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Activités étrangères en Loduarie Communiste - Page 6

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Il y a du nouveau.
22 juin 2011


Après quatre mois passés sur le terrain, entre Lyonnars et Dolinne, l'agent "Pissenlit", agissant jusqu'à lors seul, envoie son premier rapport à sa hiérarchie, dans l'attente de renfort. Un réseau consistant a été constitué à grande vitesse pendant ce temps. Il n'a cependant pas permis d'anticiper les dernières manœuvres du pouvoir loduarien.

Sous une pluie déprimante en cette saison de l'année, une route. Un embranchement, un panneau routier. À droite, "Beaumont-le-T. 15 km" et à gauche, "Libreville s/Cogne 9 km". Bref, le trou du cul de la région de Dolinne. Au bord de la chaussée, un homme vêtu d'un ciré gris se tiennait dos au panneau, arc-bouté pour protéger son téléphone de la pluie. Au dessus de lui, une mouette égaré cria. L'Homme sursauta. "Saloperie" pesta-t-il.

Cela faisait trois kilomètres qu'il marchait sous le crachin, suivant son chemin au GPS. Et trois kilomètres, c'est beaucoup trop quand on sait qu'on les fait pour rien. Il reprit sa route, et après quinze minutes, il arriva devant un calvert boisé dont la croix avait été abattue à la hache par les services de l'Etat. Les paysans l'avaient transportée deux mètres plus loin et replantée pour continuer de la vénérer. Ainsi le socle en granit rose de ce qui avait été autrefois du travail d'orfèvre celtique était recouvert de mousse et de lierre. Pissenlit glissa sa main le long du bloc de pierre, pour y trouver une fente de vingt centimètres de long. Il y déposa une enveloppe. Voilà, le colis était livré. L'agent de la DDSE avait bien essayé de convaincre sa hiérarchie : passer par l'ambassade, la valise diplomatique, gagner du temps... Mais le Colonel Picotous avait insisté pour qu'il y ait au moins un intermédiaire entre lui et les services diplomatiques gallèsants. Une absurdité, comme toujours avec les services secrets du Duché, qui continuaient de fonctionner comme au XXème siècle. Il rebroussa chemin et rejoignit sa voiture garée trois kilomètres plus loin. Une fois au sec il regarda ses messages. Un nouvel agent qui devait arriver aujourd'hui de Lyonnars lui avait envoyé "je suis à la gare de Beaumont-le-Tertre". Il mis le contact et démarra pour rejoindre la gare.

La semaine d'avant, celui qui était officiellement Thémond Graviot, conseiller auprès du Consul de Gallouèse à Dolinne, avait envoyé son premier rapport sur l'avancée de ses travaux. Vétéran des opérations au Magermelk, il n'avait eu aucun mal à s'éviter le regard de la police loduarienne, bien que celle ci soit particulièrement paranoïaque concernant les ressortissants étrangers et que son domicile faisait preuve d'une surveillance continue. Il avait déjà rencontré le préfet de la région, l'officier supérieur commandant le secteur, le maire de Lyonnars, ou encore plusieurs députés du Parti à l'ADLPC. Il avait également demandé à rencontré l'officier en charge du centre pénitencier, ce qui lui avait été refusé. C'est pour cette raison qu'il lui fallait de nouveaux agents. Deux étaient déjà arrivés et s'étaient postés à Lyonnars, comme employés au Parlement et à la Demeure et Bureau du Secrétaire Général. Le dernier qu'il venait de réclamer lui servirait à approcher le commandant de la prison, sur le plan personnel. La région de Dolinne était sa nouvelle priorité. C'est ce qu'il d'expliquait dans la lettre qu'il venait de "poster". Car il y avait du nouveau. L'État de Dictature militaire venait de prendre fin. Cela signifiait un relâchement de la pression constante qui pesait sur la population, et que Graviot avait constaté dans tous les milieux qu'il avait traversé. Dans son rapport Graviot émettait les conclusions suivantes : "La Nation Communiste de Loduarie reste une dictature oppressive au moment où j'écris ces lignes. Les opposants sont néanmoins invités à prendre part aux élections de 2013. Cela signifie que pendant deux ans, Geraert-Wotjkowiak a les mains libres pour opérer et donc qu'il faudrait maintenir nos opérations de surveillances. J'ai cependant l'honneur de recommander à ma hiérarchie de s'assurer au plus vite, par voie diplomatiques, des attentes du Secrétaire Général concernant la sécurité général et la transition démocratique dans son pays". De son côté, il promettait de "renforcer sa capacité d'anticipation", notamment en renforçant ses "oreilles" dans la capitale. Pour ce faire, l'arrivée de renforts devenait une nécessité.


À Melensis, le document parcouru le cabinet de la Défense. Le colonel Picotous l'étudia d'abord avec attention, puis le Directeur Tilleul se le fit compiler, et le Général Ventura le réclama à son tour ; avant qu'il ne soit envoyé à Ligert, d'abord Rue Créneau, au ministère des armées, puis au Quai de Ligor. Le Président Exécutif Farche pris connaissance de la partie le concernant, et conscient que rencontrer le Secrétaire Général Geraert-Wotjkowiak, qui n'avait pas le vent en poupe, serait une très mauvaise opération politique, il appela Michal Trëvenon. Ce dernier connaissait le sujet, il avait eu une note le matin même. Ainsi, pas plus fou que son rival, il refusa. Il accepta toutefois d'envisager un coup de fil à son homologue loduarien. Farche appela ensuite le ministre des affaires étrangères, qui refusa, mais qui pris sur lui d'organiser une rencontre entre l'ambassadeur et le Secrétaire.
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Les camps de Dolinne
Faut que je regarde la date


Le nouvel agent des services secrets gallèsants présent en Loduarie est passé à l’œuvre dans la région de Dolinne. Il a fraternisé avec le commandant militaire des lieux, afin d’obtenir plus de renseignements sur ce qui a été un point d’ombre important du régime de Geraert-Wotjkowiak, un l’une des préoccupations majeures du Duché.

