14/07/2013
13:59:54
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CABINET DU CHEF DE LA DIPLOMATIE DE KÖLISBURG - Page 3

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Expéditeur : Secretariat Fédéral aux Affaires Étrangères.

Destinataire : Cabinet de la Diplomatie de Kölisburg.

Objet : Accusation de réception.


En réponse à son Excellence, Monsieur Adam Heidenborg, Chef de la Diplomatie de Kölisburg.


Cher Camarade ministre,

C'est avec plaisir que j'accuse réception de votre courrier, ainsi que de votre compréhension à l'égard de notre processus de ratification. Par ailleurs, nous sommes cependant toujours ouverts à un exercice naval conjoint dans "nos" eaux communes. De plus, les autres Secrétaires Fédéraux ainsi que moi-même, réfléchissons actuellement à l'établissement de relations d'ordre divers avec les États de la Confédération les plus proches.


En attendant que cette missive vous parvienne, veuillez agréer de mes plus sincères et plus distinguées salutations.

Bien Cordialement,
Giel Rutter.
Signature
547
Banderole diplomatique de Sent-Julian
le 7 août 2012 à Sent-Julian

A l'attention de Monsieur Adam Heidenborg,
Chef de la Diplomatie de la Confédération de Kölisbourg,
En réponse à votre missive diplomatique de juillet 2012,


Monsieur,

Nous sommes tout à fait disposés à organiser une rencontre entre nos représentants et les vôtres sur le sol de la Jurade. Nous proposons la date du 21 août 2012, en espérons que cela vous convienne. Toute autre date nous convient, et nous nous adapterons en fonction de vos dispositions le cas échéant.

Bien à vous,
Messieurs Pèire Durand et Luchian Bèrgèr,
Jurats délégués aux affaires internationales
138
INVITATION

Au mariage du damoiseau Blaise Dalyoha et la demoiselle Clothilde Choixvrefeuille.

Vous êtes :

Le chariot

Le mariage aura lieu bientôt. Restez attentif.
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Ministère des affaires étrangères Karl Oslo

Bonjour chère ministère des affaires étrangère de la République de Saint-Marquise. Je vous communique aujourd'hui pour répondre à votre proposition de rapprochements diplomatique entre nos deux nation. Nous vous annonçons pour notre plaisir commun que nous répondons positivement à cette idée. Je vous propose de faire rencontré deux représentent de nos pays respectifs dans le palais de Or à Palmar dans notre capitale pour discuté d'une proposition d'établissement d'ambassade entre nos deux pays pour crée de nouveau liens diplomatique entre nos deux nation respectives pour une plus grande facilité d'échange culturelle comme les livres, les films, les œuvres d'arts les voyage scolaire et bien plus ou comme les échanges économique comme l'établissement d'entreprises pour crée de l'emplois. Nous nous occuperons d'aménagé la pièce ou ce dérouleras la rencontre.

Nous attendrons votre réponse.
Cordialement.
2771
Matilde Boisderose
Ministre des relations étrangères
342 Pont des Amours
Bourg des Mahoganys
Sylva
Adam Heidenborg
Chef de la diplomatie de Kölisburg
Cabinet de la diplomatie de Kölisburg



Monsieur Heidenborg,

Je vous fais part de la bonne réception de votre missive, et de la consternation prononcée qu'elle aura inspiré auprès de nous. Nous serons malgré tout indulgents à votre égard, mettant cette succession de maladresses diplomatiques fort peu cordial sur le compte des divergences culturelles entre nos pays. Nous avons après tout largement eu l'occasion de constater l'étendu des us et coutumes dans le domaine sur l'ensemble du globe, et saurons faire preuve de patience face à une nation isolée en développement.

Je me dois toutefois de revenir point par point sur vos affirmations allant du "douteux" au "franchement déraisonnable" dans l'ordre de votre texte :

-Primo, vous énoncez la liberté que nous avons prise de ne pas reconnaitre votre ZEE, et précisez que vous ne serez pas contrariant sur la question, ce à quoi je vous réponds au nom du Duché de Sylva : Encore heureux ! C'est Kolisburg qui s'abroge la liberté de revendiquer les ressources d'une portion de l'océan de façon complètement unilatérale, et nous devrions vous féliciter de ne pas vous vexer après un refus purement et simplement légitime ? Il ne s'agit là que du cours naturel des choses, et nous maintiendrons notre position sur la question jusqu'à nouvel ordre.

