23/12/2016
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ARTS


LES ROSILLAS DANS L'ARCHITECTURE ALGUARENO



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Les rosillas sont un élément architectural caractéristique de l'héritage colonial de l'Empire d'Arobelas.


Le contexte historique de leur apparition, ses influences sud-eurysiennes hispaniques.

L'Alguarena, même en sa qualité de première puissance mondiale, reste fondamentalement un état conditionné par l'Histoire mondiale et l'héritage colonial en provenance du Vieux Continent eurysien. Les cultures natives de Paltoterra, véritable berceau civilisationnel intégré à l’Histoire mondiale, sont par conséquent et en différents endroits, marquées du passage de l'Empire d'Arobelas, état colonial millénaire ayant défiguré ou bien dirons-nous modelé, une partie de la Paltoterra à son image. Un passage notamment marqué par l'architecture émergente du XVIe siècle. Parmi ces éléments que l'on pourrait dire "introduits" par les colons hispaniques sud-eurysiens figure la rosilla, un dispositif architectural inspiré des traditions sud-eurysiennes et nord-afaréenne. En effet, dès le moyen âge dans le sud-eurysien, les rencontres entre les civilisations nord afaréennes et sud afaréennes recomposent l'architecture locale, la noblesse se targuant de pouvoir faire venir les meilleurs architectes et les meilleurs produits du monde (ici nord-afaréens) pour faire de leurs villas des éléments architecturaux à part dans la société impériale sud-eurysienne.

Les rosillas, éléments architecturaux atypiques, répondaient alors à des objectifs esthétiques et pratiques, en allant d'abord arborer une conception unique en son genre pour le terroir sud-eurysien et donner une forme d'intimité à la famille des nobles les intégrant à sa villa. Dès lors, il n'est pas rare d'apercevoir ces maisons nobles intégrer des balcons fermés et des treillages de bois finement sculptés, hérités de la tradition islamique nord-afaréenne. Ces balcons grillagés, connus dans le sud-eurysien sous le nom générique de miradores, permettaient aux habitants de voir au-dehors tout en préservant leur intimité. Un art mauresque du "voir sans être vu" qui a son importance par une fonction double et se voit adopté par la culture hispanique d'Eurysie du Sud, très largement représentée par l'Empire d'Arobelas. Naturellement, les conquérants et colonisateurs hispaniques ont diffusé ce savoir-faire architectural dans leurs colonies du Nouveau Monde après leur installation et l'Alguarena, colonie archipélagique, n'échappe pas au principe. Le pays, doté d'un climat tropical, offrait un terrain idéal pour transposer ces balcons nord-afaréens, pour prévenir l'entrée de bêtes sauvages dans les étages des habitations et garder un espace ombragé pour contenir les fortes chaleurs.

Apparition des Rosillas à l'époque coloniale

C'est donc durant la colonisation hispanique de l'archipel paltoterran qu'apparaissent les premières rosillas au sein de l'architecture locale. Le terme rosilla désignera également ces balcons clos par une persane de bois ou de fer forgé, rappelant l'esthétique nord-afaréen tout en s'adaptant au contexte local, une réappropriation utile étant largement permise eu égard aux conditions de vie sur place comme décrit précédemment. Dès le XVIIe siècle, les grands marchands, les administrateurs coloniaux et les autres notables font édifier des demeures inspirées des palais sud-eurysiens, incorporant des patios intérieurs et des balcons protégés, calfeutrés. Ces rosillas ornent notamment les façades des maisons seigneuriales dans les villes coloniales d'Alguarena, marquant un mélange de styles eurysiens et nord-afaréens. Construits en bois tropical local (notamment l'acajou) ou en métal, ces treillages s’inscrivent dans la continuité des "balcons à jalousies", une expression toute désignée pour caractériser ces points de vue occultés.

La volonté de ne pas voir se brasser les cultures hispaniques et natives paltoterranes, invitent d'autant plus la noblesse locale à recourir à ce balcon hors norme, pour éviter le mélange social et culturel, faisant de ce balcon fermé une véritable tradition. L'Alguarena, sans renier le berceau civilisationnel sur lequel elle s'est fondée, s'est appropriée à son tour ce concept importé : on y voit dès lors fleurir des rosillas sur les édifices coloniaux, symboles à la fois de prestige impérial et d'adaptation au climat local et ses contraintes.

Rôle et usages des Rosillas : voir sans être vu

La fonction des rosillas est double, comme nosu vous l'avons précédemment dit. Sur un plan social, elles répondent aux codes d'honneur et de pudeur de l'époque coloniale. Inspirées des moucharabiehs islamiques exportés de Nord-Afarée, les rosillas ont conservé cette fonction de permettre aux femmes de la noblsse, de regarder l'extérieur sans être vues ni accusées d'actes inconvenants. Les rosillas offrent donc aux dames de la haute société coloniale, la possibilité de profiter du spectacle de la rue en toute discrétion et sans jugement. A une époque marquée par la ségrégation des genres, des races et l'importance donnée aux convenances, ces balcons grillagés protègent utilement et valablement les femmes nobles des regards indiscrets et des "incommodités" sociales dont les femmes et filles pâtiraient directement mais aussi leurs maris et pères, si jamais elles étaient accusées d'observer avec lubricité des hommes en contrebas.

