12/06/2013
20:48:03
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[CULTURE] Registre culturel et sociétal de la Fédération d'Alguarena - Page 3

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ARMEE

LA BRIGADA AEROTRANSPORTADA DE ASALTO.


Portrait d'un soldat de la brigada aerotransportada de asalto et écusson de son unité.
"Liberté dans le ciel, victoire sur la terre" est la devise des troupes des brigades d'assaut aéroportées.

Avant-propos

Contrairement à d'autres unités militaires telles que la "compañía de honores ceremoniales", la brigada aerotransportada de asalto est une formation assez récente, apparue dans les années 2005. En effet sa création est faite en réponse aux contraintes opérationnelles survenues pendant la guerre civile du Varanya où les moyens de projection limités des armées fédérales alguarenas, ont durement impacté la capacité de réponse militaire face aux troupes impériales du Shah varanyen et de ses alliés régionaux, la Cémétie en tête. Désireux de pouvoir projeter des forces opérationnelles et sur de longues distances, les généraux de l'état-major alguareno, sous l'égide du Général d'armée Caïtano LOSSADA, projette la création de formation autonome en combat et sur un théâtre extérieur.

Évènement marquant

Le principal évènement marquant dans l'histoire de ce contingent est indubitablement la guerre civile varanyenne, car ce sont les déboires rencontrés sur le terrain, le caractère brutal et soudain de cette guerre, qui a clairement mis en exergue les limites des capacités logistiques militaires de l'armée fédérale d'Alguarena. Une incapacité de projection qui a contraint les autorités alguarenas, à structurer les contingents militaires dédiés aux forces expéditionnaires. De cette réflexion est alors apparue la première brigade d'assaut aéroportée, forte de plus de 4 600 soldats, entraînés à l'infiltration, à la reconnaissance et au combat en terrain hostile. Une force expéditionnaire qui avait donc vocation à faire des petits, tirée vers le haut au gré de la mondialisation et des tensions croissants, qui appellent la Fédération d'Alguarena à des engagements, au bénéfice de ses alliés ou au grand dam de ses ennemis.

De ce fait, malgré la préparation qui est la sienne, la Brigade d'assaut aéroportée a jusqu'ici manqué le rendez-vous de l'Histoire qui est à l'origine de sa création. Mais ne dit-on pas, que les meilleures armes sont celles dont on aura pas à se servir?

Principales missions

La brigade d'assaut aéroportée est une force expéditionnaire, c'est-à-dire qu'elle est destinée à un usage exclusivement tourné vers l'étranger, soit dans un contexte de guerre, pour affaiblir ou défaire une autorité hostile sur place, soit pour soutenir une autorité alliée, positionnée en fâcheuse posture et dont l'accès au territoire se voudrait compromis par la rupture des accès traditionnels, comme la perte des aéroports ou principaux ports par exemple.

La brigade d'assaut aéroportée a, dans une certaine mesure, la possibilité d'employer des forces spéciales aéromobiles. Mais ce détail de côté, c'est avant-tout une force militaire massive, destinée à occuper le terrain hostile, avec différents moyens susceptibles de la rendre autonome ou presque, en situation de combat au sol.

Composition de la brigada aerotransportada de asalto / Brigade d'assaut aéroportée (CONFIDENTIEL)

ORBAT de la Brigade d'assaut aéroportée.
Ordre de bataille de la Brigade d'assaut aéroportée - clic gauche pour agrandir

Batallón de mando / Bataillon de commandement
  • 284 soldats professionnels
  • 284 armes légères d'infanterie
  • 3 hélicoptères de transport moyens
  • 5 avions de transport hybrides
  • 3 véhicules de transmission radio
  • 10 véhicules blindés légers
  • 8 camions de transport
  • 8 véhicules de combat d'infanterie
  • 20 lance-missiles antichars
  • 40 lance-roquettes
  • 30 mitrailleuses lourdes

Regimiento de helicópteros de combate / Régiment d'hélicoptères de combat
  • 126 soldats professionnels
  • 126 armes légères d'infanterie
  • 20 hélicoptères légers polyvalents
  • 4 hélicoptères de transport moyens
  • 16 hélicoptères d'attaque
  • 4 lance-missiles antichars
  • 4 lance-roquettes
  • 4 mitrailleuses lourdes
  • 16 véhicules légers tout-terrain

Batallón de infantería aerotransportada / Bataillon d'infanterie aéroportée
  • 1 158 soldats professionnels
  • 1 158 armes légères d'infanterie
  • 24 hélicoptères de transport lourds
  • 6 véhicules de transmission radio
  • 6 véhicules radar
  • 118 véhicules légers tout-terrain
  • 24 mortiers tractés
  • 40 lance-missiles antichars
  • 60 lance-roquettes
  • 60 mitrailleuses lourdes

Batallón de infantería aerotransportada / Bataillon d'infanterie aéroportée
  • 1 158 soldats professionnels
  • 1 158 armes légères d'infanterie
  • 24 hélicoptères de transport lourds
  • 6 véhicules de transmission radio
  • 6 véhicules radar
  • 118 véhicules légers tout-terrain
  • 24 mortiers tractés
  • 40 lance-missiles antichars
  • 60 lance-roquettes
  • 60 mitrailleuses lourdes

Batallón de infantería mecanizada / Bataillon d'infanterie mécanisée
  • 656 soldats professionnels
  • 656 armes légères d'infanterie
  • 24 hélicoptères de transport lourds
  • 4 véhicules de transmission radio
  • 4 véhicules radar
  • 44 véhicules blindés légers
  • 8 lance-missiles antiaériens mobiles
  • 16 véhicules de combat d'infanterie
  • 8 transports de troupes blindés
  • 12 chars légers
  • 20 lance-missiles antichars
  • 40 lance-roquettes
  • 30 mitrailleuses lourdes

Batallón de ingeniería mecanizada / Bataillon du génie mécanisé
  • 286 soldats professionnels
  • 286 armes légères d'infanterie
  • 6 véhicules de transmission radio
  • 6 véhicules radar
  • 30 véhicules légers tout-terrain
  • 12 véhicules blindés légers
  • 3 transports de troupes blindés
  • 16 véhicules de déminage
  • 1 000 mines antipersonnels
  • 1 000 mines antichars
  • 6 ponts mobiles
  • 8 bulldozers
  • 6 lance-missiles antichars
  • 6 lance-roquettes
  • 6 mitrailleuses lourdes

Batallón de apoyo / Bataillon de soutien
  • 303 soldats professionnels
  • 303 armes légères d'infanterie
  • 3 transports de troupes blindés
  • 6 véhicules de transmission radio
  • 3 véhicules radar
  • 10 véhicules blindés légers
  • 8 camions de transport
  • 4 chars de dépannage
  • 3 hélicoptères de transport moyens
  • 8 véhicules de combat d'infanterie
  • 8 véhicules légers tout-terrain
  • 6 lance-roquettes
ARMEE

LA BRIGADA DE CABALLERIA BLINDADA.