-Deuzio, vous évoquez votre approche pédagogique couplée à votre fermeté sur la question. J'insiste et le répète : nous comprenons et acceptons que les habitudes politiques et diplomatiques diffèrent d'un pays à l'autre, mais ne tolérerons pour autant une telle indécence. Votre revendication ne fait pas l'unanimité à l'internationale, et à raison, après avoir été déclarée sans aucune forme de discussion. Le Duché de Sylva a déjà constaté lors de la crise des Morues entre les Républiques du Miridian et de Tanska les effets de ce genre de revendications à sens unique, et n'a conséquemment aucune raison de tolérer l'exacte répétition de cet écart diplomatique.
Nous considérerons en conséquence comme caduc toutes vos annonces sur la "fermeté" et "pédagogie" qui n'ont pas lieux d'être. C'est également pour cette raison que l'accrochage ayant eu lieu avec un chalutier sylvois est simplement illégale et nécessite des dédommagements pour les concernés.

-Tercio, nous aborderons le point le plus dommageable et inapproprié de votre missive : la mention d'un casus belli. J'ignore là encore quelles sont les coutumes par chez vous, mais en Sylva, nous accordons une grande importance aux mots et considérons que ce qui est annoncé par un individu ou État sera ensuite fait. Clamer d'emblée un point aussi grave qui sont, disons-le franchement, des menaces de guerre, est absolument intolérable selon nos standards. Et tenter de nuancer la chose en précisant qu'il s'agit là d'un cas extrême n'arrange en aucun cas le caractère déplacé de votre annonce, tout en tenant de l'évidence. Tenez-vous à être félicité pour ne pas avoir déclaré d'emblée une guerre suite à l'activité d'un pêcheur sur une zone que vous avez revendiquée sans aucune légitimité ?

Nous restons donc dans l'attente de votre réponse, vous laissant l'opportunité de clarifier les points qui tenaient de la maladresse ou de la malice.

Cordialement,

Matilde Boisderose
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banderole

A l'attention de Monsieur Adam Heidenborg, chef de la Diplomatie de la Confédération de Kölisbourg



Monsieur,

La crise actuelle que traverse la Grande République de Velsna est en effet fort préoccupante. C'est pourquoi nous essayons, à notre échelle, de restreindre le conflit à l'intérieur des frontières velsniennes. Votre remarque est donc fort judicieuse et une rencontre pour mettre au clair la situation semble tout à fait pertinente. Nous vous laissons le libre choix du lieu de cette entrevue.

En ce qui concerne la chasse à la baleine, la République d'Achos ne reconnaît pas la Z.E.E Kölisienne, ni aucune Z.E.E d'aucun pays. Ainsi, que vous escortiez nos baleiniers s'approchant trop près de vos côtes est tout à fait respectable, mais la haute-mer est terra nullius, ainsi nous avons le droit d'y pêcher la baleine comme bon nous semble, et comme nous le faisons depuis plus de mille ans. Vous parlez de plus d'un "accord d'extradition", sous-entendez-vous donc que vous détenez des citoyens achosiens sans nous avoir prévenus préalablement ? Il serait fâcheux que ce soit le cas, car cela nous obligerait à adopter une politique plus restrictive envers votre nation. Néanmoins, il serait malvenu de froisser cette première prise de contact, nous sommes donc prêts à rediscuter de ces sujets au cours de cette même rencontre que vous nous proposez.

Au plaisir de vous recontacter,

Cordialement,


Cabinet Consulaire de la Sérénissime République d'Achos

Swyddfa Gonsylaidd Gweriniaeth Serene Achos

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GCA



Invitation au Grand Congrès des Arts


Madame, Monsieur,
Cher·e représentant·e des services diplomatiques et, ou internationaux,


Afin d'inaugurer officiellement le Grand Congrès des Arts, en Poëtoscovie, vous êtes invités à prendre part aux festivités et discussions sur le premier thème :

« LA POÉSIE »

Dans le cadre de cette invitation, vous pouvez envoyer 10 personnalités politiques ou artistiques de votre pays. Ils seront logés à l'hôtel L'Albatros à Baudeline, logés, accompagnés d'un chauffeur et l'ensemble de leurs transports seront pris en charge par le congrès. Pour y aller, un bâteau pourra venir et les rammener dans votre pays.

