13/08/2013
21:33:45
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Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : Céleste Empire des Ushong de la Dynastie Xin - Trône du Dragon & Ordre de la Tortue
Nom de votre camp de base : XXXIIIe Bannière Ushong
Numéro de la province d'installation : #43608
Code couleur de votre camp de base : #FFD131
Nombre d'habitants de votre camp de base : 250

Contexte de l'expédition :


L'empire des Ushong est une vieille nation, une très très vieille nation et a sans doutes connus l'ensemble des mutations qu'a traversé le Nazum depuis plusieurs millénaires en se maintenant tant bien que mal, ce qui au regard de la naissance et chute d'autres empires, royaumes et nations diverses est autant un exploit qu'un miracle. Ainsi, les dynasties se sont succédé mais la terre des Ushong est demeuré, intacte et immaculée quoique les derniers siècles tendraient à prouver le contraire tant désormais l'Empire a été réduit à peau de chagrin dans les faits même s'il subsiste encore autour de son coeur névralgique et via la Marche Transblême.

Toutefois, et c'est là une curiosité qui a longtemps soulevé des interrogations, qu'importe les tenants du mandats Célestes, qu'il s'agisse des Xin, de leurs prédécesseurs Wong ou de ceux ayant encore régné avant eux, tous sans exception arborent le point commun d'avoir cultivé tout au long de l'histoire impériale un intérêt tout particulier, que certains qualifieraient comme une curiosité un peu trop poussée ou d'autres comme une obsession maladive, pour l'immense Forêt connue de nos jours sous le nom de Pădure. Ce qui peut aisément se comprendre en un sens car après tout autrefois lorsque l'Empire était à son apogée en termes de taille, la lisière de ce bosquet aussi impénétrable que sans fin faisait office de frontière septentrionale par défaut et officia assurément mieux que toutes formes de fortification pour prévenir les raids nomades dans les régions du nord quoique lesdits raids trouvaient toujours moyen de s'infiltrer en faisant le grand tour jusqu'à l'établissement de la marche Transblême qui marqua la fin de toute menace des peuples des steppes.

Quoi qu'il en soit, et car c'est sans doutes le propre des Empires que de s'étendre sans cesse ou tout du moins ce fut autrefois cela, les chroniques impériales dénotent de multiples tentatives, des centaines, si ce n'est des milliers de pénétrer et de conquérir cette région aussi ancienne que mystérieuse, sans aucun succès en dépit des moyens parfois colossaux déployés et qui feraient assurément pâlir les grands oligarques d'Eurysie à la simple vue des chiffres et des comptes décris minutieusement. Mais était-ce réellement la folie des grandeurs et la soif de conquête qui ont alimentés ces projets aussi gargantuesque que démesurés ? A cela, personne ne saurait y répondre même si les théories vont bon train dans le monde, c'est là un secret que le trône du Dragon garde jalousement car celui ci pourrait potentiellement être au fait de certains détails que le reste du globe ignore. Après tout cela fait des siècles que l'Empire jouxte la forêt et entretient de toute évidence une fascination presque suspecte pour cette dernière.

Le lent déclin de l'empire a toutefois fait grandement chanceler cet intérêt et si l'on pouvait penser que les Ushong allaient cesser leurs entreprises comme le bon sens et les innombrables échecs pouvaient pousser à le faire, rien n'en fut. La dernière grande entreprise se déroula au XVIIIe siècle, l'expédition du Général Duan Gengxin, et fut ironiquement la plus réussie des expéditions ayant entreprise quoique ce soit dans ces bois maudits ou plus exactement à l'orée de ceux ci, et ce fut même en ce temps là l'unique succès réel recensé si l'on omet les quelques villes Transblêmes ayant été implantés à la frontière de la forêt.

Par la suite, la force des choses et l'incapacité du Trône du Dragon et des autorités impériales à "vivre avec son temps" força l'Empire à revoir ses ambitions à la baisse et à se concentrer sur ses affaires internes et les divers troubles et défis qui menaçaient l'ordre des choses. Pourtant et aussi curieux que cela puisse paraître, les tentatives d'incursions quoique plus discrètes et largement moins gargantuesques qu'autrefois, ont persisté encore et toujours comme si l'Empire recherchait quelque chose ou quelqu'un absolument au coeur des ténèbres de Padure. Certains on-dits évoqueraient notamment à partir du XIX siècle des prophéties, agenda millénaristes, du mysticisme religieux mais surtout des sociétés et organisations secrètes qui oeuvreraient pour des intérêts secrets du Mandat Céleste. Intriguant.

Quoi qu'il en soit, le Céleste Empire ne semble pas avoir pris d'un très bon oeil l'engouement international retrouvée pour la Forêt et les autorités impériales et encore plus les proches de la Cour siégeant à la Cité Interdite sont semblent-ils très irritables sur le sujet, beaucoup plus que de raison à dire vrai. D'aucun diront que c'est une question de territorialité, après tout Padure est revendiqué par le Grand Duché de Transblêmie, marche impériale de son état, et donc par extension est revendiqué par l'Empire. Concevable. D'autres dirons que la Forêt est un symbole d'échecs constants depuis des siècles, un rappel des multiples expéditions ayant disparus et englouties des quantités de ressources dont les Ushong auraient certainement eut bien besoin pour prévenir leur lent déclin. Véridique. Certains préfèreront soutenir que la Forêt représente surtout la frontières septentrionale historique de l'Empire, au moment où celui ci était à son Zénith, et que la conquête scientifique de cette dernière un enjeu de prestige et de gloire afin de se remémorer un âge d'or révolu depuis longtemps. Probable.

Mais est-ce bien le cas ? La situation semble plus complexe que ça et des rares informations qui sortent quand à ce sujet de la Cité Interdite, aucune ne semble soutenir les trois hypothèses susmentionnés, ce qui tend à laisser perplexe. D'autant plus que dans la foulée de l'engouement national, il semble que le trône ait décidé de mener une énième expédition à travers la Forêt, en se gardant bien de tenir au fait qui que ce soit hormis la Transblêmie. Le nom du Général Deng Gengxin qui se trouve être le descendant de feu Duan Gengxin a notamment été évoquée et des rares on-dits qui circulent, ce dernier s'en irait à la tête d'un Simili de bannière auxquels s'ajoutent un groupe de scientifiques, chroniqueurs et lettrés et serait selon toute évidence fort pressé cette fois ci en comparaison quand à ses prédécesseurs. Sans doutes la pression de la concurrence, à ceci près qu'il n'est pas certains que le Général poursuive la gloire scientifique ou les honneurs d'avoir percé les mystères de Padure le premier. Certaines voix laissent en effet entendre que ses objectifs sont autre part et que le Trône recherche autre chose dans les sous-bois, d'autant plus que la mention d'une "Tortue" revient régulièrement sans que l'on puisse savoir à quoi cela correspond.

