25/02/2015
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VARANYA - Activités étrangères sur les territoires loyalistes (Empire varanyen). - Page 5

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10 juin 2006 - TENSIONS EN AFAREE ORIENTALE : l’instabilité locale accentue la crise politique de Bina.


Enième démonstration de force entre les manifestants prônant une réintégration de la Satrapie à la République du Varanya et les pouvoirs impériaux demeurant toujours sur l'île de Bina.
La nouvelle tendance révolutionnaire au sein de la Satrapie de Bina inquiète les capitaux présents sur l’île.


La gestion démographique du pays a fait naître une crise sociale sans précédent sur le (petit) territoire de la Satrapie de Bina. Et c’est bien cette crise sociale qui inquiète tout particulièrement les acteurs économiques dont une partie d’entre eux serait aujourd’hui susceptible de rediriger ses capitaux en dehors de la Satrapie. “Les citoyens les plus aisés de Bina n’accepteront pas tous de payer pour l’intégration de 200 000 réfugiés dans leur province. Une arrivée massive qui entraîne, rappelons-le, un accroissement de la population locale à hauteur de 133%” confie le politologue Erfan Riahi pour marquer la gravité de la conjoncture actuelle au Varanya. “C’est un cercle vicieux où la crise sociale inquiète les milieux économiques, qui peuvent se détourner du pays et in fine aggraver la misère sociale qui s’y trouve…” Et même lorsque les capitaux ne sont pas exfiltrés du pays, ils sont à minima exfiltrés du circuit économique, le principe d’une épargne que des ménages n'hésitent plus à stocker sous les matelas selon l’expert. “Si l’identité nationale faite autour de la Satrapie de Bina s’effondre, ce sont les banques, la monnaie qui y a court qui s'effondrent aussi…” Citant les différents rapports régionaux sur la situation démographique de la Satrapie, la qualité de vie des réfugiés varanyens présents là-bas et plus récemment l’ampleur des manifestations sociales qui se déroulent localement, le politologue Erfan Riahi continue d’alerter sur la criticité d’une crise économique majeur qui n’a pas encore dit son nom. Selon lui, il est encore difficile d’estimer, compte tenu de la situation politique locale et de l’absence de données économiques fiables sur la Satrapie, les sorties d’argent effectuées par la classe moyenne et aisée de Bina. La misère s’est faite une place qui n’a jamais eu son pareil à l’intérieur de la Satrapie.

Directement liée à la hausse de 133% de la population locale, la pauvreté fait également peser des risques sanitaires graves parmi les populations, des risques sanitaires qui sont autant de facteurs anxiogènes pour les classes modestes et aisées. “Plus de 50% de la population de l’île sont logés dans des abris de fortune aménagés par le gouvernement local, qui n’avait manifestement pas anticipé un tel afflux de populations vers son territoire. Quel pays dans le monde enregistre également de tels résultats? Que ce soit dit de façon claire et intelligible pour chacun: aucun pays dans le monde après la Satrapie de Bina enregistre un parc immobilier déficitaire pour 50% de sa population…” Si la situation dans la Satrapie de Bina est une chose, celle dans la République du Varanya en est une autre et contribue activement au déplacement des capitaux vers cette région. “Il y a au Varanya de nombreux besoins en investissements pour la reconstruction du pays, les terrains sont vendus contre une bouchée de pain sous réserve que les acquéreurs présentent une ébauche de projet industriel ou commercial… Si des capitaux doivent quitter la Satrapie de Bina, il n’est pas déraisonnable de penser qu’ils vont être redirigés vers la République du Varanya, car c’est là-bas que l’investissement risque d’être le plus prometteur. Par ailleurs, n’oublions pas que si l’identité nationale autour de la Satrapie de Bina s’effondre, la monnaie locale ne vaudra plus rien. Aussi, si les acteurs économiques présents à Bina veulent conserver la valeur de leur capital, ils doivent sortir d’une épargne au format monétaire et l’investir dans des projets économiques ou immobiliers…”

Une projection confirmée par la recrudescence des investissements étrangers au Varanya avec pour 60% d’entre eux une origine afaréenne, notamment issue de la Satrapie de Bina. La République du Varanya cumule simultanément une situation politique en voie de stabilisation et des opportunités économiques réelles pour qui souhaitent s’investir dans le pays, il est donc tout à fait logique de constater que les capitaux binans mais aussi étrangers, partent là où leurs détenteurs se sentent le plus en sécurité et jouissent d’une certaine visibilité quant au devenir de la région.

