), Arnaud lacroix (Bernard decrer), mahsen rafii (Salim jaafari), Konjé Dodé (Bamako ali), ain aino (Massinisa).
Date de sortie :La saison 1 de 15 épisodes diffusée entre le 5 et le 20 janvier 2004 et la saison 2 de 12 épisodes diffusée entre le 1 et le 13 février 2004.

Chaussettes de Spores


Pays producteur(s) : Communauté d’Izcalie
Catégorie : Film de fiction

Nom de la production : Chaussettes de Spores
Genre ou thème abordé : Psychédélique – Fugitif – Thriller
Synopsis ou résumé : Moïse est un alcoolique repenti de Quecholli. Mais trois mois auparavant, alors qu’il était ivre au volant de son camion de livraison, il renverse une jeune femme cycliste dans le massif montagneux d’Izcalie, à l’abri des regards. Auprès de la société de transport pour laquelle il travaille, il explique la carrosserie accidentée du camion par une horde de sangliers qui a fait irruption sur la route. L’explication convainc mais plusieurs semaines de nuits blanches plus tard, l’affaire refait surface et les soupçons des enquêteurs commencent à se porter sur lui.

Un matin, alors qu’il se rend à son travail, il aperçoit des enquêteurs dans les locaux de son entreprise, sans se faire voir, et décide de tout abandonner pour prendre la fuite. Direction : l’Arkencheen. Mais la police ne semble pas être la seule à être à sa recherche… une mystérieuse voiture le traque depuis plusieurs jours. Le voilà engagé corps et âme dans une fuite à travers toute l’Izcalie… Trouvant un instant refuge dans un village autochtone, un chamane lui offre un grand nombre de champignons hallucinogènes pour, dit-il, lui donner le courage d’affronter son périple, qu’il met dans une chaussette trouvée au fond de son sac.

C’est le début de la fin pour la Moïse qui certes, voit son énergie et ses capacités physiques démultipliées, mais qui ne parvient plus à distinguer la réalité de l’hallucination, alors que la traque se poursuit contre lui. Perdant tout repère éthique et moral, ainsi que toute perception de la réalité, il s’adonnera aux pires atrocités pour sauver sa peau face à toutes les créatures (imaginaires) qui, selon lui, lui veulent également du mal, alors qu’il s’agit en réalité d’individus innocents.

Commentaire : Chaussettes de Spores est l’histoire d’une traque haletante et sans répit qui, comme si cela ne se suffisait pas, est doublée d’un voyage hallucinogène. Le film est parfois frustrant, car la réalisation joue sur l’ambiguïté, le spectateur ne sachant si le protagoniste vit réellement l’expérience qui lui est montrée à l’écran ou s’il s’agit du fruit de ses hallucinations. Vivan Fuselier, qui n’est pas à son premier rôle de junkie réitère l’exploit dans ce film qui joue également sur les gros plans et les vues en contre-plongée pour renforcer l’idée de la traque.

Producteur : Romuald Bordelon
RĂ©alisateur : Romuald Bordelon
Acteurs principaux ou notables : Vivian Fuselier (MoĂŻse, le fugitif)
Date de sortie : 10 octobre 2003
s

Pays producteur(s) : Ancalagons
Catégorie : Film grand écran
Nom de la production : ''For the imperial crown'' opus de la série des Theodoros Feraeno
Genre ou thème abordé : Action, aventure, drame.