Le temps seul dira ce qu'il en est.
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Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : Empire Démocratique et Parlementaire du Nord en collaboration avec l'ONG les Chevaliers du Devoir
Nom de votre camp de base : Camp Phoenix
Numéro de la province d'installation : #44185
Code couleur de votre camp de base : #DF3AFF
Nombre d'habitants de votre camp de base : 600 (175 militaires, 100 scientifiques, 25 médecins, 50 ingénieurs, 150 colons normaux, 25 professeurs, 75 gendarmes, 20 écrivains/journalistes, 30 cuisiniers, 10 artistes, 20 survivalistes professionnels, 10 agents d'État, 10 agents des CDD)


Contexte de l'expédition :

Devant la montée en intérêt mondiale sur cette forêt, l'Empire s'est réintéressé sur ses vieux dossiers concernant ce sujet. Le Mokhaï qui n'était pas très lointains de cette forêt fût souvent utiliser pour les quelque études faites, mais avec la perte de ses territoires, l'Empire dû abandonner cela. Cependant, au vu de la montée grandissante du nombre d'expéditions, a voulu aussi prendre sa part du gâteau. La perte territoriale du Mokhaï fût un grand coup dur pour l'Empire. La reconstitution d'un pied à terre nazuméen était un rêve qui apparaissait impossible, mais cette opportunité ne sera pas loupée par l'Empire. Mais cela n'est pas la seule raison, l'acquisition de prestige international, l'accaparement de ressources, de droits d'exploitations, l'acquisition de connaissances scientifiques plus vastes, tout cela intéresse l'Empire qui va devoir à terme trouver de nouveaux moteurs pour son économique florissante qui verra sa croissance réduite un jour ou l'autre. Les Chevaliers du Devoir, eux aussi, cherchent des opportunités économiques pour faire fonctionner leurs ONG de façon plus indépendante. Tout cela amène à une expédition de grande ampleur avec pleins d'espérances.

L'Empire étant allié du Teyla, a eu un écho plus rapide sur des probables découvertes miraculeuses de la part du chercheur récemment assassiné. Le pays, en recherche de gloire et de renommée internationale, doit d'une part redorer son blason terni par le Mokhaï et le Kronos mais également, cherche à détourner l'attention de la population en vue de l'affrontement législatif sur la proposition de loi relatif à la baisse des impôts. Il use de la même technique avec la nouvelle implication dans le spatial.

Quoi qu'il en soit, l'Empire est assez enclin à investir dans ce projet pour diverse raison d'influence, de ressources et d'opinion populaire. La présence de certains alliés dans l'aventure tels que le Teyla, le Tanska et peut-être le Canta le conforte et il se servira probablement du Fujiwa et du Tanska pour ravitailler ses "troupes".
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Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : Ministère de l'Ecologie de la République Fédérale d'Uusimaa
Nom de votre camp de base : Camp d'Exploration Scientifique Väestois de la forêt de Pădure (CESVP)
Numéro de la province d'installation : #44202
Code couleur de votre camp de base : #F4CC29
Nombre d'habitants de votre camp de base :

  • 56 botanistes et élèves botanistes de l'Ecole Botanique Väestoise
  • 33 scientifiques de l'Université des Sciences et de la Nature d'Uusimaa
  • 21 militaires
  • 8 médecins (dont 2 chirurgiens)
  • 7 zoologistes
  • 3 photographes
  • 2 géologues
  • 2 ornithologues
  • 1 anthropologue

  • -> 133 personnes

    Contexte de l'expédition :

    Malgré sa modernité, l'Uusimaa a toujours entretenu un lien étroit avec la nature. Au fur et à mesure du développement du pays, la curiosité pour les territoires inexplorés qui s'étendaient au-delà de ses frontières s'intensifiait. La forêt de Pădure, entourée de mythes et de légendes, exerçait une fascination qui dépassait les générations. Les récits de son terrain dangereux, de sa flore et de sa faune uniques et de son aura énigmatique ont captivé l'imagination des habitants d'Uusimaa pendant des siècles. Aujourd'hui, une expédition composée de botanistes, de scientifiques et d'autres professionnels partent à la découverte de cette forêt, avant tout pour des objectifs scientifiques.

    L'expédition est née d'une collaboration entre des botanistes, des scientifiques, des géologues et des anthropologues, tous motivés par leurs propres intérêts de recherche. Les objectifs sont aussi divers que l'équipe elle-même :

    Étude de la biodiversité et des écosystèmes : La forêt de Pădure abriterait nombre d'espèces végétales et animales encore inconnues. Les botanistes et les zoologistes espéreraient cataloguer et étudier ces espèces afin de mieux comprendre leurs mécanismes d'adaptation et de contribuer aux efforts de conservation de la région.

    Phénomènes géologiques : Les géologues ont été captivés par les anomalies géologiques potentielles de la forêt. Le terrain laisserait entrevoir la possibilité de formations rocheuses uniques, de compositions du sol et même d'une activité sismique ancienne qui pourrait fournir des indications sur l'histoire de la Terre.

    Interaction entre le climat et l'écosystème : Les scientifiques étudieront la « danse » complexe entre la forêt et le climat. En analysant les données relatives aux précipitations, aux variations de température et à la manière dont l'écosystème de la forêt réagit à ces changements, ils espèrent contribuer à l'élaboration de modèles climatiques mondiaux.
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    Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : République Nationale-Socialiste de Maronhi
    + (Académie maronhienne des sciences)

    Nom de votre camp de base : Kirābetto (abr. de "Kiri no kābetto"; litt. "Carbets des Brumes")
    Numéro de la province d'installation : #47736
    Code couleur de votre camp de base : #EFF633
    Nombre d'habitants de votre camp de base : 500


    Contexte de l'expédition :