Concernant la sécurité de l'évènement, celle-ci sera exclusivement établie par l'armée et la police. Les armes et les substances stupéfiantes sont interdites. Le congrès n'est pas responsable en cas de vol ou de casse d'objets de valeur.

Si vous souhaitez davantage de renseignements, je vous invite à lire ces informations. En cas de besoin, je reste tout de même à votre disposition au Ministère des Relations Internationales.

Attandant votre retour avec beaucoup d'attention, je vous prie, Madame, Monsieur, d'accepter l'expression de mes salutations distinguées.

Très cordialement,

Jolan Sandro,
Président de la Poëtoscovie
1335
Matilde Boisderose
Ministre des relations étrangères
342 Pont des Amours
Bourg des Mahoganys
Sylva
Adam Heidenborg
Chef de la diplomatie de Kölisburg
Cabinet de la diplomatie de Kölisburg



Monsieur Heidenborg,

Aussi peu rassurante que soit la perspective que les nations composant la fédération de Kolisburg aient besoin d'un encadrement pour ne pas emprisonner (empoissonner ?) des pêcheurs dans leur bon droit, nous sommes malgré tout ravis des éclaircissements que vous apportez dans la première partie de votre missive. Nous comptons donc sur Kolisburg pour initier ses nations membres aux standards diplomatiques, tel que la nécessité de ne pas agresser des citoyens étrangers et encore moins sous de grotesques prétextes.

Concernant le casus belli, je suis dans le regret de vous informer que vous êtes dans le faux. Un casus belli n'est pas un tabou en Sylva, et ce n'est pas son évocation qui est problématique. Non, c'est la raison de cette évocation qui l'est, puisque fondée sur une revendication illégitime et non reconnu. Le Duché n'aurait pas été choqué si vous aviez parlé de la chose après un survol non autorisé de votre territoire tel que certains se permettent de faire, mais nous parlons là de la mer dont les ressources n'ont aucune raison d'être prétendues comme propriétés de tel ou tel entité.

Est-ce que la fédération de Kolisburg peut apporter des arguments pour appuyer la légitimité de ces revendications ? Sans cela, le Duché n'aura aucune raison de tolérer ces exigences, et encore moins les moindres mesures coercitives à l'égard de ces sujets.
Pour ce qui est d'une rencontre, nous n'en voyons pas l'intérêt à moins qu'elle ne vous soit nécessaire pour répondre à la question posée ci-dessus.

Bien à vous,

Matilde Boisderose
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banderole

A l'attention de Monsieur Adam Heidenborg, chef de la Diplomatie de la Confédération de Kölisbourg



Monsieur,

Nous accusons réception de votre lettre et sommes rassurés d'apprendre qu'aucun citoyen achosien n'est détenu dans les prisons kölisiennes, ce qui aurait été fort fâcheux. Nous rediscuterons donc de la question du droit d'extradition lors de notre rencontre, à Littrag, en plus des autres sujets devant déjà être abordés. En espérant que nous trouverons un terrain d'entente.

Au plaisir de vous recontacter,

Nous vous prions d'agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.


Cabinet Consulaire de la Sérénissime République d'Achos

Swyddfa Gonsylaidd Gweriniaeth Serene Achos

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3201
Sa majesté Charles III, Roi de Luminor a écrit :
Logo Ministère des Affaires Etrangère du Royaume de Luminor


À l'attention de Sa Majesté la Reine de la Confédération de Kölisburg, Constanze de Kölisburg et de Monsieur Adam Heidenborg, Chef de la Diplomatie de la Confédération Royale et Septentrionale de Kölisbourg.


Monsieur le Chef de la Diplomatie, Adam Heidenborg,

Permettez-moi de vous présenter mes salutations les plus distinguées.
Je suis Madame Éloïse Pranot, Ministre des Affaires Etrangères du Royaume de Luminor, et par conséquent, représentant de l'Etat de Luminor, et je me permets de vous écrire aujourd'hui pour proposer l'établissement de relations diplomatiques, économiques et politiques entre nos deux pays.

Nous estimons que l'établissement de relations diplomatiques contribuerait à renforcer la coopération dans des domaines tels que la sécurité, la recherche scientifique et technologique, la lutte contre le terrorisme, et du Commerce Navale. Nous sommes convaincus que ces domaines représentent des défis communs que nos deux pays pourraient affronter ensemble.