Cette situation est de nature à inciter à une large contribution des acteurs économiques binans dans la relance économique du varanya continental où les projets d’investissement peuvent se multiplier, indépendamment du contexte démographique, social et humanitaire présent dans la Satrapie. La récente ouverture de négociations diplomatiques entre la Satrapie et la République est de nature à rassurer les habitants de l’île mais également à mettre en lumière la reprise économique et la stabilité politique croissante du Varanya. “La coopération entre Bina et le Varanya n’a pas vocation à tirer la première vers le haut, puisque celle-ci viendra mettre en relief les premières institutions démocratiques de la région sur les cinquante dernières écoulées. Un modèle de démocratie et des perspectives d’avenir qui vont immanquablement séduire certains des citoyens de Bina ayant les moyens de retourner dans la République.

L’appauvrissement de la Satrapie de Bina, sur les plans à la fois culturel par sa rupture historique avec le Varanya, mais aussi économique et militaire, est à même de faire fuir les classes moyennes et aisées d’un pays qui n’est plus identifiable à proprement parler. La Satrapie de Bina rompt avec le Varanya dont elle est le fruit historique, elle vient dépendre militairement des forces armées cémétéennes et voit son économie à genoux par la sortie brutale d’un tissu industriel varanyen et l’arrivée de flux migratoires non maîtrisables, autant de signaux qui permettent de passer les indicateurs au rouge lorsque les intellectuels, scientifiques et penseurs présents dans la Satrapie, doivent s’interroger sur leur avenir possible sur l’île de Bina…
Après la fuite des capitaux, c’est donc également la fuite des cerveaux et intellectuels qui est à craindre, inquiétés par le déclin général qui sévit sur tout le pays et sa dépendance croissante à l’étranger, synonyme flagrante d’une perte de souveraineté que la Satrapie espérait pourtant instaurer par sa sécession au territoire varanyen. Soheila Gankhaki, sociologue nous prévenait sans détour “la guerre et le conflit armé sont en effet des périls notables pour la région de Bina mais ils ne sont pas plus probables et pas plus dommageables, qu’une crise économique et sociale inédite pour l’Afarée orientale…” Le départ des intellectuels et des capitaux feraient 800 à 1 000 fois plus de dégâts à l’économie de la Satrapie que ne le ferait un conflit armé entre républicains et loyalistes, fut-il étalé sur plusieurs années. “L’arrêt des exportations pétrolières, ok, le déroulement de combats armés dans les principaux centres urbains du territoire ok, mais la fuite de ceux qui seront à même d’investir dans les projets économiques (actionnaires et autres investisseurs économiques) ou à même de donner une plus-value à ces investissements (acteurs de la recherche et du développement, cadres dirigeants), cela serait clairement fatal à la Satrapie sur 10 voire 15 ans, le temps de former les futures générations et de réformer le pays pour maintenir ces dernières sur le territoire…” Compte tenu de la situation présente et des perspectives économiques ainsi que sociales dans la Satrapie, il est acquis aux experts interrogés sur le sujet que les strates de la société parmi les plus éduquées de Bina, quitteront nécessairement l’île, au profit de la République naissante qui leur fait face de l’autre côté du détroit.
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20 juin 2006 - Le gouvernement révolutionnaire promeut l'ouverture du premier cimetière dédié aux ennemis de la guerre civile varanyenne.


Illustration d'un des premiers cimetières de la guerre civile, où les tombes des soldats ayant combattu pour le régime impérial seront présentes, conjointement à l'ouverture de quatre autres cimetières.
Symbole d’une considération humaine pour le sort des milliers de corps des combattants loyalistes étrangers alliés au régime, la République révolutionnaire du Varanya inaugure le premier cimetière militaire des combattants ennemis de la Révolution.


