ÉDITION DE NOVEMBRE 2011
L’heure de choisir le chemin que prendra Novigrad pour la prochaine décennie est finalement arrivée. En ce jour du 18 novembre 2011, les électeurs novigradiens sont attendus pour le premier tour de l’élection à la tête de l’État. Une élection historique alors que les deux blocs politiques favoris, libéraux et conservateurs, s’affrontent depuis déjà près de dix mois en prévision de ce moment fatidique. Cette élection est d’autant plus attendue qu’elle avait été repoussée d’une année à la suite des troubles et des menaces en provenance de la Kaulthie et du Prodnov. Pour l’occasion, le ministère de l’Intérieur a annoncé le déploiement de quelques milliers de policiers supplémentaires pour maintenir l’ordre autour des bureaux de votes. Plusieurs manifestations autant de l’extrême droite que de l’extrême gauche étaient d’ailleurs attendues dans les principaux centres urbains du pays. À la fin de la journée le taux de participation était de 78%, un record depuis l’avènement de la troisième république fédérale !
À l’annonce des résultats, les militants panhellénistes du Dr Makos se sont rassemblés en nombre sur le vieux-port de Novigrad. C’est un score inattendu pour celui qu’on taxait encore il y a quelques mois de candidat de paille dans la plupart des médias. Surexcité par la présence de ses partisans, le Dr Makos s’est confié à notre correspond, il s’est dit « très heureux de voir que de plus en plus de novigradiens prennent conscience du destin qui est celui de notre race » Il nous a ensuite assuré vouloir continuer à porter son idéologie sur la scène politique. « J’annonce mon soutien à Konstantin de Gotha, il est désormais le seul à pouvoir empêcher la destruction de nos traditions par les libéraux. J’espère d’ailleurs pouvoir collaborer avec lui à l’avenir. »
Du côté des républicains, les résultats de l’élection sont tombés comme un marteau sur la foule de militants qui se tenaient devant l’hôtel historique du Parti dans le centre de la capitale. Ils s’attendaient à une bataille électorale difficile mais sûrement pas à une avant-dernière place. Le sénateur Kostov a cependant accepté de nous confier quelques mots « Bien sûr, je suis très déçu du résultat. Nous vivons semble-t-il des temps troublés et c’est pourquoi notre peuple ne doit pas se laisser séduire par les discours extrémistes. J’apporte mon soutien à Madame Antov, une femme déterminée qui sait ce qu’il faut pour notre avenir. »
Mais c’est du côté des socialistes que la déception est la plus forte. Le sénateur Petrov a refusé de répondre à nos sollicitations, il s’est néanmoins annoncé « outré » sur les réseaux sociaux. « C’est la preuve de l’influence des capitalistes sur notre société. Ils souhaitent la mort de nos idées sociales, mais nous ne nous laisserons pas faire, je le promets ! »
Du côté des républicains, les résultats de l’élection sont tombés comme un marteau sur la foule de militants qui se tenaient devant l’hôtel historique du Parti dans le centre de la capitale. Ils s’attendaient à une bataille électorale difficile mais sûrement pas à une avant-dernière place. Le sénateur Kostov a cependant accepté de nous confier quelques mots « Bien sûr, je suis très déçu du résultat. Nous vivons semble-t-il des temps troublés et c’est pourquoi notre peuple ne doit pas se laisser séduire par les discours extrémistes. J’apporte mon soutien à Madame Antov, une femme déterminée qui sait ce qu’il faut pour notre avenir. »
Mais c’est du côté des socialistes que la déception est la plus forte. Le sénateur Petrov a refusé de répondre à nos sollicitations, il s’est néanmoins annoncé « outré » sur les réseaux sociaux. « C’est la preuve de l’influence des capitalistes sur notre société. Ils souhaitent la mort de nos idées sociales, mais nous ne nous laisserons pas faire, je le promets ! »