Thémond Graviot avait fait plusieurs fois le tour des ruines ; aussi avait-il demandé à Gwénaëlle Kergoson, son nouvel agent, de ne pas s’en approcher. Elle éviterait ainsi toute suspicion. D’autant plus qu’il n’y avait pas grand chose à voir : l’ancien camp pénitentiaire de la région de Dolinne n’était plus qu’un amoncellement de ruines carbonisées, dessinant encore sur plusieurs kilomètres des rectangles gris et noir de barres d’immeubles qui avait servies, autrefois, de centre de détention pour la racaille en tout genre. Le bâtiment central, abritant jadis une cour, avait fait place à un cratère sur lequel la végétation avait commencé à repousser. On voyait partout des ronces, des renoncules rampantes, des orties ou des chardons, et ci et là, quelques arbustes avaient rendus à la nature son droit. En périphérie de ce complexe, les bâtiments les moins touchés par ces explosions étaient encore debout, des pans de murs intérieurs comme extérieurs se tenant sans but au milieu de rien. Ce gisant était celui du camp de Jiluine, une ancienne prison de l’archipel de la région de Dolinne, située à 75 kilomètres du centre principal, qui avait fermé en août 2009 a défaut de prisonnier pour la remplir. Cela n’expliquait pas pourquoi Jiluine était un champ de ruines.

L’origine de cette vision guerrière était trouvable dans les archives de l’Agence Nationale Sismologique (ANS) de Gallouèse, qui corrélées aux données de la Rue Crénau et du Quai de Ligor rendaient une conclusion tout à fait passionnante. L’ANS avait enregistré, le 1er octobre 2009 à 15h23, une secousse minime mais néanmoins détectée par les capteurs sismiques, des outils civils, du comté de Làrilie-Molins. Ces données avaient été remontées à l’État-Major du Duché quand celui-ci apprit que la Loduarie Communiste tirait de missiles en Golfe de Francie. Tout concordaient, l’épicentre de la secousse, identifié très vaguement à 200 kilomètres au Sud de Dolinne, était très probablement le point d’impact des ogives. C’est en se rendant sur les lieux qu’un employé du Consulat de Gallouèse à Dolinne avait découvert que Jiluine était détruite.

C’est là que Gwenaëlle Kergoson entrait en jeu dans l’opération montée par Thémond Graviot. Kergoson était une habitante de Dolinne, d’un père dolinnois et d’une mère sophirniote, donc purement nostrienne. Âgée de 38 ans et mère de deux jeunes enfants, elle travaillait depuis une dizaine d’année pour une entreprise de comptabilité de la ville, à un poste moyennement qualifié et responsabilisé. Ce qui passait plus inaperçu en revanche, c’était son lien avec le consulat de Gallouèse. Lorsqu’en 2008 elle avait rendu une mission d’aide aux comptables débordés du consulat, elle avait sympathisé avec l’adjoint et avait finie par être recrutée officieusement comme soutient local de l’ambassade, puis suite à l’évolution des intérêts gallèsants en Loduarie, comme agent dormant de la DDSE. Elle était désormais « réveillée ». Parlant couramment français et breton (et de fait, c’était une Loduarienne pur jus), elle devait servir à des missions d’infiltrations plus personnelle. Le comptable du bureau du Commandant du Centre Pénitencier de la Région de Dolinne avait démissionné, ont avait choisi Kergoson pour postuler à son remplacement. Elle était devenue comptable référante de l’officier, et était chargée d’inspecter les travaux de la comptabilité du complexe pour en transmettre les grandes lignes au directeur. Choisi dès l’origine à un poste de confiance, Kergoson avait tâché de nouer un lien privilégié avec le commandant, qui l’avait même invité en croisière à la voile. « Tu vas voir, un de mes amis à un superbe voilier tout neuf qu’il a acheté pour faire le tour du monde. Ce sera sympa, il y aurais lui, sa femme, ma femme et moi. » Gwenaëlle se retrouva donc en mer, à caboter en Golfe de Francie avec le directeur de la prison de Dolinne. Elle avait mentionné lors de ses journées de travail qu’elle avait besoin d’un document classé secret pour faciliter ses diagnostics sur la période 2007-2009. Elle était maintenant à deux doigts d’obtenir ce qu’elle voulait.
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Lancement de l'Opération « Plan Rose »
Très secret défense.


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Contexte et objectifs généraux
Après quelques déconvenues malheureuses au lointain, Prima a décidé de réorienter ses moyens vers des objectifs plus locaux et plus concrets. En l’occurrence ici la Loduarie. Ce pays communiste voisin de Prima et des ses sœurs la Clovanie et l'Aquitagne doit être surveillée avec grand soin. Le plan Rose n'est rien d'autre que le déploiement d'agents d'information sur place. Notamment dans la capitale. L'enjeu est de savoir ce qui se dit et se pense. Notamment d'avoir des yeux chez Lorenzo mais aussi dans son gouvernement et ses services. Aucun esprit d'action n'est prévu pour l'instant.

Objectifs concrets
  • Nous constituer un réseau d'information efficace, résilient et discret en Loduarie.

  • Méthodes
    Pour la méthode, on optera pour deux approches :
  • Nos courtisanes du demi-monde que nous installerons dans notre ambassade ou à proximité, ce seront de vraies courtisanes (autant que de vraies espionnes), leurs cibles seront les notables du parti qu'elles séduiront habilement et discrètement pour les faire parler sur l'oreiller. Plus encore qu'à l'ordinaire, il faudra être discrète, ces hommes seront surveillés.

