RUBRIQUE
FLASH INFO
LE CALME
APRÈS LA TEMPÊTE
Édition du 20 Octobre 2003
Après le passage de la tempête hivernale, les riverains de Bluepont commencent à déblayer la neige avant l'arrivée de l'Armée Civile NationaleLe 18 Octobre, vers 20h, la tempête hivernale d'intensité record, commençait à se déplacé vers le sud du pays mais cette fois-ci avec une amplitude moins importante que celle relevée dans la Région de Grandlake.
Selon le Centre Météorologique de Mont-Law, les températures devraient à nouveau s'adoucir dans les heures qui suivent et les chute de neige se sont arrêtées.
Le lendemain de 18 octobre, Les estimations, que les scientifique du Centre Météorologique de la Capitale Nationale avaient faites, s'avéraient être faux puisque la tempête n'a duré que deux jours.
La tempête hivernale a perdu son intensité en allant vers le sud et s'est transformée en une petite perturbation d'une importance assez mince. Néanmoins, par mesure de sécurité, l'aéroport international de Mont-Law a dû fermer ses portes le temps que cette perturbation passe.
L'alerte rouge maximale a été levé aux alentours de 18h dans la Région de Grandlake, le Président, ayant écourté sa visite en Hausmanie, a déclaré que toute la région du nord serait en état de « zone de catastrophe naturelle ».
Aujourd'hui, le passage de la tempête hivernale a laissé une trace blanche dans la régions de Grandlake. La neige s'est arrêtée et va permettre à l'Armée Civile Nationale, qui a été mobilisée dès le début de l'épisode neigeux, à commencer l'opération de déblaiement des routes et permettre aussi à l'entreprise nationale des énergies de remettre en état le réseau électrique là où la neige, du fait de son poids, a coupé des lignes électriques dans certains quartiers de Bluepont et par endroit dans la région.
C'est la première fois que la Région de Grandlake était en proie à ce genre de phénomène climatique, mais heureusement aucune victime n'est à déclaré durant cet épisode hivernal. Mais les écoles, lycées et parcs vont rester fermés durant tout le processus de déblayage.
Journaliste : Natalia Calfas