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[PRESSE] Agence fédérale de presse - Page 8

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8 mars 2014 - Une organisation internationale pour la promotion des cultures natives, la présidence fédérale d’Alguarena se déclare intéressée pour son développement.


Panorama des cultures natives d'Aleucie et de Paltoterra
Plusieurs associations culturelles natives ont été sollicitées par la présidence fédérale, pour se faire représenter au sein d’un projet d’organisation international défendu par l’Akaltie.


Nelzoh Ixcabatl est le président “d’Esprit nahuati” une association chargée de promouvoir l’histoire des peuples natifs avant l’apparition de l’histoire coloniale de l’archipel. Comprenez par là un travail et un devoir de mémoire ambitieux mais qui pourtant, n’avait jusqu’ici trouver les encouragements de l’état archipélagique. “La présidence fédérale de Mazeri Abrogara a largement défendu une institutionnaliste de l’Histoire nationale, soutenant sa politique de promotion par le biais des programmes scolaires et universitaires agréés plutôt que des relais privés.

Une piqûre de rappel faite à la première puissance mondiale, qui doit travailler la commémoration de ses peuples fondateurs, largement relégués derrière les pages d’un livre d’histoire traitant de la catholicisation de l’archipel.

Si les institutions sont ouvertes à la réintégration, voire la valorisation du passé natif pour l’Histoire nationale, force est de constater que des études anthropologiques sont encore nécessaires pour déterminer l‘étendue d’un tel héritage, en quête de reconnaissance. C’est à ce compte là que les associations de défense des modes de vie natifs, peuvent trouver une place durable et le franchissement d’une première marche vers l‘obtention de subventions internationales.

“Actuellement, les associations culturelles et commnautaires ne peuvent percevoir aucune subvention de la présidence fédérale, qui identifie un caractère discriminant au fait de subventionner certaines associations ou pas d’autres, ou sur un montant x et un montant y pour l’autre…

Subventionner les associations communautaires natives, c’est s’obliger à subventionner les cultes protestants, catholiques et animistes, voire caaganistes de la Fédération, jusqu’où poser la limite?” explique Isaura Perùgga, une haut-fonctionnaire du département fédéral pour la recherche, le développement humain et les sports. “Notre capacité à instruire des projets d’organisations culturelles internationales permettra de professionnaliser les associations à l’origine des demandes de subventions et donc de faire un tri naturel et juste, au regard de nos actuels critères d’appréciation… La portée internationale de cette organisation compterait pour beaucoup dans l’identification et la reconnaissance des associations communautaires éligibles.”

Ainsi, le projet d’organisation internationale communautaire trouve un écho bien favorable en Alguarena, fut-il dédié aux seules communautés natives d’Aleucie et de Paltoterra. Par cette initiative, une instance internationale pourrait bien offrir à Mazeri Abrogara et son gouvernement, les cartes nécessaires pour subventionner équitablement l’ethnologie, grâce à l’installation de critères indiscutables localement et qui auraient pu, en leur absence, taxer le gouvernement de communautarisme. Il est vrai qu’en matière de résurgence identitaire, la présidence fédérale de Mazri Abrogara s’est déjà adonnée à quelques initiatives, à commencer par la modification du nom de la Fédération d’Arkencheen, devenue Fédération d’Alguarena en 2004 et l’hispanisation de toutes les institutions officielles, faisant de la langue hispanique la langue officielle avant l’anglais.

Le projet d’organisation internationale pour la promotion des cultures natives d’Aleucie et de Paltoterra, un allié utile pour la réaffirmation identitaire de l’Alguarena? Certains se permettent de le croire indiquant une convergence et une opportunité manifeste pour la programmation culturelle alguarena, débutée en 2004 par les réformes préalablement citées. Promouvoir les cultures natives, c’est rappeler que l’archipel alguareno s’est construit sur des bases solides avant même l’ère coloniale, rencontrant la prospérité au travers de l’un des empires régionaux les plus historiques : l’Empire du Mazaticue.
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3 novembre 2014 - Dépenses au budget de la défense, "ce qui flotte nous coule" ironise Bianca Barrios, la conseillère fédérale à la finance et à l’économie.


Navire en cale sèche
Dans un contexte international porté par le démantèlement du Pharois Syndikaali et la hausse des coûts financiers autour de l'entretien des marines nationales, la question de sa taille est partie intégrante de la définition budgétaire 2015-2018.