    Dans un monde où les recoins les plus reculés de la planète furent, pour beaucoup, explorés maintes et maintes fois, il existait toujours un mystère qui se dressait comme un défi insondable pour les explorateurs et les scientifiques du globe : la forêt de Pădure au cœur du mystérieux continent nazumi. Entourée par des terres hostiles ou closes, Pădure n'avait jamais attiré l'attention des grandes puissances, encore moins de la Maronhi, du fait d'une part de son inaccessibilité et des légendes qui l'entouraient depuis l'Antiquité, et d'autre part en raison du peu d'intérêt qu'accordait la Maronhi aux contrées lointaines. Cependant, une nouvelle ère d'exploration se profile à l'horizon, poussée par des découvertes scientifiques qui pourraient bien révolutionner nos connaissances scientifiques et ainsi rabattre les cartes des puissances mondiales. La forêt de Pădure, à première vue, pourrait sembler être un environnement hostile et infranchissable pour le commun des mortels, mais elle recèle des secrets qui pourraient redéfinir notre compréhension de la faune, de la flore et des ressources naturelles. Celle-ci cache des trésors biologiques uniques, dont des plantes aux propriétés nutritives étonnantes, capables de soutenir l'humanité de manière sans précédent. Le récit de l'explorateur Aurélien Audebert qui parvint jusqu'aux oreilles des grands maîtres de l'Académie maronhienne des sciences, mais aussi jusqu'à celles du gouvernement, présente une nature sauvage déconcertante, accompagnée de spécimens de plantes et de graines inconnues, et qui pourrait bien secouer la communauté scientifique internationale. Les premières analyses de ces spécimens révélèrent des propriétés énergétiques et nutritives sans égales, suscitant des espoirs considérables pour l'alimentation mondiale et l'énergie propre. Cependant, cette découverte ne fait que soulever de nouvelles questions. Pourquoi ces plantes prospèrent-elles uniquement dans la forêt de Pădure ? Quelles sont les forces magnétiques et climatiques qui rendent cet écosystème unique ? Comment les chercheurs peuvent-ils reproduire ces conditions ailleurs pour en faire bénéficier l'humanité toute entière ?


    Face à cette opportunité scientifique inédite, le gouvernement de la République Nationale-Socialiste de Maronhi a décidé de prendre les devants en lançant une expédition au levant de la forêt de Pădure, depuis le sol de la région burujoise du Vomogorod, et en toute amitié avec le pouvoir impérial. Une équipe multidisciplinaire de scientifiques, d'explorateurs et de militaires sera rassemblée pour plonger au cœur de cette forêt mystérieuse et lever le voile sur ses secrets les mieux gardés. Ce contexte d'intérêt mondial pour la région marque ainsi une étape cruciale dans l'histoire de la découverte et de l'exploration ainsi qu'une étape dans la nouvelle ère de connaissances et de progrès qui s'annonce, et dans lesquelles la Maronhi a décidé de se positionner parmi les pionniers. Cependant, cette quête scientifique n'est pas sans défis comme le savent bien les organisateurs de l'expédition maronhienne. L'hostilité de l'environnement et les dangers magnétiques ne sont que quelques-unes des épreuves auxquelles cette équipe fera face. Composée de scientifiques, d'explorateurs et d'une large escorte militaire, tous aguerris et habitués à la forêt vierge maronhienne ; ceux-ci se devront de permettre à la Maronhi une avancée scientifique significative, notamment en pharmaceutique, domaine émergeant pour Siwa. Mais à travers ces défis, c'est l'avenir de l'humanité qui se dessine, une opportunité d'améliorer la vie des populations en limitant les dommages sur les environnements naturels. La forêt de Pădure, longtemps considérée comme un mystère impénétrable, pourrait bien se révéler être le trésor le plus précieux de notre époque. La Maronhi se lance dans cette aventure, prête à affronter l'inconnu et à repousser les limites de la connaissance humaine.


    Les membres de l'équipe maronhienne du Kirābetto possèdent une longue histoire d'adaptation aux environnements hostiles, notamment aux vastes étendues de forêt vierge, mais évidemment pas au climat tempéré ni à l'écosystème de Pădure. Au cœur de leur adaptation se trouve l'expertise dans la lutte en forêt, développée au fil des décennies avec l'aide des connaissances ancestrales des peuples maronhos, ainsi qu'avec des exercices rigoureux, des simulations réalistes et une analyse constante des tactiques les plus efficaces en contexte difficile. Les militaires, explorateurs et scientifiques maronhiens ont perfectionné leurs compétences pour naviguer à travers les denseurs végétales, utiliser le couvert naturel pour dissimulation, et se déplacer avec agilité dans des environnements souvent difficiles d'accès. L'un des aspects les plus impressionnants de l'adaptation de l'équipe formée pour ladite exploration réside dans sa compréhension profonde des écosystèmes dits "vierges", du grand bois par l'expérience, des autres écosystèmes concernés par l'étude. L'équipe est formée pour identifier les ressources naturelles, utiliser les plantes et les animaux pour leur subsistance et même pour des applications médicinales en cas d'urgence. Cette connaissance approfondie des ressources disponibles des environnements leur confère un avantage crucial en termes de durabilité et d'autosuffisance lors des opérations prolongées. La flexibilité est également un élément clé de l'adaptation des soldats maronhiens qui escorteront l'équipe d'exploration. Les tactiques et les stratégies peuvent varier considérablement en fonction de la topographie, de la végétation et des conditions météorologiques spécifiques à chaque région. Cette capacité à ajuster rapidement les plans en fonction de l'environnement est essentielle pour maintenir une équipe d'exploration efficace en autonomie partielle.
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    Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : La S.O.T.C. (Seelân Overseas Trade Company).

    Nom de votre camp de base : Nij-Noordcroen (Nouvelle-Noordcroen)

    Numéro de la province d'installation : #43609

    Code couleur de votre camp de base : #186FD9

    Nombre d'habitants de votre camp de base :
    100 criminels soumis à des "travaux d'intérêts généraux".
    100 gendarmes de la S.O.T.C. pour la sécurité.
    100 fusiliers marin afin de renforcer la sécurité.
    50 scientifiques pour d'éventuelles découvertes et leurs familles.
    25 ouvriers qualifiés de la S.O.T.C. et leurs familles.
    12 agents civils de la Compagnie dont ingénieurs (pour la maintenance) et directeurs (pour la gestion), en plus des familles.
    Total : 387

    Contexte de l'expédition :
    Trois choses caractérisent les Zélandiens : leurs pieds marins, leur esprit d'aventure et leur capacité à flairer les bonnes affaires et à toujours chercher à commercer.
    Ce sont ces deux dernières caractéristiques qui ont poussé le PDG de la Seelân Overseas Trade Company, la célèbre S.O.T.C. à convaincre les Secrétaires Fédéraux de laisser la compagnie organiser une expédition dans la forêt de Pădure, suite au retour miraculeux de l'explorateur Teylais Aurélien Audebert.

    Comme convenu, l'organisation de l'expédition a donc été confié à la S.O.T.C. et s'articulera comme suit :
    - L'embarquement à Nij-Amstergraaf, la principale -et plus grande- commune du territoire zélandien au Nazum.
    - Débarquement au sud de Pădure, sur la côte ouest du Nazum non loin de la Transblêmie. Mais tout de même à une distance (très) raisonnable de la frontière.
    - Établissement d'une base à l'orée de la forêt.

    L'expédition au sein de la forêt a pour but de faire de la prospection de ressources minérales (mais aussi d'hydrocarbure s'il y a), ainsi que d'ouvrir des colonies d'exploitation, et de peuplement dans une moindre mesure. Idéologiquement, l'expédition sert à rappeler l'esprit aventurier des zélandiensn ainsi que le temps où des navires entiers, partaient déverser leurs colons dans les Territoires d'Aleucie ou dans les terres d'Afarée du sud.

