[Affaires Étrangères / Foreign Affairs / Ofirur Idroigirn] Bureau du Premier Conseiller / Prime Consellor Office / Bóra tua Chaisihir Primhirun. - Page 17

Bureau du Maître de l'Arsenal

Au Bureau du Premier Conseiller de la République de Sainte Marquise, le Patrice, le Sénat et le Conseil Communal de Velsna te salue.

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De : Henry Chapuis, ministre des Affaires étrangères de la République monarchique et démocratique Galliènne.
A : Stéphanie Tradewell, Premier conseiller de Saint-Marquise
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Cher Premier Conseiller

Que paix, prospérité et liberté soit sur vous et votre fière nation. Au nom de la République Galliènne, j'ai le privilège de vous adresser les chaleureuses salutations de mon peuple.

Moi et mon gouvernement avons constaté des similitudes entre nos deux nations, l'indomptable quête de liberté et de démocratie semble vous aussi vous être chère. C'est pour cela que j'engage avec ferveur, l'intention d'une coopération diplomatique entre nos deux nations. Mon souhait est de rependre en Aleucie et partout dans le monde le modèle libérale et démocratique qui mène a la gloire et a la prospérité tant économique que sociétale.

J'ai comme intention d'entamer une discussion avec les pays frontalier a la Gallie afin de normaliser les accords bilatéraux et l'interventionnisme multilatérale. Je vous démarche alors dans l'envie de créer des ambassades dans nos capitales et d'entamer des dialogues sur tout domaines.

Je suis convaincu que nos dialogues serviront nos intérêts communs et chasseront les régimes oppresseurs et néfaste aux développement humain et a la liberté démocratique.

En espérant bonne réception de cette lettre et en vous remerciant de votre future réponse, je vous prie d'agréer, monsieur le premier conseiller, l'expression de mes sincères salutations.

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De : Henry Chapuis, ministre des Affaires étrangères de la République monarchique et démocratique Galliènne.
A : Stéphanie Tradewell, Premier conseiller de Saint-Marquise
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Madame,

Permettez moi tout d'abord, au nom de mon peuple, de vous remercier sincèrement quant à la réception de ma première requête.
Je pense que la création d'ambassade dans nos nations respectives ne serait que bénéfique et sonnerai l'ouverture de nos relations diplomatique.
Au plaisir du prochain contact et en vous adressant mes salutations distingués.

Henry Chapuis, ministre des affaires étrangères en Gallie

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De : Henry Chapuis, ministre des Affaires étrangères de la République monarchique et démocratique Galliènne.
A : Stéphanie Tradewell, Premier conseiller de Saint-Marquise
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Madame,

L'enthousiasme quant au développement de notre relation diplomatique est partagé.

La construction de l'ambassade s'est achevé ce matin et elle est au 5 rue du Lavorier dans notre chère capitale St-Malau. Nous avons par ailleurs accueillis votre diplomate Alan Montrock plus tôt dans la journée. Le contact fut excellent et rien qu'en dialoguant avec votre diplomate, on remarque le talent qu'il possède malgré son jeune âge.

Un avions contenant notre ambassadeur Julien Kolm devrait arriver sur votre sol dans la journée, il se rendra au 32 Boulevard des Nations, Mont-Law comme convenue. En espérant que tout se déroule comme souhaité.

Pour la gloire de notre relation, veuillez madame, recevoir mes salutations distinguées.

Henry Chapuis, ministre des affaires étrangères de Gallie

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De : Henry Chapuis, ministre des Affaires étrangères de la République monarchique et démocratique Galliènne.
A : Stéphanie Tradewell, Premier conseiller de Saint-Marquise
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Madame,

C'est avec plaisir d'entendre votre enthousiasme quant à la rencontre entre nos deux gouvernements. M. Sidor, chancelier de Gallie aimerai également rencontrer M. Joshua Andrew Caleb. L'enjeu est de pouvoir discuter de divers sujets et tenter d'élaborer une coopération tant économique que sociale.

Nos agendas sont également très chargés, j'ai une date libre le 10 septembre, en espérant que cela vous convienne. Au plaisir de vous rencontrer sur votre sol.

En attendant votre réponse, veuillez madame, recevoir mes salutations distinguées.