Portrait d'un pilote de char face à l'écusson.
"Fier et courageux, chevauchant l'acier" est la devise des unités blindées de l'armée fédérale.

Avant-propos

Qu'il soit affaire de défense ou bien d'attaque, la cavalerie blindée est de tous les combats. Subtile mélange de robustesse et de mobilité, la cavalerie blindée vient effectivement proposer une force agile et impactante au coeur de la stratégie militaire fédérale, qu'elle soit portée sur la sauvegarde de la souveraineté nationale ou bien l'intervention sur un théâtre d'opérations extérieures.

Onéreuse et limitée en nombre, elle est aussi investie d'une dimension stratégique par l'incarnation même de la puissance militaire alguarena faite sur le champs de bataille. Imposante, la cavalerie blindée a aujourd'hui les moyens de nourrir un positionnement défensif, aidée du génie mécanisé pour adopter des positions retranchées derrière des sacs de sable ou mieux encore, des trous depuis lesquels les équipages de char dissimulent les parties basses et vulnérables de leurs engins de mort. Sur le plan offensif, ils ne sont pas en reste et constituent là de véritables forteresses mouvantes, chargées d'accompagner à couvert la progression des forces d'infanterie, au plus près de la ligne de front et d'entretenir un impact psychologique conséquent sur les positions défensives adverses face à des tonnes d'acier en mouvement et donnant le change de différents armements.

Évènement marquant

La cavalerie blindée alguarena s'est longtemps contentée d'intégrer d'autres régiments, formant une unité ci-et-là à quelques divisions d'infanterie mécanisée. Mais la mondialisation et l'accroissement des théâtres d'opérations sur la période de 2005 à 2010, l'ont conduit à considérer la constitution d'unités de cavalerie blindée dédiées, passant progressivement la présence de ces chars de quelques dizaines, à plus d'une centaine pour les formations militaires associées à une brigade. "Avant, quelques dizaines de chars servaient d'appui feu à une force d'infanterie en position défensive.

Désormais avec le contexte international dégradé et la nécessité de défendre notre souveraineté par delà nos frontières, le char s'est naturellement repositionné au cœur de la force de projection, pour accompagner de larges offensives, obligeant à sa multiplication dans une logique de masse. L'apparition d'une première brigade cavalerie blindée est ainsi faite..." expliquait le Général d'armée Caïtano LOSSADA, en 2012, pour expliquer la montée en puissance de la cavalerie blindée au coeur du dispositif militaire alguareno. "Les chars donnent de la robustesse aux manœuvres alliées et un répondant appréciable, pour la progression sous le feu ennemi."

La bataille de la passe de Carosinhos, au Pontarbello, est également un évènement marquant pour le réemploi de la cavalerie blindée à grande échelle. Bien que les chars inscrits dans la guerre d'indépendance pontarbelloise aient été pilotés par des indépendantistes pontarbellois, le fait qu'ils aient été de conception alguarena et superviser par des instructeurs militaires alguarenos suffit à motiver un changement de doctrine sur l'emploi de la cavalerie blindée auprès du gouvernement fédéral. Le soutien logistique et opérationnel des forces armées fédérales d'Alguarena auprès des indépendantistes pontarbellois, a permis la démonstration grandeur nature d'une réussite militaire dans la passe de Carosinhos, motivant un emploi accru de la cavalerie blindée au sein de nos forces armées fédérales. "La bataille de la passe de Carosinhos a permis la destruction et finalement la déroute, de nombreux véhicules ennemis affiliés aux forces armées kah-tanaises. L'action de la cavalerie blindée s'est réinventée à Carosinhos et nous a convaincu d'employer plus largement, cet atout tactique indéniable, y compris dans la tenue de crêtes, sur la base d'une manoeuvre de tir et repli."

Principales missions

Beaucoup décrirait l'emploi de la cavalerie blindée dans une position strictement défensive ou offensive, selon les doctrines partagées de chacun. La vérité est que l'arme cultive les deux aspects comme les deux faces d'une même pièce. Tantôt une enclume en position défensive, contre laquelle viennent s'abattre les assauts ennemis, elle est également le marteau qui permet de déplacer assez rapidement et très lourdement, la force d'impact 'une offensive alliée, au gré des tentatives de percée sur des secteurs pensés fragilisés.

Déployée au travers d'une force amphibie ou aéroportée mais en quantité plus limitée pour ce dernier cas, la cavalerie blindée offre effectivement en attaque, une importante puissance de feu mobile sur le champs de bataille, pour faire évoluer rapidement les combats, en des endroits où une percée doit être tentée.

Sur une phase défensive, les brigades de cavalerie blindée ont pour elle d'encaisser le choc de l'assaut ennemi mais surtout d'exploiter ses échecs militaires, au titre d'une contre-offensive qui placerait en ordre de marche, les forteresses mobiles que sont les chars d'assaut. "On encaisse, on progresse. On encaisse, on progresse..." résume ainsi le Général d'armée Caïtano LOSSADA, pour évoquer l'utilité de l'arme sur une ligne défensive. "Le char est un élément polyvalent au combat et nourrit avec lui, une position pivot qui le place tantôt en défense, tantôt en attaque. Nous aurons besoin de former plusieurs brigades de cavalerie blindées, pour présenter des lignes de lignes étendues et ajustables, au gré des faiblesses adverses..."