    Tout les participants à l'expédition sont volontaires, y compris les criminels qui ont eu le choix de purger leur peine soit en prison, soit en Pădure.
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    Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : Empire du Burujoa
    Nom de votre camp de base : Kinokoshiti (litt. "Cité champignon")
    Numéro de la province d'installation : #47934
    Code couleur de votre camp de base : #B7F196
    Nombre d'habitants de votre camp de base : 2500


    Contexte de l'expédition :

    L'Empire Burujoa, tout comme l'Empire des Ushong en tant que vieille puissance du continent nazumi, possédait une longue histoire et une tradition de découvertes, de conquêtes et de maintien malgré les vicissitudes du temps. Le Burujoa avait cependant réussi, principalement de par sa position avantageuse sur les océans, à se tourner vers l'extérieur, à chercher son propre progrès pour avoir a éviter de s'imposer celui des autres. Tandis que les souverains s'étaient succédés au fil des siècles, les frontières, d'abord royales, puis impériales, s'étaient étendues, tout comme les ambitions et les curiosités. Et pourtant, il y avait une étendue qui semblait exercer une fascination irrépressible sur le cœur de l'Empire Burujoa : la forêt de Pădure. Les archives impériales débordaient de tentatives et d'expéditions avortées, destinées à pénétrer le mystère épais et impénétrable de Pădure. Comme si une force magnétique et insondable attirait l'Empire vers cette forêt ancienne et énigmatique. Malgré les coûts colossaux, malgré les échecs innombrables, l'intérêt ne faiblit jamais. Pădure demeurait, dans l'inconscient collectif, un défi à relever, une énigme à résoudre. L'Empire Burujoa avait lui aussi connu des mutations et des épreuves au fil des siècles, mais cette énergie indomptable, cette soif de découvrir et de maîtriser, demeurait inchangée. Elle s'était longtemps concentrée vers le levant et ses océans infinis. Aujourd'hui, elle se tournait également vers le couchant, d'où l'on ne revient jamais. Alors que des nouvelles réjouissantes revenaient de ladite forêt et que l'intérêt mondial pour cette dernière se faisait croissant, une nouvelle entreprise se profilait désormais à l'horizon, une expédition aux objectifs multiples.

    À la cour chacun connaissait les ambitions impériales sur la question de Pădure. Une conquête sans avoir à répondre d'une guerre ou d'affrontements avec des locaux présageait une installation définitive par colonisation de peuplement afin de faire peser, sur le temps long, la pression démographique sur l'équilibre colonial de la forêt au profit du Burujoa. En dehors de la cour, une chose était certaine : l'Empire Burujoa avait fixé son regard sur Pădure, cette forêt dense et millénaire, et il s'y aventurait avec une détermination renouvelée. Les enjeux semblaient plus grands que jamais, le mystère plus profond que jamais. Cette nouvelle expédition, à la croisée du peuplement, de la science et de la conquête, allait révéler des vérités enfouies depuis trop longtemps dans les ténèbres de la forêt. La quête pour percer les secrets de Pădure n'était pas seulement une affaire de territoire, mais une exploration des désirs et des mystères qui s'étaient entrelacés dans l'histoire même de l'Empire, ainsi qu'une question davantage scientifique qui pourrait s'avérer déterminant sur la place jouée par le Burujoa dans les sciences dures. Le temps dirait si cette entreprise allait finalement résoudre les questions qui avaient tourmenté l'esprit des Burujois pendant tant de générations, ou si elle ne ferait que renforcer la réputation mystérieuse de cette forêt plurimillénaire. Les centaines de colons volontaires aguerris c'étaient donc réunis à l'est de la région du Vomogorod avec le reste du corps expéditionnaire composé de scientifiques divers et de troupes expérimentées. Directement installée à quelques kilomètres de la base maronhienne, la base burujoise qui prenait le nom de "Cité champignon", aussi bien pour la rapidité de l'installation que pour la quantité de fonges à l'orée de la forêt, prenait la forme d'un campement de modules préfabriqués.
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    Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : Académie de Benzil & Société Arabe Sultane Agronomique des Semances et de l'Agriculture
    Nom de votre camp de base : Mukhayam
    Numéro de la province d'installation : #45779
    Code couleur de votre camp de base : #000000
    Nombre d'habitants de votre camp de base : 95 personnes (37 scientifiques 32 militaires et 26 personnes chargé du camps)

    Contexte de l'expédition :

    Le Furfuramiltan, la forêt tropicale Nazumienne du Methylistan (l'un des six Sultanats de la Fusaan), à toujours fasciné les biologistes de la Fédération. Depuis les premiers traités de médecine artisanale détaillant les myriades de plantes et d'insectes curatifs datant du bas moyen âge, la forêt attire aujourd'hui de nombreux chercheurs et biologistes, qui y découvrent encore plus d'une centaine d'espèces par an. L'université de Benzil possède d'ailleurs l'un des départements d'entomologie le plus réputé du monde, du fait de son terrain d'étude inégalé, sinon peut être par les forêts périphériques du Jashuria. Fière de sa culture académique sur la recherche en écologie, et fort d'une hausse significative de financement, l'Académie du Methylistan cherche de plus en plus à élargir son champ de compétences en s'intéressant à d'autres climats que les forêts tropicales humides. 


    Les annonces des découvertes nouvelles d'espèces animales et florales de l'explorateur Teylais ont naturellement grandement intéressé le cercle intellectuel fusaanien. Cependant, l'envoi d'une équipe scientifique jusqu'à Padure s'annonçait bien plus complexe et coûteux que l'établissement de laboratoire d'études des milieux désertiques ou volcaniques du reste du pays ; toute expédition nécessiterait une source de financement supplémentaire. Ça sera chose faite avec le soutient de la Société Arabe Sultane Agronomique des Semances et de l'Agriculture (S.A.S.A.S.A.), qui a été mandatée par le conseil fédéral. Le consortium public, qui dépend directement du Wazirat de l'agriculture, cherche depuis plusieurs décennies déja a valoriser les territoires désertiques et arides de l'Afarée fusaanienne. Si d'incommensurables efforts d'irrigation tentent péniblement d'élargir la fine bande côtière de terres arables, la découverte de plantes hautement nutritives par Audebert est, à bien des égards, bien plus prometteuse pour l'agronomie de n'importe quel pays. 


    L'objectif de cet effort d'exploitation sera donc double : la découverte, d'une part, de la faune, de la flore et du biotope en eux-même, et ce à des fins d'innovation académiques, et l'étude détaillée, d'autre part, du fonctionnement et de la vie des plants à graines hautement énergétique, afin de pouvoir enfin réussir à cultiver ladite plante. 


