20/08/2016
08:48:51
Index du forum Scène Internationale Diplomatie internationale Organisations internationales Organisation des Nations Démocratiques

Bruits de couloirs - Page 5

605
attaché de défense faravanien a écrit : Monsieur Bourgard, au vu de votre situation et en sachant qu'un détachement des forces aériennes faravaniennes est déjà présent sur votre territoire, nous pourrions être en mesure de répondre à une partie de votre besoin. Le Faravan aurait la capacité de compenser la réduction capacitaire de votre force aérienne en augmentant la taille du détachement air faravanien. Nous serions par ailleurs en mesure de compenser avion pour avion et plus encore, ce qui nous permettrait d'accroitre l'ampleur de notre dispositif sécuritaire si vous le souhaitez. Il s'agirait d'une bonne opportunité pour coopérer d'avantage dans le domaine aérien, tout en répondant très concrètement à vos besoins de défense.
1949
Juliette Mésange : Il y a selon moi trois points à prendre en compte pour évaluer la pertinence de ce transfert dans un contexte de tension frontalière. Le premier est la capacité de dissuasion directe du Royaume de Teyla, puis de l'OND dans son ensemble, et enfin, est-ce que la Loduarie Communiste répondra à ce transfert par un autre qui contribuerait à réduire la menace directe représentée sur le Royaume de Teyla.

Premièrement, le dispositif actuel au Royaume de Teyla est définitivement insuffisant pour repousser une offensive aérienne loduarienne, avec ou sans transfert de la part de ce dernier vers la TDC. Pour autant, les forces teylaises restent suffisamment dissuasives puisque garantissant d'infliger des pertes sévères à la Loduarie qui ne peut pas s'en permettre pour conserver sa prétention régionale. Pire encore pour elle, le complexe militaro-industriel de Teyla est plus développé et lui permettrait de plus rapidement rattraper ses pertes que la Loduarie Communiste, ce qui la ferait perdre non seulement ses prétentions régionales mais également une éventuelle guerre d'attrition sur le long terme.

Et nous parlons là d'un contexte imaginaire où se livrent à un duel Teyla et la Loduarie. Ajoutons à cela que les soutiens garantis de l'OND annihilent pour de bon la menace d'une attaque loduarienne de par deux choses : la présence de renforts ondiens tel que venant de Sylva et Faravan appuyant le premier argument, et les risques de riposte commune qui terminerait d'achever la Loduarie pour la rétrograder de puissance régionale à communale. J'inclurais que le Duché de Sylva planifie une montée en puissance de son aviation, pour insister sur ce second point, avec la constitution de deux divisions aériennes et de deux brigades polyvalentes pour constituer une unité aéronavale affectée au porte-avion. Autrement dit, cent quarante-quatre avions de combat et une large panoplie d'avions de soutien.

De par ces éléments, il est évident que le troisième point, à savoir l'évolution hypothétique des rapports de force avec un transfert d'avions de la Loduarie Communiste à la TDC, n'aura aucun impact sur l'équilibre des forces et les risques d'attaque surprise. La dissuasion est déjà assurée et prévient de toutes agressions directes du régime lorenzien.
1603
Jean-Luc
Représentant teylais au Conseil général, Jean-Luc bourgard



« Il est évident que le Royaume ne sera jamais contre un renforcement des effectifs de l'Organisation des Nations Démocratiques déployés sur son sol, même si dorénavant, nous estimons la menace loduarienne moins dangereuse qu'avant. Non pas par un changement politique des autorités loduariennes, il ne faut point rêver, mais par notre capacité militaire accrue et qui, je le crois, dépasse la Loduarie Communiste dans les trois secteurs militaires majeurs : terrestre, maritime et aérien. Toutefois, dans le domaine aérien, notre supériorité/égalité est seulement sur les avions de combat. Si nous prenons l'ensemble des aéronefs, la Loduarie Communiste conserve un avantage certain vis-à-vis du Royaume de Teyla. Grâce à notre recherche, nos entreprises de la Défense, mais aussi à nos commandes, l'écart sera comblé, mais cela demandera encore quelques mois, afin que l'avantage pour le Royaume soit certain dans ce domaine.