Les chroniques coloniales rapportent d'ailleurs que ces balcons étaient initialement envisagés pour soustraire les femmes aux regards voyeurs, tout en leur donnant l'occasion d'observer la ville en restant cachées. Une pensée hypocrite, convenons-en mais qui n'est pas nouveau. On retrouve ce principe jusque dans les églises coloniales : des tribunes discrètes à treillage permettaient aux abbesses et religieuses d'assister à la messe sans être visibles des fidèles masculins. Les rosillas deviennent ainsi un symbole de respectabilité et de raffinement : voir sans être vu, tel est leur leitmotiv, un reflet des mœurs d'une société coloniale où l'apparence et l'honneur priment, en premier lieu dans l'intérêt desp ères et époux nobliaux et bourgeois.

Résumer l'emprunt des rosillas à cette pensée de voyeurs serait toutefois trop réducteur. Sur le plan climatique et pratique, les rosillas constituent effectivement une réponse astucieuse aux conditions locales puisque l'Alguarena, comme il en est également question des terres de Nord-Afarée et de Sud-Eurysie, rencontre finalement un climat chaud et ensoleillé où la nécessité de ventiler les intérieurs et de tamiser la lumière est cruciale ou en tout cas un confort sur lequel les familles rattachées à la noblesse ne rechignent pas. Les panneaux ajourés des rosillas ont effet pour eux de filtrer les rayons directs du soleil et la chaleur tout en laissant circuler l'air frais à l'intérieur de l'habitat sans avoir à maintenir grandes ouvertes les fenêtres.

Ainsi, on rtient de ces balcons fermés qu'ils permettent de rafraîchir les habitations durant les journées torrides, tout en projetant une ombre bienfaitrice sur la façade. Contrairement aux balcons eurysiens ouverts, sans demi-mesure, "exposés au spectacle public", la version sud-eurysienne, à la croisée des mondes eurysiens et afaréens, occidentaux et orientaux, créée finalement un espace intermédiaire entre l'intérieur et la rue. Une sorte de loge hautement qualitative, ornementale et ombragée, où l'on peut s'asseoir à l'abri sans subir les regards ni l'ardeur du soleil. Comme l'explique un adage inspiré de l'architecture islamique d'Afarée du Nord, "le balcon eurysien est fait pour se montrer, le balcon nord-afaréen pour se cacher" et en particulier pour protéger les femmes des vues extérieures. Une lecture à double sens, entre d'un côté ces femmes soucieuses de ne pas être vues, mais qui s'offrent malgré tout le luxe de voir impunément quiconque déambuler dans la rue en contrebas. Une lecture à double sens qui vient en compléter une autre, puisque les rosillas alguarena offrent une solution architecturale orientées dans deux directions, la quête d'une intimité et d'un confort thermique.

Les atouts des rosillas :

  • Intimité et statut social : Elément d'architecture coloniale d'origine nord-afaréenne, la rosilla permet aux occupants (notamment les dames de haut rang ou leurs filles promises à un mariage ou non) d'observer la vie urbaine sans compromettre leur pudeur ni leur statut. A l'abri derrière la grille, elles peuvent profiter du plein air et des festivités de rues qui voient défiler les processions, corridas, etc..., sans être exposées aux regards ou à la promiscuité de la foule. Ce dispositif sert donc de "fenêtre privative" préservant l'honneur familial, d'où son surnom de fenêtre à jalousie, même si présentement elle viserait à s'en prévenir !

  • Ventilation et lumière tamisée : Sur le plan climatique, les rosillas ont également pur elles d'améliorer le confort des demeures. Le treillage ajouré casse les rayons du soleil, évitant l'éblouissement et la surchauffe des pièces en milieu de journée, tout en laissant entrer une lumière adoucie qui économise bougies et lanternes. De plus, la circulation d'air est maintenue : l'air frais vient s'infiltre par les ouvertures donnaient à la cloison de bois, permettant de rafraîchir l'intérieur sans ouvrir complètement les volets. En saison des (fortes) pluies, ces balcons filtrants permettent même de profiter de la pluie sans mouiller l’intérieur, puisque l'eau se voit en partie arrêtée par le grillage serré. En somme, la rosilla combine les avantages du balcon en permettant la vue, le renouvellement de l'air ainsi que le passage de la lumière sans les inconvénients.

  • Ornement architectural : Au-delà de leurs fonctions pratiques, les rosillas apportent une touche esthétique remarquable aux édifices, même des décennies après la découverte du monde et des arts nord-afaréens. Les dentelles de bois découpées ou de fer forgé constituent de véritables œuvres d'art qui enrichissent les façades coloniales et fournissent la preuvre d'un véritable savoir-faire. Importées par les artisans arobelos formés aux techniques nord-afaréennes faites de bois sculpté à motifs géométriques ou floraux, elles sont rapidement reproduites localement. Si bien qu'en Alguarena, les tailleurs de bois natifs ont incorporé leurs propres motifs traditionnels, avec l'émergence de formes végétales inspirées de la flore tropicale, des symboles natifs stylisés. L'emploi de ce stylisme permet aussi aux familles nobles de commander certains motifs allégoriques de leur famille, pour asseoir leur réputation. Chaque balcon agrémenté de sa rosilla devient une pièce maîtresse de la façade, embellissant la bâtisse.

