🎬 Festival international de cinéma - Hvari 2008 - CLOS - Page 3

Pays producteur(s) : République Directe de Banairah
Catégorie : Documentaire
Nom de la production : De chaise et d'os
Affiche ou visuel : Genre ou thème abordé : L'histoire de la chaise, une pièce de mobilier originellement destinée à la promotion du statut social de son propriétaire et utilisateur, et qui se trouve aujourd'hui partout dans le monde et dans les sphères sociales hériarchiques ou non. Philosophie décalée et sciences sociales.
Synopsis ou résumé : Dans De chaise et d'os, Saïd Benfi reprend un objet du quotidien souvent oublié mais toujours utilisé : la chaise. Cet objet du commun se retrouve en effet dans toutes les cultures à travers le globe et souvent dans différentes strates sociales : que ce soit la chaise de bureau ou le trône impérial, une chaise fonctionnelle ou une chaise symbolique, ce si bien connu être à quatre pattes - ou parfois moins ou plus pour les plus originaux - a conquis sous nos yeux le monde entier. Comment ? Pourquoi ? Sous quelles formes ? Le professeur d'Histoire des Arts tente de répondre à ces questions sous une forme originale : en effet il s'embarque pour un tour du monde avec Zaïr Al-Varheh, historien, passant par l'Afarée, l'Eurysie méridionale, la Paltoterra et le Nazum. Une épopée amusante et rafraîchissante où on apprend le rôle social à l'origine de l'apparition de la chaise en Eurysie, s'émerveille devant les salles du trône nazuméennes, découvre la maroquinerie eurysienne et étudie la colonisation à travers l'Histoire des Arts. Vous souhaitez découvrir de nouvelles choses mais aussi vous amuser ? Avec De chaise et d'os, c'est possible ! Et avec en bonus quelques principes fondateurs des sciences sociales et réflexions philosophiques sur le monde sédentariste actuel.

Commentaire : Avant d'avoir été produit en documentaire, De chaise et d'os a été publié en tant que livre. Le documentaire s'appuie donc sur sa version papier parue il y a trois ans de cela et y ajoute les dernières découvertes en la matière ainsi que plusieurs intervenants de par le monde.

Société de production ou Producteur : Saïd Benfi (pour le compte et en collaboration avec l'Université d'Histoire d'Al Kara)
Réalisateur : Saïd Benfi
Acteurs principaux ou notables : Zaïr Al-Varheh
Date de sortie : 10 juillet 2007.

Pays producteur(s) : Novigrad
Catégorie : Série télévisée (non animée)

Nom de la production : The Last Great Prince - season 2 (International) - последният велик принц (VO)
Affiche ou visuel :

Genre ou thème abordé : Série historique - Biopic - Drame.
Commentaire :

« Là où le drapeau novigradien a été hissé une fois, il ne devrait jamais être retiré » - Alexandrov V, Grand-Prince de Novigrad – 1834.
Seconde saison de la célèbre série plébiscitée à Novigrad et présentée au festival international d’Achira en 2006. The Last Great Prince plonge cette fois-ci les téléspectateurs en 1832 au cœur de l’épisode le plus marquant de l’histoire de l’Eurysie centrale : la Guerre des Slaves.

Au lendemain d’une violente tentative d’assassinat alors inexpliquée, le Grand-Prince Alexandrov V se trouve face à un dilemme tandis que les rumeurs des troubles à la frontière slovanienne parviennent bientôt aux oreilles de l’ensemble de la cour novigradienne. Comme souvent lors du règne d’un souverain novigradien, l’inaction est presque toujours vue comme un signe de faiblesse évident et la légitimité du Grand-Prince s’en trouve être rapidement remise en question. Les complots contre la Couronne se multiplient et Alexandrov se retrouve vite contraint de prendre des mesures radicales contre les conspirateurs, une décision qui lui vaut alors une vague d’indignation au cœur des cercles de l’aristocratie fortunée de Novigrad. Le vaste plan de rénovation de la capitale novigradienne, qu’il a engagé quelques années plus tôt a finalement complètement asséché les coffres de l’État. Les obscures revendications historiques avancée par l’Archiduc de Sova sur la riche province de Slovanie semblent alors particulièrement tentantes. Une machination menée par les nobles se mène alors en fond pour convaincre le Grand-Prince de mener l’armée novigradienne jusque sur le territoire kénète faisant fit de la fragile paix obtenue quelques décennies auparavant.