Pour compenser le déficit existant, qui sera aggravé par un don à la République Translavique, il est clair qu'un renforcement de la présence Faravane et Sylvoise sera nécessaire, pour garantir que les dons seront effectivement réalisés, c'est dans ce contexte qu'est réalisée notre demande. Néanmoins, la coordination de tous les déploiements aériens étrangers présents sur le territoire du Royaume de Teyla est une nécessité. Si un conflit éclate entre la Loduarie Communiste et le Royaume de Teyla, il est important que nous ayons le contrôle du ciel, et que nous privons l'accès au ciel des avions d'attaques au sol Loduarien. Sinon, la défense à la frontière, sera difficile pour notre armée terrestre bien que pas impossible. Ainsi je propose que les états-majors sylvois et favarans discutent entre eux pour rendre une proposition commune au Royaume. Qu'en pensez-vous ?»
1009
Juliette Mésange contacta discrètement ses homologues à propos d'un sujet qui, apparemment, la rendait légèrement nerveuse et notablement honteuse. Elle finit toutefois par passer outre le ridicule et s'exprimer :

"Mesdames et messieurs, le Duché de Sylva a commis dernièrement une maladresse et a besoin de se concerter discrètement avec les membres de l'OND. Pour commencer, nous souhaiterions savoir qui de nous est impliqué en Ramchourie ? Je m'explique : les troubles qui s'y déroulent attirent l'attention du Duché, qui développe des intérêts croissants au Nazum avec le Wanmiri en particulier mais aussi le Negara Strana. Or les retours d'informations que nous avons sont éparses et..." L'embarras était à son paroxysme chez elle. "... Et les services de renseignements sylvois ont rapporté que la Confédération Ramchoure était démocratique, ce qui ne semble après coup pas être le cas. Une missive a déjà été envoyée, sans réponse à ce jour. Il est encore temps de faire marche arrière et, souhaitant éviter la réitération d'erreur, nous prenons contact avec vous pour concilier nos observations et points de vue, et avoir un positionnement plus judicieux."
2509
Johannes C. van Powell prenait son café — noir et serré — dans son bureau du Conseil Général de l’Organisation des Nations Démocratiques à Manticore—Royaume de Teyla. Pendant qu’il relisait ses notes sur les prochaines séances du Conseil Général ; Juliette Mésange, la représentante du Duché de Sylva à Manticore, entra dans la pièce vierge et grise — Colin est un piètre décorateur en plus du fait… qu’il s’en contrefout — afin de le consulter sur la position des Communes-Unies à propos de la guerre civile faisant rage en Ramchourie ; un pays sous-développé du Nazum avec lequel la Zélandia a déjà eu affaire dans les premières années du siècle précédent.

Ainsi, il répondit aux interrogations de la représentantes Sylvoise en ces termes.

Johannes Colin van Powell a écrit :Madame Mésange ! Un café ?

Mais pour en revenir à votre question ; oui, la Fédération est, la concernant, impliquée dans cette sombre et tortueuse histoire qu’est la guerre civile Ramchoure. La commune de Wettersêge dans le Nazum du Sud-Est a par ailleurs organisé une conférence quadripartite entre Zélandia et trois des factions que l’on peut considérer comme démocratiques ou en voie de démocratisation ; sur la paix et comment amener cette dernière en Ramchourie. De ces factions, il s’agit des partis politiques que sont le Gualintang et le Tahorintang, que l’on peut classer à droite et à gauche respectivement de l’échiquier politique, ainsi que l’État, sécessionniste de jure, du Royaume Constitutionnel de Ramchourie.