Intégration locale et héritage culturel

Bien qu'iissue de la colonisation de l'archipel alguareno par l'Empire d'Arobelas, la rosilla a néanmoins durablement intégré le paysage architectural et culturel d'Alguarena au point de composer désormais un des éléments de patrimoine et constitutif de l'identité archipélagique. Au fil des siècles, les balcons grillagés sont en effet devenus le signe distinctif de bon nombre de maisons d'habitations que celles des seuls aristocrates, grâce aux procédés de fabrications industriels et à la généralisation de leurs formes ainsi qu'à la baisse de leur coût directement rattachés à sa production. On les rencontre dans les maisons de ville traditionnelles, chez les couvents ainsi que certains bâtiments officiels réalisés après l'indépendance, se dressant en ultime symbole de la manière dont la rosilla est devenue un bien appartenant, dans son utilisation comme dans sa diffusion, à l'archipel hispanique. Les architectes alguarenos du XIXe siècle, voulant réaliser un style de rosilla porteur d'authenticité pour l'archipel, pouvait alors marier traditionnellement les rosillas à des éléments de décoration autochtones. En milieu rural, par exemple, la construction de balcons à treillis en bambou ou en fibres végétales tressées a pu se faire, reprenant là aussi des savoir-faire artisanaux indigènes. Les motifs géométriques des rosillas coloniales vont également être réinterprétés alors même que des motifs natifs parfosi seront parfois directement liés à l'Empire mazati, le tout virant en un art hybride, dans un mouvement d'appropriation progressive signalant la malléabilité de cet élément, d'abord importé, mais désormais perçu comme intrinsèque à l’identité archipélagique de l'Alguarena.

D'un point de vue culturel, les rosillas ont aussi influencé les modes de vie puisqu'elles ont, en leur temps, favorisé l'émergence d'une sociabilité discrète. Il n'était pas rare sous cette époque que, derrière la grille ajourée, les membres d'une famille épient la rue et multiplient les commérages, après avoir commenté tout ou presque des événements du quartier, le tout sans être vus et transformant ces balcons en véritables loges d'observation. Une singularité qui vaudra d'ailleurs le deuxième nom de miradores pour les désigner, tant ils s'inscrivent dans une logique de voyeurisme sur un espace environnant. Outre cet aspect, des récits populaires évoquent des romances naissantes à travers le treillis, ou des voisins échangeant des nouvelles à voix basse de rosilla à rosilla, tirant parti de ll'état de semi-clandestinité qu'offrent ces balcons. Ainsi, la rosilla n'est quoiqu'il en soit pas qu'un ornement de façade : c'est un espace de vie et d'interaction sociale feutrée, reflétant l'esprit d'une vie communautaire portée en Alguarena. Une vie communautaire se faisant un mélange de pudeur héritée de l’Eurysie septentrionale catholique et de convivialité chaleureuse propre aux cultures nord-afaréennes.

En synthèse, l'apparition des rosillas dans l'architecture des bâtiments d'Alguarena s'explique par un contexte de colonisation hispanique où les colons ont importé le modèle nord-afaréen des balcons moucharabiehs, depuis adapté aux besoins de pudeur sociale, permettant de voir sans être vu, et de confort climatique dans un pays tropical. Au contact du riche héritage mazati, ces structures venues de Nord-Afarée ont été réinterprétées et intégrées localement, jusqu'à devenir un élément emblématique de l'architecture alguareno. Les rosillas viennent donc parfaitement illustrer le dialogue entre influences étrangères et tradition indigène. De quoi le faire figurer parmi les exemples réussis de métissage architectural et culturel, où l'on voit une pratique venue de l'Afarée via l'Eurysie, se fondre harmonieusement dans le décor et les moeurs d'une terre archipélagique. Les rosillas alguarenas, nées de la colonisation, sont ainsi devenues un symbole identitaire, témoignant que l’histoire d'un pays s'écrit aussi dans le bois sculpté de ses balcons.
ECONOMIE


TATANA – constructeur automobile.


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INFORMATIONS GENERALES

Nom de la société : TATANA
Secteur d'activité : Constructeur automobile, activités de conception ET production automobiles (SUV, berlines et citadines).
Siège social : Buezonte (Région du Gualao - ARCOA)
Effectifs : environ 2 800 salariés (hors sous-traitance) exclusivement présents en Alguarena.
Devise : "Innovar en silencio, defender en la sombra" (litt. "Innover dans le silence, défendre dans l'ombre").
Slogan : "Tatana : en tout temps"
Complexes industriels (hors sous-traitance) : 5 complexes industriels au travers des principaux sites que sont Buezonte et Atimalco.
Année de création : 1922.
Exportation : A définir via le graphique de Mesolvarde (LIEN)


CHRONOLOGIE PRINCIPALE

1920-1930 : A cette époque, l'industrie automobile était naissante, jusqu'ici formalisée par des concepteurs dont l'empire industriel tenait dans un garage ou un carport. Joaquín Vidal, ingénieur en mécanique formé en Eurysie, était l'un d'eux, rêvant de bâtir une voiture robuste adaptée aux routes et climats difficiles de l'archipel.

