14/08/2013
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Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : République Démocratique du Wanmiri, via CRENWA (Centre de Recherche National du Wanmiri)
Nom de votre camp de base : Harapan (Espoir, nom de facto donné par les colons)
Numéro de la province d'installation : #44596
Code couleur de votre camp de base : #C80000
Nombre d'habitants de votre camp de base : Environ 300

Contexte de l'expédition :
Aussi loin que remonte la mémoire des hommes, les guerres ont toujours été abhorrées. Pour les violences et pour les morts qu’elles ramènent dans leur cortège funèbre, évidemment. Pourtant, la guerre en elle-même n’a toujours que peu de morts au regard de l’Histoire, et de tout temps le plus dangereux a été le cortège en lui-même. Certes, les armes - depuis la sagaie et l’arc antiques, jusqu’au fusil d’assaut et aux chars modernes, en passant par toutes les créations humaines dans les domaine de l’horreur, de l’abomination et de la destruction, en un mot, du mal - ont toujours été (et sont encore de nos jours) mortelles, mais elles ne sont pas les plus destructrices.Ce qui rend les guerres si dangereuses, si craintes, ce ne sont pas les armes, mais les famines et les maladies qui s’ensuivent. Du moins, cela est vrai pour les civils.
Au Wanmiri, la guerre a été longue. Très longue. Elle a duré six années entières, six années de peur et d’angoisse, six années de morts et de souffrances, six années d’horreur absolue. Et elle a tout chamboulé. Les champs ont brûlé, les récoltes se sont envolées en fumée, ne laissant que des cendres à perte de vue. Désormais, pour les plus pauvres, lorsque l’on ne meurt pas de maladie, c’est pour succomber quelques jours - ou semaines pour les plus chanceux (ou malchanceux, selon le point de vue) - plus tard au supplice de la faim. Beaucoup voudraient se refaire, mais si le travail ne manque pas - après tout, il faut tout reconstruire - la nourriture, elle, si. Impossible de recommencer à zéro sur cette terre surpeuplée. Aussi, lorsque la rumeur d’une terre, Pădure, située plus au nord les attendait, ceux qui le pouvaient ont sauté sur l’occasion. Certes, l’on disait la forêt hostile, et même hantée, mais bon, cela ne pouvait pas être pire que nos jungles, non ? et puis, cela valait toujours mieux que la mort d’inanition.

Par ailleurs, lors de la “Grande Purge” de 1985, beaucoup de bourgeois et d’intellectuels en tout genre - opposants notables à l’Empire - avaient été expulsés du pays. Réfugiés au Jashuria voisin, la plupart sont revenus - du moins leurs enfants - après la fin de la guerre et la proclamation de la République. Beaucoup ont trouvé un travail : untel dans l’administration, untel autre comme architecte, enseignant ou encore lecteur public pour le compte de” Typhon : Le Vent de l'Indépendance” (métier d’ailleurs plutôt bien payé, de façon surprenante). Et nombre d’entre eux ont rejoint le CRENWA (le Centre de Recherche National du Wanmiri). Alors oui, on a besoin de scientifiques, mais dans ces proportions ? Depuis, ils attendent que l’on veuille bien leur attribuer une tâche. Plus tard, quand les dirigeants du CRENWA ont entendu parler de Pădure, ils ont immédiatement voulu y aller. Au Daryl, on les a regardés d’un air bizarre. “Monter une expédition ? Mais pour envoyer qui ? Et qu’est-ce qu’on y gagnerait ?” Et puis ils ont pensé à ces scientifiques, à ces laborantins, qui attendaient un travail. Et puis aux plantes dont parlait Aurélien Audebert, qui l’avaient nourris, lui et son équipe. Et ils se sont dit qu’ils pouvaient faire d’une pierre deux coups : occuper les scientifiques, et résoudre le problème de la famine. Et puis, qui sait quelles autres merveilles cachait Pădure ?

Mais restait encore le problème du financement. Qui allait payer les scientifiques, financer le transport et l’approvisionnement... ? Sûrement pas le CRENWA à lui seul : ses fonds étaient plus qu’insuffisants. Alors il fit appel à des financeurs privés : grandes entreprises, consortiums, etc. Après tout, s'ils s’étaient enrichis à ce point, comme le dénonçait le journal Typhon, qu’est-ce qui les empêchait de donner un peu d’argent ou de matériel à une expédition de recherche ? Et puis, ils auraient à y gagner… Publicité, contrats privilégiés, monopole de l’exploitation d’un certain nombre de découvertes… Tout pour les convaincre de participer. Surtout que les récompenses seraient attribuées au prorata de l’investissement : de quoi créer les conditions pour une lutte d’influence.
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Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : Le Comité d’Exploration de Padure et d’Etablissement (le CEPE)
Nom de votre camp de base : Cochise IV
Numéro de la province d'installation : #44991
Code couleur de votre camp de base : #1E9BDA
Nombre d'habitants de votre camp de base : 1200 (dont 200 militaires)

Contexte de l'expédition :

Le Jashuria n’en est pas à sa première expédition en Padure … mais toutes les précédentes expéditions ont été des échecs. Enfin … pas des échecs. Disons simplement que ça n’a pas marché. Les premières expéditions visant à trouver des gisements de minerais dans la région datent au moins de l’époque coloniale, période durant laquelle le Royaume du Jashuria, avec le soutien de l’administration fortunéenne, déploya des équipes pour cartographier et établir des comptoirs dans la région. Malheureusement, les soucis logistiques, l’instabilité du Jashuria et les conditions climatiques ont fait échouer les expéditions les unes après les autres.

Mais cette fois-ci, c’est la bonne ! Du moins, c’est que l’on murmure au sein des couloirs de l’administration jashurienne. Tirant les enseignements des précédentes expéditions et échecs cuisants, les Jashuriens ont déployé de nombreux moyens pour établir un camp de base pérenne à la lisière de la Grande Forêt. Véritable fourmilière, la colonie de Cochise IV est administrée par le CEPE : Le Comité d’Exploration de Padure et d’Etablissement. Les différents comités coloniaux ont pour objectif d’établir une colonie pérenne dans la région et de lancer des expéditions de reconnaissance depuis la base Cochise IV.

