A Cinkardia,le 01/02/2007A l'intention de M. Vanwe PIOTROFF,
Ministre des Affaires Étrangères,
Du Duché de Gallouèse,
Par le Royaume de Bratolia,A Son Excellence,Bonjour mon cher monsieur.
Je suis bien satisfait que vous nous contactiez sur ce point si délicat qu'est en ce moment cette immigration incontrôlée, incontrôlable et dénuée détour bon sens.
Pour tout vous dire je désirais vous écrire moi même une lettre dans les plus brefs délais. Que vous en preniez l'initiative montre bien votre intérêt de résoudre cette crise.
Mes services m'ont effectivement avertis de ces flots d'individus migrant en masse en direction des territoires de nos voisins occidentaux,sans autorisation ni de leurs part,ni de la notre,depuis la fin des murailles.
Notre gouvernement est entièrement opposé à ce genre de démarche. Chaque jour nous en arrêtons par dizaines. Et cela ne peut plus,ne doit plus durer.
Aussi en premier lieu je peut vous assurer que nos services de douanes ont récemment été renforcé avec une augmentation de ces effectifs et de ses capacités de surveillance.
Ces gens passent par les chemins dangereux et périlleux parce que les autres accès leurs sont fermé par nos services et les vôtres. Je crois qu'en premier lieu la bonne chose a faire serait de nous indiquer ces points de passages afin que nous puissions les fermer de notre côté de notre frontière.
Nous avertissons déjà pleinement notre population du danger que représente ces sortes de départs précipités. Ne serait-ce que par les peines judiciaire encourues ici que par les climats farouche. Mais que voulez vous ? Ces criminels ne souhaitent pas entendrent raison.
Aussi mon gouvernement se propose a,plutôt que de prendre en charge les quelquonques frais provoqué a vos services de secours par nos ressortissants, à les extrader sur notre territoire national.
Certainement je vous demanderais de me tenir informé de vos débats nationaux quant à cette problématique.
Une rencontre le 05 février prochain est une excellente initiative. Aussi j'accepte évidemment cette invitation. Nous pourrons ainsi parler plus amplement de cette crise qui,si nous voulons la résoudre,doit être affrontée ensemble.
Dans l'attente de votre réponse,
Recevez Monsieur mes salutations distinguées.
Drezka Bragdin, Frère du roi, Ministre Des Affaires Étrangères En Charge Des Relations Internationales.