Synopsis ou résumé : Theodoros Feraeno a été engagé par les services secrets Ancalagonais (SCEME) et est régulièrement envoyé en mission dans des endroits du monde très variés. Avant de partir en mission, Feraeno rend ou reçoit généralement la visite PTOLM, le concepteur des gadgets, armes et véhicules que l'espion utilisera au cours de ses quêtes. Il arrive même fréquemment que ce dernier se rende lui-même sur le terrain pour lui apporter son aide. Cependant, bien que ses nombreux gadgets sont quasiment tous très utiles à Feraeno et qu'ils lui sauvent de temps à temps la vie, les interventions de PTOLM sont habituellement assez brèves. Il est au commande de Rhea, une dame âgé mais toujours d'attaque et elle n'est pas prêt de partir du service légendaire des agents de la branche spéciale du SCEME. Feraeno contredit souvent ces supérieurs en faisant tous à sa façon. La guerre de l'espionnage industriel, informatique n'est pas dans ces cordes. Il est du genre plus brut avec les ennemies de la couronne impérial. Et pour finir Feraeno est un fin séducteur et à un certain don pour briser le cœur des jeune femmes qui croisent sa route.
Les missions de Feraeno consistent en général à établir un mystère (notamment la mort d'un collègue ou la disparition d'un objet) ou à éliminer un adversaire coriace . Il est aussi souvent amené à mener des enquêtes approfondies sur sa cible (car il n'a pratiquement jamais l'occasion de s'en débarrasser sur-le-champ à cause de ses ressources et de ses nombreux sbires) comme se renseigner sur sa véritable identité ou connaître ses intentions et les empêcher d'être exécutées, ce qu'il réussit souvent in extremis.
Comme dit précédemment, les missions de Feraeno peuvent avoir lieu partout dans le monde et il arrive même fréquemment qu'il opère dans plusieurs pays au cours d'une même mission. Au cours de celles-ci, Fera se retrouve pris avec des ennemis et a des relations amoureuses voire sexuelles avec de jolies jeunes femmes. Ses missions sont pleines de scènes d'actions épiques et il parvient à survivre dans des situations tout-à-fait improbables, ce qui contribue beaucoup au succès des médias dans lesquels le personnage apparaît.
Dans cette opus de ''The imperial crown'' Fera est confronté à un ennemie mystérieux. Plusieurs attaques à la bombe on été commis dans le pays. Une piste le mènera en Arkencheen ou se dissimulerai une banque finançant une organisation terroristes exploitant des matière dangereuse pouvant construire des engins extrêmement explosif. Se sera l'empereur en personne qui demandera à trouver les coupable. Le ministre des affaire extérieur connaissant le professionnalisme de Feraeno, il demandera à se que sa soit l'agent qui mène l'enquête. Il fera la rencontre d'une jeune femme, Egina Nemerte mariée avec un des banquier de la banque en question. Elle permettra à l'agent de progresser dans ces investigations. Le chemin vers le personnage mystérieux est dangereux et semés d'embûches. Il en va de la sécurité mondial et il semble que Heon-Kuang cache un groupe dangereux…

Commentaire : Les Theodoros Feraeno sont des films grand public qui peuvent parfois être soumis à des restrictions pour des scènes plus centrés sur l'adulte. Mais c'est un succès et un film culte dans le monde. Plus de 26 films, certains sont un peut vieux pour notre époque mais c'est toujours plaisant à regarder. Bon le film ne veux pas prêter au réalisme, forte heureusement sa ne gâche rien au film. Les scènes d'actions son magnifique et les décors de même. Avec un budget 150 000 000 de Baz je n'en attendais pas moin de Attaginas Alector.

Bande son de l'opus :

Société de production ou Producteur : la société de production "Dessios Fix"
RĂ©alisateur : Attaginas Alector
Acteurs principaux ou notables : Scylax Menelaia (Theodoros Feraeno) - Medea Peolpidas (Perialla Herodianus) - Cymothoe Thelma (Egina Nemerte)
Date de sortie : Le 27 septembre 2003 en Ancalagons - Le 28 septembre 2003 en Albel - Arkencheen - Le 1 octobre 2003 Ă  l'internationale.
Pays producteur(s) : Empire DĂ©mocratique Latin Francisquien
Catégorie : À choisir entre : Film de fiction

Nom de la production : PAARCE-QUE C'EST TON DROIT
Affiche ou visuel :
https://nsa40.casimages.com/img/2021/05/24/210524072537782957.jpg
Genre ou thème abordé : Révolution Francisquienne
Synopsis ou résumé : En Février 1968 le régime des États Latins censure tout et tout le monde en oppressant le peuple et en s'imposant comme seul et unique victorieux de la guerre de 10 ans mais cela ne plaît pas au peuple et encore moins à Louis le Conquérant. Alors que le Premier Consul est traqué par le régime sa femme décidera de prendre les armes et de mener le peuple à Latios depuis Dédiolas. À Dédiollas une révolte générale éclate et la femme du Premier Consul devient un symbole de par son acte : Elle ramasse un drapeau du régime à terre, tâche la partie blanche du drapeau d'encre noir pour représenter le temps noir que vit le pays et lance une grande charge contre l'armée en brandissant fièrement le drapeau et en criant : "Révolte-toi peuple, parce-que c'est ton droit!"