  • Nos agentes secrètes tirées de la courtisanerie lesbienne primaine et formées par nos soins aux technique de renseignement, elles entreront en Loduarie sous la forme de réfugiées lesbiennes fuyant la répression de leurs mœurs. Vraies lesbiennes et vraies agentes, elles se serviront du « milieu » qui existe certainement en Loduarie comme partout pour tisser un réseau d'information sur place et nous donner des yeux sur la Loduarie plus populaire, moins directement gouvernementale.

  • Moyens
    Le Plan Rose étant considéré comme prioritaire dans ses moyens et sa réalisation, toutes les structures d'influence sont disponibles en réserve pour entrer en action le cas échéant. Cela dit, ce plan ne devrait pas avoir besoin de soutiens matériels importants une fois les réseaux constitués.
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    logotype de la DDSE

    ACTIONS D’INFLUENCE MINEURES - Collecte d’informations sensibles classées secret défense.


    Gwenaëlle Kergoson a été invité par le commandant du Centre Pénitencier de la Région de Dolinne pour une croisière à la voile en Golfe de Francie.
    Les services secret de S.E. le Duc de Gallouèse tentent leur premier « coup » dans cette opération de renseignement baptisée Zunans (c’est-à-dire « surveillance » en Gallo). Leur but est de déterminer la stratégique régionale loduarienne en se penchant sur un cas précis : les manœuvres militaires de septembre 2009.


    Pays infiltrant: Duché de Gallouèse
    Pays infiltré: Nation Communiste de Loduarie
    Prévisionnel de la date (RP) de l'action: 1er septembre 2011

    Contexte : Afin d’anticiper ses futurs politiques régionales et de prévoir au mieux sa capacité de défense, des agents gallèsants sont présents en Loduarie depuis le 11 février 2011 et constituent un réseau tâchant à la collecte d’informations sensibles. Par ailleurs certains agents locaux avaient été recrutés en amont de l’opération (2009). Ils enquêtent depuis plusieurs mois sur la destruction du camp de Jiluine, secrètement transformé en camp d’extermination par la Loduarie entre 2007 et 2009, et détruit depuis dans le cadre d’une opération militaire. Ils ne s’attendent pas à trouver un tel secret.

    Objectifs:
    • Obtenir une copie du document « Ordre de mission n°44-E3 » (trois feuillets) émanant du Département d’Espionnage Loduarien (DEL).
    • Obtenir du Commandement Loduarien du Centre Pénitentiaire de la Région de Dolinne les documents classés secret dans la comptabilité 2007-2009 de l’archipel (c’est-à-dire ceux qui attestent du décès de l’intégralité des pensionnaires de la prison de Jiluine en deux ans).

    Réussite majeure : Les deux documents sont subtilisés sans que le réseau d’espionnage gallèsant ne soit inquiété. Tous les agents passés à l’action conservent leur poste. L’opération laisse très peu de trace car exécutée sans encombres, les documents ayant été copiés puis restitués.

    Réussite mineure : Les agents gallèsants découvrent l’existence du camp d’extermination par le biais de la subtilisation des documents. Certains peuvent cependant manquer à l’appel. De plus, l’action est imparfaite et laisse des traces (comme un document qui disparaît). Enfin, l’implication du Secrétaire Général Loduarien dans le massacre n’est pas prouvée.

    Échec mineur : Le réseau découvre bel et bien que les prisonniers ont été exécutés et que Jiluine a servi de camp d’extermination. Mais aucune preuve matérielle n’est obtenue et des agents ont dû pour cela être démasqués.

    Échec majeur : Les agents impliqués y compris Thémond Graviot sont repérés, ceux ayant été impliqués directement sont arrêtés (ou tués, à l’appréciation de The Soviet). Aucun document n’est subtilisé et aucune information n’est dérobée. Le réseau d’espionnage gallèsant est gravement endommagé.

    Enjeu:
    • Obtenir la preuve que la Loduarie Communiste a mis à mort sans jugement 34 576 pensionnaires du centre pénitentiaire de la Région de Dolinne entre 2007 et 2009.
    • Obtenir la preuve que le Camp de Jiluine a été un camp d’extermination, dédié à la tâche de la mise à mort massive.

    Identification des cibles :
    Province #21535 (Dolinne)
    Province #22922 (Lyonnars)

    Moyens engagés :
    • Le réseau de la DDSE en Loduarie, implanté à la fois à Lyonnars et à Dolinne, dirigé par l’agent "Pissenlit" opérant sous le nom de Thémond Graviot et vétéran de la campagne au Magermelk. Trois autres agents sont concernés : deux infiltrés gallèsants à Lyonnars et un local à Dolinne.
    • Les services consulaires et la représentation diplomatique gallèsante, présente dans les deux villes, sert de camp de base aux opérations. Ce qui est très risqué : en cas d’échec, il sera plus aisé pour le DEL de remonter à la source.

    Mode opératoire : Il y a deux théâtres, aux objectifs initiaux distincts.

    1. À Lyonnars, Pissenlit et deux subalternent enquêtent sur les objectifs militaires de la Loduarie et plus particulièrement les manœuvres frontalières de 2009.

    L’agent "Pissenlit"(sous la couverture de Thémond Graviot) et ses deux subalternes postés à la résidence du Secrétaire Général Lorenzo Geraert-Wotjkowiak cherchent à déterminer les objectifs stratégiques de la Nation Communiste de Loduarie et les raisons des manœuvres militaires surprises menées à la frontière gallesante en 2009 dans la région de Dolinne. Ils vont ainsi dans leur recherche identifier les ordres d’extermination des prisonniers de Jiluine. Ils ont infiltré très superficiellement la Demeure du Secrétaire Général à Lyonnars. Ils vont tenter d’avoir accès aux archives des notes émanent du secrétariat et de les copier avant de les remettre en place. Les documents concernés par cette opération sont les 3 feuillets du DEL ainsi que l’ordre de tir de 2009.

