26/02/2015
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[TERMINE] Unis par la paix et la liberté - Rencontre d'inauguration de l'UNIL - Page 4

Le simple fait de présenter sa carte d'identité semblait parfait pour les représentants Fjøllskotiens. Le ministre des affaires étrangères répondit :
La présentation de la carte d'indenté est une très bonne manière de faciliter le transport entre pays et amener des pays dans cette alliance, mais cela implique donc d'avoir des membres qui ne souhaitent pas faire différents trafics ou autres choses illégales, bien que l'on ne puisse contrôler entièrement ses citoyens et les pays eux-mêmes, donc, il faudra avoir des conditions d'admission faites avec rigueur pour pallier aux problèmes relatifs à cette cause.
Dans l'Union, il était assez simple d'obtenir un passeport sur demande, les cartes d'identités étaient rares, et les étrangers n'étaient quasiment pas contrôlés, ce n'était pas cette disposition qui allait changer grand chose pour eux. Le problème des trafics pouvaient se gérer un gardant un contrôle des marchandises passant la frontière, question non abordée jusque-là, pas d'inquiétude de la part des deux Shuhs, la réponse fut donc sobre :
"Cela nous convient"
La présentation de la carte d'identité des personnes voulant entrer dans un pays membre de l'UNIL montrait une facilité pour l'immigration saint-marquoise.
Elle voulait le montrer avec une réponse digne d'elle.

ISABELLE DEPREY
"Cette proposition conviendrait à mon gouvernement ainsi qu'à moi."
Je suis très contente que nous soyons d'accord sur ce point. Concernant vos inquiétudes, Mme. Avys, nous pensons qu'un contrôle aux frontières pourrait être nécessaire, mais les trafiquants trouveront ceci dit toujours un moyen de passer... Même si la législation est assez dure sur ce point en Milouxitania, d'autant que nos voisins youslèves la légalisent.

Que diriez-vous de parler du statut d'état-membre en particulier ? Il est vrai que nous avions envisagé un statut d'état-partenaire pour les états figurant sur la liste des organisations qui ne peuvent adhérer ou ceux préférant passer par cette étape, mais quels serons les privilèges des états-membres ? Je pense que la première chose, en toute logique, est que seuls les états-membres peuvent et doivent envoyer dix représentants au Conseil, plus ceux pour les autres organismes (qui serons à définir, nous pensons, lors de la première réunion du Conseil).
Le statut d'état membre étant d'on ne peut plus important, Mme Andys souhaitait en parler pour Fjøllskot tout entier.

Le statut d'état membre est d'après moi ce qu'il y a de plus important. D'après moi, les états membres seuls peuvent et doivent envoyer des représentants auprès du conseil. Ceux ne faisant pas partie de l'organisation devraient pouvoir obtenir le rôle d'observateur sur acceptation des états fondateurs.
"Voici notre proposition. Les états dits membres peuvent envoyer dix représentants comme prévu. Les partenaires, s'ils n'ont normalement pas pouvoir de décision générale, pourraient avoir des idées intéressantes à suggérer, qu'ils aient un ou deux représentants au conseil pourrait donc être utile. Être partenaire de l'UNIL pourrait aussi signifier disposer de l'accès aux programmes de l'UNIL que ce soit ceux de gestion des conflits, la communauté universitaire, ou le soutien au développement. Éventuellement, un état partenaire accepte également des collectes de données publiques ou des enquêtes de l'UNIL sur un potentiel conflit ou une crise humanitaire.

