Devant l’engouement des affaires relatives au sport, il arrive que des personnes se trouvent un talent, qui ne soit pas nécessairement sportif, mais mondialement sollicité en de faciliter les mouvements d’athlètes à travers le monde. Installé au coeur d’une Aserjuco, ville parmi les plus animées au monde, l’homme d’affaire encolanaltèque Ricardo Marisocas veut croire au sien, en inaugurant le premier mercato mondial des sportifs et athlètes.
Souhaitant profiter de la réussite sportifs de nombreux alguarenos, à commencer par la sélection nationale de football masculine, détentrice d’un titre international parmi les plus prisés au niveau mondial, l’homme s’est depuis plusieurs mois mis en relation avec plusieurs athlètes alguarenas, pour identifier leurs souhaits de carrière et relever les opportunités entourant chacune. Et le constat lui apparaît sans appel, si les sélections nationales font rêver, de nombreux sportifs engagés à un haut niveau de compétition, s’estiment insuffisamment payés dans les petits et moyens où ils jouent le restant de l’année.
Passionné par le foot et les affaires, Ricardo Marisocas se rêverait-il comme le contributeur à la réussite des clubs présents au sein des moyennes et grandes agglomérations, désireux d’acquérir les talents et les meilleures promesses de réussite sans possiblement les trouver? L’homme semble aimer le penser et nourrit depuis quelque temps, l’ambition de créer un marché des sportifs, pour identifier et faciliter les mises en relation entre agents de sportifs et clubs, de sorte à faciliter des actions de transfert ou de mises à disposition contre commission. “Le monde regorge de talents sportifs et la Fédération d’Alguarena ne fait pas exception, il n’y a qu’à voir les titres de notre sélection nationale de football, ou les performances individuelles de nos athlètes. Tout ce beau monde mérite de se rencontrer, j’espère en être le trait d’union pour permettre la multiplication des rencontres sportives et le développement du sport international par le biais des transferts…”
Une idée mûrie autour de sa passion et d’un constat clair, confie le quadragénaire “vous pouvez avoir les compétences que tout le monde cherche, si vous n’êtes pas visible vous subirez des barrières quasi infranchissables si vous aspirez à une carrière professionnelle. Antonio RUIZ est l’exemple que tout peut arriver, mais sauf tout le respect qu’il lui est dû, n’y avait-il pas des centaines d’Antonio RUIZ avant sa naissance?” L’homme explique en effet que c’est durant le suivi d’un match amateur, qu’il avait décelé des sportifs de grande qualité, mais dont les rencontres sportives, manquant encore trop de visibilité, avaient été boudés par les sélectionneurs qui “pèsent” dans le monde du sport collectif…
En créant un mercato qui mette en relation les clubs, les sportifs ou leurs agents, Ricardo Marisocas entend donner à chacun la visibilité suffisante pour qu’un choix déterminant pour la carrière des sportifs (ou des clubs) soit fait. “J’avais jusqu’ici le sentiment d’une profonde injustice, pour ces sportifs qui donnent au quotidien mais, parce qu’ils ne jouent pas dans le bon stade, contre la bonne équipe, manquaient leurs chances. En ouvrant un mercato, j’offre un visuel complet et permanent sur la réussite technique de chacun, permettant aux sélectionneurs et autres présidents de clubs, de disposer d’une aide à la décision tangible, pour permettre à chacun un arbitrage juste et équitable, pour qui s’en donne les moyens…”
L’équité et le choix, deux buts poursuivis par Ricardo Marisocas, pour défaire les murs érigés autour des sportifs de petites agglomérations et villages, dont le talent se veut effacé sous l’épaisseur de la canopée et la quiétude de leurs villages en zone provinciale.
Partagé entre la mise en relation et l’historicisation des réussites sportives, le projet Sportconnect réinvente le sponsoring et la sélection des sportifs de haut niveau, pour le plus grand bonheur des sélections et des clubs qui, face à l'opulence des jeunes sportifs se présentant à eux, peinent à trouver le temps nécessaire pour déceler les profils parmi les plus prometteurs.
“Derrière ces sportifs il y a des gens avec une histoire, vous ne pouvez pas mettre en relation des personnes sur la base d’un nombre de buts inscrits ou que sais-je d’autres encore? Il faut humaniser les échanges entre les clubs et les jeunes athlètes, en promettant un panorama et une vue d’ensemble sur chaque sportif, étalé entre les performances, mais aussi les parcours et leurs aspirations. C’est ça qui fera la différence entre un bon et un mauvais recrutement. Les sélectionneurs ne mangent pas des joueurs mais une équipe. Vous pouvez recruter les meilleurs talents du pied de notre monde, s’ils sont incapables de travailler ensemble et ne nourrissent pas d’ambition sur votre club, vous continuerez de regarder les finales de tournoi devant votre télé” nous explique-t-il, de manières peut-être brutales il est vrai, mais intelligibles pour chacun.