    Dans cette manœuvre, aucun des trois infiltrés n’auront d’accréditation légale pour consulter ces documents, ce qui rendra leur tâche plus difficile. Il sdevront agir en secret en déjouant la sécurité paranoïaque des loduariens.

    Le stratagème employé sera donc le suivant : depuis son arrivé, une directive interne stipulant en Loduarie que les étrangers doivent être étroitement surveillés, Thémond Graviot, très actif depuis son arrivé, est suivi jours et nuit. Il est suspecté par les autorités loduariennes. Il compte s’en servir à son avantage. Le jour de l’opération, il sera à la demeure du secrétaire général pour une rencontre, la sécurité sera donc sur le qui-vive. Cela laissera plus tranquille les deux autres agents (membres du petit personnel, comme mentionné dans les posts précédents) pour déclencher l’alarme d’évacuation et copier le plus de documents possible avant la remontée des services de sécurité. Graviot tentera pendant ce temps de fausser compagnie à ses toutous le plus possible, faisant croire à un mauvais tour de sa part mais sans jamais rien faire de répréhensible.

    2. À Dolinne, Gwenaëlle Kergoson essaye de récupérer la comptabilité manquante sur la période 2007-2009 des mains directes du directeur de la prison.

    L’agent "dormant" Gwenaëlle Kergoson est une comptable loduarienne vivant à Dolinne depuis toujours. Elle a épousé la cause gallèsante en 2008 et dors pour la DDSE depuis 2009. Elle a été réveillée afin de découvrir les causes de la destruction du camp de Jiluine et les conditions de sa disparition, en lien avec les manœuvres de 2009. Elle travaille actuellement dans le bureau du directeur du Centre Pénitentiaire de la région de Dolinne où elle inspecte la comptabilité des différents services au nom du commandant de la prison. S’entendant bien avec lui, ils sont tous les deux en mer pour une petite croisière à la voile, des vacances avant de reprendre le travail. C’est à cette occasion que Kergoson va tenter d’obtenir l’autorisation de consulter les documents secrets défense.
    Ses arguments :
    • elle ne peut pas faire la comptabilité avec un trou de deux ans sur un centre aussi grand que celui de Jiluine.
    • La confiance qu’il lui porte et le travail exemplaire qu’elle fournit.
    Les contres arguments qu’il pourrait opposer :
    • Le sens du devoir et le respect minutieux du protocole, pour un militaire c’est important.
    • La volonté de ne pas l’impliquer dans des histoires sombres.
    • La suspicion est enfin toujours envisageable mais serait néanmoins étrange.
    Une fois les documents en sa possession, c’est à dire des preuves chiffrées (comme la morgue, par exemple) elle fera son travail, sans oublier de copier les pièces intéressantes et de la transmettre au Duché.

    3. Le rapatriement des documents

    La DDSE use toujours de moyens excessivement complexe fantaisistes et surannés pour transmettre des documents confidentiels du réseau au ministère de l’intérieur. Ici, les photographies des documents seront placées dans des lieux anodins sur des routes de campagnes repérées par les agents en amont. Des agents employés à l’ambassade de Gallouèse à Ligert et au Consulat de Gallouèse à Dolinne viendront relever le courrier et le placerons en valise diplomatique, où il sera garanti d’arriver complet au pays.

    Influence "Réseaux clandestins" de Gallouèse à Lyonnars et DolinneÀ Lyonnars
    À Dolinne
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    Le 20 septembre 2011 - Demeure du Premier Secrétaire.

    From Loduarie with Love
    Fuite de documents : l'administration loduarienne pourrait être compromise.


    On pourrait parler du charme délicieusement surannée de la vieille Eurysie si les conditions et le contexte n’étaient pas si sombres. C’est pourtant un dispositif pouvant rappeler les heures les plus froides du siècle précédent qui s’est déclenché en Loduarie, résultat d’une longue préparation d’intelligence humaine.

    L’opération, pour être très ambitieuse et viser le cœur même de l’administration Loduarienne, s’est déroulée d'abord sans problème notable. L'agent Pissenlit a pleinement profité de sa situation d'individu hautement surveiller pour... Ne rien faire de suspect. Quand l'alarme incendie fut déclenchée, occasionnant une certain panique et l'évacuation de la demeure du Premier Secrétaire, "Thémond Graviot" se contenta de suivre le mouvement, quoi qu'en traînant un peu la patte : il était en effet au milieu d'une très fascinante partie d'échec avec un haut gradé de la police politique. Les deux petites mains de l'opération purent profiter du chaos pour se saisir de plusieurs notes, certaines inutiles, la plupart émanant du DEL, ou correspondant à des ordres militaires passés sur le bureau du premier secrétaire.

    Pendant ce temps, à l'autre bout du pays, l'agent Gwenaëlle Kergosno mènera sa propre petite opération amenant à la récupération d'un certain nombre d'informations "chiffrées", sans rencontrer de difficultés notoires : sa couverture tient bon.

    Si les copies des différents documents seront transférés sans heurts jusqu'au ministère de l'intérieur, les évènements de le Lyonnar provoqueront tout de même une purge massive du personnel de la demeure du premier secrétaire : il semblerait que des documents aient disparus dans l’agitation. (l'élimination d’agents durant la purge est laissée à la libre appréciation des joueurs). Du reste, malgré la profusion de preuves récupérées, rien ne semble démontrer clairement l’implication du dictateur loduarien dans la construction du camp d’extermination.

    Staff a écrit :Action clandestine arbitrée en victoire mineure, enregistrée sous le n° 62884 du site ventsombres. / Détails de l'action

    62 - 100 Réussite majeure : Les deux documents sont subtilisés sans que le réseau d’espionnage gallèsant ne soit inquiété. Tous les agents passés à l’action conservent leur poste. L’opération laisse très peu de trace car exécutée sans encombres, les documents ayant été copiés puis restitués.