    D'un point de vue matériel, l'expédition sera constituée d'un peu moins d'une centaine de personnes : un tiers de scientifiques, un tiers de militaires, et un tiers de salariés chargé de l'administration de la base avancée. La trentaine de militaires, dont une moitié appartient au génie et aidera surtout à la construction du camp, à été jugé nécessaire au vu des menaces sans équivoque et du passif assez… explicite de la Transblêmie envers les explorateurs. La matière grise choisie pour participer à l'expédition se repartie entre des biologistes spécialisées : entomologues, zoologues, botanistes, mycologues et écologues principalement, et des spécialistes de la SASASA, dépêchées pour leurs connaissances dans les domaines tournant autour de l'agronomie : géologues, pédologues, hydrologues, toxicologues et mêmes quelques généticiens. On retrouve aussi trois géographes chargé de tenter une ébauche de cartographie de l'endroit. Le reste du personnel est chargé de la mise en place de la base avancée, et de la gestion logistique des vivres etc…
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    Nom de l'organisation concernée (pays) : République Impériale Pétroléonienne
    Nom de votre camp de base : Larges-Ailes
    Numéro de la province d'installation : #47152
    Code couleur de votre camp de base : #1C00DE
    Nombre d'habitants de votre camp de base : 300

    Contexte de l'expédition :

    Au lendemain de la fameuse expédition d'Aurélien Audebert, les nations et les hommes du monde entier se sont tournés vers l'inquiétante mais prometteuse forêt de Pădure. Dans ce contexte, le gouvernement clovanien montra lui aussi un grand intérêt pour cette immense zone boisée nazuméenne. Les découvertes d'Audebert portaient en elles un message d'espoir pour toute l'humanité, la promesse de progrès remarquables dans tous les domaines, auxquels la République Impériale désirait ardemment participer. Un cortège expéditionnaire avait donc été monté sous les ordres de Pétroléon V, afin que la Clovanie prenne part à cette effervescence mondiale autour de Pădure.

    Cette mission avait plusieurs objectifs. Premièrement, l'expédition comportait un grand intérêt scientifique. Audebert avait découvert des plantes au potentiel inestimable, dotées d'un pouvoir nutritif hors du commun. La maîtrise de leur culture ainsi que de leur distribution pouvait apporter un bienfait humain inédit au peuple clovanien. Il s'agissait là d'un bond en avant incroyable pour la Clovanie, et pour l'humanité tout entière. De plus, qui sait quelles autres merveilles pouvait renfermer la forêt de Pădure ? Une infime partie de cette dernière avait été explorée, et la Clovanie comptait bien s'avancer plus en avant dans cette immensité, pour en récupérer le plus de trésors. De telles ressources avaient été trop longtemps cachées à l'humanité, et il était temps d'enfin les découvrir. En second lieu, la curiosité poussait aussi les explorateurs clovaniens à s'aventurer dans une telle contrée. La Clovanie était attirée par la connaissance de ce lieu encore inconnu des hommes et voulait figurer parmi les premiers pays à pouvoir le cartographier, le connaître, le maîtriser. Au-delà de ces considérations, l'expédition comportait enfin un intérêt géopolitique majeur, et une occasion pour la Clovanie de briller sur la scène internationale, d'exposer son savoir-faire et d'accroître son soft power.

    Pour le corps expéditionnaire impérial, il s'agissait donc d'étudier au mieux la flore de Pădure, d'en extraire tous les bienfaits possibles pour les intérêts nationaux, d'apporter une fine connaissance des lieux au gouvernement, de s'avancer le plus loin possible dans le forêt, et d'assurer un contrôle durable de la Clovanie sur les régions colonisées.

    Les trois cents Clovaniens envoyés aux abords de Pădure par voie maritime étaient divisés en trois groupes.

    Cent "constructeurs" composaient le premier tiers du corps expéditionnaire. Leur tâche était d'assurer un lieu de vie stable et durable à l'ensemble des hommes présents sur la colonie. Tous types de métiers du bâtiment étaient présents dans l'expédition : architectes, maçons, électriciens, plombiers, menuisiers, bûcherons, etc. Ce groupe comportait aussi des femmes de ménage, éboueurs, et autres métiers censés assurer la propreté de l'endroit.

    Le second tiers était composé de cent soldats professionnels de l'Armée Impériale. Tous étaient issus du bataillon du Lion, corps d'élite clovanien consacré aux opérations spéciales. Le Général Trudard, commandant le bataillon du Lion, n'était pas sur les lieux, mais il était prévu qu'il s'y rende de temps à autre. Pour conduire cette centaine d'hommes, le Chevalier du Prévaut avait été choisi. Ce militaire aguerri était porteur d'une grande expérience, d'un charisme et de compétences hors pair. Les cent militaires avaient été choisis parmi les meilleurs des meilleurs dans le cadre de cette expédition périlleuse, rendue d'autant plus inquiétante par la mort subite d'Aurélien Audebert. Ces soldats avaient pour mission d'assurer la sécurité du corps expéditionnaire face à des ennemis de tous types, ainsi que de récolter des éléments dans Pădure qui pourraient bénéficier à l'Armée Impériale. Les soldats faisaient aussi office de police dans la colonie, en cas d'éventuel conflit interne.

    Enfin, cent scientifiques avaient été choisis dans les plus grandes universités clovaniennes pour mener des recherches sur la flore et la faune de Pădure, ainsi que pour documenter leurs avancées. Des hommes et des femmes spécialistes de nombreux domaines scientifiques composaient ce dernier tiers, afin de travailler en étroite collaboration les uns avec les autres. Plusieurs laboratoires allaient être établis dans la colonie, dotés de tout le matériel nécessaire au progrès de la science.