Au-delà de l’enjeu des ressources, le CEPE fait face à une demande importante de l’Etat jashurien pour développer des colonies capables d’accueillir la population jashurienne dans les prochaines années. En effet, le boom de population ces dernières années a conduit l’Etat jashurien à mener des expérimentations sur l’urbanisation et la conduite d’opérations de densification, tout en préservant la qualité des paysages. Le Jashuria espère, par l’établissement de colonies en Padure, créer les conditions pour l’établissement de Jashuriens à l’étranger, dans des territoires riches en ressources exploitables.

Le corps expéditionnaire jashurien est constitué de 1000 personnes issues de formations diverses, mais toutes disposant d’une bonne capacité d’adaptation. L’enjeu des Jashuriens est de sécuriser une tête-de-pont en Padure pour pouvoir par la suite créer des expéditions dans toute la forêt. Le corps expéditionnaire est constitué de 200 militaires professionnels, qui viennent en renfort des 1000 personnes chargées de faire de ce camp de base de Cochise IV une place-forte capable de tenir dans le temps. Des rotations régulières de personnel sont réalisées grâce à la logistique jashurienne en provenance de leur port-franc au Mokhaï (gagné en compensation de l’effort de guerre jashurien lors du conflit).

L’enthousiame des Jashuriens pour rendre le projet de Cochise IV viable reste au beau fixe pour l’instant. Les premières implantations à la lisière de la forêt ont permis de créer un camp de base bien plus robuste que les précédentes itérations. Les premiers bâtiments commencent à sortir de terre et déjà, les équipes d’explorations ramènent de bonnes nouvelles des proches alentours. La forêt recèle des merveilles qui vont intéresser non seulement les chercheurs de l’université d’Agartha, mais aussi les exploitants miniers du Jashuria.

Le CEPE n’est cependant pas une entité monolithique. Les différents groupes d’intérêts au Jashuria cherchent à faire peser le devenir de l’expédition dans la balance en influençant les décisions prises dans les hautes sphères du corps expéditionnaires. Qu’il s’agisse de l’université d’Agartha, des conglomérats miniers ou mêmes des conglomérats pharmaceutiques, de nombreuses factions cherchent à s’accaparer les découvertes faites dans la Grande Forêt. Si pour l’instant le gouvernement jashurien a réussi à modérer les ardeurs des factions, il est très probable que des décisions prises à des milliers de kilomètres finissent par impacter grandement les objectifs de l’expédition.

Les militaires présents sur le site d’expédition ont fort à faire pour sécuriser les environs. Malgré le silence des brumes de Padure, la faune ne semble pas spécialement apprécier l’arrivée des Jashuriens dans les environs et il n’a pas fallu longtemps avant que l’un d’entre eux se fasse dévorer lors d’une pause pipi. Les militaires restent sur le qui-vive. Professionnels issus de l’armée de la région des Lacs, ils sont rompus au combat dans les jungles, mais qui sait si leur entrainement paiera dans la Grande Forêt ?
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Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : Saint Empire Ambarois (+Intigrix et Ambarmine)
Nom de votre camp de base : Camp Minier et de Recherche du Saint Empire Ambarois (CMRSEA)
Numéro de la province d'installation : #46352;
Code couleur de votre camp de base : #C30000
Nombre d'habitants de votre camp de base : 750

Contexte de l'expédition :


Exploration et Développement dans la Forêt de Padure :

Au cœur des ambitions du Saint Empire Ambarois se trouve l'enthousiasmant projet d'explorer et de développer la forêt de Padure. Cette initiative ne repose pas uniquement sur des considérations économiques, mais aussi sur le désir d'explorer de nouvelles frontières et de découvrir les mystères d'un écosystème lointain, dangereux, inexploré et vierge de l'empreinte humaine. Deux entreprises nationales, Intigrix et AmbarMine, se sont engagées à apporter leur savoir-faire à cet ambitieux projet.

Une Équipe Pluridisciplinaire au Service de l'Inconnu :

Le déploiement d'une telle entreprise exige la formation d'une équipe multidisciplinaire, composée de 750 membres au total. Parmi eux, se trouvent 500 militaires, dont 400 sont des professionnels aguerris, 50 conscrits, et 50 réservistes, tous prêts à participer à cette aventure unique. Cette équipe incarne un mélange de compétences professionnelles, de réservistes prêts à servir, et de conscrits. Parmi eux, une équipe de 15 géologues entreprendra la délicate tâche de sonder les profondeurs du sol, espérant révéler les secrets enfouis de cette terre vierge. Tandis que 50 ingénieurs, dont 30 issus du génie militaire, travailleront sur la mise en place d'infrastructures essentielles, leur mission va au-delà : créer des bases pour l'avenir, tout en respectant l'équilibre naturel de cet environnement isolé. Les spécialistes en zoologie et en botanique, au nombre de 5 chacun, apporteront leur contribution cruciale à la compréhension de cet écosystème mystérieux. Sans oublier les 75 médecins et infirmiers, ainsi que les 110 ouvriers qualifiés, qui assureront la sécurité et le bien-être de l'ensemble de l'expédition.

Infrastructure :

L'avant-poste, véritable oasis en bordure de la nature sauvage et inexplorée de la forêt de Padure, sera conçu avec soin. Une piste d'avion permettra un accès aérien, évitant ainsi les difficultés d'un terrain inconnu. Les bâtiments d'accueil et de soins veilleront au bien-être physique et mental de l'équipe, garantissant un environnement propice à la concentration et à la découverte. Positionné en lisière de la forêt, l'avant-poste permettra une transition en douceur entre le monde exploré et le monde inconnu, offrant un refuge confortable au cœur de la nature sauvage. Pour assurer la sécurité de tous, l'ensemble de l'expédition sera protégé par des murs d'enceinte, offrant une barrière contre les dangers potentiels de cet environnement isolé. Les activités nécessitant des déplacements aériens seront facilitées grâce à une piste d'hélicoptère bien positionnée, un lien vital avec l'extérieur. Et ceux en dépit des difficultés à survoler la forêt.