Dès 1922, il aménagea ce qui s'apparente à une petite usine, Rue del Seguillo à Buezonte. Un atelier "plus plus" pour maquetter et construire les prototypes inspirés de modèles eurysiens. Si bien qu'en 1925, fort de son expérience, il lança officiellement la marque Tatana (le mot "Tatana" vient d'un oiseau mythique qu'est l'ara rouge, symbole de raffinement et de liberté dans la culture native. La première voiture de série, la Tatana V-33, sortit en 1927. On pourrait la décrire sous les traits d'une berline cinq portes aux lignes anguleuses, équipée d'un moteur quatre cylindres de 35 ch. Pour l'époque, je vous prie de croire qu'elle offrait déjà un confort des plus appréciables, avec des suspensions assouplies ainsiq u'un freinage hydraulique. En ce qui concerne la vitesse, elle atteignait 75 km/h, considérant la qualité des routes de l'époque et l'infrastructure routière limitée, c'était clairement un record pour une automobile arcoane, et déjà notable pour l'automobile alguarena.

Années 1930 : Tatana continue d'innover, la mise en place d'une Fédération et de subventionnements mutualisés à l'échelle de l'ensemble des états fédérés faisant son effet. En 1931, l'ingénieur-chef Pedro Alvarez développa un bloc-moteur plus léger en alliage d'aluminium, ce qui va tout de même entrainer une réduction de poids (significative) de l'ordre de 10%, permettant à la V-33 d'atteindre 85 km/h, finissant de dominer le marché automobile de son époque. En 1933, la marque lançait plusieurs nouveautés pour justifier de nouvelles séries : un nouveau châssis plus rigide, une boîte de vitesses à quatre rapports et une carrosserie améliorée (ce qui eut pour conséquence directe d'offrir un coffre plus grand). Ces améliorations firent de la Tatana V-33 l'une des voitures les mieux finies du pays et disons-le sans ambages, l'une des plus en vue du secteur. Des innovations technologiques de taille, qui permirent de lancer plus facilement la Tatana Mini en 1934, un protoype de citadine pour répondre à la demande de voitures moins coûteuses, sous un rapprot qualité prix favorable. Il faut aussi avouer que dans le même temps, les infrastructures routières se développaient et les chemins cabossés devinrent peu à peu pavés, les modèles citadins tournés vers des trajets courts ou mieux aménagés, étaient un débouché tout trouvé pour le développement des ventes automobiles dans l'archipel.

Années 1950-1960 : La guerre albelo-alguarena, chamboule fortement l'activité du groupe. L'usine fut en effet partiellement réquisitionnée pour produire des véhicules utilitaires en vue d'équiper l'armée fédérale alguarena, qui entend faire acheminer un certain nombre de miliciens vers le front avec des équipements limités en nombre ou en tout cas largement réquisitionnés le long de la ligne de front. Ces productions sont principalement destinées à garantir le transport e troupes massivement mobilisées par les autorités, ainsi que l'entretien d'une flotte de véhicules sanitaires, soit des ambulances.

La guerre cédant sa place à la paix en avril 1952, l'usine réattaqua la deuxième moitié du XXe siècle avec une notoriété renouvelée, poussée par les récits de la Guerre et des batailles connexes qui l'ont jalonné. Si bien qu'en 1948, l'intérêt de l'institution fédérale s'étant définitivement confirmé, un programme de réinvestissement et de rénovation des outils de production Tatana se met en place, avec le concours des pouvoirs publics. La ligne de production et de montagesem odernisent, la capacité de production du groupe Tatana est telle, qu'il se place naturellement et facilement en acquéreur d'un nombre d'appels d'offres au départ de l'armée fédérale d'Alguarena, équipant celles-ci avec un certain monopole sur les décennies à venir.

La production civile en parrallèle ne décroche pas, la demande croissante ayant été anticipée par ces investissements. La légende et la robustesse Tatana était lancée, conservant par ailleurs son indépendance en refusant plusieurs offres de rachat d'industriels étrangers soucieux de s'implanter en Alguarena face à un marché automobile finalement très fermé aux industriels eurysiens.

Profitant de la croissance économique de sortie de guerre avec Albel, des appels d'offres favorables à ses activités et de la demande civile croissante, le groupe Tatana continua de doubler sa capacité de production jusqu'à la fin des années 1950. De nouvelles lignes de production sont ouvertes puis, suite logique donné à ce succès, un nouveau site de production, à Atimalco où il sera permis de profiter davantage encore de la proximité des infrastructures portuaires, marquant un tournant de sa capacité d'exportations.