Composition de la brigada aerotransportada de asalto / Brigade d'assaut aéroportée (CONFIDENTIEL)

ORBAT de la Brigade de cavalerie blindée.
Ordre de bataille de la Brigade de cavalerie blindée - clic gauche pour agrandir

Batallón de mando / Bataillon de commandement
  • 243 soldats professionnels
  • 243 armes légères d'infanterie
  • 9 véhicules de combat d'infanterie
  • 3 véhicules radar
  • 10 véhicules blindés légers
  • 3 véhicules de transport de troupes blindés
  • 8 chars légers
  • 10 véhicules légers tout-terrain
  • 6 camions de transport
  • 10 camions citerne
  • 6 lance-missiles antichars
  • 6 lance-roquettes
  • 6 mortiers légers
  • 10 mitrailleuses lourdes

Regimiento de caballería blindada / Régiment de cavalerie blindée (x3)
  • 711 soldats professionnels
  • 711 armes légères d'infanterie
  • 4 véhicules radar
  • 14 véhicules blindés légers
  • 20 véhicules légers tout-terrain
  • 8 chars légers
  • 18 véhicules de combat d'infanterie
  • 6 véhicules de transport de troupes blindés
  • 60 chars d'assaut
  • 10 lance-missiles antichars
  • 22 lance-roquettes
  • 10 mortiers légers
  • 35 mitrailleuses lourdes

Batallón de artillería / Bataillon d'artillerie
  • 454 soldats professionnels
  • 454 armes légères d'infanterie
  • 4 véhicules de transmission radio
  • 38 véhicules blindés légers
  • 4 véhicules radar
  • 6 véhicules légers tout-terrain
  • 10 lance-roquettes multiples
  • 12 véhicules de combat d'infanterie
  • 20 canons automoteurs
  • 12 lance-missiles antichars
  • 15 lance-roquettes
  • 12 mortiers légers
  • 12 mitrailleuses lourdes
  • 3 drones de reconnaissance

Batallón blindado antiaéreo / Bataillon blindé de lutte antiaérienne
  • 440 soldats professionnels
  • 440 armes légères d'infanterie
  • 4 véhicules de transmission radio
  • 14 véhicules blindés légers
  • 16 véhicules radar
  • 30 lance-missiles antiaériens mobiles
  • 12 canons antiaériens mobiles
  • 12 véhicules de combat d'infanterie
  • 18 lance-roquettes
  • 18 mitrailleuses lourdes

Batallón de ingeniería mecanizada / Bataillon du génie mécanisé
  • 286 soldats professionnels
  • 286 armes légères d'infanterie
  • 6 véhicules de transmission radio
  • 6 véhicules radar
  • 30 véhicules légers tout-terrain
  • 12 véhicules blindés légers
  • 3 transports de troupes blindés
  • 16 véhicules de déminage
  • 1 000 mines antipersonnels
  • 1 000 mines antichars
  • 6 ponts mobiles
  • 8 bulldozers
  • 6 lance-missiles antichars
  • 6 lance-roquettes
  • 6 mitrailleuses lourdes

Batallón de apoyo / Bataillon de soutien
  • 200 soldats professionnels
  • 200 armes légères d'infanterie
  • 3 transports de troupes blindés
  • 3 véhicules radar
  • 6 véhicules de transmission radio
  • 16 véhicules blindés légers
  • 18 camions de transport
  • 6 chars de dépannage
BIOGRAPHIES


Antonio RUIZ, footballeur professionnel.


Portrait de Antonio RUIZ / IRL : Kaio Jorge.

Avant-propos

"Si les terrains de foot étaient dans le ciel, Antonio serait certainement une de ces étoiles qui brillent plus que les autres là-bas..." avait ainsi résumé Bernardo Limapo, coach sportif et entraineur pour le petit club amateur de "Tacarapiz Tigres Blancos", pour qualifier la réussite future d'Antonio RUIZ, jeune milieu offensif âgé de 14 ans, soit 4 ans avant qu'il ne rejoigne la sélection nationale alguarena.

Véritable échantillonnage de puissance et d'enthousiasme, Antonio RUIZ s'est voulu de ses 18 ans, le plus jeune joueur retenu en sélection nationale en 2010. Un pari risqué pour le sélectionneur de l'époque Oscar Bentrèz, mais un pari finalement gagnant puisque la même année, le jeune homme fera la démonstration de son panache sur le terrain, concédant plusieurs passes décisives aux buteurs de la finale lorsqu'il ne marque pas lui-même un but, lors de la finale de Coupe Internationale en 2010, face à la sélection banairaise. Indubitablement, la sélection alguarena lui doit sa part, dans la performance sportive obtenue sur l'ensemble du tournoi. Né le 24 février 1992, le joueur de la sélection nationale a vu sa côte de popularité bondir et se fairel ap romesse d'un plus bel avenir encore. "Pour beaucoup d'athlètes, détenir un titre mondial est la consécration d'une carrière, pour le jeune Antonio, quelque chose me dit que c'est un tremplin !" s'était enthousiasmé un des commentateurs sportifs de l'époque, chargés d'animer la rencontre des deux finalistes lors du tournoi de 2010.

Avec un positionnement pivot, le jeune Antonio RUIZ est-il l'atout maître que la sélection nationale de football alguareno recherchait? Jusqu'à présent, l'histoire nous invite à le penser et considérant son jeune âge, il est permis de croire que le jeune homme aura d'autres opportunités de convaincre les plus indécis ! Capable de briller sur le terrain et de capter positivement l'attention des médias en dehors, Antonio RUIZ abat tour à tour les portes qui se présentaient fermées face à lui, pour se bâtir une carrière de sportif et de communicant à l'international parmi les plus prometteuses de sa génération.

Évènement marquant

Dire qu'Antonio RUIZ a démarré au sommet serait mentir et ne pas rendre hommage à son travail acharné pour performer dans sa discipline. Jouant en sélection nationale depuis 2010 seulement, il est en effet permis de mettre en avant l'apport du "Tacarapiz Tigres Blancos" dans son accomplissement technique, guidé par des amateurs passionnés. Ses années à jouer au
"Tacarapiz Tigres Blancos" ne lui ont pas donné de visibilité auprès de la sphère publique mais la réussite technique accomplie lors d'une rencontre entre les Tacarapiz Tigres Blancos et le Cañaras Fútbol Viento a su convaincre des sélectionneurs en observation auprès des clubs amateurs, que le jeune pourrait se faire le luxe de ne pas passer par la sélection nationale des espoirs mais s'imposer comme suppléant auprès de la sélection nationale.

La blessure de Pietro Rostàn, une opportunité exploitée. Si l'année 2010 a été fructifiante pour certains athlètes, elle a été signe de revers pour d'autres, à l'instar de Pietro Rostàn, milieu offensif de la sélection nationale, blessé au genou à l'occasion de la rencontre face au Faristan. Une blessure sérieuse, qui oblige dès lors la sélection nationale à faire l'impasse sur lui, de crainte qu'il ne force sur ses blessures et n'entame des séquelles durables. Devant ce forfait, le sélectionneur alguareno recompose son équipe avec l'intégration d'Antonio RUIZ pour milieu offensif, et refaçonne sa formation, qu'il souhaite plus agressive, de sorte à offrir à Antonio les appuis nécessaires en attaque, à un instant clé de la compétition où le jeune homme se devait encore de faire ses preuves.