    Ces trois cents hommes et femmes n'étaient pas destinés à vivre séparément au sein de la colonie, mais ensemble et en coopération constante, communicant le plus possible afin d'améliorer au mieux les recherches clovaniennes sur la forêt de Pădure.
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    Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : Consortium Scientifique de l'Institut Agronomique de Balaya et d'Al Kara, de l'Institut Destanais de Recherche Botanique Forestière et de l'Institut de Pharmacologie d'Abunaj(CS-ABK-DBF-PA), sous la protection de la République Directe de Banairah. Le consortium a gagné l'appui de la Réserve Mondiale de Graines basée aux Eglises Australes Unies au nom du Liberalintern pour son objectif de mission de répertoriage et de collecte de spécimens et de graines dans des fins de préservation de la biodiversité.
    Nom de votre camp de base : Centre Expérimental et d'Exploration du Sud-Pădure, ou CEX2SP. Egalement appelé Base Melfoud, ou Melfoudistan (d'une façon plus ironique) par ses occupants, faisant référence à leur supérieur hiérarchique Melfoud El-Safar, frère d'Aarifa El-Safar, porte-parole de l'Institut Agronomique d'Al Kara, lui-même scientifique réputé et administrateur de l'Institut Destanais de Recherche Botanique Forestière.
    Numéro de la province d'installation : #45583
    Code couleur de votre camp de base : #44FF00
    Nombre d'habitants de votre camp de base : 180
    • Scientifiques : 20. Ils travaillent sur les données relevées sur le camp ou durant les explorations et fomentent des théories. Grâce à leurs connaissances théoriques, certains peuvent se montrer utiles en cas de crise (En cas de maladies et de manque de personnel soignant par exemple, des botanistes pourront élaborer des soins avec les moyens du bord). Plusieurs spécialités sont présentes : mycologie, botanique, sciences des sols, zoologistes, entomologistes, bactériologues...
    • Laborantins : 10. Ils collectent les données, aident leurs directeurs de recherche à faire les expériences, ... Ils sont surtout qualifiés pour la mise-en-oeuvre plutôt que la théorie, mais ils restent tout de même assez bien au point dans leur sujet.
    • Militaires/services de sécurité : 80 professionnels issus de l'armée banairaise, plus particulièrement de Destanh, une région très forestière et peu artificialisée. Ils excellent dans le combat de jungle, même s'ils ne sont pas aussi bons que les Jashuriens dans ce domaine. Ils veillent sur le camp de base et peuvent assister les explorations. Ils ont également la charge de veiller sur leurs animaux, avec l'aide du vétérinaire et éventuellement des aides soignantes et des médecins si besoin/urgence. Parmi ces animaux, on compte des chiens (15), des dromadaires (20), des chevaux (10) et des ânes (20).
    • Explorateurs : 20. Ceux-ci viennent de divers pays expérimentés dans les expéditions en forêt vierge (Maronhi, Negara Strana, Banairah (région de Destanh), ...), en forêt (Prima, ...), et ont été embauchés soit pour l'occasion, soit il y a longtemps pour le compte des missions des divers Instituts du Consortium. Ils ont la lourde charge de mener les groupes d'exploration, et ont été entraînés à communiquer avec leur équipe, voire ont appris l'arabe ou le tehak (pour les employés et fonctionnaires déjà engagés depuis longtemps, pour les missions standard)
    • Administrateurs : 30. Ils s'occupent de l'attribution des vivres et du matériel, de leur gestion, de la stratégie, de la sécurité (en coopération avec les militaires), de la communication au sein du groupe ou avec d'autres équipes. Il existe donc pour toutes ces missions plusieurs bureaux administratifs.
    • Ouvriers : 20. Ils coordonnent les efforts, quitte à travailler avec une partie des militaires et des autres personnels afin de mettre en place le camp et l'entretenir.
    • Ingénieurs/techniciens : 10. Possédant divers compétences (informatique, mécanique, construction, transports), ils travaillent avec les ouvriers pour entretenir le matériel du camp et des scientifiques, quitte à en bricoler en cas de perte. Ils peuvent établir des pistes d'atterrissage de fortune pour des hélicoptères ou des avions, dans le cas où une telle entreprise serait possible, mais aussi défricher, construire des abris, ...
    • Médecins : 8 (4+2+1+1). Ils s'occupent avec deux aides-soignantes de la santé de tout le camp. Un vétérinaire s'occupe avec les maîtres-chiens et les cavaliers/chameliers des animaux. Un psychanalyste aide les personnes ayant des difficultés du fait de l'isolement, de traumatismes du fait des explorations, ...
    • Imams : 1. Ils s'occupe des pratiquants et appuie l'aide mentale du psychanalyste. Après tout, Padure a mauvaise réputation, et pour de bonnes raisons, mieux vaut assurer le coup, chose faite par Melfoud, un fervent pratiquant en plus d'être un scientifique dévoué à la recherche scientifique.
    • Interprètes : 1. Maîtrisant plusieurs langues courantes (francien, espagnol, ...), il est utile en cas de rencontre avec un camp.

    Contexte de l'expédition :

    Suite à la reprise de l'engouement autour de Padure, la forêt mystérieuse et indomptée, les milieux scientifiques banairais ont poussé le Khasserat à poser son approbation quant à la tenue d'une mission d'exploration et d'étude de cette forêt à la richesse biologique exceptionnelle. En plus de s'attirer la reconnaissance internationale de leurs exploits, si tenté que la mission réussisse, les scientifiques banairais et leurs confrères travaillant pour le Banairah espèrent bien mettre la main sur des espèces médicinales révolutionnaires, des micro-organismes utiles en biotechnologies ou encore des plantes agricoles et animaux (voire insectes) d'élevage prometteurs. Mais ces intérêts ne sont pas la seule motivation du consortium qui s'est ainsi formé autour de la mission : au vu de l'engouement sur la scène internationale vis-à-vis de ce sujet, les scientifiques banairais ont bien peur que plusieurs nations tentent de détruire la forêt pour des fins d'extraction minière ou de colonisation. Le consortium va donc s'arranger afin de sauver en prévention ce qui peut l'être, notamment en faisant de grands répertoriages spécifiques et des réserves de graines et boutures. Ils ont donc échangé avec les autorités en charge de la Réserve Mondiale de Graines, basée au nom du Liberalintern aux EAU, afin d'obtenir leur aide et approbation sur cette affaire. Dès que possible, des échantillons seront donc envoyés au Banairah et à la Réserve afin de relayer et poursuivre le travail de recherche et également de le conserver.
    Le financement de l'expédition se fait donc sur les fonds de la Réserve et du Ministère de la Recherche banairais, mais plusieurs entreprises banairaises ont apporté leur concours afin de gagner du prestige et des clients : sociétés agroalimentaires de rationnement à base d'algues, équipementiers de matériel de survie, ... Dans la société banairaise, il est bon de montrer son implication pour la Science, aussi peu sont les fortunés, hauts placés et groupes sociaux divers n'ayant pas répondu à l'appel.
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    Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : Bureau de la Coopération Universitaire (UNIL, Hohhothaï, Shuharri)
    Nom de votre camp de base : Le Camp des Fées
    Numéro de la province d'installation : #45976
    Code couleur de votre camp de base : #37EDFF
    Nombre d'habitants de votre camp de base : 300

    Contexte de l'expédition :


    L’un des points forts de l’Union des Nations Indépendantes et Libres et sa coopération universitaire entre ses membres et partenaires. Les étudiants de pas moins de 9 pays peuvent aujourd’hui étudier dans une autre nation membre en toute liberté et sécurité.

    Le Bureau de la Coopération Universitaire, basé à Hohhothaï en Shuharri, propose non seulement aux états membres de l’UNIL mais également à toutes nations désireuses de participer au Projet Padure de collaborer au sein d’une expédition à seul but scientifique. Menée par des chercheurs universitaires de renom, l’expédition comprend actuellement des universitaires shuhs, milouxitans, fjøllskotiens, maléviens et väestois.