De ces projets de développements viendront plusieurs modèles, tels que :
  • la Tatana Rangero, un pick-up de 1955, destiné aux fermiers ou aux populations excentrés des pôles urbains, la clientèle historique des véhicules de la marque Tatana.
  • Viendra aussi la Tatana Miniroad, un véhicule tout-terrain léger de 1958, pour élargir la gamme et donner suite à la version militarisée du début des années 50.
  • En 1956, la marque semble changer de cible et présenter son cabriolet Costa Breeze au Salon de l'Automobile de Portovina, confirmant son savoir-faire et renouvelant l'intérêt de la clientèle des grandes et moyennes agglomérations. Ces modèles disponibles, Tatana se voit contraint de dédier une novuelle période à l'innovation. Et à ce titre, les années 1960 apportèrent de nouvelles innovations profitables à la pérénnisation des marchés. Les suspensions des véhicules sont améliorées, la carrosserie acier se veut plus fine. A la fin des années 60, Tatana produisait près de 25 000 voitures par an, couvrant environ 30% du marché alguareno, secteurs public et privé confondus.

Années 1990 : La mondialisation s'amorce et les marchés vibrent lentement. Le cours du pétrole, confronté à l'industrialisation et l'ouverture au commerce international de nombreux états, peine à satisfaire la demande, amorçant une importante hausse des carburants. Face aux fluctuations des prix pétroliers, le groupe Tatana travaille l'amorce d'un virage stratégique. Carlos Vidal, le fils du fondateur Joaquín Vidal et ingénieur en électrotechnique, lance dès 1975 les premiers projets de motorisations hybrides, le moteur à hydrogènes en tête. En 1979, la Tatana Aqua devint la première berline à moteur hydrogène commercialisée en Alguarena, d'une vitesse maximale de 80 km/h. Pas de quoi convenir aux amateurs de sensations fortes mais pour ceux qui identifient la montée des carburants comme un frein à l'acquisition d'un véhicule, l'offre change la donne. Ce modèle ne suscita pas pour autant un vif intérêt international, se cantonnant essentiellement au marché intérieur.

Au carrefour du siècle, Tatana comptait 2000 employés et une production cumulée de 400 000 véhicules depuis 1925.

La mondialisation, si elle est synonyme d'opportunités vers des marchés émergents, impose toutefois son lot d'innovation pour aller satisfaire les marchés aux critères les plus exigents, particulièrement vrai en ce qui concerne la sécurité. ABS, airbags, électronisation du moteur par la multiplication des capteurs, autant d'intégration qui vont tenter de séduire les ménages autant que rassurer les institutions des différents pays aux normes changeantes et parfosi diamétralement différentes.

Années 2000 : Pour ses 75 ans, Tatana dévoila en 2000 un nouveau logo stylisé en forme de "T" , symbole du renouveau de la marque. Une transition toute trouvée pour la mention d'un nouveau centre de design fut inauguré en 2002 à Buezonte, conçu par la célèbre architecte de l'archipel Maria Sanchez. Un petit musée "Tatana Legado" ouvrit en 2005 quant à lui au coeur de l'usine, présentant les anciens modèles restaurées, tels que le V-33 de 1927, l'Aqua, véritable prouesse technologique. Ces initiatives renforcèrent l'engagement de Tatana envers son patrimoine. Les investissements se poursuivirent : en 2010, l'usine élargit son hall de peinture, et la production annuelle frôlait les 45 000 véhicules.

PRINCIPAUX MODELES (NON EXHAUSTIFS)

Tatana V-33 (1927)
Une berline cinq portes aux lignes anguleuses avec un moteur quatre cylindres 35 ch, des suspensions assouplies, un freinage hydraulique, une vitesse de pointe 75 km/h. C'est la première voiture de série construite rue del Seguillo a Buezonte. Elle impose d'emblée les standards de confort et de robustesse sur les routes encore mal pavées de l'archipel.

Tatana V-33 version aluminium (1931-1933)
C'est une évolution de la V-33, pour lui donner une certaine longévité. Dans la liste des améliroations enregistrées sur le véhicule, il y a le bloc moteur en alliage d'aluminium, se réclamant plus léger d'environ dix pour cent, contribuant humblement à l'élévation de la vitesse, estimable à 85 km/h. Il est également permis de citer un châssis rigidifié, boite quatre rapports, coffre agrandi. Reste la référence nationale pour la finition et la fiabilité au début des années trente.

Tatana Mini (prototype 1934)
Une petite citadine destinée aux nouveaux réseaux urbains densifiés. La question est ici de l'esthétisme, car sans ça le groupe débute un certain empattement.

Utilitaires militaires Tatana (1951)
Durant la guerre albelo-aluarena, une série de jeeps et de camions légers produits pendant la guerre entretient l'intérêt du groupe. Châssis simplifie, moteurs faciles à réparer, le groupe profiite de la réouverture ud pays aux marchés pour ajuster son offre. Des transports de troupes et des ambulances, Tatana fait la preuve de sa capacité à répondre urgemment aux besoins pour hier.