Partenariat et Approvisionnement Stratégique :

L'intelligence collaborative étant au cœur de ce projet, le Saint Empire Ambarois s'ouvre à la possibilité de partenariats stratégiques avec des entreprises externes, si cela s'avère bénéfique. Bien que le partenariat avec l'Empire Rasken et d'autres entreprises expertes en matière minière et logistique ne soit pas considéré comme vital, il reste une option envisagée pour faciliter l'acheminement de certains éléments nécessaires. Le ravitaillement en matériel se fera en partie par voie maritime, avec deux cargos acheminant les éléments essentiels. Pour certains équipements plus sensibles, tels que le matériel du génie et le déploiement de parachutistes, un transport aérien sera privilégié, garantissant une arrivée rapide, précise et sécurisée des premiers hommes et matériels.

Vers l'Inconnu : L'Avancée Vers la Base :

Les préparatifs minutieux effectués, l'équipe entreprendra son périple en direction de la zone de camp de base. La piste de fortune créée pour l'occasion jouera un rôle crucial, permettant le transport des premiers équipements du génie. Cette voie improvisée sera non seulement le chemin vers la base, mais également le début d'une aventure à travers l'inconnu de la forêt de Padure. Chaque pas, chaque découverte, nous rapprochera de la compréhension de ce lieu mystérieux et peu exploré.
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Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : Ordre Sacré du Culte Shintoïste Tahokais
Nom de votre camp de base : Temple de Tatrobu
Numéro de la province d'installation : #47151
Code couleur de votre camp de base : #2C4B20
Nombre d'habitants de votre camp de base : 45

  • 5 biologistes et explorateurs de l'Ordre
  • 20 samouraïs des Forces de Sécurité de l'Ordre
  • 10 religieux (s'occupant entre autres de l'administration)
  • 10 aides de camp

Contexte de l'expédition :

Alors que les compagnies minières et les entreprises colonisatrices veulent la mort de la forêt légendaire de Padure, l'Ordre Sacré tente une expédition en Padure afin de s'associer à ses forces divines pour repousser les envahisseurs de ce lieu sacré, et protégé jusque-là des impies par les divinités la peuplant. Convaincus d'assister à une bataille décisive contre les Dieux eux-mêmes, les membres de l'ordre se livrent à l'organisation d'une expédition, qui pour certains a tout de suicidaire, en Padure afin de se joindre aux rangs divins et ainsi préserver l'équilibre du monde tout entier. S'appuyant sur un nombre restreint mais compétent de savants des forêts vierges du Tahoku, le corps expéditionnaire compte bien renforcer ses rangs petit à petit. Ils comptent en partie sur leurs compétences en toxicologie pour faire disparaître les ennemis des Kamis, ainsi que sur la discrétion de leurs fidèles samouraïs pour semer la discorde en éliminant les cibles stratégiques : membres haut placés, ingénieurs de forage, ... Expérimentés en survie en forêt primaire, étant eux-mêmes issus d'une telle forêt, ils restent confiants dans l'accomplissement de leur mission sacrée malgré la grandeur de la tâche : un gigantesque travail d'espionnage, d'élimination et de reconnaissance en terrain inconnu. Impossible ? Peut-être, à moins d'avoir la faveur des innombrables divinités peuplant ces contrées. En l'attente, rien ne doit paraître suspect aux yeux du monde, braqués sur une des plus grandes entreprises d'exploration du XXIème siècle.
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Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : Empire Suprême du Tahoku
Nom de votre camp de base : Shogunat Impérial de Tadasu
Numéro de la province d'installation : #47347
Code couleur de votre camp de base : #890505
Nombre d'habitants de votre camp de base : 110

  • 10 biologistes
  • 10 explorateurs impériaux
  • 50 samouraïs du Culte Impérial Shintoïste d'Akibayo
  • 10 missionnaires impériaux et 1 shogun (administrateurs)
  • 30 ouvriers et aides de camp

Contexte de l'expédition :

La surpopulation tahokaise pose de grands soucis au sein du pays, du moins lorsque le surplus ne se déverse pas à l'étranger, comme au Pharois il y a de ça plusieurs mois voire années désormais, sous la forme d'une fuite pour asile politique, ou recherche d'une terre promise, selon le point de vue. De manière générale, les Tahokais sont forcés au voyage et à l'exploration s'ils souhaitent avoir une terre à eux ou plus d'opportunités. Mais même avec de tels flux vers l'extérieur, la situation ne convient guère à l'Empereur-Prophète, qui y voit un risque de rétro-contamination au cas où des exilés reviendraient propager des idées contraires au régime et aux valeurs du pays. L'agrandissement du pays permettrait de régler ce problème en plus d'offrir de nouvelles rentrées d'argent, en matière d'impôts ou de production agricole, par exemple. L'expédition, malheureusement, est coûteuse et pourrait très probablement échouer, comme toutes celles faites par de nombreuses puissances qui s'y sont essayé. L'aventure doit être tenté, néanmoins, et ce en s'appuyant sur la grande résistance et résilience tahokaise et ses compétences en low tech et en adaptation. En des termes plus prosaïques, les Tahokais en ont vu des vertes et des pas mûres, et sont des professionnels du système D. Et ce n'est pas 1300km à dos d'âne en plein terrain inconnu qui vont leur faire peur, un grand avantage face aux dégénérés modernistes habitués à leurs petits pois surgelés, leur scooter de ville et leur connexion internet. Ici, on fait avec, et là où tous feront face aux problèmes logistiques, l'Empire aura beaucoup moins à apporter, et s'en portera d'autant mieux.
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Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : Ordre du Bouclier
Nom de votre camp de base : Promontoire Purgatoire
Numéro de la province d'installation : #47542
Code couleur de votre camp de base : #DFDBDB
Nombre d'habitants de votre camp de base : 18

  • 2 biologistes
  • 5 chevaliers exorcistes de l'Ordre du Bouclier
  • 1 prêtre invocateur de l'Ordre du Bouclier
  • 10 ouvriers et aides de camp

Contexte de l'expédition :

Un grand danger plane sur le Tahoku tout entier...un danger qui répond au simple mais terrifiant nom du Malin, de Belzebuth, de Satan, ou de tout autre nom qui le caractérise. Dans les antres de la Terre, un portail vers une autre dimension s'est ouvert, déversant ses immondes créatures à la surface. Les prêtres sont formels, il faut agir, et Yoshiya Natsume a répondu à l'appel. Pour lui, la réponse est évidente : le problème vient de Padure, cette forêt maléfique qui rend fou toute personne assez insensée pour s'y aventurer. Enfin, insensé, oui. Si, en fait, il était fou de se risquer à aller à Padure, mais il ne baisserait pas les bras, il ne resterait pas confortablement chez lui sans rien faire.