    C’est Madame Piedra de Alcantara, biologiste de renom de l’Université Uxitan I d’Occitania (Milouxitania), qui coordonnera l’expédition. Celle-ci a déjà écrit un livre qui a fait fureur dans la communauté scientifique il y a six ans, intitulé “Secrets de la flore”. Passionnée par les plantes, elle a parcouru d’ores et déjà plusieurs contrées de par le monde en recensant des plantes nouvelles inconnues jusque-là. Elle fût notamment à l’origine de la création du parc naturel protégé de la Carlitana, dans l’est milouxitan.

    Du haut de ses 57 ans, Mme. de Alcantara n’a rien perdu de ses années de jeunesse, et il n’est pas rare de la voir partir pour une nouvelle aventure naturelle dans des endroits escarpés. En excellente forme physique, elle est également professeure de biologie à l’Université, quoiqu’elle préfère être sur le terrain.

    Mais jamais elle n’a eu l’occasion d’explorer Padure. Cette forêt, entourée d’une aura de légendes parfois terrifiantes, l’a toujours fasciné, sans que, pour des raisons politiques et sécuritaires évidentes, elle n’ai jamais pu y aller. A l’origine de la création du Bureau de Coopération Universitaire, elle proposa ce projet d’ampleur au conseil : mener une expédition scientifique de premier plan, constituée de qui le voudrait, dans un but purement scientifique, à Padure.

    Elle espère y trouver de nouvelles plantes. Mais hormis ses raisons personnelles, cette expédition a également un objectif social : démontrer que des communautés différentes peuvent s’entraider autour d’un projet commun. Démontrer une véritable cohésion de groupe entre des étudiants (sélectionnés évidemment), venant de contrées différentes peuvent s’entraider malgré leurs différends.

    Et comme disait Mme. de Alcantara à la fin de son discours à Hohhothaï, “Explorer Padure ne sera pas facile !”
    1821
    Drapeau

    Nom de l'entreprise: Apex Energy
    Nom du Camp de Base : Avant Poste 0
    Numéro de la province d'installation :  46155
    Code couleur de votre camp de base :FF0000
    Nombre d'Habitants du Camp de Base : 600
    Contexte de l'Expédition :

    L'entreprise pétrolière Apex Energy, reconnue pour ses avancées technologiques dans l'exploration et l'exploitation des ressources naturelles, se lance dans une aventure sans précédent : explorer la mystérieuse forêt de Pădure. Installant son avant-poste 0 aux abords de la forêt, l'entreprise a réuni une équipe pluridisciplinaire comprenant 30 géologues, 70 ingénieurs, 150 ouvriers spécialisés, 10 mécaniciens, 20 médecins, 10 cuisiniers, 10 agriculteurs et 300 mercenaires d'élite issus des bérets rouges, formant ainsi une équipe déterminée et prête à affronter les défis inhérents à la nature impénétrable de Pădure.

    L'objectif principal de l'expédition est de cartographier le sous-sol de la forêt, en vue d'une possible exploitation de ses ressources naturelles. La présence de la légendaire flore aux propriétés exceptionnelles a suscité l'intérêt d'Apex Energy, qui espère pouvoir découvrir des gisements d'énergie prometteurs. Les géologues et ingénieurs de l'entreprise sont convaincus que le sous-sol de Pădure recèle des richesses encore inconnues, et ils sont déterminés à en percer les secrets.

    L'avant-poste 0 servira de centre d'opérations et de point de départ pour les expéditions dans la forêt. Les scientifiques et les mercenaires seront équipés des dernières technologies de pointe pour relever les défis de Pădure. L'entreprise prévoit également de collaborer avec d'autres équipes d'explorateurs pour échanger des informations et des ressources, afin d'optimiser les chances de réussite de l'expédition.

    Apex Energy est consciente des risques que représente la forêt de Pădure, mais est convaincue que les découvertes potentielles en valent la peine. L'entreprise est déterminée à repousser les limites de l'exploration et à contribuer à l'avancée scientifique en explorant cette région mystérieuse et peu étudiée.
    1880
    Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : membres scientifiques et quelques autres personnes de l’ancien Régime Lénisk ( de l’ancienne Chérchérie )

    Nom de votre camp de base : Nouvelle-Léniskgrad

    Numéro de la province d'installation : #44973

    Code couleur de votre camp de base : #860101

    Nombre d'habitants de votre camp de base : 500
    Sur les 500 membres de la base, une centaine sont dans la recherche, 200 sont dans la production de ressources pour la survie de la base et 200 sont pour la production de moyens et l’exploration de la forêt.

    Contexte de l'expédition :

    La forêt de Padure avait toujours fait naître des fantasmes dans l’esprit de Lénisk. Quelle créature rodent dans ces régions, quelles plantes y poussent, comment font elles pour survivre ? Bien que la Chérchérie se situe à plusieurs Kilomètre de cette forêt, elle fascine encore les Léniskistes par son mystère et sa beauté, étant l’une des seules forêts primaires encore intactes. Le danger de cette forêt, que ce soit par la faune ou la flore a encore plus attiré l’attention des chercheurs qui souhaitent en savoir plus sur cette merveille d’adaptation.
    Après la chute du régime de Lénisk, les membres scientifiques et quelques personnes de l’ancien gouvernement ont fui le pays et ont décidé de percer le secret de cette forêt millénaire et entre autre refaire naître l’ancien régime dans cette contrée étrange et inhospitalière.
    L’objectif est de découvrir les merveilles de la forêt de Padure, la faune principalement, afin de créer une grande encyclopédie des « êtres et plantes vivants dans la forêt de Padure ». Ce projet titanesque serait l’aboutissement des volonté de Lénisk et permettrais de montré la grandeur du régime.

    Ce Projet a la forme d’un micro-état scientifiquo-communiste dirigé par le plus grand scientifique de la base surnommé le « grand Chercheur » .Personne n’a vu son visage. Le grand Chercheur décide seul, et dirige un culte à la forêt qui serait selon eux la « mère Patrie ».
    Le grand chercheur a cependant comme conseiller, Monsieur Adolf Schinder, un proche de Lénisk.
    Le reste de la population obéissant totalement aux ordres de la hiérarchie.
    2230
    Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre): L'Etat du Fujiwa & Université de Shinrin Ryokuchi (USR).
    Nom de votre camp de base: Camp Bambusa.
    Numéro de la province d'installation: #46367
    Code couleur de votre camp de base: #FF957D
    Nombre d'habitants de votre camp de base: 200 individus.