Et quelle surprise à l'arrivée car là où l'ont pensé les attaquants en support du jeune milieu offensif, ce dernier a tenu son rôle et offert à l'attaque de très beaux ballons, pour successivement remporter la rencontre face aux demi-finalistes burujois, puis banarais, Antonio concédant lui-même le troisième et avant-dernier but de la rencontre, sa réussite est alors totale. La semaine qui suivit sa réussite en Coupe Internationale, Antonio RUIZ recevait deux propositions attractives, pour signer dans les clubs de l'Atlético Club de Jacalbulco et les Pumas de Pomosejo . Ce dernier aura sa préférence et c'est ainsi qu'il tourne la page des "Tigres Blancos de Tacarapiz".

A 18 ans, il signe d'un club amateur à une sélection nationale, s'affranchissant de plusieurs années de mise à l'épreuve au sein d'un club professionnel, l'esprit même du rêve alguareno. Aujourd'hui il joue, conjointement à la sélection nationale, auprès des Pumas de Pomosejo, club professionnel arcoan qui se destine à le maintenir à un haut niveau, avant de tenter l'aventure à l'international.

Réalisations

  • Vainqueur de la Coupe Intercontinentale (2010).
  • Donations en faveur de l'enseignement public et de l'établissement scolaire de Tacarapiz, en Arcoa (ALGUARENA).

Référence

BIOGRAPHIES


Ricardo MARICOSAS, homme d'affaires encolanaltèque.


Portrait de Ricardo MARICOSAS.

Avant-propos

Ricardo MARICOSAS, est le créateur et certain diront peut-être, le visionnaire, à l'origine de Sportconnect, une plateforme internationale de mise en relation des sportifs, des agents de sportifs et des clubs. Souhaitant s'installer sur des sentiers jamais empruntés par les grands noms du monde des affaires, il s'est peu à peu présenté comme l'incarnation de l'audace et de la passion. Né à Mixquimula (AUX ENCOLANAS) en 1969, l'homme est également connu pour avoir rencontré ses premiers succès financiers à 25 ans, en mettant en place une plateforme de paris sportifs en ligne "BestBet". Une personnalité qui se veut donc inspirante, quand l'on sait toute la modestie qui anime les campagnes encolanaltèques, là où l'amour du sport se cultive plus scrupuleusement encore qu'un simple passe-temps.

Homme d'affaires émérite et figure de bienfaisance aux Encolanas, Ricardo MARICOSAS a su entretenir un cercle vertueux autour de ses affaires et de l'image qui s'en échappe. Un atout appréciable pour celui qui cultive les plateformes en ligne, tantôt portées sur les paris sportifs ou le transfert d'athlètes, se devant de cultiver une image respectable pour entretenir la fréquentation de ses sites. "Ricardo MARICOSAS ne surfe pas sur un marché mais sur un service et les entreprises de service, sont plus dépendantes que les industries de l'image de marque qu'elles véhiculent. Monsieur MARICOSAS ne détient effectivement aucune technologie, ni savoir-faire particulier, seulement un amour du sport et un goût des affaires y compris les plus risquées. Contrairement aux industriels engagés sur un schéma de production, ce que propose BestBet ou Sportconnect, d'autres le peuvent..." confiait l'économiste Ursulla Velascà, pour résumer ce qui fait à la fois la réussite de l'homme mais aussi le caractère versatile, voire éphémère, de ses affaires.

Évènement marquant

Contrairement à d'autres profils d'hommes d'affaires, Ricardo MARICOSAS a embrassé la cause sportive bien avant son arrivée à l'université, même s'il faut admettre qu'il ne s'est pas pour autant privé à cette époque, de rejoindre une équipe de football de son établissement. C'est d'ailleurs à cemoment là que, soucieux d'entretenir son train de vie quotidien et de financer partie de ses études, il décide d'établir et de coordonner un réseau de parieurs plus ou moins déclarés, les étudiants démarchant les riverains pour les inviter à soutenir, par le pari, les équipes universitaires de leurs agglomérations.

Une démarche ambitieuse, qu'il viendra parachever en créant quelques années plus BestBet, une plateforme en ligne de paris sportifs, désireuse de mettre en relation tous les parieurs encolanaltèques, alguarenos et finalement internationaux, autour des grandes rencontres sportives. Profitant de la relative réussite sportive des athlètes alguarenas, le succès se veut immédiat.

Une entreprise qui roule mais n'aura finalement que pour objectif de l'aider à toucher un but plus lointain encore, qu'il voit se placer à portée de main. Souhaitant s'épanouir tant financièrement que socialement à travers le sport, Ricardo MARICOSAS développera en 2012 le concept Sportconnect, une plateforme en ligne de mise en relation pour les clubs sportifs et les athlètes du monde entier, afin de faciliter les transferts et permettre la naissance d'étoiles montantes pour les disciplines qu'il chérit, à l'instar du football.

Cette réussite financière, l'obligeant à soutenir le contact avec l'international et l'entretient d'un réseau de sportifs et sélectionneurs mondiaux, l'intègre définitivement au monde des affaires et dans sa dimension la plus élargie. Il devient dès lors pour les talents et jeunes sportifs en quête d'un club, une des personnalités à convaincre du milieu sportif ! Par ses entreprises successives, il est permis de dire que Ricardo MARICOSAS s'est fait un révolutionnaire pour les affaires entourant le monde sportif et un véritable mentor pour les nombreux jeunes des nouvelles générations sportives, contraints par un manque criant de visibilité au-delà ds tournois locaux dans lesquels ils évoluent pourtant avec un talent notable.

Réalisations

  • Fondateur de BestBet, un site en ligne de paris sportifs ouvert à l'international.
  • Fondateur de Sportconnect, une plateforme permettant la mise en relation des sportifs et des sélectionneurs internationaux, en vue de faciliter les transferts et la promotion des talents sur les différentes disciplines sportives reconnues.

Référence

ARMÉES


Grades des institutions militaires fédérales d'Alguarena.