Envers et contre tout. Un vrai chevalier exorciste devrait le savoir.
Peu importe si ses homologues le croient, ou croient en lui. Il le fera tout de même, ou mourra dans sa tentative, avec ses fidèles.
Que Dieu soit avec lui, et que frémissent les démons, car Natsume vient les pourfendre.
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Nom de l'organisation concernée : La République de Miridian
Nom de votre camp de base : Base d'Exploration et de Recherche Miridienne(B.E.E.M)
Numéro de la province d'installation : #47340
Code couleur de votre camp de base : #221DFF
Nombre d'habitants de votre camp de base : 200

Contexte de l'expédition :


Miridian a toujours été une nation fascinée par la science et la découverte. Dans ce contexte, Miridian a décidé de déployer ses scientifiques et chercheurs afin de répondre à plusieurs objectifs:
    1) Exploration de la foret de Padure dans le but de la cartographier
    2) Exploration de la faune et de la flore, dans le but de les répertorier et de les ramener dans les zoos miridians
    3) Déterminer si des hommes ont déjà vécu à Padure ou si certains y vivent encore
    3) Développer le soft-power miridian, en prouvant les grandes capacités scientifiques du pays
    4) Chercher des ressources naturelles précieuses dans les sols de Padure
    5) Prouver qu'il y a une explication rationnelle au événements survenues à Padure

L'équipe envoyée sur place se composent ainsi:
    -10 Historiens: ils sont chargés de déterminer le sort des différentes expéditions à travers l'histoire et de chercher d'éventuelles signes de civilisations.
    -40 biologistes: ils sont chargés de trouver des nouvelles espèces animales, de répertorier toutes les espèces vivantes dans la foret et déterminer leurs caractéristiques.
    -50 soldats du 3ème régiment d'infanterie: ils sont chargés de sécuriser la base contre les menaces humaines et animales. Ainsi 10 soldats doivent toujours être entrain de garder la base. De plus chaque excursion dans la foret doit être accompagnée d'au moins 10 soldats.
    -5 cuisiniers: ils sont chargés de pourvoir aux besoins alimentaires de l’expédition, à travers un menu sain et équilibré.
    -25 ouvriers: ils sont chargés de construire, de réparer et de développer le camp miridian.
    -10 journalistes de l’Indomptable: ils sont chargés de faire des reportages sur l'avancé du camp et les découvertes réalisée.
    -5 médecins: ils sont chargés de soigner les membres de l'expédition et de repérer si certaines plantes peuvent avoir un usage pharmaceutique.
    25 bureaucrates: chargés de gérer apprivoisement, la logistique et la direction de l'expedition.
    -30 ingénieurs et ouvriers de l'entreprise Corporation des Ressources Précieuse: ils sont chargés de chercher des ressources précieuse à Padure et de les exploiter.

L'expédition a été mandatée par le ministre de la culture et dispose d'un budget(pour l'instant) d'un million de mirs. Il a d'ailleurs été prévu que le ministre visite le camp lorsqu'il sera construit.
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Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : Empire Lutharovien
Nom de votre camp de base : Polarinsk
Numéro de la province d'installation : #46352
Code couleur de votre camp de base : #E8BB23
Drapeau :

Drapeau Empire Lutharovien
Ça ne se voit pas mais il y a une bande blanche en bas

Hymne national : Lien vers Youtube
Hymne de la famille impériale : Lien vers Youtube

Nombre d'habitants de votre camp de base : 875, dont :

- 220 soldats "improvisés" (non-professionnels)
- 15 scientifiques
- 95 bûcherons
- 70 chasseurs
- 88 agriculteurs/éleveurs
- 14 médecins (dont deux chirurgiens, un psychiatre et deux vétérinaires)
- 23 infirmiers
- 64 travailleurs du bâtiment
- 31 mineurs
- 30 explorateurs/éclaireurs
- 15 mécaniciens ( dont 8 spécialisés dans les moyens de transports motorisés et les vélos)
- 3 ingénieurs
- 5 géologues
- 1 zoologue
- 2 interprètes
- 1 prêtre chrétien orthodoxe
- 10 moines chrétiens orthodoxes
- 11 artisans métallurgistes (forgerons, fondeurs...)
- 28 administrateurs/politiciens
- 9 instituteurs
- 70 ouvriers logistiques
- 4 pilotes d'avions (s'occupant de la liaison entre la Lutharovie et la colonie)

Contexte de l'expédition :

Après le nouvel engouement autour de la forêt de Pădure, les monarchistes Lutharoviens, exilés partout dans le monde ou présents sur le territoire national, trouvèrent une opportunité de créer leur propre état dans cette forêt afin de ressusciter, à l'abri des communistes du territoire national, l'antique Empire Lutharovien, disparu officiellement en 1928. Ainsi, environ 300 Lutharoviens venus du monde entier se regroupèrent au sein d'une petite ville qu'ils baptisèrent "Polarinsk". Petit à petit, la colonie s'agrandit, attirant à la fois nostalgiques de l'époque monarchique, anti-communistes, Lutharoviens en quête d'aventure mais aussi divers scientifiques et chercheurs venus du territoire national de la Lutharovie, ne partageant pas forcément l'idéologie des autres colons. La population est actuellement de 875 colons, mais ce nombre est susceptible d'augmenter au vu de l'attrait de la colonie auprès d'un bon nombre de Lutharoviens.
Étonnamment, après négociations, l’État communiste Lutharovien accepta de fournir certaines matières premières nécessaires au bon fonctionnement de la colonie, comme de l'essence, des métaux mais aussi des produits déjà préparés comme des véhicules, machines et même des armes. Il accepta également d'ouvrir une liaison aérienne entre le territoire national et la colonie pour faciliter l'accès à cette dernière. Officiellement, le soutien au développement de la colonie de la part de l’État communiste s'explique par le fait qu'il se soucie de ses citoyens partis au bout du monde dans une forêt inconnue et potentiellement dangereuse. Dans les faits, il s'agirait d'un moyen pour garder un certain contrôle, bien que minime, sur la colonie tout en y gardant un œil, en y envoyant quelquefois des espions.
Bien que la famille impériale ne fasse pas partie des colons (pour le moment du moins), le gouvernement du nouvellement ressuscité Empire Lutharovien reconnaît l'actuel prétendant au trône Lutharovien Georges Mikhaïlovitch Dobrouchkov comme étant le Tsar de Lutharovie, et ainsi le chef de l’État de la colonie. Même si la "Lutharovie nazuméenne" comme certains l'appellent est insignifiante comparée à la République Socialiste Fédérative de Lutharovie, ses colons espèrent constituer un jour un état assez puissant pour faire face aux communistes au pouvoir en Lutharovie eurysienne, et peut-être même reconquérir le territoire national.
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Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : Duché de Sylva, plus précisément le Comté Sablier.
Nom de votre camp de base : Anouay (littéralement “En avant” en créole sylvois).
Numéro de la province d'installation : #47537
Code couleur de votre camp de base : #0C2509
Nombre d'habitants de votre camp de base : 100 (20 scientifiques dans divers domaines, 30 militaires chargés de la sécurité, 50 agents divers pour la tenue du camp).