"Près de deux cents quarante entreprises alguarenas ou entreprises, sont liées de près ou de loin à l'entretien des bâtiments de la marine fédérale. J'entends les contraintes budgétaires qui sont les notres, mais entendez les enjeux sociaux, ou même encore les simples craintes formulées à travers la population, si nous persistons à dire que nos armées sont un luxe et que les moyens alloués à leur protection, le sont également" s'insurge en ces mots Ulvèz Perogalata, député fédéral sous l'étiquette Liga pro Federación de Naciones (LFN) et adhérent au groupe parlementaire de la LIGA DE SOBERANISTAS (LS).

"Il n'y a pas plus prospère pour les citoyens alguarenos qu'une ère de paix et de désarmement mondiale. La réduction des moyens actuellement dédiés aux forces navales fédérales, sera à même de débloquer des fonds supplémentaires pour la mise en place de politiques sociales, tournées vers la santé et l'éducation du plus grand nombre. L'armée fédérale alguarena est une réponse à la menace que certains états et groupuscule ont souhaité faire peser sur notre Fédération, force est aujourd'hui e constater et réjouissons-nous de cela, que ces menaces apparaissent bien résiduelles et ne justifient plus l'entretien d'un arsenal militaire tel que celui que nous connaissons. On ne produit pas de richesses plus sûres et durables que celle qui s'affranchit des armes..." Lui a alors répondu Valentina Curbelo, vice-présidente pour la Fédération d'Alguarena et directrice de la communication institutionnelle affiliée à Islas Unidas (IU) le parti fédéraliste de la Heenylth.

Et chacun n'a pas fini d'y aller de ses arguments, défendant des perspectives tantôt nationales et internationales, intrinsèquement liés à la situation du Pharois Syndikaali et la hausse du coût des matériaux ainsi que des entretiens imputables aux flottes de guerre.

"En 2014, tous les pays veulent une flotte de guerre, c'est l'acquisition principale et de premier ordre pour un bon nombre d'entre eux. La Vice-Présidente n'expose que la moitié des facteurs invitant à une réduction des moyens militaires lorsqu'elle parle d'une accalmie mondiale. La vérité est aussi que, l'importance donnée à l'acquisition d'une flotte de guerre par de nombreux pays, s'est faite croissante et vient par conséquent, chambouler les marchés portant acquisitions des matériels et des compétences humaines, nécessaires à la construction et l'entretien es bâtiments..." souligne l'économiste Felicity Edminston. "Les différents types d'acier mobilisés pour sa construction, le carburant consommé pour ses manoeuvres quotidiennes, le coût des personnels engagés à son bord, sont des arguments valables dans la décision politique défendue par la présidence fédérale de Mazeri Abrogara, reste qu'il est moins évidente à assumer que celle d'un monde en passe de se pacifier. Dans le premier cas, vous avouez des erreurs de trajectoire dans la politique budgétaire de votre pays, dans le second, vous vous félicitez des investissements entrepris et tracez une corrélation directe entre votre capacité de dissuasion et le tarissement des menaces entourant vos sphères d'influence. Les options étaient limitées et on comprend aisément que la présidence fédérale Abrogara ait fait le choix d'entamer une communication positive, autour de l'arrêt des productions navales et la mise au rebut de certains bâtiments jugés bien obsolètes..."

Pour appuyer cette communication, le gouvernement fédéral Abrogara peut largement s'appuyer sur le démantèlement du Pharois Syndikaali, un foyer pour l'institutionnalisation de la piraterie, qui a mobilisé des années durant, des capitaux alguarenos légitimes, pour porter la sécurité des routes commerciales maritimes au dessus de la pile des sujets gouvernementaux. Des propos mélioratifs, pour vanter la politique étrangère et sécuritaire d'Alguarena, mais qui tranche ceux relatés par Bianca Barrios, la conseillère fédérale à la finance et à l’économie qui, en réunion plénière des conseillers fédéraux aurait avancé l'idée que "ce qui flotte nous coule", sous-entendu indiscutable, pour affirmer le poids financier de la flotte de guerre alguarena, sur le budget de la défense et à fortiori, fédéral.

Des propos qu'aucun officiel n'a, rappelons-le, souhaité confirmer ou commenter.
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