Concernant la Confédération Ramchoure, il n’y a aucune raison de laisser place à l’embarras ; l’erreur est humaine après tout [il hausse les épaules]. Il n’y a rien à attendre de plus de ces fascistes que mensonge et tromperie [son dédain est à peine voilé à ces mots]. Autant le Gualintang, malgré quelques défauts comme le droit de vote universel uniquement masculin, veut instaurer un régime démocratique parlementaire ; autant le Tahorintang veut instaurer au sein de l’État Ramchoure Justice et Paix sociale ; autant le Royaume Constitutionnel veut défendre les minorités sociales, en particulier les femmes. Mais la Confédération Ramchoure, elle ! Ne respecte que la force ; accentuant ainsi les inégalités entre forts et faibles. En plus d’être des monarchies absolues et illibérales, ces États confédérés se transmettent leur trône par de la lutte ; signifiant, lorsque l’on y réfléchit dans le détail, que, seul le plus fort peut gouverner de façon incontestable y compris s’il n’a reçu aucun enseignement politique, économique et social !

Reprenant son souffle et buvant une gorgée de son café.

Ainsi, voilà la position Zélandienne sur l’actuelle guerre civile qui sévit en Ramchourie. J’espère vous avoir été assez clair afin que ces informations puissent aider la Haute Assemblée à se décider ou non de continuer son soutient envers la Confédération Ramchoure ou bien une tout autre faction.
1701
La direction des affaires nazuméennes était l'une des plus pauvres de la diplomatie tanskienne. En dépit de l'intérêt récent porté par les autorités tanskiennes sur le Wanmiri ou le Negara Strana, elle ne restait que peu prestigieuse, peu voulue et avant tout remplie de techniciens, linguistes et autres diplomates formés aux difficultés et enjeux locaux sans appétance particulière pour monter dans l'administration centrale. Elle ne publiait que peu d'offres d'emplois, son concours d'accès externe ne recueillait pas beaucoup de candidats et le taux d'admission figurait au final parmi les plus élevé du ministère. Les relations avec le Secrétariat Général aux Affaires Onédiennes étaient souvent directes, sans passage par une hiérarchie et encore moins encore par les hauts cadres du ministère. Il n'était pas rare de voir quelques chef de mission s'adresser directement au SGAO en leur faisant emonter des informations et des notes. Choses rares sinon impossibles pour d'autres directions géographiques En d'autres termes, c'était sans doute l'une des direction les plus efficaces de la Fédération.

Ce fut donc un membre du SGAO présent au sein de la représentation tanskienne à Manticore qui contacta Madame Mésange, directement informé par quelques chefs de missions du ministère. Dans une brève discussion, le membre renseigna ainsi Juliette Mésange : Tanska entretenait des relations avec le Gualintang. Encore informelles et faiblement développées, elles se concentrent sur la fourniture d'une aide frumentaire, médicale et plus généralement humanitaire ainsi que par la présence de conseillers politiques et économiques auprès du Galintang. La volonté est simple renforcer la bonne gouvernance de cette dernière et l'incliner vers davantage de démocratie du fait de ses ambitions de régime parlementaire. Concernant la guerre civile a proprement parlé, toute implication tanskienne est exclue mais la possibilité de livraison de matériel ne l'est pas.
980
Depuis quelques jours, les notes du personnel tanskien affilié à l'Instance de Réflexion sur les Droits de la Mer allaient bon train dans l'administration. Ironiquement, le Secrétariat Général aux Affaires Onédiennes se disait même "noyé" par les papiers qui s'accumulaient. S'ajoutait à cela les quelques "pressions" subies par le ministère des Affaires étrangères d'une part, et celui de la Pêche et de la Mer d'autre part. Autant dire que rarement, les questions maritimes avaient provoquées telle agitation au sein des services.