Trois ans après le démarrage et nous dirons même, l’éclatement du conflit varanyen, nombreuses sont les familles de défunts qui poursuivent un long deuil, après s’être vus arracher un parent, un enfant, un amant. Ces deuils sont malheureusement pour une partie d’entre eux, rendus impossibles par l’inaccessibilité ou l’absence de localisation du corps des proches disparus. Enterrées dans le cimetière de la ville la plus proche où ils sont décédés, dans un champ hors agglomération ou bien dans le cimetière de la ville de l'hôpital, les dépouilles des combattants de la guerre civile, particulièrement ceux ayant soutenu le régime du Shah, peinent à être localisées. Pourtant, de l’aveu même des pouvoirs publics, la localisation des tombes de disparus est un enjeu politique majeur du premier gouvernement républicain au Varanya, car elle contribue activement à la réconciliation nationale. Dans cette optique, le gouvernement républicain du Varanya a entériné la création d’une demi-dizaine de cimetières dédiés à accueillir les sépultures des dépouilles de soldats impériaux et de leurs alliés étrangers. Rappelons-le, le conflit qui a opposé les deux moitiés du pays a fait près de 32 000 victimes* dans les rangs des soldats, dont au moins 18 000 morts parmi les combattants soutenant le Shah.

Ayant vocation à être situés dans les principales agglomérations du littoral nord, telles que Herettin et Thadimis, ces cimetières se veulent être les traits d’union qui rapprochent deux pays mais une culture et une communauté, meurtries. Leur présence dans les grandes agglomérations au nord du Varanya continental assure une proximité aux familles des défunts qui auraient fait le choix de s’installer sur l’île de Bina, appelée de manière nostalgique par certains continentaux “le Varanya insulaire”. Ainsi, les familles le souhaitant pourront venir se recueillir et partager le souvenir de l’être aimé autour d’un lieu aujourd’hui clairement identifié.

Cette ambition marquée par la participation gouvernementale oblige à la création d’une institution dédiée : "L'Office National pour la Mémoire et la Réconciliation du Varanya”. Initialement composé de 1 600 fonctionnaires, chargés de recenser les dépouilles, identifiées ou non, de les identifier cas échéant et d’en prévenir les familles par un moyen adéquat, l’Office National pour la Mémoire et la Réconciliation du Varanya est voué à croître compte de la montée en puissance nécessaire pour absorber le nombre de combattants disparus parmi les soutiens impériaux et débuter un devoir de mémoire préalable à toute sortie de crise durable de la guerre civile. “Humaniser la guerre” tels ont été les mots du chef de file des progressistes, Ebrahim Nassirian pour annoncer son soutien au projet gouvernemental. Car aux côtés du gouvernement provisoire, se trouvent effectivement les principaux partis républicains du pays et leurs leaders, une démonstration d’unité et de réconciliation, destinée à toucher le coeur de l‘opinion publique des citoyens de Bina, ceux que l’on appelle parfois avec sarcasmes “les irréductibles” pour s‘être affranchis du Varanya et avoir acté la rupture politique avec le continent.

“Varanyens, binans, tout ça est encore un peu abstrait dans l’esprit des gens et le gouvernement républicain du Varanya ne souhaite pas laisser s’installer l’idée durable qu’il existe deux peuples. Pour le Président Mohammad Karimi, le seul fossé existant entre les habitants de la République du Varanya et ceux de la Satrapie de Bina est celui creusé par le bras de mer qui vient matériellement séparer les deux territoires. Sans ça, il s’agit d'un même peuple, d’une même culture, d’un même avenir… Et la crise migratoire sur l’île de Bina le prouve, la Satrapie ne peut gérer seule les conséquences d’une dissension politique aussi forte que l’acte de sécession qu’elle a voulu revendiquer” explique le politologue Zakaria Mozafari. “Les personnes qui sont mortes dans les rangs de l’armée révolutionnaire ou celle impériale, sont les enfants de personnes vivant encore dans l’un ou l’autre des territoires varanyens. Croire que tous les proches des soldats impériaux morts sont citoyens et soutiens du Shah sur l’île de Bina est une erreur. Dans cette conjoncture, il n’est pas plus légitime de faire ériger des cimetières de soldats impériaux dans la Satrapie de Bina que sous la République du Varanya. Car il doit être permis à chacun de venir se recueillir sur les tombes des défunts, c’était également leurs enfants après-tout, fussent-ils combattants pour la partie adverse. C’est ça la dureté d’une guerre civile, quand les considérations politiques ou idéologiques prévalent sur les considérations familiales et le lien du sang…”