C'est pourquoi nous aimerions également proposer l'ouverture d'une ambassade de Luminor dans votre pays et vice versa, afin de faciliter la communication entre nos deux gouvernements et d'approfondir notre coopération. Une adresse pour établir votre ambassade en Luminor, vous sera donnez à la fin de lettre.

Par ailleurs, nous déclarons officiellement reconnaître votre [Z.E.E.], et espérons obtenir votre soutient pour régler la situation de votre pays voisin.

Pour la suite de la Lettre, je confie cette lettre à Monsieur le ministre de L’Union Economique Eurysienne, Monsieur Michel Dubois.



Bonjour Majesté, bonjour Monsieur Adam Heidenborg, je vous fais également offre de mes salutations distinguées. Je vous écris car l’UEE, à évoquer l’idée potentiel de vous voir rejoindre notre Union, en collaboration avec d'autres pays du continent. Cette union a pour objectif de renforcer les échanges commerciaux entre nos pays membres, de faciliter la circulation des personnes et des marchandises, et de créer de nouvelles opportunités pour les investissements étrangers. Aussi, cela permettre de renforcer les liens diplomatiques entre nos pays, et donc éviter une potentiel guerre dangereuse pour nos nations. Nous sommes convaincus que cette initiative renforcerait également les relations entre nos deux pays. J’ai cru également comprendre, que vous souhaiteriez ne pas accepter l’intégralité de la Charte de L’Union, et bien cela est tout à fait possible, nous somme ouvert à la discussion pour savoir desquels il s’agit.

Enfin je vous transmets la liste des pays membres actuels de l’Union Economique Eurysienne :
- Valkoïnenland
- Rus've
- Tchérie
- Travie
- Uspon
- Empire Ambarois
- Luminor
- Royaume du Komatsuna
- Valinor


Nous sommes convaincus que ces propositions seront d'un grand intérêt pour nos deux pays, et nous espérons que vous partagez notre vision pour l'avenir. Nous sommes prêts à discuter avec vous de la manière dont nous pouvons concrétiser ces idées, et nous espérons avoir l'occasion de travailler ensemble dans un futur proche.
Drapeau de l'Union Économique Eurysienne

Je vous prie de croire, Monsieur le Chef de la Diplomatie, Sir Constanze, à l'assurance de ma haute considération.
Bien cordialement,
Éloïse Pranot
Ministre des Affaires Etrangères du Royaume de Luminor.

Bien Cordialement,
Michel Dubois
Ministre de L'Union Economique Eurysienne


Avec la collaboration de ses Majestés Royals, le Roi Charles III et la Reine Marie.
Avec la collaboration de Monsieur le PREMIER MINISTRE, Ronald Schneider .





Adresse des Ambassades en Luminor a écrit :
Ambassade de la Confédération Royale et Septentrionale de Kölisbourg
Rue du Palais de Cristal, n°A08,
Quartier de Cristal, Luminaire (1064)
ROYAUME DE LUMINOR
2110
blason du Secrétariat Royal des Affaires Étrangères




Bryngaerdinas Pil, le 1er juin 2013

A l'attention de Son Excellence Adam Heidenborg, chef de la diplomatie de Kölisburg.

Excellence,

C'est avec consternation que nous avons observé un déclin conséquent des activités de pêches dans la Manche Blanche durant le mois passé. Il va sans dire, Excellence, que nous nous sommes immédiatement penché sur cette affaire, et qu'il apparaît clairement que la Confédération du Köligsburg, ou ses États membres, en est à l'origine. Vous n'êtes pas sans savoir, Excellence, que de nombreux employés et navires d'entreprises basées sur le territoire de Sa Majesté, ont été interceptés et détournés par la marine de la Confédération. De même, et comme vous le savez, ces entreprises sont basées en Caratrad, dont une partie de l'approvisionnement en poisson dépend de ces entreprises, qui ont assez justement émis des plaintes et en ont appelé à la justice de l'État où ses entreprises sont basées, c'est à dire à la Justice de Sa Majesté.

Comme vous le devinez, Excellence, nous avons pour l'instant fait la sourde oreille à ces appels, dans l'espoir de parvenir à régler cette question le plus diplomatiquement possible, de préférence sans scandale et bataille légale. Vous comprenez, assurément, qu'au delà de l'approvisionnement régulier des marchés dépendant de la pêche - particulièrement dévelopée - en Manche Blanche, il en va également de la stabilité économique du marché de la pêche à l'échelle mondiale, ainsi que du bien être financier des entreprises, non seulement celles basées en Caratrad, mais également celle des entreprises koligsbourgeoises qui profitent de la fluidité du marché du poisson.