Rapidement, les tanskiens firent circuler quelques informations à leurs camarades. En particulier, Tanska prévoyait de répondre vigoureusement au refus de Novyavik de voir Tanska être admise à la réunion, possiblement par le déploiement de forces navales dans la région qui seraient chargées de simplement passer à travers le détroit autant de fois que nécessaire pour réaffirmer la faiblesse des forces navales de Novyavik et la totale libre circulation navale dans la région pour Tanska et l'OND. La fermeture du détroit de Porto Mundo et de l'Isthme d'Afarée sont aussi envisagés.
3735
Des carabistouilles typiquement Eurysienne
Avertir les partenaires du Royaume de Teyla.
En réponse à ce post.


Qu'importe où vous étiez dans le bâtiment de Manticore, du siège de l'Organisation des Nations Démocratiques. Vous avez pu entendre les téléphones sonner, vibrer et le son des notifications envahir le bâtiment au fur et à mesure de la soirée. D’abord sporadiques, ces interruptions devinrent un bourdonnement constant. Dans les pièces habituellement silencieuses, dans lesquelles se déroulaient les débats les plus calmes de la sphère de l'Organisation des Nations Démocratiques, le silence fut remplacé par ce bourdonnement. Tout bascula aux alentours de 18h40. L'un des journalistes les plus sérieux du pays annonçait que le Premier ministre "était entouré de Sa Majesté et divers ministres dans la Salle de Gèvre, au Palais Grayson". Ce nom de salle suivi du nom du palais indiquait que quelque chose d'anormal se passait au Royaume de Teyla, quelque chose lié à la Royauté ou une crise.

Les connaisseurs du Royaume de Teyla savaient qu'en ces situations, la communication du Palais et du Gouvernement de Sa Majesté était parfaitement contrôlée. Les fuites étaient rarement non contrôlées. Cette fois-ci, une fois de plus, la fuite fut contrôlée tant par la Résidence Faure que le Palais. La situation allait être ainsi durant toute la soirée, laissant à la population teylaise les informations qu'estimaient essentielles les hautes sphères du pouvoir teylais. Les détails de la soirée viendraient bien plus tard, quand il sera l'heure, se disaient les services du Premier ministre. Fort heureusement, les représentants des nations membres de l'Organisation des Nations Démocratiques furent prévenus vingt minutes avant les faits à travers une prise de parole d'un représentant teylais :

- Merci d'être présents. Nous avons communiqué toutes les données à vos nations et nous continuons à le faire, mais si jamais le Royaume de Teyla a repéré une force aérienne loduarienne au sud du Royaume de Teyla. Les premières données laissaient supposer une flotte médiocre, mais des analyses plus précises, après le survol d'un AWACS entre autres, permettent de soutenir que le déploiement loduarien est important au regard de ses capacités. Les Loduariens nous ont prévenus du déploiement seulement deux minutes avant les premiers repérages. Outre le fait que la manœuvre démontre l'irrespect total des Loduariens envers le Royaume, le convoi aérien constitue une potentielle menace envers le Royaume de Teyla et la Principauté Catholique de Saint-Alban.

Au regard de la situation et avec une forte envie d'envoyer un message fort à la Loduarie Communiste, le Premier ministre de Sa Majesté ainsi que Sa Majesté ont décidé d'une interception du convoi aérien. En outre, nous demanderons, dans une quinzaine de minutes, à la force aérienne de se poser en territoire teylais. Outre que le sort des appareils n'est pas encore décidé, le Premier ministre a émis l'idée que cela dépendra du comportement des Loduariens. Mais cela n'est pas le plus important, le Premier ministre souhaite porter à votre connaissance que si la force aérienne refuse d'obéir au Royaume de Teyla, alors toutes les options sont sur la table, y compris le feu et l'engagement contre la force aérienne.


Le représentant teylais marqua une longue pause et reprit de plus belle :

Vos Excellences, comprenez que le Royaume de Teyla se trouve dans une situation de légitime défense, comme l'a démontré par le passé l'événement et l'échange entre la Loduarie Communiste et le Saint-Empire de Karty. Les événements passés provoqués par la Loduarie sont en notre faveur. Si elle refuse de se plier à nos injonctions, alors elle démontrera qu'elle a fait un geste illégitime en abattant les avions kartiens.