Tatana Rangero (1955)
On a ici un pick-up destiné aux fermiers et aux régions rurales, agrémenté de sa cabine simple trois places, d'une benne en bois renforce, d'un garde au sol haute. Sur la question de la motorisation, le groupe y a introduit un moteur six cylindres avec transmission une robuste. Dès lors, le Rangero devient le compagnon de travail des exploitations agricoles et des artisans isolés.

Tatana Costa Breeze (1956)
Cabriolet deux portes présente au Salon de l'Automobile de Portovina en 1956. Ds lignes élégantes, toit souple, moteur quatre cylindres vif. C'est un véhicule qui va clairement aller chercher les amateurs de promenades côtières, mêlé à la clientele urbaine aisée qui cherche un véhicule de loisir "made in Alguarena".

Tatana Miniroad (1958)
C'est un tout-terrain léger dérivé des versions militarisées du début de la décennie. Un bien parfait pour la randonnée hors route, les pistes forestières et les fermes de montagne, bref un bien parfait pour l'aventure.

Tatana Aqua (1979)
Un nouveau modèle destiné à rajeunir l'image des berlines Tatana. La berline Aqua, profitant d'une propulsion hydrogène, voit sa vitesse maximale culminr à 80 km/h. Réservoir pressurise, pile a combustion interne refroidie par eau, à croire que l’innovation n'attend pas. C'est la première réponse adaptée du groupe alguarneo et ud maillage économique local, pour parer les hausses de carburant.

Tatana Eldorado (2010)
La Tatana Eldorado est un SUV urbain adoptant un style assez dynamique pour ne pas dire sportif. Il se veut cnfortable à bien des usages, cultivant son attractivité auprès des familles avec enfants ou des jeunes adultes, par des finitions élégantes (notamment la sellerie) et une robustesse manifeste. L'habitacle pouvant accueillir cinq adultes avec bagages, il s'est fait le véhicule de l'autoroute des vacances de son époque.
ECONOMIE


ZARATE - constructeur automobile.


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INFORMATIONS GENERALES

Nom de la société : ZARATE
Secteur d'activité : Constructeur automobile, activités de conception ET production automobiles (SUV, berlines et citadines).
Siège social : Carabarón (ENCOLANAS)
Effectifs : environ 5 700 salariés (hors sous-traitance) présents aux Encolanas, en Alguarena et au Pontarbello.
Devise : "Zarate, à ne pas rater").
Complexes industriels (hors sous-traitance) : 8 complexes industriels au travers des principaux sites encolanaltèques que sont Carabarón, Montelevano.
Année de création : 1953.
Exportation : A définir via le graphique de Mesolvarde (LIEN)


CHRONOLOGIE PRINCIPALE

1953 : Fondation de Zarate aux Encolanas par Miguel Zarate, dans un ancien atelier de serrurerie.

1956 : Sortie en série de la première berline, Zarate 1100

1962 : Lancement de la Primera, une berline familiale devenue emblématique de la collection Zarate

1969 : Premier grand salon automobile d'Alguarena : polarisation du marché intérieur face à Tatana

1985 : Pour étendre ses parts de marchés, le groupe Zarate entend s'investir sur la fabrication d'engins agricoles, le développement de la mondialisation pouvant laisser entendre que des pays en quête d'indépendance alimentaire, souhaiterait importer des engins agricoles pour doter des coopératives locales.

1990 : La mondialisation, entre opportunités et menaces. Les effets de la mondialisation entrainent outre les opportunités commerciales, une hausse des cours pétroliers qui affectent lourdement le développement du marché des engins agricoles. Les opportunités de vente dans les pays émergents s'éloignent, le business Zarate sur la partie agricole s'effondre. Le projet est avorté, le business se recentre sur l'automobile pour particuliers.

1984 : Modernisation de la ligne de production, poussée par les nouvelles ères industrielles. C'est l'arrivée des premiers robots industriels automatisés.

1991 : Grève générale dans les usines Zarate pour manifester contre une procédure de réduction d'effectifs en sortie de modernisation des lignes.

1995 : Partenariat avec un fournisseur électronique, pour intégrer le GPS et autres accessoirisions élctroniques sur certains modèles de la gamme Zarate.

2004 : Lancement de l'Aurora X1, premier SUV de la marque

2011 : Zarate remporte un rallye au titre d'une compétition fédérale avec l'Aurora X1 face à la Tatana Eldorado.

2012 : Ouverture d'un atelier de restauration de modèles anciens sur le site historique du groupe et engagement dans des évènementiels sportifs.

2016 : Lancement de la Piscarda, citadine iconique du groupe Zarate.


PRINCIPAUX MODELES (NON EXHAUSTIFS)

Zarate Primera, la berline familiale (1962)

Malgré les années écoulées, la Zarate Primera reste un modèle anthologique de la marque, périodiquement revisité au travers de nouvelles versions rafraichies et toujours porteuses d'un certain succès commercial. Il s'agit en définitive d'une berline familiale toute aussi polyvalente qu'évolutive, amenant ses dernières versions aux années 2000. Le modèle, aux lignes fluides, s'inspire largement du relief des collines environnantes. Généralement vendue sous des couleurs apaisantes (beige, bleu ciel ou gris perle), la Zarate Primera entend incarner la quiétude d'un voyage en famille. L'habitacle, voulu spacieux et lumineux par l'importance de la surface vitrée et la petitesse de sa carrosserie de toit est habillé de tissus tissés et propsoés sous une quinzaine de coloris différents, avec des incrustations de bois verni. Un vértiable clin d'oeil aux artisans locaux amène à considérer l'idée que la Zarate Primera échappe à cette vision industrielle de l'automobile, laissant encore à penser que chaque exemplaire entre vos mains est le fruit, l'ouvrage, d'un artisan émérite.