C’est dans ce contexte compliqué que cette saison vous immergera dans ce conflit meurtrier que fut la Guerre des Slaves opposant la Grande-Principauté de Novigrad au Royaume de Kénétie soutenu par le Royaume de Svobansky-Normanie. Un épisode qui aboutira par le conquête de la Slovanie par Alexandrov V mais au prix de toute une génération de jeunes combattants. Un drame qui se conclura finalement par une scène marquante où le téléspectateur peut découvrir l’instigateur de la tentative d’assassinat du début de la saison et alors que la série introduit un nouvel antagoniste : Ivan Kountchev, le futur père du socialisme novigradien.
Bande originale :

Société de production ou Producteur : NovTV Production
Réalisateur : Gianos Komandarev

Acteur principal :
- Grand-Prince Alexandrov V : Filip Stefanov
- Archiduc Léopold : Bayan Vasilov
- Princesse Théodora, épouse du Prince : Athena Petride

Date de sortie : 11 février 2008

Pays producteur(s) : Shuharri
Catégorie : Film de fiction
Nom de la production : Une personne de trop

Affiche ou visuel :
Bande originale : "Entre la tempête, les fous et les monstres", thème musical d'une scène où un opérateur radio se fait traquer par tout le reste de l'équipe après avoir hésité à répondre à une question alors qu'on le suspecte d'avoir avoué l'existence du monstre à l'Extérieur. Il passe alors de salle en salle dans toute la station pour se retrouver acculé dans la zone de forage avec l'équipe et son double.

Genre ou thème abordé : Horreur, psychologique

Synopsis ou résumé : Dans une station polaire non-identifié l'hiver s'annonce, l'équipe hivernale prends sa garde, et continue le forage glaciaire déjà entamé depuis plusieurs années. La tempête s'installe, durera des mois, plus aucun trajet entre la Station et le monde habité n'est désormais permis, quant aux communications, elles sont erratiques. Le forage finit par atteindre une cavité dans la glace qui ne devrait pas exister. Suspectant une anomalie naturelle, l'équipe scientifique devient surexcitée, et souhaite explorer la cavité, mais avant même que quelqu'un ne pénètre dans le trou, plusieurs anomalies apparaissent. Des gens commencent à poser des questions dont ils sont sensé connaitre la réponse, font des choses, mais l'ont oublié après, ou cauchemardent toutes les nuits. Il ne serait pas impossible que l'équipe soit en train de perdre la raison. Quelque chose rôde dans la station, peut prendre la forme d'un équipier, insuffler des pensées noires, détruire des souvenirs, répandre la suspicion et pousser une équipe entière dans ses retranchements. Et l'équipe sait pertinemment que si le monde extérieur venait à le savoir, la station serait rasée, et eux avec avant que cette chose ne puisse atteindre une ville. Personne ne doit parler.

Commentaire : Ce film a connu un succès important sur les Terres Australes car sa narration divergeait de manière importante d'autres films d'horreur connus jusque-là. On entre dedans en craignant l'existence d'un monstre, mais au fil du film on se rends compte que beaucoup d'atrocités commises que l'on pensais lié au monstre viennent complètement de l'équipe, ce qui fait sauter une distanciation que le spectateur pouvait avoir installé entre l'équipe et le monstre. Donc face à une scène horrifiante, il devient de plus en plus difficile pour le spectateur de l'attribuer au monstre, elle pourrait bien avoir été causée par un humain, comme lui. De plus, le monstre en question, en prenant forme humaine, commence à être sujets aux mêmes problèmes que l'équipage et se retrouve affecté par la solitude d'une longue période antérieure d'errance dans le glacier. Une des scènes marquantes de ce film est la discussion d'une chercheuse de l'équipe avec... Son double. Pendant lequel il est impossible de faire la différence entre l'humaine et la créature, notamment car les deux ont alors une santé mentale fragile et compatissent l'une envers l'autre. De plus, au fil du film, on se demande si la créature ne serait pas, purement et simplement, une invention. Beaucoup de scènes d'horreur sont liées à de la violence psychologique et n'implique pas nécessairement de sang ou de mort, les morts violentes pourraient d'ailleurs être davantage du fait des humains que de la créature. La peur que ce film peut inspirer vient donc en grande partie, et de la disparition progressive de la ligne entre humains et créature, et de l'incapacité du spectateur d'interpréter ce qu'il se passe et de disposer d'une vue d'ensemble sur ce que traverse l'équipe.