Contexte de l'expédition :
La Duchesse Nathalie Sablier fut prise d'intérêt par les récentes actualités de Padure, l'amenant à se renseigner sur cette forêt et s'y passionner. C'est déjà une forêt immense, chose suffisante pour éprendre un sylvois naturellement attachés aux bois, enrobée d'une aura mystérieuse inspirant la curiosité et l'exploration.
Hésitant un moment à proposer une expédition commune d'envergure avec le Duché, elle préféra pour le moment en assumer seule les premières reconnaissances afin de tater le terrain. La raison était intéressée : peut-être que les intérêts seraient absents et la décrédibiliserait d'avoir poussé à mobiliser d'importants moyens. Ou alors peut être que les intérêts seraient là mais les efforts requis suffisamment limités pour qu'elle puisse les assumer seules, rendant inutile de les partager avec les bénéfices. Cette ambition de s'accaparer ce projet se volatilisa lorsqu'il fut annoncé sans appel la nécessité de compter sur deux avions de transport tactique et d'un ravitailleur, qui n'était pas à sa disposition. “Soit, ce sera un projet commun.” se résigna-t-elle.

Elle nomma à la tête de cette expédition son frère cadet, Frédéric Sablier, jeune noble faisant carrière dans l'armée faute de fief à hériter. S'il se prêtait plutôt à organiser les forces militaires du comté et que la gestion d'un camp d'une centaine d'âmes semblait une tâche de moindre envergure pour son grade de commandant, il n'en était rien. Déjà aussi modeste soit cette base, Nathalie souhaitait avoir un individu de la plus haute confiance et compétence à la tête. Le camp était ensuite très éloigné, de 17 500 km de Sylva, et allait nécessiter une logistique et donc bien plus d'individus que la centaine affectée sur place. Nathalie devait déjà prévoir deux avions de transport tactique et un ravitailleur, ainsi qu'une lettre à destination du Miridian. Ce partenaire fiable permettait un relais entre Sylva et Padure, de 9000 km dans les deux sens. Il était sur le chemin pour tout dire, et ne pas en tirer parti serait d'une bêtise.

Pour ce qui est des membres de l'expédition, on y retrouve principalement des sujets du comté Sablier, mais également quelques apports de d'autres comtés, puisque de toute façon le projet était d'emblé commun. Il y avait des chercheurs, académiciens et scientifiques de tous les horizons sylvois, des militaires professionnels avant tout à la solde des Sablier, et des ouvriers qualifiés en tout genre de tous les milieux. La motivation principale et inavouée est le profit, que ce soit sous forme de solde pour les employés, ou renommées et capital pour les organisateurs. Mais les pulsions d'exploration et de découverte reste malgré tout importante et fournissent une certaine tolérance au expéditionnaires face aux difficultés à prévoir : ce sont des sylvois, leurs ancêtres se sont installé sur Sylva après être tombés amoureux de ses forêts, et l'appel des forêts de Padure et de tout l'imaginaire qui en découle les fascine instinctivement.

Concernant le matériel : c'est une expédition scientifique avant tout. Il sera léger, quelques armes d'infanterie mais surtout des vivres, médicaments, de quoi installer des campements, et des véhicules... à savoir des lamas de Sylva. Rustique, mobile, endurant, ils sont de parfaits véhicules pour les forêts accidentées de Padure.
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Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : C'est l'entreprise Angelico Nero
Nom de votre camp de base : Aulo Erasmo Acuna
Numéro de la province d'installation : #43204
Code couleur de votre camp de base : #FF95E2
Nombre d'habitants de votre camp de base : 120

Contexte de l'expédition :
Les évènements de la forêt de Pădure n'ont pas été très médiatisés en Youslévie, la faute à une actualité politique surchargée. Entre les affrontements opposants l'ONC et l'UNCS, et dont la Youslévie occupait une place prépondérante, ou les élections de mi-mandat qui auront lieu en octobre 2011 personne n'a vraiment la tête à aller explorer une contrée aussi hostile et reculée que cette forêt nazuméenne. Mais c'était sans compter sur Baltasar Agrias, l'un des hommes les plus riches du pays, qui a vu dans cette ruée vers l'inconnu le moyen de réaliser ses rêves de gosse.

Agrias est de ceux qui a grandit avec une cuillère en argent dans la bouche. Fils d'un magnat de l'immobilier, le jeune Baltasar se passionne très rapidement pour les explorations des siècles passées. Il rêve de partir à l'aventure comme ses idoles fictifs ou non. Malheureusement pour lui, il est né trop tard et face au fait que quasiment tout le globe ait déjà été foulé et à la pression paternelle, Baltasar reprend l'entreprise familiale.
Toutefois, les découvertes d'un explorateur teylais faites dans la forêt de Pădure ravivent cette flamme enfouie au plus profond de lui. Le presque soixantenaire décide alors de profiter des moyens quasi-illimités inhérents à son statut de chef d'une des entreprises parmi les mieux côtés actuellement pour mettre en place l'expédition d'une vie.