Les yeux du Teylais projetaient des flammes constamment. On n'avait pas vu un Teylais aussi déterminé depuis belle lurette. Les récents mouvements loduariens semblaient être, pour le Royaume de Teyla, les provocations de trop. Les provocations qui ont fait déborder l'eau du vase. La Loduarie Communiste devait comprendre que le Royaume de Teyla était une puissance régionale et en ce sens, elle devait être respectée. Dans les yeux du Teylais, on aurait pu croire que le Royaume de Teyla était prêt à traverser la frontière pour en découdre personnellement avec le Secrétaire général.
1019
Au détour d'un couloir de Bandarhan, quelques tanskiens étaient à la recherche de compères zélandiens. Dans la capitale faravienne, et plus particulièrement dans le siège du Conseil militaire, le zélandien est un être rare, peu recherché mais quand il l'est, on en devient inquiet. Pour les tanskiens de Bandarhan, les collègues zélandiens sont avant tout des bons camarades de terrasses et de bars des allées branchées de la capitale. Rarement vu au Conseil, et pour cause ils n'y sont pas permanent, ils sont pour autant de très bons camarade. Néanmoins, aujourd'hui la requête tanskienne était nourrie d'une inquiétude toute velsnienne. Finalement, décidant qu'attendre le bar serait trop long pour aujourd'hui, ce fut un bref mail qui fut simplement envoyé.
Cher Eilert,

Les Velsniens semblent être inquiets du déploiement de votre flotte en Nouvelle Kitan. Celle-ci arrive plus ou moins après que Saint-Alban ait réitéré sa revendication sur le territoire. Peux-tu me donner les raisons de ce déploiement et des informations qui peuvent être transmises aux Velsniens ?

Bière jeudi soir comme d'habitude, tu connais l'adresse.

La bise, à la prochaine réunion d'urgence sinon.
Espen
1550
C'était une belle journée que celle-ci à Bandarhan malgré le froid du mois de janvier inhérent aux climats continentaux; d'autant plus que la capitale du Faravan est entourée de montagne. La journée était cependant ensoleillée et il faisait assez bon, du point de vue d'un Zélandien, pour sortir. C'était le cas de quelques conseillers et diplomates de la mission Zélandienne au Faravan qui avaient fait le choix d'aller se poser dans un parc de la ville s'asseoir sur un banc au Soleil avant d'aller comme tous les soirs au bar habituel; devenus leur salle de réunion informelle avec les collègues Tanskiens lorsqu'ils étaient présents.

L'astre du jour commençait à descendre magnifiquement mais dangereusement derrière la ligne d'horizon lorsque l'un des deux diplomates reçus un mail sur son portable. Il y répondit après l'avoir ouvert et lu à son comparse.


Cher Espen,

Les Velsniens s'inquiètent de la moindre onde proche de leurs côtes si cette dernière provient de Zélandia. Pas de raison particulière si ce n'est un roulement quinquennal de routine entre Amirauté de Noordcroen et Nlle.-Kintan. Zélandia y est liée depuis 1871.
Simple coincidence avec déclaration St.-Alban due à retard de l'administration de l'Amirauté et capacité spéciale des équipages à prendre leur temps. Effectifs plus importants que la période 1932-2004 par décision de cette dernière année pour faire face aux tensions//crises qui secouent l'Eurysie tous les dimanches matins.

Bière jeudi soir comme d'habitdue, Jan paie sa tournée.
La bise,
Eilert.

« — Ils ne savent pas lire ces Velsniens ou quoi? La journaliste a pourtant été claire dans son article non?

— Oh moi tu sais. Ça ne m'étonne pas venant de gens qui utilisent encore des galères à rames quand en face on utilisait déjà des flûtes armées de canons. »
Haut de page