    21 - 61 Réussite mineure : Les agents gallèsants découvrent l’existence du camp d’extermination par le biais de la subtilisation des documents. Certains peuvent cependant manquer à l’appel. De plus, l’action est imparfaite et laisse des traces (comme un document qui disparaît). Enfin, l’implication du Secrétaire Général Loduarien dans le massacre n’est pas prouvée.

    11 -20 Échec mineur : Le réseau découvre bel et bien que les prisonniers ont été exécutés et que Jiluine a servi de camp d’extermination. Mais aucune preuve matérielle n’est obtenue et des agents ont dû pour cela être démasqués.

    1 - 10 Échec majeur : Les agents impliqués y compris Thémond Graviot sont repérés, ceux ayant été impliqués directement sont arrêtés (ou tués, à l’appréciation de The Soviet). Aucun document n’est subtilisé et aucune information n’est dérobée. Le réseau d’espionnage gallèsant est gravement endommagé.

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    Une situation bien étrange


    La frontière entre les deux nations à vécu des troubles par le passé, des troubles pas si lointain. Alors le gouvernement du Royaume de Teyla surveille particulièrement les mouvements de la Loduarie Communiste. Le gouvernement suite aux divers exercices militaire frontaliers avait répondu par des exercices aussi, mais aussi par un contrôle aux frontières renforcés et durs. Le "problème" dans cette histoire, c'est que le gouvernement n'avait pas changé la dureté des contrôles malgré le fait que la Loduarie Communiste se soit calmé dans sa politique extérieure. Mais le Royaume voulait bien plus. La déclaration du Premier ministre il y a dix jours était très claire :

    -Nous demandons des explications quant aux exercices militaires sans nous avoir prévenus au préalable. Cela est peut-être une question minoritaire pour Lorenzo Geraert-Wojtkowia. Mais cela est une question primordiale. Le Royaume demande une réponse claire, précise et franche. Si nous ne sommes pas satisfaits sur ces trois points, alors la situation à la frontière restera la même. C'est pourquoi nous avons décidé en Conseil des ministres de prolonger les mesures d'urgence vis à vis des Loduariens voulant passer la frontière. Vous l'avez compris mon gouvernement reste et restera ferme face à un régime qui ne fut pas respectueux envers le peuple de Teyla et qui a mis en danger la vie de nos citoyens.

    Au vu des événements à la frontière en ce 21 septembre, le Premier ministre voulait visiblement que la situation n'évolue pas. Les postes frontaliers du côté du Royaume de Teyla ont été renforcés par des défenses durant la nuit. Barbelés, sacs de sable, force spéciale et mitrailleuses lourdes en plus d'un survol d'un hélicoptère de la police. Il est clair et net que le gouvernement augmente la pression à la frontière avec la Loduarie Communiste. Quelques heures, plus tard, un communiqué arrive de la Résidence Faure, lieu de travail du Premier ministre.

    Résidance Faure a écrit :
    Actualisation de la situation à la frontière Loduaro-Teylaise.

    Le gouvernement du Royaume de Teyla sur conseil, a pris la décision de renforcer les moyens préventifs aux postes frontaliers pour faire face à toute tentative d'attaque. En effet, Le Royaume de Teyla alerte quant au risque terrorisme qui est fort et augmente. Cela amène le gouvernement à prendre les mesures nécessaires pour la protection de la population tout en garantissant toujours la libre circulation des populations et l'état de droit.

    Le gouvernement de Teyla proposera à la Loduarie Communiste, dans les jours prochains, sa volonté pleine et sincère d'une coopération sans faille dans la lutte contre le terrorisme régionale. Le sujet du terrorisme doit dépasser les velléités que peuvent avoir différentes nations. Le ministre de l'Intérieur avec le soutient plein et entier de tout le gouvernement le partage des fichiers concernant les personnes ayant commis des actes terroristes en plus d'un fichier commun pour partager tous les nouveaux enregistrements dans la base de données pour toute activité liés au terrorisme ou au crime organisé.
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    Qu'est ce qu'on fout là ?
    Ces mots résonnaient dans la tête des 1000 soldats Chérchéres fidèles au gouvernement de Lénisk, le dictateur de la Chérchérie. Cela fait plusieurs mois qu'ils poirautent dans la capitale Lyonnars, en attendant le futurs ordres qui ne sembleront pas arriver.
    Dans un des appartements d'un immeuble dans la capitale, trois hommes étaient assis, et discutaient de la situation, sans une certain dégout de la situation.


    "La glorieuse Mère patrie ! Ma parole qu'elle est déjà morte ! Qu'est ce que l'on fout dans ce trou à rat ? Les loduariens savent qu'on doit reprendre la Chérchérie ou bien nous préparer un camp de vacance ?

    "Calme toi Lasbos. Le secrétaire Général sait ce qu'il faut faire. Il va surement nous envoyer dans peu de temps, il faut juste être patient. "

    "Parle pour toi Ivan. Tu sais au fond de toi que Lasbos à raison. La Loduarie cherche juste ses intérêts, elle s'en fout royale de nous. Nous auront dû nous cacher en Chérchérie plutôt que d'obéir au gouv..."

    "Lasbos, Dorian, ressaisissez vous ! La Mère Patrie à besoin de nous ! Il ne faut pas abandonner ! C'est elle qui nous guide vers la victoire et vers l'Union Mondiale Communiste ! Nous gagnerons qu'importe le temps qu'il faudra ! ce n'est pas parce qu'en Chérchérie nous avons perdu que pour autant nous perdrons ! De plus, nous avons reçus des informateurs en provenance de la Rache, une organisation terroriste en Tcharnovie, nous avons une chance de gagner cette guerre !"