Il va s'entourer des meilleurs scientifiques du pays pour réussir, et il faudra au moins ça au vu de l'inexpérience totale d'Argias. Ce dernier n'a jamais mis les pieds en terre sauvage, excepté pour participer à des safaris luxueux en Afarée, qui ne correspondent pas tout à fait à une aventure à proprement parler. Perdu dans des ouvrages qu'il a lu des dizaines de fois chacun, Baltasar est bloquée au XIXème siècle et n'a aucune idée de ce qu'il l'attend vraiment une fois sur place, et ceux malgré les recommandations et avertissements de ceux qui l'entourent. Il va aller jusqu'à nommer son camp de base en hommage du plus grand personnage de fiction d'aventure de la littérature youslève, Erasmo Acuna.
Argias est aussi très crédule et influençable et au moment de recruter une équipe chargée de s'occuper de la protection du camp, l'explorateur en herbe enrôle, sans s'en rendre compte, des membres de l'Orga, la mafia youslève trop heureuse de pouvoir abuser d'un benêt pour pouvoir arriver à leurs fins peu enviables.
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Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : l'Assemblée de Préservation du Culte en étroite collaboration avec les États farisi et mandrarikan
Nom de votre camp de base : Nouveau Khodaraku
Numéro de la province d'installation : #44992
Code couleur de votre camp de base : #455811
Nombre d'habitants de votre camp de base : 9

Contexte de l'expédition :
Quand Rakoto Manorohanta, plus connu sous le nom de Mandrar Ier, a proposé à Abdul-Bashit Hadad de se joindre à la ruée vers Pădure, le leader socialiste n'a pas semblé très emballée. Tout le contraire de l'Assemblée de Préservation du Culte qui a vu dans l'émulation autour de Pădure et la possibilité d'explorer cette contrée encore vierge de toute influence étrangère une occasion de convertir les éventuelles populations autochtones de cette forêt.

Pour cela, les ayatollahs ont choisis d'utiliser les grands moyens et de nommer l'imam Ahmad Modiri comme chef de l'expédition. Modiri est bien connu dans la sphère de l'Assemblée de préservation du Culte, parfois considéré comme un "huitième ayatollah", le chiite est l'un des membres les plus importants de l’État Farsisi. Très expérimenté dans les sports de combats et dans le maniement des armes, aussi bien mécaniques que blanches ou traditionnelles, Ahmad Modiri est un des instructeurs des Messagers du Prophète, l'armée privée de l'Assemblée de Préservation du Culte. Ayant participé à de nombreux conflits et raids, notamment au Varanya, l'imam est donc rompu au combat dans n'importe quelle situation.
En plus de ces qualités physiques et mentales, Modiri est ce qu'on appelle un fanatique. Il n'est pas rare de le voir réciter ses prières comme pris d'une transe soudaine. Cette extatisme est autant une force qu'une faiblesse et peut sans doute le rendre plus dangereux que ces qualités de combattants. En effet, dans ces périodes d'extase, Modiri n'est plus lui-même, ce qui lui confère une force aussi bien physique que mentale impressionnante mais personne ne sait vraiment quelles sont ses limites et jusqu'où il est prêt à aller pour atteindre les objectifs que son dieu lui a donné.

Autre détail d'importance, un espion d'Abdul-Bashit Hadad se cache dans le corps expéditionnaire. Bien que Modiri n'ai décidé de convoquer que huit membres des Messagers du Prophète, en référence au chiffre 9 représentant la toute puissance d'Allah, un imposteur s'est tout de même infiltré. Chargé de surveiller Modiri et son expédition, mais aussi de récupérer des informations sur la forêt et pourquoi pas sur les plans des ayatollahs à l'avenir, cet espion a eu toutes les autorisations, y compris celle de saboter ou de tuer si il juge cela nécessaire.
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Nom de l'organisation concernée : Ordo Negrum / Institut Asclépios
Nom de votre camp de base : Forteresse-Monastère de Kandahar
Numéro de la province d'installation : #43009
Code couleur de votre camp de base : #000000
Nombre d'habitants de votre camp de base : 1 000 individus.
L’opération « Kandahar » est vue comme une mission prioritaire pour les autorités de l’Ordo Negrum. Une délégation importante d’un millier d’individus sont donc missionnés pour établir une Forteresse-Monastère au Nazum. Elle accueillera plusieurs centaines de chevaliers du Militarum ainsi que des équipes techniques de l’Adeptus et des scientifiques de l’Institut Asclépios, partenaire financier de cette manœuvre.

Contexte de l'expédition :
Les récentes découvertes des archivistes du Librarium indiquent un potentiel lien entre la mythologie transblême et les enseignements du Codex de Baal. La persistance des transblêmes à vouloir pénétrer cette forêt pousse les archivistes à penser que celle-ci cacherait peut-être des vestiges ou des secrets importants. L’Ordre estime donc qu’il doit être le premier à mener à bien des opérations dans les régions forestières de Padure. Il considère que c’est une opportunité pour établir une base opérationnelle à proximité du territoire transblême et ainsi pouvoir étudier en profondeur les mœurs et les croyances locales de ce peuple étrange. Bien évidemment ce n’est pas la seule motivation d’une telle opération, l’Ordre souhaite en découvrir plus à propos de la flore locale et des propriétés exploitables par l’Institut Asclépios qui est toujours à la recherche de composants pour son projet de sérum « super-soldat ». C’est donc une opération très importante qui met en œuvre des moyens considérables inter-chapitres du Militarum, cette mission est d’ailleurs dirigée par le Seigneur-Commandant Loken, un homme réputé pour son inflexibilité et sa poigne d’acier. Celui-ci entend profiter de l’occasion pour faire connaitre l’Ordre au reste du monde.
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Nom de l'organisation concernée (pays) : Royaume Fédéral d'Aquitagne
Nom de votre camp de base : Aquitagnaminor (la Petite Aquitagne)
Numéro de la province d'installation : #44382
Code couleur de votre camp de base : #230492
Nombre d'habitants de votre camp de base : 577

Contexte de l'expédition :

Charles de Bavoir faisait les cent-pas en pestiférant dans son cabinet de travail au Palais des Grands-Ducs de Bavoir qu'il occupait depuis que son frère, le grand-père de Roy actuel, lui avait offert avec le titre de Pair du Royaume. En effet la situation commençait à devenir pour lui on ne peut plus critique: lui qui avait toujours trouvé une oreille en les personnes du Roy Philipe VII et de son père, ne bénéficiait plus de l'attention du souverain. Lui qui avait une liberté totale d'entrée dans le bureau de Sa Majesté se heurtait désormais aux grilles du Palais Royal. Il n'y avait aucun doute, c'était la disgrâce, clairement signifiée par son petit-neveu Édouard, tout fraichement Roy d'Aquitagne.

