À l'intention de Cunningham Padraig, ministre royal des affaires étrangères.
Monsieur,
Dernièrement, les médias kolisiens et autorités de Kölisburg ont notés une forte croissance des attaques visant les pêcheurs de Caratrad et du duché de Sylva. Bien que nous dénoncions ces attaques et que, des enquêtes soient en cours, tant que votre gouvernement ne condamnera pas ces attaques clairement et ne mettra pas en place les démarches auprès de ses citoyens pour que nous puissions recueillir leur témoignage, nous nous trouvons impuissants. En effet, en Kölisburg, on ne peut obliger quelque à paraître devant la justice y comprit si c'est pour son intérêt. Ainsi, même les pêcheurs de Caratrad victime de ces violences, nous ne pouvons pas les forcer et ce sera, de toute façon, une atteinte aux droits de vos citoyens. Cependant, avec votre collaboration, nous serions plus efficaces. Secondement, j'aimerai discuter avec vous de la situation en Manche-Blanche :
Vous avez fait venir aux portes des eaux kolisiennes des navires de guerres et certains y sont même entrés. Jusque-là, nous n'avons rien dis. Vous avez escortés des navires de Caratrad que nous avons rejetés or de nos eaux, là encore, nous n'avons rien dis. Cependant, nous notons que de plus en plus de pêcheurs du duché de sylvois viennent sur nos eaux et celles que nous revendiquons et nous soupçonnons qu'ils proviennent de Caratrad. Encore une fois et comme d'habitude, Kölisburg se dit prêt à vous rencontrer et nous allons d'ailleurs envoyer la même proposition au Duché de Sylva bien que, la dernière fois, ils aient refusés d'en discuter.
Ainsi, nous sommes prêts à entendre vos revendications. Cependant, je vais faire preuve de sincérité à ce sujet :
Si vous veniez à refuser quelconque discussions sur ce sujet, nous considérerons que vos canaux diplomatiques nous sont fermés et, donc, qu'il est impossible de discuter avec le Royaume de Caratrad. Nous informerions immédiatement nos partenaires de la situation. Car, bien que nous soyons pacifistes, nous ne sommes pas dupes et encore moins naïfs. En revanche, si vous vous montrez diplomates, je m'engage évidemment à entendre vos revendications et, dans le cas où il doit y avoir des négociations, faire des concessions. Évidemment, je préfère la deuxième proposition mais parfois, je le sais d'expérience, la première solution est inévitable quand le dialogue est rompu ce qui est évidemment regrettable.
Bien à vous,
𝘼𝙙𝙖𝙢 𝙃𝙚𝙞𝙙𝙚𝙣𝙗𝙤𝙧𝙜, 𝘾𝙝𝙚𝙛 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙙𝙞𝙥𝙡𝙤𝙢𝙖𝙩𝙞𝙚 𝙙𝙚 𝙆𝙤̈𝙡𝙞𝙨𝙗𝙪𝙧𝙜