Société de production ou Producteur : Coopérative des Cinéastes de l'Enclave (CCE)
Réalisateur : Kattituyok Kappianartok et Anyu Omoshuji
Acteurs principaux ou notables : L'intrigue du film impliquant une équipe d'une cinquantaine de gens, il n'y a pas réellement de personnage principal, Samga Enebish (qui joue Cirila Uygulaan, la psychologue qui commencera à se considérer comme une représentante des esprits du glacier, et à endoctriner une partie de l'équipe dans une forme de secte) est citée sur l'affiche car elle dispose d'une certaine notoriété et d'une réputation de bonne actrice, en plus de sa part importante dans l'intrigue du film.
Date de sortie : 27 avril 2007 (un peu avant l'hiver austral)

Pays producteur : Maronhi
Catégorie : Film de fiction

Nom de la production : La vision du vide
Affiche :



Bande originale : Thème principal : "Une vague de plus"

Genres : (Moyen métrage expérimental) Drame, romance
Thèmes : Mort, Suicide, Rite, Famille, Amour, Homosexualité, Masculin, Responsabilité, Métaphysique

Synopsis : Le 10 octobre 2005, c'est décidé, Kiyoshi prépare avec un soin minutieux sa mort. Il est âgé de vingt-quatre ans. Sans jamais en donner la raison, il veut que son suicide obéisse en tous points aux rigueurs du rite exigé depuis des siècles par la tradition de son pays, le milieu dans lequel il a choisi de vivre religieusement, socialement, littérairement, politiquement : il s'ouvre le ventre avant de se faire décapiter par la main de son amant avec qui il passe sa dernière journée en ce monde. Mort à la fois terrible et exemplaire parce qu'elle est en quelque sorte le moyen de rejoindre en profondeur le vide métaphysique dont le jeune homme subit la fascination depuis sa jeunesse.

Commentaire : Tourné durant la courte saison des pluies de 2006, La vision du vide est un moyen métrage expérimental décrivant avec audace et sincérité l'expérience de l'amour homosexuel ainsi que l'expérience de la mort volontaire. Yorinobu entreprend d'exposer sans fard sa conception de la sexualité, des rapports familiaux et sociaux, et ses théories esthétiques et philosophiques. À propos de La vision du vide, l'auteur dira d'ailleurs durant une conférence en novembre 2007 : « J'ai formé le projet insolent de transformer mon tempérament en un film et d'ensevelir le premier dans le second ».

Le film, séparé en deux parties distinctes, une retraçant la dernière journée de Kiyoshi, l'autre son rituel de suicide, s'intéresse notamment aux différents amours qui peuvent exister entre deux hommes, qu'il s'agisse d'eros (passionné et érotique), de storgé (fraternel et amical), de philia (solidarité et camaraderie) ou d'agapé (amour inconditionnel et spirituel). Le réalisateur déclarera également à la même conférence de novembre 2007 : « Aucun homme ne résiste totalement à la force mystérieuse qui l'entraîne malgré lui dans la fange de l'amour de l'homme. Personne ne peut rompre avec la proximité de la confrérie. D'autres ont parfois tenté de la fuir. Mais ils finissent à en revenir à ces poignées de mains gluantes, à ces clins d'œil visqueux. Ces hommes qui n'ont fondamentalement aucune des qualités requises pour fondre un foyer doivent, s'ils veulent capter une infime lueur qui évoque ce foyer, la rechercher dans ces regards troubles en disant : toi aussi, tu es des nôtres. »