Au volant, le but recherché est clairement celui d'une berline paisible : on en ressent chaque caillou sans les désagréments d'une suspension rigide. Le tableau de bord, ergonomique et finalement peu chargé, ne montre que l'essentiel (vitesse, niveau de carburant et jauge de batterie pour les modèles hybrides). Le tout sur un simple écran, épuré et sans superflu.

La Primera actuelle (quatrième génération, lancée en 2015) propose des motorisations essence et diesel très économiques oscillant entre les 1,2 et 1,6 litres, respectivement réparties sous du 75-115 ch. une consommation parfaitement adaptées à un usage quotidien. En 2016, au titre du salon automobile d'Aserjuco, a été présentée une version hybride allégée de la Primera, couplant un petit moteur électrique au bloc essence pour améliorer encore davantage la consommation. Inscrite en milieu de gamme, elle est cette fois destinée à des familles modestes et à des flottes professionnelles de VRP et adeptes ud grand déplacement. Un argument de vente sculpté autour du rapport qualité-prix. Le véhicule présente une bonne habitabilité pour les longs trajets, un immense coffre (avec près de 500 L), et au final un faible coût d'entretien par la présence de pièces standardisées avec plusieurs équipementiers automobiles. Qui plus est l'équipement de série inclut la climatisation, l'ABS, et un système multimédia basique, tandis qu'en option on trouve le GPS intégré, des jantes alu, et quelques retouches de finition au niveau de la sellerie, qui se veut premium pour le conducteur.

Chaque année plusieurs milliers de Primera sortent des usines Zarate de Carabarón, Montelevano. Sillonnant le territoire en toute saison, plébiscitée pour sa fiabilité : un taxi encolanaltèque sur trois en possède un exemplaire, faisant de la Primera un taxi officiel des Encolanas entre les années 2000 et 2010. Une version utilitaire, sous la forme d'une petite camionnette a été proposée depuis 2010, pour les petites entreprises locales, attestant de la robustesse avérée des modèles de la marque. En définitive, la Primera est le symbole du pragmatisme Zarate : une berline sans frivolité qui a une place sur les marchés intermédiaires et se teste au travers des grands changements sociétaux et économiques de son ère.

Zarate Aurora X1, SUV compact apparu en 2004

L'Aurora X1, lancé en 2004, fut le premier SUV de Zarate. Le millésime actuel X5 (de cinquième génération) affiche de nouveau une allure robuste et massive, par la présence d'une grande calandre, de roues élargies et d'une garde au sol augmentée à 80 cm, rendant le franchissement d'obstacle beaucoup plus aisé. Malgré ses dimensions imposantes (de 4,7mètres de long), l'Aurora X5 est avant tout prévu pour la ville et les déplacements de famille : le rayon de braquage est calculé pour se faufiler entre des poteaux, et la direction est assistée pour réaliser des créneaux. A l'intérieur, l'ambiance inspirée de l'esprit aventurier : le siège conducteur est en hauteur offrant une vue dominante, le tableau de bord est en plastique dur texturé facile à nettoyer et les rangements sont pratiques, comprenant de nombreux espaces modulables ainsi qu'un bac sous les sièges. De fait, les matériaux choisis sont résistants à l'usure, comme le choix d'un plastique mat, des cuirs synthétiques traités anti-taches et d'une sellerie optionnelle résistante à l'eau, faisant du véhicule l'ami desp arents avec une famille nombreuse ou adepte des randonnées en nature.

Les motorisations de l'Aurora X1 sont les plus puissantes proposées par la marque, son moteur essence 2.0 litres (d'une puissance de 170 ch) ou le diesel 2.2 litres (quant à lui d'une pusisance de 150 ch) équipent la majorité des modèles disponibles. Ces moteurs, associés à une boîte manuelle ou automatique à 6 rapports, permettent une déclinaison de plusieurs standing convoité par les ménages aisés. Depuis 2016 et identiquement à la Primera, une version hybride a été intégrée à la gamme de l'Aurora X5: elle associe le 2,0 litres essence à un bloc électrique supplétif, permettant de réduire les émissions. La transmission améliore la motricité en cas de pluie ou sur des chemins boueux, un détail de taille pour les aventuriers à bord. Mais outre l'aventure et pour assurer le confort de l'Aurora X5, la marque a également retenu des suspensions indépendantes conçues pour amortir le plus efficacement possible les irrégularités du sol tout en conservant la tenue de route.