Sans doute ses manigances politiques, ses demie-complots contre son neveu et son opposition trop marquée aux récentes décisions de la Couronne ont-elles été dénoncées au nouveau monarque, qui en aura pris ombrage et aura décidé de l'éloigné des affaires politiques. Bien que Le Roy Édouard ne lui ai pas fait le déshonneur de rendre publique sa disgrâce, il devenait gênant, on l'a écarté, et c'était pour lui la fatalité. Que pouvait-il faire, si ce n'est que rester dans son château à se morfondre, tout cela parce qu'il est né en deuxième?

Mais en ce jour du mois de juin 2011, un coursier royal lui amène à Bavoir un message écrit de la main du Roy, lui ordonnant de se rendre à Flaviume dans les trois jours, ce que Monseigneur de Bavoir fit avec diligence. Pour la première fois depuis des mois, il trouva les grilles du Palais grandes ouvertes, et fut introduit sans autre préambule dans le cabinet de travail du souverain. Comme l'exige l'étiquette, il resta debout, la tête inclinée vers le sol, en face du monarque, attendant que Le Roy, qui écrivait à son bureau, lui offre de s'asseoir. Édouard se fit attendre, afin de bien signifier que son grand-oncle n'était pas dans ses bonnes grâces. Après de longs instants, il leva la tête:

"Ha, mon oncle, vous voici", lui dit-il. Puis il repris, sans proposer un siège au Grand-Duc "J'irais droit au but. Très prochainement, la Royaume va se doter de nouveaux domaines, d'un importance stratégique non-négligeable. Il est nécessaire qu'un représentant de la Couronne soit chargé de l'administration de ces terres, aussi mais-je pensé à vous. Je vous nomme Gouverneur de l'Aquitagnaminor."

Monseigneur de Bavoir jubilait intérieurement: on lui donnait une occasion de se racheter. Quelle joie, car a lui qui est un lion de la politique depuis son plus jeune âge, on avait jamais confier de charge ministérielle ou autre. On lui faisait cet honneur, et il se promit intérieurement de tout faire pour garder ce qu'on lui donnait. Une chose le tracassait: Édouard ne lui avait toujours pas dit de s'asseoir et n'avait fait aucune mention de la situation géographique de cette Aquitagnaminor...

"Je vous remercie du fond du coeur, mon cher neveu, je tacherais de rester digne de votre confiance. Puis-je vous demander où se trouvent ces nouveaux terrains qui me valent tant d'honneurs?"

"Vous avez très certainement été mis au fait de ce qu'il se passe en ce moment même en Pădure, dans le Nazum? Nos amis Primains et Clovaniens ont déjà envoyé une expédition, et notre retard en la matière est pour le moins honteux. Il nous faut rattraper le temps perdu. Le Nazum est une terre où nombre de territoires restent vierges, et il nous faut tout mettre en place afin que des nations socialistes et modernistes n'y répandent pas leur venin. Aussi il nous faut occuper tout le terrain que nous pouvons, afin de ne pas laisser place libre à l'extanction de ces pays. De plus mon Gouvernement et moi-même avons l'intime conviction que d'importants troubles militaires se préparent en ces contrées: il nous faut donc être présents afin de venir en aide à nos alliés et de défendre nos valeurs. Enfin, les premiers rapports m'ont informé quant au potentiel économique et scientifique de la région: l'Aquitagne se doit de n'avoir aucun retard en la matière sur la scène internationale. Aussi mais-je décrété qu'une expédition partira s'installer à côté de nos amis primains, afin de fonder l'Aquitagnaminor."

L'enthousiasme de Monseigneur de Bavoir venait d'être sèchement refroidi. Il faut savoir que depuis qu'un monarque était partit en expédition explorer les terres au-delà de l'Eurysie et qu'il n'en était jamais revenu, l'idée de la colonisation outre-mer fait peur aux Aquitagnois. Le Grand-Duc compris le message: on ne voulait pas le récompenser, on l'envoyait à plusieurs milliers de kilomètres de sa terre natale pour l'éloigner de la cour et des affaires gouvernementales. Il gênait, constituait un obstacle, alors on l'écartait, on le supprimait.

"J'ai déjà nommé votre chef de cabinet, un homme qui bénéficie de toute ma confiance, et qui vous sera d'une grande aide. Autre chose, il va de soi que la charge que vous occupez dès maintenant ne vous donnera pas le temps de vous occuper des affaires du Grand-Duché de Bavoir, aussi ai-je préparer un décret nommant votre successeur. Bien, je pense n'avoir rien oublier, vous pouvez vous retirez. Au plaisir, mon oncle."

C'était le coup de grâce. Non seulement on lui retirait sa fonction, son titre, mais en plus pour le nommer à une charge factice, car il n'avait aucun doute en le fait que son chef de cabinet sera en fait un chaperon qui fera tout à sa place.
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Nom de l'organisation concernée :
Nom de votre camp de base : Camp Järvenvoo :
Drapeau du Camp Järvenvoo
Numéro de la province d'installation : #43595
Code couleur de votre camp de base : #828282
Nombre d'habitants de votre camp de base : 500
(dont : Un état-major composé de 50 hommes, 50 prisonnier, 100 soldats (réservistes), 40 scientifiques, 10 ingénieur de l'armement, 240 colons et 10 religieux

Contexte de l'expédition :

La motivation initiale de l’expédition est le discours du Général Von Fackenlof :
Général Von Fackenlof a écrit :
Chers compatriotes,

Je me tiens devant vous aujourd'hui avec un cœur lourd et une grande préoccupation. Notre nation,
Le Valkoïnenland, a toujours été une nation de progrès, d'exploration et de découverte. Nous avons toujours embrassé l'avenir avec détermination, et notre Erstes wissenschaftliches Forschungs-und Rüstungsprogramm, le premier programme de recherche scientifique et d'armement, en est un exemple éclatant.