Unités des armées fédérales et fédérées d’Alguarena.
Partagés entre les différentes institutions militaires fédérales, les grades viennent structurer les organisations martiales et dérouler la carrière des jeunes hommes et femmes qui y sont engagés.

Les grades militaires présents au sein des institutions militaires de la Fédération d’Alguarena constituent, comme en tout autre pays, l’huile nécessaire au fonctionnement des rouages d’une importante machine, présentement composée de plusieurs centaines de milliers d’hommes et de femmes (chiffre estimé sur la seule base des troupes militaires fédérales, hors pompiers et autres institutions militaires des états fédérés). Les grades portés par les officiers généraux n’existent qu’au travers des institutions fédérales d’Alguarena car les États fédérés ne justifient pas d’institutions militaires suffisamment importantes pour entretenir un parterre de généraux.

 Grades militaires des armées fédérales et fédérées d’Alguarena.
Planche des grades en vigueur au sein des trois armées fédérales d'Alguarena (clic droit pour agrandir).


MILITAIRE DU RANG

Militar auxiliar / Marinero (OR-1)
Traduisant la fonction de soldats du rang ou de matelot, ces grades sont la base agglomérante des institutions militaires, en fournissant l’essentiel de ses ressources humaines pour l'exécution des opérations simples et courantes, toujours placées sous la supervision d’un responsable. Ces grades n’entretiennent aucune responsabilité sur leurs pairs ou de par les missions confiées.

Cabo (OR-2)
Le cabo est un grade commun aux trois armes de l’institution militaire fédérale et qui reste étranger à la classe des sous-officiers. Cependant, le cabo peut avoir une responsabilité fonctionnelle sur un binôme ou une escouade de quatre hommes, qu’il vient composer avec des militares auxiliares/marineros.

SOUS-OFFICIERS SUBALTERNES

Sargento de tercera (OR-3)
Présent dans l’ensemble des armées, le grade de Sergent de troisième classe, parfois réunis sous l’unique grade sergent dans plusieurs pays, est le premier grade affilié à la catégorie des sous-officiers. Quoiqu’il en soit, celui-ci continue de revêtir une responsabilité strictement opérationnelle, auprès d’une escouade de trois à quatre hommes.

Sargento de segunda (OR-4)
Le grade de sargento de segunda est un grade intermédiaire qui fait davantage office de galons d’essai avant la prise de commandement d’une unité opérationnelle. A l’exception des escouades de quatre hommes dont il prend le commandement direct, le sargento de segunda ne prend part au commandement opérationnel d’une unité plus importante, qu’avec le concours d’un sargento de primera.

Sargento de primera (OR-5)
Comme explicité plus tôt, le sargento de primera est un sous-officier confirmé dans la supervision opérationnelle d’une unité tactique. A l’image de tous les sargento, ce grade est accompagné de responsabilités qui implique un déploiement conjoint avec l’unité qu’il est chargé de superviser. Un sargento de primera peut prendre la tête d’une section d’une quinzaine d’hommes, il est également une aide à la décision, dans la confirmation des sargento de segunda positionnés au sein d’une section pour y confirmer la bonne maîtrise des enjeux opérationnels et leur valeur professionnelle.

SOUS-OFFICIERS SUPÉRIEURS

Suboficial (OR-6)
Le suboficial est un grade relevant de la catégorie des sous-officiers supérieurs, il est donc important d’identifier celui-ci comme un nouveau grade intermédiaire, ou dit de transition, entre les deux catégories. Les suboficiales sont donc régulièrement placés sous la responsabilité d’un primer ou segundo suboficial, pour le familiariser avec les nouveaux enjeux de la fonction et l’aider à identifier plus de recul dans la conduite d’une opération. Identiquement aux sargento de primera, le suboficial peut prendre le commandement d’une section de quinze à vingt hommes.

Segundo suboficial (OR-7)
Il ne fait aucun doute que le segundo suboficial constitue un sous-officier supérieur à l’expérience du commandement confirmé, néanmoins ce grade ne se voit pas confié d’unités plus importantes que la section car il est souvent positionné en qualité d’adjoint au primer suboficial, qui a lui à sa charge le commandement d’une unité d’une trentaine de combattants, un peloton en somme.

Primer suboficial (OR-8)
Dernier galon de la catégorie des sous-officiers supérieurs, le primer suboficial est à la tête d’un peloton d’une trentaine d’hommes comme précédemment évoqué mais peut également intervenir pur seconder un officier subalternes dans le commandement d’une compagnie, en attendant d’être confirmé sur un grade d’officiers subalternes pour des raisons administratives.

OFFICIERS SUBALTERNES

Subteniente / Alféres (OF-1)
Le subteniente ou alféres dans la marine fédérale d’Alguarena, est un grade qui n’est pas distribué par l’avancement habituel au sein des armées, mais bien un grade délivré sur justification de la réussite à un concours d’officiers ou même encore à la sortie d’écoles des officiers. Le grade de Subteniente / Alféres est donc à distinguer du grade de primer suboficial car c’est un grade qui se lie à un statut administratif (titulaire de concours). Contrairement au primer suboficial, le subteniente ne seconde pas un teniente de la même manière puisqu’ils ne justifient pas de la même valeur militaire. Sauf positionné en situation d’observation auprès d’un officier en mission opérationnelle, le subteniente / alféres est davantage positionné au sein des administrations, faute d’expérience réelle aux arts de la guerre.

Teniente / Teniente de corbeta (OF-2)
Officier subalterne confirmé, le teniente est un adjoint récurrent du commandement des compagnies, généralement formalisées par un capitán lorsqu’il n’en a pas le commandement direct. Dans la marine fédérale d’Alguarena le périmètre des responsabilités du teniente de corbeta ne démérite pas non plus car en sus des équipages d’un navire, il est le second maillon de commandement au sein d’un élément naval mineur, incluant par exemple une corvette. Dans l’armée de l’air, c’est à partir de ce grade qu’un pilote de chasse est confirmé sur son poste et peut conduire seul des manœuvres aériennes avec son appareil.

Primer teniente / Teniente de fragata (OF-3)
Sans grande distinction avec le teniente, le primer teniente est un grade intermédiaire destiné à marquer la confirmation du teniente dans ses rôles et attributions d’adjoint auprès d’un capitán, ayant en charge une compagnie ou un navire, ici une frégate pour le cas des tenientes de fragata.