Société de production : Hué ŌK (Compagnie Audiovisuelle de Hué)
Réalisateur : Tanejima Yorinobu
Acteurs principaux ou notables : Saburo Teshima (Kiyoshi), Tomio Rokoru (Yuudai)
Date de sortie : 26 mars 2007

Pays producteur : Svobansky-Normanie
Catégorie : Film fiction

Nom de la production : « Révolution Loduarienne, l’étoile suprême se lève »
Affiche :



Bande originale :

Genres : Long métrage
Thèmes : Guerre, amour, drame.

Synopsis : La vielle Loduarie, si glorieuse dans le passé dont l’avenir fut florissant, fut bousculée pendant tout le XXIe siècle par des changements politiques majeurs. La perte de ces possessions d’outre mers et d’une grande partie de ses colonies pourtant primordiales à la survie du pays furent dès lors l’étincèle qui fit exploser le baril de poudre. La République proclamée en 1424 se fait défaillante et le régime ébranlée par de multiples tentatives de renversements. C’est dans ces heures sombres que Louis Guerint âgé de 19 ans grandit dans la banlieue de Port-Lodin avec toute sa famille. Ses parents travaillaient tous deux dans une usine d’armement. L’un était chaudronnier l’autre une simple ouvrière qui passait ses journées a à travailler le métal jusqu’à s’en abîmer les mains pour venir à bout des lourds impôts imposés par les républicains. La situation fut de plus en plus compliquée pour la famille Guerint qui, subissait d’énormes pressions du gouvernement pour produire plus.

Toutes ces menaces du régime en place conduiront au suicide du père de Louis alors qu’il n’avait que 14 ans. Cette haine contre le pouvoir en place, capitaliste et totalitaire lui fit adopter une opinion proche du socialisme. Sa mère était dans l’obligation de sa prostituée afin de pouvoir nourrir son fils et sa sœur Anna. La chef de famille était souvent absente car trop occupée à réunir les sommes astronomiques nécessaires aux impôts prélevés par la République, laissant ainsi Louis et Anna livrée à eux-mêmes. L’instruction était initialement obligatoire jusqu’à ce qu’un commissaire de l’État décrétât que les impôts allaient doubler pour la famille Guerint du fait de leurs deux enfants. Résignés la mère du jeune héros se vit contrainte à le faire quitter le collège pour le faire travailler dans une mine non loin de Galaisie. Il quitta alors sa mère et sa sœur à l’âge de 16 ans pour effectuer ce travail éprouvant qu’est celui de mineurs. Dans les souterrains la colère montée depuis l’interdiction des syndicats et autres organes en charge de représenter les travailleurs.

Les premières révoltes éclatèrent mais furent rapidement écrasées par le pouvoir en place qui mit en place une répression sanglante depuis que des rumeurs de coup d'État par l’extrême droite se propageaient dans tout le pays. 2 ans passèrent lorsque Louis reçut une lettre de sa sœur qu’il n’avait pas revue depuis son départ pour Galaisie. Celle-ci fut pour lui un choc. Sa mère a été arrêtée et assassinée dans la rue par des partisans du régime. À seulement 18 ans Louis quitta la Galaisie pour venir en aide à sa sœur âgée de 2 ans de moins que lui qui travaillait dans une modeste boutique. Il s’y fit également embauché. Mais celui-ci fut étonné de voir que sa sœur bénéficiait d’un excellent salaire pour une simple commerçante. La réalité était que comme sa mère, elle vendait son corps pour trois sous. Lorsqu'il l’apprit Louis rentra dans une colère noire sortant dans la rue pour insulter ouvertement le pouvoir tout en buvant toutes les bouteilles d’alcool qu’il avait à sa disposition. Le lendemain, le jour de son 19e anniversaire, il fut arrêté par les services de sécurité.