    Comme l'a si bien dit Drucarte, célèbre Philosophe Tchére, "Aucun peuple ne se perd, tout se remplace, tout se créer et tout se conserve". Est-ce toujours le cas aujourd'hui ?
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    Discours officiel de la Duchesse de Sylva, Alexandra Boisderose.


    Le Duché s'est offusqué suite à l'annonce loduarienne concernant la surveillance des abords de la Nouvelle-Canaan, après quoi il s'est exprimé sous la voix d'Alexandra Boisderose :

    "Alexandra Boisderose" a écrit :Le 6 février 2012, la Loduarie Communiste a annoncé sous des prétextes de sécurité, établir une opération de surveillance frontalière particulièrement intrusive au niveau de la Nouvelle-Canaan. Cette opération est d'une part notablement en violation avec souveraineté de la Nouvelle-Canaan, mais d'autre part justifiée par de maigres explications.

    Tolérer cette manœuvre, c'est tolérer la paranoïa et l'intrusivité qui en découlerait. Aucune menace à la stabilité n'émergeait de cette nation, aussi marginales soient ses coutumes et discutables les conditions humaines sur place. C'est dans ce sens que le Duché clame haut et fort condamner une telles exactions et appelle la Loduarie Communiste à cesser cette manœuvre indécente.

    J'en appelle en effet à la raison et à la clairvoyance sur le futur. Cette attitude antagonise d'office la Loduarie Communiste et entretient des tensions, voire pire, en fera naître de nouvelles. Et si je suis loin de formellement affirmer ses intentions, je questionne malgré tout la volonté derrière ce plan, quels desseins nourrit donc ce prétexte ? Si la stabilité était déjà établie, après quel autre objectif peut donc se tourner la Loduarie ?
    Et si les craintes à l'égard de la stabilité étaient sincères et fondées, ce n'est pas imposer ce filtrage outrageant et illégitime qui résoudra la question, bien au contraire. C'est par le dialogue que doit se résoudre ce sujet, la moindre tentative de l'initier a-t-elle été faite et approfondie ? S'entendre a-t'il juste été envisagé avant d'user de la force et d'imposer cette mesure ?

    Si tout cela est une erreur frappante, elle reste réversible et il est encore bien largement temps de revenir sur cette déclaration.
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    Déclaration de la Hiérophante suite à celle de l'Etat-Major de la Nation Communiste


    Canaan


    ( Annonce radio-diffusée sur la fréquence internationale )

    Toi, Barbare Loduarien;

    Tu es comme le serpent, et chacun de tes mots porte en lui le venin du mensonge.
    Tu es comme le loup, qui remue la queue pour mieux mordre la main qui se tends vers toi.
    Tu es comme comme le crapaud, secrètement enduit de poison.

    Je me défie de toi comme d'une maladie invisible et pourtant mortelle qui flotterait dans les airs. Mais je ne te crains pas. Car le Seigneur envoi pour moi ses Anges fouler du pieds les lions et ôter les serpents de mes chevilles. J'ai fait de son ombre ma forteresse.

    Tes chars, tes missiles, tes avions et tes navires ne me sont rien.

    Demeure à mes frontières pendant des siècles et des siècles. Tu sera mort depuis longtemps que Canaan existera toujours. Tes manigances ne pourront jamais nous empêcher de rejoindre nos Nations Sœurs.

    Hiérophante Lucia
    668
    Déclaration de la Hiérophante suite à celle de l'Etat-Major de la Nation Communiste


    Canaan


    ( Annonce radio-diffusée sur la fréquence internationale )

    Barbare Loduarie,

    Croise dans les eaux communes du Golfe tant que tu le souhaites. Exhibe ta force tant que tu le voudra. Cela nous importe peu. Mais saches que sous les eaux que tu arpentes se trouves nos saintes celesticétacées qui se reposent ici avant la reprise de leur migration. Le plus grand nombre restent proches de nos cotes, mais un petit nombre nagent dans les eaux au centre du Golfe.

    Nous t'interdisons de les pêcher, de les chasser, de déranger leur existence. Se serait un affront volontaire quant à nos lois, nos traditions, nos croyances.

    Si tu souhaites apaiser les tensions entre nos deux Nations, alors respecte cette exigence.


    Lucia
    2812
    Après plusieurs minutes d'un intense stress et alors que les mailles du déploiement aérien tanskien commençaient à se refermer tandis que l'aviation teylaises commençait à se déployer pour assure conjointement la sûreté du territoire, les appareils loduariens entamèrent de nombreuse interactions avec le contrôle aérien tanskien et avec les appareils en l'air.

    Le message était clair bien qu'il surpris rapidement la force tanskienne, les Loduariens acceptaient l'escorte sur un aérodrome tanskien. Entourant par l'avant, afin de guider les loduariens mais aussi en signe de confiance, et par l'arrière afin d'éviter tout signe qui serait mal interprété, la flottille tanskienne se mis en route vers la base aérienne de Kalfafell afin de permettre aux appareils loduariens de se poser.

    En direction de la base aérienne, les informations furent transmises aux pilotes loduariens. Leurs appareils se poseront dans un coin isolé de la piste. les pilotes seront limités dans leur mouvement au sein de la base afin de ne pas en visiter des secteurs dangereux. Pour se faire, ils seront mis dans une zone sécurisée. Il s'agit d'un baraquement tanskien vide mais disposant du confort nécessaire à la vie d'un soldat. Ils seront toutefois autorisés à communiquer librement avec les autorités loduariennes tandis qu'un contact d'urgence sera effectuée avec l'Etat-Major Loduarien afin de clarifier la situation. Aucun tanskien ne s'approchera des appareils loduariens, exceptés les gardes qui doivent assurer aux pilotes la bonne compréhension de leur zone de confinement temporaire.