Commentaire : "Bien que la femme du Premier Consul ne soit qu'une légende, l'actrice qui "l'incarne" est un véritable symbole de la liberté et de la libération." -La presse "C'est passionnant mais depuis quand le Premier Consul a t'il une femme?" -Spectateur

Société de production ou Producteur : Altalante Kolitinas
RĂ©alisateur : Altalante Kolitinas
Acteurs principaux ou notables :
- La "femme du Premier Consul" : Élise Golios
- Général de guerre : Polotros Polypherme
- Chef du régime : Troleos Lokotias
Date de sortie : 21 Juin 2003

 https://imgc.allpostersimages.com/img/print/u-g-Q1C3F0A0.jpg?w=550&h=550&p=0


Pays producteur(s) : Grand Kah
Catégorie : Film de fiction

Nom de la production : Le Tribunal des Mercenaires
Genre ou thème abordé : Drame historique
Synopsis ou résumé : 1986, s'ouvre à Lac-Rouge l'un des procès les plus médiatisé de son histoire. Emelia Sukart a été élue par ses pairs prêtres-juges pour juger les membres de l'Escadron Psychomagic, dont les mercenaires survivants viennent d'être extradés par un pays étranger. L'occasion d'un procès incroyable et funeste qui permettra de revenir sur l'histoire de l'escadron. De ses premières guerres civiles à l'étranger à son travail de plus en plus sale au services de corporations diverses. Basé sur les minutes du procès, Le Tribunal des Mercenaires est l'occasion de suivre des personnages profondément humains, et la chute de leurs idéaux à mesure que s'accumulent les traumatismes, les actes de violence. Qu'on normalise l'horreur. Une suite de vignettes, de scènes mise en image déformée par la haine et la folie de ceux qui les racontent. Les fils et filles d'une guerre civile et de sa continuation à l'étranger. Un film construit comme un voyage initiatique inversé. On y entre sain, entouré d'hommes et femmes appréciables, profondément humains. On en ressort épuisé, confronté frontalement à la destructions de ses protagonistes, de leurs idéaux, et de tout ce qui a croisé leur route. Ce qui avait commencé comme un procès bruyant, chaotique, se termine dans un silence sépulcrale : l'Escadron Psychomagic sera finalement condamnés, dans une séquence mélangeant leur exécution à l'ultime exaction ayant amenée à leur extradition : un attentat terroriste mené en roue libre suite à la mort d'un des leur aux mains de grévistes, exécution sommaire pratiquée sous prétexte de "justice". Quant à savoir s'ils n'attendaient pas justement la mort...

Commentaire : Un itinéraire torturé, violent et névrotique, une escalade dangereuse de la folie, de l'inacceptable, ou peut-être une descente dans la folie humaine la plus crasse. La durée du film (un peu plus deux heures) permet une plongée plus qu'éprouvante dans un spectacle tout à la fois violent, humain, d'une drôlerie cynique et désespérée tout à fait propre aux réalisation de Ken Irobutchi. Le délitement progressif du montage, du rythme, et la transformation de plus en plus surréaliste et symbolique du film lui permet de transcender sa nature de film assez historique et l'aide à acquérir ses lettres de noblesse. Madeleine Beech est comme d'habitude parfaite dans son rôle et la performance d'Alex Chambre est d'une intensité saisissante. (critique de presse.)

Société de production ou Producteur : Syndicats Audiovisuel et cinématographie de Coa-Lan Mantchi
RĂ©alisateur : Ken Irobutchi
Acteurs principaux ou notables :
Madeleine Beech (Lucilia Mizubutshi)
Alex Chambre (Henry "Khan" Forrods)
Donovan Irvin (le docteur Mandevetch)
Grace Techtuolt (La Juge-prĂŞtresse Emelia Sukart)
Ornen Conard (Obakan Moldan)

Date de sortie : 26 septembre 2002
Pays producteur(s) : Confédération d’Hylvetia
Catégorie : Documentaire

Nom de la production : Herren der Apokalypse

Affiche ou visuel :
Black

Bande Originale :


Genre ou thème abordé : Tranche de vie / Réalité / Black Metal

Synopsis ou résumé : Alexis Strässler a suivi, pendant deux ans, le groupe de Black Metal : Herren der Apokalypse, un petit groupe hylvète de seconde zone. Nous suivons, sans filtre, la vie quotidienne de ce groupe, nous découvrons leurs passions, leurs rêves, leurs déceptions. Le doucmentaire est une plongée dans le monde du black metal, des squats, des petits festivals. Loin des clichés, ce documentaire apporte un regard nouveau sur la scène black metal hylvète.

Commentaire : Le documentaire nous donne à voir une plongée dans un monde souvent inconnu du grand public, avec un regard qui n’est pas celui du cliché, ni celui du pathos. Strässler filme de manière humaine, caméra à l’épaule la vie d’hommes et de femmes dédiés à un genre particulier de musique.

Société de production ou Producteur : MB Production / RTH

Réalisateur : Alexis Strässler

Date de sortie : 1 décembre 2003
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