Capitán / Teniente de navío (OF-4)
Le capitán, pour l’avoir évoqué plus tôt, est en mesure de pouvoir prendre la tête d’une compagnie d’environ cent-cinquante combattants mais dans la marine fédérale, le teniente de navío est un grade qui identifie son détenteur comme un second valable dans le commandement de n’importe quel navire. Une responsabilité importante, même en qualité d’adjoint et second, qui se justifie aisément par la reconnaissance de la valeur professionnelle acquise sur ce dernier maillon des grades d’officiers subalternes.

OFFICIERS SUPÉRIEURS

Mayor / Capitán de corbeta (OF-5)
Le mayor est le premier grade des officiers supérieurs, il occupe généralement des fonctions de second auprès d’un teniente coronel ou d’un coronel, ayant lui à sa charge le commandement d’un bataillon. Dans la marine fédérale, ce grade implique la gestion et le commandement sans partage, d’une unité navale mineure, comme par exemple explicité ici : une corvette.

Teniente coronel / Capitán de fragata (OF-6)
Le teniente coronel peut prendre sous sa seule responsabilité, le commandement d’un bataillon, selon la taille de celui-ci, qui peut varier en 500 et 1 500 hommes. En ce qui concerne la marine de guerre, le capitán de fragata va logiquement et tout comme le capitán de corbeta, pouvoir prendre le commandement d’un navire de guerre de taille intermédiaire, ici une frégate.

Coronel / Capitán de navío (OF-7)
Le coronel est le dernier galon avant ceux des officiers généraux qui dirigent des opérations de grandes envergures ou des unités articulées autour d’une dizaine de milliers de combattants, il est donc une figure martiale importante de l’institution et peut prendre la tête d’un régiment ou ‘une formation militaire composée d’un bataillon majeur, ou de plusieurs d’entre eux. Pour le cas du capitán de navío, celui-ci peut intégrer le commandement de tout type de navire, avec une distinction persistante entre le comodoro et lui, le capitán de navío dirige un navire, tout tonnage confondu, le comodoro de marina va lui prendre la tête d’un ensemble de navires opérant sous la forme d’une flotte de guerre.

OFFICIERS GÉNÉRAUX

Coronel mayor / Comodoro de marina / Comodoro mayor (OF-8)
A l’inverse des officiers supérieurs, les officiers généraux ne gèrent pas sur un plan opérationnel une unité combattante, mais assurent la bonne articulation de plusieurs d’entre elles, pour les inscrire dans des opérations d’envergure complexes, ils supervisent autant des formations militaires que les manoeuvres stratégiques portées par plusieurs d’entre elles. Dans le cas de la marine, le comodoro est le premier grade d’officier général à qui peut être confié le commandement d’une flotte de guerre majeure, avec par exemple une dizaine de bâtiments pour la composer.

General de Brigade / Contralmirante (OF-9)
Comme son grade l’indique pour l’armée de terre, le général de brigade a dans son périmètre la bonne gestion d’une formation militaire à l’échelle d’une brigade, soit environ 5 000 à 8 000 combattants, le choix de confier une unité militaire à ce grade s’inscrit avec la logique par le fait qu’une brigade, tout comme une division, sont des unités suffisamment importantes pour entretenir l’autonomie nécessaire à la conduite de manoeuvres stratégiques et non plus tactiques. De ce fait, si les officiers généraux ont en charge la supervision des manoeuvres stratégiques, ils peuvent légitimement prendre la tête d’une brigade pour être au fait des moyens à disposition dans son accomplissement. Dans la marine fédérale, le contralmirante occupent des prérogatives identiques, à ceci près qu’il supervise des manoeuvres strictement navales et laisse à un autre officier général de l‘armée de terre, le déroulé d’opérations de débarquement ou amphibies. Au sein d'une flotte importante, confiée à un vicealmirante ou un almirante lui-même, le contralmirante peut se voir confier la supervision des opérations de débarquement ou toutes manœuvres amphibies ainsi qu’aéroportées depuis un navire.

General de División / Vicealmirante (OF-10)
Les missions principales de ce grade varient peu de celui précédent, nourrissant uniquement sa distinction quant à l’ampleur du contingent confié et donc l’étendue des opérations permises, compte tenu par les moyens croissants placés sous son commandement. Chargé de superviser une division, le Général de División / Vicealmirante a dans son périmètre pas moins de trois brigades, soit un contingent estimé entre 20 000 et 30 000 combattants. Ramené à l’échelle de la marine fédérale, ce grade permet le commandement d’une flotte de guerre de plusieurs dizaines de bâtiments.

General de cuerpo de Ejército / Almirante (OF-11)
Dernier grade pour les officiers généraux de leurs armées respectives (terre, mer et air), ces commandants peuvent indistinctement prendre la tête de contingents associés qui sont d’ordinaire estimés à plusieurs divisions, soit 50 000 à 80 000 personnels. Pour le cas de l’almirante, ce dernier peut donc superviser plusierus dizaines de navires inscrits au sein de plusieurs escadres, comme il en a par exemple été question lors des opérations navales au Kronos afaréen, où l’almirante Isodoro Leguizamo s’est vu confier une quarantaine de bâtiments alguarenos positionnés sous une flotte de guerre et une flotte auxiliaire, pour porter un coup fatale à l’administration kronienne en Afarée.

General de Ejército (OF-12)
Le General de Ejército est le dernier galon des institutions militaires fédérales et vient par conséquent, s’affranchir de toutes logiques d’armée, afin d’entretenir une autorité complète sur les formations militaires des armées fédérales de terre, de la mer et de l’air. Le grade ne saurait par conséquent être autrement occupé que par une unique personne. Il est placé sous l’autorité directe de la Présidence fédérale d’Alguarena.
POLITIQUE


Coalition de la Manifestation Populaire Fédérale (MPF)


Logo coalition Manifestación Popular Federal
La Manifestación Popular Federal réunit les partis libéraux et fédéralistes d'Alguarena, qui oeuvrent ardemment pour développer les prérogatives fédérales sur celles nationales.