Henry Chapuis, ministre des affaires étrangères de Gallie

De: Bertrand Thévenet
Ministre des affaires étrangères
Mazanala
Oskallie


Bonjour madame la Premier Conseiller de la République Stéphanie Tradewell,

Je vous envoie cette missive, car je voudrais vous proposer un projet, ou celui-ci et de mettre une monnaie commune pour le continent aleucie.
Celui-ci pourra surement aider le commerce aleucien, et potentiellement être la monnaie la plus puissante internationalement.
Je vous propose de réfléchir à ce projet en se réunissent à Mont-Law, au début du mois octobre.

en attendant une réponse, Veillez agréer mes sincères salutations, Bertrand Thévenet

Cordialement

MIS À JOUR




Portrait de Stéphanie Tradewell

A l'attention de Madame le Premier Conseiller de la République, Stéphanie Tradewell,




Bien cordialement,

A l'attention de Madame le Premier Conseiller de la République, Stéphanie Tradewell,



Bien amicalement,

A l'attention de Madame le Premier Conseiller de la République, Stéphanie Tradewell,


Bien amicalement, à bientôt.

A l'attention de Monsieur Joshua Andrew Caleb, Président de la République de Saint-Marquise,


Bien amicalement, à bientôt.

A l'attention de Monsieur Joshua Andrew Caleb, Président de la République de Saint-Marquise,


Bien amicalement, à bientôt.

A l'attention de Monsieur Joshua Andrew Caleb, Président de la République de Saint-Marquise,


Bien amicalement, à très bientôt.

De la part de :
Henry Takajiwa, Ministre fédéral aux affaires étrangères de Westalia,
Columbia, Grande République de Westalia

A l'attention de :
Stéphanie Tradewell, Premier Conseiller de la République de Saint-Marquise
Mont-Law, République de Saint-Marquise

Objet : Réponse à la prise de contact diplomatique


Madame le Premier Conseiller,

La Grande République de Westalia apprécie l'intérêt que vous portez à notre nation et accueillons avec amitié votre demande. Je suis Henry Takajiwa, Ministre fédéral aux affaires étrangères de Westalia. Notre pays est ouvert à l'établissement de relations diplomatiques à l'international. Reposant sur le même continent, bien que plus insulaire pour votre part, c'est une occasion pour la Grande République de se rapprocher un peu plus des autres nations d'Aleucie et acceptons donc votre demande. Si vous souhaitez l'établissement d'une ambassade ou l'organisation de rencontres à notre égard, je vous laisse nous en faire part dans une réponse que je laisse à votre discrétion.

Dans l'attente de notre prochain échange, je vous pris de bien vouloir recevoir mes salutations les plus respectueuses.

CABINET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES DU DUCHÉ

À l'attention de Madame Stéphanie Tradewell, Première Conseillère de la République de Saint-Marquise.

Madame, si je prend contacte avec vous aujourd'hui, c'est pour relancer une dynamique positive dans les relations entre le Duché de Gallouèse et la République de Saint-Marquise, relations fortement ralenties depuis quelques temps. Je n'ai encore jamais eu l'opportunité de vous écrire, cette missive démarre donc également une correspondance. Le Duché a un projet de rapprochement entre nos deux nations à vous soumettre.

Dans le Monde actuel où les tensions s'accroissent, il nous semble que les valeurs que vous avez défendues à Neffies lors de la signature du traité fondateur de l'UNIL, et auxquelles nous avons adhéré par la suite, doivent plus que jamais être défendues. Des valeurs de paix, d'indépendance, de souveraineté, de multilatéralisme, fermement opposé à une conception idéologique du Monde qui est en train de faire des ravages au Paltoterra. C'est autour de ces valeurs que les États-Membres de l'UNIL doivent aujourd'hui faire bloc. Et c'est dans ce contexte de rapprochement que le Duché voudrait se tourner vers la République saint-marquoise. Il s'agit de discuter afin de devenir, l'un pour l'autre, des partenaires de premier plan.

Je vais être tout de suite franc avec vous. Nous souhaiterions pouvoir nous ouvrir à la République de Saint-Marquise, en lui proposant - chose rare - un assouplissement des règles pour entrer le marché intérieur gallèsant. Je sais que votre gouvernement est sensible à ce genre de choses. Bien sûr de telles mesures devront être réciproques. Mais nous ne comptons pas parler uniquement économie. Des échanges, universitaires, stratégiques, etc. pourraient également être sur la table. Et enfin, un volet défense d'un potentiel Traité bilatéral gallo-Saint-Marquois. L'idée vous l'avez compris, est finalement une véritable alliance entre le Duché de Gallouèse et la République de Saint-Marquise. Elle sera bénéfique, j'en suis sûr, à terme, à l'UNIL toute entière.

Je vous laisse méditer ces propositions et revenir vers moi pour me donner votre retour sur l'idée que nous défendons et que nous soumettons à votre gouvernement.

Dans l'attente de votre réponse, je vous prie de bien vouloir agréer, madame la première conseillère, l'expression de mes salutations distinguées.


PSHRP : je suis parti du principe que la Gallouèse et Saint-Marquise entretenaient déjà des relations diplomatiques, comme les deux sont membre de l'UNIL, et que pour les ambassades tout était déjà réglé.