Ainsi, pour les décennies et les générations à venir, la République du Varanya rend hommage à tous les soldats, pour ne pas dire à ses enfants, décédés lors de la guerre civile de 2005-2006. Une démarche pour que ne soient pas gâchées, les perspectives d’une unité nationale nécessaire à la relance économique, politique et finalement sociale, de notre pays endolori par une lutte fratricide.

* Par victimes, nous entendons des soldats impériaux et alliés étrangers tués, infirmes, blessés, déserteurs, prisonniers ou portés disparus.
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23 juin 2006 - Province de Bina

Révolte populaire dans les centres urbains de Bina.
La victoire révolutionnaire d’Ahvadeh, intervenue le 30 septembre 2005, a débuté un élan populaire sans précédent en faveur d’une transition politique immédiate au Varanya.

L’offensive révolutionnaire victorieuse à Ahvadeh, épaulée de ses alliés fortunéens et alguarenos, a permis un ancrage militaire et politique ferme sur la moitié nord du pays qui fut jadis le cœur politique de l’Empire du Varanya. Défaits militairement, perdant le coeur du pouvoir après le retrait ou la reddition des dernières forces impériales à Thadimis, le Shah et ses ultimes soutiens ont rallié la modeste île de Bina qui, compte tenu de l’avancement du conflit, allait désormais occuper une place stratégique majeure dans le maintien à bout de bras de ce régime fantoche. Pour accompagner la réalisation de l‘impossible, la “nouvelle ex-autorité” impériale a proclamé l’instauration de la Satrapie de Bina, énième subterfuge grossier pour rompre avec le bilan désastreux de l’Empire du Varanya, tout en conservant à sa tête l’ancien monarque.

A la guerre militaire s’est donc succédée la guerre de propagande, que nous avons alimenté de parts et d’autres avec, il faut l’admettre, un franc succès au profit de la Révolution varanyenne. Effectivement, considérant les nombreuses pertes humaines et économiques enregistrées par les affrontements entre loyalistes et révolutionnaires, la reprise des affrontements armés aurait eu une incidence politique néfaste sur la bienveillance et le progrès défendu par l’Alliance Nationale Varanyenne. Dès lors et même si l’acte de sécession commis par la Satrapie de Bina affichait un nouveau casus belli pour la République du Varanya continental, la poursuite des combats en qualité d’agresseur n’était plus une option envisageable pour la jeune République.

En conséquence et profitant de la crise migratoire qui a vu l’île de Bina passer de 150 000 à 350 000 habitants en un an, nos services se sont attachés à médiatiser le niveau et les conditions de vie actuelles de nombreux habitants de l’île sécessionniste, pour les confronter à celles d’un territoire continental qui panse ses plaies et envisage l’avenir à travers la planification des premières élections libres ainsi que représentatives des cinquante dernières années écoulées.

Le seul moyen de vaincre l’Empire du Varanya ou sa grossière réplique matérialisée sous la Satrapie de Bina, est d’organiser des actions militaires contre ce dernier. Sans ça, il pourra toujours vivre politiquement grâce au soutien étranger qui compose aujourd’hui plus de la moitié de ses forces et lui offrira volontiers une terre d’exil depuis laquelle exécuter ses tentatives de ralliement à chaque fois qu’une crise sociale intervient dans le pays.