Ainsi, en vous contactant, nous exprimons notre souhait de voir cette question réglée, c'est à dire qu'il n'y ait plus d'interceptions illicites de navires affiliés d'une manière ou d'une autre au Royaume-Uni. Je n'ai aucun doute, Excellence, que vous réglerez cette question au plus vite et pour le mieux. Je me tiens bien évidemment à votre écoute, et attend impatiemment votre réponse.



Vous saluant respectueusement, et
Vous priant de bien vouloir agréer l’expression de mes sentiments les plus distingués,
Le Très Honorable Secrétaire Royal des Affaires Étrangères, avec l'assentiment du Très Honorable Lord Justiciar de Sa Majesté
Signature du Secrétaire Royal des Affaires Étrangères
Sceau du Secrétaire Royal des Affaires Étrangères
1376

Bureau du Triumvir Matteo DiGrassi



Drapeau

A sa majesté Constanze, de la Confédération Royale et septentrionale de Kolisburg, et à son cabinet, le Triumvirat, le Sénat et le Conseil Communal de Velsna te salue.

Majesté et ministre,

Je vous adresse ce courrier dans le cadre de vos revendications d'exploitations des ressources maritimes dans la proclamée Zone économique exclusive de Kolisburg. Comme vous le savez sans doute, voilà près d'un an depuis notre dernière rencontre, qui s'est soldée par un blocage de la reconnaissance de la zone économique exclusive de Kolisburg au Sénat.

Cependant, la situation interne de Velsna, qui jusque là était largement défavorable à cette reconnaissance a fortement évolué depuis. Et il semblerait que les conditions de cette dernière soient dorénavant rassemblées. Ce faisant, je vous propose la tenue d'une rencontre à Kolisburg pour enfin statuer sur ce problème, que les diplomates ont laissé pourrir depuis trop longtemps. Il se pourrait bien que votre revendication soit reconnue en état, contrairement à la série de propositions de modifications qui vous avait été proposé lors de notre dernière rencontre. Moyennant bien sûr la tenue d'accords commerciaux avantageux pour nos deux parties, et d'une discussion sur un autre sujet important qui implique la Sérénissime République d'Achos. Que pensez vous de cette proposition ?


En vous souhaitant une bonne continuation dans vos tractations commerciales,

Ainsi a été fait ce courrier à la date du 27 juin 2013 par le sénateur, amiral de la Merineria et Triumvir de la Grande République de Velsna,
Matteo DiGrassi

1444

Bureau du Triumvir Matteo DiGrassi



Drapeau

A sa majesté Constanze, de la Confédération Royale et septentrionale de Kolisburg, et à son cabinet, le Triumvirat, le Sénat et le Conseil Communal de Velsna te salue.

Majesté et ministre,

Nous accusons réception de votre réponse, que nous accueillons avec certes une certaine déception, mais dont nous comprenons la position.

En effet, cette attitude est parfaitement compréhensive et nous en prenons bonne note. Il nous tarde que cette situation se termine, et de faire avancer ce dossier de la reconnaissance de votre zone économique exclusive dont vous faites la revendication. Il est d'autant plus dommage que nous aurions pu plaidoyer en votre faveur auprès de Caratrad afin que ces derniers cessent leurs protestations vis à vis de cette revendication. Mais c'est là votre choix que nous respectons.

Concernant Achos, il n'est pas dans les impératifs de notre République de nous intéresser à vos affaires que vous pourrez entretenir avec ce "pays". Néanmoins, je me dois d’émettre un conseil en vous incitant à la prudence auprès d'un État ayant fait preuve d'un certain bellicisme que seul des paroles fortes ont fait reculer il y a à peine quelques semaines. Il serait dommageable de ne pas pouvoir faire avancer la reconnaissance de votre Z.E.E supposée sous prétexte de quelque nation celtique dont nous soupçonnons une imbrication avec des groupes terroristes ayant causé un attentat sur notre sol il y a peu.