Proposé dans le segment moyen-supérieur, l'Aurora X5 cible tout particulièrement les familles urbaines désireuses de polyvalence. C'est l'un des rares modèles de Zarate à proposer en option une troisième rangée de sièges : l'automobile parfaite pour partir en vacances ou explorer un territoire, si bien qu'elle demeure très prisée des agences de location de véhicules. Si l'image de robustesse de la marque n'est plus à démontrer, c'est surtout sur le plan pratique que l'Aurora est souvent louée : sa stabilité sur autoroute et son espace intérieur généreux appellent à faire de la route et es longs trajets. Chaque année, plusieurs milliers d'Aurora sortent de l'usine, nourrissant le goût del 'aventure d'autant de ménages.

Zarate Piscarda, la citadine du futur (2016).

Lancée en 2016, après des années de maitrise technologiques autour du secteur automobile, la petite citadine baptisée "Piscarda"s’est empressée de prouver ses attributs : vive et compacte avec une longueur n'execéant pas 3,70 mètres, elle s'est rapidement faufilée partout et particulièrement dans le coeur des urbains alguarenos !

Son design apparaît réjouissant, à la forme arrondie, aux rondeurs semblables à un visage espiègle vous souriant. Des phares ronds, dégagés de tout surplus, et des couleurs d'un ton vif tels que le jaune moutarde, le vert pomme, le bleu ciel, l'orange potiron ou encore le blanc crème, tout se présente comme un antidote à la monotonie grisâtre du pavé urbain traversé par des transports en commun aux mines déconfites.

Car pour sa part, l'habitacle de la Piscarda joue la carte séduction envers le bon père de famille, avec un siège conducteur réglable sous tous ses angles, une banquette arrière rabattable en 50/50 pour agrandir le volume de coffre et l'emport de biens pour la déchetterie, des vitres électriques à toutes les portes, des accoudoirs intégrés. Un tableau de bord qui s'avère volontairement minimaliste avec deux manomètres simples et un petit écran d'information général sur le véhicule, accentuant la vocation utilitaire de cette petite urbaine. Sur le plan technique, la Piscarda présente bien des résultats modestes mais calibrés pour son usage !

La variante électrique présente dès le lancement du modèle en 2016, se compose d'un moteur en 50 kW, soit une puissance que l'on pourrait définir à environ 68 ch. Le tout alimenté par une batterie de 22 kWh, capable de réaliser environ 200 km d'autonomie. La version essence, toujours disponible sur le territoire national malgré des exportatiosn croissantes vers les marchés émergents, possède un petit moteur 1,0L (soit 60 ch).

Ceci dit et quoi qu'il en soit, la Piscarda reste en-deçà des 950 kg. Un poids léger qui lui accorde un caractère presque "karting" sur les routes urbaines : le 0 à 100 km/h se fait en environ 14 secondes et la vitesse de pointe se limite à 130 km/h, une éternité pour qui souhaite les accélérations vives et soudaines mais disons le, son rôle n'est pas ici et cela est largement suffisant sur le réseau de distribution pour lequel elle est destinée. La compacité du véhicule et son agencement optimisé en font un modèle agréable à conduire, permettant d'appréhender l'univers des petites voitures citadines sans crainte de manquer d'espace ou du minimum de commodités. Ses lacunes techniques sont effectivement très vite oubliées par la carte de la polyvalence, donnée à un véhicule esthétique et modulable à maintes occasions.

Les dimensions de la Piscarda sont d’ailleurs souvent mise en avant comme son meilleur argument : des influenceurs et commentateurs spécialisés ne tarissent en effet pas d'éloges sur ce point et se veulent même les ambassadeurs de la marque en ne manquant pas d'afficher celles dont ils ont faitl 'acquisition, sous des couleurs et une accessoiration excentriques.

Véhicule électrique, la fin de vie de la batterie est reprise (sous réserve) par le constructeur, engagé dans une initiative (aux Encolanas seulement) de récupération des biens rares et précieux. Côté protection, la Piscarda ne déçoit pas, grâce à une coque avant renforcée même si elle reste très largement composée de thermoplastique, sa note de sécurité octroyée lors de l'évaluation par les services gouvernementaux fédéraux est parvenue à un honorable score de quatre étoiles sur cinq. De même, Zarate a bien compris qu'un pack sécurité à prix minoré en option pouvait rassurer une clientèle exigeante mais souvient assez mal à l'aise à la ocnduite et au stationnement pour naturellement se diriger vers ces véhicules caractérisés pour leur petitesse.

Des options sont ainsi fournies sur la question des capteurs de stationnement, d'une assistance au freinage d’urgence. Ainsi que chacun et particulièrement les parents soucieux do'ffrir une voiture première main à leurs enfants se rassurent, acheter une Piscarda c'est in fine fairel e choix d'un audacieux compromis entre des économies et une sérénité, au travers du tout électrique dans son agréable offre citadine. Travailleurs grandes villes, jeunes détenteurs du permis, détenteurs de petits budgets en quête d'économie sur les carburants, adulte célibataire ou couple accompli sans enfant, les publics visés par les ventes de Piscarda ne manquent pas et finissent d'ancrer la marque automobile Zarate, dans le top 2 des marques de constructeurs automobiles alguarenos.
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