Dans notre malheur, l’aide étrangère cémétéenne peut toutefois constituer un irritant social pour la population de Bina, ses deux pieds baignant dans la misère et l'assujettissement. Il est donc nécessaire de retourner l'opinion publique contre le régime impériale, littéralement placée sous respiration artificielle d’une puissance étrangère telle que la Cémétie. Les troupes de la Satrapie de Bina sont essentiellement composées de personnes issues de la conscription, le gouvernement républicain et les services de renseignement alguarenos sont donc tentés de saper le moral de l’armée binane, incapable de se substituer à l’armée révolutionnaire varanyenne, aujourd’hui devenue plus importante et plus professionnelle qu’elle. Ces personnes faiblement préparées à la guerre, et que le gouvernement révolutionnaire espérant toucher, sont autant des civils que des militaires. De la Satrapie de Bina ou de la République du Varanya, seule cette dernière est capable de les sortir d’un état de siège permanent et de les réinsérer dans la société civile, car elle entretient une armée professionnelle dédiée qui peut se passer de ces combattants improvisés et triés sur le volet.


  • Le gouvernement républicain entreprend des actions de communication autour de la réconciliation nationale, en inaugurant l’ouverture de cimetières dédiés à l’accueil des sépultures de combattants loyalistes et impériaux. Une main tendue à destination des familles de victimes, qui voudraient pouvoir se recueillir sur la tombe de leurs proches sans le pouvoir, craignant une vendetta de révolutionnaires qui n’aura pas lieu. Le but est encore d'insister sur l'existence d'un patrimoine, d'une Historie et d'une culture commune, qui se perd en division politique telles que présentement, avec la République du Varanya d'une part et la Satrapie de Bina d'autres part.




Objectifs a écrit : La République du Varanya entreprend des actions visant :

  • l’instauration d’un état insurrectionnel pour amener de facto et de jure, au ralliement de la Satrapie de Bina à la République du Varanya (La Satrapie de Bina/ province #41466 est rattachée à la République du Varanya).

  • le ralliement des militaires loyalistes ou à minima leur neutralité pendant la révolte populaire (les militaires de l’ex-Empire du Varanya sont rattachés avec leurs équipements à la République du Varanya dès le début de la Révolte populaire ou à défaut conserve une neutralité le temps que celle-ci soit menée à terme.


Message secretInformation secrète réservée aux personnes autorisées
Le 23 juin 2006 à 07h00 - Baisul et les principaux centres urbains dans la province de Bina (loyaliste).

Soulèvement populaire à Bina, l'armée ne tirera pas.
La révolte populaire qui a débuté le 23 juin dernier, oblige les experts politiques à une interprétation unanime : la population de Bina souhaite le rattachement de l'île à la République du Varanya.

Le peuple de Bina a annoncé la couleur et celle-ci sera d'un bleu républicain. Débutant ce qui est à ce jour l'un des plus grands mouvements populaires enregistrés sur l'île, un pourcentage conséquent des 350 000 habitants et réfugiés mal logés de l'ile a manifesté son souhait de voir émerger une transition politique rapide, à la faveur de la République du Varanya. Ce mouvement d'ampleur et sujet à des débordements notables, a incité une partie de l'armée de la Satrapie à adopter une posture passive voire sympathisante à l'égard du soulèvement.

Staff a écrit :Action clandestine arbitrée en victoire mineure, enregistrée sous le n° 61906 du site ventsombres et par le Maharadja-modérateur.

  • D'un point de vue gameplay, le territoire de Bina passe sous administration révolutionnaire car la révolte populaire est suffisamment importante pour empêcher le bon fonctionnement de la société civile par le gouvernement du Shah.
  • Le peuple de Bina souhaite ouvertement son rattachement à la République Varanyenne, la Cémétie et le Shah peuvent choisir de passer outre l'élan populaire et de maintenir des forces armées sur place pour tenter de tenir de facto la région. Une réponse du joueur pour le camp loyaliste sera attendue.
  • Parmi les forces loyalistes restantes, certains officiers et soldats souhaitent la fin de la guerre civile par le rattachement de Bina à la République du Varanya. Le soutien d'une partie de l'armée binane pour la Révolution est de notoriété publique. Il est possible qu'en cas de conflit entre les deux pays, cette même partie de l'armée binane fasse défection pour précipiter la chute du Shah. L'armée du Shah reste majoritairement loyale à celui-ci.
  • L'opération a consommé 70% de l'influence politique de l'Alguarena et du Varanya révolutionnaire.
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