En vous souhaitant une bonne continuation dans vos tractations commerciales,

Ainsi a été fait ce courrier à la date du 8 juillet 2013 par le sénateur, amiral de la Marineria et Triumvir de la Grande République de Velsna,
Matteo DiGrassi

2071
République sociale fédérative de Translavya
Vadar Korbatcha, ambassadeur général de la RSFT
Réponse


Emblème
КОММУНИКАЦИЯ
COMMUNICATION
-

Sieurs et dames correspondants et décisionnaires,
Suite à nos différents échanges quant aux offres de vente et d'achat de matériel militaire translavique, j'ai décidé, avec le soutien du président de la République, sieur Pietr Vadovsky, de vous contacter pour vous proposer, en conséquence de cette vente et des futures, un traîté de non-agression et le début de relations diplomatiques que nous espérons paisibles.

Voici la proposition de traîté de non-agression proposée par le président de la République, en accord avec la Supra de la République :

TRAITÉ DE NON-AGRESSION
ENTRE LA RÉPUBLIQUE SOCIALE FÉDÉRATIVE DE TRANSLAVYA ET LA CONFÉDÉRATION ROYALE ET SEPTENTRIONALE DE KÖLISBURG

ARTICLE 1
Ce traité est valable quelque fut le régime nouveau adopté par l'une des deux parties, ou par l'un de ses territoires ou peuples le constituant lors de l'adoption de ce traité.

ARTICLE 2
Il ne peut être annulé que par une déclaration juridique communiquée clairement à l'autre partie, soutenue par une compensation financière fixée à 9 000 points d'unité commune (points de développement) de la part de la partie portant l'annulation, à l'autre partie. Si l'annulation est portée à l'amiable par les deux parties, la précédente directive compensatoire n'est pas retenue.

ARTICLE 3
Ce traité est effectif jusqu'au 1 janvier de l'an de l'ère commune 2016, s'il n'est pas annulé préalablement selon l'article 1.

ARTICLE 4
Une partie ne peut financer, passer des accords de vente et d'achat, ou soutenir militairement, ou par quelque moyen que ce soit, une entité en état de guerre ou préliminaire à cet état contre l'autre partie.

ARTICLE 5
Les deux parties ne peuvent s'en prendre l'une à l'autre par les moyens armés, financiers, diplomatiques, de quelque manière que ce soit.

ARTICLE 6
Ce traité n'inclut aucune directive de défense ou d'aide mutuelle. Toute revendication telle va à l'encontre de celui-ci.


Nous vous invitons à y apporter les modifications qui vous semblent nécessaires, et sommes tout à fait ouverts à une révision de cette version qui vous est proposée.

En attente de votre précieuse réponse.

Salut et Fraternité.

1628
République sociale fédérative de Translavya
Vadar Korbatcha, ambassadeur général de la RSFT
Communication


Emblème
КОММУНИКАЦИЯ
COMMUNICATION
-

À l'intention de Adam Heidenborg.

TRAITÉ DE NON-AGRESSION
ENTRE LA RÉPUBLIQUE SOCIALE FÉDÉRATIVE DE TRANSLAVYA ET LA CONFÉDÉRATION ROYALE ET SEPTENTRIONALE DE KÖLISBURG

ARTICLE 1
Ce traité est valable quelque fut le régime nouveau adopté par l'une des deux parties, ou par l'un de ses territoires ou peuples le constituant lors de l'adoption de ce traité.

ARTICLE 2
Il ne peut être annulé que par une déclaration juridique communiquée clairement à l'autre partie, soutenue par une compensation financière fixée à 9 000 points d'unité commune (points de développement) de la part de la partie portant l'annulation, à l'autre partie. Si l'annulation est portée à l'amiable par les deux parties, la précédente directive compensatoire n'est pas retenue.

ARTICLE 3
Ce traité est effectif jusqu'au 1 janvier de l'an de l'ère commune 2016, s'il n'est pas annulé préalablement selon l'article 1.

ARTICLE 4
Une partie ne peut financer, passer des accords de vente et d'achat, ou soutenir militairement, ou par quelque moyen que ce soit, une entité en état de guerre ou préliminaire à cet état contre l'autre partie.

ARTICLE 5
Les deux parties ne peuvent s'en prendre l'une à l'autre par les moyens armés, financiers, diplomatiques, de quelque manière que ce soit.

ARTICLE 6
Ce traité n'inclut aucune directive de défense ou d'aide mutuelle. Toute revendication telle va à l'encontre de celui-ci.
"Moi, Pietr Vadovsky, Président de la République sociale fédérative de Translavya soutenu par la Supra de la République, reconnais le présent traité comme valide par ma signature."

Signature


Salut et fraternité.
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