Pourtant, je suis ici pour exprimer mon indignation face à la lenteur avec laquelle l'approbation pour notre expédition en Padure avance. Le peuple du Valkoïnenland a investi son espoir, ses ressources et sa foi dans ce projet. Nous avons rêvé de découvrir de nouvelles terres, d'étendre notre connaissance, et de protéger notre nation. Cependant, les obstacles bureaucratiques entravent notre chemin.

Nous sommes une nation fière, une nation d'action, et il est temps de faire preuve de l'audace qui nous a toujours définis. Nous ne pouvons pas permettre que l'inertie entrave notre ambition. Il est temps que nos dirigeants comprennent l'importance de cette expédition et de la recherche que nous pourrions mener en Padure.

Mes chers compatriotes, je vous demande de vous unir à moi pour exiger que l'Erstes wissenschaftliches Forschungs-und Rüstungsprogramm soit approuvé rapidement. L'avenir du Valkoïnenland repose sur notre capacité à regarder vers l'horizon avec courage et détermination. Notre nation mérite de poursuivre sa quête de découverte et d'excellence, et nous ne devons pas laisser la lenteur administrative entraver notre chemin.

Ensemble, nous pouvons faire avancer notre nation vers un avenir prometteur, rempli de nouvelles découvertes et d'opportunités. Merci, que le Valkoïnenland prospère !

Graçe à ce discour en début 2011 lorsque le Volksvergadering a approuvé le Erstes wissenschaftliches Forschungs-und Rüstungsprogramm für Valkoïnenland. Un groupe de chercheurs désireux de percer les mystères de Padure, une région peu explorée jusqu’alors. Ils espèrent découvrir de nouvelles espèces, étudier les écosystèmes uniques de la forêt dense et recueillir des données sur la géologie, la météorologie et l’histoire naturelle.

Parallèlement, des militaires du Valkoïnenland ont rejoint l’expédition pour établir une présence stratégique dans la région, conscients de son potentiel en termes de ressources naturelles, de routes commerciales et de positionnement géopolitique. Ils envisagent également de renforcer la souveraineté du Valkoïnenland dans cette zone.
D'un autre côté, des stratèges et des soldats du Valkoïnenland faisaient partie intégrante de l'expédition. Pour eux, Padure était bien plus qu'un simple territoire à explorer. C'était une opportunité stratégique, riche en ressources naturelles, qui méritait d'être conquise et sécurisée. Ils cherchaient à renforcer la présence du royaume dans cette région, à établir des routes commerciales et à protéger les intérêts nationaux.

Enfin, l’expédition compte également des pionniers et des aventuriers attirés par l’idée de vivre l’une des dernières grandes aventures de l’histoire, tout en contribuant à l’expansion du Valkoïnenland. Ces citoyens espèrent établir une communauté autonome et prospère près de Pădure.

L'expédition partira dès que possible

Insigne du Camp Järvenvoo
Camp Järvenvoo

Le Chef de la mission :
Général Von Fackenlof
Le Général Von Fackenlof

Moyens utilisés :
Les cargo protégé :
Le "SMS Erland" et le "SMS Kettinen" (niv 1)
1 véhicule utilitaire (niv 1)
2 véhicule léger tout-terrain (niv 1)
2342
Nom de l'organisation concernée (pays/ONG/entreprise/autre) : Esperantujo

Nom de votre camp de base : Esperantujo Esplortendaro

Numéro de la province d'installation : #45169

Code couleur de votre camp de base : #0CDA0C

Nombre d'habitants de votre camp de base : 43

Contexte de l'expédition :
L’Esperantujo est un pays qui a toujours eu une tradition scientifique forte et innovante. Depuis les années 1950, le pays exploite les ressources naturelles de ses terres du sud. Si l'activité minière est en baisse, les bases scientifiques se multiplies dans les terres les plus reculées de cette portion du pays.
L’université de Vojurbo, la plus grande et la plus prestigieuse du pays, est le centre de la science espérantiste. Elle accueille des chercheurs de renommée internationale dans des domaines variés, tels que la biologie, la géologie, la climatologie, l’astronomie ect... Elle dispose également de plusieurs laboratoires et centres de recherche répartis sur le territoire, notamment sur l’île de Ranginui, où la biodiversité est exceptionnelle. Et ces dernières années tout cela est plus actif que jamais, avec les projets d'extansion de l'université et de construction d'une base de recherches dans la forêt tropicale de l'île de Ranguini.

C’est dans ce contexte que le président Marko Anĝelo a annoncé la participation du pays au projet Pădure.
Pour préparer cette aventure, le président et les universités ont crées associations : Espero et Aventuro. La première regroupe les universités et les centres de recherche qui se chargent de fournir et de préparer tout le matériel nécessaire pour l’expédition. La seconde regroupe les explorateurs qui se préparent à partir pour Pădure.

Ces explorateurs sont une quarantaine. Ils sont issus de divers horizons : militaires, scientifiques, journalistes, photographes. Ils sont dirigés par trois professionnels reconnus dans leurs domaines : le professeur Lino Koro, biologiste et botaniste ; le docteur Ela Verdo, zoologiste et écologue ; et le docteur Leo Flamo, géologue et climatologue.

Ces explorateurs ont suivi un stage intensif de quatre mois, divisé en deux parties. La première partie s’est déroulée dans l’armée, où ils ont appris à vivre dans des conditions précaires et à faire face aux dangers potentiels. La seconde partie s’est déroulée dans la forêt tropicale de Ranginui, où ils ont aménagé une petite base au cœur de la jungle. Ils y ont survécu pendant 3 mois.
Aujourd’hui, après des mois d’efforts et d’enthousiasme, les explorateurs sont prêts à partir pour Pădure.

Le président Marko Anĝelo leur a adressé un message d’encouragement lors de son discours hebdomadaire du mercredi. Il leur a souhaité bonne chance et leur a assuré le soutien du peuple espérantiste.
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