Chef(fe)s de la coalition
  • Isabella Cortez : 1994 - 2001
  • Rafael González : 1990 - 1993
  • Diego Ramirez : 1982 - 1989
  • María Torres : 1975 - 1981
  • Elena Morales : 1970 - 1974
  • Javier Spiterrès : 1961 - 1969
  • Alessandro Mutaruiz : 1943 - 1960
  • Felipe Navarró : 1937 - 1942
  • Gustavo De La Cruz : 1929 - 1936
  • Ortega Montenegro : 1922 - 1928
  • Isidor Lamperaga : 1909 - 1921
  • Joaquín Mendosa : 1894 - 1908
  • Diego Montalbán : 1880 - 1893
  • Marceló Herrera : 1864 - 1879
  • Julián Bañuelos : 1833 - 1863

Naissance et contexte du Parti

La coalition de la Manifestation Populaire Fédérale (MPF) est apparue très tôt dans le paysage politique alguareno puisque c'est de ce mouvement, qu'est née la Fédération en 1833. Néanmoins à son commencement, celle-ci portait un autre nom, tel que le Federal People's Rally (soit le mouvement fédéral du peuple) puisque l'anglicisme était à l'époque monnaie courante. Il faudra attendre la réforme du 31 août 2004, pour que les institutions du pays soient à nouveau hispanisées et qu'elle invite à une nouvelle dénomination des principaux partis nationaux et fédéraux. L'actuel MPF saisit alors l'occasion pour renaître sous de nouveaux traits et marquer le changement qu'il a lui-même aspiré à travers cette réforme.

Coalition historique de la Fédération, la Manifestation Populaire Fédérale (MPF) a longtemps été présidée par des hommes avant de marquer le pas dans l'ère du temps, avec l'intégration croissante de figures politiques féminines, et qui occupent à ce jour des fonctions plus longuement que précédemment.

Objectifs Principaux :

Néolibéralisme : Bien que la MPF ait longuement investi son temps et sa voix dans l’Organisation des Nations Commerçantes, cette coalition ne souhaite qu'assez peu régir les relations économiques qui en lient les membres, cantonnant des mesures fortes et restrictives, à l'installation d'un cadre sécuritaire pour permettre la tenue d'un libre échange entre les états-membres d'un espace identifié. Une volonté aisément affichée, dans la création d'une liste des personnes jugées dangereuses et recherchées, pour leurs atteintes à l'expression d'un libre échange. Par sa large contribution à l’Organisation des Nations Commerçantes, la MPF espère finalement matérialiser une forme d'Internationale Libérale à travers elle, où les libertés d'entreprendre et d'échanger y sont défendues.

Qu'il soit question d'une organsiation internationale telle que l'Organsiation des Nations Commerçantes ou bien de la Fédération l'Alguarena elle-même, eu égard à ses états fédérés, la MPF soutient des actions de règlementation internationale pour paradoxalement soutenir une déréglementation à un niveau local, et ainsi soutenir l'émancipation des acteurs économiques.

Monétarisme : Après l'échec de l'adoption d'une monnaie internationale davantage destinée à libérer les transactions commerciales plutôt qu'à les régir, la MPF va successivement militer pour la convertibilité des monnaies papier en or et l'identification d'une valeur internationale servant d'étalon aux échanges : l'unité monétaire internationale, théorisée par un économiste proche de ce parti et relançant définitivement le parti dans une pensée monétariste. Une pensée accentuée par le contexte économique local puisque l'Alguarena est un pays producteur aurifère, l'introduction de l'or parmi les moyens de paiement, sur la base d'un cours déterminé en unité monétaire internationale, serait à même de garantir la solvabilité de ses institutions, de ses banques, dans le cas où la pesetas alguarena verrait sa valeur sensiblement flancher.

Monopole de la violence légitime à l'état : Inscrite dans une volonté de fédéraliser les institutions arcoanes, heenylthaines ou encolanaltèques, et de poser un cadre sécuritaire pour le déroulé serein des initiatives économiques à l'intérieur et l'extérieur des frontières, la MPF (et les partis affiliés au sein des états fédérés) milite ardemment pour le démantèlement des forces de sécurité désolidarisées des institutions fédérales, à commencer par les groupes d'autodéfense, heenylthains, arcoans ou encolanaltèques. Un combat partiellement réussi, avec le désarmement de certains groupes d'autodéfense principalement heenylthains.

Écologisme pragmatique : La MPF inscrit son action écologique dans la préservation de la santé de ses citoyens et dans sa capacité à soutenir un secteur industriel marqué par le déficit de matières premières. On ne saurait donc dire de cette coalition qu'elle adopte un écologisme de conviction mais de circonstances, pour développer les dynamiques consuméristes qui font la fortune des acteurs économiques, à l'échelle fédérale et internationale.

Interactionnisme symbolique : Placée sous la logique de l'émancipation des initiatives individuelles et des libertés d'entreprendre, la MPF lutte contre le déterminisme social, en favorisant la diffusion d'une série de symbologies en société, pour influencer positivement les comportements individuels et les aider à s'inscrire dans un schéma vertueux au service du plus grand nombre. Ainsi, il est fréquent que les partis assimilés à la MPF fassent grand cas de la valeur martiale des armées fédérales d'Alguarena, ou bien qu'ils travaillent à l'assainissement de certains comportements jugés immoraux, avec ou sans l'influence de l’Église catholique. Une démarche corroborée par la vision stéréotypée du modèle de réussite véhiculé dans la société civile.


Réalisations et combats politiques notables :
  • Valorisation de l'identité culturelle, par la création de musées culturels fédéraux et la nouvelle dénomination des institutions, faisant de la Fédération d'Arkencheen la Fédération d'Alguarena. (ADOPTEE : phase 1, phase 2).
  • Création 'une monnaie internationale pour les échanges mondiaux : l'ECOBELT. (ADOPTEE).
BIOGRAPHIES


CONFIDENTIEL - MARTHA FULTON, PERSONNALITE PUBLIQUE.


Portrait de Martha FULTON / IRL : Eva Joly.

Avant-propos

Martha FULTON est, à proprement parler, une alguarena heenylthaine, de par sa naissance à Pragmond dans l'Ealedun, le 11 novembre 1936. Diplômée d'institut politique, elle s'est engagée comme militante à ses vingt ans, avec pour motivation de contribuer à accompagner les projets économiques à l'échelle fédérale. Arrivée dans le cabinet d'Isabella Cortez à 44 ans, certains diront d'elle qu'elle a coconstruit la victoire de celle qui fut la prédécesseuse de Mazeri Abrogara : Isabelle Cortez, présidente fédérale de 1994 à 2001. Installée dans les sphères politiques proches du pouvoir, elle est depuis cette date de toutes les campagnes, faisant d'elle l'un des visages les plus connus et reconnus de la scène internationale.