Arrêté, emprisonné et torturé, il rencontra dans son Centre pénitentiaire un certain Lorenzo Geraert Wojtkowiak un simple militant communiste avec lequel il se lia d’amitié. Celui-ci lui fit entrer en contact avec un groupuscule de résistant qui s’affiliait à l’Internationale communiste. Se rappelant de son passé et de ce que le régime avait fait de lui et sa famille, il s’y engagea. Seulement 6 mois après son emprisonnement, Louis est libéré après un coup d'État du régime fasciste qui, pour se faire aimer du peuple libéra les prisonniers. Le jeune homme en profita pour rejoindre Lorenzo, (de plus en plus convaincu par ces idées) dans un des bastions communistes du pays, qui n’est autre que Dolinn. Pendant 7 mois, il participa à la propagande afin de faire prendre par le peuple à la lutte. Cela lui valut une nouvelle fois d’être arrêté et torturer puis de nouveau libéré faute de preuves. Toutes ces épreuves l’ont alors endurci, c’est pour cela que Lorenzo, tout juste promu vice-secrétaire général du Parti communiste lui délégua une lourde tâche. Assassiner le chef des services secrets du régime François Joseph Tanger. Une mission délicate qu’il accepta sans hésiter afin de pouvoir venger sa famille.

La mission s’avérait délicate car Tanger était un homme dangereux et extrêmement protégé. Il lui fallut plusieurs mois pour réussir sa mission en plaçant une bombe sous la voiture de la cible. Malheureusement cette opération eut un prix : 35 personnes moururent pendant l’opération suite à une erreur dans le bourrage de l’explosif. Prise d’une folie meurtrière Louis se jurera de tuer tous ceux qui ont fait du mal à sa famille. Lorsque Lorenzo ne lui demandait pas de tuer pour le compte de la révolution celui-ci tuait les responsables des milices profascistes et les clients employant sa sœur comme prostituée. Ces crimes furent rapidement associés aux communistes, surnommé « le tueur à l’étoile rouge » on l’accusa du meurtre d’une cinquantaine de personnes. Mais sur une de ces tentatives il rencontra une femme, Isabelle, nièce de François Joseph Tanger qu’il avait assassiné quelques mois plus tôt. Malgré cela, une relation sérieuse s’engagea entre les deux bien que clandestine. Elle lui pardonna la mort de son oncle et s’engagea avec lui dans la lutte contre le pouvoir en place.

Après la réussite du coup d’État de Lorenzo, ceux-ci quittèrent la résistance non sans de nombreuses récompenses du nouveau chef incontesté et incontestable du pays. Ils fondèrent une famille et eurent un fils, un certain Lorenzo Guerint ayant pour parrain Lorenzo Geraert-Wojtkowiak. La famille-modèle bénéficiait de nombreux avantages du régime, cela créa une certaines jalousie de la part de leur entourage qui ne comprenait pas pourquoi ceux-ci étaient « chouchouté » de la sorte par le régime communiste. Lorsque les fascistes apprirent à qui ils avaient à faire, ils assassineront la famille alors que celle-ci sortait du cinéma dans une belle berline escortée par deux agents des services secrets. Louis et Isabelle Guérint moururent sur le coup se sacrifiant pour sauver leur fils le petit Lorenzo qui échappa de justesses aux balles. Cet événement frappa de plein fouet le petit Lorenzo et son parrain, qui en plus d’organiser des funérailles nationales et somptueuses, adopta son neveu qui, à ce jour est le seul successeur légitime de Lorenzo Geraert-Wojtkowiak à la tête de la Loduarie Communiste.

Commentaire :Bálint Nemeth, alors simple Ministre du Trésor participa au tournage du film comme figurant. C’est d’ailleurs lui qui joue le garde du corps de Louis Guérint pendant son assassinat par les résistants fascistes.

Société de production : OSH Industry
Réalisateur : Shlomo Igorovitch Arterz
Acteurs principaux ou notables : Stanislas Heik (Louis Guérint), Vladimir Kouchnerov (Lorenzo Geraert-Wajotkowiak), Alexis Brein (François-Joseph Tanger), Sofià Skalkosniva (Isabelle), Bálint Nemeth (Garde du corps).
Date de sortie : 21 août 2007

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