Les états membres sont ceux qui prennent les décisions générales de l'alliance, se portent garant d'enquêteurs, voire de journalistes, abritent les institutions de l'UNIL, en assurent la logistique, modèrent le conseil, apportent les ressources permettant de maintenir l'alliance en état de fonctionnement. Un état-membre dispose d'accès privilégié aux ressources des autres états membres, et accueille les ressortissants des autres états membres avec une pièce d'identité, droits et devoirs qui ne s'applique pas aux partenaires. Les membres acceptent un pacte de non-agression entre eux, et éventuellement, s'entendent pour se positionner diplomatiquement de manière cohérente. Enfin, les états membres peuvent mener de grands projets communs."
Nous sommes d'accord sur quasiment tous les points avec les diplomates shuhs. Nous sommes juste sceptiques sur la possibilité pour les états-partenaires de pouvoir avoir un ou deux représentants dans le Conseil Principal. On est d'accord qu'il ne s'agirait que de diplomates permettant la restitution des informations à leur gouvernement respectif qui ne peuvent pas voter les différentes décisions ? Il faudrait d'ailleurs que nous nous réservions le droit de faire une réunion uniquement entre états-membres, si une situation l'oblige. Et même si il faut, nous devrions pouvoir organiser une réunion comme celle-ci entre les différents chefs d'états.
Alors même que sa carrière politique n'était pas toute jeune, le ministre malévien ne pouvait être que fasciné par ces personnages qui animaient le débat. Il aimait regarder ces représentants, en train de discuter de manière déterminée et passionnée, cela lui rappelait un peu sa jeunesse. Mais il s'interrompit dans sa réflexion et reprit la parole.

"Je suis d'accord avec les idées proposées sur le statut des états membres et des états partenaires, c'est-à-dire avec la proposition shuh reprise par le Milouxitania. À propos de la mobilité des citoyens de nos pays, nous sommes d'accord pour accueillir vos citoyens en Malévie à la base d'une carte d'identité. Cependant, nous nous réservons le droit de potentiellement refuser l'entrée à certains individus, si nous le jugeons nécéssaire, qui ont des antécédents criminels. Nous n'avons rien à ajouter par rapport aux échanges commerciaux et universitaires."
Mme Andys ne voyait aucun problème à ce qui veniat d'être dit.
Nous sommes d'accord avec la proposition des Shus reprise par Milouxitania aussi. Nous n'avons rien à ajouter.
Et bien si cela vous sied, je vous propose d'en arriver à un dernier point, à savoir les admissions d'entrée. Comment voterons-nous les demandes d'adhésions en tant qu'état-membre ? En tant qu'état-partenaire ? Qui sont ceux n'ayant pas l'autorisation d'entrer ? Ou alors, sous quelles conditions ? Nous vous laissons proposer vos idées.
Selon nous, n'importe quel pays n'appartenant pas à une association qui pourrait nuire à la neutralité de l'association peut se présenter. Ensuite, il faut que le conseil vote (pour ou contre), puis les Etats membres votent. Si plus de la moitié des états membres votent contre, l'Etat candidat ne peut pas faire partie de l'UNIL.
Ce que nous proposons, c'est que les membres de l'UNCS et de l'ONC ne peuvent pas adhérer en tant qu'états membres afin d'éviter toute ingérence de ces deux pôles. Mais ils peuvent parfaitement candidater pour devenir membres-partenaires. Mais je pense qu'une décision aussi importante que l'adhésion d'un nouvel état doit passer par nous. C'est pourquoi je vous propose que les dirigeants des différents états-membres devront se regrouper pour voter pour ou contre l'adhésion d'un nouveau pays. Il faudrait la moitié des voix plus une pour adhérer. Rien n'empêcherait à un pays dont l'accès se serait vu refusé de retenter. Nous devrons nous laisser un délai de six mois à partir de la date de publication officielle de la candidature pour y répondre, ce qui nous permettra, à l'occasion, de traiter plusieurs demandes en même temps pour ne pas abuser de déplacement inutiles.
Quant aux états-partenaires, ils auraient un accès complet aux programmes universitaires, aux échanges commerciaux. Mais ils ne pourront envoyer que deux représentants au Conseil et ne seront pas représenter lors des réunions entre dirigeants. Qu'en dîtes-vous ?
C'est bon pour nous, nous n'avons plus rien à ajouter.
La Présidente était satisfaite de ce qu'il venait de se dire.

ISABELLE DEPREY
"C'est bon pour moi aussi, je n'ai rien d'autre à ajouter de mon côté."
"Ce qui a été dit précédemment convient parfaitement à la Malévie. Merci au Milouxitania pour l'initiative."
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