    Contexte de l'expédition: La forêt de Padure, située sur le même continent que le Fujiwa, a longtemps captivé l'attention des chercheurs et universitaires de l'Université de Shinrin Ryokuchi. Toutefois, malgré leur vif intérêt, les obstacles logistiques et la complexité inhérente à cette forêt ont rendu les expéditions difficiles. Après avoir mené de nombreuses missions à travers le monde, le géologue le plus éminent de l'université, Hoï-To, a fait de la forêt de Padure le rêve et l'ambition de toute une vie. Avec l'intérêt croissant de la communauté internationale pour cette région, Hoï-To a finalement réussi à constituer l'équipe la plus déterminée du pays. Aidé par le gouvernement fujiwan, qui y voit une opportunité tant pour la recherche que pour l'exploitation potentielle de ressources naturelles, l'expédition tant attendue est enfin à portée de main.

    L'objectif premier des universitaires et scientifiques est l'opportunité sans précédent de découvrir de nouvelles espèces de faune et de flore et d'approfondir nos connaissances sur cette forêt. Les découvertes potentielles représentent une richesse inestimable pour la recherche fujiwane, ouvrant la porte à des ressources intellectuelles et naturelles jusque-là insoupçonnées. Si l'enthousiasme et l'imagination prennent parfois le dessus, une telle occasion ne sera certainement plus jamais écartée, en particulier face à cette compétition internationale.

    La volonté première de Hoï-To est de dignement représenter la communauté scientifique et universitaire du Fujiwa sur la scène internationale et de porter haut les couleurs fujiwanes pour la fierté de ses compatriotes. Ces derniers auront la chance de suivre au plus près les péripéties de cette expédition grâce à des vlogs, qui seront, conditions techniques permettant, diffusés en temps réel. Fort de l'appui financier, matériel et logistique du ministère de l'Environnement, du ministère de l'Éducation, des Sciences et des Technologies, ainsi que du ministère de l'Agriculture et de la Pêche, l'expédition est soutenue par d'importants piliers institutionnels. Les moyens mis à disposition sont colossaux, et même l'armée a été informée de cette initiative, anticipant une éventuelle collaboration de certaines de ses unités.
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    Recherche de traces extraterrestre en Pădure.
    La forêt primaire de Pădure, est un terrain de fouille propice pour corroborer l'existence des extraterrestres, s'agissant d'une des plus vieilles forêts (préservées) au monde.


    Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : Chercheurs en ufologie, pèlerins, croyants et combattants du clan RAVATOMANGA, mandatés par le gouvernement mandrarikan et le culte caaganiste.
    Nom de votre camp de base : Camp APOKALYPSY qui signifie (bizarrement) "révélation" en malgache/mandrarikan.
    Numéro de la province d'installation : #45189
    Code couleur de votre camp de base : #E08726
    Nombre d'habitants de votre camp de base : 350

    Contexte de l'expédition : L'expédition mandrarikane est née de l'intérêt pour la quête de traces et de signes extraterrestres pouvant subsister sur la planète. Le caractère primaire de la forêt de Pădure, qui fait d'elle l'une des forêts les plus anciennes et les plus inexplorées au monde, a convaincu le pouvoir mandrarikan, personnellement dirigé par le Culte caaganiste dont le Premier Mandrar Rakoto Manorohanta est un leader spirituel et politique incontesté, de financer une expédition sur zone pour:
    • explorer la superficie de la forêt de Pădure,
    • identifier la faune, la flore et plus largement, toutes les manifestations et phénomènes réputés surnaturels, extraterrestres, dont l'apparition est étrangère à l'intervention humaine et aux autres processus environnementaux connus,
    • identifier des matières premières et des minéraux d'exception, pour prouver leur importation depuis une planète extérieure à notre galaxie et développer des avantages économiques compétitifs pour la République Sacrée de Mandrarika,
    • de manière générale, prouver l'existence extraterrestre pour développer de manière exponentielle, le culte caaganiste à l'international et intégrer de nouveaux pays.

    Afin de mener à bien ce périple d'exception, la communauté mandrarikane peut s'appuyer sur une base assez large de pèlerins, désireux d'aller au contact d'une terre qui leur est présentée comme suffisamment ancienne pour avoir été foulée à un moment ou à un autre par des extraterrestres, sans que l'intervention humaine au fil des siècles, n'ait fait disparaître les traces de leurs passages successifs.

    Cette expédition, partagée entre des enjeux scientifiques et politiques, s'appuie donc sur un contingent pluridisciplinaire, animé par des motivations possiblement différente:
    • 180 pèlerins, triés sur le volet au départ d'un groupe de volontaires et issus d'une désignation des chefs spirituels de la communauté caaganiste,
    • 110 combattants du seigneur de guerre Cristobal Ravatomanga (un clan qui n'est pas en guerre contre le gouvernement mandrarikan, ni lié aux autres seigneurs de guerre et fait donc l'objet d'un contrat gouvernemental en bonne et due forme pour dérouler la sécurité de l'expédition scientifico-religieuse) accompagnés d'une trentaine de hyènes domestiquées, pour favoriser les actions de chasse dans ces étendues boisées, réputées peu fournies en faune. Des combattants auxquels se sont ajoutés des chasseurs, des rangers et même des braconniers ayant nourri une expérience dans les safaris de la réserve universelle de Tsebingwe, entretenant de ce fait un certain niveau de connaissance en survie au sein d'un environnement sauvage,
    • 60 chercheurs, scientifiques confirmés (ou autoproclamés), chargés de recenser et de prouver le caractère irrationnel des manifestations et évènements en forêt de Pădure.
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    Nom de l'organisation concernée : maison royale de Carande, famille Gambu
    Nom de votre camp de base : Saran II
    Numéro de la province d'installation : #46353
    Code couleur de votre camp de base : #000000
    Nombre d'habitants de votre camp de base : 850

    Contexte de l'expédition :
    Ravagé par la guerre civile depuis des années et contrainte de revenir au royaume après la chute du camarade Geremia, premier ministre génocidaire, le souverain Angelo Gambu s'ennuie à Saran, capitale politique du royaume et seul ville encore digne de ce nom du pays. Déprimé par la tristesse de la ville, les impacts de balles sur chaque immeuble et la désertion des rues, son altesse Angelo cherche un nouveau terrain de vie, et de jeu, sans s'attirer trop d'ennuis. Le roi jette lance alors une flèche sur une carte du Nazum et trace ensuite avec un crayon un lopin de terre, plutôt de forêt, à occuper autour de la flèche. Angelo consacre ensuite tout son temps à planifier son nouveau passe temps, il dépense les derniers deniers du trésor royal pour financer l'opération et s'entoure d'une belle équipe : 500 soldats, 150 serviteurs, 100 ouvriers, un orchestre de 25 musiciens, 25 cuisiniers et tout le reste en dame de compagnie. L'objectif d'Angelo est d'abord de se construire le plus grand palais possible puis ensuite une capitale à son image. N'ayant pas trouvé d'inspiration pour le nom de sa nouvelle capitale, il choisit simplement le nom de Saran II.
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