Évènement marquant

Les mauvais esprits associeraient volontiers le profil de Martha FULTON, à l'image d'une personnalité sénile incapable de changer et profondément conservatrice, de forme et de fond. Mal leur en prendrait puisque la longévité du personnage, au sens figuré entendons-nous, est largement associée à sa capacité à adapter son jeu et à identifier les figures montantes, d'un paysage politique alguareno qu'on ne présente plus autrement que carnassier.

Largement identifiée, à tort ou à raison, comme la principale contributrice du succès électoral d'Isabelle Cortez, lors de sa victoire aux élections présidentielles fédérales de 1991, Martha Fulton s'est faite surnommer par certains de ses pairs, non sans ironie, "la faiseuse de reines". Une allusion à mettre directement en relation au parti pris dans les campagnes présidentielles d'Isabelle Cortez et huit ans plus tard, de Mazeri Abrogara.

Promue au rang de conseillère fédérale aux affaires étrangères, Martha Fulton y voit là sa sortie de l'ombre, pour laisser un héritage politique à son nom dans une vie professionnelle largement consacrée aux autres. Jugée disgracieuse et peu attrayante, Martha Fulton a en effet longtemps été éloignée des arcanes du pouvoir soumises à une forte visibilité. "Elle porte l'austérité avec la même facilité qu'un fermier porte le sombrero" disait assez justement un de ses homologues au département fédéral des affaires étrangères. Mais si sa carence en bonhommie était un frein notable pour la confronter aux électeurs et leurs suffrages, l'expertise et la gravité donnée aux sujets confiés ont su l'introduire avec un certain brio auprès des autres dignitaires étrangers.

Par ailleurs, l'entrée de la Fédération d'Alguarena au sein de l'Organisation des Nations commerçantes, en temps que membre fondateur, donne un poids supplémentaire à la visibilité du départmeent des affaires étrangères puisque la politique étrangère alguarena est davantage sollicitée, en corrélation avec les décisions de l'ONC, ou pour simplement la commenter.

Cependant jugée bien "trop vieille" pour de nouvelles ambitions politiques, et ça, Martha Fulton elle-même semble l'avoir confessé, la "vieille dame" terminera sa carrière politique au département fédéral des affaires étrangères, avant de déclarer sa demande de retraite en février 2013, au profit de Simón Velázquez, voué à lui succéder.

Réalisations

  • Gestion de crise du missile balistique alguareno tiré par l'armée impériale franciscaine en Damanie, sur un aéroport international.
  • Internationalisation de la Fédération d'Alguarena, dans une phase de mondialisation croissante, de 2002 à 2013.
  • Création de l'Ecobelt avec les autorités saint-marquoises.
  • Réchauffement des relations diplomatiques avec des anciens états belligérants.
  • Diplomatie étrangère dans un contexte de tensions croissantes avec le Grand Kah, le Pharois Syndikaali et les Malyshevites, dont l'invasion du Prodnov entraine l'attaque du contingent international de maintien de la paix sur place.
  • Diplomatie avec le Grand Kah sous état de guerre, après l'attaque aérienne kah-tanaise de février 2007, au sein de l'espace aérien alguareno.
Référence

ARMEE

GRUPO DE COMBATE - EJERCITO FEDERAL DE ALGUARENA.


Vue aérienne.
Vue aérienne d'un groupe de combat, ici engagé aux côtés de chars d'assaut.


Le groupe de combat est la plus petite des formations militaires motorisées, si l'on exclut les binômes et les trinômes de fantassins qui opèrent sans cet appui feu. La formation s'articule autour d'un véhicule de combat blindé, principalement un transport de troupe pour permettre la progression couverte de l'infanterie mais ce véhicule est possiblement remplacé par un char ou un blindé équipé d'ATGM (armement antichar guidé). Le groupe de combat est comme son nom l'indique, une unité de contact avec l'ennemi, l'équipement en dotation, a vocation à leur conférer un certain degré d'autonomie sur le champs de bataille.

Un degré d'autonomie qui se traduit déjà par l'importance de la puissance de feu, partagée entre les armements antipersonnel et antichars, mais aussi dans la polyvalence des missions annexes qui leur possible de remplir sur un théâtre de guerre, comme des manœuvres de désencombrement d'un accès routier, l'assistance aux blessés avant évacuation par une unité spécialisée, l'installation de fortifications défensives légères (sacs de sables).

Pour sa composition en elle-même, le groupe de combat peut s'appuyer sur un véhicule blindé, dédié au combat ou au transport de troupes selon les objectifs tactiques en mission, et de douze combattant(e)s d'infanterie, auxquels s'ajoutent les membres d'équipage du véhicule.

Le groupe de combat est articulé autour de différents grades propres à l'armée fédérale. Il est généralement placé sous le commandement d'un segundo suboficial (OR-7), qui appartient à l'équipage du véhicule. Cependant, lorsque plusieurs groupes de combat sont déployés simultanément, c'est un teniente (OF-2) qui remplace l'un d'eux sur un des groupes de combat, pour commander l'ensemble. Si le chef de char ou de véhicule prend la tête du groupe de combat, l'infanterie déployée a aussi à sa tête un sargento de primera (OR-5), qui va pouvoir accompagner ses hommes dans la capture de bâtiments et encadrer toutes les manoeuvres d'infanterie sur le terrain de façon très opérationnelle. Différents soldats du rang, allant du grade de cabo (OR-2), sargento de tercera (OR-3) et sargento de segunda (OR-4) sont également présents pour l'épauler mais dépourvus de liens hiérarchiques, ils sont là pour entretenir un lien fonctionnel avec la troupe et prendre la responsabilité de certaines tâches/certains équipements, à l'instar du lance-missiles antichar, de la mitrailleuse lourde ou encore des actions de reconnaissance tactique.

Composition du grupo de combat / groupe de combat (CONFIDENTIEL)

ORBAT du groupe de combat.
Ordre de bataille du groupe de combat - clic gauche pour agrandir

Unité mécanisée
  • 1 véhicule de combat d'infanterie ou 1 transport de troupes blindé ou 1 véhicule blindé léger ou 1 char léger ou 1 char d'assaut.
  • 3 soldats professionnels (selon équipages requis pour le modèle de véhicule retenu)
  • 3 armes légères d'infanterie
  • 4 mines antipersonnel
  • munitions et ravitaillement divers

Unité d'infanterie
  • 12 soldats professionnels
  • 12 armes légères d'infanterie
  • 1 lance-missiles antichars
  • 1 mitrailleuse lourde
  • 2 lance-roquettes
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