    Les appareils loduariens n'auront autorisation de redécoller qu'une fois l'appel effectué et la situation clarifiée. Tout décollage non autorisé sera immédiatement abattu par la défense anti-aérienne ainsi que par les appareils tanskien en protection aérienne. En guise, la encore de bonne foi, l'information est transmise aux pilotes loduariens et sera aussi transmise à l'Etat-major loduarien dès que les communications d'urgence débuteront.

    Pendant ce temps, dans les airs, la police du ciel tanskienne sera renforcée par une présence continue d'au moins 6 appareils, la mise en alerte pour décollage sous 5 minute de tous les autres appareils tanskiens dans la région. les pilotes étant confinés à dormir à proximité directe de leur appareils de même que les équipages de réserve devant assurer la police aérienne. Les unités de la 1e brigade restent en alerte, les forces au sol ne sont nullement mobilisées. Les mesures prises sont restreintes aux bases dans leur diffusion.

    Une fois l'accord pour redécoller obtenu, les appareils loduariens seront autorisés à redécoller un par un jusqu'à la sortie du territoire tanskien. Chaque appareil étant escorté par deux appareils tanskien par mesure de sécurité. Aucun appareil loduarien ne pourra décoller tant que celui en l'air ne sera pas hors du territoire. Si un appareil loduarien sorti de l'espace aérien fait demi-tour, la mesure de sortie des appareils s'arrête, le clouage au sol des appareils reprend et toute tentative de décollage sera perçue comme un acte d'agression et abattu sur la piste ou dans les airs. Ces précisions sont transmises aux pilotes loduariens afin de clarifier les mesures et d'éviter les mauvaises compréhensions.

    Message secretInformation secrète réservée aux personnes autorisées
    1509
    Cela ce passe principalement avant l'atterrissage des avions Loduariens à Tanska.


    Dans le ciel Teylais à la frontière avec la Loduarie.

    -Ici WIko 1, nous détectons quatre chasseurs loduariens, ils ne semblent pas vouloir dépasser la frontière. Ils nous suivent.

    -Reçu

    La discussion était franche à l'état-major, alors que le ministre de la Défense venait de rejoindre les lieux. Pour une partie des officiers présents, c'est l'occasion de tester les limites militaires du régime de Lorenzo et qu'on sache les réactions de celui étape par étape. Selon les officiers défendant cette thèse, cela permettra de savoir en détail lors des futurs moments tendus si on va vers la guerre ou juste un défilé militaire dans les airs de la part de tous les acteurs de la région.

    D'autres officiers défendent qu'il ne pas faire plus en attendant les informations de Tanska. Le Royaume de Teyla a soutenu pleinement son partenaire, il faut maintenant attendre. D'autant plus que si la Loduarie accepte d'atterrir à Tanska alors le régime de Lorenzo aura subit une défaite à travers sa faiblesse. Toutefois, c'est au ministre de la Défense de décider ici qui communique sur un canal sécurisé avec le Premier ministre. Les deux ont tranché.

    -Wiko 1 vos ordres sont : Angel 3, écarter. Wiko 4 et 5 vont vous rejoindre, vos ordres sont toujours les mêmes, n'engager pas les cibles. ( traduction : Altitude à 3 000 mètres, formation large )

    Quelques minutes plus tard :

    -Wiko 1 vos ordres sont : Formation en V. N'engager pas les cibles.

    Les trois avions retourneront à leurs bases une fois que Tanska aura informé Teyla que les pilotes ont obéit aux demandes de Tanska. Toutefois ils resteront dans le ciel si Teyla observe que les avions Loduarien restent à la frontière une fois que les chasseurs teylais s'éloigneront.
    0
    Qui a la plus grosse?

    09/07/2012, Loduarie Communiste.

    Deux navires kolisiens sont en route pour venir se poster à quelques centaines de kilomètres des côtes loduariennes. Pas assez pour être en danger mais juste assez pour être bien en vu des autorités maritimes. Escortées par des sous-marins, les deux corvettes kolisiennes prennent place en mer et se prépare à tirer. Il faut dire que si il y a bien une chose auquel Kölisburg tient c'est la stabilité de l'Eurysie Occidentale et, la loduarie l'a prouvée, elle constitue une menace. Kölisburg ne peut tolérer un tel affront et d'ailleurs, dans la presse des pays alentours ont dénoncer déjà les actions de la loduarie et la menace qu'elle représente.

    Souvent considérée par les gouvernements de la confédération comme "le pays de l'est à l'ouest de l'Eurysie" ou encore "L'intrus" voir même "L'enfant bâtard de l'Eurysie occidentale", la loduarie n'a pas franchement très bonne réputation au sein de Kölisburg y comprit pour les plus fervents communistes. En effet, la situation de la loduarie en Eurysie Occidentale a même été jusqu'à entacher l'image des communistes kolisiens qui ont perdu beaucoup de leurs soutiens en plus d'entamer une chute libre dans les sondages. Conscients de cela, ils ont tentés de rattraper le coup en se détachant des actions de la Loduarie mais voilà, l'échec est là.

    Par contre, pour les gouverneurs kolisiens l'affaire est plus grave car la Loduarie en elle-même représente une menace et l'instabilité de la région. Engagée à l'est dans différents conflits, la loduarie ne se cache plus d'être un régime communiste qui veut la guerre. Or, si il y a un jeu qui est apprécié en Kölisburg c'est bien celui du chat et de la souris. Quand le chat n'est pas là, la souris danse. Il est deux heures du matin. Les corvettes sont armées et on attend l'ordre de l'amiral.

    FEU!

    Les premiers tirs. En revanche, ces tirs ne sont pas en direction des côtes loduariennes. Ce ne sont même pas des tirs d'obus en fait, non, en réalité ils partent vers le ciel puisqu'il s'agit de tir de feux d'artifices. Pour faire plaisir à la population tout en avertissant les autorités loduariennes, le gouverneur de Littarg a proposée cette idée. De cette façon, le message est clair : Cette fois ce sont des tirs de feux d'artifices, la prochaine fois ces tirs seront des tirs d'obus et ils seront non pas verticaux mais bien horizontaux.

    Pendant 7 minutes c'est un joli feu d'artifice qui a donc prit place à une centaines de kilomètres des côtes loduariennes avant que les navires ne repartent de là où ils étaient venus. Les marins à bord qui ont tirés ces feux d'artifices bien que n'ayant aucune formation sur l'art d'être artificier, espèrent avoir conquis le coeur des louduariens et leur avoir offert un joli spectacle.


    https://zupimages.net/up/24/01/4np8.png

    CETTE ACTION EST NON-CONFORME EN VERTU DES RÈGLES SUR LA PROTECTION DES NOUVEAUX JOUEURS ET EST DONC ANNULÉE. CEPENDANT, JE PLACE MON ACTION SOUS BALISE IGNORE ET CES BALISES POURRONT ÊTRE LEVÉE SI JE DÉCIDE UNE FOIS MA PROTECTION FINIE QUE CETTE ACTION DOIT AVOIR LIEU.
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    Un déplacement anodin,
    08/08/2011,
    Vers la frontière Loduarienne-Teylaise



    Lorsque Corentin et Marie se lèvent en pleine nuit, aux alentours de deux heures du matin, les deux protagonistes de notre histoire sont fatigués, mais aussi prit d'un sentiment intérieur lié au danger. Un sentiment faible, alors que regardant par la fenêtre, les deux protagonistes sentaient la fraicheur d'une nuit calme et fraiche d'été. Corentin regarde le chien, puis demande à sa compagne :

    – Tu es prête ? Et pas d'arme, c'est compris ?

    – Mais pourquoi si on se fait choper, on ne va pas se laisser faire contre ses raclures ? En plus rien ne devrait nous arriver, il fait nuit, je doute que les communistes soient encore à quadriller toute la frontière.

    – Bah justement, tu n'en auras pas besoin s'il n'y a personne, repose cette carabine avant qu'un drame ce passe. Je n'aime pas que tu sois armée, tu le sais très bien. N'oublie pas la pelle à propos.


    Alors la compagne de Corentin pose le fusil sur le lit sans aucune sécurité, cherche durant deux minutes la pelle, elle l'attache sur son sac de randonné tant bien que mal. Pendant ce temps, Corentin ferme la fenêtre, prend son téléphone, met la localisation et regarde sur une application le parcours qu'il faudra faire après avoir marqué les coordonnées. Il lâche un "putain" au vu de la distance à parcourir, mais il est confiant quant à sa réussite, leur réussite se reprit en regardant sa petite amie.

    Les deux protagonistes se mettent en ordre de marche et commencent ainsi leurs parcours à pied. Fort heureusement pour eux, ce sont des habitués de la marche, ils vont parcourir les cinq kilomètres en trente minutes environ pour l'aller, le retour cela dépendra de leur envie. La femme se calque sur le rythme de Corentin pour ne pas le laisser derrière, tout en ouvrant la marche avec la lampe torche de son téléphone portable allumée. Une fois arrivée sur les lieux, sans dépasser la frontière pour le moment, les deux personnages regardent aux alentours et l'homme dit tout en se tenant les genoux en étant penché pour reprendre son souffle :

    – Tu vois quelque chose chéri ?

    – Oui, là-bas, je vois l'objectif. Encore une dizaine de minutes afin de déballer les outils et de basculer dans l'illégalité. J'éteins la lampe torche.


    Lumière éteinte, les deux protagonistes vont vers l'objectif et commencent à creuser. Heureusement pour eux, le Royaume de Teyla n'avait pas remplacé l'objectif et il fut assez léger et peu enterré dans le sol dont une partie était en bois. Une fois l'objectif libéré de la terre, les deux personnes vont creuser un trou quatre cents mètres plus loin dans la plaine. Il ramène l'objectif et le plante dans la Terre. Ils se disent qu'ils ont bien "niquer et baiser la Loduarie et rendu fier le Royaume de Teyla", qui est de toute évidence n'est pas au courant de cette histoire. Ainsi, ils repartent chez eux, le sentiment du devoir accompli.

    Ainsi le Royaume se réveillera avec quatre cents mètres de frontière en plus, car Corentin et Marie ont passé leur nuit à déplacer un panneau annonçant la frontière Loduarienne-Teylaise dans une plaine...
    MAE

    Meurtre de deux citoyens Teylais par des soldats Loduariens (10 août 2012)

    La République Fédérale de Tanska a appris avec effroi la nouvelle de l'assassinat, par des soldats de la Loduarie Communiste, de deux citoyens Teylais.

    Il est regrettable que le gouvernement de la Nation Communiste de Loduarie se soit abaissé à des propos aussi bas et ridicules - insultant les citoyens, le gouvernement et la nation teylaise et en se dévalorisant davantage lui-même et le pays qu'il représente par cette occasion.

    La République Fédérale de Tanska condamne cette action démesurée de la part de la Loduarie Communiste. Mais là encore, nous ne devrions pas du tout être surpris étant, avec le Royaume de Teyla, une nation et un peuple jouissant des privilèges des droits et des libertés que permettent nos sociétés démocratiques, qu'un gouvernement et un système politique incompatible avec nos modes de vie, avec la notion de justice, avec l'idée de démocratie, avec la possibilité d'accorder des droits à sa population, et qui use aussi régulièrement de la violence déraisonnée contre sa population et des civiles étrangers comme de la propagande et de la désinformation, ait agit de la sorte à l'encontre des deux citoyens Teylais.

    Cette action est condamnée avec la plus grande fermeté mais ne surprend pas pour autant tant elle est conforme à la nature du gouvernement de la Loduarie communiste : des meurtriers. Les déclarations du gouvernement sont conformes avec ce discours. La République Fédérale de Tanska et le monde ne doivent pas s'attendre à davantage.
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